• (3) Publier | Fil d’actualité | LinkedIn
    https://www.linkedin.com/feed/update/urn:li:activity:7139870640949338113

    [hashtag#Lecture] 🎁 Plus qu’une idée de lecture, c’est une idée de cadeau. "Ada & Zangemann", paru chez C & F EDITIONS sous l’impulsion d’Alexis Kauffmann va éveiller vos enfants au hashtag#LogicielLibre. ⬇

    « Lorsqu’il eut terminé, il envoya tous les nouveaux programmes depuis son ordinateur en or vers les appareils des gens. Zangemann ordonna à ses enceintes de ne jouer que sa musique préférée lorsqu’il passait à proximité, et aux machines à glace de ne plus vendre de glaces dans l’après-midi… »

    Mais que faire quand l’irascible hashtag#Zangemann, l’inventeur de tous les appareils connectés du pays, décide que les skateboards ne doivent plus rouler sur les trottoirs, que les enceintes connectées ne doivent plus jouer qu’une seule musique, et les glaces n’avoir qu’un seul parfum ?

    C’est la petite hashtag#Ada qui a la solution : recycler, fabriquer, programmer... développer ses propres ordinateurs et logiciels en toute liberté, loin de la domination des grands empires commerciaux.

    "Ada & Zangemann", c’est un très beau conte signé Matthias Kirschner et illustré par Sandra Brandstätter, et adapté en français par Alexis Kauffmann et plusieurs classes de collège et de lycée. Il explique aux plus jeunes, mais aux adultes aussi, toute la problématique du logiciel libre et de notre indépendance matérielle et logicielle face aux GAFAM. 

    Et puis, la bonne nouvelle, c’est qu’en plus d’être un beau livre, ce conte est également disponible gratuitement (ou après un don d’un montant libre) sur le site de C & F EDITIONS, en format hashtag#PDF ou hashtag#ePub, sous licence hashtag#CreativeCommons : Attribution, Partage dans les mêmes conditions.

    Un grand bravo à Nicolas Taffin et Hervé Le Crosnier pour cette initiative.

    Le livre, à commander, lire ou télécharger est là ➡ https://lnkd.in/edQr6evi

    hashtag#LogicielLibre hashtag#Lecture hashtag#CadeaudeNoël hashtag#GAFAM hashtag#CFEditions hashtag#Inspiration hashtag#BonDébutdeSemaine

    #Ada_Zangemann

  • #David_Revoy, un artisteface aux #IA génératives
    https://framablog.org/2023/07/02/david-revoy-un-artisteface-aux-ia-generatives

    Depuis plusieurs années, Framasoft est honoré et enchanté des illustrations que lui fournit David Revoy, comme sont ravi⋅es les lectrices et lecteurs qui apprécient les aventures de Pepper et Carrot et les graphistes qui bénéficient de ses tutoriels. Ses créations … Lire la suite­­

    #Communs_culturels #Enjeux_du_numérique #Logiciel_libre #Traductions #AI #Apprentissage_automatique #Art #art_libre #ArtStation #Bande_dessinée #Création_numérique #creative-commons #DavidRevoy #DeviantArt #IArtistes #jeu_de_données #licences_libres #mastodon #Peinture
    https://framablog.org/wp-content/uploads/2023/07/b636eb3c963a1f5e.mp4

  • Openly Licensed Images, Audio and More | Openverse
    https://openverse.org

    Projet »sponso« par WP.

    Openverse is a tool that allows openly licensed and #public_domain works to be discovered and used by everyone.

    Openverse searches across more than 300 million #images from open #APIs and the Common Crawl dataset. It goes beyond simple search to aggregate results across multiple public repositories into a single catalog, and facilitates reuse through features like machine-generated tags and one-click attribution.

    For many years, #Creative_Commons has offered its users a dedicated search portal for searching platforms that have #CC licensing filters built in. In fact, this is still maintained at oldsearch.creativecommons.org.

    For users of the legacy CC Meta Search site, the “External Sources” feature on Openverse will look familiar. The goal was to ensure that the functionality is not lost, but is updated and embedded within our new search engine for openly licensed content. In addition, the “External Sources” feature builds on this functionality, allowing us to quickly add new external sources as we discover them, and support new content types in the future, as we expand.

    #stock

  • Entretien avec David Revoy : « Au début, publier en licence libre me faisait peur »
    https://www.unioncommunistelibertaire.org/?Entretien-avec-David-Revoy-Au-debut-publier-en-licence-l

    Faire des bandes dessinées, décider d’en abandonner le droit d’auteur et espérer en vivre en terres capitalistes, mais quelle idée  ! C’est pourtant ce qu’a décidé de faire le bédéiste et militant libriste David Revoy. Retour sur un parcours hors du commun dans les communs.

    Alternative libertaire : Salut David, ton œuvre principale narre les aventures de la jeune sorcière Pepper et de son chat Carrot, et tu diffuses tes œuvres sous licences libres. Qu’est-ce qui t’as mené à faire de tes œuvres des communs  ?

    David Revoy : Au début, les licences libres me faisaient peur, j’avais peur qu’un de mes personnages soit repris, que mon style soit imité, que je n’ai pas de contrôle dessus.

    Dans les années 2009–2010, j’ai travaillé pour la Blender Foundation, la Creative Commons était obligatoire et sous son égide, ça me faisait moins peur. J’ai fait des concept-arts et ça s’est bien passé, j’ai vu de belles dérivations, des fan-arts et aucune dérivation déplaisante, ça m’a beaucoup rassuré. J’ai même vu des effets bénéfiques de propagation, d’audience et d’engouement. Il y avait une plus-value, ça devenait un bien commun, un bac à sable que d’autres créateurs et créatrices pouvaient réutiliser.

    Quand j’ai fait mon propre projet de bande dessinée, Pepper & Carrot [1], c’est devenu une évidence du commun.

