country:république centrafricaine

    • Ces réfugiés dans leur propre pays

      En 2018, il y a eu autant de nouveaux « déplacés internes » dans 55 pays que de réfugiés en séjour dans le monde entier.

      A voir le nombre de personnes exilées à l’intérieur de leur propre pays, celui des réfugiés paraît faire moins problème. A fin 2018, le nombre de réfugiés recensés dans le monde entier atteignait 28,5 millions, soit autant que celui des « déplacés internes » supplémentaires enregistrés au cours de la seule année dernière.

      Selon le Rapport global 2019 de l’Observatoire des situations de déplacement interne (IDMC) du Conseil norvégien des réfugiés, dont le siège se trouve à Genève, on comptait, à fin 2018, 41,3 millions de personnes vivant en situation de déplacés internes dans 55 pays, suite à des catastrophes naturelles ou à des conflits. Il s’agit d’un effectif record de personnes déplacées dans leur propre pays du fait de conflits, de violence généralisée ou de catastrophes naturelles.
      Catastrophes naturelles

      Parmi les désastres qui ont provoqué l’an dernier quelque 17,2 millions de nouveaux déplacements, certains sont très probablement dus au changement climatique. Ainsi, les incendies qui ont détruit une grande partie de la forêt californienne et qui ont contraint 1,2 million d’Américains – sans compter les morts – à abandonner leur domicile et à s’installer ailleurs peuvent probablement être attribués au réchauffement climatique et à la sécheresse.

      Au contraire, le Bangladesh n’a enregistré l’an dernier « que » 78’000 déplacements de personnes en raison des inondations. C’est presque l’équivalent de la population de la ville de Lucerne qu’il faut recaser sur des terrains sûrs dans un pays comptant 1’100 habitants au kilomètre carré. Le Bangladesh prévoit de construire trois villes de taille moyenne pour accueillir les déplacés récents et ceux qui ne vont pas manquer d’affluer dans les années à venir. Mais que pourra-t-on faire lorsque le niveau de la mer montera ?

      Au Nigeria, cet immense pays de plus de 100 millions d’habitants, 80% des terres ont été inondées par des pluies torrentielles, causant 541’000 déplacements internes.

      Problème : les personnes qui, en raison d’inondations ou de conflits locaux, doivent chercher refuge ailleurs dans leur propre pays se rendent systématiquement dans les villes, souvent déjà surpeuplées. Comment imaginer que Dhaka, la capitale du Bangladesh récemment devenue une mégapole approchant les 17 millions d’habitants, puisse encore grandir ?
      Violences et conflits

      En 2018 toujours, 10,8 millions de personnes ont connu le sort des déplacés internes en raison des violences ou des conflits qui ont sévi surtout dans les pays suivants : Ethiopie, République démocratique du Congo (RDC), Syrie, Nigeria, Somalie, Afghanistan, République centrafricaine, Cameroun et Soudan du Sud. Outre ces mouvements internes, des personnes sont allées chercher secours et refuge notamment en Turquie (3,5 millions), en Ouganda (1,4 million) ou au Pakistan (1,4 million).

      Les trois pays qui comptent le plus de déplacés internes dus à la violence sont la Syrie, (6,1 millions de personnes), la Colombie (5,8 millions) et la RDC (3,1 millions). S’agissant de la Syrie, nous savons que la guerre civile n’est pas terminée et qu’il faudra faire des efforts gigantesques pour reconstruire les villes bombardées.

      Mais que savons-nous de la Colombie, depuis l’accord de paix entre le gouvernement de Santos et les Farc ? En 2018, il y a eu 145’000 nouveaux déplacés internes et de nombreux leaders sociaux assassinés : 105 en 2017, 172 en 2018 et 7, soit une personne par jour, dans la première semaine de janvier 2019.

      L’Assemblée nationale colombienne ne veut pas mettre en œuvre les accords de paix, encore moins rendre des terres aux paysans et accomplir la réforme agraire inscrite à l’article premier de l’accord de paix. Les Farc ont fait ce qu’elles avaient promis, mais pas le gouvernement. Ivan Duque, qui a remplacé Manuel Santos, s’est révélé incapable de reprendre le contrôle des terrains abandonnés par les Farc – et repris par d’autres bandes armées, paramilitaires ou multinationales, ou par des trafiquants de drogue. Triste évolution marquée par une insécurité grandissante.

      Et que dire de la RDC ? C’est au Kivu, Nord et Sud, véritable grotte d’Ali Baba de la planète, que les populations sont victimes de bandes armées s’appuyant sur diverses tribus pour conserver ou prendre le contrôle des mines riches en coltan, diamant, or, cuivre, cobalt, étain, manganèse, etc. Grands responsables de ces graves troubles : les téléphones portables et autres appareils connectés à l’échelle mondiale ainsi que les multinationales minières.

      Il y a probablement bien d’autres pays de la planète où les violences sont commises par des multinationales qui obligent les habitants locaux à fuir devant la destruction de leurs villages et de leurs terres. Où vont-ils se réfugier ? Dans les villes bien sûr, où ils espèrent trouver un toit. Mais un toit ne suffit pas, ni l’éventuelle aide humanitaire apportée par la Croix-Rouge et les Etats occidentaux. Quand débarquent des dizaines de milliers de déplacés, les municipalités doivent aussi construire des écoles, des hôpitaux, assurer la distribution d’eau potable et l’évacuation des eaux usées.

