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  • Fausse viande : Un grossiste français, un appel d’offre de l’état, la fraude était signalée depuis Mars ! . . . . _ actu.fr 8 Juin 2019
    https://actu.fr/bretagne/loudeac_22136/la-societe-voldis-loudeac-coeur-scandale-faux-steacks-haches_24892880.html

    La société Voldis à Loudéac (Côtes-d’Armor), appartenant à Valéry Le Helloco, est impliquée dans le scandale des faux steaks hachés fournis aux associations caritatives.

    La société de production agroalimentaire Voldis, basée rue de Pontivy à Loudéac, se trouve impliquée dans l’affaire des 780 tonnes de faux steack hachés à base de graisse et de soja livrés à des associations caritatives.

    Une pseudo-viande offerte par l’Union européenne, qui a été distribuée d’office pendant des mois à la Banque alimentaire, à la Croix Rouge, aux Restos du Coeur et au Secours populaire. Autant de bénévoles « scandalisés », « écoeurés » pour leurs bénéficiaires…

    Un marché public de 5,2 millions d’euros
    Voldis SA a remporté en 2018 (ainsi qu’en 2015 et 2016) le marché du Fonds européen d’aide aux plus démunis (FEAD) : trois lots de steaks hachés pour un montant total de plus de 5,2 millions d’euros, selon l’AFP.

    Voldis se fournissait auprès d’un industriel polonais qui livrait lui-même les associations, selon France info.

    S’ils ne sont pas dangereux pour la santé, ces steaks sans viande n’en sont pas moins manifestement frauduleux. Tandis que la DGCCRF poursuit son enquête, l’interprofession Elevage et viande a porté plainte contre X .

    Le président d‘Interbev, Dominique Langlois, a déclaré :
    Nous demandons une sévérité exemplaire afin que de tels actes frauduleux ne puissent plus se reproduire en France. Il est de notre devoir de garantir à tous nos concitoyens une viande irréprochable en termes de qualité. Ainsi, INTERBEV, en collaboration avec INAPORC, travaille depuis plusieurs mois à la mise en place d’une association qui favorisera les dons de viande française aux plus démunis.

    Une société détenue par Valéry Le Helloco
    Voldis est dirigée par Géraldine Barthélémy mais appartient à l’homme d’affaires loudéacien Valéry Le Helloco à travers sa société financière VLH, basée… au Luxembourg. Lui-même est domicilié tantôt en Bretagne, tantôt à Jersey, tantôt au Togo. Notre confrère « Libération » a mené son enquête sur le sujet. https://www.liberation.fr/checknews/2019/06/07/qui-est-l-entreprise-francaise-qui-a-fourni-de-faux-steaks-haches-aux-ass
    Voldis détient aussi l’abattoir Le Clézio (dinde), à Saint-Caradec. Toutes ces sociétés ainsi que l’agence d’intérim Flèche et des sociétés immobilières sont domiciliées au 42 rue de Pontivy, à Loudéac ; une maison particulière.

    Foodwatch dénonce l’inaction des pouvoirs publics
    Ingrid Kragl, directrice de l’information à Foodwatch, une association de défense des consommateurs sur le plan alimentaire, dénonce l’inaction des pouvoirs public :
    Comment se fait-il qu’ils aient pu passer entre les mailles du filet pendant des mois sans que les autorités ne mettent la main dessus ? Car ce sont les associations qui ont alerté la répression des fraudes.
    Et ce, dès le mois de mars dernier. Scandale après scandale (celui-ci rappelle beaucoup l‘affaire des lasagnes à la viande de cheval, une fraude d’ampleur européenne également), le scénario se répète avec toujours les mêmes ingrédients :
    Une traçabilité défaillante et beaucoup d’opacité ; il est très difficile pour le consommateur d’accéder à l’information.

    Il est aussi très difficile de remonter les filières jusqu’aux industriels concernés. 

    Le manque de moyens des autorités de contrôle, c’est un tapis rouge pour ceux qui voudraient frauder parce qu’ils se disent qu’ils ne vont pas se faire avoir. (…) Cela ne touche pas seulement la viande mais aussi les légumes ou le lait contaminé…

    #nutrition #pauvres #pauvreté #industrie #alimentation #fraude #contrôle #pologne #france #ue #union_européenne #agroalimentaire #santé #malbouffe #beurk #cantines #super_marché #grande_distribution #super_marché #promo #traçabilité

  • 780 tonnes de faux steaks hachés ont été distribuées aux plus démunis - Libération
    https://www.liberation.fr/direct/element/780-tonnes-de-faux-steaks-haches-ont-ete-distribuees-aux-plus-demunis_986

    C’est RTL qui le révèle : depuis le mois de juillet 2018, 780 tonnes de faux steaks hachés ont été vendus à des organismes d’aide aux plus démunis : La Croix Rouge, Les Restos du Cœur, le Secours Populaire Français, et la Fédération française des banques alimentaires. L’achat groupé a représenté une somme de 5,2 millions d’euros.

    « Le goût, la couleur et la texture » de cette viande « ne paraissaient pas habituelles », écrit RTL. « Après avoir suspendu la distribution, [ces associations] ont fait analyser ces steaks par les services de la répression des fraudes. Et le verdict est sans appel : ces steaks ne contenaient pas de la viande mais du gras, pas du muscle mais de la peau. Le tout mixé avec du soja et de l’amidon, des produits non-autorisés dans des steak hachés, avec un réemploi aussi de viande transformée. »

    Ces steaks hachés ont été fournis par une entreprise française s’approvisionnant auprès d’un industriel polonais. Un intermédiaire français a également été identifié. Les noms de ces sociétés n’ont pas été divulgués en attendant que la justice soit saisie.

    Les responsables de cette arnaque risquent 2 ans de prison et 1,5 million d’euros d’amende pour tromperie et fraude en bande organisée.

    #viande

    • La partie soja n’est pas du déchet (et le gras et la peau en sont ils vraiment aussi, je ne pense pas), et c’est assez cher les faux-steak végé, encore plus avec un arome naturel de cadavre comme c’est le cas ici.
      Je me demande comment on peu avoir des achats de viande dans ces quantité et controlé la provenance sur des masses pareil. C’est pas de la viande local de petites exploitations, c’est des grosses centrales européennes à la Comigel-spangero-findus, des achats groupés pour cassé les prix, pour donner de la merde, mais carné, à des gens qui ne mangent pas souvent de viande mais qui veulent manger des cadavres comme le font les dominant·es
      De la pauvre viande faite de pauvres bêtes pour les pauvres gens.

    • Qui est l’entreprise française qui a fourni de faux steaks hachés aux associations ? - Libération
      https://www.liberation.fr/checknews/2019/06/07/qui-est-l-entreprise-francaise-qui-a-fourni-de-faux-steaks-haches-aux-ass

      Une des deux entreprises françaises impliquées, Voldis, est basée à Loudéac, dans les Côtes-d’Armor. Elle est dirigée par un homme d’affaires local, impliqué dans plusieurs autres projets dont l’immobilier et l’intérim, de la Bretagne à Jersey en passant par le Cambodge.

      780 tonnes de steaks hachés non conformes ont été distribuées aux plus démunis en France. C’est un nouveau scandale alimentaire, révélé par RTL ce vendredi. La viande a été livrée à quatre associations (la Fédération des banques alimentaires, la Croix-Rouge, le Secours populaire et les Restos du cœur), dans le cadre du Fonds européen d’aide aux plus démunis (FEAD), qui soutient 5,5 millions de personnes en France.

      La Direction générale de la concurrence, de la consommation et de la répression des fraudes (DGCCRF) a été saisie après signalement des associations. Précision d’importance : la viande n’était pas impropre à la consommation et ne comporte aucun risque sanitaire, soulignent les associations et la DGCCRF, mais n’était pas conforme aux cahiers des charges. Les steaks hachés surgelés en question, censés être à 15% de matière grasse, étaient en réalité composés de morceaux de gras, de tissus de mauvaise qualité et même de traces d’amidon et de soja. Leur distribution a immédiatement été interrompue.

      Ce sont des bénéficiaires qui ont alerté les associations fin mars après avoir constaté un goût, une texture et un aspect visuel inhabituels. « Après le retour des bénéficiaires, nous avons mené des analyses histologiques [qui traitent de la structure des tissus biologiques, ndlr] sur la composition des produits, et prévenu les autorités. On a décidé de suspendre la distribution de ce produit le 9 avril », explique la Fédération des banques alimentaires.

