company:financial times

  • Selon le Financial Times la Jordanie s’apprêterait à établir une zone tampon dans le sud de la Syrie alors que se poursuit la bataille pour le contrôle de Deraa :
    http://www.ft.com/cms/s/0/ead1961a-1e38-11e5-ab0f-6bb9974f25d0.html#axzz3eV3W0rjF

    Jordan is preparing to set up a security zone in southern Syria to prevent a jihadi victory in the area, carving out the first humanitarian “buffer zone” for rebels and refugees in four years of civil war.
    The main aim of the operation will be to create a safe area on Jordan’s border, stretching across the southern Syrian provinces of Deraa and Suwayda, and including the city of Deraa, where the Syrian uprising began in 2011, according to people familiar with the plans.
    [...]
    People familiar with the situation say that Jordan is also considering a militarised zone that will segregate the buffer area from Syrian regime forces to the North. It will be manned by existing fighters in the anti-Assad rebel southern brigades, reinforced with a brigade of troops currently being trained in Jordan. The Jordanian military — one of the most capable in the Middle East — will provide support.
    The plans are backed by key members of the international coalition against Isis, who are expected to provide behind-the-lines military support and advice but it remains unclear whether Washington will sanction the move: many in the Obama administration are hesitant about backing a ground operation in Syria.

    Ces rumeurs d’invasion et autres projets de buffer zone au sud font écho aux bruits d’autres bottes au nord (Turquie) : http://seenthis.net/messages/385498

    • Etonnant paradoxe qui ne semble pas effleurer ce journaliste que d’entendre « les diplomates à Amman » souhaiter éviter « un autre Idlib » alors même que l’offensive sur Deraa voit combattre côte à côte le Front du Sud (étiquette ASL) et Jaysh al-Fateh, c’est-à-àdire grosso modo les mêmes (dont al-Nusra) qui ont pris Idlib :

      Diplomats say Amman and its international allies are keen to avoid “another Idlib”, referring to the Assad regime’s withdrawal from the north-western city in March; jihadis soon took advantage of the retreat and established a strong presence there.

  • Greece has nothing to lose by saying no to creditors - FT.com
    http://www.ft.com/intl/cms/s/0/5e38f1be-1116-11e5-9bf8-00144feabdc0.html#axzz3d4fXSHNu

    Dans une tribune du Financial Times, Wolfgang Münchau conseille vivement au gouvernement grec de tenir bon, de faire défaut sur la dette et de réinstaurer une monnaie nationale. L’Allemagne et la France en seront pour 160 milliards d’euros et elles l’auront bien cherché...

    My conclusion is that the acceptance of the troika’s programme would constitute a dual suicide — for the Greek economy, and for the political career of the Greek prime minister.

    #dévaluation #dette #euro

  • Comment vraiment prédire l’avenir ?
    http://www.internetactu.net/2014/09/16/comment-vraiment-predire-lavenir

    L’économiste Tim Harford (@timharford) signe un long papier pour le Financial Times où il revient sur la longue série d’échecs des prévisionnistes et autres futurologues à prédire le #futur. Prévoir l’avenir n’est pas simple ce qui ne l’empêche pas d’être devenu un énorme marché, omniprésent, évalué à quelques 300 millions de dollars. Certes, de réelles avancées ont été réalisées dans…

    #complexité #prospective #psychologie

  • Où va Cuba ?, par Janette Habel (août 2014)
    http://www.monde-diplomatique.fr/2014/08/HABEL/50736

    Au-delà de son titre accrocheur, Cuban Revelations (« Révélations cubaines ») figure au nombre des livres les mieux informés sur #Cuba depuis le début du siècle. Correspondant du Financial Times et de l’agence Reuters, Mark Frank y a vécu pendant plus de deux décennies. Marié à une infirmière cubaine, il a partagé les difficultés quotidiennes de la population. Mais il concentre ici son propos sur les politiques mises en œuvre par M. Raúl Castro.

  • CIA expands spy work through Amazon cloud | Financial Times Barney Jopson, 24 June 2014
    http://www.ft.com/intl/cms/s/0/10e229b8-fbbd-11e3-ad9b-00144feab7de.html

    Suite de : http://seenthis.net/messages/241386

    The US spy agency already has a $600m contract in place with #Amazon – that IBM challenged unsuccessfully in the courts – under which the e-commerce group will set up and manage a private cloud computing service based on #CIA premises.

