TÈ MAWON : superbe roman Afrofuturiste ! (feat Michael Roch) - NEXUS VI
▻https://www.youtube.com/watch?v=DDWYAbIvUuQ
#science-fiction #afrofuturisme #caraïbes #antilles #cyberpunk #livre #recension
TÈ MAWON : superbe roman Afrofuturiste ! (feat Michael Roch) - NEXUS VI
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#science-fiction #afrofuturisme #caraïbes #antilles #cyberpunk #livre #recension
Mozilla démoli par l’un de ses fondateurs pour s’être ouvert aux cryptomonnaies - Les Numériques
▻https://www.lesnumeriques.com/vie-du-net/mozilla-demoli-par-l-un-de-ses-fondateurs-pour-s-etre-ouvert-aux-cryp
Quel sujet divise plus la sphère tech que les cryptomonnaies ? Cette question, la fondation Mozilla aurait peut-être dû se la poser avant d’ouvrir ses dons aux bitcoins, dogecoins et compagnie. À la suite du tweet annonçant cette décision le 31 décembre, l’un des cofondateurs de l’organisation, Jamie Zawinski, s’est fendu d’un message sans équivoque à l’encontre de son ex-société. « Je suis sûr que celui qui gère ce compte n’a aucune idée de qui je suis, mais j’ai fondé @mozilla et je suis ici pour te dire d’aller te faire foutre avec cette idée de merde », éructe-t-il. « Toutes les personnes impliquées dans ce projet devraient avoir honte de s’associer aux escrocs de Ponzi qui incinèrent la planète. » Un tweet très violent qui n’est que l’écho de nombreux autres messages venus d’internautes plus ou moins anonymes, qui voient dans cette décision de Mozilla une véritable trahison des idéaux de la fondation, notamment sur le plan écologique. En difficulté face à la concurrence propriétaire et souvent défendu par les adeptes de l’open source et du logiciel libre, Mozilla se serait-il tiré une balle dans le pied ?
Sur les cryptos et l’histoire sur son blog :
▻https://www.jwz.org/blog/2022/01/today-on-sick-sad-world-how-the-cryptobros-have-fallen
The cryptocurrency industry, whose business model would seem unrealistic and ham-handed if it was a villain on Captain Planet: they manufacture only POLLUTION, nothing else, and they turn that into money.
Sinon dans sa boite de nuit / bar :
▻https://www.dnalounge.com
Because antivaxxers have ruined it for everybody, you will be required to show proof of full vaccination before entering DNA Lounge: either your original CDC Vaccination Card (not a copy or photo); or a SMART Health QR Code, downloadable from myvaccinerecord.cdph.ca.gov and participating states and networks. A valid, government-issued photo ID is also required for entry.
You must wear a mask while indoors.
New rules: As of Jan 17th, you must show proof of a booster shot if you are more than 6 months from your first round. As of Jan 31st, you must also be two weeks past your booster.
Partially vaccinated? No. Negative test? No. Student ID? No.
Quand le cyberpunk était un laboratoire du technocapitalisme… | Le blog de Yannick Rumpala
▻https://yannickrumpala.wordpress.com/2020/12/07/quand-le-cyberpunk-etait-un-laboratoire-du-technocapitalis
En attendant une parution plus substantielle sous forme de livre l’année prochaine, le texte qui suit, également disponible sur le site du magazine Diacritik, profite de l’actualité et du buzz autour d’un certain jeu vidéo pour rappeler quelques dimensions importantes du cyberpunk qui ont marqué leur époque. Et peut-être encore la nôtre…
*
Actualité du cyberpunk ? La sortie fortement promue du jeu vidéo Cyberpunk 2077 ajoute à ce sentiment. Pas tellement pour l’esthétique, qui peut paraître un peu datée, mais pour les thématiques peut-être surtout… Certes, ce type de jeu, avec d’autres, confirme que le cyberpunk est devenu un produit de consommation, aux inspirations largement puisées dans un recyclage de tropes qui finit par être très prévisible. Mais ce qui les a nourris, cette espèce d’anxiété sur les conséquences de l’entrée dans un nouveau technocapitalisme, conserve un intérêt comme matière à réflexion, voire mérite d’être restauré dans sa dimension potentiellement critique.
