country:venezuela

  • Rafael Uzcátegui : « Nicolás Maduro garantit l’impunité pour ceux qui violent les droits humains »
    https://www.mediapart.fr/journal/international/060719/rafael-uzcategui-nicolas-maduro-garantit-limpunite-pour-ceux-qui-violent-l

    Tortures, disparitions forcées, exécutions extrajudiciaires… Le rapport de l’ONU sur les droits de l’homme au Venezuela, présenté le 5 juillet, accable le gouvernement de Nicolás Maduro. Il décrit la répression des oppositions, les manquements pour soigner, pour nourrir la population, pour rendre la justice. Entretien avec le dirigeant de l’organisation vénézuélienne Provea, Rafael Uzcátegui.

    #Amérique_Latine #Rafael_Uzcátegui,_Venezuela,_Nicolas_Maduro

  • Venezuela : le rapport de Michelle Bachelet à ll’ONU fustige Nicolas Maduro - Amériques - RFI
    http://www.rfi.fr/ameriques/20190705-venezuela-le-rapport-onu-embarrasse-nicolas-maduro


    Michelle Bachelet, haut commissaire de l’ONU aux droits de l’homme, fustige Nicolas Maduro dans un rapport présenté ce vendredi 5 juillet à Genève.
    REUTERS/Fausto Torrealba

    Michelle Bachelet, haut commissaire de l’ONU aux droits de l’homme, doit présenter ce vendredi 5 juillet à Genève un rapport très attendu sur le Venezuela. En réalité, il est déjà disponible depuis jeudi et c’est un coup dur pour son président, Nicolas Maduro.

    En 2018, 5 287 personnes ont été tuées pour « résistance à l’autorité » au cours d’opérations de sécurité, selon les chiffres même de Caracas. Pour l’ONU, ces opérations cacheraient en fait des meurtres. Les témoins entendus par les enquêteurs accusent les forces spéciales de s’être muées en bataillons de la mort.

    La haut commissaire aux droits de l’homme Michelle Bachelet demande leur dissolution : « L’usage de la force de manière excessive et parfois léthale a été employé à plusieurs reprises contre les manifestants. Y compris lors d’opérations de sécurité par les forces spéciales, et qui ont conduit à plusieurs meurtres, principalement des jeunes hommes », relate-t-elle.

    Selon l’ancienne présidente chilienne, « il pourrait bien s’agir d’exécutions extra-judiciaires. Ces cas doivent faire l’objet d’une enquête approfondie, pour que les auteurs de ces meurtres soient jugés. Des garanties doivent être apportées pour que ces événements ne se reproduisent pas. »

    Michele Bachelet, qui s’est rendue au Venezuela il y a deux semaines, dénonce également les disparitions forcées et les arrestations des voix critiques du régime de Maduro. Près de 800 personnes seraient toujours en détention de manière arbitraire. Les autorités ont mis en place une stratégie « visant à neutraliser, réprimer et incriminer les opposants politiques », indique le rapport.

    Une victoire pour l’opposition, un scandale pour les partisans du président ; quoi qu’il en soit ce rapport fait couler beaucoup d’encre au Venezuela.

    « Le rapport reconnaît l’existence de personnes détenues pour des raisons politiques. Il reconnaît l’existence de disparitions forcées et l’existence de tortures et de traitements inhumains. Je crois que c’est un rapport très important, au moins dans l’histoire de la répression politique que l’on vit depuis 18 à 20 ans », commente Alfredo Romero, directeur de l’organisation Foro Penal.

    • Bachelet en la ONU: Los venezolanos merecen una vida mejor y libre de miedo
      http://www.el-nacional.com/noticias/mundo/bachelet-onu-los-venezolanos-merecen-una-vida-mejor-libre-miedo_287536


      FOTO: EFE

      La alta comisionada de Naciones Unidas para los Derechos Humanos solicitó que las violaciones de derechos humanos sean investigadas a fondo para que se establezcan las responsabilidades

      Michelle Bachelet, alta comisionada de Naciones Unidas para los Derechos Humanos, subrayó este viernes el derecho de los venezolanos de tener una vida mejor, libre de miedo y con acceso a alimentos, agua y servicios sanitarios.

      «El destino de más de 30 millones de venezolanos está en las manos de las autoridades y de su habilidad para poner los derechos humanos por delante de cualquier ambición ideológica o política», señaló en su discurso de presentación del documento en Ginebra.

      El informe acusa a Nicolás Maduro de graves vulneraciones de derechos, y documenta, entre otros graves hechos, más de 6.800 ejecuciones extrajudiciales por las fuerzas de seguridad venezolanas entre enero de 2018 y mayo de 2019.

      «Estos delitos deben ser investigados a fondo, estableciendo responsabilidades para sus autores y garantizando su no repetición», afirmó la alta comisionada.

      Bachelet también denunció las repetidas informaciones recibidas sobre torturas durante detenciones arbitrarias y en este sentido recordó la muerte, recientemente, del oficial de fragata Rafael Acosta cuando se encontraba bajo custodia, un caso que pidió sea investigado de forma imparcial y transparente.

      Por otro lado, la ex presidente de Chile indicó que las instituciones y el Estado de Derecho en Venezuela se han «erosionado» y el ejercicio de las libertades de expresión, asociación, asamblea y participación corre peligro de ser castigado con represalias y represión.

      También denunció el uso repetido de «fuerza excesiva y letal contra manifestantes y ataques contra oponentes políticos y defensores de los derechos humanos, con métodos que van desde las amenazas y las campañas de descrédito a detención arbitraria, tortura, violencia sexual, asesinatos y desapariciones forzadas».

      «La única forma de salir de esta crisis es la unión, y pido que vea a la oposición y los defensores de derechos humanos como socios en la causa común de estos derechos y de la justicia, para plantar las semillas de un acuerdo duradero que lleve a la reconciliación», concluyó.

  • L’Entretien - Entretien exclusif avec Juan Guaido, chef de l’opposition au Venezuela
    https://www.france24.com/fr/20190704-entretien-juan-guaido-venezuela-maduro-video-exclusif

    Juan Guaido, chef de l’opposition au Venezuela, a accordé un entretien exclusif à France 24. Le 23 janvier 2019, il s’était autoproclamé président par intérim face au chef de l’État élu Nicolas Maduro. Depuis cette date, le pays traverse une crise sans précédent. Au micro de France 24, Juan Guaido affirme que Nicolas Maduro est un dictateur et que la situation humanitaire est catastrophique. Il reste toutefois prêt à négocier.

    Dans un entretien exclusif accordé à France 24, Juan Guaido évoque l’inflation au Venezuela, qui est astronomique. Le chef de l’opposition explique notamment que les Vénézuéliens n’ont plus de gaz et qu’ils cuisinent au bois.

    De mon point de vue, pas grand chose à retirer de cet entretien déroulé au pas de course…

  • Notes anthropologiques (XXXIX)

    Georges Lapierre

    https://lavoiedujaguar.net/Notes-anthropologiques-XXXIX

    Et si nous parlions encore une fois d’argent ? (III)
    Le grand commerce

    À mon arrivée au Mexique, il y a maintenant deux jours, ce qui m’a frappé d’emblée en discutant avec les gens est bien l’importance que peut prendre l’argent dans leur vie. En Europe aussi l’argent a bouleversé de fond en comble la vie des gens ; au Mexique, il la bouleverse. C’est l’odeur de l’argent semblable à celle du sang qui a engendré dans tout le pays les cartels du capitalisme sauvage et la longue liste des meurtres impunis. C’est lui qui dicte la politique du président de la République mexicaine face aux puissances du Nord. C’est bien enfin cette actualité d’un chambardement qui distingue les pays qui seront toujours « en voie de développement » des pays du premier monde. C’est bien cette nécessité impérieuse de l’argent qui jette les habitants du Salvador, du Guatemala, du Honduras, du Nicaragua, de Colombie et du Venezuela sur les routes de l’exil, c’est elle aussi qui condamne les Mexicains à quitter leur famille, leur village ou leur quartier pour les États-Unis. Il s’agit d’un véritable exode et tous ces êtres humains qui se dirigent désespérément et au péril de leur vie en direction des pays du premier monde sont les victimes de la guerre qui fait rage actuellement. Cette guerre n’est pas à venir, elle est le malheur quotidien des hommes et des femmes. C’est une guerre contre l’humain. Encore faut-il, dans la confusion que cette guerre fait régner dans les esprits, tenter de préciser ce qu’est l’humain et chercher à définir ce qui s’oppose à lui. (...)