    «Federal Court Rules for Amazon in CIA ’Cloud’ Contract Dispute With IBM »
    http://online.wsj.com/news/articles/SB10001424052702304626104579122120530360230

    Stephen Schmidt, AWS’s chief information security officer and a former Federal Bureau of Investigation official, did not talk about security arrangements with the CIA, but described Amazon’s general approach as “security through obscurity”.

    Most AWS employees knew which countries their data centres were in, but very few knew their physical addresses. “Does our staff member need to know that information to do their job? If they don’t, they don’t get access to it,” he said.

    #silicon_army

  • Thomas #Piketty riposte aux critiques du « Financial Times »
    http://abonnes.lemonde.fr/economie/article/2014/05/24/le-financial-times-fait-la-lecon-a-thomas-piketty_4425046_3234.html

    Mis en cause par le Financial Times, l’économiste français Thomas Piketty a maintenu les conclusions de son ouvrage « Le Capital au XXIe siècle » sur l’accroissement des inégalités dans le monde. Dans son édition de samedi, le quotidien britannique épingle les erreurs de calcul commises par l’économiste, admiré par les milieux intellectuels américains. Son ouvrage monumental est devenu un véritable phénomène d’édition.

    Publié en septembre aux éditions du Seuil en France, le livre s’était déjà vendu fin avril à plus de 200 000 exemplaires aux Etats-Unis et au Royaume-Uni alors que l’ouvrage n’était pas encore sorti dans les librairies britanniques. La presse parle même d’une véritable « Piketty-mania ».

    L’article du Financial Times, journal des milieux d’affaires, critique durement le contenu du livre :

    « Les données sous-tendant les 577 pages de la somme du professeur Piketty, qui a dominé la liste des meilleures ventes au cours des dernières semaines, contiennent une série d’erreurs qui ont faussé ses conclusions. »
    LE FT ÉVOQUE DES ERREURS DE CALCUL

    La thèse centrale de l’économiste français, selon laquelle les inégalités n’ont jamais été aussi fortes depuis les années qui ont précédé le premier conflit mondial en 1914, reposerait donc sur des calculs erronés :

    « Dans ses feuilles de calcul, (...), il y a des erreurs de transcription à partir des sources originales et des formules incorrectes. (...) l apparaît également que certaines données sont sélectionnées ou construites sans source originale. »
    Le FT va même jusqu’à évoquer les deux économistes de Harvard, Carmen Reinhart et Kenneth Rogoff, contraints l’an passé de publier une correction à leur étude controversée sur l’impact de la dette publique sur la croissance, après la mise au jour d’erreurs.

    « Les données qu’on a sur les patrimoines sont imparfaites mais d’autres comme les déclarations de succession sont plus fiables. Je fais cela en toute transparence, je mets tout en ligne », a réagi samedi l’économiste interrogé par l’AFP. « Là où le Financial Times est malhonnête, c’est qu’il laisse entendre que cela change des choses aux conclusions alors que cela ne change rien. Des études plus récentes ne font que conforter mes conclusions, en utilisant des sources différentes », a-t-il ajouté.

    LES ÉLOGES DE KRUGMAN

    Reçu mi-avril à la Maison Blanche et au ministère américain des finances, M. Piketty a écumé colloques et conférences aux Etats-Unis et en Europe, afin de dénoncer l’extrême concentration des richesses et de plaider pour une plus forte taxation du capital via un impôt mondial. Dans l’article du Financial Times, il explique avoir utilisé « de nombreuses sources différentes » qui seront « enrichies dans le futur ». « Mais je serai surpris que cela change les données sur l’évolution à long-terme de la redistribution de la richesse », déclare le français.

    S’il a pu être qualifié de nouveau marxisme, son imposant ouvrage (près de 1 000 pages dans l’édition française) a notamment reçu les éloges de Paul Krugman, Prix Nobel d’économie et influent chroniqueur du New York Times, qui a assuré que ce livre « changeait la manière de réfléchir sur la société et de faire de l’économie ».

    #FInancial_Times #Capital_au_XXIe_siècle

  • Jusqu’à quand Bouteflika pourra-t-il acheter la paix sociale et refuser toute réforme politique, s’interroge le FT, le quotidien de la City ?

    La « stabilité » est mise en avant pour éviter les réformes structurelles : L’avenir économique de l’Algérie n’est pas rose, selon le Financial Times
    http://www.lequotidien-oran.com/index.php?news=5197354

    La « stabilité » est mise en avant pour éviter les réformes structurelles : L’avenir économique de l’Algérie n’est pas rose, selon le Financial Times
    par Salem Ferdi

    « L’Algérie met la stabilité avant la réforme économique », titre le journal économique et financier Financial Times dans une analyse très pessimiste de l’avenir économique du pays.

