company:mena

  • #MENTOR #ESCALE - Mozaïk 22/09-2018.
    http://www.radiopanik.org/emissions/mozaik/mentor-escale-mozaik-22-09-2018-

    Ce samedi 22 septembre entre 16:30 et 18:00, nous aurons le plaisir d’accueillir l’équipe de MENTOR ESCALE pour un entretien de 90 minutes.

    Avec la partiicipation d’Olivier Fagel (responsable communication), Fatima El Mourabiti (responsable du projet scolaire) et de Michaël Damman (responsable du pôle communautaire).

    " L’ASBL Mentor-Escale assure l’encadrement éducatif, social et psychologique indispensable aux Mineurs Etrangers Non Accompagnés (MENA).

    Nos objectifs sont :

    Favoriser l’autonomisation de ces jeunes Favoriser leur épanouissement et leur bien-être Favoriser le lien social Favoriser le développement d’une citoyenneté critique, activie, responsable et solidaire Favoriser l’accès des MENA à leurs droits sociaux Accompagner ces adolescents dans le (...)

    #ESCALE,MENTOR
    http://www.radiopanik.org/media/sounds/mozaik/mentor-escale-mozaik-22-09-2018-_05865__1.mp3

  • EN TUNISIE, L’EGALITE DEVANT L’HERITAGE ENCOURAGERAIT L’ENTREPRENEURIAT FEMININ (Le Monde Arabe-Mounira ELBOUTI-2018-12-04)

    Aujourd’hui, les Tunisiennes sont considérées comme « non capables d’assurer une succession appropriée », indique un entrepreneur tunisien.

    Fin novembre dernier, le Conseil des ministres adoptait le projet de loi consacrant l’égalité entre les femmes et les hommes devant l’héritage en Tunisie. Et dans la foulée, le président tunisien, Béji Caïd Essebsi, à l’origine de la réforme, le soumettait à l’Assemblée des représentants du peuple (ARP), qui ne devrait pas se prononcer dessus avant plusieurs mois. L’initiative, une première dans le monde arabe, résulte notamment des recommandations de la Commission des libertés individuelles et de l’égalité (COLIBE). Qui, en juin dernier, avait estimé que Tunis devait effectuer des réformes substantielles concernant l’égalité entre les sexes et les libertés individuelles dans le pays. Réformes qui, longtemps revendiquées par une partie de la société civile tunisienne, doivent in fine servir à remettre en cause le système patriarcal en Tunisie, largement fondé sur la subordination des femmes.
    Ce n’est pas un hasard si le « berceau » des printemps arabes a décidé de s’emparer le premier du sujet. Le pays accorde bien plus de droit aux femmes que tout autre dans la région, et permet depuis un an aux Tunisiennes de confessions musulmane, d’épouser des hommes non musulmans. Ce qui n’empêche pas une fracture, dans la société, entre les pro et les anti-égalité de genre devant l’héritage. (Le système actuel, fondé sur la loi islamique, permet généralement aux hommes d’hériter du double de ce qu’une femme recevrait.) Face aux vives critiques provenant, notamment, d’Ennahdha – le parti islamiste, qui dispose de 30 % des sièges parlementaires, est le seul à avoir annoncé son opposition au projet de loi -, le président tunisien a assorti son texte de quelques exceptions. Les familles désirant poursuivre sous le régime de la charia étant autorisées à le faire.

    « Dynamisme, prudence et conformité »

