• « Tous défendent un modèle contraire à celui qui a conduit l’humanité aux progrès les plus spectaculaires de son histoire. » et autres défauts de concordance des temps !

  • La voiture électrique est un piège à cons ! - Guy de la Fortelle (Ligne Droite)
    https://www.crashdebug.fr/la-voiture-electrique-est-un-piege-a-cons-guy-de-la-fortelle-ligne-droite

    Voilà, voilà, et le pire..... c’est que comme on l’a vue, on les laisse faire, alors qui sont les plus coupables ? Eux de vouloir réduire l’humanité en esclavage (et d’en éliminer une bonne partie) pour ’sauver la planète’ ? Ou nous de CROIRE sur parole, leurs mensonges éhontés ?

    Guy de la Fortelle, éditeur financier - Fondateur de la lettre d’investissement “L’investisseur sans costume”. #voiture #voitureelectrique #davos Ligne Droite est une émission indépendante. Ligne Droite refuse toute ressource publicitaire et ne vit que grâce à ses auditeurs. Aidez-nous à demeurer libres et indépendants en faisant vos dons en ligne ici : https://bit.ly/SoutenirLigneDroite Suivez-nous sur : Twitter : https://bit.ly/TwitterLigneDroite Notre site : https://bit.ly/ArchivesLigneDroite Facebook : (...)

  • Davos, ce grand bordel, au sens littéral du terme.... L’opulence, l’arrogance, l’outrecuidance et l’indécence.

    Prostitutes gather in Davos for annual meeting of global elite - where demand for sexual services rockets during economic summit By Jack Newman for Mailonline
    https://www.dailymail.co.uk/news/article-11643585/Prostitutes-gather-Davos-annual-meeting-global-elite-demand-skyrockets.

    ⁃ Prostitutes report a surge in business during the annual gathering of leaders
    ⁃ Escorts are booked into delegates’ hotels alongside business executives
    ⁃ Sex workers dress in business attire and rub shoulders with the global elite


    Salome Balthus (pictured), a sex worker and writer, is staying at a hotel near Davos during the summit

    The global elite tackling the world’s greatest problems - including gender inequality -at the Davos summit are fuelling a surge in prostitution in the Swiss resort town.
    Demand for sex work skyrockets each year at the meeting of world leaders and business tycoons who jet in from all around the world to rub shoulders with each other.
    Escorts are booked into the same hotels as high-powered bosses and their employees during the five-day summit, which started on January 16.

    One sex worker named Liana said she dresses in business attire so she doesn’t stand out among the executives, despite prostitution being legal in Switzerland.

    She told Bild she regularly sees an American who visits Switzerland multiple times a year and is among the 2,700 conference attendees.

    Liana charges around €700 ($760) for an hour and €2,300 ($2,500) for the whole night, plus travel expenses.

    The manager of one escort service in Aargau, 100 miles away from the summit, says she has already received 11 bookings and 25 inquiries - and expects many more to follow this week.

    She told 20 Minuten: ’Some also book escorts for themselves and their employees to party in the hotel suite.’

    Salome Balthus, a sex worker and writer, posted on Twitter: ’Date in Switzerland during #WWF means looking at the gun muzzles of security guards in the hotel corridor at 2 a.m. - and then sharing the giveaway chocolates from the restaurant with them and gossiping about the rich...

    #Davos #wef #finance #exploitation #sexualité des #milliardaires

  • #DavosStandard pour tous ! (voir le # sur cuicui)

    @Pr_Logos
    https://twitter.com/Pr_Logos/status/1615847361506426884

    A Davos, les maîtres de la planète ont mis en œuvre une politique de prévention :
    – PCR pour entrer avec un bracelet d’accès lié au résultat
    – purificateurs à #filtre_HEPA partout + purificateurs #UV-C (le truc bleu)
    #ventilation ajustable
    #masques FFP2

    Le déni de transmission aéroportée, l’absence d’investissement dans la qualité de l’air, le déni de persistance pandémique.

    C’est pour vous. Pas pour les Maîtres.

    @KashPrime
    https://twitter.com/KashPrime/status/1615745744673148929

    The world’s elite at the Davos forum are enjoying every possible protection from #Covid, including #PCR testing, air filtration, UVGI light.
    Why isn’t this being offered to everyone else?
    Every school, every workplace should have the same protections as the rich and powerful.

    ça a accès aux vaccins, aux anticorps monoclonaux, aux meilleurs soins possibles dans les délais les plus brefs, mais ... il y a le #covid_long ...

    #RDR

    • À Davos, des précautions sanitaires drastiques pour protéger les milliardaires du COVID | Bruce Y. Lee
      https://cabrioles.substack.com/p/a-davos-des-precautions-sanitaires

      Alors que les élites prennent toutes les précautions possibles contre le COVID lorsqu’elles se rencontrent au Forum économique mondial, elles rentrent chez elles et nous disent que le COVID n’est plus une menace, et que la pandémie est terminée. Donc, si vous vous demandez ce qu’il faut faire au sujet du Covid-19, peut-être devriez-vous regarder de plus près ce que les dirigeant·es politiques et économiques font réellement plutôt qu’écouter ce qu’iels disent.

      Bruce Y. Lee est écrivain, journaliste et professeur en politique et gestion de la santé à la Graduate School of Public Health de la City University of New York (CUNY), où il est directeur exécutif du Center for Advanced Technology and Communication in Health (CATCH).

      // Note de #Cabrioles : Une fois n’est pas coutume nous vous proposons une traduction d’un article de nos camarades de la presse financière sur la manière dont celleux qui président à l’infection de masse se protègent du COVID. Presse financière qui, comme nous l’avions rapporté, assure un suivi sérieux des connaissances scientifiques et des impacts médicaux du COVID, à l’inverse de l’ensemble des médias de gauche. //

      #presse_financière #media #gauche

  • How the #Davos #elite took back control - UnHerd
    https://unherd.com/2023/01/how-the-davos-elite-took-back-control

    There is a reason governments often seem so willing to go along with these policies, even in the face of widespread societal opposition: which is that the WEF’s strategy, over the years, hasn’t just been to shift power away from governments — but also to infiltrate the latter.