    L’Algérie est un pays riche où la paix sociale s’achète par des dépenses publiques, une option qui n’est pas soutenable, avertit le Financial Times. Le journal rappelle qu’après les émeutes de 2011 à la suite d’une hausse des prix de denrées alimentaires, le gouvernement a répondu par un accroissement des subventions et des dépenses publiques. Le but de ces largesses étant d’éviter la contagion de la Tunisie et de l’Egypte qui ont ébranlé des « dictatures établies depuis de longues années ». Abdelaziz Bouteflika, « président malade et âgé qui vient d’être élu pour un quatrième mandat », a fait des dépenses publiques en forme de subventions, de salaires du secteur public et du logement social les principaux leviers de sa politique intérieure dans le but « d’acheter la quiétude de la population ». Sauf que cette politique est une impasse, note le Financial Times. Alors que Bouteflika s’apprête « à entamer sa 16e année au pouvoir, observateurs nationaux et internationaux mettent en garde qu’une telle politique est « insoutenable » malgré la richesse pétrolière et gazière. Ces observateurs font valoir que ce pays de 37 millions d’habitants, la plupart des jeunes, « a besoin de réformer une économie très contrôlée pour réduire la dépendance aux exportations de gaz naturel et éviter de gaspiller les substantielles réserves en devises évaluées actuellement à 195 milliards de dollars ».

    UN REGIME SCLEROSE DOMINE PAR UN ESTABLISHMENT DE L’OMBRE

    Le journal londonien évoque le rapport daté de février dernier du Fonds monétaire international (FMI) qui avait « sonné l’alarme » en soulignant que l’Algérie pourrait devenir dans 20 ans et même avant en cas d’une baisse soutenue des prix des hydrocarbures, un « emprunteur net ». Même si le pays a accumulé des recettes substantielles à ce jour, notait le FMI, « l’horizon temporel pour la production hydrocarbures est relativement court, la politique budgétaire est sur une trajectoire insoutenable et l’excédent du compte courant se rétrécit ». L’institution financière internationale mettait aussi en corrélation la baisse de la production de gaz naturel et la hausse de la consommation domestique d’énergie qui ont pour effet de réduire les volumes exportés. Boostés par des revenus substantiels provenant des exportations de gaz et de pétrole, les dépenses ont augmenté de manière « spectaculaire » au cours des trois dernières années. Après avoir donné des chiffres sur les dépenses, le journal relève que les analystes considèrent que « le régime algérien sclérosé, dominé par un establishment de l’ombre enraciné dans les milieux militaire et du renseignement, tire sa légitimité de la distribution de la « rente » hydrocarbures à travers des dépenses sociales rampantes ». L’Algérie, observe l’auteure de l’article, Heba Saleh, basée au Caire, a l’un des plus difficiles « environnements des affaires au Moyen-Orient et Afrique du Nord ». Et cela est le « reflet de son opaque politique des clans et du désir de maintenir le contrôle sur la population en anticipant les défis qui pourraient être lancés par de nouvelles forces sociales ».

    LE DECLIN GAZIER, DEFI IMMEDIAT

    Le journal revient sur la règle du 51/49% et observe que le pays n’a reçu qu’un seul milliard de dollars d’investissements étrangers. L’économie reste largement aux mains de l’Etat et le « grand business privé est réputé d’être lié à des figures du régime ». Le journal note que le FMI a salué la maîtrise des dépenses en 2013 mais que les réformes restent nécessaires pour améliorer le climat des affaires et « l’intégration de l’Algérie à l’économie ». Dans l’immédiat, le pays doit faire face au déclin des exportations gazières aggravé par la très forte consommation interne. Jon Marks, directeur de la rédaction d’AfricaEnergy, cité par le Financial Times, estime que ceux qui s’intéressent au « profil de l’Algérie durant la prochaine décennie devraient s’inquiéter car le gaz nécessaire à la demande domestique fera pression sur les exportations ». Une situation aggravée par le fait que les scandales Sonatrach mis à jour en 2010 ont « perturbé la prise de décision » dans le secteur des hydrocarbures et a eu un effet dissuasif sur les investisseurs étrangers. Pire, l’attaque terroriste de Tiguentourine a créé une nouvelle inquiétude chez les investisseurs. Les responsables algériens espèrent que la nouvelle loi sera attractive pour les entreprises étrangères. Mais, tempère le journal, les analyses soulignent que plus l’Algérie reporte le moment de s’attaquer aux « défis économiques structurels en comptant sur sa richesse hydrocarbures et plus il sera difficile de réaliser le changement ».