      Du côté de la DGCCRF, l’enquête est toujours en cours. Tous les échantillons analysés sont non conformes. Le fournisseur, une société française, se serait approvisionné auprès d’une entreprise polonaise par le biais d’un intermédiaire français. Les faits, susceptibles d’être qualifiés « d’escroquerie en bande organisée », sont passibles de deux ans de prison et 1,5 million d’euros d’amende. Les dirigeants des deux entreprises ont été entendus.

      Selon l’AFP, qui s’appuie sur une source proche du dossier, la société Voldis fait partie des entreprises citées dans cette affaire.

      L’appel d’offres passé par France Agrimer (qui gère les marchés publics d’achats de denrées alimentaires pour le compte des associations partenaires du FEAD) permet d’en savoir un peu plus : c’est l’entreprise Voldis SAS, installée dans les Côtes-d’Armor, qui a remporté le marché en 2018. Et elle avait déjà remporté ces marchés en 2015 et 2016, selon les rapports d’activité du FEAD. En 2018, des marchés pour trois lots de steaks hachés ont été passés, pour un montant total de plus de 5,2 millions d’euros.

      Cette entreprise se fournissait auprès d’un industriel polonais qui, selon la DGCCRF citée par Franceinfo, « livrait directement les associations ».
      Du Luxembourg au Cambodge

      Mais qui est derrière Voldis ? Sur le papier, l’entreprise est dirigée par Géraldine Barthelemy, qui n’a pas donné suite à nos sollicitations. Les statuts de l’entreprise indiquent toutefois qu’elle ne détient qu’une seule part sociale des 500 que compte l’entreprise. Le propriétaire est un certain Valéry Le Helloco. A travers la société Financière VLH qu’il contrôle, cet homme d’affaires de Loudéac (qui demeurait en 2007 au Togo) détient les 499 parts restantes.

      Depuis une maison d’habitation de Loudéac, où sont domiciliées plusieurs de ses entreprises, il semble surtout régner sur un petit empire financier… exotique, qui implique Jersey (où il demeurait en 2009), le Luxembourg (où la Financière VLH est domiciliée), des parts dans des casinos et un hôtel de luxe au Cambodge.

      Selon une déclaration rendue publique en 2017 par l’Autorité des marchés financiers, on sait en effet que Valéry Le Helloco, en plus de Voldis, contrôle une autre entreprise dans le domaine de l’industrie alimentaire : Le Clézio Industrie (« abattage et découpe de dindes »).

      Mais ses activités ne se cantonnent pas à l’alimentaire. Au pied de la maison de Loudéac se trouve une agence d’intérim, qu’il détient aussi : Flèche Intérim.

      En 2017, avec sa financière VLH et ses autres boîtes (Flèche Intérim, Le Clézio), il détenait 25% du capital d’une société, Viktoria Invest, « holding financier diversifié » présent dans le domaine de l’immobilier, du papier, des casinos et de l’hôtellerie. Holding qui a depuis retrouvé son nom d’origine, Electricité et Eaux de Madagascar, créée en 1928. En 2017, elle accusait une perte de près de 3 milllions d’euros.

      A l’automne 2017, Valéry Le Helloco réussit à se hisser à la tête de l’entreprise, après une rude bagarre interne contre l’ex-PDG, François Gontier, et l’actionnaire Guy Wyser-Pratte, « le célèbre activiste franco-américain qui s’est fait notamment connaître en tentant de secouer la gouvernance de Lagardère il y a quelques années », raconte Investir. Au cœur du conflit, notamment : le contrôle d’un hôtel de luxe au Cambodge, à Siem Reap, près d’Angkor. Loin, très loin, des abattoirs des Côtes-d’Armor.

      Les steaks sont comestibles mais ces 780 tonnes serons détruits car le hachis de cadavres est gâché par du méchant soja !

  • Facebook désactive plus de 250 pages politiques trompeuses gérées par une entreprise israélienne
    https://www.lemonde.fr/pixels/article/2019/05/16/facebook-desactive-plus-de-250-pages-politiques-trompeuses-gerees-par-une-en

    Les pages, qui pour certaines usurpaient l’identité de candidats, visaient majoritairement l’Afrique subsaharienne. La société de Mark Zuckerberg a annoncé jeudi 16 mai avoir supprimé 265 comptes, pages et groupes, sur Facebook et Instagram, faisant tous partie d’un même réseau utilisé pour diffuser de fausses informations ou influer de manière malhonnête sur le débat politique. La plupart de ces comptes visaient les internautes de plusieurs pays d’Afrique subsaharienne (Togo, Angola, Nigeria, Niger…), (...)

    #Facebook #manipulation #Archimedes #publicité

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  • Record High #Remittances Sent Globally in #2018

    Remittances to low- and middle-income countries reached a record high in 2018, according to the World Bank’s latest Migration and Development Brief.

    The Bank estimates that officially recorded annual remittance flows to low- and middle-income countries reached $529 billion in 2018, an increase of 9.6 percent over the previous record high of $483 billion in 2017. Global remittances, which include flows to high-income countries, reached $689 billion in 2018, up from $633 billion in 2017.

    Regionally, growth in remittance inflows ranged from almost 7 percent in East Asia and the Pacific to 12 percent in South Asia. The overall increase was driven by a stronger economy and employment situation in the United States and a rebound in outward flows from some Gulf Cooperation Council (GCC) countries and the Russian Federation. Excluding China, remittances to low- and middle-income countries ($462 billion) were significantly larger than foreign direct investment flows in 2018 ($344 billion).

    Among countries, the top remittance recipients were India with $79 billion, followed by China ($67 billion), Mexico ($36 billion), the Philippines ($34 billion), and Egypt ($29 billion).

    In 2019, remittance flows to low- and middle-income countries are expected to reach $550 billion, to become their largest source of external financing.

    The global average cost of sending $200 remained high, at around 7 percent in the first quarter of 2019, according to the World Bank’s Remittance Prices Worldwide database. Reducing remittance costs to 3 percent by 2030 is a global target under Sustainable Development Goal (SDG) 10.7. Remittance costs across many African corridors and small islands in the Pacific remain above 10 percent.

    Banks were the most expensive remittance channels, charging an average fee of 11 percent in the first quarter of 2019. Post offices were the next most expensive, at over 7 percent. Remittance fees tend to include a premium where national post offices have an exclusive partnership with a money transfer operator. This premium was on average 1.5 percent worldwide and as high as 4 percent in some countries in the last quarter of 2018.

    On ways to lower remittance costs, Dilip Ratha, lead author of the Brief and head of KNOMAD, said, “Remittances are on track to become the largest source of external financing in developing countries. The high costs of money transfers reduce the benefits of migration. Renegotiating exclusive partnerships and letting new players operate through national post offices, banks, and telecommunications companies will increase competition and lower remittance prices.”

    The Brief notes that banks’ ongoing de-risking practices, which have involved the closure of the bank accounts of some remittance service providers, are driving up remittance costs.

    The Brief also reports progress toward the SDG target of reducing the recruitment costs paid by migrant workers, which tend to be high, especially for lower-skilled migrants.

    “Millions of low-skilled migrant workers are vulnerable to recruitment malpractices, including exorbitant recruitment costs. We need to boost efforts to create jobs in developing countries and to monitor and reduce recruitment costs paid by these workers,” said Michal Rutkowski, Senior Director of the Social Protection and Jobs Global Practice at the World Bank. The World Bank and the International Labour Organization are collaborating to develop indicators for worker-paid recruitment costs, to support the SDG of promoting safe, orderly, and regular migration.

    Regional Remittance Trends

    Remittances to the East Asia and Pacific region grew almost 7 percent to $143 billion in 2018, faster than the 5 percent growth in 2017. Remittances to the Philippines rose to $34 billion, but growth in remittances was slower due to a drop in private transfers from the GCC countries. Flows to Indonesia increased by 25 percent in 2018, after a muted performance in 2017.

    After posting 22 percent growth in 2017, remittances to Europe and Central Asia grew an estimated 11 percent to $59 billion in 2018. Continued growth in economic activity increased outbound remittances from Poland, Russia, Spain, and the United States, major sources of remittances to the region. Smaller remittance-dependent countries in the region, such as the Kyrgyz Republic, Tajikistan, and Uzbekistan, benefited from the sustained rebound of economic activity in Russia. Ukraine, the region’s largest remittance recipient, received a new record of more than $14 billion in 2018, up about 19 percent over 2017. This surge in Ukraine also reflects a revised methodology for estimating incoming remittances, as well as growth in neighboring countries’ demand for migrant workers.