  • Pays-Bas : … Sur quoi débouchera le mouvement de colère des agriculteurs ?
    https://www.rtbf.be/article/pays-bas-soutenu-par-des-organisations-complotistes-sur-quoi-debouchera-le-mouv

    Jusqu’où ira la colère des agriculteurs aux Pays-Bas ? Le Premier ministre néerlandais Mark Rutte évoquait jeudi soir sur Twitter des « actions dangereuses » auxquelles il demandait aux agriculteurs de « mettre fin ».

    Les actions des agriculteurs ont en effet pris une nouvelle tournure ces derniers jours : jeudi ils ont bloqué des routes importantes du centre et de l’est du pays avec des ballots de foin enflammés, du sable, du fumier mais aussi des déchets. https://www.rtbf.be/article/plan-azote-aux-pays-bas-les-agriculteurs-toujours-en-colere-bloquent-une-autoro. Dont des déchets amiantés.


    La présence d’amiante et le risque accru d’accident pour les automobilistes ont mené le Premier ministre néerlandais à commenter, sur Twitter : « les manifestations d’un petit groupe d’agriculteurs sur les autoroutes hier et ce matin sont inacceptables. Mettre sauvagement les autres en danger, endommager nos infrastructures et menacer les gens qui aident à déblayer est au-delà de toutes les limites ». Mark Rutte poursuit : « ces actions dangereuses doivent s’arrêter. Il y a de nombreuses manières d’exprimer votre mécontentement dans la légalité ».

    . . . . . .

    La source de la colère : le « Plan azote » néerlandais
    La colère des agriculteurs a éclaté lorsque la Ministre chargée de la Nature et de l’azote, Christianne van der Wal, a communiqué le "plan azote" du gouvernement néerlandais.

    L’azote est un fertilisant indispensable pour les cultures : on le trouve dans le lisier et le fumier, fertilisants naturels. Ou dans les engrais chimiques, les engrais dits « azotés ». Mais épandus en trop grande quantité, l’usage de ces fertilisants en arrive à altérer la biodiversité, la qualité des eaux de rivière notamment. Et ils libèrent un gaz à effet de serre, le protoxyde d’azote qui contribue au changement climatique.

    Ce sont les grandes exploitations d’élevage intensif qui sont les plus grandes émettrices d’azote, comme les grandes porcheries intensives, nombreuses aux Pays-Bas : le pays de 17 millions d’habitants compte 12 millions de porcs. Les Pays-Bas, deuxième exportateur agricole au monde après les Etats-Unis, sont un des plus gros émetteurs de gaz à effet de serre en Europe – et d’azote en particulier.

    Le gouvernement néerlandais, par son plan, a pris la mesure du dérèglement climatique et du déclin de la biodiversité. Mais ce faisant, il impose au secteur agricole un changement drastique : réduire de 40% les émissions d’azote des fermes, ce qui impliquerait une baisse de 30% du bétail.

    La baisse des émissions doit même atteindre 70% dans 131 zones, là où les fermes se situent à proximité d’une zone classée "Natura 2000" : cette baisse revient à fermer des exploitations. D’où la colère d’un secteur déjà en mal de rentabilité et sous pression depuis des années.

    Mais cette colère prend donc une tournure qui inquiète les autorités néerlandaises.

    Sorties de route
    Ce n’est pas la première fois que les agriculteurs en manifestation épandent du fumier, font paître leurs vaches dans les parterres du parlement ou bloquent les routes avec leurs tracteurs.
    Mais le déversement actuel de détritus et d’obstacles sur les routes a déjà provoqué 4 accidents, l’un d’eux ayant coûté la vie à un motard, au mois de juin. Et il devient plus difficile de trouver une société pour déblayer des monticules, d’abord parce que certains contiennent de l’amiante, mais aussi parce que les gérants de ces sociétés appréhendent d’éventuelles répercussions de ce nettoyage : selon une enquête de la télévision néerlandaise NOS, un petit groupe d’agriculteurs radicaux se communique les numéros de téléphone des entreprises de déblaiement et multiplie les appels d’intimidations.

    Intimidation aussi de la Ministre qui a communiqué « Plan azote » gouvernemental. Un homme a été interpellé pour avoir circulé avec un camion tagué d’un message menaçant. Le message mentionnait les noms de Pim Fortuyn et de Theo van Gogh flanqués de leurs dates de mort, deux Néerlandais assassinés dans les années 2000. Et sous leurs noms, celui de la ministre avec un point d’interrogation en guise de date.
    . . . . .
    #Pays_Bas #Hollande #agriculteurs #paysans #agriculture #manifestation #pollution #police #violence #violences_policiéres #manifestations #wef #davos #répression #alimentation #globalisation_4.0 #klaus_schwab #économie

  • Netherland: A fire has spread rapidly at a “picnic” facility in Almelo, supermarket funded by the Bill and Melinda Gates foundation

    https://www.youtube.com/watch?v=_QvuMcoyfw4

    Picnic in the Netherlands, is a supermarket company funded by the Bill and Melinda Gates foundation that delivers groceries with small electric cars.

     #bill_gates #en_vedette #actualités_internationales #santé #philanthrocapitalisme #philanthropie #fondation_gates #capitalisme #microsoft #gates #Pays_Bas #Hollande #manifestations

    • État et multinationales détournent la chaîne alimentaire
      Publié en ligne sur le site de De andere krant, Pays-Bas, 9 juillet 2022.(1)

      Pas beaucoup de bruit dans les médias du pouvoir autour de ce qu’il se passe en Hollande. Normal, les agriculteurs se révoltent contre les plans du Forum économique mondial que leur gouvernement met en place docilement. Sous prétexte de l’augmentation de la population et de la nécessité de nourrir 10 milliards de personnes bientôt, l’agriculture 2.0 est prisée, au détriment de la traditionnelle, celle où l’on met encore ses mains dans la terre. Un article de nos collègues hollandais, avec leur aimable accord de le reproduire ici.

      Le gouvernement néerlandais travaille en étroite collaboration avec le Forum économique mondial (WEF) pour réformer radicalement le secteur alimentaire. Les Pays-Bas sont l’araignée dans la toile d’une chaîne alimentaire mondiale qui n’a pas encore été formée, qui est contrôlée par les soi-disant WEF Food Innovation Hubs. Le siège social est situé à Wageningen. Le rôle de l’agriculteur traditionnel dans les plans du WEF est marginal.