      Dans les pays africains où il arrive que moins de la moitié des habitants aient accès à l’eau potable, un déplacement important risque fort de remettre en cause tout le programme gouvernemental. Le rapport de l’Observatoire des situations de déplacement interne va même jusqu’à prévoir que certains des Objectifs de développement durable fixés par les Nations unies en 2015 ne pourront jamais être atteints.


      https://www.domainepublic.ch/articles/35077

    • Displaced people: Why are more fleeing home than ever before?

      More than 35,000 people were forced to flee their homes every day in 2018 - nearly one every two seconds - taking the world’s displaced population to a record 71 million.

      A total of 26 million people have fled across borders, 41 million are displaced within their home countries and 3.5 million have sought asylum - the highest numbers ever, according to UN refugee agency (UNHCR) figures.

      Why are so many people being driven away from their families, friends and neighbourhoods?
      Devastating wars have contributed to the rise

      Conflict and violence, persecution and human rights violations are driving more and more men, women and children from their homes.

      In fact, the number of displaced people has doubled in the last 10 years, the UNHCR’s figures show, with the devastating wars in Iraq and Syria causing many families to leave their communities.

      Conflict in the Democratic Republic of Congo (DRC), Yemen and South Sudan, as well as the flow of Rohingya refugees from Myanmar to Bangladesh, have also had a significant impact.

      Most do not become refugees

      While much of the focus has been on refugees - that’s people forced to flee across borders because of conflict or persecution - the majority of those uprooted across the world actually end up staying in their own countries.

      These people, who have left their homes but not their homeland, are referred to as “internally displaced people”, or IDPs, rather than refugees.

      IDPs often decide not to travel very far, either because they want to stay close to their homes and family, or because they don’t have the funds to cross borders.

      But many internally displaced people end up stuck in areas that are difficult for aid agencies to reach - such as conflict zones - and continue to rely on their own governments to keep them safe. Those governments are sometimes the reason people have fled, or - because of war - have become incapable of providing their own citizens with a safe place to stay.

      For this reason, the UN describes IDPs as “among the most vulnerable in the world”.

      Colombia, Syria and the DRC have the highest numbers of IDPs.

      However, increasing numbers are also leaving home because of natural disasters, mainly “extreme weather events”, according to the Internal Displacement Monitoring Centre (IDMC), which monitors the global IDP population only.

      The next biggest group of displaced people are refugees. There were 25.9 million by the end of 2018, of whom about half were children.

      One in four refugees came from Syria.

      The smallest group of displaced people is asylum seekers - those who have applied for sanctuary in another country but whose claim has not been granted. There were 3.5 million in 2018 - fewer than one in 10 of those forced to flee.
      Places hit by conflict and violence are most affected

      At the end of 2018, Syrians were the largest forcibly displaced population. Adding up IDPs, refugees and asylum seekers, there were 13 million Syrians driven from their homes.

      Colombians were the second largest group, with 8m forcibly displaced according to UNHCR figures, while 5.4 million Congolese were also uprooted.

      If we just look at figures for last year, a massive 13.6 million people were forced to abandon their homes - again mostly because of conflict. That’s more than the population of Mumbai - the most populous city in India.

      Of those on the move in 2018 alone, 10.8 million ended up internally displaced within their home countries - that’s four out of every five people.

      A further 2.8 million people sought safety abroad as newly-registered refugees or asylum seekers.

      Just 2.9 million people who had previously fled their homes returned to their areas or countries of origin in 2018 - fewer than those who became displaced in the same period.

      The world’s largest new population of internally displaced people are Ethiopians. Almost three million abandoned their homes last year - many escaping violence between ethnic groups.

      The conflict in the DRC also forced 1.8 million to flee but remain in their home country in 2018.

      In war-torn Syria, more than 1.6 million became IDPs.

      Venezuelans topped the list of those seeking asylum abroad in 2018, with 341,800 new claims. That’s more than one in five claims submitted last year.

      Hyperinflation, food shortages, political turmoil, violence and persecution, have forced hundreds of thousands of Venezuelans to leave their homeland.

      Most left for Peru, while others moved to Brazil, the US or Spain. More than 7,000 applied for asylum in neighbouring Trinidad and Tobago - just seven miles off Venezuela’s coast - last year alone.

      Annielis Ramirez, 30, is among the thousands of Venezuelans seeking a better life on the islands.

      “All my family is in Venezuela, I had to come here to work and help them,” she says. "I couldn’t even buy a pair of shoes for my daughter. The reality is that the minimum salary is not enough over there.

      “I’m here in Trinidad now. I don’t have a job, I just try to sell empanadas [filled pastries]. The most important thing is to put my daughter through school.”
      Those driven from their homelands mostly remain close by

      Almost 70% of the world’s refugees come from just five countries: Syria, Afghanistan, South Sudan, Myanmar and Somalia, according to the UNHCR. And their neighbouring nations host the most.

      Most Syrians have escaped to Turkey and more than half of Afghan refugees are in Pakistan.

      Many South Sudanese go to nearby Sudan or Uganda. Those from Myanmar - the majority Rohingya refugees displaced at the end of 2017 - mainly fled to Bangladesh.

      Germany, which doesn’t border any of those countries with the largest outflows, is home to more than half a million Syrian and 190,000 Afghan refugees - the result of its “welcome culture” towards refugees established in 2015. It has since toughened up refugee requirements.

      When assessing the burden placed on the host countries, Lebanon holds the largest number of refugees relative to its population. One in every six people living in the country is a refugee, the vast majority from across the border in Syria.