    Remittances flows into Latin America and the Caribbean grew 10 percent to $88 billion in 2018, supported by the strong U.S. economy. Mexico continued to receive the most remittances in the region, posting about $36 billion in 2018, up 11 percent over the previous year. Colombia and Ecuador, which have migrants in Spain, posted 16 percent and 8 percent growth, respectively. Three other countries in the region posted double-digit growth: Guatemala (13 percent) as well as Dominican Republic and Honduras (both 10 percent), reflecting robust outbound remittances from the United States.

    Remittances to the Middle East and North Africa grew 9 percent to $62 billion in 2018. The growth was driven by Egypt’s rapid remittance growth of around 17 percent. Beyond 2018, the growth of remittances to the region is expected to continue, albeit at a slower pace of around 3 percent in 2019 due to moderating growth in the Euro Area.

    Remittances to South Asia grew 12 percent to $131 billion in 2018, outpacing the 6 percent growth in 2017. The upsurge was driven by stronger economic conditions in the United States and a pick-up in oil prices, which had a positive impact on outward remittances from some GCC countries. Remittances grew by more than 14 percent in India, where a flooding disaster in Kerala likely boosted the financial help that migrants sent to families. In Pakistan, remittance growth was moderate (7 percent), due to significant declines in inflows from Saudi Arabia, its largest remittance source. In Bangladesh, remittances showed a brisk uptick in 2018 (15 percent).

    Remittances to Sub-Saharan Africa grew almost 10 percent to $46 billion in 2018, supported by strong economic conditions in high-income economies. Looking at remittances as a share of GDP, Comoros has the largest share, followed by the Gambia , Lesotho, Cabo Verde, Liberia, Zimbabwe, Senegal, Togo, Ghana, and Nigeria.

    The Migration and Development Brief and the latest migration and remittances data are available at www.knomad.org. Interact with migration experts at http://blogs.worldbank.org/peoplemove

    http://www.worldbank.org/en/news/press-release/2019/04/08/record-high-remittances-sent-globally-in-2018?cid=ECR_TT_worldbank_EN_EXT
    #remittances #statistiques #chiffres #migrations #diaspora

    #Rapport ici :


    https://www.knomad.org/sites/default/files/2019-04/MigrationandDevelopmentBrief_31_0.pdf

    ping @reka

    • Immigrati, boom di rimesse: più di 6 miliardi all’estero. Lo strano caso dei cinesi «spariti»

      Bangladesh, Romania, Filippine: ecco il podio delle rimesse degli immigrati che vivono e lavorano in Italia. Il trend è in forte aumento: nel 2018 sono stati inviati all’estero 6,2 miliardi di euro, con una crescita annua del 20, 7 per cento.
      A registrarlo è uno studio della Fondazione Leone Moressa su dati Banca d’Italia, dopo il crollo del 2013 e alcuni anni di sostanziale stabilizzazione, oggi il volume di rimesse rappresenta lo 0,35% del Pil.

      Il primato del Bangladesh
      Per la prima volta, nel 2018 il Bangladesh è il primo Paese di destinazione delle rimesse, con oltre 730 milioni di euro complessivi (11,8% delle rimesse totali).
      Il Bangladesh nell’ultimo anno ha registrato un +35,7%, mentre negli ultimi sei anni ha più che triplicato il volume.

      Il secondo Paese di destinazione è la Romania, con un andamento stabile: +0,3% nell’ultimo anno e -14,3% negli ultimi sei.
      Da notare come tra i primi sei Paesi ben quattro siano asiatici: oltre al Bangladesh, anche Filippine, Pakistan e India. Proprio i Paesi dell’Asia meridionale sono quelli che negli ultimi anni hanno registrato il maggiore incremento di rimesse inviate. Il Pakistan ha registrato un aumento del +73,9% nell’ultimo anno. Anche India e Sri Lanka sono in forte espansione.

      Praticamente scomparsa la Cina, che fino a pochi anni fa rappresentava il primo Paese di destinazione e oggi non è nemmeno tra i primi 15 Paesi per destinazione delle rimesse.
      Mediamente, ciascun immigrato in Italia ha inviato in patria poco più di 1.200 euro nel corso del 2018 (circa 100 euro al mese). Valore che scende sotto la media per le due nazionalità più numerose: Romania (50,29 euro mensili) e Marocco (66,14 euro). Tra le comunità più numerose il valore più alto è quello del Bangladesh: ciascun cittadino ha inviato oltre 460 euro al mese. Anche i senegalesi hanno inviato mediamente oltre 300 euro mensili.

      https://www.ilsole24ore.com/art/notizie/2019-04-17/immigrati-boom-rimesse-piu-6-miliardi-all-estero-strano-caso-cinesi-spa
      #Italie #Chine #Bangladesh #Roumanie #Philippines

  • The shady origins of gold refined in Switzerland

    Most of the gold in the world passes through Switzerland. This is a business worth CHF70-90 billion ($70-90 billion) depending on the year. Gold arrives here in unrefined form, and leaves the country in all its glittering purity.

    Sometimes, though, it is of highly dubious provenance. The government recognises the risk, which is why it recently issued a report on the subject. This report raises concerns over the exploitation of mine workers, and makes several recommendations to Swiss firms active in the field.

    Swiss refineries process 70% of the unrefined gold mined in the world each year. Four of the nine major players in the global gold industry conduct most of their business here in Switzerland. While the gold originates in ninety different countries, roughly half of all the gold imported for processing in Switzerland comes from Britain, the United Arab Emirates or Hong Kong – three countries that produce no gold themselves.

    Gold accounts for 63% of Britain’s exports to Switzerlandexternal link, 92% of the Emirates’ and 78% of Hong Kong’s. But then too, Switzerland imports a significant amount of gold from countries that largely depend on it as a main export, such as #Burkina_Faso (where gold represents 72% of the country’s exports), #Ghana (51%) and #Mali (77%).

    As can be seen from the accompanying chart, some of the main gold producers are countries not exactly known for respecting human rights. But looking at the second table, we also see that among the gold producers are several countries at war, which use the profits from gold to bankroll hostilities. In all these cases, the phrase used is “illegal gold” or “dirty gold” or even “blood gold”.

    An important economic sector

    To show just how important this sector is for the Swiss economy: in 2017, for example, 2404 metric tons of gold were imported, with a value of about CHF70 billion. In the same year Switzerland exported gold worth approximately CHF67 billion. In other words, 24% of Swiss exports and 31% of imports were directly linked to gold.

    To compare this with the other “jewels in the crown” of Swiss industry: in the same period the country’s watchmakers made about CHF20 billion in exports, the equivalent about 24 million watches and clocks. Swiss chocolate makers exported just under CHF1 billion, or 128,000 tons of chocolate.

    To match the achievements of the gold sector, these other industries would have to export 85 billion chocolate bars or 84 million watches and clocks. Only the pharmaceutical industry packs more economic weight: in 2017 the Swiss pharma giants exported goods to the value of CHF 98 billion.

    Limited transparency

    The trade in gold is worth one out of three Swiss franc’s worth of imports, and a quarter of a franc’s worth of exports. Not exactly peanuts, is it? The charts provided by the Observatory of Economic Complexity are instructive in this regard:

    This is not a sector known for transparency. Far from it. There has been no lack of scandals over the years – from Peru to Togo (see story), via Burkina Faso and the Congo. In all these cases there has been talk of “blood gold” arriving from these countries in Switzerland to be refined. Then the gold in all its purity ends up in Britain, India, China and Hong Kong.
    What is “blood gold”?

    What exactly counts as “blood gold”? As the name implies, it’s gold stained with human blood, extracted in ways that fly in the face of human rights. “Bloody gold” also involves trampling of the rights of native peoples to self-determination and ownership of their ancestral lands.

    Illegal mining of gold causes environmental damage, mainly due to pollution by heavy metals. Furthermore, gold mining often goes together with gun-running for local wars, organised crime, and money laundering.

    Some of this gold has a way of getting to Switzerland for refining. The Swiss government has long been aware of this risk. In its report on the trade in gold published recently, it admits it cannot exclude the possibility that gold produced at the expense of human rights may be coming into Switzerland.
    Blood gold - origin and traceability

    In a joint statement, several of the Swiss NGOs active in campaigning for human rights agree that the government’s analysis pinpoints the major problems in this high-risk economic sector, but they find that the solutions proposed are inadequate.