      Le WEF, le club d’élite des multinationales et des dirigeants politiques basé à Davos, a établi des pôles d’innovation alimentaire dans le monde entier. « Des plateformes de partenariat multipartites basées sur le marché visant à renforcer les écosystèmes d’innovation locaux », c’est ainsi que le WEF les décrit. Ils doivent s’assurer que la chaîne alimentaire est préparée pour l’avenir.

      Selon le WEF, une réforme radicale du système alimentaire est nécessaire pour qu’il n’y ait plus de faim dans le monde d’ici 2030. Il reste encore du chemin à parcourir, car à l’heure actuelle « près de deux milliards de personnes n’ont pas accès à une alimentation saine, nutritive et adéquate et 690 millions de personnes meurent de faim ».

      Pour résoudre le problème, un « plan global » a été mis en place en 2020 – hors parlement. Les Pays-Bas y jouent un rôle de premier plan. Le European Food Innovation Hub du WEF et même le secrétariat mondial des Hubs sont situés à Wageningen. Le WEF travaille en collaboration avec l’Université de Wageningen (WUR) et avec la plateforme d’innovation alimentaire Food Valley NL sponsorisée par la province de Gelderland. Le plan laisse peu de place aux agriculteurs traditionnels. Le WEF se concentre principalement sur les partenariats public-privé avec les grandes entreprises. Food Valley NL en est un bon exemple : elle est financée par la province de Gelderland, est présidée par l’ancienne ministre Edith Schippers (VVD) — qui est également présidente de la multinationale alimentaire DSM — et compte des entreprises telles que Jumbo, Aldi, HAK, Rabobank et DSM comme membres. « Le rôle des entreprises du secteur alimentaire doit être stimulé pour créer des solutions évolutives », a déclaré le Premier ministre Rutte lors d’une réunion Zoom du WEF l’année dernière.

      Rutte a fait sa déclaration lors d’une réunion Zoom avec le titre révélateur « Transformer les systèmes alimentaires et l’utilisation des terres », où il a déclaré que le secrétariat mondial des pôles alimentaires avait été attribué à notre pays par le WEF, après que les Pays-Bas aient déjà été désignés comme le quartier général des pays européens. La coordination est entre les mains de l’Université de Wageningen.

      Parce que la plupart des médias rapportent peu ou rien sur le plan du WEF — même maintenant que le débat entre les agriculteurs et les politiques est devenu houleux —, il semble que ce ne soit pas la réalité, ou tout au plus une théorie du complot. Cependant, l’engagement envers le plan et les objectifs dirigés par le WEF a déjà été ouvertement proclamé par l’ancienne ministre de l’Agriculture Carola Schouten, ainsi que par le Premier ministre lui-même. Les accords sur les Food Hubs sont même scellés dans des contrats juridiquement contraignants, comme l’a montré le Forum pour la démocratie l’année dernière après des questions parlementaires à Schouten. Lors de réunions avec le WEF, Rutte lui-même a laissé entendre que la transformation de la chaîne alimentaire battait son plein. « Les World Economic Food Innovation Hubs permettent de connecter les actionnaires régionaux (ce que le WEF appelle les soi-disant parties prenantes, ndlr) pour intensifier les innovations », a déclaré Rutte. Il est remarquable que de nombreuses entreprises du secteur industriel et technologique en particulier apportent une contribution majeure aux plans de réforme du secteur alimentaire.

      Le gouvernement et le WEF disent qu’il faut produire plus de nourriture, car « la croissance attendue de la population mondiale (à 10 milliards en 2050, ndlr) et les conséquences de la crise climatique ne font qu’accroître l’urgence de l’insécurité alimentaire actuelle », comme indiqué dans un article du gouvernement l’année dernière. Pourquoi alors chasser ces agriculteurs de la terre, comme le fait maintenant ouvertement le gouvernement néerlandais ? Plus de nourriture sur moins de terres agricoles, est-ce possible ? Oui, on a pensé à quelque chose : l’agriculture verticale, c’est-à-dire l’agriculture qui monte. « Agriculture verticale. Est-ce l’avenir de l’agriculture ? », le WEF pose une question rhétorique. Une vidéo montre comment la start-up danoise Nordic Harvest à Copenhague a aménagé un entrepôt de 75.000 mètres carrés de manière à ce que les aliments puissent être cultivés en quatorze couches empilées les unes sur les autres. Des points forts technologiques tels que l’éclairage LED, les mécanismes rotatifs et l’arrosage avec des capteurs garantissent que les cultures poussent dans « les conditions parfaites ».

      « Notre productivité est extrêmement élevée et nous laissons une petite empreinte », a déclaré David Rosenberg, PDG d’Aerofarming, qui qualifie son entreprise de croisement entre une entreprise agricole et une entreprise technologique. « Nos cultures poussent — de la graine à la récolte — en quinze jours. Cela prend 30 à 45 jours dans une serre ou dans un champ ». L’entreprise — qui s’occupe également de la modification génétique des semences à l’aide de la technique CRISPR — affirme qu’il faut 95% d’eau en moins que sur une ferme et qu’elle peut produire 390 fois plus de cultures par mètre carré et même que la nourriture est plus saine que dans une ferme saine (bien que beaucoup de sceptiques contestent cela). Si ce phénomène se répand dans le monde, il faudra beaucoup moins de terres agricoles. En fait, il faudra beaucoup moins d’agriculteurs. Nul autre que Bill Gates a injecté 50 millions de dollars dans l’entreprise pour des robots agricoles capables de faire le travail beaucoup plus rapidement.

      Bien que le WEF et le gouvernement affirment toujours que les agriculteurs continueront à jouer un rôle important dans l’approvisionnement alimentaire à l’avenir, cela semble être une stratégie pour garder les gens calmes le plus longtemps possible. Il semble que seules les parties qui souhaitent adopter les innovations du Food Hub joueront un rôle dans la chaîne alimentaire du futur. En général, le secteur agricole est à la traîne, selon le WEF. « Les innovations qui peuvent aider à transformer nos systèmes alimentaires sont souvent déjà là. Malheureusement, l’adoption et la mise à l’échelle des innovations dans le secteur agroalimentaire sont à la traîne par rapport aux autres secteurs ».