    Si l’adoption de la loi est fondamentale pour le droit des femmes – dont les revendications doivent nécessairement s’émanciper de la question de l’ « identité arabo-musulmane » afin d’être traitées sur le terrain des droits humains, nous expliquait Leïla Tauil, chercheure et spécialiste de la question féministe, en octobre dernier -, elle s’avère également très intéressante d’un point de vue économique.
    Au printemps dernier, la Société financière internationale, filiale de la Banque mondiale pour le secteur privé, a publié un rapport, intitulé « Miser sur les femmes en Tunisie », soulignant l’importance des prêts bancaires aux Tunisiennes pour l’économie du pays. Or, lors de l’évaluation d’un projet, les banques ne s’intéressent en général pas à sa qualité ni à celle de l’entrepreneur, mais aux garanties apportés par ce dernier. Et la loi sur l’héritage actuelle, qui réduit de facto l’autonomie économique des femmes, les empêche d’accéder à la propriété – les Tunisiennes ne sont que 12 % à posséder une maison et 14 % un terrain. Difficile, dans ces conditions, d’obtenir un prêt bancaire pour démarrer ou poursuivre une activité entrepreneuriale. Si bien que les femmes, en Tunisie, ne possèdent qu’entre 18 et 23 % des entreprises, selon le rapport de la Société financières internationale. Qui indique également que la différence de crédit combiné, pour les petites sociétés, entre les femmes et les hommes, atteint près de 600 millions de dollars…
    « Bien que la Tunisie dispose des lois les plus progressistes de la région en matière de droits des femmes […] cela ne s’est pas traduit proportionnellement par une participation économique à grande échelle des femmes », pointe du doigt le rapport de la Société financière internationale.
    Un sacré frein au développement de leur business, qui pourrait cependant être un peu plus lâche, si les Tunisiennes obtenaient davantage de biens, et donc de garanties, grâce à… un héritage égalitaire. La Société financière internationale l’a bien compris et incite vivement à accélérer les opportunités financières pour les Tunisiennes – et, globalement, toutes les citoyennes. D’autant plus que les établissements bancaires en sortiraient gagnants. Selon l’enquête de l’organisation internationale, les femmes seraient plus fidèles que les hommes à leur banque, à condition d’être traitées sur un même pied d’égalité et d’y recevoir des services satisfaisants. Sans compter que les entreprises qu’elles gèrent affichent de meilleurs résultats, et « sont connues, en particulier parmi les institutions de micro-finance, pour leur dynamisme, leur prudence et leur conformité ».

    Le paradoxe Ennahdha

    Interrogé sur l’impact de l’égalité entre femmes et hommes devant l’héritage en Tunisie, Wajdi Ben Rjeb, entrepreneur tunisien, estime que la loi donnerait « un coup de pouce au leadership féminin, par le biais de l’entrepreneuriat ou de la succession ». Aujourd’hui, explique-t-il, les femmes, souvent considérées comme « non prioritaires ou non capables d’assurer une succession appropriée », se voient attribuer « un héritage moins intéressant que leurs frères, aussi bien en terme de valeur que de potentiel ». Ce qui explique qu’il y a « peu de femmes aux commandes des entreprises familiales tunisiennes ayant passé le cap de la 2ème génération », dirigées plutôt par les fils. Un tropisme qui pourrait s’équilibrer avec la loi sur l’héritage, qui, selon Wajdi Ben Rjeb, « va apporter une égalité des chances en matière de succession et encouragera l’accès des femmes aux postes de haute direction et aux conseils d’administration des entreprises familiales. »
    Car cela n’est pas encore assez le cas. D’après l’OCDE (Organisation de coopération et de développement économiques), qui a publié en mars dernier un rapport sur l’économie tunisienne, en termes d’emplois, « les disparités hommes-femmes sont moins importantes que dans les autres pays MENA [Moyen-Orient et Afrique du Nord, ndlr] mais le taux d’emploi est bien plus faible pour les femmes que pour les hommes et les femmes occupent souvent des emplois moins qualifiés. » Et si les autorités tunisiennes, qui composent avec une embellie économique, veulent rendre la croissance davantage inclusive, elles doivent « favoriser le recrutement des femmes par des campagnes de sensibilisation sur les conséquences des choix éducatifs et de la formation sur les possibilités d’emploi et d’entrepreneuriat », estime l’OCDE.
    A charge pour Tunis, si la loi est adoptée à l’ARP, de faire progresser la notion d’entrepreneuriat féminin, en multipliant ainsi les initiatives éducatives pour aider les Tunisiennes à comprendre comment tirer parti de leurs nouveaux droits et atouts. Les débats, en raison des postures conservatrices d’une partie des politiques, promettent d’être mouvementés. Mais « le Parlement devrait adopter ce projet de loi et réaffirmer la place de la Tunisie comme leader régional dans le démantèlement de la discrimination juridique fondée sur le sexe », a déclaré Ahmed Benchemsi, directeur de la communication et du plaidoyer pour le Moyen-Orient et l’Afrique du Nord chez Human Rights Watch. Ce dernier de noter toutefois le paradoxe Ennahdha, luttant « contre l’égalité dans les lois relatives aux successions, alors que le parti a soutenu d’autres réformes en faveur des droits de femmes. » Réponse dans quelques mois.