    #creative_commons #licence #licence_libre #livre #bd #édition

  • ‘JUNGLE’ SESSIONS : DOCUMENTATION AND WORKSHOPS 2015-2019

    From 2015 onwards Brush&Bow worked in the #Calais refugee camp known as the ‘Jungle’. Through reportage illustrations and sound recordings we documented the situation, from the earliest squats to the creation of the ‘Jungle’ camp, its daily life, and its violent destruction, to the aftermath when people were forced to return to squats in Paris and sleeping rough in the forests around Calais. We wanted to create an audiovisual testimony of the harsh results of EU/UK immigration laws, but also the resilience and strength of people to despite this ,maintain strength and positivity in the temporary city squashed between the borders of France and England. Alongside documentation, Brush&Bow created many impromptu music and art spaces, which led to many rich musical collaborations and stories, and highlighted the importance of journalism that is based in mutual exchange and learning.

    https://www.youtube.com/watch?v=DUAkP5nz4_c&feature=emb_logo

    https://brushandbow.com/home/podcasts/calais
    #Calais #campement #jungle #asile #migrations #réfugiés #dessins #journalisme_créatif #creative_journalism #témoignage

    ping @reka @visionscarto @isskein

  • WORKING WITH MEMORY : GEORGIA AND ARMENIA

    Does sound play an important role in collective memory? In January and February 2016 we wanted to look at some of the underlying socio/political and historical themes in Georgia and Armenia, developing a method of journalism that uses aural history and folk songs to understand the individual and contrasting narratives that form historical threads. In particular we wanted to record folk songs that had been passed down through generations in order to remember the Armenian genocide, and thereby look at the way sound and stories are often used to maintain identity in the aftermath of displacement. Likewise we wanted to listen to the stories of the Yazidi community, one of Georgia’s long established ethnic minorities, and understand both the conditions for minorities in Georgia, and also their views on the persecution of Yazidis under ISIS, and its impact on the wider community.

    However as we were relatively new to the context of both Georgia and Armenia, much of our focus fell on gathering impressions through fieldwork in markets, rural towns, choirs, and talking to people in cafes and bars. We wanted to give space for unexpected stories to emerge, to follow leads and open spaces for collaboration. This ultimately led us to interview a polyphonic choir of coal minors, learn about the Bengalis diaspora in Georgia and listen to conflicting stories of memories under the soviet era.

    https://brushandbow.com/home/podcasts/georgia-armenia
    #mémoire #Géorgie #Arménie #mémoire_collective #son #Yézidis
    #journalisme_créatif #creative_journalism

    Throughout Yazidi history we have always suffered religious discrimination. Arabs and Turks call us Kafirs (unbelievers)

    –-> un nouveau #mot pour la longue liste sur les mots utilisés pour désigner les personnes étrangères (ajouté à la métaliste) :
    #Kafirs (unbelievers)
    https://seenthis.net/messages/414225
    #terminologie #vocabulaires #migrations #étrangers

  • Radio #HAKAYA – حكايا

    Radio HAKAYA – حكايا is an online community radio project started by Brush&Bow in northern Lebanon. Between September 2018 – 2019, Brush&Bow has been working with communities in the region of Akkar and beyond, to produce podcasts on stories of life and displacement amongst the Syrian, Lebanese and Palestinian communities there. This project was funded by Lush and Open Society.


    https://brushandbow.com/home/hakaya-community

    #radio #radio_communautaire #Liban #podcast #réfugiés #asile #migrations #exil #réfugiés_syriens #palestiniens #son
    #journalisme_créatif #creative_journalism

    ping @karine4 @sinehebdo

  • Aaron Swartz : un héros contemporain
    https://www.franceculture.fr/emissions/ce-qui-nous-arrive-sur-la-toile/aaron-swartz-un-heros-contemporain

    Militant d’un Internet libre et ouvert, il est accusé en 2011 d’avoir téléchargé 4,8 millions d’articles scientifiques. Le gouvernement américain a voulu en faire un exemple… Aaron Swartz est né en 1986 à Chicago. Il s’intéresse très tôt à l’informatique, son père édite des logiciels, ça doit compter pour quelque chose. A 13 ans, Aaron Swartz gagne un prix de création informatiqe, prix qui lui donne droit à un voyage au MIT, le Massachussetts Insitute Of Technology, où il rencontre quelques figures importantes (...)

    #MIT #Reddit #copyright #surveillance #SOPA #activisme #CreativeCommons

  • The Internet’s Own Boy
    https://www.youtube.com/watch?v=7ZBe1VFy0gc&feature=emb_logo

    Ce film raconte l’histoire de Aaron Swartz, programmeur de génie et activiste de l’information. Depuis l’aide qu’il a apportée au développement de RSS, l’un des protocoles à la base d’Internet, à la co-fondation de Reddit, son empreinte est partout sur Internet. Mais c’est le travail révolutionnaire de Swartz autour des questions de justice sociale et d’organisation politique, combiné à son approche sans concession de l’accès à l’information pour tous, qui l’a pris au piège dans un cauchemar juridique de (...)

    #copyright #surveillance #activisme #CreativeCommons

  • FSB Team of Chemical Weapon Experts Implicated in Alexey Navalny Novichok Poisoning - bellingcat
    https://www.bellingcat.com/news/uk-and-europe/2020/12/14/fsb-team-of-chemical-weapon-experts-implicated-in-alexey-navalny-novicho


    Credit: Bellingcat

    A joint investigation between Bellingcat and The Insider, in cooperation with Der Spiegel and CNN, has discovered voluminous telecom and travel data that implicates Russia’s Federal Security Service (FSB) in the poisoning of the prominent Russian opposition politician Alexey Navalny. Moreover, the August 2020 poisoning in the Siberian city of Tomsk appears to have happened after years of surveillance, which began in 2017 shortly after Navalny first announced his intention to run for president of Russia. Throughout 2017, and again in 2019 and 2020, FSB operatives from a clandestine unit specialized in working with poisonous substances shadowed Navalny during his trips across Russia, traveling alongside him on more than 30 overlapping flights to the same destinations. It is also possible there were earlier attempts to poison Navalny, including one in the Western Russian city of Kaliningrad only a month before the near-fatal Novichok poisoning in Siberia.