    One of the main problems is knowing where the gold actually comes from. More than half of all gold entering Switzerland comes from Britain, the United Arab Emirates and Hong Kong. These countries no more produce gold than does Switzerland itself. They are just the second-last stop on the journey of unrefined gold from other parts of the world.

    “Multinationals that refine gold in Switzerland know perfectly well where their raw materials are coming from," say Marc Ummel, head of development policy in the raw materials sector at Swissaid. "They just don’t say it.”

    While the federal government recognises in its report that the origins of gold need to be traceable, in practice the regulatory agencies just know the last country it came from, not the real country of origin.

    For Ummel, the answer to the problem is simple. “We call on the government to require the Federal Customs Administration to find out the origin of goods arriving and not just the last country exporting them to Switzerland”.

    Over the years, adds Ummel, the gold industry multinationals have been saying they want to improve the quality of information available. “But what does that mean? It would be enough just to declare the origin of the gold, what country, what mine it is coming from, and above all whether these mining operations pay heed to basic human rights and respect the environment. That would be improving the quality of information all right. But it isn’t happening.”

    Voluntary compliance

    As the government’s own report says, Swiss refineries apply “voluntary” standards to ensure that production is in line with social and environmental considerations. But there is no obligation to comply.

    The federal government itself endorses (but does not enforce) the standards developed by the OSCE and encourages (but does not compel) corporations to implement them.

    The “Better Gold Initiative” (BGI) was launched by Switzerland in 2013 in Peru with a view to sourcing gold from small-scale mines that respect the voluntary sustainability guidelines. The project meant that from 2013 to 2017, some 2.5 tons of gold produced in a responsible manner were extracted and sold. It was certainly a laudable undertaking, but it represented no more than 0.015% of yearly world production.
    Well-meaning but imperfect legislation

    Swiss legislation already on the books is among the strictest in the world in regulating trade in gold, the federal government says. Laws on control of precious metals and combatting money-laundering aim to ensure that gold being processed in the refineries does not come from illegal mining.

    Ummel does not share this view. “It’s not really true,” he says. “The European Union, even the US, have stricter laws. Swiss law does try to curb illegal gold mining, but, as the government admits, it does not have explicit provisions on respecting human rights.” Despite this admission, the federal government sees no need for new legislation in the matter.

    Why this reluctance? Ummel has his theories. “The federal government talks about the tough international competition that the Swiss industry has to confront,” he notes. “So, not wishing to add to the difficulties of a sector involving one third of all imports and a quarter of all exports, the government has little inclination to clean things up.”

    Competition is a fact. As Ummel himself admits, “there are more refineries in the world than there is unrefined gold.”
    What’s the answer?

    In its report, the federal government has eight recommendations for greater transparency, but it is not considering making anything compulsory.

    The NGOs, in contrast, are calling for a requirement of “due diligence” (https://www.swissaid.ch/fr/conseil-federal-rapport-or), with sanctions that would be invoked if the diligence was not done. That is, they say, the only real step to take in the direction of trasparency. It remains to be seen whether the industry is able – or willing – to do it.

    https://www.swissinfo.ch/eng/business/multinationals_the-shady-origins-of-gold-refined-in-switzerland/44621040
    #or #matières_premières #Suisse #extractivisme #transparence #multinationales

  • L’Assemblée Générale de l’ONU vote en faveur de 8 résolutions sur le Palestine
    2M - 17/11/2018 à 12:31
    http://www.2m.ma/fr/news/lassemblee-generale-de-lonu-vote-en-faveur-de-8-resolutions-sur-le-palestine-2018

    L’Assemblée générale des Nations unies a voté, ce samedi 17 novembre, en majorité en faveur de huit résolutions sur la Palestine. Il s’agit d’un nouveau soutien de la communauté internationale à la cause palestinienne en dépit des tentatives menées pour l’affaiblir et la contrecarrer.

    L’observateur permanent de la Palestine auprès de l’ONU, Riyad Mansour, a indiqué suite à ce vote que « l’Assemblée générale de l’ONU a voté en faveur de quatre résolutions relatives à l’Office de secours des Nations unies pour les réfugiés de Palestine (UNRWA) et de quatre autres sur les pratiques des forces d’occupation israéliennes dans les territoires palestiniens occupés », a rapporté l’agence Wafa, (Wikalat al-Anba’ al-Falestinya).

    L’agence de presse palestinienne a affirmé d’après Riyad Mansour toujours que ce vote de la communauté internationale est une « preuve du soutien permanent à la cause palestinienne ».

    Ces textes de résolution ont été entérinés par 155 voix pour et 5 contre, à savoir, (Etats-Unis, Canada, Israël, Iles Marshall, Etats fédérés de Micronésie), tandis que 10 pays se sont abstenus (Australie, Cameroun, Côte d’Ivoire, Guatemala, Honduras, Mexique, Palaos, Rwanda, Iles Salomon, Togo).

    Il s’agit, entre autres, des projets de résolution portant sur les « personnes déplacées à la suite des hostilités de juin 1967 et des hostilités qui ont suivi », des « opérations de l’Office de secours et de travaux des Nations unies pour les réfugiés de Palestine dans le Proche-Orient » et « des propriétés des réfugiés de Palestine et leurs revenus ».

    L’Assemblée générale de l’ONU a approuvé, également, un projet de résolution sur « l’applicabilité de la Convention de Genève relative à la protection des personnes civiles en temps de guerre du 12 août 1949, aux territoires palestiniens occupés, y compris El Qods-Est et aux autres territoires arabes occupés » et un projet relatif aux « Travaux du Comité spécial chargé d’enquêter sur les pratiques israéliennes affectant les droits de l’homme du peuple palestinien et des autres Arabes des territoires occupés ».

    #PalestineONU

  • Burkina Faso: June – October 2018 Chronology of Violent Incidents Related to Al-Qaeda and Islamic State in the Greater Sahara (ISGS)
    Sahel Memo
    http://www.sahelmemo.com/2018/11/01/burkina-faso-june-october-2018-chronology-of-violent-incidents-related-to

    Burkina Faso: June – October 2018 Takeaways and Trends
    – Militants activity in Burkina Faso have been on the rise for the past two years. Since June 2018 Sahel MeMo observed similar trend with an expansion from Northern parts bordering Mali and Niger, to the Est Region on the borders with Benin, Niger, and Togo. Militant groups have been trying to establish a base there since early 2016, explaining groups’ ability to carry complex deadly attacks, including the use of improvised explosive devices (IEDs).
    – Violence in the eastern part of Burkina Faso by militant groups most likely to continue. In addition to targeting security forces and intimidation acts against civil servants, militants will look to continue to disrupt gold mining in the area. In fact, security forces in charge of protecting gold mines or escorting staff have been subject to attacks by militants at least in August 2018. If this to continue, livelihoods of local communities benefiting from gold mining could be at risk if security situation continues to deteriorate in the region.
    – These attacks are mostly attributed rather than claimed by militant groups known to operate in Burkina Faso. These militant groups include Ansaroul Islam, Jama’at Nusrat al-Islam wal-Muslimeen (JNIM), and Islamic State in the Greater Sahara (ISGS). Out of the three only JNIM have been consistent releasing official claims of attacks. Thus analysts, observers, journalists, and Burkinabe authorities are contributing most of violent incidents based on the area where occurred and means used. Important to note that between June and October 2018 no incidents officially claimed by JNIM. This could be explained by difficulty of movement during rainy season (June – October) in the region.
    – October 3rd witnessed the first reported French airstrikes against militants after request of support from Burkinabe authorities. This was following a deadly attack against Inata gold mine gendarmerie post.