      The exodus from Syria has also seen refugee numbers in neighbouring Jordan swell, putting pressure on resources. About 85% of the Syrians currently settled in Jordan live below the poverty line, according to the UN.

      Overall, one third of the global refugee population (6.7 million people) live in the least developed countries of the world.
      Many go to live in massive temporary camps

      Large numbers of those driven from their home countries end up in cramped, temporary tent cities that spring up in places of need.

      The biggest in the world is in Cox’s Bazar, Bangladesh, where half a million Rohingya now live, having fled violence in neighbouring Myanmar.

      The second largest is Bidi Bidi in northern Uganda, home to a quarter of a million people. The camp has seen many arrivals of South Sudanese fleeing civil war just a few hours north.

      Bidi Bidi, once a small village, has grown in size since 2016 and now covers 250 sq km (97 sq miles) - a third of the size of New York City.

      But what makes Bidi Bidi different from most other refugee camps, is that its residents are free to move around and work and have access to education and healthcare.

      The Ugandan government, recognised for its generous approach to refugees, also provides Bidi Bidi’s residents with plots of land, so they can farm and construct shelters, enabling them to become economically self-sufficient.

      The camp authorities are also aiming to build schools, health centres and other infrastructure out of more resilient materials, with the ultimate aim of creating a working city.

      Among those living in Bidi Bidi are Herbat Wani, a refugee from South Sudan, and Lucy, a Ugandan, who were married last year.

      Herbat is grateful for the welcome he has received in Uganda since fleeing violence in his home country.

      “The moment you reach the boundary, you’re still scared but there are these people who welcome you - and it was really amazing,” he says. “Truly I can say Uganda at this point is home to us.”

      Lucy says she doesn’t see Herbat as a refugee at all. “He’s a human being, like me,” she says.

      However, despite the authorities’ best efforts, a number of challenges remain at Bidi Bidi.

      The latest report from the UNHCR notes there are inadequate food and water supplies, health facilities still operating under tarpaulins and not enough accommodation or schools for the large families arriving.
      Displacement could get worse

      Alongside conflict and violence, persecution and human rights violations, natural disasters are increasingly responsible for forcing people from their homes.

      Looking at data for IDPs only, collected separately by the Internal Displacement Monitoring Centre (IDMC), natural disasters caused most new internal displacement cases last year, outpacing conflict as the main reason for people fleeing.

      On top of the 10.8 million internally displaced by conflict last year, there were 17.2 million people who were forced to abandon their homes because of disasters, mainly “extreme weather events” such as storms and floods, the IDMC says.

      The IDMC expects the number of people uprooted because of natural disasters to rise to 22 million this year, based on data for the first half of 2019.

      Mass displacement by extreme weather events is “becoming the norm”, its report says, and IDMC’s director Alexandra Bilak has urged global leaders to invest more in ways of mitigating the effects of climate change.

      Tropical cyclones and monsoon floods forced many in India and Bangladesh from their homes earlier this year, while Cyclone Idai wreaked havoc in southern Africa, killing more than 1,000 people and uprooting millions in Mozambique, Zimbabwe and Malawi.

      Idai was “one of the deadliest weather-related disasters to hit the southern hemisphere”, the World Meteorological Organization (WMO) said.

      Although linking any single event to global warming is complicated, climate change is expected to increase the frequency of such extreme weather events.

      The WMO warns that the physical and financial impacts of global warming are already on the rise.

      Phan Thi Hang, a farmer in Vietnam’s Ben Tre province, has told the BBC his country’s changing climate has already had a “huge impact” on rice yields.

      “There has been less rain than in previous years,” he says. "As a result, farming is much more difficult.

      “We can now only harvest two crops instead of three each year, and the success of these is not a sure thing.”

      He says he and his fellow farmers now have to work as labourers or diversify into breeding cattle to make extra cash, while others have left the countryside for the city.

      Like Phan’s fellow farmers, many IDPs head to cities in search of safety from weather-related events as well as better lives.

      But many of the world’s urban areas may not offer people the sanctuary they are seeking.

      Displaced people in cities often end up seeking shelter in unfinished or abandoned buildings and are short of food, water and basic services, making them vulnerable to illness and disease, the IDMC says. They are also difficult to identify and track, mingling with resident populations.

      On top of this, some of the world’s biggest cities are also at risk from rising global temperatures.

      Almost all (95%) cities facing extreme climate risks are in Africa or Asia, a report by risk analysts Verisk Maplecroft has found.

      And it’s the faster-growing cities that are most at risk, including megacities like Lagos in Nigeria and Kinshasa in the Democratic Republic of Congo.

      Some 84 of the world’s 100 fastest-growing cities face “extreme” risks from rising temperatures and extreme weather brought on by climate change.

      This means that those fleeing to urban areas to escape the impact of a warming world may well end up having their lives disrupted again by the effects of rising temperatures.

      https://www.bbc.com/news/world-49638793
      #conflits #violence #Bidi-Bidi #camps_de_réfugiés #bidi_bidi #vulnérabilité #changement_climatique #climat #villes #infographie #visualisation

  • Deux hommes interpellés pour le vol de plus de 4000 BD le progres - 23 Mars 2018
    http://www.leprogres.fr/rhone-69/2018/03/23/deux-hommes-interpelles-pour-le-vol-de-plus-de-4-000-bd

    Depuis un an, ils avaient dérobé pour les revendre plus de 4.000 #BD dans des librairies de la région lyonnaise : deux hommes d’environ 40 ans ont été interpellés cette semaine et l’un d’eux a été écroué, a-t-on appris vendredi de source policière.