    #anthropologie #monnaie #Mexique #Grèce_antique #Nouvelle-Guinée #don #humanité #société #Odyssée #esclave

  • Des terroristes israéliens, américains et colombiens pour tuer Maduro ? Caracas révèle ses preuves (RT)
    https://www.crashdebug.fr/international/16203-des-terroristes-israeliens-americains-et-colombiens-pour-tuer-madur

    Images filmées clandestinement par un infiltré des renseignements vénézuéliens lors d’une réunion de l’opposition

    favorable à Juan Guaido, préparant des actions militaires contre le gouvernement de Nicolas Maduro, le 20 juin

    au Venezuela.

    Dans une vidéo, un ministre vénézuélien révèle des échanges présumés entre opposants, captés par des agents infiltrés. Il assure qu’un coup d’Etat a été déjoué et que des « terroristes » devaient tuer Nicolas Maduro. Décryptage.

    140 000 cartouches de mitrailleuses et des tentatives d’« incursions d’agents spéciaux terroristes israéliens, nord-américains et colombiens » visant à « tuer le président Nicolas Maduro [à] renverser le gouvernement et prendre le palais présidentiel » : tel est le projet que le gouvernement vénézuélien affirme avoir mis à jour. Dans (...)

  • Rodríguez Zapatero tiró la toalla como mediador en Venezuela
    http://www.el-nacional.com/noticias/mundo/rodriguez-zapatero-tiro-toalla-como-mediador-venezuela_286968

    Tras tres años de infructuosos diálogos, el ex presidente del gobierno de España vuelve la vista a la política interna de su país

    El ex presidente del gobierno español, José Luis Rodríguez Zapatero, no mediará más entre el gobierno de Nicolás Maduro y la oposición venezolana. Después de tres infructuosos años en los que enrumbó la mesa de diálogo que empezó en República Dominicana, el político español desistió de sus labores, según informó El Confidencial.

    Rodríguez Zapatero mantuvo sus esperanzas en la mesa de diálogo hasta la llegada del presidente interino Juan Guaidó, en la que su figura ha ido perdiendo relevancia hasta las reuniones pasadas de Oslo, Noruega, donde no tuvo participación, en absoluto.

    Fuentes cercanas al político explicaron que estuvo la semana pasada en Santo Domingo, debido a que por impulsar el diálogo, es habitual que acuda para asesorar a políticos de ambas partes, a pesar del rechazo general que despierta entre las filas opositoras y partidos de derecha españoles como Vox, que lo catalogaron como un “embajador de Maduro”.

    Hasta cierto punto, puedo entender el fracaso de Zapatero. Resulta muy difícil trabajar con la oposición venezolana, porque está desunida, cada cual va a sus intereses y, además, muchos de ellos han sido financiados por el propio gobierno de Maduro“, declaró a El Confidencial un ex alto mando del chavismo que media entre Estados Unidos y Caracas.

    Del mismo modo, afirmó, las negociaciones en Oslo son una «pantomima» porque el madurismo está igualmente dividido.

  • Venezuela : indignation après la mort d’un soldat sous la torture - Amériques - RFI
    http://www.rfi.fr/ameriques/20190630-venezuela-mort-soldat-rafael-acosta-arevalo-torture

    Au Venezuela, le décès ce 29 juin d’un soldat des suites d’actes de torture suscite une vive émotion dans le pays comme à l’étranger. Le capitaine de corvette Rafael Acosta Arévalo avait été détenu pendant quelques jours par la Direction du contre-espionnage militaire.

    Le capitaine de corvette Rafael Acosta faisait partie d’un groupe de 13 personnes arrêtées la semaine dernière au Venezuela. Le 27 juin, les autorités les avaient accusées d’être impliquées dans un projet de coup d’Etat avorté contre le président Nicolas Maduro. Le lendemain, le capitaine Acosta a été présenté devant un tribunal militaire. Il se trouvait alors en fauteuil roulant et présentait de graves signes de torture.

    Son décès, ce samedi 29 juin, a été confirmé par son avocat. Maître Alonso Medina a dénoncé la mort de son client en détention, conséquence, selon lui, « d’actes de torture sauvage dont le capitaine Acosta a été victime ».

    • Le procureur (désigné par la Constituante, ie version maduriste) demande l’arrestation d’un lieutenant et d’un sergent, responsables présumés de l’assassinat du commandant Acosta.

      Solicitan detención preventiva de presuntos asesinos del capitán Acosta
      http://www.el-nacional.com/noticias/politica/solicitan-detencion-preventiva-presuntos-asesinos-del-capitan-acosta_28

      El fiscal designado por la Asamblea Nacional Constituyente, Tarek William Saab, informó a través de su cuenta de Twitter que el Ministerio Público solicitó la detención preventiva del teniente Ascanio Antonio Tarascio y el sargento segundo Estiben José Zárate, ambos de la Guardia Nacional Bolivariana, como presuntos responsables del asesinato del capitán Rafael Acosta Arévalo, quien murió este 29 de junio en la madrugada.

    • Michelle Bachelet, Haut-commissaire aux droits humains de l’ONU, exprime sa préoccupation et demande une enquête efficace, exhaustive et indépendante.

      Bachelet : Estoy conmocionada por el trato que recibió Acosta Arévalo
      http://www.el-nacional.com/noticias/mundo/bachelet-estoy-conmocionada-por-trato-que-recibio-acosta-arevalo_287064

      La alta comisionada para los Derechos Humanos de la ONU exigió que se lleve a cabo una investigación «eficaz, exhaustiva e independiente» sobre el caso del capitán

      Michelle Bachelet, alta comisionada para los Derechos Humanos de la Organización de las Naciones Unidas, manifestó este lunes su preocupación por la muerte del capitán Rafael Acosta Arévalo.

    • Résumé de l’affaire par les avocats du commandant Acosta.

      Abogados del capitán Acosta se reunieron con delegados de Bachelet
      http://www.el-nacional.com/noticias/politica/abogados-del-capitan-acosta-reunieron-con-delegados-bachelet_287109

      La jurista Ana Leonor Acosta afirmó que la Oficina de la Alta Comisionada de la ONU para los DD HH “trabaja dentro de lo que le permite el tema protocolar y la Cancillería para llegar al fondo de la verdad”

      La muerte del capitán de corbeta Rafael Acosta Arévalo, quien presentó evidentes signos de torturas durante su presentación ante el Tribunal Militar III de Control, debe encender las alarmas en la comunidad internacional, sobre todo en la Oficina de la Alta Comisionada de la Organización de las Naciones Unidas para los Derechos Humanos, afirman activistas de los derechos humanos.