Une force de l’imaginaire cyberpunk est de mettre ensemble des dynamiques qui font système et de les rendre presque sensibles. En poussant plus loin la densité technique, cet imaginaire esquisse les transformations possibles de la condition humaine, harnachée, augmentée, décorporée même, au point de paraître devenir de plus en plus post-humaine. En plongeant dans la complexité des réseaux d’un monde multiplement globalisé (économiquement, médiatiquement, financièrement, etc.), il signale et métaphorise des puissances à l’œuvre, celles d’un nouvel ordre qui peut être appelé « technocapitalisme » à défaut de trouver une meilleure dénomination[2]. En les rendant plus saillants, il donne une manière de saisir les effets structurants que contiennent certaines trajectoires technologiques et les transformations qu’elles induisent, autant dans les champs d’expérience des individus que dans les agencements collectifs. Avec une forte tonalité de désenchantement en plus… Les atmosphères paraissent souvent sombres et violentes ; les environnements sociaux, marqués par une insécurité latente, semblent troublés et menaçants.
Le futur décrit est un futur reconnaissable parce qu’il comporte beaucoup d’éléments familiers. Il emprunte ces traits pour les accentuer, de manière presque monstrueuse parfois, au point effectivement de les rapprocher d’une semblance dystopique. Plutôt qu’un changement de système ou de société, les évolutions technologiques en renforceraient certains aspects, et singulièrement ceux qui pouvaient paraître les plus pathologiques : non seulement les expansions cybernétiques et machiniques pénètrent tout, des intimités corporelles (sous la forme de prothèses, d’implants, etc.) jusqu’aux fonctionnements sociaux, mais leurs effets semblent encore renforcés par une dérégulation presque complète. Dans les représentations produites, tout se passe comme si les pires tendances du libéralisme économique et du transhumanisme s’étaient combinées pour ne laisser qu’un horizon menaçant…
_ Par les contrastes qu’elle donne, la dystopie est une forme qui prend sens non pas tellement du dedans, mais par l’extérieur, comme point de comparaison. Elle décale l’attention par rapport à des situations présentes implicitement connues et elle montre comment des conditions sont susceptibles d’évoluer jusqu’à rendre les existences humaines difficilement enviables. C’est notamment ce qui fait sa valeur heuristique : par cet assemblage de représentations, elle ouvre un espace où peut se réaliser une forme de déconstruction. Sur un mode analogue à celui des expériences de pensée, l’accentuation des trajectoires révèle des traits qui étaient plus difficilement visibles, mais les reprend surtout dans un registre particulier qui est celui de l’anxiété. Comme un rappel qu’il n’y a jamais de garantie pour un futur radieux et, en même temps, l’invitation implicite à se demander ce qui s’est passé avant pour en arriver à la situation dépeinte. _
Sherryl Vint faisait remarquer que la technologie est une des principales voies par lesquelles le capitalisme s’étend pour remplir tous les espaces de la vie privée qui n’étaient pas marchandisés, et tous les équipements personnels sont chacun un petit vecteur[10]. Dans la manière dont il est présenté et décrit dans Neuromancien, Case le talentueux pirate informatique n’est plus rien que l’ombre de lui-même sans sa console, à tel point même qu’il ne pourra résister au mystérieux coup qui lui est proposé. De même, la jeune Kumiko dans Mona Lisa s’éclate paraît presque perdue sans sa platine qui lui sert d’assistant virtuel. Devenus parties intégrantes des milieux de vie, les réseaux et univers informatiques apparaissent comme les réceptacles de nouvelles dépendances, typiquement le besoin nouveau de rester connecté au « cyberespace ». La matrice imaginée dans les œuvres d’hier préfigurait les data centers d’aujourd’hui, qui sont effectivement parvenus à absorber une part croissante des vies humaines en les numérisant.
Dans un tel contexte où les interventions sur les corps ne semblent plus guère avoir de limites, le sens du mot humanité a multiplement implosé. Les facteurs d’inégalité jouant logiquement pour les améliorations physiques et les remplacements des matériaux organiques, c’est la voie d’une post-humanité non pas unique mais multiple qui paraît ainsi tracée. Loin d’une uniformisation, elle apparaît marquée par la variété des possibilités, en fonction des choix : par exemple, transformer son corps en arme et s’extraire de son destin de prostituée comme Molly Millions avec ses prothèses oculaires et ses lames rétractables au bout des doigts dans Neuromancien. Mais aussi et peut-être surtout en fonction des ressources, dont la répartition largement déséquilibrée tend là aussi à faire sentir ses effets. La condition cyborg agit alors comme un révélateur supplémentaire de ce qu’une aspiration à l’égalité pourrait avoir d’incongru dans ces mondes.