L’enquête a débuté en juin dernier avec la plainte d’un libraire pour le #vol d’une centaine de titres - Astérix, Tintin, Largo Winch, etc. - a expliqué le commissaire Rodolphe Journoud.

    


    Des recoupements avec une vingtaine d’autres plaintes, dont certaines antérieures, ont permis aux enquêteurs de localiser le donneur d’ordre et receleur, ainsi que l’auteur des vols, originaire de République centrafricaine. Tous deux inconnus de la justice jusqu’alors.



    Au domicile du premier, à Charbonnières-lès-Bains, les policiers ont mis la main sur plus de 4.000 albums neufs, d’une valeur de près de 60.000 euros : outre des classiques de la BD francophone, figuraient aussi des Comics Marvel, Walking Dead... Ils ont également découvert près de 600.000 euros sur un compte en banque, dont le détenteur ne pouvait justifier la provenance.

Les deux hommes, qui ont reconnu les faits en garde à vue, ont été déférés mercredi au parquet de Lyon qui a ouvert une information judiciaire pour vols et recel de vols. Le voleur a été incarcéré tandis que son complice a été placé sous contrôle judiciaire.

  • Vivre et se nourrir de la forêt en Afrique centrale
    http://www.fao.org/publications/card/fr/c/77dbd058-8dd4-4295-af77-23f6b28cc683

    Ce #livre nous emmène au cœur des zones de forêts denses et sahéliennes de l’Afrique centrale, un écosystème précieux et essentiel à la vie quotidienne de ses habitants, représentant l’un des trois principaux ensembles boisés tropicaux de la planète. Dix pays (Burundi, Cameroun, Congo, Gabon, Guinée Equatoriale, République Centrafricaine, République Démocratique du Congo, Rwanda, Sao Tomé & Principe, Tchad) abritent ces forêts et savanes, riches d’importantes ressources naturelles. Ils ont en commun une longue histoire liée à la colonisation, suivie d’une expérience de coopération multiforme depuis les indépendances qui évolue incontestablement vers une intégration économique et monétaire. De nos jours, alors que les équilibres séculaires entre l’homme et la nature semblent ébranlés, que la sécurité alimentaire, la lutte contre la pauvreté et la préservation de la biodiversité et des ressources forestières sont devenus des enjeux mondiaux ; à l’heure où la croissance démographique non maîtrisée fragilise le maintien des #écosystèmes forestiers tout en accentuant les conflits liés à la recherche d’espace vital, le phénomène des changements climatiques vient davantage sonder le génie créateur des populations forestières dans la préservation et la gestion durable de la forêt et des produits forestiers non ligneux (PFNL) qui en sont issus. Cette publication est l’œuvre du personnel technique de la FAO, avec la contribution des partenaires internationaux et locaux engagés dans l’évolution des PFNL. Elle est un document précieux consacré au développement des peuples par la promotion des PFNL en #Afrique_centrale en vue du renforcement de la #sécurité_alimentaire et la lutte contre la #pauvreté.

    #forêt #forêt_tropicale #Afrique

  • 20 pays recrutent encore des enfants soldats
    https://www.franceculture.fr/geopolitique/20-pays-recrutent-encore-des-enfants-soldats

    Les 20 pays concernés sont : Afghanistan, République centrafricaine, République Démocratique du Congo, Irak, Israël et État de Palestine, Liban, Libye, Mali, Birmanie, Somalie, Soudan du Sud, Soudan, République arabe syrienne, Yémen, et dans des situations non saisies par le Conseil de sécurité de l’ONU : Colombie, Inde, Nigéria, Pakistan, Philippines, Thaïlande.

    #enfants_soldats merci @reka

  • l’#Afrique verse 400 milliards d’euros par An à la France | Ivoirebusiness.net

    http://www.ivoirebusiness.net/articles/scandale-selon-un-journal-allemand-lafrique-verse-400-milliards-deur

    #françafrique #colonialisme #néocolonialisme

    quand les Allemands s’en mêlent : Un journal économique allemand accuse la France de piller chaque année 440 milliards d’euros aux africains à travers le Franc CFA.

    "Le gouvernement français recueille auprès de ses anciennes colonies chaque année 440 milliards d’euros de taxes. La France repose sur les recettes venant d’Afrique, pour ne pas sombrer dans l’insignifiance économique, prévient l’ancien président Jacques Chirac.

    Dans les années 1950 et 60, la France a décidé les colonies françaises d’Afrique à devenir indépendante. Bien que le gouvernement de Paris a accepté les déclarations d’indépendance formelles, elle a appelé les pays africains à signer un soi-disant « pacte pour la poursuite de la colonisation". Ils y ont convenu d’introduire la monnaie coloniale française FCFA ( « Franc pour les colonies françaises en Afrique"), maintenir les écoles françaises et système militaire, et d’établir le français comme langue officielle.
    Le Franc CFA est la dénomination de la monnaie commune de 14 pays africains membres de la zone Franc. Cette monnaie qui constitue un frein à l’émergence de ces pays a été créée en 1945, date où la France a ratifié les accords de Bretton Woods et procédé à la mise en oeuvre de sa première déclaration de parité au fonds monétaires international (FMI). Cela s’appelait à l’époque « Franc des Colonies Françaises d’Afrique ».