  • Le Monde Arabe-26-11-2018 ; Stanislas TAIN*

    Selon l’UNICEF, la majorité des enfants défavorisés ne reçoivent ainsi « aucune forme d’aide gouvernementale ».

    En Irak, « le conflit et l’inégalité demeurent des caractéristiques fondamentales de l’enfance ». Voici ce qui ressort de la dernière étude approfondie de l’UNICEF sur le bien-être des enfants, rendue publique le 19 novembre dernier à Bagdad. Le Fonds des Nations unies pour l’enfance, en coopération avec les autorités irakiennes, profitait du lancement de sa sixième « enquête à indicateurs multiples » (MICS) – mécanisme créé dans les années 1990 afin d’aider les Etats à rassembler puis analyser des quantités de données – pour remettre son rapport, « le plus complet sur les enfants depuis 7 ans ». Et c’est peu dire que le pays, sous l’emprise de l’organisation Etat islamique (EI) ces trois dernières années, qui cherche à présent à se reconstruire – dans tous les sens du terme -, a fort à faire pour procurer un cadre de vie décent à l’ensemble de sa jeunesse.

    « Le fossé grandissant »
    Selon l’UNICEF, la majorité des enfants défavorisés ne reçoivent ainsi « aucune forme d’aide gouvernementale », ce qui a tendance, inévitablement, à creuser les écarts et les inégalités. En matière d’éducation notamment, où les besoins restent « immenses ». La moitié des écoles publiques d’Irak nécessitent par exemple une sérieuse réhabilitation, après des années de conflit, tandis qu’ « une école sur trois fonctionne par quarts multiples, ce qui réduit le temps d’apprentissage des enfants », déplore l’agence onusienne. Si 92 % d’entre eux sont inscrits à l’école primaire, seule un peu plus de la moitié des enfants défavorisés finiront le cycle primaire. L’écart se creusant même dans l’enseignement secondaire et supérieur, « où moins d’un quart [d’entre eux] obtiennent leur diplôme (23 %), contre les trois quarts des enfants issus de milieux plus aisés (73 %) ».
    « Les données indiquent clairement que les enfants les plus vulnérables en Irak sont ceux qui risquent le plus de prendre du retard, a ainsi déclaré Peter Hawkins, le représentant de l’UNICEF en Irak, qui regrette que les autorités irakiennes n’investissent pas plus dans l’éducation. Les gains durement gagnés pour mettre fin au conflit et assurer la transition vers un avenir stable pourraient être perdus sans investissements supplémentaires pour que tous les enfants puissent réaliser leur plein potentiel », ajoute-t-il. Selon l’UNICEF, Bagdad a besoin de 7 500 écoles supplémentaires, alors que pas moins de 1 000 établissement ont été entièrement ou partiellement détruits par les combats contre l’EI. Les heures de classes, de facto saturées, ne permettant pas aux élèves de progresser à la même vitesses que ceux dont la famille a davantage de moyens.
    « Le fossé grandissant entre ceux qui possèdent [des richesses, ndlr] et ceux qui n’en ont pas sème la discorde et sape les intérêts des enfants et de l’Irak. » Peter Hawkins, représentant de l’UNICEF en Irak.