S’il y a de la politique dans les artefacts techniques, les productions du cyberpunk interrogent d’une autre manière cette dimension pour les machines évoluées que sont les intelligences artificielles. Perce là aussi comme une appréhension inquiète si ce genre de création devient source de pouvoir, ou même un nouveau pouvoir. Une particularité de l’œuvre de William Gibson est toutefois que ce ne sont pas les intelligences artificielles qui sont à l’origine de ce qui pourrait ressembler à une dystopie. Plus largement, quand le cyberpunk semble exprimer une part d’anxiété diffuse par rapport à des machines pouvant devenir « intelligentes », celle-ci ne vient pas tellement (ou pas seulement) du fait qu’elles deviennent incontrôlables, mais aussi qu’elles deviennent comme des boîtes noires inaccessibles à la compréhension humaine.
Nonobstant, ce que montre le cyberpunk, ce n’est pas tellement le remplacement des humains par les machines, mais plutôt les multiples hybridations, continuités, fusions, etc., susceptibles de bouleverser leurs rapports. Et si ces représentations sont de nature à engendrer un trouble, c’est parce que perce cette interrogation latente : les humains y gagnent-ils vraiment ?
Ces compagnies, à l’image des zaibatsus de la Trilogie de la Conurb de William Gibson, ont quitté les rives de l’humanité pour devenir des espèces de monstres inhumains, où l’intérêt brut et la froideur cynique ont remplacé l’empathie. Pour ces firmes et leurs dirigeants (carrément fous ou pervers pour certains), les populations ne semblent plus être que quantités dérisoires.
Le cyberpunk installe ainsi sa propre dialectique de l’ordre et du désordre. Il ne s’agit pas de chaos complet, mais d’un autre ordre social qui comporte aussi ses règles (même si elles prennent les apparences de la force brute). Et la classe la plus aisée parvient toujours à utiliser cet ordre à ses propres fins, celles de la domination économique et du contrôle qui va avec , et même celle encore plus ultime de pouvoir enfin réaliser la vieille obsession d’une vie éternelle. Quoi qu’il arrive, la richesse permet de mettre les risques à distance, de même que les populations indésirables. Y compris par la possibilité de partir vivre dans des stations orbitales pour les plus aisés, comme dans Neuromancien de William Gibson ou Câblé de Walter Jon Williams. Et malheur aux perdants et vaincus de ces luttes inégales…
Le cyberpunk est une littérature de la désorientation. Mais c’est une désorientation qui tient moins à des fragilités psychologiques qu’aux conditions sociales dans lesquelles protagonistes et personnages sont amenés à se débrouiller. Tout se passe comme si l’idée de trouver sa place dans la société ne faisait plus sens. Cette désorientation, qui paraît là aussi systémique, est d’autant plus prégnante qu’elle traverse le vécu des protagonistes au fur et à mesure que les récits avancent
Les supposés progrès technologiques n’apporteront pas de secours et deviennent même un autre vecteur d’anxiété. Dans le registre désenchanté qui lui est presque propre, le cyberpunk donnait de quoi relativiser et réduire par avance les espoirs qui ont été mis ensuite dans les « nouvelles technologies de l’information et de la communication » et Internet. Aucune redistribution des pouvoirs ou ouverture d’espaces de liberté n’était garantie. Au contraire… Dans cette variété de dystopie cybernétique, débrancher n’est plus une option.
Sombres. Très sombres même… Les récits du cyberpunk ne laissent guère de place aux espérances. Ce faisant, par les voies de la fiction, ils questionnaient aussi et questionnent encore des trajectoires imaginables pour les sociétés du XXIe siècle. Le cyberpunk donnait à voir les effets d’un darwinisme social intégrant une forte composante technologique. Il était une manière de porter un regard sur le sort des perdants d’un libéralisme économique exacerbé et d’un système capitaliste complètement dérégulé. Sauf à faire partie de la classe favorisée de ces moments futurs, la prudence est de mise dans presque toutes les situations et le stress est quasi permanent. Dans ces mondes, l’artificialité est partout poussée encore plus loin, dans les corps comme dans les environnements.