    Our investigation identified three FSB operatives from this clandestine unit who traveled alongside Navalny to Novosibirsk and then followed him to the city of Tomsk where he was ultimately poisoned. These operatives, two of whom traveled under cover identities, are Alexey Alexandrov (39), Ivan Osipov (44) – both medical doctors – and Vladimir Panyaev (40). These three were supported and supervised by at least five more FSB operatives, some of whom also traveled to Omsk, where Navalny had been hospitalized. Members of the unit communicated with one another throughout the trip, with sudden peaks of communication just before the poisoning as well as during the night-time hours (Moscow time) when Navalny left his hotel and headed to the Tomsk airport.

    • Hunting the Hunters: How We Identified Navalny’s FSB Stalkers - bellingcat
      https://www.bellingcat.com/resources/2020/12/14/navalny-fsb-methodology

      La méthodologie : essentiellement du recel de données volées. Voyages, communications téléphoniques, tout s’achète en ligne en Russie,…
      #creative_googling, comme d’autres (Enron) faisaient du #creative_accounting en leur temps

      Russia’s Data Market
      Much of the information we used for our investigations could never be found in most Western countries, but in Russia, is readily available either for free or a fairly modest fee. Additionally, Russian email providers, such as Mail.ru and Rambler, and social networks, such as Vkontakte, are far less secure and privacy-focused than their Western equivalents, leading to frequent data leaks and robust search functions.

      Due to porous data protection measures in Russia, it only takes some creative Googling (or Yandexing) and a few hundred euros worth of cryptocurrency to be fed through an automated payment platform, not much different than Amazon or Lexis Nexis, to acquire telephone records with geolocation data, passenger manifests, and residential data. For the records contained within multi-gigabyte database files that are not already floating around the internet via torrent networks, there is a thriving black market to buy and sell data. The humans who manually fetch this data are often low-level employees at banks, telephone companies, and police departments. Often, these data merchants providing data to resellers or direct to customers are caught and face criminal charges. For other batches of records, there are automated services either within websites or through bots on the Telegram messaging service that entirely circumvent the necessity of a human conduit to provide sensitive personal data. 

      For example, to find a huge collection of personal information for Anatoliy Chepiga — one of the two GRU officers involved in the poisoning of Sergey Skripal and his daughter — we only need to use a Telegram bot and about 10 euros. Within 2-3 minutes of entering Chepiga’s full name and providing a credit card via Google Pay or a payment service like Yandex Money, a popular Telegram bot will provide us with Chepiga’s date of birth, passport number, court records, license plate number, VIN number, previous vehicle ownership history, traffic violations, and frequent parking locations in Moscow. A sample of the baseline information provided can be seen below, with key personal details censored.


      Redacted screenshot of personal data for Skripal poisoner Anatoliy Chepiga. Some details provided include his car’s license plate number (госномер), telephone number(s) (телефон), passport number and year/place of issuance (паспорт), and date of birth (дата рождения).

    • we only need to use a Telegram bot and about 10 euros

      De vrais magiciens, ces justiciers. S’ils pouvaient s’intéresser, par exemple, aux casseroles de Epstein... par exemple. Ils sont tellement doués. Un telegram bot, and about 10 euros, and hop, démantèlement du réseau de pédophiles. Si un réseau de pédophiles ne parvient pas à être démantelé, alors qu’un réseau d’espions russes surveillant le leader populaire en exil de la Russie a été démantelé... franchement... c’est à désespérer de ces casques blancs du big data.

    • Alexeï Navalny piège un officier présumé du FSB
      https://www.lemonde.fr/international/article/2020/12/21/si-l-avion-n-avait-pas-atterri-en-urgence-un-presume-officier-du-fsb-piege-p

      […]
      Une semaine plus tard, c’est un autre membre de ce groupe qui apparaît dans une séquence dérangeante, publiée lundi 21 décembre par Alexeï Navalny, et dans une version traduite par Bellingcat. Konstantin Koudriavtsev, spécialiste en chimie formé au ministère de la défense, croit parler à un adjoint du chef du conseil de sécurité nationale, Nikolaï Patrouchev, enquêtant sur le « raté » de l’opération Navalny. Sauf qu’à l’autre bout du fil, celui qui pose les questions n’est autre que M. Navalny lui-même, avec à ses côtés, à Berlin, le principal enquêteur de Bellingcat, Christo Grozev.

      Des traces de poison sur le slip de Navalny
      Les deux hommes utilisent un faux numéro d’appel, prétendument du FSB, mais ils ont surtout l’avantage du moment : le coup de fil est passé juste avant la publication des enquêtes du 14 décembre. Le FSB n’est alors pas encore sur ses gardes, mais le faux enquêteur dispose d’une masse d’informations précises qui le rendent particulièrement crédible. D’autres membres du groupe contactés ne sont toutefois pas tombés dans le piège.

      D’abord méfiant, choisissant ses mots avec soin, s’étonnant d’être contacté sur une ligne non sécurisée, M. Koudriavtsev finit par baisser la garde, au cours d’une conversation de près de cinquante minutes. Lui-même n’a pas participé à l’empoisonnement ; il a été envoyé, plus tard, pour récupérer et « nettoyer » les habits de l’opposant à l’hôpital d’Omsk, où l’avion transportant Alexeï Navalny s’était posé et où il sera gardé durant deux jours avant son envoi en Allemagne.

      Ce récit est conforme aux informations issues des données téléphoniques et de vols qui seront publiées quelques heures plus tard. L’agent va même jusqu’à mentionner l’habit le plus contaminé, sur lequel il a fallu particulièrement « travailler à faire disparaître les traces » : le slip de M. Navalny, et précisément « l’entrejambe ». Il pourrait s’agir là de la première information solide sur le mode d’administration du poison. La partie russe a toujours refusé de rendre à sa famille les habits portés par Alexeï Navalny le 20 août.