      Le ministre de l’azote Van der Wal, Picnic et Bill Gates
      Les lignes avec l’élite dirigeante mondialiste ne sont pas seulement courtes du côté de la production de la chaîne alimentaire, il y a aussi un (apparent) conflit d’intérêts du côté de la distribution. Il s’avère que le frère de la ministre de l’azote Christianne van der Wal (VVD) — Bouke van der Wal — est le propriétaire de Picnic. Bill Gates a investi l’an dernier 600 millions d’euros dans ce supermarché en ligne. Il a déclaré qu’il souhaitait que les pays riches « passent à 100% à la consommation de viandes synthétiques pour aider à lutter contre le changement climatique ». Ce phénomène est tout à fait conforme à une autre idée d’innovation alimentaire promue par le WEF : la « viande » imprimée en 3D.

      Ido Dijkstra
      Traduction : Bernard Legros
      Mise en ligne et traduction #Kairos https://www.kairospresse.be/etat-et-multinationales-detournent-la-chaine-alimentaire

      Notes et références 1 https://deanderekrant.nl/nieuws/staat-en-multinationals-kapen-voedselketen-2022–07-08

      #picnic #wef #davos #répression #alimentation #globalisation_4.0 #klaus_schwab #économie

  • Variole du singe Le premier cas suspect de Grèce était une varicelle AFP
    https://www.lessentiel.lu/fr/story/le-premier-cas-suspect-de-grece-etait-une-varicelle-262823936465

    Le touriste britannique qui présentait des symptômes faisant penser au virus du singe est en fait atteint d’une autre maladie.

    Les examens sérologiques effectués sur un touriste anglais en Grèce, premier cas suspect de variole du singe dans le pays, n’ont pas détecté la maladie mais la varicelle, a assuré dimanche l’organisme de santé publique. Le vacancier et sa partenaire de voyage avaient été transférés samedi à l’hôpital et mis à l’isolement.

    « Le virus du singe n’a pas été détecté après examens sérologiques sur l’homme hospitalisé à l’hôpital Attikon (banlieue d’Athènes), mais la varicelle a été détectée suite à deux examens successifs », a annoncé l’organisme de santé publique dans un communiqué. « Il existe des symptômes proches et des apparitions de lésions cutanées semblables » entre les deux maladies, a-t-il précisé.

    Pas de traitement
    Plusieurs pays occidentaux dont la France, l’Allemagne, la Grande-Bretagne, les États-Unis, la Suisse l’Espagne ou encore la Suède ont recensé des cas. La variole du singe ou « orthopoxvirose simienne » est une maladie rare dont le pathogène peut être transmis de l’animal à l’homme et inversement.

    Ses symptômes ressemblent, en moins grave, à ceux que l’on observait dans le passé chez les sujets atteints de variole : fièvre, maux de tête, douleurs musculaires, dorsales, au cours des cinq premiers jours. Puis apparaissent des éruptions cutanées, des lésions, des pustules et enfin des croûtes.
    Il n’existe pas de traitement pour cette maladie qui guérit en général spontanément et dont les symptômes durent de 14 à 21 jours.

    #variole #variole_du_singe #covid-19 #santé #épidémie #coronavirus #épidémies #vaccins #covid #confinement #maladie #virus

    • T’as des journalistes ils sortent d’école, se spécialisent en pandémie, maladies, vaccins, santé... et 2 ans après, tout s’arrête et faudrait qu’ils aillent dans un pays en guerre pour conserver leur boulot. Donc ils tentent le tout pour le tout.

    • L’information est donc arrivée en Suisse et en Belgique, pas en France, en tous cas, pas sur ce blog.
      RTBF Variole du singe : risque « très faible » d’une vaste contagion, selon une agence européenne
      https://www.rtbf.be/article/variole-du-singe-risque-tres-faible-d-une-vaste-contagion-selon-une-agence-euro
      . . . . . .
      Au total, 85 cas ont été recensés jusqu’ici dans huit pays de l’UE (France, Belgique, Allemagne, Italie, Pays-Bas, Espagne, Portugal et Suède), selon l’ECDC. Les autorités sanitaires au Danemark ont par ailleurs annoncé un premier cas lundi.

      La maladie, cousine moins dangereuse de la variole éradiquée depuis une quarantaine d’année, est endémique en Afrique de l’Ouest et en Afrique centrale. 
      . . . . . . . .

    • Variole de Cannes & Festival de singes Nicolas D’Asseiva - Kairos
      https://www.kairospresse.be/variole-de-cannes-festival-de-singes

      Le cinéma nous a habitués aux suites à répétition. Qu’importe le scénario, qu’importe la vraisemblance, tant qu’il y a assez de consommateurs avides de médiocrité et adeptes de la facilité, tous les coups sont permis. Sur les écrans, comme dans la réalité. Du moins, celle qui nous est vendue.



      On imagine déjà les images, la musique inquiétante qui monte en puissance et la phrase d’accroche qui commence par « cette année… » ou « cet été… ». C’est peut-être la bande-annonce du prochain film diffusé sur tous les écrans : « La variole du singe ». Ou « #Monkeypox » pour faire plus américain, plus hollywoodien. Et pourquoi pas y ajouter un sous-titre grotesque dans le genre « Covid-19, le retour de la vengeance » ? Une coproduction « Big Pharma — OMS » « en partenariat avec les gouvernements de nombreux pays » et « l’aimable autorisation du Label On prend à peu près les mêmes et on recommence  ».

      Cette nouvelle superproduction devrait ravir les esclaves 2.0 qui ont assuré les recettes du premier opus. Elle a tous les atouts d’une redite avec les ajustements qui manquaient au premier épisode car la variole du singe (du macaque pour être précis) est déjà connue. Nous avons donc un sentiment de maîtrise du sujet. Elle est visible puisque qu’elle provoque des éruptions cutanées, elle est peu contagieuse et se transmet par frottements, par le sang, le sperme et la salive. Sa létalité se situe entre 1 et 10% ou 5 et 10% des cas, selon les sources. Chiffres bien plus spectaculaires que ceux de la terrible pandémie de Covid 19. Il semblerait aussi qu’elle disparaisse d’elle-même. Au bout de combien de temps, avec quelles séquelles ? On ne nous le dit pas encore. Et puis le meilleur pour la fin : les cas graves sont plus fréquents chez les jeunes, les enfants en particulier.

