• Always crashing in the same bar - EXBERLINER.com
    http://www.exberliner.com/culture/music--nightlife/always-crashing-in-the-same-bar


    Robert Fripp, David Bowie et Brian Eno au Studio Hansa.

    The Idiot was mostly recorded in France and Munich. Low was more a Swiss album (Bowie’s initial choice for exile was considerably tonier than walled-in Schöneberg). “Heroes”, whose cover, like The Idiot’s, was based on Erich Heckel’s “Roquairol”, is the only truly “Berlin” of his Berlin albums. Recorded at Kreuzberg’s Hansa Studios, the Kraut influences are more Berlin Kosmische, and probably the result of Eno’s palling around with Cluster, though both Neu! and Kraftwerk are name-checked in song titles.

    Like the earlier “TVC15”, which Bowie performed in the film Christiane F. (with NYC standing in for BLN), “Heroes,” the song, minus Robert Fripp’s guitar and Bowie’s dramatic delivery, is essentially boogie music, a look back in resignation to Bowie’s youthful aesthetic interests. The lyrics, which were inspired by Visconti cheating on his wife, came to represent political liberation. Which reflects the confluence of rock and Berlin’s paradoxes quite nicely.

    So is there anything David Bowie has to teach the Exberliner reader? He came here to dry out, while most expats arrive here to fuck themselves up. Of course, when you’re the biggest rock star in the world, drying out is a relative measure (“And I/I’ll drink all the time.”). Bowie did not arrive in Berlin to learn from its decadence, and decadence was not merely an ideology to be absorbed by not working, as with the petty dissolution that Australian youth wrote of in his notorious New York Times article in 2012. At his Low-est, Bowie was prolific, and not in spite of it.

    Loca virosque cano : « Heroes » de D. Bowie, Berlin au pied du mur. (1977)
    http://lhistgeobox.blogspot.de/2010/09/loca-virosque-cano-2-heroes-de-d-bowie.html


    David Bowie et Romy Haag (@www.bowiegoldenyears.com)

    C’est une renaissance aussi bien physique qu’artistique. La « trilogie berlinoise » est véritablement considérée aujourd’hui comme une partie majeure de son oeuvre. C’est aussi là qu’il renoue avec la peinture, et qu’il tourne le film de #David_Hemmings (par ailleurs réalisateur de « Blow up »), intitulé « Just a gigolo », qui sortira en 1979 et qui offre son dernier rôle à #Marlène_Dietrich.

    C’est donc à Berlin que Bowie passe la période sans doute la plus prolifique de sa carrière. Les 3 albums sont produits dans les studios Hansa (les anglais disent « Hansa by the wall »). Situé à 200 mètres au sud de la Potsdamer Platz, Le mur est à 20 ou 30 mètres du studio, la fenêtre de la salle de contrôle donne directement dessus.

    C’est là que nait un des titres les plus célèbres de Bowie : « Heroes ». La chanson raconte une histoire d’amour dans une univers crépusculaire. Un couple se retrouve secrètement au pied du mur, sous les miradors et les armes à feu des gardes mais leurs sentiments semblent pouvoir abattre tous les obstacles et les soustraire à toutes les contraintes, y compris celles d’un avenir dépeint comme incertain.

    Tout le monde est d’accord que « Heroes » est un album berlinois. Mais pour les autres parties de la trilogie il y a des opinions divergeantes. Qui a raison ?

    #Berlin #mur

  • #Archive.org présente aussi le fabuleux Deep Red (Profondo Rosso) de Dario Argento, 1975.
    http://www.archive.org/details/DeepRed_16-9

    Si vous ne l’avez jamais vu, vous pouvez y aller : c’est un pur chef-d’œuvre. Autant le reste de Archive.org, c’est essentiellement de la petite Série B, autant là, c’est un authentique grand film de cinéma (pas seulement dans son genre, le giallo).

    Vous avez #Dario_Argento, #David_Hemmings, #Turin et la musique des #Goblins...

    J’ai revu le film il y a quelques années à la Cinémathèque, en présence de Dario Argento. Heureux de voir le film sur grand écran dans le cadre d’une rétrospective en hommage au bonhomme.

    #film #cinéma_barré