JAMES JIRAT PATRADOON « OCCULT NEON POP HORROR »
▻https://laspirale.org/graphisme-626-james-jirat-patradoon- occult-neon-pop-horror.html
D’abord en tant que genre littéraire, puis au travers de ses déclinaisons graphiques ou cinématographiques, le #cyberpunk s’est vaporisé dans notre inconscient collectif. Dans une réalité consensuelle dominée par les algorithmes des zaibatsus, la fusion du vivant et de la machine, ou les promesses renouvelées des étendues virtuelles.
Illustrateur australien d’origine thaïlandaise, James Jirat Patradoon immerge les visiteurs de ses expositions dans un univers fluorescent inspiré des nuits de Bangkok, de leurs punks, de leurs danseuses et de leurs spectacles érotiques. Un univers de science-fiction bien réel, empreint de références aux cultures populaires des années 1980
« Avant de vous diagnostiquer comme dépressif ou en état de faible estime de vous-même, commencez par vous assurer que vous n’êtes pas juste, en fait, entouré par des trous du cul ».
William Gibson
▻https://gonzai.com/tout-comprendre-au-cyberpunk-grace-au-gonzai-n30
►https://gonzai.com
#cyberpunk #Gonzaï
0f0e3440c153158b.png (Image PNG, 617 × 1920 pixels)
A CryptoPunk Startup Founders 2018 #reading List
▻https://hackernoon.com/a-cryptopunk-startup-founders-2018-reading-list-a52c7fb6bc0a?source=rss-
A CyberPunk Startup Founders 2018 Reading ListThe Prince | MachiavelliHas a terrible reputation that never came through in the books. I found it a timeless resource for understanding the decisions people have made throughout time. Why people in power keep it, and why the careless cost themselves opportunities through mismanagement and a fundamental understanding of how the world works. This book elucidates principals on how to manage a corporate takeover — make sure you situate your own people within the organisation otherwise there will likely be a rebellion — and a host of other things which pull through truly sage advice. This might have been the most ingenious book I read this year, and to avoid it due to the perception of many is your loss indeed. This is as educational a read as you (...)
#cyberpunk-startup #cyberpunk-reading-list #cyberpunk-founders #founders-reading-list
Los Angeles, November 2019.
▻https://hackernoon.com/los-angeles-november-2019-9194c6d4d588?source=rss----3a8144eabfe3---4
Ballad of the CrytopunkLos Angeles, November 2019. A cityscape littered with an innumerable amount of lights, with a haze of pollution covering the sky. Perpetual lightning storms block the sun from ever reaching the ground floor of the city. Violent flames burst from the peaks of chemical factories. A lonely, single vehicle flies across the night sky.▻https://medium.com/media/b1d03eb5d9e524e0477ea460f79071a7/hrefThe decadence of pure technological achievement, driven by greed and profit at the expense of humanity, contrasted with the plight of the everyman: this is #cyberpunk.Along with being immersive windows into worlds of wondrous high #tech achievements and the struggle of living in such worlds, cyberpunk media provides us a glance at the sheer horror of a #future completely (...)
Le scandale de la #Dépakine : "Sanofi : Nos mômes ne sont pas des souris (...) - FAKIR | Presse alternative | Edition électronique
▻http://fakirpresse.info/le-scandale-de-la-depakine-sanofi-nos-momes-ne-sont-pas-des-souris-1-2
Je me souviens avoir lu étant jeune des romans de SF #cyberpunk qui parlaient du pouvoir de vie et de #mort de sociétés pharmaceutiques totalitaires et d’avoir pensé : « heureusement, ça ne peut pas nous arriver ! »
Elle parle de sa vie, de ses enfants, de sa maladie, elle qui n’avait avoué son #épilepsie qu’à une poignée d’amis, et même pas à ses petits.
« L’#autisme, ça touche toute une famille, qui se retrouve isolée. On perd tous les amis parce que les enfants vont pas à la même vitesse. On se retrouve seuls, parce qu’on ne peut pas sortir avec d’autres. Ce sont des vies gâchées… »
Mais comment évoquer ainsi ses enfants, comme en partie un gâchis ? Comment ne pas avoir une boule dans la gorge, les larmes qui montent aux yeux, quand on songe à eux ? Comment ne pas se sentir fière, aimante, ces « sentiments naturels » ? Comment concilier cette fierté, cet amour, avec une déception ?