      La detención de Acosta Arévalo, que se llevó a cabo sin una orden de aprehensión emanada de un tribunal, la realizó la Dirección General de Contrainteligencia Militar, junto con otros oficiales de la Fuerza Armada Nacional Bolivariana y comisarios del Cuerpo de Investigaciones Científicas, Penales y Criminalísticas, el 21 de junio, por estar presuntamente involucrado en un movimiento subversivo con planes de magnicidio. Sus familiares y abogados no tuvieron información sobre su estado de salud ni pudieron verlo hasta el día 28 de junio, cuando fue presentado en una silla de ruedas a la audiencia preliminar.

      Fue una detención arbitraria basada en unas declaraciones de funcionarios del régimen. Ellos, desde los medios de comunicación, acusan y condenan a muerte a personas inocentes”, señaló Ana Leonor Acosta, abogada y miembro de la Coalición por los Derechos Humanos y la Democracia, ONG que lleva el caso del capitán.

      La abogada describió la condición en la que se encontraba el capitán en el momento de su comparecencia ante la Corte Marcial: “No podía pararse, no podía caminar, no coordinaba motoramente, tenía rastros de sangre alrededor de la boca, en las uñas y en los brazos. Tenía los ojos desorbitados y dificultades para hablar, cuando su estado de salud era óptimo y las propias actas en el expediente señalan que caminaba al momento de la detención”.

    • La morgue retarderait au maximum la remise du corps…

      Ibéyise Pacheco: Ocultan pruebas en el caso del capitán Acosta Arévalo
      http://www.el-nacional.com/noticias/politica/ibeyise-pacheco-ocultan-pruebas-caso-del-capitan-acosta-arevalo_287122

      La periodista cita fuentes de la morgue que denuncian demora en la entrega del cuerpo del militar con el fin de ocultar los hematomas que presenta

      La periodista Ibéyise Pacheco reveló este lunes la presunta causa de muerte del capitán Rafael Acosta Arévalo, quien falleció el sábado con evidentes signos de tortura por funcionarios de la Dirección General de Contrainteligencia Militar.

      Pacheco explicó en Twitter que una evaluación macroscópica a simple vista del cuerpo de Arévalo muestra un gran morado en uno de los hombros, que se traduciría en una luxación. «Típica lesión de un cuerpo que ha sido guindado», señaló.

      La autopsia la hizo en la madrugada de su ingreso la supuesta anatomopatóloga Yannuacelis Cruz. El cuerpo se encuentra en una cava aparte, separado de otros que están en la morgue”, indicó.

      Pacheco señaló que ningún fiscal del Ministerio Público había acudido a la morgue por el caso. Destacó que en ese recinto, donde «hay desconcierto y miedo», se comenta que están demorando al máximo la entrega del capitán para que el cuerpo se descomponga y ocultar los hematomas que presenta.

      No tengo dudas de que el régimen está ocultando pruebas, manipulando información y alterando evidencias para impedir que se conozca la verdad y sean juzgados los verdaderos responsables de las torturas y asesinato del capitán Rafael Acosta Arévalo”, enfatizó.

    • Fuite du rapport d’autopsie du commandant Acosta Arévalo confirmant la torture

      Filtran autopsia del capitán Acosta Arévalo que confirma que fue torturado
      http://www.el-nacional.com/noticias/politica/filtran-autopsia-del-capitan-acosta-arevalo-que-confirma-que-fue-tortur


      En la morgue de Bello Monte, los parientes de José Gabriel Pérez relataron lo sucedido

      El examen devela que el capitán debido a rabdomiólisis por politraumatismo generalizado. El término refiere a que fue víctima de aplastamiento, tortura, traumatismo y electroestimulación

      El periodista Eligio Rojas publicó este lunes parte del informe de la autopsia que le fue practicada al cuepo del capitán Rafael Acosta Arévalo. 

      En la información que Rojas compartió en Twitter se determina que la causa de la muerte fue edema cerebral severo debido a insuficiencia respiratoria aguda, debido a rabdomiólisis por politraumatismo generalizado.

      Luego de conocerse el informe, diversos periodistas e integrantes de distintas ONG reafirmaron que Arévalo fue asesinado bajo tortura.

      «Rabdomiólisis: síndrome de necrosis muscular que presentan las víctimas de terremotos, bombardeos, derrumbes de edificios. Es decir, que el capitán de corbeta Rafael Acosta Arévalo fue literalmente aplastado», escribió la periodista Lisseth Boon en la red social.

    • Rhabdomyolyse — Wikipédia
      https://fr.wikipedia.org/wiki/Rhabdomyolyse

      Rhabdomyolyse
      En médecine, la rhabdomyolyse (du grec : rhabdo- : « rayé » myo- : « muscle » et –lysis : « destruction ») désigne une situation dans laquelle des cellules des muscles squelettiques, se dégradant rapidement, libèrent leur contenu dans la circulation sanguine.

      La rhabdomyolyse est provoquée par l’écrasement de muscles (séquelle fréquente de victimes de tremblement de terre) ou l’électrisation…

    • Nouveaux détails sur l’autopsie du commandant Acosta Arévalo.

      Autopsia del capitán Acosta reveló que tenía 16 costillas fracturadas
      http://www.el-nacional.com/noticias/politica/autopsia-del-capitan-acosta-revelo-que-tenia-costillas-fracturadas_2873

      Zair Mundaray, fiscal del Ministerio Público en el exilio, comunicó este miércoles los detalles reflejados en la autopsia del capitán Rafael Acosta Arévalo. Indicó que el militar presentó signos de torturas, en los que se especificó 16 costillas fracturadas, fractura del tabique nasal, excoriaciones en hombros, codos y rodillas, hematomas en la cara interna de los muslos, lesiones similares a latigazos en espalda y la parte posterior de los muslos, un pie fracturado, y pequeñas quemaduras en ambos pies de las que se presume electrocución.
      […]
      El militar estaba en la lista de 13 arrestados, quienes habían sido acusados de participar en un presunto plan de golpe de Estado y asesinato de Maduro, lo cual fue difundido el jueves 27 de junio por Jorge Rodríguez. El funcionario vinculó a Juan Guaidó, presidente encargado de la República, en el caso.

  • America’s Economic Blockades and International Law by Jeffrey D. Sachs - Project Syndicate
    https://www.project-syndicate.org/commentary/trump-reliance-on-economic-sanctions-by-jeffrey-d-sachs-2019-06

    Despite the intense economic pain – indeed calamity – inflicted on North Korea, Venezuela, and Iran, none of them has succumbed to US demands. In this sense, sanctions have proved to be no more successful than military intervention. North Korea has maintained, and most likely is expanding, its nuclear arsenal. The Iranian regime rejects US demands concerning its missile program and foreign policies. And Venezuela’s President Nicolás Maduro remains in power.

    [...]

    Military blockades are acts of war, and therefore subject to international law, including UN Security Council oversight. America’s economic blockades are similar in function and outcome to military blockades, with devastating consequences for civilian populations, and risk provoking war. It is time for the Security Council to take up the US sanctions regimes and weigh them against the requirements of international law and peacekeeping.1

    #etats-unis (hors la) #loi

  • Trump à Osaka : j’ai 5 stratégies alternatives pour le Venezuela, je peux en changer à tout moment,…

    Trump: Tenemos cinco alternativas diferentes para Venezuela
    http://www.el-nacional.com/noticias/politica/trump-tenemos-cinco-alternativas-diferentes-para-venezuela_286867

    El presidente estadounidense, Donald Trump, dijo que no quiere implicarse demasiado en Venezuela, en una aparente referencia a la vía militar, pero aseguró que tiene cinco estrategias diferentes para colaborar en la crisis del país. Indicó que podría cambiar en cualquier momento de táctica.