      De façon générale, note Bellingcat dans une analyse détaillée du coup de téléphone, les réponses de M. Koudriavtsev sont cohérentes avec les résultats de ses propres enquêtes. Lorsque M. Navalny se trompe sur l’identité d’un membre du commando, l’agent le corrige. Il ne cesse également de renvoyer à un certain Stanislav Makchakov, lui aussi expert en chimie du FSB et désigné comme le chef du groupe.

    • D’abord méfiant, choisissant ses mots avec soin, s’étonnant d’être contacté sur une ligne non sécurisée

      Mais qu’est-ce qu’ils sont nuls ces russes quand même. C’est bien la preuve qu’ils sont coupables d’ailleurs.

      Non seulement ils s’ingénient à utiliser toujours le même poison inefficace qui n’est pas encore parvenu à tuer quiconque. Mais en plus, ils dévoilent tous leurs plans sur une ligne non sécurisée et ce en toute connaissance de cause.

      On devrait en faire un film. Avec Mister Bean dans le rôle de Navalny.

  • Redevance pour l’indexation d’images : respect des créateurs
    https://www.wikimedia.fr/redevance-indexation-images-respect-createurs

    Comme un vieux serpent de mer, la taxe Google Image, est de retour à l’Assemblée nationale. Ce dispositif vise à imposer aux moteurs de recherche de payer une redevance pour l’indexation d’images. À la suite d’une étude du Conseil supérieur de la propriété littéraire et artistique (CSPLA), mais sans auditions parlementaires, et au détour d’une loi fourre-tout, un amendement cherche à sortir le dispositif de l’impasse. En effet, la justice européenne avait bloqué le dispositif, peu après son adoption, en (...)

    #Google #GoogleImages #fiscalité #législation #copyright #Wikimedia #CreativeCommons

    ##fiscalité

  • UI Design Daily | Weekly FREE UI resources straight to your inbox
    https://uidesigndaily.com

    My name is Ildiko, I am a designer and interface developer based in Bergen, Norway ⛰️👋

    I started doing daily UI practices back in March 2016, and since then I created more than 1000 designs.

    I planned on creating a #design every week day until I reach 100 days total, to practice consistency and improve my skills. The improvement after the first hundred days was really encouraging, so I decided to make another hundred focusing on specific areas I am lacking in; and then another hundred, and then many more.

    I created #UI Design Daily to be able to share these designs with anybody who is interested in using them as #inspiration or research material. I am hoping this project also takes me out of my comfort zone and provides new challenges. I’m planning to get better at development and pick up blogging as well, so lots of exciting things to look out for!

    All the free items on this website are under #Creative_Commons license.

  • [Émissions spéciales] Expert de rien de François De St Georges - #Communs ? Com’on !
    http://www.radiopanik.org/emissions/emissions-speciales/communs-com-on--2

    Des réalisatrices et réalisateurs ont répondu/es à l’invitation de Radio Panik pour produire une série de podcasts autour de la notion des communs. Qu’est ce que cette idée ? Où la trouve-t’on ? Comment la notion de commun est investie par des personnes et des groupes, en ville comme à la campagne. Couvrant des champs aussi divers que l’identité musicale, le traitement de l’eau, la préservation des forêts ou la lutte contre l’obsolescence programmée.

    Ces réalisations s’égreneront du lundi 2 mars au vendredi 6, tous les matins à 10h.

    Lundi :

    ’Aux #ateliers_Merlin' de Marcan et Lydia Baziz

    Mardi :

    ’Bois commun’ de François St Georges A Virginal, un joli #bois était à vendre. Et ils ont décidé, eux, les Virginalois, que ce serait un bois commun. Acheter une #forêt, rouvrir des chemins, expérimenter…Ca passe par (...)

    #creative_commons #citoyenneté #repair_café #parc #solidarité #partage #eaux #Brusseau #jardin_essentiel #marais_Wiels #El_encuentro #creative_commons,citoyenneté,repair_café,parc,solidarité,bois,partage,forêt,eaux,Brusseau,jardin_essentiel,marais_Wiels,Communs,El_encuentro,ateliers_Merlin
    http://www.radiopanik.org/media/sounds/emissions-speciales/communs-com-on--2_08234__0.mp3

  • L’affaire Jamendo et les Creative Commons : où est (exactement) le problème ? – – S.I.Lex –
    https://scinfolex.com/2020/01/01/laffaire-jamendo-et-les-creative-commons-ou-est-exactement-le-probleme

    Par trois fois – en première instance, appel et cassation -, les tribunaux ont choisi de faire droit aux prétentions de la SACEM et de la SPRE, ce qui signifie que Saint Maclou sera bien contraint de payer ces 120 000 euros, en pouvant se retourner pour cela contre Jamendo qui sera obligé de verser cette somme à son client.

    C’est assurément un coup dur porté aux licences Creative Commons et une limite sévère à la possibilité de construire des alternatives en s’appuyant sur ces instruments. Néanmoins, je voudrais apporter quelques précisions pour essayer de cerner exactement où se situe le problème avec cette décision de la Cour de Cassation.

    En réalité, c’est d’abord l’ambiguïté de Jamendo dans sa manière de présenter son service qui ne facilite pas l’interprétation de la décision de la Cour de Cassation. La société présente en effet son offre de sonorisation comme constituée par « 220 000 titres libres de droits« . Or cette expression est toujours très délicate à manier et même souvent trompeuse. Par « libre de droits », Jamendo entend « libre de rémunération équitable à payer » et c’était ce qui faisait tout l’intérêt du service offert aux magasins. Mais cela ne voulait pas dire pour autant que cette offre était gratuite, par Jamendo pratiquait bien un tarif, sans doute inférieur à celui de la SACEM pour que son offre soit attractive. Il ne s’agissait donc pas de musique « sous licence libre » à proprement parler et encore moins de musique « libre de droits », si l’on entend par là des oeuvres appartenant au domaine public.