La déception, c’est peut-être le mot juste. J’ai senti Claire déçue. De tout ce que Lucas et Colin auraient pu être, de tout ce qu’elle aurait pu leur donner et qu’ils ne sont pas en mesure de recevoir. Déçue et énervée. Mais pas honteuse, plus honteuse.
Car c’est la honte, aussi, qui fait la force de Sanofi. Et de tous les puissants.
C’est la honte qui fait notre silence.
DÉPAKINE & SANOFI : LE SILENCE DU GOUVERNEMENT - François Ruffin
Ajoutée le 11 oct. 2017
▻https://www.youtube.com/watch?time_continue=2&v=LMSaT32xr_U
"MONSIEUR LE PREMIER MINISTRE, SANOFI N’EST PAS IRRÉPROCHABLE" - Marine Martin, présidente de l’APESAC, l’association de défense des victimes de la Dépakine, répond au Premier ministre.
Ajoutée le 12 oct. 2017
▻https://www.youtube.com/watch?v=ii8U9oA7pls
DÉPAKINE : LA BÊTE NOIRE DE SERVIER RÉPOND AU PREMIER MINISTRE - Charles Joseph-Oudin, avocat qui a fait tomber Servier dans l’affaire du Mediator, défend aujourd’hui les familles victimes de la Dépakine contre Sanofi. Il répond au Premier ministre.
Ajoutée le 13 oct. 2017
▻https://www.youtube.com/watch?v=WcEg1nQ7Hpo
The Most Beautiful Art Based on William Gibson’s Neuromancer
▻http://io9.gizmodo.com/the-most-amazing-artworks-based-on-william-gibsons-neu-1507726378
William Gibson’s Neuromancer has inspired generations of writers, with its visions of artificial intelligence and the rough edges of cyberspace. But it’s also inspired a ton of artists — especially in recent years. Here’s our absolute favorite art inspired by Gibson’s masterpiece.
Questionnaire #VPN et #privacy
▻https://torrentfreak.com/anonymous-vpn-service-provider-review-2015-150228
intéressant de voir que beaucoup de ces fournisseurs de tunnels IP exploitent des législations variées sur la planète pour « garantir » la privacy de leurs clients : Seychelles, Gibraltar, etc.
Le jour où Google est devenu cyberpunk
►http://www.lemonde.fr/pixels/article/2015/08/17/le-jour-ou-google-est-devenu-cyberpunk_4727497_4408996.html
Dans les années 1980, l’auteur de science-fiction William Gibson a remis au goût du jour un vieux mot japonais pour désigner de gigantesques conglomérats dont les produits envahissent la vie quotidienne et dominent le monde : zaibatsu. William Gibson est l’influent fondateur d’un courant entier de la science-fiction, le mouvement cyberpunk, qui se projetait dans un futur résolument proche dominé par des multinationales.
Google – pardon, Alphabet – incarne ces zaibatsu.
#Alphabet_Inc. #Cyberpunk #Google #Multinationale #Politique #Zaibatsu
Illegal ride-sharing service UberX outsmarts transport inspectors, disrupting undercover stings
▻http://www.abc.net.au/news/2015-01-14/uberx-outsmarts-taxi-inspectors-by-blocking-mobile-phones/6016940
via @edri cette info étrangement #cyberpunk, mêlant #surveillance et contre-#surveillance au profit de multinationales (@edri fait remarquer que #Google est un important investisseur de #Uber)
2014: The year we entered a cyberpunk present
▻http://www.washingtonpost.com/blogs/the-switch/wp/2014/12/30/2014-the-year-we-entered-a-cyberpunk-present
Even as technology makes our lives easier, cybersecurity concerns are also pushing us closer to the darker cyberpunk genre — which often features a neo-noir world with shadowy hacker groups wreaking havoc on the physical world through digital attacks.
#Cybercriminalité #Cyberpunk #Dystopie #Numérique #Science_fiction #Sécurité_informatique #Utopie #Vie_privée
GURPS Bio-Tech - Wikipedia, the free encyclopedia
▻https://en.wikipedia.org/wiki/GURPS_Bio-Tech
GURPS Bio-Tech is a GURPS, the Generic Universal Role Playing Game, sourcebook[1] that covers the implementation of biotechnology in the game. The first edition of the book was written for GURPS Third Edition[2] while the second edition of GURPS Bio-Tech[3] was written for GURPS Fourth Edition. Both editions of the game are primarily focused on providing supplemental rules, campaign material, and examples of the uses of biotechnology for the players and game-master alike. The second edition contains two outlines for campaign settings (Alexander Athanatos and Draconis) but is primarily focused on providing rules and examples of devices that Game Masters could adapt for use in their own campaigns.