    « L’avenir de ce pays »
    Résultat : « Quand la qualité s’effrite, les enfants quittent d’eux-mêmes l’école », accuse Peter Hawkins. Alors que, selon l’UNICEF, « la fréquentation régulière de l’école est un élément essentiel de la guérison de plus d’un million d’enfants qui auraient besoin d’un soutien psychosocial pour faire face aux blessures invisibles de la guerre ». D’autres, bien visibles, outre les carences de l’éducation nationale, concernant les problèmes liés à la santé, toujours selon le rapport de l’agence onusienne. Si l’Irak a accompli des progrès notables dans le domaine de la santé des nouveau-nés et des enfants (14 décès au cours des premiers mois pour 1 000 naissances), « les défi surgissent peu après la naissance », pointe-t-elle du doigt. Seuls 4 enfants sur 10 sont entièrement vaccinés, par exemple, quand moins de 40 % de la population a accès à l’eau potable à domicile. Ce qui expose les enfants à un risque grave de maladies d’origine hydrique.
    Pourtant, il fut un temps où l’Irak était l’un des meilleures endroits de la région Moyen-Orient/Afrique du Nord (MENA) pour être un enfant, indiquait l’UNICEF en présentation de la quatrième enquête MICS, menée en 2011. Sauf que, « depuis les années 1970, le pays a perdu de l’élan et a pris beaucoup de retard. Si l’Irak avait progressé au même rythme que de nombreux autres pays, il aurait atteint en 2011 un certain nombre de ses objectifs. » Notamment en ce qui concerne la scolarisation, la mortalité infantile et l’accès à l’eau potable, trois programmes qui n’ont pas beaucoup évolué depuis. « Alors que l’Irak dépasse la violence des dernières années et se forge une nouvelle vie, il doit donner la priorité au bien-être de tous les enfants […] qui sont l’avenir de ce pays », a martelé Peter Hawkins.

    « Beaucoup de beaux discours »
    Le représentant de l’UNICEF en Irak de critiquer, à demi-mots, les gouvernement successifs, qui n’ont pas su (ou pu) faire évoluer les choses. Pourtant, « avec le bon engagement et les bonnes politiques en place, le gouvernement irakien peut faire une différence », explique-t-il. L’agence onusienne a d’ailleurs demandé aux autorités irakiennes d’investir dans des services qui profitent à des enfants touchés par le conflit et la pauvreté. Ainsi que « d’œuvrer pour mettre fin à toutes les formes de violence contre les enfants ». Quelques jours après la publication du rapport de l’UNICEF, au sud de Mossoul, 4 adolescents ont péri dans l’attaque du camion qui les menait à l’école. Un événement qui « pourrait compromettre les efforts considérables déployés pour ramener les enfants à l’école dans les zones où la violence était la plus forte », a notamment affirmé M. Hawkins dans un communiqué.

    En matière de scolarisation comme de santé et de sécurité, il y a donc urgence à agir, selon l’ensemble des observateurs. Problème : le tout nouveau Premier ministre, Adel Abdel Mahdi, dont l’arrivée au pouvoir tient davantage du compromis politique, ne dispose pas de base très solide pour engager des réformes. Et la première d’entre elles concernera vraisemblablement la corruption, qui gangrène le pouvoir et contre laquelle les Irakiens ont d’ailleurs manifesté ces dernières semaines. « De manière générale, nous avons eu depuis 2003 des politiciens qui pensaient à leurs intérêts personnels avant l’intérêt à long terme du pays », explique le journaliste franco-irakien Feurat Alani, interrogé sur la probabilité de voir le gouvernement engager des réformes pour la jeunesse. « Il y a beaucoup de beaux discours sur la réconciliation nationale, l’éducation, les besoins du quotidien. Mais les Irakiens, dans leur majorité, n’en ont pas vu la couleur. »

  • Décès de l’acteur égyptien Nour El-Sherif des suites d’une longue maladie
    http://www.atlasinfo.fr/Deces-de-l-acteur-egyptien-Nour-El-Sherif-des-suites-d-une-longue-maladie_

    L’acteur égyptien Nour El-Sherif est décédé mardi à l’âge de 74 ans des suites d’une longue maladie, rapporte l’agence MENA.