    Mais le plus aberrant va être les conséquences pour les artistes et les producteurs qui étaient en affaire jusqu’à présent avec Jamendo Licensing et qui touchaient 65% des recettes générées. A présent, ils vont devoir se tourner vers la SPRE pour toucher la part de la rémunération équitable versée par les magasins en affaire avec Jamendo et qui devrait logiquement leur revenir. Or ces artistes ne sont pas membres des sociétés de gestion collective classiques et on en est certain, car Jamendo exige que les artistes lui certifie ne pas appartenir à de telles sociétés pour pouvoir entrer dans son programme Jamendo Licensing. La Cour de Cassation estime que ces artistes peuvent néanmoins se tourner à présent vers ces sociétés de gestion collective pour réclamer leur part de rémunération équitable, mais il est hautement improbable que tous le fassent et pas certain non plus que ces sociétés ne leur imposent pas de devenir membres pour pouvoir prétendre toucher leur rémunérations…

    Au final, l’effet le plus probable de l’arrêt de la Cour est que les artistes qui passaient par Jamendo ne verront jamais la couleur de cet argent qui leur est pourtant légitimement dû et ces sommes finiront dans ce que les sociétés de gestion collective appellent leurs « irrépartissables » pour aller gonfler les budgets qu’elles consacrent à leurs actions propres (y compris d’ailleurs le lobbying assidu qu’elles exercent pour inciter constamment le législateur à renforcer le droit d’auteur…).

    #Droit_auteur #Creative_commons #Droits_voisins #Jamendo #Propriété_intellectuelle

  • L’affaire Jamendo et les Creative Commons : où est (exactement) le problème ? | Calimaq
    https://scinfolex.com/2020/01/01/laffaire-jamendo-et-les-creative-commons-ou-est-exactement-le-probleme

    En début de semaine, une décision de justice rendue par la Cour de Cassation le 11 décembre dernier a suscité un certain émoi en ligne, après que des sites d’information comme Next INpact ou ZDNet s’en soient faits l’écho. Ce jugement était d’importance, car il portait sur les licences Creative Commons et, plus précisément, sur leur articulation avec les mécanismes de gestion collective du droit d’auteur et des droits voisins. Depuis leur création en 2001, les licences Creative Commons n’avaient jamais fait encore l’objet d’une décision de justice en France et on comprend donc que cet arrêt de la Cour de Cassation était très attendu. Source : : : S.I.Lex : (...)

    • Mais le plus aberrant va être les conséquences pour les artistes et les producteurs qui étaient en affaire jusqu’à présent avec Jamendo Licensing et qui touchaient 65% des recettes générées. A présent, ils vont devoir se tourner vers la SPRE pour toucher la part de la rémunération équitable versée par les magasins en affaire avec Jamendo et qui devrait logiquement leur revenir. Or ces artistes ne sont pas membres des sociétés de gestion collective classiques et on en est certain, car Jamendo exige que les artistes lui certifie ne pas appartenir à de telles sociétés pour pouvoir entrer dans son programme Jamendo Licensing. La Cour de Cassation estime que ces artistes peuvent néanmoins se tourner à présent vers ces sociétés de gestion collective pour réclamer leur part de rémunération équitable, mais il est hautement improbable que tous le fassent et pas certain non plus que ces sociétés ne leur imposent pas de devenir membres pour pouvoir prétendre toucher leur rémunérations…

      Au final, l’effet le plus probable de l’arrêt de la Cour est que les artistes qui passaient par Jamendo ne verront jamais la couleur de cet argent qui leur est pourtant légitimement dû et ces sommes finiront dans ce que les sociétés de gestion collective appellent leurs « irrépartissables » pour aller gonfler les budgets qu’elles consacrent à leurs actions propres (y compris d’ailleurs le lobbying assidu qu’elles exercent pour inciter constamment le législateur à renforcer le droit d’auteur…).

      Donc oui, sur ce point, la décision de la Cour de Cassation est proprement scandaleuse et c’est un épisode de plus dans la dégénérescence des droits de propriété intellectuelle qui devraient toujours rester des droits ouverts aux artistes pour assurer leur subsistance et non venir engraisser des intermédiaires.

  • J’écoutais ça sur Mutine (THE radio brestoise) dernièrement, et je découvre aujourd’hui par le biais de http://www.acim.asso.fr/ziklibrenbib/ukandanz-awo que l’album est en creative commons, classe :)

    https://bigoutrecords.bandcamp.com/album/awo

    uKanDanZ (Ehtiopian crunch - France / Ethiopia)

    uKanDanZ... a unique style, an unusual meeting between an electric quartet and Asnake Guebreyes,charismatic lead singer originates from the vibrant music scene in Addis Abeba.

    Their music is inspired by traditional and popular Ethiopian songs. uKanDanZ has a real crunch energy. Between rock, jazz, noise...

    With impertinence, they rock it wildly. Without compromise. Guitar, saxophone, bass, drums and vocals shuffle our bearings. What a pleasure! The stage presence of uKanDanZ swings alternately between energy and emotion... then the public, transcended, dances and shivers.

    #son #creative_commons #cc

  • Disney oublie de renouveler un DRM d’un jeu vidéo, le rendant injouable
    https://www.numerama.com/pop-culture/577896-disney-oublie-de-renouveler-un-drm-dun-jeu-video-le-rendant-injouab

    Cette semaine, le Copyright Madness revient sur une histoire de DRM impactant l’accès à un jeu vidéo, YouTube qui cause des soucis à un vidéaste qui voulait diffuser une vidéo consacrée à son propre jeu ainsi que sur le buste de Néfertiti. Bonne lecture et à la semaine prochaine ! Player 1. On le dit et on le répète, les biens dématérialisés que nous achetons ne nous appartiennent pas. L’anecdote suivante nous le rappelle une fois de plus. Des joueurs ont fait l’amère expérience qu’il ne leur était plus (...)

    #Disney #YouTube #algorithme #Bluetooth #bot #DRM #copyright #CreativeCommons #EFF

    //c2.lestechnophiles.com/www.numerama.com/content/uploads/2019/12/tron-the-evolution-cinematique.jpg

  • #LaPrécaritéTue ? Ne pas taire la précarité.
    Mail à un assistant parlementaire d’une sénatrice socialiste, mais aussi lettre ouverte aux politiques qui prétendent combattre la précarité.