GURPS, is a game where players and game-masters can, and are encouraged to, create whatever characters and settings they choose. The GURPS Bio-Tech sourcebook gives them a resource to use should they wish to incorporate elements of biotechnology into their games. The books contains rules and advice for creating a wide variety of possible characters, scenarios, story lines, and campaigns that are influenced by either real world theories and practices of bio-technology, or the science fiction of advanced genetic alteration, enhancement, and augmentation.
Une ligne de vêtements anti-Big Brother
▻http://www.lemonde.fr/ameriques/article/2013/09/20/s-habiller-pour-mieux-se-couvrir_3480522_3222.html
Avec sa collection de « vêtements anti-drone », ce jeune designer de 32 ans surfe habilement sur la déferlante de parano qui s’est - une fois de plus - abattue sur l’Amérique. Capuche à 350 dollars, burqa à 2 500 dollars, écharpe à 450 dollars… Fabriqués dans un tissu métallisé, ces accessoires sont censés brouiller les signatures thermiques corporelles et ainsi empêcher ceux qui les portent d’être repérés par les drones et leurs caméras thermiques.
M le magazine du Monde découvre les vêtements anti-drone. Merci E. Snowden, même si apparemment le lien avec lui est la paranoïa…
Ah, si, c’est à la fin de l’article
Sa dernière invention, un étui sécurisé pour téléphone portable (disponible, lui aussi, en tissu métallisé, et en vente pour la modique somme de 100 dollars sur son site Internet), devrait, selon lui, protéger les communications de l’oreille inquisitrice de l’Etat ou de toute autre entreprise à sa botte.
L’auteur de l’article n’a pas l’air convaincue : « censés brouiller », « devrait, selon lui ». Pourtant quelques bases de physique montre qu’il n’y a rien de magique dans ces méthodes.
cf. ►http://seenthis.net/messages/124465 pour les vêtements anti-drone et ▻http://seenthis.net/messages/151033 pour l’étui à téléphone.
Ce vêtement n’est pas plus efficace que le port d’une bête couverture de survie - c’est à dire pas très efficace vu que ça bloque 100% des radiations IR et que la silhouette est donc visible en négatif contre l’arrière-plan.
Les Afghans utilisent leurs couvertures de laine - c’est efficace si la couverture n’est portée qu’en cas d’alerte... Sinon elle a évidemment acquis la température du corps du porteur.
Les vêtements militaires intègrent déjà les problématique de reflectance IR, mais la lutte contre l’imagerie thermique utilise plutôt des bâches et autres filets de camouflage : un vêtement qui bloque les rayonnements thermiques va rapidement poser de graves problème de chaleur à son porteur. Par contre du côté des véhicules ça commence à être très sophistiqué : ►https://en.wikipedia.org/wiki/Adaptiv
That great disturbance you just felt in The Force is the cries of millions of consumers realizing that corporations own their fantasies.
La Théorie de l’information | Aurélien Bellanger (2012)
c’est wiki qui dit qu’y est
►http://blogs.mediapart.fr/edition/bookclub/article/270812/la-theorie-de-l-information-c-est-wiki-qui-dit-qu-y-est
Face au concert de louanges adressées à Aurélien Bellanger avant et depuis la parution de La Théorie de l’information (Gallimard 2012), peut-on dire du mal de son livre ? Oui. On le peut.
J’ai envie de le gifler à chaque fois que je l’entends sortir ses tirades faussement « politiquement incorrectes », toutes cyniques et propre à quelqu’un qui n’a jamais dû manquer de rien. Ce n’est pas tant ce qu’il dit qui m’énerve, mais parce qu’on voit immédiatement qu’il fait exprès pour provoquer le gôchiste facilement, sans grande invention.
Ce mec pue le faux à plein nez, mais le faux est un moment du vrai désormais, alors...
il s’est vachement laissé pousser les poils depuis en tout cas :
mais tu l’as lu au final @fil ou pas ? Tu devrais sinon, ne serait-ce que parce que j’aimerais bien en parler avec toi : )
JO 2012 : bienvenue en dystopie cyberpunk | Lionel Maurel (Calimaq)
►http://owni.fr/2012/07/30/jo-2012-bienvenue-en-dystopie-cyberpunk
Dans la littérature cyberpunk, de grandes firmes ont supplanté l’État, qui leur a octroyé des pouvoirs exorbitants. Ce cauchemar de fiction devient réalité durant ces Jeux de Londres qui consacrent la toute-puissance du #copyright des sponsors.