      Voilà une présentation plus ou moins « rassurante », pour le moment. Mais la masse ayant été nourrie à l’angoisse dès le printemps 2020, il lui est désormais acquis que des virus mortels nous menacent en permanence. Avec la variole du singe, il peut balancer entre l’idée qu’une distanciation sociale est de rigueur, qu’un confinement n’est peut-être pas nécessaire (quoique l’on n’est jamais trop prévenant) et celle que l’injection à répétition pour les plus petits est gage de sécurité. Ou comment passer cette barrière qui instaure le doute chez les parents dans le cadre de « la vaccination des 5–11 ans ».

      Attendu qu’il faut maintenir l’attention des spectateurs qui peu à peu ont désertés les salles où était projeté Russie-Ukraine, la 3ème guerre mondiale arrive, le scénario peut évoluer et toutes les informations données ici peuvent être obsolètes dans un proche avenir. Dans un sens ou dans l’autre. Cette variole pourrait par exemple « muter », que ce soit crédible ou pas, les scénaristes peuvent tout se permettre. Ils ont un public considérable et de puissants producteurs (Big Pharma Entertainment presents !) qui ne demandent qu’à amasser de nouveaux millions, quand ce ne sont pas des milliards.

      Tout ceci n’est, pour l’heure, que spéculation. A la table de travail des scénaristes on trouve néanmoins des informations non négligeables. Plusieurs éléments troublants qui ne sont peut-être que d’étonnantes coïncidences.

      Retenons-en deux. En mars 2021, une agence américaine appelée Nuclear Treat Intiniative (Initiative sur la Menace Nucléaire), sponsorisée, entre autres par la fondation #Gates (mais dans quel organigramme ne trouvons-nous pas trace du plus grand philanthrope de tous les temps ? ) a mis sur pied une simulation d’attaque biologique. Le scénario était le suivant : apparition de la variole du singe le 15 mai 2022.

      Le 22 janvier 2022, en Pennsylvanie, un camion transportant quelques centaines de macaques est entré en collision avec un autre camion. Il était en route pour un centre de quarantaine, selon le Center of Disease Control and Prevention (Centre de Contrôle et de Prévention des Maladies). Quatre de ces singes se sont échappés du véhicule accidenté. Trois ont été récupérés et il été demandé aux autorités de surveiller les habitants locaux pour détecter les symptômes de rhume. On n’en sait pas plus à l’heure actuelle.

      L’origine de cette variole est principalement attribuée aux macaques d’Afrique équatoriale. C’est une maladie endémique de plusieurs pays de ce continent. De ces vilains pays qui n’ont pas, ou si peu, joué le jeu des injections et de la panique générale. A quand la cirrhose du panda ? Venue de Chine évidemment, ou la vérole du mouflon des neiges qu’on ne trouve qu’en Sibérie, donc en Russie tout aussi évidemment. Ou mieux encore, la scarlatine du scorpion (Geogarypus hungaricus, par exemple) qui nous viendrait, au hasard, de Hongrie, puisque c’est le dernier pays d’Europe qui refuse d’appliquer les sanctions contre la Russie. Ajoutons sur un ton plus léger que les pays où les premiers cas sont annoncés et confirmés sont ceux où l’on ne trouve pas de singes mais une majorité de personnes injectées contre le Covid 19. De fait, on peut ajouter que la variole attaque les systèmes immunitaires déjà affaiblis. On en tire les enseignements que l’on peut sachant que les injections instaurées depuis plus d’un an causent des dégâts avérés sur lesdits systèmes immunitaires.

      On constate donc que le spectacle bat son plein. Dans la réalité vendue qui se confond avec la fiction. En plein festival de Cannes, c’est de bon augure, un véritable alignement des planètes. La présence (sur écran) du président ukrainien à l’ouverture des réjouissances en est une des meilleures représentations. Une mise en scène qui n’est pas sans rappeler les apparitions de Big Brother dans le film 1984. Mais après tout, un acteur phare d’un des plus grands films de tous les temps a bien sa place dans l’incontournable événement. Avec à la clé, une standing ovation de la grande famille du cinéma. Celle qui n’a pas à souffrir de savoir comment se nourrir décemment jusqu’à la fin du mois, ni de voir ses enfants transformés en chair à canons au nom de guerres dont les enjeux sont multiples et certainement pas ceux exposés par les mass médias. De même, une star qui débarque en hélicoptère ou une autre en jet privé sont parfois les mêmes qui nous expliquent tous les enjeux du changement climatique. Sans oublier un show aérien de la Patrouille de France pour un clin d’œil à un film. Un véritable festival de singes qui vivent dans un monde parallèle qui n’a que faire de ces petites gens juste bons à consommer et s’émerveiller. Des singes en robes et costumes qui semblent contaminés parce ce que l’on pourrait appeler « le virus du dédain » ou la « Variole de Cannes ». Peut-on vraiment les blâmer ? Qui sacrifierait des années de notoriété, de position sociale et financière de haut rang pour pleurer avec le « petit peuple » ? Sûrement pas la majorité de ce petit peuple qui reste tout aussi consternant. Il devrait cesser de penser à ses vacances, allant même jusqu’à prévoir celles qu’il passera aux sports d’hiver. Il devrait lutter au quotidien contre cette satanée nature humaine façonnée au plaisir immédiat. Et surtout, arrêter de se baser sur les éléments du présent pour se projeter dans le futur. Il risque d’être fort altéré pour ne pas dire « différent ». Ce genre de futur, pas si lointain, où la destination des prochaines vacances ne sera plus à l’ordre du jour. Où l’on peut supposer que l’on aura « autre chose à penser » pour rester dans l’euphémisme.

