company:twitter france

  • Atteinte à la vie privée : le cabinet de Schiappa a-t-il fait bloquer des comptes Twitter ?
    https://www.liberation.fr/checknews/2019/05/29/atteinte-a-la-vie-privee-le-cabinet-de-schiappa-a-t-il-fait-bloquer-des-c

    Plusieurs internautes ont vu leur compte suspendu après avoir partagé un article de CheckNews qui montrait, dans un premier temps, une photo non floutée du domicile de la ministre.

    [...]

    Que s’est-il passé ? Plusieurs membres du cabinet de Marlène Schiappa ont bien signalé à Twitter un certain nombre d’internautes qui avaient partagé notre article. Comme nous l’a confirmé ce matin le cabinet de la ministre, par téléphone. Comment s’y sont-ils pris ? Via la procédure classique, qui permet à tout internaute de signaler n’importe quel tweet, au motif que celui-ci pourrait enfreindre les règles d’utilisation de Twitter. D’abord en indiquant le genre d’incident :

    [...]

    Le cabinet de Schiappa indique aussi à CheckNews avoir été en contact avec Twitter France hier. « On les a prévenus qu’on signalait tous les tweets qui ne respectaient pas la vie privée et la sécurité de la ministre », détaille simplement un membre du cabinet. Comment les internautes dont le compte a été temporairement suspendu, ont-ils été avertis ? Par un mail, leur expliquant que leur publication avait « enfreint les règles de Twitter ».

    L’idée que tu te fasses bloquer ton compte simplement parce que tu as partagé un article du site « anti-fake news » de Libération, c’est assez miraculeux...

  • Christophe Castaner et la Pitié-Salpêtrière : premier désaveu pour la loi sur les « infox »
    https://www.lemonde.fr/politique/article/2019/05/22/premier-desaveu-pour-la-loi-sur-les-infox_5465717_823448.html

    Les plaignants qui dénonçaient les propos du ministre de l’intérieur sur Twitter, alors que ce dernier parlait d’attaque contre l’hôpital le 1er mai, ont été déboutés par la justice.

    Baptême du feu pour la loi sur les infox, censée lutter contre la diffusion de fausses nouvelles et promulguée le 23 décembre 2018. Désireux de prendre le gouvernement à son propre jeu, deux parlementaires du Parti communiste (PCF), le sénateur des Hauts-de-Seine Pierre Ouzoulias et la députée européenne Marie-Pierre Vieu, ont voulu démontrer que « la loi sur les fausses nouvelles qui devait tout régler ne règle rien ».

    Ils ont ainsi attaqué devant le tribunal de grande instance de Paris les déclarations faites sur le réseau social Twitter le 1er mai par Christophe Castaner après l’entrée de manifestants dans un hôpital parisien.

    « Ici, à la Pitié-Salpêtrière, on a attaqué un hôpital. On a agressé son personnel soignant. Et on a blessé un policier mobilisé pour le protéger. Indéfectible soutien à nos forces de l’ordre : elles sont la fierté de la République », avait tweeté le ministre de l’intérieur. Ces déclarations avaient ensuite été démenties par les faits : l’événement reconstitué par différents journaux, dont Le Monde, avait finalement peu à voir avec la version du ministre. Ce dernier en avait d’ailleurs convenu, reconnaissant que le terme « d’attaque » n’était pas approprié.

    S’emparant de cette infox, les deux parlementaires ont assigné en référé Twitter devant le tribunal de grande instance de Paris, enjoignant au réseau social de supprimer le Tweet de Christophe Castaner, et ce, afin de « faire cesser la diffusion d’allégations ou d’imputations présentées comme inexactes et trompeuses ».

    Dans un jugement rendu le 17 mai, le tribunal a débouté les plaignants, ce qui était précisément le but recherché. « Nous voulions démontrer par l’absurde – ce qui est parfois comme en mathématiques la méthode la plus efficace – que cette loi ne servait à rien », explique Pierre Ouzoulias, qui rappelle que le Sénat avait « refusé deux fois – à l’exception des sénateurs La République en marche – de discuter du texte [par une procédure de renvoi en commission]. Au mieux, il était inutile, au pire liberticide ».

    Pourquoi s’en être pris à Christophe Castaner ? « Au Sénat, on nous a présenté cette loi comme une façon de mettre fin aux ingérences de la Russie. On voit bien que l’ingérence peut venir d’ailleurs. » En s’emparant de cette affaire, les juges rappellent les conditions drastiques d’application de cette loi, qui ne peut s’exercer que pendant les périodes électorales.

    Sur la fausseté de l’information, le tribunal a tout d’abord jugé que, si « le message de Christophe Castaner apparaît exagéré (…), cette exagération porte sur des faits qui, eux, sont réels. (…) La condition selon laquelle l’allégation doit être manifestement inexacte ou trompeuse n’est pas remplie. »

    Ensuite, il aurait fallu que la diffusion du « Tweet litigieux » soit « cumulativement massive, artificielle ou automatisée ». Autrement dit, Christophe Castaner aurait par exemple dû acheter de la publicité à Twitter pour accroître la caisse de résonance de son message. Or, les juges n’ont trouvé aucun « élément démontrant l’utilisation de tels procédés ».

    Enfin, le juge des référés devait « apprécier le caractère manifeste du risque d’altération de la sincérité du scrutin, lié à la diffusion de ce Tweet », et ce, à quelques semaines alors seulement des élections européennes, qui se tiendront le 26 mai.