    #Burkina #Terrorisme

  • DOSSIER / URBANITÉS AFRICAINES
    http://www.revue-urbanites.fr/urbanites-africaines

    ARTICLES
    Le projet de reconversion du port de Tanger : entre urbanisme standardisé et jeux d’alliances locales ? par Brendan Blayac

    Le programme d’appui à la reconstruction de la Fédération Sénégalaise des Habitants – vers un urbanisme participatif et solidaire, par Lionel Chabot, Pape Ameth Keita et Bea Varnai

    Lagos, immensité et urbanité d’une ville d’Afrique subsaharienne fantasme dans les séries télévisées, par Pierre Denmat

    Les programmes de logement public à Yaoundé : entre laboratoire libéral et manifestations urbaines du clientélisme dans un Cameroun post-austérité, par Mathilde Jourdam-Boutin

    Déplacer et relocaliser les citadins à Lomé (Togo) : l’urbanité négociée, par Amandine Spire et Natacha Gourland

    Vivre avec l’insécurité hydrique dans une ville sahélienne : les stratégies d’adaptation à Niamey (Niger), par Sandrine Vaucelle et Hassane Younsa Harouna

    PORTFOLIOS
    Les chantiers à Yaoundé et Douala, poétique des villes camerounaises en construction, par Mathilde Jourdam-Boutin

    Rien ne se perd, tout se récupère ! Pour une reconnaissance des récupérateurs informels de Casablanca, par Pascal Garret et Bénédicte Florin

    Les toits du Caire, des espaces ressource ? par Marie Piessat

  • UN Human Rights Council passes a resolution adopting the peasant rights declaration in Geneva - Via Campesina
    https://viacampesina.org/en/un-human-rights-council-passes-a-resolution-adopting-the-peasant-right

    Seventeen years of long and arduous negotiations later, peasants and other people working in rural areas are only a step away from having a UN Declaration that could defend and protect their rights to land, seeds, biodiversity, local markets and a lot more.

    On Friday, 28 September, in a commendable show of solidarity and political will, member nations of United Nations Human Rights Council passed a resolution concluding the UN Declaration for the Rights of Peasants and Other People Working in Rural Areas. The resolution was passed with 33 votes in favour, 11 abstentions and 3 against. [1]

    Contre : Australie, Hongrie et Royaume-Uni

    In favour: Afghanistan, Angola, Burundi, Chile, China, Cote d’Ivoire, Cuba, Democratic Republic of Congo, Ecuador, Egypt, Ethiopia, Iraq, Kenya, Kyrgyzstan, Mexico, Mongolia, Nepal, Nigeria, Pakistan, Panama, Peru, Philippines, Qatar, Rwanda, Saudi Arabia, Senegal, South Africa, Switzerland, Togo, Tunisia, Ukraine, United Arab Emirates, Venezuela

    Abstention: Belgium, Brazil, Croatia, Georgia, Germany, Iceland, Japan, Republic of Korea, Slovakia, Slovenia, Spain

    https://viacampesina.org/en/wp-content/uploads/sites/2/2011/03/Declaration-of-rights-of-peasants-2009.pdf

    #droit_des_paysan·nes

  • 79 percent of right-wingers believe Jews are the chosen people. Are you for real ?
    Whereas belief in God is a private matter, the belief in a chosen people provides the outlines of policy that explains a great deal about Israel’s actions. When they say that they are the chosen people, it reveals their psychosis
    Gideon Levy - Sep 15, 2018 11:28 PM
    https://www.haaretz.com/opinion/.premium-79-percent-of-right-wingers-believe-jews-are-the-chosen-people-are

    File Photo: An Ultra-Orthodox man looks at the Western Wall in Jerusalem. Credit : RONEN ZVULUN/Reuters

    I would like to meet representatives of that absolute, decisive, arrogant and patronizing majority reflected in a recent Haaretz poll and ask them: Are you guys for real? How did you come up with that? On whose say-so? Are you, the absolute majority, so sure that we are the chosen, the very best, that we are the champions, head and shoulders above the rest?

    How did you come to this conclusion? I’d like to ask you, dear majority: On what basis are you convinced that we are the chosen people, that we know everything better than all the other nations; that we deserve more than everyone else; that what applies to them does not apply to us, because we are superior.

    This is how a majority of Israeli Jews responded in the Haaretz-Dialog poll published last week: We are a chosen people. A majority, 56 percent, are sure of this. The figure rises to 79 percent, an overwhelming majority, among self-identified right-wingers. In a country where 76 percent of people believe in God or another higher power, perhaps that is obvious. But whereas belief in God is a private matter, the belief in a chosen people provides the outlines of policy that explains a great deal about Israel’s actions.

    Credit : Haaretz

    Let’s turn from theology to pathology. The Israeli Jews who think they belong to a chosen and select people owe an accounting to themselves and to others. It’s easy to declare that God does or doesn’t exist. No one is expecting evidence, but when the majority of a nation is convinced that it is superior to all other nations, some evidence is necessary. In Israel’s case, it’s easy to prove that it’s a case of detachment from reality, a dangerous delusion. In any event, a people that is convinced that it is chosen poses a danger to itself and its surroundings.

    The Jewish people is indeed special, with a glorious and bloody history. Israeli Jews, too, have cause for pride. But when they say that they are the chosen people, it reveals their psychosis. It’s doubtful that any other nation thinks that of itself today. Israeli Jews have no grounds to think this either. In what way are we chosen? In what way are we better? And what is the Swede, the French person, the American, the Briton or the Arab supposed to think about this insufferable arrogance?

    There’s no need to elaborate on Israel’s questionable morality as an occupier. Any Israeli with even a modicum of self-awareness recognizes that an occupying nation cannot be the chosen people. Nor would a bit of humility hurt when it comes to a few other characteristics of the people of Israel, before it crowns itself a light unto the nations. I recommend, for example, reading the comprehensive, horrifying analysis in Haaretz by Dan Ben-David of the country’s education system, which did not prompt the necessary outcry. Half of Israel’s children receive a Third World education.

    A little modesty would also become the citizens of a state that ranks 87th in the 2018 World Press Freedom Index, below Togo and the Ivory Coast. Nor is No. 32 on Transparency International’s 2017 Corruption Perceptions Index something to celebrate. Health care is yet another area where Israel’s self-esteem should be curbed: The country ranks 28th in health-care spending, of the 36 Organization for Economic Cooperation and Development member states, and 30th in the number of hospital beds.

    The behavior of Israeli tourists abroad is also not always befitting a chosen people. Perhaps Israel ranks high on an index of German submarine purchases, and maybe that’s the key to understanding the sense of superiority.

    Basking in self-glorification has recently become a salient characteristic of Israel’s national character. Just regularly read the Israel Hayom daily or listen to the prime minister: How lovely we are from morning to night.

    The right spreads this lie, for its own purposes. Sycophantic populism thrives not only in Israel, but it is only here that the disparity between dream and reality is so great. A chosen people? If only it were finally like all the other nations.

  • Un tanker disparaît dans l’épicentre mondial de la piraterie, au large du Gabon
    https://www.lemonde.fr/afrique/article/2018/08/22/disparition-d-un-tanker-au-large-du-gabon_5344910_3212.html

    Un tanker de 121 mètres ayant à son bord 17 marins géorgiens a disparu depuis une semaine au large du Gabon, dans le golfe de Guinée, considéré comme l’épicentre de la piraterie maritime dans le monde. Le Pantelena, battant pavillon panaméen, « a disparu des écrans » depuis mardi 14 août. Il se situait à ce moment « entre les eaux du Gabon et de Sao Tomé-et-Principe », selon une source militaire régionale.

    A Tbilissi, le ministère des affaires étrangères a précisé qu’il y avait 17 marins géorgiens et deux russes à bord. Le navire, construit en 2006 et d’une capacité de 7 000 tonnes, appartient à la société grecque Lotus Shipping, qui a lancé une opération de recherche conjointement avec « les forces maritimes régionales et du Royaume-Uni et en coordination avec les autorités géorgiennes », selon un communiqué de Tbilissi.

  • https://www.lemonde.fr/planete/article/2018/07/12/des-geants-du-petrole-livrent-de-l-essence-toxique-a-l-afrique-de-l-ouest_53

    Bientôt, peut-être, l’Afrique de l’Ouest cessera d’être intoxiquée par de l’essence et du diesel émettant de grandes quantités de particules fines exportés par des géants du négoce sans scrupule. C’est la fameuse « qualité africaine », comme disent les courtiers : des produits pétroliers de piètre qualité mélangés à des substances très chimiques dans les cuves de tankers décatis.

    Ca tient un peu du crime contre l’humanité non ?

    • Des géants du pétrole livrent de l’essence toxique à l’Afrique de l’Ouest

      Selon un rapport des Pays-Bas, les tradeurs exportent vers le continent africain des hydrocarbures mélangés à des substances chimiques dangereuses pour la santé.