      Un autre festival avec des singes autrement plus inquiétants se déroule en simultané : Le Forum économique Mondial de #Davos. Fief des vrais scénaristes et des futurs au pire « voulus » ou au mieux « hypothétiques » mais toujours probables. Et toujours en simultané, encore une coïncidence, à Genève la 75ème Assemblée mondiale de la Santé. Là ou l’on met sur pied un nouveau protocole sanitaire qui va permettre de passer outre les décisions étatiques au nom du nouvel ordre mondial. Le président ukrainien n’y a pas (encore ?) fait son apparition. Heureusement, il est l’invité d’honneur du Forum de Davos. Show must go on et la majorité reste encline à payer sa place au spectacle. Sans en comprendre vraiment le prix et même si le récit est digne d’un mauvais boulevard. Ce qui n’est pas un pléonasme puisqu’il existe d’excellentes pièces dites « de boulevard ». Tous ceux qui n’ont toujours pas saisi que la phase covidienne n’est que l’acte 1 vont avoir du mal à suivre la pièce jusqu’à la fin de la représentation. Pour autant qu’ils aient réalisé qu’elle se déroule sous leurs yeux et qu’ils n’en sont pas que les spectateurs mais aussi des acteurs. De seconde zone, certes, mais cette figuration massive est l’une des clés majeures de la trame. Il est possible qu’au rideau final, ils ne se soient rendus compte de rien, ou de si peu, et qu’ils réservent, toujours sans réflexion, leur place pour le prochain spectacle. Celui de la soumission totale, de la fonte dans le grand rien.

      On peut considérer que nous sommes dans un nouveau remake de La planète des singes . Mais quelle que soit la version proposée, elle se termine toujours de la même manière. C’est-à-dire très mal pour l’être humain. Néanmoins, cette duperie monumentale n’étant pas achevée, nous avons encore une marge de manœuvre. Ce n’est rien de le dire, ce n’est rien de l’écrire. Il est plus que temps de (ré)agir.

      Nicolas d’Asseiva, auteur de Pax Dystopia

  • Noam Chomsky : « Notre priorité en Ukraine devrait être de sauver les vies, pas de punir la Russie. »
    https://www.les-crises.fr/noam-chomsky-notre-priorite-en-ukraine-devrait-etre-de-sauver-les-vies-pa

    Près de trois mois après le début de la guerre en Ukraine, la paix n’est pas en vue. En fait, le niveau de destruction s’est intensifié et les deux parties semblent avoir peu d’espoir de parvenir à un règlement pacifique dans un avenir proche. En outre, la situation internationale se détériore, car certains pays européens […]

    • Unpopular opinion. Revenir aussi sur chomsky assad et a Syrie.
      « La position du linguiste américain et célèbre activiste de gauche Noam Chomsky sur le soulèvement syrien qui s’est transformé en guerre par procuration est une trahison du peuple syrien, écrit l’analyste Sam Hamad. Il a laissé son approche anti-impérialiste inébranlable l’aveugler sur les complexités et les contradictions du printemps arabe. »

      vince remos sur Twitter : « pour rappel chomsky est une m.. » / Twitter
      https://twitter.com/vinceremoss/status/1525362463650328576

      Chomsky then uses Zelenskyy as an example to ’prove’ Ukraine isn’t demanding heavy weapons, and that this is just Western propaganda.

      Yes, that Zelenskyy. twitter.com/ChrisDYork/sta…

    • Mais c’est pas nouveau, ça : ça fait depuis les années 60 que Chomsky hérisse les thuriféraires de telle ou telle guerre/révolution que cette fois-ci elle est bonne, et que cette fois faudrait y voir un peu à ce que ces gauchistes (qui n’ont rigoureusement aucun impact sur la réalité de la géopolitique) arrêtent avec leur anti-impérialisme qui n’est rien d’autre que de la complaisance pour les dictateurs génocidaires et que c’est une trahison de ces braves gens qui vont se faire trucider pour la bonne cause. Vraiment, depuis les années 60 c’est à chaque fois le même cirque.

    • Sinon, Sam Haddad continue à faire son miel avec ses conneries sur Chomsky, malgré les échanges qu’il a eu avec lui et qu’il a évidemment publiés (parce qu’avoir un échange avec Chomsky, même te disant que tu racontes des foutaises, c’est classieux) :

      You Want the Truth ? A Correspondence with Noam Chomsky on Syria | TUMBLEWEED
      https://herecomesthetumbleweed.wordpress.com/2017/04/30/you-want-the-truth-a-correspondence-with-noam-chom

      Chomsky [in bold replying to my last email]:

      I have never written that you support Assad in a direct manner.

      Or in an indirect manner. I have condemned him repeatedly as a “monster” who is responsible for the vast majority of the crimes.

      However, while Patrick Cockburn, who you cite as the foremost authority on Syria

      Cockburn is cited quite generally as an authority on Syria, including by those who completely disagree with him. I am sure you can comprehend that.

      is a direct supporter of the Assad regime, Russia and Iran – those who are currently perpetrating a near-genocide in Syria. Do you want me to link to his testimony to the British parliament where he argues that the the UK ought to hook up with Assad in Syria to fight Daesh? Do you understand the implication of this?

      Yes, I understand it, and it is totally irrelevant to your slanders.

      I know you think that the Syrian rebels are all actually al-Qaeda and/or al-Qaeda-lite, but this just simply isn’t true.

      Correct. It is certainly not true and I have never suggested anything of the sort. I’m familiar with your views, and I don’t lie about them. You have, for some reason, concocting your own fantasies about my views, and you continue to lie outrageously about what you claim to be my views. I don’t know what you are up to, but this lying is quite astonishing.

    • Il y a, en gros, deux façons de mettre fin à cette guerre : un règlement diplomatique négocié ou la destruction de l’un ou l’autre camp, soit rapidement, soit dans une agonie prolongée. Ce ne sera pas la Russie qui sera détruite. Il est incontestable que la Russie a la capacité d’anéantir l’Ukraine, et si Poutine et sa cohorte sont acculés au pied du mur, ils pourraient, en désespoir de cause, utiliser cette capacité. C’est ce à quoi devraient s’attendre ceux qui dépeignent Poutine comme un « fou » plongé dans les illusions d’un nationalisme romantique et d’aspirations mondiales brutales.

      Il s’agit clairement d’une expérience que personne ne veut entreprendre – du moins personne qui se préoccupe un tant soit peu des Ukrainiens.

      La précision est malheureusement nécessaire. Il existe des voix respectées dans le courant dominant qui défendent simultanément deux points de vue : (1) Poutine est en effet un « fou furieux » capable de tout et qui pourrait se venger sauvagement s’il était acculé au mur ; (2) « L’Ukraine doit gagner. C’est la seule issue acceptable. » Nous pouvons aider l’Ukraine à vaincre la Russie, disent-ils, en lui fournissant des équipements et un entraînement militaires de pointe, et en mettant Poutine au pied du mur.