    En una conferencia de prensa al término de su participación en la cumbre del G20, en Osaka, Trump explicó que ha hablado de Venezuela con cada líder con el que se reunió esta semana, porque nadie quiere que lo que está ocurriendo allí se repita en sus propios países.

    «Demasiada gente está abandonando Venezuela, va a ser un pueblo fantasma», comentó Trump.

    Preguntado por si está pensando en cambiar su estrategia hacia Venezuela, dado que no ha conseguido sacar del poder a Nicolás Maduro, Trump respondió: «Tengo cinco estrategias diferentes, podría cambiar en cualquier momento».

    «Tenemos muchas cosas reservadas si tenemos que llegar a eso. No queremos implicarnos hasta el punto que usted puede estar pensando», afirmó, en una aparente referencia a la vía militar.

    «Pero tenemos muchas alternativas, tenemos cinco alternativas diferentes para Venezuela y veremos qué ocurre. (Venezuela) está yendo muy mal, y Maduro está yendo muy mal», agregó.

    Trump conversó sobre Venezuela durante sus reuniones bilaterales este viernes con el presidente de Rusia, Vladímir Putin, y el de Brasil, Jair Bolsonaro, y afirmó entonces que lograr una transición en ese país «lleva tiempo».

  • Le Venezuela affirme avoir déjoué une tentative de « coup d’Etat » militaire
    https://www.lemonde.fr/international/article/2019/06/26/le-venezuela-affirme-avoir-dejoue-une-tentative-de-coup-d-etat-militaire_548

    Le ministre de la communication vénézuélien a accusé l’opposition, les Etats-Unis, la Colombie et le Chili d’avoir planifié l’assassinat de Nicolas Maduro.

    « Nous serons implacables au moyen d’une contre-offensive révolutionnaire face à une tentative de coup d’Etat fasciste, implacables ! » C’est ce qu’a déclaré le président vénézuélien Nicolas Maduro mercredi 26 juin, dans un discours radiotélévisé quelques heures après que son gouvernement avait affirmé avoir déjoué un coup d’Etat prévoyant l’assassinat du président socialiste.

    L’opération, impliquant des militaires actifs et en retraite ainsi qu’un ancien chef du renseignement, devait avoir lieu entre dimanche et lundi, selon le ministre de la communication, Jorge Rodriguez. « Nous avons assisté à toutes les réunions de planification du coup d’Etat », a-t-il affirmé. Des agents gouvernementaux auraient été infiltrés dans la préparation de cette tentative de renversement de M. Maduro et son remplacement par un général.

    Jorge Rodriguez a accusé le président de droite colombien Ivan Duque de « planifier des coups d’Etat, des assassinats du président » et le chef de file de l’opposition, Juan Guaido, d’être derrière ce putsch. Des allégations que ce dernier a rejetées.

  • Malgré la situation du Venezuela, les travaux de l’usine de fabrication de Kalachnikov avancent bien. Quelques vols, quelques retards, mais livraison prévue dans les temps.

    Rusia destaca avance en las obras de la fábrica de Kaláshnikov en Venezuela
    http://www.el-nacional.com/noticias/mundo/rusia-destaca-avance-las-obras-fabrica-kalashnikov-venezuela_286521


    Rostec

    "Continuamos cumpliendo el contrato. Tenemos una tendencia de trabajo, cumplimos los planes acordados con la parte venezolana", dijo el director general Rosoboronexport, Alexandr Mijéev

    Venezuela cumple todos los compromisos asumidos con la construcción de la fábrica de rifles Kaláshnikov en este país, lo que permitirá entregarla en el tiempo previsto, declaró hoy el director general de la entidad exportadora de armas rusa, Rosoboronexport, Alexandr Mijéev.

  • Bahrain debacle marks crash of Trump team’s campaign to diss Palestinians into submission

    Kushner’s Peace for Prosperity includes Utopian projects funded by non-existent money as part of peace deal that won’t happen
    Chemi Shalev
    Jun 25, 2019 9:12 AM

    https://www.haaretz.com/us-news/.premium-bahrain-debacle-marks-crash-of-trump-team-s-campaign-to-dis-palest

    The unveiling of the U.S. administration’s long-awaited production of Peace for Prosperity, premiering in Bahrain on Tuesday, garnered mixed reviews, to say the least. Barak Ravid of Axios and Israel’s Channel 13 described it as “impressive, detailed and ambitious – perhaps overly ambitious.” Former U.S. Ambassador to Israel and Egypt Dan Kurtzer offered a slightly different take: “I would give this so-called plan a C- from an undergraduate student. The authors of the plan clearly understand nothing,” he said.

    The plan, released in a colorful pamphlet on the eve of the Bahrain economic summit, is being portrayed by the White House as a vision of the bountiful “fruits of peace” that Palestinians might reap once they reach a peace agreement with Israel. Critics describe it as an amateurish pie-in-the-sky, shoot-for-the-moon, everything-but-the-kitchen-sink hodgepodge that promises projects that cannot be implemented, funded by money that does not exist and contingent on a peace deal that will never happen.

    But the main problem with Peace for Prosperity isn’t its outlandishly unrealistic proposals – such as the $5 billion superhighway between the West Bank and Gaza, which Israel will never agree to; or its occasional condescending and Orientalist attitude towards Palestinian society - their great hummus could attract millions of tourists; or even its offer to manage and foster Palestinian institutions and civil society in a way that can be viewed either as implicit state-building or as imposing foreign control on a future Palestinian government.

    >> Read more: ’There is no purely economic solution to the Palestinian economy’s problems’ ■ Trump’s Bahrain conference - not what you imagined ■ Kushner’s deal holds some surprises, but it’s more vision than blueprint ■ The billion-dollar question in Trump’s peace plan

    The Palestinians would have been suspicious in any case, even if Jimmy Carter or Barack Obama were President. They have always been wary of the term “economic peace”, especially when detached from the real nitty-gritty of resolving their dispute with Israel. Nonetheless, if the President was anyone other than Trump, Palestinian leader Mahmoud Abbas would have more or less emulated Benjamin Netanyahu’s reaction: Somber nodding of the head, then a non-committal reaction to Peace for Prosperity, followed by effusive but general praise for our lord and savior Donald Trump. Israelis and Palestinians would have attended the Bahrain conference, while doing their best to suppress their inner guffaws.

    If it was anyone by Trump and his peace team - which often doubles as Netanyahu’s cheerleading squad – the Palestinians might have allowed themselves to believe that A. A comprehensive peace plan isn’t just a mirage and is indeed forthcoming. B. The deal won’t be tilted so far in favor of Israel that it will be declared stillborn on arrival and C. That it isn’t a ruse meant to cast Palestinians as congenital rejectionists and to pave the way for an Israeli annexation of “parts of the West Bank”, as Ambassador David Friedman put it when he pronounced Trump’s imperial edict conceding territory to Israel, which even Palestinian minimalists claim as their own, in advance of any actual talks.

    But because the plan bears Trump’s signature, it was received in most world capitals with shrugs, as yet another manifestation of the U.S. administration’s preposterous handling of foreign policy – see North Korea, Europe, Mexico, Venezuela et al. Israel, of course, didn’t miss the opportunity to regurgitate the cliché about the Palestinians “never missing an opportunity to miss an opportunity”.
    A Palestinian man steps on a painting depicting U.S. President Donald Trump during a protest against U.S.-led Bahrain workshop in Gaza City, June 24, 2019.
    A Palestinian man steps on a painting depicting U.S. President Donald Trump during a protest against U.S.-led Bahrain workshop in Gaza City, June 24, 2019. \ MOHAMMED SALEM/ REUTERS
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    For Palestinians and their supporters, however, Kushner’s bid was but the latest in the Trump team’s never-ending stream of slights, slanders and slaps in their collective faces. In Palestinian eyes, the economic bonanza isn’t a CBM – confidence building measure – but a con job and insult rolled into one. It dangles dollars in front of Palestinian noses, implying they can be bought, and it sets up a chain of events at the end of which Jason Greenblatt will inevitably accuse them on Twitter of being hysterical and dishonest while praising Netanyahu’s bold leadership and pioneering vision. They’ve been there, and done that.