    En vertu de cette loi, 14 pays africains sont encore obligés de stocker environ 85 pour cent de leurs réserves en devises à la Banque de France à Paris. Ils sont sous le contrôle direct du Trésor français. Les pays concernés n’ont pas accès à cette partie de leurs réserves. Les 15 pour cent des réserves ne suffisant pas à leurs besoins, ils doivent emprunter des fonds supplémentaires du Trésor français au prix du marché. Depuis 1961, Paris contrôle toutes les réserves en devises étrangères du Bénin, du Burkina Faso, la Guinée-Bissau, Côte-d’Ivoire, Mali, Niger, Sénégal, Togo, Cameroun, République centrafricaine, Tchad, Congo, Guinée équatoriale et le Gabon.

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    Françafrique : 440 milliards d’Euros pillés par la France aux Africains... | Le Club de Mediapart
    https://blogs.mediapart.fr/jecmaus/blog/021116/francafrique-440-milliards-deuros-pilles-par-la-france-aux-africains

    ranc CFA quand les Allemands s’en mêlent : Un journal économique allemand accuse la France de piller chaque année 440 milliards d’euros aux africains à travers le Franc CFA. « Le gouvernement français recueille auprès de ses anciennes colonies chaque année 440 milliards d’euros de taxes. La France repose sur les recettes venant d’Afrique, pour ne pas sombrer dans l’insignifiance économique ».

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    Frankreich kann seinen Status nur mit Ausbeutung der ehemaligen Kolonien halten - DWN
    https://deutsche-wirtschafts-nachrichten.de/2015/03/15/frankreich-kann-seinen-status-nur-mit-ausbeutung-de

    Der französische Staat kassiert von seinen ehemaligen Kolonien jährlich 440 Milliarden Euro an Steuern. Frankreich ist auf die Einnahmen angewiesen, um nicht in der wirtschaftlichen Bedeutungslosigkeit zu versinken, warnt der ehemalige Präsident Jacques Chirac. Der Fall zeigt: Eine gerechte Welt ist schwer möglich, weil die ehemaligen Kolonialmächte von der Ausbeutung selbst abhängig geworden sind.

  • Grave révélation sur le pacte colonial entre la France et quelques pays africains - Wikistrike
    http://www.wikistrike.com/2016/11/grave-revelation-sur-le-pacte-colonial-entre-la-france-et-quelques-pays-

    La chaîne de télévision Vox Africa vient de diffuser une information qui fait froid dans le dos et qui pourrait sans doute renforcer le sentiment anti-français en Afrique.

    Selon cette chaîne panafricaine, la France oblige encore de nos jours, plusieurs pays d’Afrique francophone à payer un impôt colonial à la France. En d’autres termes, il y a encore des pays africains qui reversent d’importantes sommes d’argent à la France pour la simple raison que ces pays d’Afrique francophone sont redevables envers la France pour les avoir colonisés.

    Cet impôt colonial continue d’être versé malgré l’indépendance des pays africains. Aujourd’hui, 13 pays d’Afrique Francophone ainsi que la Guinée-Equatoriale sont obligés par la France de mettre 85% de leurs réserves à la banque centrale de France.

    Ces quatorze pays africains qui sont obligés de payer l’impôt colonial et de verser 85% de leurs réserves à la banque centrale de France sont entre autres : le Bénin, le Burkina Faso, la Guinée Bissau, la Côte d’ivoire, le Mali, le Niger, le Sénégal, le Cameroun, le Togo, la République Centrafricaine, le Tchad, le Congo Brazzaville, la Guinée-Equatoriale, et le Gabon.

    La France permet à ces différents pays africains d’avoir accès à seulement 15% de leur argent. S’ils veulent avoir un montant un peu plus élevé que ces 15%, ils doivent nécessairement emprunter à des taux commerciaux. Il faut dire que cette démarche est grave de conséquence, car elle suscite la révolte des peuples africains qui se sentent grossièrement exploités mais aussi, cette méthode française d’exploitation du continent africain cultive une haine profonde de la part des Africains envers la France.

     
    Plusieurs observateurs africains convergent sans exception à l’idée que les Africains doivent mettre un terme à de tels accords qui visiblement maintiennent l’Afrique dans le sous-développement et par conséquent entraine le continent dans la misère permanente.

     

    source : http://www.cameroonvoice.com/news/article-news-27475.html

  • #Choléra : seize décès en #République_Centrafricaine
    http://www.pourquoidocteur.fr/Articles/Question-d-actu/17121-Cholera-seize-deces-en-Republique-Centrafricaine

    La République Centrafricaine est confrontée à une épidémie de choléra, officiellement déclarée le 10 août par les autorités sanitaires. Ces dernières avaient établi un bilan de 46 cas confirmés et de 13 décès, mais l’Unicef a rehaussé les estimations. Selon l’agence onusienne, au moins 16 personnes sont décédées. Il s’agit de la première épidémie de choléra enregistrée depuis 2011 dans le pays.
    […]
    « Nous devons agir au plus vite pour éviter que la maladie ne se propage et fasse plus de victimes. Le choléra est une maladie qui est facilement évitable », insiste l’Unicef.