    Il y a quelques jours j’ai trouvé dans une boite mail que je consulte peu une « demande » pour utiliser une de mes photos sur le blog d’une sénatrice. Sans avoir attendu ma réponse, ladite photo a été publiée pour illustrer un article sur les ravages de la précarité et une manœuvre sénatoriale pour y remédier... J’ai fait le choix de ne pas porter plainte mais de rendre publique ma réponse, des fois que ça puisse faire avancer un peu la question des droits et du précariat entretenu par celleux qui prétendent le combattre.

    Bonjour.

    Je relève peu cette adresse google, ayant désormais un autre mail principal, *@riseup.net, il faudrait que je mette mes coordonnées de contact à jour. Je vous présente donc mes excuses pour le délai de réponse.

    Pour autant, je dois vous avouer être un tantinet « gênée » par votre publication de ma photo bien que, techniquement, dans votre monde, vous penserez n’avoir sans doute rien à vous reprocher. D’autant que, fait très rare et malgré une date de péremption extrêmement courte, vous m’avez « demandé » l’autorisation quelques minutes (?) heure (?) avant son utilisation !

    Donc, dans un premier temps, je vous demande de retirer cette photo du blog de la sénatrice X ici :
    http://***

    Mais venons-en au fond. Et bien que je ne me fasse guère d’illusion, je rêve que ce qui va suivre vous fasse prendre conscience que vous, non pas l’assistant parlementaire qui a peut-être fait une bourde (je m’attends tellement à cette excuse !) mais VOUS, les "socialistes" qui avez plein de choix incohérents avec ce que vous prétendez défendre, vous pérennisez la précarité et, pire, vous l’exploitez.

    Vous utilisez une photo en #creatives_commons pour une publication politique dans le cadre de votre #travail de documentation du travail d’une sénatrice en fonction, sur son site web. Selon vous, c’est « non commercial ».
    En êtes-vous sûr ?

    Déjà, que signifie « #non_commercial » côté creative commons ?
    Utilisation non commerciale signifie que l’utilisation n’a pas principalement pour but ou pour objectif d’obtenir un avantage commercial ou une compensation financière. L’échange de l’Œuvre sous licence avec d’autres œuvres soumises aux Droit d’auteur et droits connexes par voie de partage de fichiers numériques ou autres moyens analogues constitue une Utilisation non commerciale à condition qu’il n’y ait aucun avantage commercial ni aucune compensation financière en relation avec la transaction.
    Et que signifie le « sa » de la licence que j’ai choisie ? Il signifie que la publication doit se faire dans les mêmes conditions, toutes les conditions, le rapport à la #rétribution aussi : si je suis bénévole, vous êtes bénévole !
    Vous ne pouvez pas proposer ou imposer des termes ou des conditions supplémentaires ou différents ou appliquer des Mesures techniques efficaces à l’Œuvre dérivée qui seraient de nature à restreindre l’exercice des Droits accordés par la Licence d’Œuvre dérivée que Vous appliquez.
    source : https://creativecommons.org/licenses/by-nc-sa/4.0/legalcode.fr

    Madame X est payée pour sa fonction de sénatrice. Son blog a une visée politique professionnelle puisqu’il rend compte de son travail, de ses opinions politiques et qu’il est alimenté par l’équipe parlementaire dont vous, assistant parlementaire, rémunéré (et d’autres, d’après ce que j’ai vu). Nous sommes donc dans le cadre d’un commerce de pensée, absolument pas bénévole, et même si la « morale » capitaliste vous a donné l’absolution en estimant « non-commercial » le fait d’être rétribué pour un travail de politique publique, il y a bien des compensations financières à toutes ces activités. Les vendeurs d’information mainstream pensent d’ailleurs la même chose que vous, ce qui explique grandement l’extrême #précarité des métiers de l’illustration... à une époque où l’image règne en maitresse de nos sens, voilà un bien cruel paradoxe !
    Il se trouve que je suis au #RSA. Il se trouve que j’ai le droit à de réguliers contrôles, intrusifs, sur le fait de ne pas avoir « d’activité », ou sur, ô mon dieu, 200€ de cadeau qui arrivent sur mon compte à Noël et que j’aurai dû déclarer (si si, vérifiez, c’est passé, même les étrennes de Noël doivent être déclarées et sont retirées à 100% de la solidarité sociale !)
    Bref, vous ne m’avez pas « emprunté » une photo libre de droit mais vous m’avez forcée à être bénévole pour le Parti Socialiste.
    Et ça n’est pas du tout pareil.

    Après plusieurs jours de réflexion, je fais le choix de ne pas perdre de l’énergie en une procédure judiciaire, que je remporterai sans nul doute, les Creatives Commons étant certes désormais reconnues par la loi française, mais en tant que complément, le droit moral étant inaliénable :
    Toute oeuvre, dès sa matérialisation, est automatiquement (en France) protégée par le droit d’auteur. Les licences Creative Commons viennent en complément du droit applicable, elles ne se substituent pas au droit, l’auteur n’abandonne pas ses droits, il précise par le choix d’une licence CC la manière dont il souhaite les exercer. Le droit d’auteur qui s’applique par défaut requiert de devoir donner son accord par contrat pour toute exploitation. Avec une licence CC, l’auteur autorise à l’avance certaines utilisations de son oeuvre alors que certains autres droits restent réservés et soumis à l’autorisation de l’auteur.
    source : https://creativecommons.fr/faqs

    Je me permets d’ailleurs de vous faire remarquer le choix que j’ai dû faire sur le site où vous êtes allé télécharger la photo, nom du fichier faisant foi : https://www.flickr.com/photos/valkphotos/49054916252/in/album-72157711750301397

    Flickr
     : hé oui, juste en dessous on lit « tous droits réservés » assorti du logo © #copyright ! Le vol d’une photo par #Causeurs il y a des années m’avait incitée à, hélas, faire ce non-choix, devant la méconnaissance et parfois la mauvaise foi crasse des pilleurs d’images... ce qui n’a pas empêché le #JDD d’en faire autant il y a deux ans (https://twitter.com/ValKphotos/status/942791427691614208 & https://seenthis.net/messages/653494 )