    This has been the Trump approach from the outset: Uncontained admiration for Israel and its leader coupled with unhidden disdain for Palestinian leaders and contempt for their “unrealistic” dreams. Trump’s peace team swears by Israel’s security needs as if they were part of the bible or U.S. Constitution; the ongoing 52-year military occupation of millions of Palestinians, on the other hand, seems to have escaped their attention.

    For the first ten months of Trump’s tenure, the Palestinians put up with his administration’s unequivocal pledges of allegiance to Israel as well as the White House’s departure from past custom and continuing refusal to criticize any of its actions – not to mention the appointment of a peace team comprised exclusively of right-wing Netanyahu groupies, which Palestinians initially thought was surely a practical joke.

    Trump’s announcement in December 2017 that he would recognize Jerusalem as Israel’s capital and move the U.S. embassy there was both game-changer and deal-breaker as far as the Palestinians were concerned. While Netanyahu and most of Israel were celebrating Donald the Daring and the long-awaited recognition of their eternal capital, Palestinians realized they were facing a President radically different from any of his predecessors - one willing to break the rules in Israel’s favor and to grant his bestie Bibi tangible victories, before, during and after elections - without asking for anything in return.

    The Palestinians have boycotted the Trump administration ever since, embarrassing Friedman, Greenblatt, Kushner and ultimately Trump in the process. They, in response, have increasingly vented their anger and frustrations at the Palestinians, and not just in words and Tweets alone: The administration shut down the PLO’s office in Washington, declared Jerusalem “off the table” and indicated that the refugee issue should follow it, cut aid to UNRWA and is endeavoring to dismantle it altogether and slashed assistance to Palestinian humanitarian organizations.

    In March 2018, in a move strongly supported by Israel and vigorously endorsed by Evangelicals and other right wing supporters, Trump signed the Congressionally approved Taylor Force Act that prohibits U.S. aid to the Palestinian Authority as long as it continued to pay monthly stipends to the families of what the Act describes as “terrorists”. Palestinians, who, to many people’s regret, regard such terrorists as heroes and martyrs, noted that the passage of the Taylor Force Act embarrassed Israel and spurred it to legislate its own way to withholding Palestinian tax money for the very same reason.

    Throughout the process, Trump and his peace team have lectured the Palestinians as a teacher reprimands an obstinate child. The Palestinians need to face reality, to lower their expectations, to land back on earth, Kushner and colleagues insist. Not only will they never realize their dreams and aspirations, they should also forget their core demand for an independent state free of outside control and not confide inside Israeli-controlled gates. Israelis are worthy of such independence, the Palestinians are told, but you are not.

    Trump approach is a product, first and foremost, of his own inexperience, arrogance and unwillingness to learn anything from a past in which he wasn’t in charge. It is fed by anti-Palestinian prejudices prevalent in his peace team as well as his advisers and most of his political supporters. Trump and his underlings basically adhere to the arguably racist tenet encapsulated in the Israeli saying “The Arabs understand only force.” The more you pressure them, the greater the chance they will succumb.
    Women protest against the U.S.-led workshop in Bahrain in the Moroccan capital Rabat, June 23, 2019.
    Women protest against the U.S.-led workshop in Bahrain in the Moroccan capital Rabat, June 23, 2019.AFP

    At this point at least, it hasn’t worked out that way. Bahrain, by any measure, is a humiliating bust. As Trump and his aides contemplate the reasons for their abject failure they are likely to blame stubborn Palestinians who don’t know what’s good for them, along with radical Muslims, perfidious Europeans, idiot liberals and all the other usual suspects.

    In a better world, they would take a hard look at themselves in the mirror and possibly have an epiphany. They can make an immediate adjustment that will cost them nothing but possibly achieve dramatic results. Instead of incessantly rebuking, reproaching, reprimanding, threatening and intimidating the Palestinians in a way that garners cheers from Christian messianics and Jewish zealots, they could try and treat them, as Aretha Franklin sang, with just a little respect. And perhaps, if it isn’t asking too much, take down their fawning for Netanyahu a notch or two.

    It might not be enough to reconcile irreconcilable differences or to make peace, but it will signal that Trump is finally getting serious about his claim to be the peacemaker the world has been waiting for. Alternatively, the Palestinians will continue to frustrate his designs and pray to Allah for his quick departure.

  • Montée de l’Asie et marginalisation du paria US
    https://www.dedefensa.org/article/montee-de-lasie-et-marginalisation-du-paria-us

    Montée de l’Asie et marginalisation du paria US

    Le roquet euro-américain se ridiculise sur tous les champs de bataille verbaux. On imagine mal comment on attaquerait l’Iran après s’être dégonflé/ridiculisé en Syrie et au Venezuela. Pour rentabiliser le pétrole pourri de Wichita peut-être ? Tout cela ne durera pas longtemps entre la dette, notre agressivité brouillonne et notre dépeuplement. L’Europe c’est 4% de la population du monde, a rappelé Giscard, quand c’était 25% du monde en 1914 (elle payé cher ce surpeuplement du reste). Et mon ami Blondet rappelle qu’en Italie 50% des femmes n’ont pas d’enfants. La prostitution explose partout, et la natalité a baissé de 40 % en Espagne depuis la Crise de 2007. En Amérique comme je l’ai rappelé avec Hamilton, cela ne va pas mieux. Ce qui désole plus c’est (...)

  • Deux mois après l’échec du coup d’état déclenché 24 heures avant les grandes manifestations prévues, Juan Guaidó appelle de nouveau à des manifestations dans tout le Venezuela pour le 5 juillet.

    Guaidó convocó a una movilización para el 5 de julio
    http://www.el-nacional.com/noticias/politica/guaido-convoco-una-movilizacion-para-julio_286196

    El presidente encargado de Venezuela, Juan Guaidó, anunció este sábado una movilización para el 5 de julio. “Seguiremos ejerciendo el ejercicio de exigir nuestras reivindicaciones”, expresó durante la visita que hace a San Felipe, estado Yaracuy.

    Guaidó no ofreció detalles sobre cómo será la manifestación. Insistió en la necesidad de mantenerse en las calles para, junto con la presión internacional, presionar la salida de Nicolás Maduro del poder que conduzca a un gobierno de transición y a unas elecciones justas.

    Hay un solo objetivo: agitar a toda Venezuela y salir a las calles a exigir nuestros derechos”, expresó mientras los ciudadanos gritaban su nombre.

  • Russia Squeezing Embattled Venezuela for Tax-Free Gas Expansion - Bloomberg
    https://www.bloomberg.com/news/articles/2019-06-20/russia-squeezing-embattled-venezuela-for-tax-free-gas-expansion


    Photographer: Wil Riera/Bloomberg

    • Venezuela offers Rosneft path to amplify natural gas dominance
    • Expropriation clause gives Moscow-based company a hedge

    Russia’s state-controlled oil giant, Rosneft PJSC, is extracting concessions from crisis-ridden Venezuela to enter the offshore natural gas market on the cheap, a potential headache for the U.S. and Europe.

    An accord signed by both Russia and Venezuela earlier this month will give Rosneft tax breaks to produce and export gas from the Patao and Mejillones fields off Venezuela’s east coast. The document, which also includes a “fair market price” in the event of an expropriation, makes changes to a bilateral agreement reached in 2009, according to a filing by the Russian government.