    De son vrai nom, Mohamad Jaber Mohamad Abdallah, Nour El-Sherif est né le 28 avril 1946 dans le quartier populaire de Sayeda Zainab au Caire, d’une famille originaire du gouvernorat d’Al Menya. Il est diplômé de l’Institut supérieur des arts dramatiques dont il fut le major de la promotion en 1967.

    […]

    Le défunt s’est illustré par de nombreux rôles dans le cinéma et la télévision, le propulsant comme une grande star dans le monde arabe.

    « Al Massir », « L’escadron de la mort », « Al Karnak », « l’Immeuble Yakoubian », « Naji Al Ali », sont autant de films qui ont mis en valeur son talent.

    A la télévision, il a campé les premiers rôles dans plusieurs feuilletons comme « Haroun Arrachid », « Omar Ibn Abdelaziz », « Lan Aaicha fi jilbabi abi », « La famille de Haji Metwalli », et « Addali », entre autres.

  • L’Egypte nomme un ambassadeur en Israël, une première depuis 2012 - Mena/Reuters/Al Ahram

    http://english.ahram.org.eg/News/133368.aspx

    L’Égypte a désigné dimanche un ambassadeur en Israël, le premier depuis 2012, témoignant du réchauffement des relations entre deux pays qui perçoivent le Hamas comme une menace pour leur sécurité.

    L’ancien président Mohamed Morsi, membre de la confrérie dont le Hamas est présenté comme une émanation, avait rappelé l’ambassadeur égyptien en novembre 2012 après une attaque de l’armée israélienne lors de laquelle le chef militaire du Hamas avait trouvé la mort. « Le président Abdel Fattah al Sissi a signé un décret présidentiel désignant de nouveaux diplomates à l’étranger, dont l’ambassadeur Hazem Khaïrat en tant qu’ambassadeur à Tel Aviv », a rapporté dimanche l’agence de presse Mena.

    « Nous avons été informés par les autorités égyptiennes qu’elles envoyaient un ambassadeur en Israël », a déclaré dimanche le Premier ministre israélien Benjamin Netanyahu lors d’une conférence de presse organisée avec le ministre français des Affaires étrangères, Laurent Fabius.

  • L’Egypte va accueillir le Forum économique mondial de la région MENA en 2016 - Al Ahram

    Egypt will host the next World Economic Forum on the Middle East and North Africa at Sharm El-Sheikh in May 2016, President Abdel-Fattah El-Sisi announced Friday in a speech at this year’s forum in Jordan.

    This year’s forum is entitled “Creating a Regional Framework for Prosperity and Peace through Public-Private Cooperation."

    King Abdullah of Jordan gave the opening address on Friday, telling delegates that now is the time for “everyone’s participation in development,” adding that “Jordan is the gate to the future of economy in the region.”

    Also on Friday, El-Sisi invited the executive chairman of the World Economic Forum, Klaus Schwab, to attend the opening of the new waterway in the Suez Canal in August, reported state-owned news agency MENA.

    Egypt is currently digging a second waterway parallel to part of the existing one in the Suez Canal, a project which is expected to more than double the canal’s revenues.

    In March, Sharm El-Sheikh hosted top business leaders and delegations at the country’s economic development conference.

  • La cigarette électronique, alternative inoffensive ou nouveau produit dangereux ?
    http://www.bastamag.net/La-cigarette-electronique

    Apparue il y a quatre ans, la cigarette électronique et ses volutes de vapeur garanties sans goudron ni cancérogènes inondent le marché. Au point d’apparaître, y compris pour une partie des milieux médicaux, comme une alternative possible au tabac, dont la consommation continue de tuer, en France, près de 73 000 personnes par an. Mais le risque existe aussi d’une banalisation de l’e-cigarette, ouvrant la porte à de nouvelles formes de dépendance à la nicotine. Cela d’autant plus que les majors du (...)