      Ces deux positions ne peuvent être défendues simultanément que par des personnes qui se soucient si peu du sort des Ukrainiens qu’elles sont prêtes à tenter une expérience pour voir si le « fou furieux » se dérobera dans la défaite ou utilisera la force écrasante dont il dispose pour anéantir l’Ukraine. Dans tous les cas, les partisans de ces deux points de vue sont gagnants. Si Poutine accepte tranquillement la défaite, ils gagnent. S’il anéantit l’Ukraine, ils gagnent : cela justifiera des mesures bien plus sévères pour punir la Russie.

      D’un côté, tu as des arguments purement viscéraux, de l’autre, tu lis Chomsky, et tu as des raisonnements fluides et pleins d’intelligence. Ok, c’est plus complexe, car oui, comment « gagner » la guerre sans négocier ? Et en fait, tu comprends que personne, du côté occidental, n’a vraiment envie de négocier, depuis très longtemps. Depuis aussi longtemps que les accords de Minsk ont été dédaignés et torpillés par les américains et certains ukrainiens.

    • Un « arrangement » aujourd’hui nous plongera dans l’incertitude avec des variables difficiles à contrôler. (9/10)
      […]
      Il faut être conscient dans quoi on s’engage si on laisse la Russie « garder la face » et reprendre des forces. (10/10)

      Anna Colin Lebedev

      Il faut être conscient dans quoi on s’engage si on veut à toutes forces que la Russie « perde la face ».
      Vous avez dit #incontrôlable ?…

    • Je relève dans l’entretien de Chomsky :

      Poutine ne veut-il pas la paix en Ukraine ? [Polychroniou]
      ...
      Et les États-Unis continuent de maintenir cette position aujourd’hui, faisant ainsi obstacle à un règlement négocié selon les grandes lignes décrites par Zelenskyy, quel qu’en soit le coût pour les Ukrainiens.
      ...
      Lors de la conférence de presse, Poutine a semblé rejoindre les États-Unis en préférant « le contraire de la diplomatie et de l’habileté politique », bien que ses remarques n’excluent pas ces options. Si les pourparlers de paix sont aujourd’hui dans une « impasse », cela ne signifie pas qu’ils ne peuvent pas être repris, au mieux avec la participation engagée des grandes puissances, la Chine et les États-Unis.
      ...
      Je pense qu’il [Poutine] veut la paix – à ses conditions. (Quel monstre n’en veut pas ?)

      En gros pour Chomsky Zelensky et Poutine sont prêts à négocier et faire la paix mais ce sont les Etats-Unis qui font obstacle et qui veulent la guerre (pas comme le monstre Poutine). Si Poutine refuse de négocier c’est juste qu’il rejoint les Etats-Unis...

      Le nyt (et d’autres) au contraire demande(nt) aux US de faire pression sur Zelensky pour qu’il soit prêt à faire des concessions plutôt que de le suivre jusqu’au bout.

    • Une négociation est-elle possible en Ukraine ? - La Vie des idées
      https://laviedesidees.fr/Une-negociation-est-elle-possible-en-Ukraine.html

      Les négociations autour de la guerre en Ukraine laissent perplexe. Qui peut endosser le rôle de médiateur dans de telles circonstances ? Peut-on prendre au sérieux l’idée même de médiation, compte tenu de l’ampleur des exactions commises par la Russie en Ukraine ?

    • Cela ne signifie pas qu’ils ne peuvent pas être repris, au mieux avec la participation engagée des grandes puissances, la Chine et les États-Unis.

      La Chine n’a jamais dit clairement si elle soutenait ou non Vladimir Poutine. Mais il apparaît désormais de façon claire qu’elle n’abandonnera pas la Russie pour des raisons sécuritaires et géostratégiques. Peu importe le prix élevé à payer

      Guerre en Ukraine : l’UE dénonce un « pacte inquiétant » entre la Russie et la Chine

    • [Le point de vue d’Henry Kissinger (95) sur l’urgence des négociations]

      https://www.telegraph.co.uk/business/2022/05/23/henry-kissinger-warns-against-defeat-russia-western-unity-sanctions

      Dr Kissinger said the war must not be allowed to drag on for much longer, and came close to calling on the West to bully Ukraine into accepting negotiations on terms that fall very far short of its current war aims.

      #Negotiations need to begin in the next two months before it creates upheavals and tensions that will not be easily overcome. Ideally, the dividing line should be a return to the status quo ante. Pursuing the war beyond that point would not be about the freedom of #Ukraine, but a new war against Russia itself,” he said.

      He told the World Economic Forum that Russia had been an essential part of Europe for 400 years and had been the guarantor of the European balance of power structure at critical times. European leaders should not lose sight of the longer term relationship, and nor should they risk pushing Russia into a permanent alliance with China.

      “I hope the Ukrainians will match the heroism they have shown with wisdom,” he said, adding with his famous sense of realpolitik that the proper role for the country is to be a neutral buffer state rather than the frontier of #Europe.

      The comments came amid growing signs that the Western coalition against Vladimir Putin is fraying badly as the food and energy crisis deepens, and that sanctions may have reached their limits.

      [#Habeck, totalement inapte à son poste et désorienté, n’a pas compris les signes du temps - il risque tout simplement une crise énergétique sans précédent en #Autriche, #Allemagne, #Slowakie, #Hungrie]

      “We’re seeing the worst of Europe,” said German vice-chancellor Robert Habeck in an angry outburst in Davos, accusing Hungary and other recalcitrant states of paralysing attempts by the rest of the EU to craft a full-fledged oil embargo.

      Mr Habeck, who doubles as economy minister, said Germany is more or less ready to endure the shock of a total cut-off in Russian oil imports but others want to carry on as if nothing had changed. “I expect everyone to work to find a solution, and not to sit back and work on building their partnership with Putin,” he said.

      Yuriy Vitrenkio, head of the Ukrainian energy consortium Naftogas, said the refuseniks are demanding exemptions from the embargo on false pretences. “What they really want is a free-ride on discounted Russian oil,” he said.