    The deal underscores how Russia is both propping up and gaining from the Nicolas Maduro regime at a time when the U.S. is sanctioning Maduro and China has cut its support. Venezuelan gas could eventually offer Russia new entry points into both Asia and Europe.

    China is backing away in terms of its financial exposure,” Andrew Stanley, an associate fellow at the Center for Strategic and International Studies, said in a telephone interview. “Whereas the Russians, over the past few years, they’ve gone in the opposite direction, they’ve kind of doubled down and seen this as an opportunistic plan.

    Since 2014, Rosneft has loaned about $6.5 billion to Venezuela in exchange for oil, according to data compiled by Bloomberg. Petroleos de Venezuela SA, or PDVSA, has been repaying the loans by delivering barrels to Rosneft, and had an outstanding debt of about $1.8 billion in the first quarter, according to a company presentation.

    As a result of the changes signed by Russian President Vladimir Putin, Rosneft and its suppliers will be exempt from value added and import taxes to develop the two gas fields, which are near to where Exxon Mobil Corp. is rushing to extract oil in neighboring Guyana. The agreement was filed online by the Russian legal information website, which publishes orders by the president and applied international treaties.

  • Venezuela : Michelle Bachelet, Haut-Commissaire des Nations-Unies aux Droits Humains, demande la libération de tous les prisonniers politiques, annonce l’établissement d’une mission permanente de 2 personnes avec accès aux lieux de détention. Elle exprime aussi sa préoccupation pour les sanctions contre PDVSA qui «  pourraient exacerber la crise économique  ».

    Michelle Bachelet : Hago un llamado a liberar a todos los presos políticos
    http://www.el-nacional.com/noticias/politica/michelle-bachelet-hago-llamado-liberar-todos-los-presos-politicos_28617


    AFP

    Michelle Bachelet, alta comisionada de la ONU para los derechos humanos, hizo una declaración final sobre su visita de tres días a Venezuela para constatar la crisis humanitaria, y solicitó la liberación de todas las personas privadas de libertad «por ejercer sus derechos civiles y políticos de forma pacífica».

    Tras reunirse con representantes del oficialismo, la oposición y familiares y víctimas de violaciones de derechos humanos, la ex presidente de Chile informó que alcanzó un acuerdo que establece que un equipo de derechos humanos, conformado por dos personas, permanezca en Venezuela para brindar asistencia y asesoría técnica, monitorear la situación y constituir una oficina en el país.

    El Ejecutivo ha aceptado que mi equipo técnico tenga acceso pleno a los centros de detención para poder monitorear las condiciones y hablar confidencialmente con los privados de libertad. Además, a trabajar para permitir un acceso más amplio en los distintos mecanismos de derechos humanos, incluidos los expertos independientes, conocidos como relatores especiales”, indicó.

    Y agregó: «Creo que darán el acceso porque es lo que nos han prometido. En caso contrario, lo manifestaremos». 

    Durante su visita sostuvo encuentros con Nicolás Maduro, Tarek William Saab, Alfredo Ruiz, Juan Guaidó y Diosdado Cabello. Asimiasmo, escuchó los testimonios de las víctimas de violaciones de derechos humanos y a sus familiares. Mencionó, por ejemplo, la historia de un hombre que le explicó cómo su hermano fue torturado, humillado y asesinado por oficiales encapuchados de las FAES.

    Me he comprometido en seguir abogado por la justicia para ellos, sea quienes sean los perpetradores (...) Es importante que haya justicia para ellos, sean del color que sean”, aseguró.

    Expresó preocupación por las sanciones a la estatal petrolera, que podrían exacerbar la crisis económica preexistente desde el 2013. 

    Ante la situación descrita, hizo recomendaciones constructivas sobre «cómo avanzar», en las que enfatizó que todos los líderes políticos deben poner los derechos humanos de los venezolanos por encima de cualquier ambición personal, política e ideológica. "El destino de más de 30 millones reside en la voluntad y en la habilidad de sus líderes", recordó. 

    No tiene prevista otra visita al país. «Tengo todo el mundo a cargo (...) Lo importante del viaje es que habrá presencia de la oficina. Antes el trabajo se hacía desde afuera, ahora se hará desde aquí».

  • En cette journée mondiale des réfugiés, l’Élysée annonce doubler la contribution au HCR au profit des vénézuéliens ayant fui en Colombie. Ce qui portera le montant à 1 million d’euros.

    Francia apoyará a Colombia para atender crisis migratoria de venezolanos
    http://www.el-nacional.com/noticias/mundo/francia-apoyara-colombia-para-atender-crisis-migratoria-venezolanos_285


    Cortesía

    El Palacio del Elíseo anunció que duplicará este año su contribución a Acnur para ayudar a los migrantes y desplazados en Venezuela y Colombia, lo cual elevaría la cifra a 1 millón de euros

    El gobierno francés está dispuesto a ayudar a Colombia a afrontar la crisis migratoria debido al éxodo masivo de los venezolanos, aseguró el miércoles el presidente de Colombia, Iván Duque, tras reunirse en París con su homólogo Emmanuel Macron.

    Francia no solamente ha aportado recursos a los fondos regionales de la Unión Europea, sino que también quiere participar en la atención de problemáticas concretas en las zonas de frontera y eso también lo agradecemos profundamente”, señaló Duque en una breve declaración a la prensa luego de ese encuentro.

    El Palacio del Elíseo anunció que Francia duplicará este año su contribución a la Agencia de la ONU para los Refugiados, a fin de ayudar a los migrantes y desplazados venezolanos en Venezuela y Colombia. Esto elevaría la cifra a 1 millón de euros.

  • Grandeurs et misères de la caricature
    Jean-François Nadeau, Le Devoir, le 15 juin 2019
    https://www.ledevoir.com/culture/medias/556800/grandeurs-et-miseres-de-la-caricature

    Voici une poire. Un dessin de poire. Mais regardez mieux. Dans un second dessin, la poire semble mûrir un peu vite. Au bout d’un enchaînement de quatre dessins, la tête d’un roi gras, Louis-Philippe, est là, à la place de la poire… La poire devenue roi. Et vice versa. Tout le monde rigole de cette audace du dessinateur. Vive la poire ! Vive le roi ! Nous sommes en 1831. La première version de ce dessin, qui connaîtra plusieurs déclinaisons, est un grand succès. Elle est l’oeuvre d’Honoré Daumier, selon une idée de Charles Philipon, directeur du journal La Caricature.

    En ce roi terne, Charles Philipon voit un barrage contre la liberté de la presse. C’est dans des saillies pareilles, portées par la caricature, que la presse gagne, au XIXe siècle, le droit d’exprimer librement des idées.

    Pour Ersy Contogouris, professeur au Département d’histoire de l’art de l’Université de Montréal et spécialiste de l’histoire de la caricature, « le gouvernement de Louis-Philippe attendait un prétexte pour essayer de limiter davantage la liberté d’expression ». En 1835, une tentative d’assassinat contre le roi, commise avec une arme artisanale, forgée de 25 canons, donne l’occasion à l’État de limiter la liberté d’expression. On en a particulièrement contre le dessin de presse, dit Ersy Contogouris, parce qu’il peut être vu et compris même par ceux qui ne savent pas lire. Avec le temps, la censure incline à censurer tantôt le dessin, tantôt l’écriture.

    Auteure d’une histoire de la caricature au Québec, Mira Falardeau juge que « c’est très grave ce qui se passe en ce moment dans l’univers de la caricature ». Pour elle, la censure constante dont fait de plus en plus l’objet cette discipline « n’a rien d’anecdotique » et devrait inquiéter au plus haut point.