      Bientôt, peut-être, l’Afrique de l’Ouest cessera d’être intoxiquée par de l’essence et du diesel émettant de grandes quantités de particules fines exportés par des géants du négoce sans scrupule. C’est la fameuse « qualité africaine », comme disent les courtiers : des produits pétroliers de piètre qualité mélangés à des substances très chimiques dans les cuves de tankers décatis.

      La teneur en soufre est entre 200 et 1 000 fois supérieure aux normes européennes, les conséquences en matière de santé publique dévastatrices et les bénéfices pour les pétroliers considérables. Un scandale révélé par une enquête rigoureuse de l’organisation suisse Public Eye (ex-Déclaration de Berne) en septembre 2016.

      Cette fois, ce n’est pas de la « propagande » d’ONG ou de militants écologistes passionnés, comme ont tenté de le faire croire certains tradeurs de grands groupes spécialisés dans la confection et l’exportation de ce « dirty diesel » invendable ailleurs qu’en Afrique.

      Dans un rapport officiel rendu public lundi 9 juillet, l’Inspection pour l’environnement humain et les transports des Pays-Bas note que « les carburants destinés à l’Afrique de l’Ouest sont mélangés autant que possible ».

      Mélange de produits pétroliers

      A l’issue d’une enquête portant sur les cargaisons de quarante-quatre tankers en partance pour l’Afrique de l’Ouest, la police environnementale hollandaise constate l’usage « à grande échelle » de manganèse et de benzène, des substances hautement cancérigènes, ainsi que d’autres produits pétrochimiques interdits dans la majeure partie du monde. Elle note dans les carburants destinés à cette partie du monde « 300 fois plus de soufre qu’autorisé par les standards européens », recoupant les révélations de Public Eye.

      Si les Pays-Bas ont diligenté cette enquête qui sera présentée au Parlement à une date encore inconnue et dont certains cas d’illégalité pourraient être transmis à la justice, c’est que près de 50 % des produits pétroliers exportés vers l’Afrique de l’Ouest partent des ports d’Amsterdam et de Rotterdam auxquels s’ajoute Anvers, en Belgique, selon les Nations unies (ONU). Les mélanges toxiques s’effectuent dans ces terminaux dotés de raffineries.

      Le rapport d’enquête hollandais pointe une dizaine de géants du courtage pétrolier tels que les suisses Vitol et Gunvor, l’anglo-suisse Glencore ou encore Trafigura, et leurs filiales chargées des activités « aval » (raffinage, distribution, commerce). Mais aussi des grandes compagnies pétrolières comme Total et Shell citées parmi les principaux acteurs de ce mélange de produits pétroliers.

      Parfois, par souci de discrétion, ces opérations sont réalisées en pleine mer, à quelques miles des côtes africaines et des mégapoles hyperpolluées où se concentrent une partie des 7 millions de personnes qui meurent chaque année à la suite de pathologies provoquées par la pollution d’un air trop chargé en particules fines, selon l’Organisation mondiale de la santé. Des métropoles comme Lagos et Dakar affichent des taux de particules fines supérieurs à ceux des villes d’Asie les plus polluées de la planète.

      Les choses sont en train de changer

      « La livraison de carburants toxiques à l’Afrique de l’Ouest n’est rien de moins qu’un scandale environnemental et de santé publique, a réagi le diplomate norvégien Erik Solheim, à la tête du Programme des Nations unies pour l’environnement (PNUE). L’idée que certaines parties du monde ne méritent pas la même protection sanitaire que les autres est tout simplement choquante. »

      Et d’appeler les industriels à cesser de tirer le maximum de bénéfices des faiblesses des standards d’Etats en la matière, avec des teneurs en soufre autorisées variant de 2 000 à 5 000 parties par million (ppm) pour le diesel et entre 150 et 3 500 ppm pour l’essence, contre des normes européennes fixées à 10 ppm depuis 2009.

      Mais les choses sont en train de changer en Afrique de l’Ouest. Le Ghana, pays producteur de pétrole, a ouvert la voie en s’alignant sur les recommandations du PNUE. Depuis le 1er juillet 2017, ce pays anglophone n’importe plus que des carburants à faible teneur en soufre (maximum 50 ppm contre 3 000 ppm auparavant). Pour ce qui est de sa raffinerie nationale, Accra se laisse jusqu’à 2020 pour se conformer au nouveau standard.

      « Le Ghana a décidé un changement radical tout en ayant trouvé une solution pour sa raffinerie qui ne parvient pas à produire des carburants conformes à cette nouvelle législation, constate Marc Guéniat, de Public Eye. Plutôt que de fermer sa raffinerie, il l’oblige à mélanger sa production avec du carburant importé pour se conformer aux normes, ce qui peut être un modèle pour les autres pays de la région. »

      Pressions des lobbys pétroliers

      Le Bénin, la Côte d’Ivoire, le Nigeria et le Togo s’étaient aussi engagés à réduire drastiquement les limites de teneur en soufre des carburants autorisées et à mettre aux normes leurs vieilles raffineries d’ici à juillet 2017. Mais aucun n’y est parvenu à temps. La mise en application varie d’un pays à l’autre, en fonction des pressions des lobbys pétroliers et des risques de hausse des prix des carburants à l’importation qui se répercuterait sur le consommateur.

      Pour le moment, la Côte d’Ivoire n’a pas vraiment engagé de réformes. Le Nigeria, géant pétrolier africain et premier importateur de carburants de la sous-région, devrait suivre l’exemple ghanéen, à son rythme. Ses raffineries ont jusqu’en 2021 pour s’adapter à la nouvelle limitation qui vient de passer de 3 000 ppm à 150 ppm pour le diesel, et sera appliquée en octobre 2019 pour l’essence, dont le processus est plus coûteux, comme l’a annoncé Anibor O. Kragha, le patron des raffineries au sein de la Compagnie pétrolière nationale du Nigeria (NNPC).

      « Le premier virage vers une essence plus propre devrait coûter 11,7 millions de dollars [10 millions d’euros] par mois. La réduction [du soufre] dans le diesel devrait coûter 2,8 millions de dollars par mois », a-t-il indiqué. Les Etats semblent déterminés à se débarrasser des carburants toxiques jusque-là exportés par les géants du négoce pétrolier et à faire oublier la sordide « qualité africaine ».

  • Lisez « Le Filon » | Philippe Revelli
    http://philipperevelli.com/lisez-le-filon

    Un an et quelques refus d’éditeurs après y avoir mis un point final, je me décide à mettre en ligne « Le Filon ». L’intrigue prend sa source dans une affaire bien réelle de contrebande d’or entre le Burkina Faso et la Suisse, via le Togo, et ce roman aurait pu faire un tabac si Lazare Masquet, personnage central de l’histoire, avait été un poil plus sérieux. Mais je suppose qu’on a les héros qu’on mérite… Source : Relevé sur le Net...

  • African migrants report torture, slavery in Algeria

    Dozens of Africans say they were sold for labour and trapped in slavery in Algeria in what aid agencies fear may be a widening trend of abusing migrants headed for a new life in Europe.

    Algerian authorities could not be reached for comment and several experts cast doubt on claims that such abuses are widespread in the north African country.

    The tightly governed state has become a popular gateway to the Mediterranean since it became tougher to pass through Libya, where slavery, rape and torture are rife. [nL8N1JX57L] [nL8N1R32QD]

    Amid a surge in anti-migrant sentiment, Algeria since late last year has sent thousands of migrants back over its southern border into Niger, according to the United Nations Migration Agency (IOM), where many tell stories of exploitation.

    The scale of abuse is not known, but an IOM survey of thousands of migrants suggested it could rival Libya.

    The Thomson Reuters Foundation heard detailed accounts of forced labour and slavery from an international charity and a local association in Agadez, Niger’s main migrant transit hub, and interviewed two of the victims by telephone.

    “The first time they sold me for 100,000 CFA francs ($170),” said Ousmane Bah, a 21-year-old from Guinea who said he was sold twice in Algeria by unknown captors and worked in construction.

    “They took our passports. They hit us. We didn’t eat. We didn’t drink,” he told the Thomson Reuters Foundation. “I was a slave for six months.”

    Accounts of abuse are similar, said Abdoulaye Maizoumbou, a project coordinator for global charity Catholic Relief Services. Of about 30 migrants he met who were deported from Algeria, about 20 said they had been enslaved, he said.

    In most cases, migrants said they were sold in and around the southern city of Tamanrasset shortly after entering the country, often by smugglers of their own nationality, he said.

    Some said they were tortured in order to blackmail their parents into paying the captors, but even when the money arrived they were forced to work for no pay, or sold, said Maizoumbou.