  • C’est le Financial Times qui le dit,

    Only the ignorant live in fear of hyperinflation
    http://www.ft.com/intl/cms/s/0/46a1ce84-bf2a-11e3-a4af-00144feabdc0.html#axzz2ybY4rw2o

    ... subcontracting the job of creating money to private profit-seeking businesses is not the only possible monetary system. It may not be even the best one. Indeed, there is a case for letting the state create money directly. I plan to address such possibilities in a future column.

  • #CaptionThis: What was Madonna pointing at?
    http://africasacountry.com/captionthis-what-was-madonna-pointing-at

    For some odd reason, last weekend, this striking black and white image by photographer Terry Kane of pop singer Madonna “tour(ing) a UN millennium village in Mtanga, Malawi, in 2007” illustrated a Financial Times book review of ‘The Tyranny of Experts’ by William Easterly and ‘The Idealist’, by Nina Munk. Madonna is not mentioned in the piece and the review rumbles on. You can read it here. In any case, we were struck more by the image and posted it on our Facebook page, where we asked readers to #captionthis. We promised that we’d feature a few on the blog, so here are some of them.

    #JOURNALISM #MEDIA #PHOTOGRAPHY

  • South Korea sees technology as key to rejuvenation - FT.com

    http://www.ft.com/cms/s/0/7d087426-3b06-11e3-a7ec-00144feab7de.html

    Un dossier « Corée du Sud » dans le Financial Times du 6 novembre 2013, avec une grosse pub pour le projet « Foodpolis » avec son titre ronflant : Foodpolis pour un avenir sain pour l’Asie et pour le Monde...

    https://www.dropbox.com/s/1qu6byxntk9u3w8/cor%C3%A9e-foodpolis.pdf

    Some 65 years after the Republic of Korea was born amid a landscape of desperate poverty, its armed forces recently brought central Seoul to a standstill with a huge anniversary parade. As tanks, missiles and thousands of troops coursed through the streets of the capital, the gleaming office buildings and trendy coffee shops surrounding them bore testament to one of the past century’s most stunning economic success stories.

    Yet, amid the flag-waving children and the confetti, last month’s display reflected the military tensions that continue to haunt the Korean peninsula and which have been unresolved since its formal division in 1948. And while South Korea’s annual output has grown since then from an estimated $86 a head to $22,590 last year, it is gripped by a nervous debate over its path to continued economic development.

    #corée_du_sud #économie

  • 3D Robotics’ drone ambitions take off | Financial Times, September 26, 2013
    http://www.ft.com/intl/cms/s/0/36a771d4-26d0-11e3-9dc0-00144feab7de.html #paywall

    3D Robotics, a pioneer in selling low-cost drones to technology enthusiasts, has raised $30m in new funding as it scales up to focus on commercial applications for its unmanned flying vehicles.

    The deal, led by Foundry Group and True Ventures, is believed to be the largest venture-capital investment yet in a civilian drone company, after Airware raised $10.7m from Google Ventures and Andreessen Horowitz this year.

    #drones_civils

    While the multibillion-dollar drone market has been confined largely to military applications, several start-ups in #Silicon_Valley and beyond have begun to prepare for new rules allowing unmanned vehicles to fly in US airspace, expected in 2015.

    Farmers are already allowed to use drones on their own land to survey crops, he said, but wider use will have to wait until the Federal Aviation Authority grants permits.

    He said these could include search and rescue, delivery in urban areas, and as cameras for filming movies and sports.