    « Il y a en effet de quoi s’inquiéter », observe lui aussi Robert Aird, auteur d’une Histoire politique du comique au Québec. « Il y a eu plusieurs cas de caricaturistes muselés. Au Venezuela, au Nicaragua, en Russie. Aux États-Unis, les caricaturistes Nick Anderson et Rob Rogers, jugés trop anti-Trump, et maintenant le New York Times. »

    « On le sait, de tout temps, la caricature est détestée par les dictatures, rappelle Mira Falardeau. Or, ce n’est plus du côté des dictatures qu’on fait la guerre à la caricature. Qu’un journal comme le New York Times décide désormais qu’il vaut mieux arrêter les caricatures plutôt que de les prendre pour ce qu’elles sont — des objets de discussion —, cela participe d’un mouvement social inquiétant, le même qui invite à faire reculer le droit à l’avortement pour les femmes. On veut taire la caricature, pour toutes sortes de raison. C’est un très gros coup qui est porté. Ce n’est pas anecdotique. Le New York Times, qui est tout de même un pilier dans le monde du journalisme, envoie un signal inquiétant. Très inquiétant. »

    Il existe des lois contre la diffusion de messages haineux. Mais dans les limites de ces législations, on se montre néanmoins toujours plus frileux. C’est ce qu’estime en tout cas Mira Falardeau. « Dès qu’il est question de religion, on entre dans une frilosité pas possible. Les journaux sont hyperfrileux. Lorsqu’un débat éclate, on voudrait nous faire croire soudain qu’une caricature publiée n’est avalisée par personne, qu’un rédacteur en chef n’approuve pas la publication au préalable. Et on pénalise la caricature seule, le caricaturiste. On commence à écraser la caricature, mais où est-ce que cela va finir ? »

    Distinctions

    Ersy Contogouris expose le cas de deux caricatures dessinées autour de l’affaire SNC-Lavalin. Elles montrent Justin Trudeau boxer contre Jody Wilson-Raybould. Les deux dessins ont tous les deux été publiés le 15 février dernier. « Il y a eu tollé sur les réseaux sociaux à cause de la question de la violence représentée ou sous-entendue, qui a été jugée particulièrement problématique étant donné que Mme Wilson-Raybould est une femme autochtone. Un des caricaturistes, Michael de Adder, s’est excusé et a dit qu’il serait plus sensible à cette problématique, qu’il ne dessinerait plus d’images de femmes dans des situations violentes, alors que l’autre, Graeme MacKay, a dit que c’était une question de liberté d’expression et qu’il avait donc le droit de montrer ce qu’il voulait. » Selon l’historienne, les caricaturistes sont peut-être plus conscients désormais du caractère potentiellement sexiste, racisme, homophobe ou autre de leurs caricatures. Ils font sans doute plus attention. Mais « la censure qui vient du haut, de l’État ou des éditeurs et propriétaires de publications » soulève un tout autre type de problème, insiste-t-elle. Il ne faut pas tomber dans le piège de confondre les deux.

    Pour Robert Aird, il existe plusieurs angles d’analyse aux récents cas de censure. « La crise de la presse écrite affecte le dessin de presse comme le reste de l’information », dit-il. Par souci d’économie, au nom du profit, plusieurs journaux se sont séparés de leur caricaturiste attitré pour faire plutôt affaire avec des pigistes, moins payés, moins mordants aussi, explique Robert Aird. « Depuis plusieurs années, la presse engage des agences qui vendent des dessins de presse. Je me disais, en regardant ce phénomène, que cela engendrerait des caricatures plus inoffensives… Et voilà que le New York Times se fait reprocher la publication d’une caricature venant justement d’une agence ! » Dominic Hardy, professeur d’histoire de l’art à l’UQAM, observe aussi les piètres conditions de travail qui priment désormais chez les caricaturistes.

    Inadmissible

    Certes, reconnaît Mira Falardeau, les caricaturistes ne sont pas toujours très subtils. « Certains, disons, ont le trait un peu gros… Mais quoi qu’on pense par exemple de cette caricature particulière du New York Times, l’idée de supprimer complètement la caricature est un geste totalement inadmissible. »

    Aller jusque-là, insiste Robert Aird, voilà qui dépasse les bornes. « Dans le cas du New York Times, admettons que la caricature était d’un goût douteux, fallait-il cesser la publication d’autres caricatures ? Que fait-on des milliers d’autres qui ne causaient pas de controverses ? C’est abusif. »

    La caricature est peut-être dans une période de recul, après l’affranchissement qu’elle a connu au XIXe siècle, à la suite d’une lente maturation. « Cette forme graphique existe de longue date dans la tradition hollandaise, rappelle Ersy Contogouris. On y parle beaucoup de religions, contre le catholicisme en particulier. » Mais la tradition de la charge du dessin vient d’Italie, en particulier des frères Carracci qui, dans leurs ateliers, voient un côté très classique au dessin. Au XVIIIe siècle, les grands touristes anglais qui voyagent en Italie se font caricaturer. Ce travail est gravé puis diffusé en Angleterre. Ce mélange de tradition hollandaise et italienne va prospérer en Angleterre, dans un esprit de tolérance qui fera la fortune du genre.

    Pour Dominic Hardy, le contexte immédiat invite à penser que « la possibilité même d’une pensée complexe par le visuel » est désormais placée « sous haut soupçon, sous haute attaque ». Mais, dit-il, « je préfère encore de loin qu’on me dérange qu’on me dise que je n’ai pas le droit de penser, de réfléchir, de réagir, de ne pas être d’accord. »

    #BD #caricature #censure #liberté_d'expression

  • Venezuela : pour ce député à l’Assemblé nationale réfugié à l’ambassade du Mexique depuis la tentative de coup d’état, le Hezbollah a les mains libres pour y réaliser ses opérations financières.
    C’est tellement vrai, que Mike Pompeo a promis une récompense à qui apporterait des preuves de la présence de ce groupe dans le pays.

    Casella : Hezbollah hace grandes transacciones financieras desde Venezuela
    http://www.el-nacional.com/noticias/politica/casella-hezbollah-hace-grandes-transacciones-financieras-desde-venezuel


    source : Contrapunto

    […]
    —¿Por qué lo persigue el chavismo?
    —Hay dos temas a los que atribuyo el ensañamiento en mi contra. Primero, porque presido, dentro de la Comisión de Seguridad y Defensa, la Subcomisión de Derechos Humanos, y nosotros hemos denunciado la situación de más de 220 militares que son presos políticos, las torturas que les hacen, contactamos a los familiares y documentamos todo lo que está pasando.

    Y, en segundo lugar, creo que esta persecución surge por la misión que me llevó a Israel antes de mi detención para denunciar la existencia de células terroristas en Venezuela. Nuestro objetivo era generar un enlace diplomático y de cooperación para formalizar la lucha contra el terrorismo. También denuncié directamente a Hezbollah y sus vínculos en la Isla de Margarita y Punto Fijo, donde existe un puerto libre y aprovechan la ausencia de aranceles para grandes transacciones. Se trata de mecanismos de financiamiento donde utilizan los dólares preferenciales que ha otorgado el gobierno de Nicolás Maduro durante mucho tiempo.

    —¿Hezbollah actúa libremente en Venezuela?
    —Actúa libremente desde el punto de vista financiero. Una de las fuentes de financiamiento de Hezbollah procede de Venezuela, hasta el punto de que Mike Pompeo (secretario de Estado norteamericano) anunció una recompensa a quienes dieran pruebas de la presencia de estos grupos en el país.