    Au final, grâce aux différentes versions de l’événement relatées dans les journaux, « chaque électeur [a pu] se faire une opinion éclairée, sans risque de manipulation ». Cette dernière condition du texte est par essence absurde, selon Pierre Ouzoulias : « Jamais personne ne pourra prouver qu’une fausse nouvelle puisse avoir de l’influence sur un scrutin qui ne s’est pas encore déroulé. »

    Dernière difficulté, le tribunal a jugé que Twitter France n’était pas l’entité à saisir. Les plaignants auraient dû se tourner vers Twitter Irlande. Or, dans la mesure où c’est une société étrangère, cela freine la « procédure d’urgence ». « Le texte montre surtout qu’il faut une véritable régulation des contenus sur les réseaux sociaux », conclut M. Ouzoulias.

  • @ECiotti devient la risée de Twitter France
    https://gauchedecombat.net/2016/09/13/eciotti-devient-la-risee-de-twitter-france

    Sur twitter, on a l’habitude des déclarations grotesques du petit personnage à tête de gland qui lui seul se prend au sérieux alors qu’il n’est qu’un médiocre réac parmi d’autres qui ne brille franchement pas par son intelligence supérieure… Aussi, quelle ne fut pas notre joie de voir l’arroseur arrosé, pris en flagrant délit d’hypocrisie… … Lire la suite de @ECiotti devient la risée de Twitter France

    http://0.gravatar.com/avatar/9faa4d044bbecc32a5bef02aba121599?s=96&d=&r=G

  • Cette image de la manif de NDDL


    http:// pbs.twimg.com/media/CcPZFDLXIAELiSv.jpg
    ne s’affichait pas dans la page que je consultais si je n’autorisais pas les javascripts de l’article que je tentais de lire :

    http://www.francetvinfo.fr/politique/notre-dame-des-landes/aeroport-de-notre-dame-des-landes-plus-de-10-000-opposants-manifestent-

    Je me suis donc demandé quand j’envoie une requête pour voir une page de francetvinfo pourquoi j’ai une image d’un sous-domaine de twimg.com. Bon, ok, c’est un cdn, c’est à dire que cela permet de charger plus rapidement le site en mettant sur une autre adresse les images et les scripts (ce que fait google quand il distribue ses codes js, ses polices etc) Bref, curieuse, je me suis demandée qui était twimg.com à part le cdn de twitter et impossible de trouver de plus amples infos, à part un peu sur Alexa (si vous trouvez mieux, je prends).

    C’est pas bien grave que tu veuilles pas autoriser l’accès à twimg, me direz-vous, t’as qu’à te passer des images dans ton article, t’as qu’à plus y aller ou sinon autorise leurs js externes qui potentiellement vont te sniffer ton IP et calculer ton temps de lecture, recroiser tout ça avec les recherches que tu viens de faire. Ou sinon utilise TOR (vous n’aurez pas tort d’ailleurs) et tu seras tranquille.
    Ah, oui, c’est une solution, utiliser TOR ou ne pas y aller, ne pas profiter de ce que je crois être un service public, et me dire que si moi je sais me protéger tout va bien, oui, mais, et les autres qui continuent à ignorer comment ça tourne ? (même si de ce côté là, je suis pas super fortiche et tant mieux, je ne veux pas l’être) Certains parlaient d’un internet avec des moufles, entendez par là, ah quoi bon s’occuper des newbies, et pourtant, j’ai envie d’essayer de partager mon indignation.
    Je remonte donc avec un whois sur #francetvinfo.fr pour m’apercevoir que ce nom de domaine est réservé chez Ascio Technologies Inc. Danmark - filial af Ascio Technologies Inc. USA

    J’arrête là mon investigation, je ne suis pas journaliste, je veux juste montrer l’asservissement des services publics (ou de l’information d’Etat) aux boites américaines de type GAFA.

    Je me suis dit que j’allais tenter, même si je n’ai pas de compétences techniques très évoluées, essayer de lever avec mes petites moufles un coin du rideau.

    #AFPphoto
    #féodalisme
    #France_Televisions
    #Deus_ex_web

    • Avec 500 millions de Tweets diffusés par jour, Twitter offre de nombreuses opportunités pour les marques afin de répondre à leurs objectifs marketing.

      Pour vous permettre de capitaliser sur le potentiel de Twitter, les équipes de Twitter France viennent à votre rencontre à partir de ***** afin de vous proposer des ateliers de formation sur-mesure.

      #notre_bon_saigneur

  • Suite des Attaques informatiques :

    Le Monde et Le Nouvel Observateur solidaires de Rue89
    Eric Chol, directeur de la rédaction de Courrier international, Matthieu Croissandeau, directeur de la rédaction du Nouvel Observateur, Jean-Pierre Denis, directeur de la rédaction de La Vie, Pierre Haski, président de Rue89, Fabienne Pascaud, directrice de la rédaction de Télérama, Anne Sinclair, directrice éditoriale du Huffington Post, Gilles Van Kote, directeur du Monde, Le Monde, le 11 août 2014
    http://www.lemonde.fr/actualite-medias/article/2014/08/10/attaques-informatiques-le-monde-et-le-nouvel-observateur-solidaires-de-rue89

    Le hacker Ulcan chassé de Twitter
    France Info, le 12 août 2014
    http://www.franceinfo.fr/emission/france-info-numerique/2014-ete/le-hacker-ulcan-chasse-de-twitter-08-12-2014-17-50