  • Le CED publie un rapport sur la situation des défenseurs de l’environnement en Afrique Centrale | Centre pour l’Environnement et le Developpement
    http://www.cedcameroun.org/le-ced-publie-un-rapport-sur-la-situation-des-defenseurs-de-lenvironnem
    http://www.cedcameroun.org/wp-content/uploads/2016/04/Couv-rapport-EN.pdf

    Le présent rapport, produit dans le cadre du projet « Verdir le respect des droits de l’homme dans le bassin du Congo », vise à attirer l’attention des gouvernements, des opinions publiques nationales et internationales sur les violations ainsi que les menaces de violations auxquelles font face les défenseurs de l’environnement en Afrique centrale et de façon spécifique dans le Bassin du Congo. Le but ultime est de permettre une synergie d’actions pour une meilleure prise en compte des droits des communautés locales dans les projets liés aux ressources naturelles et de développement en Afrique centrale.
    Le présent rapport étant le premier du genre sur la question des défenseurs de l’environnement, a été principalement réalisé dans quatre pays (Cameroun, Congo, Gabon et République Centrafricaine).

    http://www.camer.be/50871/11:1/cameroun-droits-de-lhomme-en-afrique-centrale-coups-blessures-menaces-de-mort-

    Le conflit qui a opposé les agriculteurs aux éleveurs à Bouna en territoire ivoirien a occasionné un déplacement massif des éleveurs à Batié, ville frontalière de la Côte d’Ivoire. Ils sont près de 2000 déplacés composés en majorité de femmes et d’enfants, ils s’entassent dans les locaux de la maison de la jeunesse, dans des conditions précaires.

    #droits_humains #terres #territoires #multinationales

  • Série d’#histoire_vivante en 5 épisodes :

    L’#ONU et les #droits_de_l'homme

    « Histoire Vivante » revient sur la naissance de la Déclaration Universelle des Droits de l’Homme signée à Paris en 1948, au travers de la figure de son principal auteur René Cassin.

    Dimanche 4 octobre 2015, vous pouvez découvrir sur RTS Deux : « ONU, dernière station avant l’enfer » un documentaire de Pierre-Olivier François (France / 2015) :

    "Alors que l’ONU souffle ses 70 bougies, plus de 120 000 casques bleus sont actuellement déployés dans le monde. Comment est né et s’est imposé le concept de ces « soldats de la paix » ? Peut-on encore espérer répondre aux problèmes du XXIe siècle avec les règles du jeu de 1945 ?"

    #histoire #droits_humains

    Entretien avec #Gilles_Labarthe

    Rencontre à Genève avec Gilles Labarthe ethnologue et journaliste. Il est le co-fondateur de #DATAS, une agence de presse basée au sein même des Nations Unies. Elle a déjà réalisé et publié quelques 1000 sujets originaux repris ou cités dans une centaine de médias suisses, français et internationaux. DATAS, cʹest une vingtaine de signatures de journalistes indépendants et une cinquantaine de pays couverts, principalement le Moyen et Proche-Orient, lʹAfrique, lʹAmérique latine et du Nord, lʹEurope.

    http://www.rts.ch/docs/histoire-vivante/7122062-l-onu-et-les-droits-de-l-homme-1-5.html

    Une vraie First Lady

    La #Déclaration_Universelle_des_Droits_de_lʹHomme (DUDH) est rédigée par une Commission qui comprend 18 membres, tous venus dʹhorizons politiques, culturels et religieux différents. Outre Eleanor Roosevelt, la Présidente et René Cassin, le Rapporteur du comité, la Commission est composée du Libanais Charles Malik, de John Humphrey du Canada et du Chinois Peng Chung Chang Vice-Président. Ils travaillent ensemble deux ans pour la rédaction du texte final. A une époque où le monde est divisé entre le Bloc de lʹEst et celui de lʹOccident, trouver un terrain dʹentente sur ce qui doit constituer lʹessence de ce document est une tâche colossale.

    http://www.rts.ch/docs/histoire-vivante/7121972-l-onu-et-les-droits-de-l-homme-2-5.html

    Un israélite blessé

    Tribunal de Nuremberg, le 18 octobre 1945. Ils sont 24 responsables politiques, militaires et économiques allemands assis sur le banc des accusés. Début des audiences le 20 novembre 1945. Le tribunal est composé de quatre procureurs : un procureur américain, un procureur soviétique, un procureur britannique et un procureur français. Les accusés peuvent choisir librement leurs avocats. Il y a quatre juges et leurs adjoints qui représentent les vainqueurs. Le Président du tribunal est un Anglais Sir Justice Lawrence. L’acte d’accusation repose sur quatre points : conjuration, crimes contre la paix, crimes de guerre et crimes contre l’humanité.

    http://www.rts.ch/docs/histoire-vivante/7121971-l-onu-et-les-droits-de-l-homme-3-5.html

    La #guerre et après

    Le 2 février 1932 à Genève, la Conférence mondiale du désarmement réunit 62 pays. Ce nʹest pas la première du genre. Dʹautres conférences internationales sur la limitation des armes sʹétaient déjà tenues à La Hayes, mais elles avaient alors échoué à enclencher un processus général de désarmement. À lʹaube des années 30, lʹorganisation dʹun tel événement semble inéluctable : la course aux armements est à son apogée. On craint une répétition des années ayant précédé le déclenchement de la Première Guerre Mondiale.

    http://www.rts.ch/docs/histoire-vivante/7121975-l-onu-et-les-droits-de-l-homme-4-5.html
    #paix

    Entretien avec le réalisateur #Pierre-Olivier_François

    Aujourdʹhui, rencontre avec Pierre-Olivier François, réalisateur du documentaire « ONU, dernière station avant l’enfer » que vous pouvez découvrir dimanche4 octobre 2015 sur RTS Deux.