  • Une crise aux multiples dimensions : profits et bonus pour quelques uns, chômage et baisse des salaires pour beaucoup d’autres
    http://cadtm.org/Une-crise-aux-multiples-dimensions

    Le 14 Décembre 2012, le président de la Banque centrale européenne M. Draghi, interrogé par le Financial Times sur la souffrance sociale infligée pas les cures d’austérité qu’il impose avec le FMI et l’UE en Europe, estime qu’ "abandonner maintenant (les politiques d’austérité), comme certains le suggèrent, reviendrait à gâcher les immenses sacrifices faits par les citoyens européens". Malgré l’échec retentissant de ces politiques, le président de la BCE, sacré "personnalité de l’année |2|" par le même quotidien de référence financière pour avoir « grandement contribué à l’apaisement des marchés financiers en zone euro » , ne tient pas à décevoir et veut donc poursuivre la voie néolibérale tracée par Friedman (destruction totale de l’Etat social, privatisation…) quel qu’en soit le coût humain. La perte de souveraineté des Etats à la solde des créanciers ne l’inquiète pas puisqu’il dit œuvrer pour son rétablissement : "Les pays avec un endettement et des déficits élevés devraient comprendre qu’ils ont perdu leur souveraineté sur leurs politiques économiques depuis longtemps dans un monde globalisé. Travailler ensemble dans une union orientée vers la stabilité signifie en fait regagner de la souveraineté |3|". Ainsi, nous regagnerions de la souveraineté dans une Union européenne qui a récemment reçu le prix Nobel de la paix sous les applaudissements de l’OTAN ? De quoi nous inquiétons-nous puisque l’on veille si bien sur nous ? Rappelons si besoin est, que le nouveau traité MES (mécanisme européen de stabilité) prévoit une totale immunité pour les actions prises dans ce cadre avec le droit qui lui est conféré de superviser les budgets de chaque Etat membre et d’infliger des amendes à ceux qui ne respectent pas les directives…de la BCE ; que de nouveaux gouvernements en Italie et en Grèce sont arrivés au pouvoir sans élection sous l’œil bienveillant de la BCE et de l’UE ; que dès mars 2012, les missionnaires de la Troïka (BCE-UE-FMI) se sont installé de manière permanente dans les ministères à Athènes pour fouiller dans les comptes publics. « Souveraineté » dites-vous M. Draghi ? En tout cas pas celle des peuples.

  • My departing advice on how to save Syria - FT.com
    http://www.ft.com/intl/cms/s/0/b00b6ed4-dbc9-11e1-8d78-00144feab49a.html#axzz22PEjOp82

    Dans une tribune du Financial Times, Kofi Annan explique les raisons de sa démission. Et il en rend responsable tous les acteurs internationaux, la Russie et la Chine, mais aussi les Etats-Unis, l’Arabie saoudite, la Turquie et la France.

    High quality global journalism requires investment. Please share this article with others using the link below, do not cut & paste the article. See our Ts&Cs and Copyright Policy for more detail. Email ftsales.support@ft.com to buy additional rights. http://www.ft.com/cms/s/0/b00b6ed4-dbc9-11e1-8d78-00144feab49a.html#ixzz22T36d9g0

    Sustained international support did not follow, however. The ceasefire quickly unravelled and the government, realising there would be no consequences if it returned to an overt military campaign, reverted to using heavy weapons on towns. In response I sought to re-energise the drive for unity in June by creating the international Action Group for Syria, establishing a framework for a transition to support Syrians’ efforts to move to a transitional governing body with full executive powers. Transition means a managed but full change of government – a change in who leads Syria and how. We left the meeting believing a Security Council resolution endorsing the group’s decision was assured – as the first in a series of measures that would signal a turning point. But since then, there has been no follow-through. Instead, there has been finger-pointing and name-calling in the Security Council.

    (...)

    It takes leadership to compromise to overcome the destructive lure of national rivalries. Joint action requires bilateral and collective efforts by all countries with influence over the actors on the ground in Syria, to press upon the parties that a political solution is essential.

    For Russia, China and Iran this means they must take concerted efforts to persuade Syria’s leadership to change course and embrace a political transition, realising the current government has lost all legitimacy. A first move by the government is vital, as its intransigence and refusal to implement the six-point peace plan has been the greatest obstacle to any peaceful political process, ensuring the distrust of the opposition in proposals for a negotiated transition.

    For the US, UK, France, Turkey Saudi Arabia and Qatar this means pressing the opposition to embrace a fully inclusive political process – that will include communities and institutions currently associated with the government. This also means recognising that the future of Syria rises and falls on more than the fate of just one man.

  • Les quotidiens aux mains des industriels (Le Monde)
    http://www.arretsurimages.net/vite.php?id=13038

    "La France est le seul pays industrialisé, avec l’Italie de Silvio Berlusconi, où de grandes entreprises de presse appartiennent à des industriels, et pas à des groupes de médias. A titre de comparaison, le Financial Times est la propriété du groupe Pearson et le Wall Street Journal de News Corp, deux éditeurs de presse.