  • Venezuela : surfacturations, costumes de luxe, hôtels,… Guaidó sollicite la Colombie, lui demandant d’enquêter sur ses représentants qui auraient détournés les fonds destinés à subvenir aux besoins des militaires déserteurs s’étant réfugiés en Colombie,

    Guaidó pide a Colombia investigar presunta corrupción de sus representantes
    http://www.el-nacional.com/noticias/politica/guaido-pide-colombia-investigar-presunta-corrupcion-sus-representantes_

    En una publicación del medio digital Panam Post señalan a dos delegados de Guaidó de desviar recursos destinados a costear gastos de militares que retiraron su apoyo Nicolás Maduro y desertaron a Colombia en el mes de febrero

    El presidente interino de Venezuela, Juan Guaidó, pidió este viernes a las autoridades colombianas investigar presuntos hechos de corrupción de sus delegados en ese país, luego de las denuncias de malversación de fondos.

    En una publicación del medio digital Panam Post señalan a dos delegados de Guaidó, reconocido como presidente interino de Venezuela por más de 50 países, entre ellos Colombia, de desviar recursos destinados a costear gastos de militares que retiraron su apoyo Nicolás Maduro y desertaron a Colombia en febrero pasado.

    «Delegación en Colombia ha manejado con austeridad y limitaciones económicas situación de militares en ese país. Ante denuncias, pido al Embajador Humberto Calderón solicitar formalmente a organismos de inteligencia colombiana la investigación necesaria. ¡Transparencia ante todo!», dijo el mandatario interino.

    Humberto Calderón Berti, ex presidente de la estatal petrolera Pdvsa, es el representante de Guaidó en Bogotá. Según Panam Post, entre las irregularidades figuran «facturas que demuestran excesos», gastos «de ropa en carísimas tiendas de Bogotá y en Cúcuta», además de alquiler de vehículos y pago de hoteles con «sobreprecio».

    cf. https://seenthis.net/messages/767698

  • Michelle Bachelet, Haute commissaire aux droits humains de l’ONU en visite au Venezuela du 19 au 21 juin, à l’invitation du gouvernement de Maduro.

    Bachelet visitará Venezuela del 19 al 21 de junio
    http://www.el-nacional.com/noticias/politica/bachelet-visitara-venezuela-del-junio_285287

    La alta comisionada para los Derechos Humanos de la ONU, Michelle Bachelet, visitará Venezuela desde el miércoles 19 hasta el viernes el 21 de junio.

    La información fue confirmada por el organismo internacional en la que se destaca que viene por invitación del régimen de Nicolás Maduro.

    Durante su estancia en Caracas Bachellet se reunirá con Nicolás Maduro y mantendrá encuentros con sus ministros y funcionarios, así como con el presidente del Tribunal Supremo de Justicia, Maikel Moreno, el fiscal general designado por la asamblea nacional constituyente, Tarek William Saab, y el defensor del Pueblo, Alfredo Ruiz Angulo.

    Además, la máxima responsable de los derechos humanos en la ONU conversará con el presidente interino de Venezuela, Juan Guaidó, y con otros diputados, así como el presidente de la constituyente, Diosdado Cabello.

    Sobre las víctimas, el organismo informó que Bachellet sostendrá encuentros con personas afectadas por abusos y violaciones a los derechos humanos y sus familiares. También se encontrará con representantes de la sociedad civil, delegados de los sindicatos, líderes religiosos y autoridades universitarias.

    Al final de la visita, el viernes 21 de junio, Michelle Bachelet hará una declaración a las 9:30 pm, hora de Caracas.

  • Venezuela : dans plusieurs états du pays, il devient difficile de s’approvisionner en essence. Limitations des quantités délivrées et file d’attente. Le gouverneur de l’état d’Anzoátegui (élu de l’opposition Acción Democrática) signale des queues de 6 km.

    Se agrava situación de gasolina en el interior del país
    http://www.el-nacional.com/noticias/economia/agrava-situacion-gasolina-interior-del-pais_285298

    Monagas, Anzoátegui, Bolívar, Táchira, Zulia, Trujillo son algunos de los estados que reportan kilómetros de colas y desabastecimiento de gasolina

    A través de Twitter usuarios denunciaron las largas filas a las que se enfrentan durante días para poder llenar los tanques entre 20 litros y 40 litros de combustible. Múltiples son las protestas en las que los ciudadanos día a día participan para reclamar la carencia y la inconstancia en el suministro.

    Alertaron que la situación está paralizando las actividades laborales y académicas, así como el transporte público.

    –En Anzoátegui, el gobernador Antonio Barreto Sira denunció que las colas superan los 6 km y otras personas advirtieron que se limitan a surtir 20 litros por vehículo.

  • « L’audit de PetroCaribe dessine une autre architecture de la #Corruption en #Haïti »
    https://www.cetri.be/L-audit-de-PetroCaribe-dessine-une

    Le 31 mai, la Cour des comptes a remis le deuxième volet d’un audit accablant sur la dilapidation du fond PetroCaribe, fruit d’un accord avec le Venezuela pour le développement du pays. Frédéric Thomas, politiste, explique dans une tribune au « Monde » que ce rapport révèle un processus de désinstitutionalisation qui plonge ses racines dans la politique de privatisation mise en œuvre depuis quatre décennies. Tribune. L’image a fait le tour des réseaux sociaux, et alimenté les chaînes d’informations. (...)

    #Le_regard_du_CETRI

    / #Le_Sud_en_mouvement, #Le_regard_du_CETRI, Haïti, Corruption, #Le_Monde

  • Le tourisme, l’une des pistes pour le redressement du Venezuela dans le Plan pays en cours d’élaboration par Juan Guaidó. En résumé : y a encore du boulot…

    El turismo, la alternativa no petrolera para la recuperación del país
    http://www.el-nacional.com/noticias/politica/turismo-alternativa-petrolera-para-recuperacion-del-pais_285143


    Commission Tourisme du Plan País
    Foto : Nota de prensa

    Varios sectores del #Plan_País señalaron que la infraestructura de Venezuela debe ser atendida antes de explotar los recursos naturales y culturales de la nación

    Los representantes del sector turismo del Plan País se reunieron con las comisiones de infraestructura, servicios públicos, economía y seguridad, con el fin de unificar criterios sobre lo que se requiere para ofrecer un modelo turístico de la nación que se convierta en una fuente de ingresos para el país.

  • Netblocks suit les interruptions de services sur internet au Venezuela, concomitantes aux interventions de Juan Guaidó. Ici, les coupures au moment du coup d’état raté du 30 avril.

    Internet services restricted in Venezuela amid uprising - NetBlocks
    https://netblocks.org/reports/internet-services-restricted-in-venezuela-amid-military-uprising-xAG4RGBz

    Network data shows that Venezuela’s state-run internet provider ABA CANTV (AS8048) has restricted access to Twitter, Periscope, YouTube, Facebook and several other services after Juan Guaidó used Twitter to announce the final phase of Operation Freedom from the perimeter of a military base in La Carlota. The project, which has reportedly gained the support of defectors from the military, has the stated goal of reinstating democratic establishments in Venezuela.

    Access to each of the services remains intermittently available as the restrictions do not appear to be 100% effective, matching the patterns of network outage observed in previous nationwide censorship incidents.

    With WhatsApp servers already unstable, Telegram messenger’s web interface and website have become fully unreachable for users of Venezuela’s state-run internet provider as of 21:00 UTC (17:00 VET). The two applications have been used extensively by Venezuelans to keep track of the situation in the country. Telegram includes blocking countermeasures which can allow the mobile version of the app to continue working:

    Internet access was finally restored towards the end of Tuesday, 20 minutes prior to a live-streamed speech by Nicolás Maduro:
    https://twitter.com/netblocks/status/1123402465007874049/photo/1