    L’ONU fêtera cette année ses 70 ans. La mission première de l’ONU, à la fois utopique et réaliste, est d’assurer la paix et la sécurité dans le monde. Comment est né, comment s’est imposé cet étrange concept de « #soldats_de_la_paix » ? Comment leur travail a-t-il évolué au fur et à mesure que les conflits interétatiques ont quasiment disparu et ont été remplacés par des guerres intra-étatiques, voire du terrorisme ? Aujourd’hui, plus de 120 000 hommes servent sous le drapeau bleu. Plus que les États-Unis ont de militaires déployés. Est-ce que cela fait de l’ONU une grande puissance ? Une autre forme de puissance ? Une impuissance déguisée ?

    Faut-il maintenir la paix ou l’imposer ? C’est en enquêtant sur le terrain notamment au Liban, en République Démocratique du Congo et en République Centrafricaine et en recueillant les témoignages d’acteurs historiques et actuels des Nations Unies que ce film tente d’apporter une réponse à ces redoutables questions.

    http://www.rts.ch/docs/histoire-vivante/7121974-l-onu-et-les-droits-de-l-homme-5-5.html
    #casques_bleus

  • Des #casques_bleus visés par de nouvelles accusations d’abus sexuels
    http://www.lemonde.fr/international/article/2015/06/24/des-casques-bleus-vises-par-de-nouvelles-accusations-d-abus-sexuels_4660314_

    La mission de l’ONU en République centrafricaine (Minusca) a été informée d’accusations d’#abus_sexuels commis par ses casques bleus « contre des enfants des rues à Bangui », a indiqué mardi 23 juin le porte-parole de l’ONU Stéphane Dujarric.

    Les abus ont été commis par « un des contingents » de la #Minusca, a-t-il ajouté, sans préciser lequel. Les Nations unies tentent de vérifier ces accusations, qui pourraient remonter à 2014 mais qui n’ont été signalées que le 19 juin à la Minusca, et « fournissent un soutien aux victimes ».

    #violences_sexuelles

  • Viols en Centrafrique : Le Drian demande aux coupables de se dénoncer - Le Monde

    http://www.lemonde.fr/afrique/article/2015/05/03/viols-en-centrafrique-nbsp-le-drian-demande-aux-eventuels-coupables-de-se-de

    Au moins 14 soldats français déployés en République centrafricaine sont soupçonnés d’avoir abusé sexuellement d’enfants entre décembre 2013 et mai-juin 2014.
    Parmi ces militaires, « très peu » ont été identifiés, selon une source judiciaire, sans en dévoiler le chiffre précis.
    Une enquête a été ouverte en France en juillet 2014. L’armée assure qu’elle ne veut pas « cacher quoi que ce soit ».

    « Si les faits sont avérés, je ne mesurerai pas ma colère, parce que lorsque le soldat français est en mission, il est la France. Si d’aventure un seul d’entre eux a commis de tels actes, qu’il se dénonce immédiatement. (…) Si quelqu’un a sali le drapeau, parce que c’est de cela qu’il s’agit, il faut qu’il le dise dès à présent, car cela revient à trahir ses camarades, l’image de la France et la mission des armées. »

  • Vu du Royaume-Uni. Des #soldats français accusés d’avoir violé des enfants en #Centrafrique

    D’après le quotidien britannique The Guardian, un rapport de l’ONU accuse des soldats français d’avoir commis des #abus_sexuels sur des #enfants en République centrafricaine.

    http://www.courrierinternational.com/article/vu-du-royaume-uni-des-soldats-francais-accuses-davoir-viole-d
    #France #viol #guerre #Réublique_centrafricaine #enfance
    cc @odilon

  • #Centrafrique : la justice enquête sur des abus sexuels commis par des soldats français
    http://www.lemonde.fr/afrique/article/2015/04/29/centrafrique-des-soldats-francais-soupconnes-d-avoir-abuses-d-enfants-un-cad

    Un cadre de l’Organisation des nations unies (ONU) a été suspendu la semaine dernière par l’organisation internationale pour avoir transmis aux autorités françaises un rapport interne sur des abus sexuels supposés commis par des soldats français sur des enfants en République centrafricaine (RCA), rapporte mercredi 29 avril le Guardian. Anders Kompass, directeur des opérations de terrain au Haut-Commissariat de l’ONU pour les droits de l’homme, sis à Genève, est accusé d’avoir fait fuiter un document confidentiel et d’avoir court-circuité sa hiérarchie.

    Le rapport d’enquête, que le quotidien britannique dit avoir consulté, porterait sur des soupçons d’abus commis entre décembre 2013 et juin 2014 dans un centre pour déplacés situé dans l’aéporort M’Poko de Bangui, la capitale centrafricaine. Y figurent des témoignages, recueillis sur place par des enquêteurs de l’ONU, de jeunes garçons accusant des soldats français de les avoir violés et d’avoir abusé d’eux en échange de nourriture ou d’argent. L’un d’eux est âgé d’à peine 9 ans.

    Le ministère de la justice a confirmé mercredi à l’agence Reuters que le parquet de Paris avait ouvert le 31 juillet 2014 une enquête préliminaire portant sur ces accusations après avoir pris connaissance du rapport des Nations unies. « L’enquête est en cours, nous n’avons pas de commentaire à faire », s’est contenté de déclarer un porte-parole du ministère.