    #Décrypter

    / A la une, Santé , #Société_de_consommation, Menaces sur la #Santé_publique, #Enquêtes

    #Menaces_sur_la_santé_publique

    • Intéressant.
      Le principal enseignement, c’est que les consommateurs sont actuellement les cobayes.

      Ensuite, de ce que j’ai pu voir autour de moi, la e-cigarette a l’avantage d’éliminer les composants toxiques créés par la combustion et de ne plus y exposer l’entourage.
      Par contre, pour ce qui est de réduire la dépendance à la nicotine, vous pouvez tous vous rhabiller. L’absence d’irritation due à la combustion et la facilité d’usage du produit (à priori, on peut vapoter partout sans déranger personne) font que la quantité de nicotine inhalée a tendance à augmenter avec le temps. Et la dépendance avec.

      Le seul avantage produit que j’y vois, c’est qu’on peut acheter le solvant pur et y ajouter les molécules de son choix...

    • Interview de Jean-Pol Tassin « nicotine et dépendance »

      Tabac et addiction
      Entretien avec Jean-Pol Tassin

      http://lettre-cdf.revues.org/283
      http://lettre-cdf.revues.org/282

      « En 1995, Yvan Berlin, pour étudier l’effet des antidépresseurs, mène une étude comparant un groupe de sujets recevant des antidépresseurs avec un groupe de contrôle qui n’en reçoit pas. Il s’appuie sur la mesure d’un métabolite dans les urines. Les résultats sont inattendus : dans le groupe de contrôle, sur environ 50 sujets, 25 ont un taux de 100 et 25 ont des taux de 50. Perplexe, il cherche comment expliquer cette anomalie, recherche des biais dans le recrutement de ses sujets, etc., pour s’apercevoir finalement qu’il n’y a qu’un seul paramètre qu’on puisse corréler avec ces résultats, c’est le fait que les sujets sont fumeurs ou non. Mais ce n’est pas la nicotine qui explique cette différence de concentration. Or parmi les 3 000 constituants présents dans le tabac, il y a des inhibiteurs de la monoamine-oxydase, les IMAO, qui semblent avoir un rôle important. Berlin identifie ces inhibiteurs de la monoamine-oxydase comme étant à l’origine des effets qu’il a constatés. Voilà l’état des lieux au moment où mon équipe se met à travailler sur cette question. Il y a la nicotine qui au niveau expérimental ne marche pas comme le prédit le modèle dominant, il y a la présence simultanée dans le tabac de nicotine et d’inhibiteurs de la monoamine-oxydase et le fait que le tabac est un produit au potentiel addictif particulièrement élevé. Dans le classement du potentiel addictif, le tabac arrive en tête, suivi par l’héroïne, la cocaïne, l’amphétamine et l’alcool, etc. Le tabac produit un taux d’addiction de 22 %. »

  • Morsi detained for four days for »insulting judiciary«

    http://www.dailynewsegypt.com/2013/09/07/morsi-detained-for-four-days-for-insulting-judiciary

    Former President Mohamed Morsi was detained for four days pending interrogation on charges of insulting the judiciary. The detention decision was taken by the investigative body assigned to interrogate Morsi on Saturday morning, state-owned news agency MENA reports.

    (...)

    The judges interrogating Morsi, accused him of insulting the judiciary in his speech on 26 June 2013. In the speech, Morsi accused Judge Ali El-Nemr and 22 other judges of forging the 2005 Parliamentary Elections. The charges against El-Nemr and the other judges are yet to be proven.

    The ousted president also faces charges of attempted influence on the court trying former presidential candidate Ahmed Shafiq, and interfering in the General Prosecution’s affairs.

  • Egypte: ElBaradei nommé Premier ministre
    http://www.romandie.com/news/n/_Egypte_ElBaradei_nomme_Premier_ministre__RP_060720132125-29-378585.asp

    LE CAIRE - Mohamed ElBaradei a été nommé samedi Premier ministre de l’Egypte, trois jours après le coup militaire qui a renversé Mohamed Morsi, a annoncé le mouvement Tamarrod, à l’origine de l’importante mobilisation qui a conduit à l’éviction du président islamiste par l’armée.