    One man told the Thomson Reuters Foundation he slept in a sheep pen and suffered beatings if an animal got sick or dirty.

    “They would bring out machetes and I would get on my knees and apologise and they would let it go,” said Ogounidje Tange Mazu, from Togo.

    The IOM in Algeria has received three reports this year from friends and relatives of African migrants held hostage and forced to work in the country. “It’s probably just an indication that it is happening. How big it is we don’t know,” said its chief of mission Pascal Reyntjens.
    TWO SIDES TO THE STORY

    Several analysts considered it unlikely that slavery was widespread in Algeria, since the country has a functioning judiciary and strong police force - unlike Libya.

    Algerian authorities could not be reached for comment, but a senior official said last week the country is facing a “surge of migration” and needs more help. [nL5N1ST568]

    In a statement this month, the government rejected reports from a U.N. human rights team that its mass deportations of migrants were inhuman, saying that it is doing what is necessary to ensure the safety of its citizens.

    “I would be very surprised that (slavery) would be allowed to happen in Algeria,” said Issandr El Amrani, North Africa project director for the International Crisis Group.

    “The situation is just not comparable to Libya,” he added.

    But in the ghettos of Agadez, Niger’s main transit hub, some people told a different story.

    “What happens in Algeria surpasses what happens in Libya,” said Bachir Amma, a Nigerien ex-smuggler who runs a football club and a local association to inform migrants of the risks.

    Migrants in Libya are often starved and beaten by armed groups, and there have been reports of “open slave markets” where migrants are put on sale, according to the U.N. human rights office. [nL8N1R32QD]

    Amma said he had spoken with more than 75 migrants back from Algeria, the majority of whom described slave-like conditions.

    “NGOs don’t know about this because they’re too interested in Libya,” he told the Thomson Reuters Foundation.

    In 2016, the IOM surveyed about 6,300 migrants in Niger, most of whom had returned from Algeria and Libya. Sixty-five percent of those who had lived in Algeria said they had experienced violence and abuse, compared to 61 percent in Libya. An estimated 75,000 migrants live in Algeria, the IOM said.

    ($1 = 582.8800 CFA francs)


    https://af.reuters.com/article/topNews/idAFKCN1IV1R5-OZATP
    #Algérie #torture #esclavage #esclavage_moderne #migrations #asile #réfugiés #migrants_sub-sahariens

  • Violences à Gaza : Israël convoque l’ambassadeur de Belgique après le vote de l’ONU
    La DH - belga Publié le lundi 21 mai 2018 à 18h07
    http://www.dhnet.be/actu/monde/violences-a-gaza-israel-convoque-l-ambassadeur-de-belgique-apres-le-vote-de-l-

    Israël a convoqué lundi les ambassadeurs d’Espagne, de Slovénie et de Belgique en réaction au vote de ces pays au Conseil des droits de l’Homme de l’ONU pour l’envoi d’une mission d’enquête internationale sur les événements sanglants à Gaza.

    Selon un communiqué du ministère des Affaires étrangères israélien, la directrice adjointe chargée de l’Europe occidentale a rencontré lundi les ambassadeurs d’Espagne et de Slovénie tandis que l’ambassadeur de Belgique sera reçu mardi.

    • Le Conseil des droits de l’homme décide la création d’une commission d’enquête sur les attaques militaires israéliennes contre les manifestations civiles palestiniennes
      GENEVA (18 mai 2018)
      http://www.ohchr.org/FR/HRBodies/HRC/Pages/NewsDetail.aspx?NewsID=23107&LangID=F

      (...) Les États suivants ont voté en faveur de la résolution (29) : Afghanistan, Afrique du Sud, Angola, Arabie Saoudite, Belgique, Brésil, Burundi, Chili, Chine, Côte d’Ivoire, Cuba, Égypte, Émirats Arabes Unis, Équateur, Espagne, Irak, Kirghizistan, Mexique, Népal, Nigeria, Pakistan, Pérou, Philippines, Qatar, République Démocratique du Congo, Sénégal, Slovénie, Tunisie et Venezuela.

      Les États suivants ont voté contre (2) : Australie et États-Unis.

      Les États suivants se sont abstenus (14) : Allemagne, Croatie, Éthiopie, Géorgie, Hongrie, Japon, Kenya, Panama, République de Corée, Royaume-Uni, Rwanda, Slovaquie, Suisse et Togo.

      Déclarations concernant le projet de résolution
      (...)
      La Belgique, s’exprimant également au nom de l’Espagne et de la Slovénie, a dit soutenir le projet de résolution et la création d’une commission d’enquête, car à leurs yeux, l’usage de la force contre ces manifestants n’était pas justifié. Les trois délégations saluent la coopération de l’État de Palestine pour parvenir à un texte équilibré, même s’ils regrettent que le texte ne fasse pas mention du droit légitime d’Israël à protéger ses frontières. Les délégations, tout en appuyant le texte, appellent le Hamas et les organisateurs de ces manifestations à faire preuve de plus responsabilité.(...)

  • Vincent Bolloré placé en garde à vue dans l’affaire des concessions portuaires en Afrique
    http://www.lemonde.fr/societe/article/2018/04/24/ports-africains-vincent-bollore-en-garde-a-vue_5289749_3224.html

    J’entends le rire de quelques journalistes

    Selon les informations du Monde, le milliardaire breton a été placé en garde à vue dans le cadre d’une information judiciaire ouverte notamment pour « #corruption d’agents publics étrangers » et portant sur les conditions d’obtention en 2010 de deux des seize terminaux à conteneurs opérés par le groupe Bolloré sur le continent africain, l’un à Lomé, au Togo, l’autre à Conakry, en Guinée.

    Les magistrats soupçonnent les dirigeants du groupe d’avoir utilisé leur filiale de communication Havas pour faciliter l’arrivée au pouvoir de dirigeants africains en assurant des missions de conseil et de communication sous-facturées. Et ce, dans un seul objectif : obtenir les concessions portuaires des lucratifs terminaux à conteneurs.

    Plusieurs autres cadres du groupe étaient eux aussi en garde à vue mardi : le directeur général du groupe #Bolloré, Gilles Alix, et Jean-Philippe Dorent, responsable du pôle international de l’agence de communication Havas.

    Selon Challenges, Francis Perez, dirigeant du groupe Pefaco a lui aussi été placé en garde à vue. Proche de M. Dorent, il est à la tête d’une entreprise qui développe des casinos et des hôtels en Afrique et notamment à Lomé. Les enquêteurs cherchent à savoir pour quelle raison il a versé plusieurs centaines de milliers d’euros à M. Dorent. « Un prêt pour une maison », avait-il assuré au Monde en 2016.

  • Au #Sahel, #sécheresse et #jihad créent une « #crise_pastorale » explosive

    Au Sahel, la sécheresse chasse les troupeaux et leurs bergers vers des contrées plus accueillantes, déclenchant une « crise pastorale » qui risque d’aggraver l’insécurité alimentaire dans une région déjà fragilisée par la présence de groupes jihadistes, alertent les spécialistes.

    Traditionnelles, les migrations transfrontalières de troupeaux en #Afrique_de_l'ouest ont été cette semaine au centre d’une réunion de trois jours des membres du Réseau de prévention des crises alimentaires (RPCA), au siège de l’OCDE à Paris.

    Dans plusieurs pays, « il n’y a pas assez de fourrage, et les troupeaux sont partis plus tôt que prévu, en octobre au lieu de janvier, car ils n’avaient plus rien à manger », explique à l’AFP Maty Ba Dio, coordinatrice régionale du projet régional d’appui au pastoralisme au Sahel, basée à Ouagadougou.

    « La difficulté, c’est qu’ils sont arrivés alors que les populations agricoles du sud n’avaient pas complètement fini les récoltes, les animaux ont envahi et détruit les parcelles de culture (...), cela a créé des conflits énormes », regrette-t-elle. Les investissements en semences et engrais ont été anéantis.