    J’en profite pour souligner que vous n’avez pas choisi une photo brute et live d’une personne proche de Madame X mais bien une #œuvre pour laquelle j’ai prévisualisé un résultat, j’ai pris du temps à choisir une vitesse très lente, une ouverture de diaphragme minimale, fait de multiples essais en retenant mon souffle, puis procédé à un traitement précis en noir et blanc très contrasté pour obtenir ce résultat et, si vous allez voir plus loin, dans les métadonnées (ce qu’on appelle exif), vous trouverez de multiples renseignements allant bien au delà de la simple date de la prise de vue... Cela n’a strictement aucune importance dans le cadre juridique qui nous concerne mais c’est juste pour faire taire ces petites voix régulières sur l’absence de travail d’un-e #photographe, ou d’inféoder le #professionnalisme à la seule rémunération...

    Je tente donc par ce mail, une énième fois, d’alerter des personnes qui pensent faire de la politique « #sociale » afin qu’elles comprennent à quel point elles se sont corrompues en acceptant les règles absolument amorales du #capitalisme et de la course professionnelle aux voix politiques afin de prendre le pouvoir (au lieu de le rendre). J’aimerai tellement apprendre que, désormais, tous les blogs et sites de tou-te-s les élu-e-s alloueront un réel budget à l’illustration,feront appel en priorité à des travaux de professionnel-le-s, attendront le #CONSENTEMENT (bah ouai) avant de faire quoi que ce soit et, pour les cas de réel #bénévolat ou réellement libres de tous droits, que ce budget non-utilisé ne soit pas considéré comme une « économie » gagnée mais ira à des caisses de #solidarité pour les plus précaires... Voilà qui serait cohérent plutôt qu’utiliser la précarité pour illustrer... le drame de la précarité ! Franchement, vous vous rendez-compte de la violence du sentiment que j’ai ressenti là ?! Et je ne parle même pas de la politique « #socialiste » qui dérive années après années, qui transforme #Nantes en nécropole à force de choix faits essentiellement par des hommes blancs trentenaires et valides, ni du rapport de la Ville aux tags politiques : c’est à hurler !

    Afin que tout ceci ne soit pas lettre morte, car pour écrire un tel mail il me faut plusieurs heures qui elles non plus ne sont pas rémunérées, je vais faire comme vous : je vous préviens que ce mail sera publié publiquement mais je n’attends pas votre accord. Cet éventuel accord, je vous le demande pour avoir l’autorisation de révéler vos identités... ce qui vous grandirait ! Et si, à ma grande surprise, cela donnait lieu à un mea culpa et une réponse politique, je n’aurai pas fait tout ce travail d’explication pour rien ! Voire, je pourrai même l’ajouter au billet publié (n’en attendez aucune gloire, bien que pas mal suivie sur les réseaux, ce ne sera qu’un grain de poussière dans le bruit ambiant)

    Enfin, s’il vous venait l’envie de vous racheter ou de rémunérer mon #travail, j’ai mis en place non pas une cagnotte de soutien mais un compte rémunérateur pour mes multiples activités : sociales, d’information, d’illustration /.../ la plupart du temps bénévoles par défaut : https://liberapay.com/ValK : surtout n’hésitez pas à y laisser un peu de compensation ;)

    « Bien cordialement »

    ValK.

    +-+->
    photos : http://frama.link/valk
    audios : https://archive.org/details/@karacole
    infos : https://twitter.com/karacole__
    repos : https://www.instagram.com/kolavalk
    pot commun : https://liberapay.com/ValK

    • Merci @monolecte ! J’ai reçu une réponse dudit assistant. Je laisse reposer mon énervement cette nuit et verrai demain si j’ai envie d’en causer (est-ce qu’il a évolué ? est-ce qu’il va y avoir un changement de comportement ? spoïler : non ! est-ce que je suis injuste ? spoïler : oui ! )

      A sa demande cependant, je publie ici sa demande initiale :

      J’ai bien noté la publication de votre texte sur vos réseaux. Je note également que vous y reproduisez votre réponse sans mon courriel initial, ce qui élude une partie de mes précautions (la demande d’autorisation, précisément, dans le respect de votre droit moral)…

      Le mar. 19 nov. 2019 à 10:46, xxx a écrit :

      Bonjour,

      Je tiens à vous faire savoir que j’envisage d’utiliser une de vos photos (rassemblement précarité étudiante au Tertre le 12/11) pour illustrer un article (article publié il y a qq minutes mais non diffusé pour l’instant), cet article étant sur le site web de la sénatrice socialiste de la Loire-Atlantique X (pas d’utilisation commerciale).

      Comme à l’accoutumée sur ce site, j’ai mentionné les crédits Commons, vous ai attribué la photo et l’ai reliée à votre compte flickr.

      Si toutefois vous ne souhaitiez pas être associée au contenu de l’article, merci de m’en faire part, je trouverai une autre illustration, mais moins bonne.

      Bien cordialement,

      Vous êtes libre d’intégrer cette réponse à votre article mais je ne tiens pas à ce que mon identité, celle de mon employeure ni mes coordonnées soient dévoilées.

      Je reste à votre disposition pour échanger plus en détail sur la question de la rémunération de la création artistique, par téléphone ou autour d’un café.

      Bien sincèrement,
      xxx

  • Reproductions of Public Domain Works Should Remain in the Public Domain - Creative Commons
    https://creativecommons.org/2019/11/20/reproductions-of-public-domain-works

    We acknowledge that in some cases cultural heritage institutions use CC licenses in order to get credit for their work or to indicate the provenance of the digital surrogates. There are better, more appropriate technical tools to achieve that goal, including metadata and machine readability standards.