    Une source militaire a précisé à l’AFP que M. ElBaradei, ancien chef de l’Agence internationale de l’énergie atomique (AIEA), allait prêter serment dans la soirée.

    L’agence officielle Mena a de son côté indiqué que M. ElBaradei avait rencontré le président intérimaire Adly Mansour.

    Aya Hosni, membre du comité central de Tamarrod, a indiqué à l’AFP que le président intérimaire et Tamarrod avaient convenu que Mohamed ElBaradei serait nommé Premier ministre, qu’Ahmad Gamal el-Din, un ancien ministre de l’Intérieur, serait chargé des affaires sécuritaires et que l’économiste Ahmad al-Naggar serait nommé ministre des Finances.

    L’opposition, dont Tamarrod, avait chargé mardi M. ElBaradei de la représenter dans la transition politique, après l’éviction de M. Morsi.

  • Egypte : les membres des forces de sécurité enlevés dans le Sinaï ont été libérés

    http://www.lemonde.fr/afrique/article/2013/05/22/egypte-les-membres-des-forces-de-securite-enleves-dans-le-sinai-ont-ete-libe

    Trois policiers égyptiens et quatre soldats enlevés la semaine dernière dans la péninsule du Sinaï ont été libérés mercredi 22 mai, a indiqué l’armée. « Les sept [personnes] sont en route pour Le Caire après leur libération, obtenue grâce aux efforts des renseignements militaires égyptiens en coordination avec des chefs tribaux dans le Sinaï », a indiqué le porte-parole de l’armée, Ahmed Ali, dans un communiqué publié par l’agence officielle Mena.

  • Égypte : nouveaux heurts près du siège des Frères musulmans | Haitham EL-TABEI | Égypte
    http://www.lapresse.ca/international/dossiers/crise-dans-le-monde-arabe/egypte/201303/22/01-4633806-egypte-nouveaux-heurts-pres-du-siege-des-freres-musulmans.php

    Publié le 22 mars 2013

    Des heurts ont opposé vendredi des manifestants de l’opposition à des membres des Frères musulmans et à la police près du siège de la confrérie en banlieue du Caire, devenu la cible de la colère des opposants aux islamistes au pouvoir.

    Plus de 120 personnes ont été blessées dans les violences, a annoncé à l’agence officielle Mena le responsable des services de secours, Mohammed Soltane.

    En soirée, plusieurs groupes de manifestants se trouvaient toujours aux abords du siège des Frères musulmans, situé sur la colline du Moqattam, dans la banlieue de la capitale, et placé sous forte protection de la police antiémeute en prévision de la manifestation.

    Plus tôt, des manifestants avaient arrêté et battu trois sympathisants islamistes, dont deux ont été dévêtus, a rapporté un journaliste de l’AFP sur place. Ils ont aussi stoppé une ambulance qui transportait un membre des Frères musulmans blessé et l’ont détenu.

    Quatre bus affrétés pour transporter des membres de la confrérie islamiste jusqu’au siège ont en outre été brûlés.

    En face, des partisans des Frères musulmans ont tiré à la chevrotine, a constaté le journaliste de l’AFP.

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    Égypte : pour les Frères musulmans, l’opposition a échoué

    Publié le 23 mars 2013
    http://www.lapresse.ca/international/dossiers/crise-dans-le-monde-arabe/egypte/201303/23/01-4634089-egypte-pour-les-freres-musulmans-lopposition-a-echoue.php

    Un important dirigeant des Frères musulmans, dont est issu le président égyptien Mohamed Morsi, a accusé samedi l’opposition de recourir à la violence après s’être révélée incompétente en politique, au lendemain d’affrontements violents devant le siège de la confrérie.

    L’adjoint du Guide suprême de la confrérie, Rachad al-Bayoumi, a qualifié de « tragédie » les violents affrontements qui ont éclaté vendredi entre des manifestants de l’opposition et des islamistes et qui ont fait plus de 160 blessés, près du siège des Frères musulmans dans le quartier du Moqattam.