    #viols #violences_sexuelles #armée #enfants #secret_d'état

  • Lutte d’influence entre Sassou Nguesso et la France
    http://survie.org/billets-d-afrique/2015/244-mars-2015/article/lutte-d-influence-entre-sassou-4937

    Enlisée dans une guerre civile depuis décembre 2012, la République centrafricaine a le plus grand mal à sortir de la crise. Surtout que certains s’évertuent à lui maintenir la tête sous l’eau. Dernier exemple en date : le sommet de Nairobi. Une bien étrange initiative s’est ouverte fin décembre à Nairobi, au Kenya. A l’invitation du « médiateur » dans la crise centrafricaine, le dictateur congolais #Denis_Sassou_Nguesso, des membres des ex-Séléka (qui ont déclenché la crise) et des milices anti-balaka (qui (...)

    #244_-_mars_2015

    / #Centrafrique, Denis Sassou Nguesso, #Salves, François Bozizé

    #François_Bozizé

  • Des combattants de #Boko_Haram en fuite vers le #Tchad, le #Soudan et la #Centrafrique

    YAOUNDE, 25 mars (Xinhua) — En perte de vitesse face à l’ offensive de la coalition militaire formée du Tchad, du Cameroun et du Niger, rejointe après un temps d’attentisme par le #Nigeria, des hordes de #combattants de Boko Haram prennent la fuite vers des pays de la région, tels le Tchad, le Soudan et la République centrafricaine (#RCA), rapportent des sources sécuritaires camerounaises.

    http://tchadinfos.com/tchad/combattants-de-boko-haram-fuite-vers-tchad-soudan-centrafrique
    #djihadisme #Etat_islamique
    cc @reka

  • Envoi de cinq cent militaires zambien pour le maintien de la paix en Centrafrique
    http://grigrinews.com/envoi-de-cinq-cent-militaires-zambien-pour-le-maintien-de-la-paix-en-centrafrique/3004

    Actualités Afrique « 19/03/2015, Lusaka : La Zambie a annoncé qu’elle allait envoyer 500 militaires pour des opérations de maintien de la paix en République centrafricaine, a déclaré mercredi un officiel. »(c) 2015 - Grigrinews.com

    #Zimbabwe

  • L’affaire #Uramin refait surface avec Balkany
    http://survie.org/billets-d-afrique/2014/241-decembre-2014/article/l-affaire-uramin-refait-surface-4886

    Alors que le groupe #Areva bat de l’aile, on apprend (Rfi.fr, 14/11) que Me Bourdon, mandaté par la République centrafricaine aurait fait une demande d’information judiciaire au parquet national financier pour faire la lumière sur les commissions (évaluées à 40 millions d’euros) versées à l’ex-président Bozizé en 2008 après le rachat d’Uramin, et sur le rôle de Balkany dans cette transaction. Mais cette somme ne constitue qu’une toute petite partie des fonds évaporés. La justice fera-t-elle un jour la (...)

    #241_-_décembre_2014

    / #Centrafrique, Areva, François Bozizé, #Brèves_d'Afrique_et_d'ailleurs, #Patrick_Balkany, (...)

    #François_Bozizé

  • #RCA : la vie après les combats

    BANGUI, 19 février 2015 (IRIN) - Aider des milliers de combattants de #République_centrafricaine (RCA) à réintégrer la vie civile pose un dilemme aux travailleurs humanitaires : offrir trop d’avantages reviendrait à récompenser la violence, mais s’ils en offrent trop peu, ils risquent de ne pas parvenir à l’enrayer.

    http://www.irinnews.org/fr/reportfrench.aspx?ReportID=101144

  • Justice : absence de l’état, corruption et impunité en Centrafrique
    http://grigrinews.com/justice-absence-etat-corruption-et-impunite-en-centrafrique/2632

    « 03/02/2015, Bangui, Centrafrique : la justice est corrompue et sans moyens en #République_centrafricaine, absence de l’état, corruption et impunité sont de mise dans ce pays sous perfusion... »

  • En #République_centrafricaine l’enseignement malgré tout…
    http://grigrinews.com/en-republique-centrafricaine-enseignement-malgre-tout/2597

    « 29/01/2015, Bangui, République Centrafricaine : le pays est meurtri par la guerre civile, enlèvements, misère, les enfants et écoles malgré tout essaient de continuer a vivre presque normalement... »

  • Sept morts entre Balakas et anti-Balakas en Centrafrique
    http://grigrinews.com/sept-morts-entre-balakas-et-anti-balakas-en-centrafrique/2219

    "L’ex-coalition rebelle de la Séléka affirme avoir perdu cinq de ses combattants dans des combats avec les miliciens anti-Balakas samedi à Bambari et Balaka, dans le centre de la #République_centrafricaine (RCA), faisant état d’un « bilan lourd » dans le camp adverse."

  • Dix mille enfants soldats en Centrafrique, selon l’ONG Save the Children
    http://www.lemonde.fr/afrique/article/2014/12/18/dix-mille-enfants-soldats-en-centrafrique-selon-l-ong-save-the-children_4543

    Jusqu’à 10 000 #enfants_soldats ont été recrutés par les milices en #République_centrafricaine, malgré la présence des forces des Nations unies, affirme jeudi 18 décembre l’ONG Save the Children. Et depuis le début de la crise, en décembre 2012, « le nombre de garçons et filles de moins de 18 ans recrutés par des groupes armés a été multiplié par quatre », dénonce l’association.