    Dans les pays côtiers qui reçoivent les migrations de troupeaux, « comme le #Nigeria, le #Ghana, ou le #Togo », les conflits « ont abouti à des morts d’hommes, avec des images difficiles à regarder », souligne aussi Mme Ba Dio.


    https://afrique.tv5monde.com/information/au-sahel-secheresse-et-jihad-creent-une-crise-pastorale-explosive
    #pastoralisme #élevage #EI #Etat_islamique #ISIS #djihadisme

  • Berlin va rebaptiser des rues évoquant la colonisation allemande en Afrique
    http://www.lemonde.fr/afrique/article/2018/04/12/berlin-va-rebaptiser-des-rues-evoquant-la-colonisation-allemande-en-afrique_

    Les rues visées sont la Petersallee, hommage à Carl Peters, le fondateur de l’Afrique allemande de l’Est, l’actuelle Tanzanie ; la place Nachtigal, du nom de Gustav Nachtigal, qui avait notamment annexé en 1884 le Cameroun et le Togo ; et la rue Lüderitz, d’après Adolf Lüderitz, fondateur de l’Afrique allemande du Sud-Ouest.

    A leur place, les plaques porteront les noms de combattants contre l’occupation coloniale allemande : Rudolf Manga Bell, héros de l’indépendance camerounaise ; Anna Mungunda, une Herero résistante aux Allemands ; Cornelius Frederiks, chef des Nama ; ou encore Maji-Maji, nom donné au soulèvement de tribus d’Afrique orientale contre les autorités coloniales allemandes (1905-1907).

  • EE UU criticó que Venezuela sea miembro del Consejo DDHH de la ONU
    http://www.el-nacional.com/noticias/mundo/critico-que-venezuela-sea-miembro-del-consejo-ddhh-onu_224865

    Estados Unidos criticó este miércoles que países con unas credenciales de derechos humanos cuestionables puedan ser miembros del Consejo de Derechos Humanos de la ONU y citó específicamente a Venezuela y Burundi.

    En su intervención ante el segmento de alto nivel del Consejo de Derechos Humanos de la ONU, la secretaria adjunta de la Oficina de Organizaciones Internacionales de Estados Unidos, Mary Catherine Phee, delineó algunas de las causas por las cuales Washington considera que el trabajo del Consejo se socava.

    Entre esas razones citó el hecho de que haya países miembros que tengan un registro de derechos humanos muy precario, y citó entre ellos a Venezuela y Burundi.

    «Los países miembros del Consejo deberían tener unos estándares de derechos humanos al más alto nivel», afirmó Phee.

    El Consejo está formado por 47 países que asumen un mandato de tres años en función de los puestos disponibles para la región a la que pertenecen.

    Otra de las causas que socavan el trabajo del Consejo, según la representante estadounidense, es que hablen ante él personas conocidas por ser violadores de derechos humanos.

    «El propio hecho de que se puedan dirigir a la sala es una burla al Consejo», destacó.

    La funcionaria de Estados Unidos censuró el hecho de que haya países que no colaboren con los mecanismos de derechos humanos de la ONU, citó a Burundi, Irán, Corea del Norte y Siria, y pidió el apoyo a las personas e instancias que los investigan desde el exterior.

    Finalmente, Phee también criticó el hecho de que el Consejo tenga a Israel como un ítem permanente de su agenda.

    • Liste des membres du Conseil des droits de l’homme des Nations-Unies
      (avec date d’échéance du mandat (au 31 décembre de l’année), max. 2 mandats consécutifs)

      Afrique (13 sièges)
      Angola (2020)
      Afrique du Sud (2019)
      Burundi (2018)
      Côte d’Ivoire (2018)
      Égypte (2019)
      Éthiopie (2018)
      Kenya (2018)
      Nigeria (2020)
      République démocratique du Congo (2020)
      Rwanda (2019)
      Sénégal (2020)
      Togo (2018)
      Tunisie (2019)

      Asie (13 sièges)
      Afghanistan (2020)
      Arabie saoudite (2019)
      Chine (2019)
      Corée du Sud (2018)
      Émirats arabes unis (2018)
      Irak (2019)
      Japon (2019)
      Kirghizstan (2018)
      Mongolie (2018)
      Népal (2020)
      Pakistan (2020)
      Philippines (2018)
      Qatar (2020)

      Europe orientale (6 sièges)
      Croatie (2019)
      Géorgie (2018)
      Hongrie (2019)
      Slovaquie (2020)
      Slovénie (2018)
      Ukraine (2020)

      Amérique latine et Caraïbes (8 sièges)
      Brésil (2019)
      Chili (2020)
      Cuba (2019)
      Équateur (2018)
      Mexique (2020)
      Panama (2018)
      Pérou (2020)
      Venezuela (2018)

      Europe occidentale et autres États (7 sièges)
      Allemagne (2018)
      Australie (2020)
      Belgique (2018)
      Espagne (2020)
      États-Unis (2019)
      Royaume-Uni (2019)
      Suisse (2018)

      https://fr.wikipedia.org/wiki/Conseil_des_droits_de_l'homme_des_Nations_unies

  • Apparemment, les États-Unis ont également réduit leur budget cocktail à l’ONU :
    https://www.nytimes.com/2018/01/05/world/middleeast/un-iran-protests-debate.html

    On Wednesday, the United States Mission to the United Nations held a cocktail reception for the nine countries that voted against the resolution in the General Assembly, which, aside from Israel, were Guatemala, Honduras, Togo, the Marshall Islands, the Federated States of Micronesia, Nauru and Palau.

    In a video message played at the reception, Mr. Trump thanked the attendees for “standing with the United States.”

    Je me demande : ils font ça dans une petite salle, au risque que leurs hôtes se sentent insultés, ou dans la grande salle habituelle, au risque qu’on se rende compte qu’il y a pas grand monde ?

  • Togo : une fin d’année sous tension et des manifestations à travers tout le pays
    Par Martin Mateso@GeopolisAfrique | Publié le 28/12/2017
    http://geopolis.francetvinfo.fr/togo-une-fin-d-annee-sous-tension-et-des-manifestations-a-trav

    C’est une fin d’année 2017 particulièrement tendue que vivent les Togolais. Pour la première fois, la coalition de l’opposition a réussi à mobiliser ses militants à travers tout le pays avec un seul mot d’ordre : la démission du président Faure Gnassingbé, héritier d’une famille au pouvoir depuis 50 ans.
    (...)
    Outre la démission de Faure Gnassingbé, qui a succédé à son père après sa mort en 2005, la coalition de l’opposition exige la libération de tous ses militants arrêtés pendant les manifestations. Elle demande aussi le retrait des forces de sécurité déployées dans le nord du pays où la tension reste particulièrement vive dans certaines localités.

    Seize personnes, dont des adolescents et deux militaires lynchées par la foule, ont été tuées depuis le début des manifestations, selon un bilan établi par l’AFP.

    #Togo

  • Mise en ordre, mise aux normes et #droit_à_la_ville : perspectives croisées depuis les #villes du Sud

    Marianne Morange et Amandine Spire
    Mise en ordre, mise aux normes et droit à la ville : perspectives croisées depuis les villes du Sud [Texte intégral]
    Spatial reordering, norm production and the right to the city : a crossed perspective from cities of the South
    Anna Perraudin
    Faire place aux minorités dans le centre de #Mexico. Des #squats à la propriété, enjeux et limites d’une politique de résorption de l’#habitat_irrégulier [Texte intégral]
    Making place for minorities in central Mexico City. From irregular settlements to property : issues and limitations of an irregular habitat resorption policy
    Amandine Spire, Marie Bridonneau et Pascale Philifert
    Droit à la ville et replacement dans les contextes autoritaires d’#Addis-Abeba (#Éthiopie) et de #Lomé (#Togo) [Texte intégral]
    Right to the city and resettlement in the authoritarian contexts of Addis Ababa (Ethiopia) and Lomé (Togo)
    Marianne Morange et Aurélie Quentin
    Mise en ordre néolibérale de l’espace et fabrication de « bons commerçants » au Cap et #Quito : le commerce « de moins en moins dans la rue » [Texte intégral]
    Out of place, out of the street ? Reordering urban space and the reshaping of “good” traders in neoliberalizing Cape Town and Quito
    Francesca Pilo’
    Les petits commerçants informels des #favelas face à la régularisation électrique : entre tactiques, ajustements et inadaptations [Texte intégral]
    Small informal traders in the favelas and regularization of the electricity service : between tactics, adjustments and shortcomings
    Emma Broadway
    Informal Trading and a Right to the City in the Khayelitsha CBD : insights from the field [Texte intégral]
    Commerce informel et droit à la ville dans le #Central_Business_District de #Khayelitsha : un regard ethnographique, au plus près du terrain

    http://journals.openedition.org/metropoles/5491
    #urban_matter #Le_Cap #Afrique_du_sud