    « Si (ces violences) prouvent quoi que ce soit, c’est le caractère vil (des manifestants). Je tiens pour politiquement et légalement responsables ceux qui ont appelé à de telles manifestations », a affirmé à l’AFP M. Bayoumi.

    « Cela révèle leur échec à mener une confrontation politique propre », a-t-il ajouté.

  • L’Arabie séoudite fusille 7 hommes en public
    http://www.telegraph.co.uk/news/worldnews/middleeast/saudiarabia/9927288/Saudi-Arabia-executes-seven-men-in-public-by-firing-squad.html

    International rights groups had protested that the men – now aged between 20 to 24 years old according to news website sabq.org – were condemned for crimes committed when they were juveniles.

    “It is a bloody day when a government executes seven people on the grounds of ’confessions’ obtained under torture, submitted at a trial where they had no legal representation or recourse to appeal,” said Amnesty’s MENA director Philip Luther.

    They claimed their relatives were also “threatened with torture if they withdrew their ’confessions’,” said Amnesty.

  • L’état d’urgence levé près de trente ans après son instauration - #ÉGYPTE - FRANCE 24
    http://www.france24.com/fr/20120531-egypte-politique-militaire-liberte-publique-hosni-moubarak-etat-u

    L’armée « continuera à assumer la responsabilité nationale de protéger la sécurité de la nation et des citoyens (...), compte tenu de la fin de l’état d’urgence et conformément à la déclaration constitutionnelle et à la loi », a indiqué le Conseil suprême des forces armées (CSFA) dans un communiqué publié par l’agence officielle Mena.

    L’armée jouera ce rôle jusqu’à la remise du pouvoir à un président élu d’ici la fin juin, a ajouté la junte militaire. Les Egyptiens doivent de nouveau se rendre aux urnes les 16 et 17 juin pour le second tour de l’élection présidentielle.

    « L’état d’urgence s’est terminé aujourd’hui », a indiqué de son côté la télévision publique.

    Cette loi d’exception avait été imposée après l’assassinat du président Anouar al-Sadate en 1981 par des islamistes. Elle avait été depuis reconduite sans discontinuer, pour la dernière fois en 2010 pour deux ans, jusqu’au 31 mai 2012.

  • Egypte : le gouvernement démissionne
    http://www.romandie.com/news/n/_Egypte_le_gouvernement_demissionne_211120112011.asp

    Egypte : le gouvernement démissionne

    Le CAIRE - Le gouvernement égyptien a annoncé lundi soir avoir présenté sa démission au Conseil suprême des forces armées (CSFA) au pouvoir depuis le départ du président Hosni Moubarak en février, a annoncé son porte-parole Mohamed Hijazi, cité par l’agence officielle Mena.

    M. Hijazi a déclaré que cette démission avait été décidée vu les circonstances difficiles que traverse actuellement le pays, selon la Mena.

  • Des Nouvelles Du Front » Les affrontements se poursuivent en Egypte
    http://dndf.org/?p=10855

    LE CAIRE (Reuters) – Des manifestants continuaient dimanche de s’opposer aux forces de l’ordre sur la place Tahrir du Caire, au lendemain d’une journée d’affrontements ayant fait deux morts et près de 800 blessés.

    Dans des scènes qui n’étaient pas sans rappeler la révolution de février qui a chassé Hosni Moubarak du pouvoir, des centaines de jeunes Egyptiens ont scandé « le peuple veut la chute du régime », réclamant à l’armée un transfert rapide des pouvoirs.

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    Un homme de 23 ans a été tué par balle au Caire, un autre à Alexandrie, et 766 personnes ont été blessées selon le ministère de la Santé cité par l’agence de presse officielle Mena.

    Un responsable des forces de sécurité a assuré que la police n’avait pas tiré à balles réelles et que l’armée était restée en dehors des affrontements.
    dimanche 20 novembre 2011 12h28