    Lastly, we understand the concerns over revenue and profit that some cultural heritage institutions express when evaluating open access policies. However, claiming copyright over public domain works and successful revenue strategies are different conversations that don’t belong in the same space. If anything, there is a growing amount of evidence that shows that the associated costs for licensing images dwarf the potential benefits or revenue streams for licensing images.2

    #domaine_public #creative_commons #appropriation

  • Coil, Mozilla et Creative Commons lance Grant for the Web, un projet de 100 millions de dollars pour améliorer la monétisation dans l’écosystème Web
    https://open-source.developpez.com/actu/277528/Coil-Mozilla-et-Creative-Commons-lance-Grant-for-the-Web-un-

    Coil, Mozilla et Creative Commons ont lancé Grant for the Web (littéralement subvention pour le Web), une initiative visant à responsabiliser les créateurs et à créer un modèle commercial alternatif pour le contenu en ligne.
    [...]
    Grant for the Web vise à :
    – permettre aux créateurs d’être rémunérés directement pour leur travail et élargir ainsi la participation sur le Web, y compris aux groupes du monde entier qui ont toujours eu un accès limité ;
    – protéger la confidentialité en créant des solutions de remplacement pour la monétisation Web qui ne dépendent pas de la collecte de données sur les consommateurs, telles que l’historique de navigation ;
    – réduire les coûts administratifs liés à la réception de paiements pour du contenu Web en créant un écosystème de paiement ouvert qui permet la concurrence entre les fournisseurs de services de paiement ;
    – encourager l’innovation sur le Web en permettant de payer pour un contenu qui n’est actuellement pas monétisé ou qui est monétisé à des taux très bas ;
    – investir dans la création de contenus ouverts et de logiciels libres ;
    – donner aux créateurs et aux consommateurs la possibilité d’utiliser n’importe quelle devise et éliminer les silos de paiement qui les verrouillent ou les obligent à détenir plusieurs comptes.

    Le site officiel du projet : https://www.grantfortheweb.org

    #grant_for_the_web #mozilla #creative_commons #monétisation #logiciel_libre

  • Je recherche des articles et discussions (en français ou en anglais) sur le sujet de la clause restrictive NC (pas d’utilisation commerciale) dans les Creative Commons, plus particulièrement dans le domaine du droit d’auteur des écrits, romans, essais etc.

    Y a t’il des opposant⋅es notables à cette restriction (ou à la restriction de modification d’une œuvre d’ailleurs), qui ne soient pas strictement des informaticien⋅nes mais plus des « auteur⋅es » (et à part Eric S. Raymond) ?

    #Creative_Commons #romans #littérature #licences_libres #livres

    • C’est la licence que j’utilise en photo quand je peux (c’est à dire trop rarement à mon goût) : il y a un gros souci avec les médias et autres concernant cette licence, qu’ils confondent avec le copyleft. Je pars du principe que si quelqu’un-e est payé, alors je le suis aussi, et je refuse particulièrement que des medias qui ont des régies publicitaires se servent de mon travail sans le rémunérer.
      Ça répond pas trop à ta demande, mais comme c’est rare que je puisse aborder le sujet, qui m’importe beaucoup, étant photographe auteure, bah... c’est une manière de me présenter à toi !

    • @val_k je comprends ton point de vue, ça fait toujours mal de voir des gros médias faire de l’argent sans en reverser aux personnes qui créent les contenus (et mal payer aussi leurs employé⋅es dans le processus)
      @grommeleur Je ne connaissais pas David Revoy, merci pour les liens.

      Je suis allé faire un tour sur la page actualités de la licence art libre, il y a plusieurs projets « commercialisés » sous cette licence :
      http://artlibre.org/category/news

      J’essaierai de mettre par écrit ce que je pense sur le sujet, personnellement les restrictions NC et ND ne me satisfont pas dans le cadre d’une diffusion censée être libre, mais je reconnais que c’est un sujet délicat. Je trouve que les notions d’œuvre initiale et d’attribution sont déjà protectrices, et j’aurai tendance à dire que le problème de la rétribution est le même que dans l’économie du logiciel libre. Sauf que je sais aussi qu’il y a une différence entre du code « fonctionnel » et une œuvre de l’esprit (même si les deux se rejoignent par endroits). Le vrai problème là-dedans c’est l’industrie et l’absence de masse critique en face d’elle probablement...

  • Vaccines Save Lives | SELF
    https://www.self.com/story/vaccines-save-lives-editors-letter

    Un journal crée de nouvelle photographies pour promouvoir la vaccination (licence CC). Celles qui figurent dans les banques d’images sont si tristes qu’elles ont un effet inverse...

    People who are vaccine hesitant aren’t necessarily completely anti-vaccine—instead for a variety of reasons they’re reluctant to vaccinate themselves or their kids because they aren’t convinced that the benefits outweigh the risks. As a parent, I can relate to the feeling of anxiety about wanting to make sure that everything that goes on, around, near, or in my child is actually safe and in her best interest. I understand why parents have questions, and they should feel empowered to ask those questions. The key is making sure that anyone with questions is getting evidence-based information from trustworthy sources. Because unfortunately there’s a ton of misinformation out there—and it’s putting people at risk.

    Which is why today we’re launching SELF magazine’s latest project: Vaccines Save Lives. Our mission with this project is to use storytelling, reporting, and creative imagery to show just how necessary and important vaccines are—for your health, your family’s health, and the health of your whole community.

    As one component of this project, we partnered with the American Academy of Pediatrics (AAP) to create a series of immunization stock photos that we’ve published on Flickr and on the AAP website under a Creative Commons license, which means they’re free for anyone—media outlets, brands, bloggers, hospitals, and so on—to download and use with proper attribution. We’ve seen health reporters and physicians griping on social media that typical vaccine stock photography is pretty awful: It’s often inaccurate, fearmongering, or both. So we worked with the AAP to create medically accurate pictures that better convey the importance and usefulness of vaccines. We shot the photos at a One Medical doctor’s office in Brooklyn, New York, and the pictures feature actual physicians from the practice administering the vaccines (and doing it correctly!). You can read more about the partnership and photo project here.

    #Vaccins #Photographie #Creative_Commons