#Pouvoirs #droit #biens_communs #Cyberpunk #domaine_public #droit_d'auteur #entreprise #jeux_olympiques
Youpi, je viens enfin de retrouver le titre la Guerre olympique donc, et avec un peu de recherches croisées le nom de l’auteur, Pierre Pelot donc, d’un roman de SF que j’ai lu au précédent millénaire, je dis ça parce que tous ces signalements glaçants à propos des JO de Londres m’y font penser.
Ce #livre me rappelle quelque chose mais je suis bien incapable de savoir si c’est un de ceux que j’ai lu étant ado. Il y a deux-trois ans j’ai lu « C’est ainsi que les hommes vivent » (très très recommandé ++), et récemment « L’Ombre des voyageuses » (que j’ai un peu moins aimé).
►http://mondalire.pagesperso-orange.fr/Images/Ressources/estceainsique.jpg
#JO
REAMDE, Neal Stephenson - Fifokaswiti
►http://www.fifokaswiti.info/blog/index.php?post/2011/11/12/REAMDE%2C-Neal-Stephenson
Stephenson, qui est pourtant l’un des écrivains les plus fascinants du moment (...), a produit un techno-thriller épileptique. Ça tire de partout, ça ne s’arrête jamais, ça ressemble à un appel du pied à Michael Bay (ou l’un de ses clones) pour faire une adaptation. Certes. Le problème, c’est qu’un film de Michael Bay, ça ne dure pas beaucoup plus de deux heures. Un bouquin de plus de mille pages, c’est bien plus long.
Et c’est chiant.
Je n’en suis pas à la moitié, et j’envisage de laisser tomber. Grosse déception, donc.
je n’en suis pas autant déçu, vu que je suis au tiers et ne vais pas abandonner, mais je partage un peu ce sentiment : c’est efficace et facile, plein de jargon geek même pas marrant, et au fond sans grand intérêt. si on n’a pas déjà tout lu, lire Quicksilver (non traduit) ou Cryptonomicon
Moi j’y trouve encore une galerie de personnages hétéroclites dont des filles pas nunuches, le jargon geek m’amuse (peut-être parce que je ne suis pas un geek) et étant presque à la fin je ne me suis pas fait chier, comme dit Fifokaswiti.
Tiens, ça me donne l’occasion d’aller voir la fiche wikipedia de Michael Bay
►http://fr.wikipedia.org/wiki/Michael_Bay
où l’on trouve cette phrase mystérieuse :
Il est surtout connu pour avoir réalisé des films d’action et catastrophe avec un gros budget, caractérisés pour leur utilisation des modifications substantielles des effets pratiques.
Les livres de Stephenson, en V.O. ou en V.F., finissent toujours par me tomber des mains, malgré les bonnes idées, l’originalité des sujets et des structures romanesques... En résumé, ses livres sont toujours une grosse déception pour moi... De Zodiac à Cryptonomicon ou Quicksilver...
même Quicksilver ?
Le problème de Stephenson c’est qu’il aime bien se lire, donc souvent ça traîne — heureusement il se rattrape avec une bonne plume et de bonnes idées. Celui-ci est efficace, mais inintéressant. Je suis d’accord : il vaut mieux lire Anathem.
un peu (mais un peu seulement) le même sujet que FOR THE WIN ►https://seenthis.net/messages/97938
traduit en français sous le titre nul “les deux mondes” ▻http://seenthis.net/messages/264183
Recherche sérendipité désespérement [1/3] | Ethan Zuckerman
►http://owni.fr/2011/08/13/recherche-serendipite-desesperement-villes-reseaux-sociaux
Trouver ce qu’on ne cherchait pas : un émerveillement permanent sur le web au doux nom de sérendipité. Retour au source du concept dans un feuilleton de trois parties : début du voyage dans les recoins de la ville.
#Science #Traduction #Cyberpunk #foursquare #population_mondiale #réseaux_sociaux #sérendipité #technologie_de_la_communication #urbanisation #villes
BLAME ! - Wikipédia
►http://fr.wikipedia.org/wiki/BLAME !