      #Russie #Davos

  • #Suisse : La première « boîte à bébé » a été ouverte il y a 20 ans à Einsiedeln

    L’hôpital régional d’Einsiedeln (SZ) a ouvert la première « boîte à bébé » de Suisse il y a 20 ans, le jour de la Fête des mères, en 2001. Il existe aujourd’hui sept autres installations de ce genre, dont une à Sion

    Au petit matin du 4 janvier 2020, un nouveau-né était découvert sur un chantier non chauffé de Därstetten, dans l’Oberland bernois, abandonné par sa mère la nuit précédente. Cette femme avait laissé dans une boîte en carton sa petite fille enveloppée dans une simple couverture en laine.

    Un agriculteur l’avait trouvée en état d’hypothermie sévère et avait alerté les secours, qui l’avaient ensuite emmenée par hélicoptère à l’hôpital cantonal de Berne. Peu de temps après, la police avait pu arrêter la mère et le père et les avait placés en détention, exposés à une amende et une peine de prison pour non-assistance à une personne incapable de se protéger elle-même.

    « Si la mère avait déposé son enfant dans la fenêtre à bébé la plus proche à Berne, elle n’aurait pas eu à craindre une amende ou des conséquences pénales », a déclaré à Keystone-ATS Dominik Müggler, l’homme à l’origine de la première boîte à bébé et responsable du projet « Baby window » de l’Aide suisse pour la mère et l’enfant (ASME).

    Aujourd’hui jugée indispensable
    Considérée par certains experts comme problématique sur le plan juridique et éthique il y a 20 ans, la "boîte à bébé" est devenue aujourd’hui une institution jugée indispensable. Depuis 2001, 26 nouveaux-nés y ont été déposés.

    Entre 1997 et 2001, alors qu’il n’y avait pas de "fenêtre à bébé", 13 nouveaux-nés abandonnés ou tués ont été recensés en Suisse. Il y en a eu 17 au cours des vingt dernières années, a indiqué M. Müggler.

    Le principe de la "fenêtre à bébé" est simple : les mères en détresse peuvent déposer leur bébé dans un compartiment accessible depuis l’extérieur d’un bâtiment hospitalier avant de le refermer et de s’en aller. Une alarme signalant la présence du nouveau-né se déclenche trois minutes plus tard.

    Prise en charge par l’APEA
    Après son dépôt, le bébé est pris en charge par l’hôpital et par l’Autorité de protection de l’enfant et de l’adulte (APEA) en attendant son adoption. La mère peut s’adresser à l’APEA ou à l’ASME pour prendre contact avec son enfant. Elle peut le récupérer avant une éventuelle adoption qui intervient officiellement au plus tôt un an après l’abandon du bébé. La première alarme dans une "boîte à bébé" a retenti le 5 septembre 2002 à 14h30 à Einsiedeln.

    Dominik Müggler a eu l’idée d’installer des « fenêtres à bébé » après avoir entendu parler de la « trappe à bébé » de Hambourg (Allemagne) qui a ouvert en 2000. Il a contacté un ami médecin à Einsiedeln qui a organisé une rencontre avec les responsables de l’hôpital.

    Avant même la réunion, l’hôpital a apporté son soutien à l’idée à la condition que ce service ne s’appelle pas « trappe à bébé », mais « fenêtre à bébé ». La découverte en 1999 d’un bébé abandonné mort au bord du lac de Sihl, près d’Einsiedeln, avait provoqué un choc dans la région. La « boîte à bébé » semblait la bonne solution pour éviter qu’une telle tragédie ne se reproduise.

    Huit « fenêtres à bébé »
    Il existe actuellement huit « fenêtres à bébé » en Suisse. Elles sont installées à Einsiedeln, Olten (SO), Berne, Bâle, Davos (GR), Bellinzone, Zollikerberg (ZH) et Sion. Les coûts de mise en place sont pris en charge par l’ASME, soit en moyenne environ 70’000 francs.

    Depuis 2001, 26 nouveaux-nés ont été déposés dans les « boîtes à bébé ». Treize mères se sont manifestées et ont révélé leur identité et six d’entre elles ont voulu récupérer leur progéniture après avoir surmonté une période de crise. Dans les six cas, l’enfant leur a été rendu.

    Dominik Müggler est convaincu que la Suisse a besoin de plus de « fenêtres à bébé ». Il serait bon d’en installer dans l’Oberland bernois et à St-Gall, estime-t-il notamment.

    Source : https://www.letemps.ch/societe/premiere-boite-bebe-ouverte-y-20-ans-einsiedeln

    #Pauvreté #fenêtre_à_bébé #Baby_window #trappe_à_bébé #boîte_à_bébé

    • J’arrive pas à savoir si c’est ironique ton commentaire @metroet_ les situations concernées sont je l’imagine pour la plus part les conséquences de viols dont une bonne part d’inceste, dénis de grossesses ect. Il me semble que permettre l’abandon d’enfants dans de bonnes conditions est bénéfique avant tout pour les enfants, ca leur donne une petite chance d’échapper à des maltraitances de la part de leurs géniteurices et parfois probablement à l’infanticide.

      Ce qui m’étonne c’est que cette possibilité d’abandon anonyme est ancienne en France, et je m’étonne que ca n’arrive qu’en 2001 en Suisse.

    • #Davos accueille chaque année le forum économique mondial (World Economic Forum, WEF), réunion des dirigeants de la planète avec les plus riches des multi milliardaires.
      Par ailleurs, c’est une destination touristique majeure, très prisée par la #jet-set, qui adore les hôtels de grand luxe.
      La confrontation avec un #fait_divers qui illustrerait le résultat de leurs décisions . . . .. . .

      Berne est un centre politique qui joue un rôle décisif dans la politique financière et monétaire nationale Suisse et internationale.
      Manquerait plus qu’on y trouve des nouveaux nés morts dans la rue, ce serait très mauvais pour l’image de marque.

      Autre chose, en France existe la possibilité d’accoucher sous X, et pas dans la rue.

    • Merci pour ta réponse @metroet_
      Ok pour que la suisse soit un pays de gros riches mais je voie pas le lien avec le sujet. Y a pas de personnes en difficultés dans les pays riches ? Les victimes de viols, d’inceste, celles qui sont dans le deni de grossesse sont plus en faute car elles sont enceintes dans la ville du forum économique mondiale... (et je veux pas dire que les abandons d’enfants se font que chez les pauvres, chez les riches aussi les bons pères de familles violent leurs filles et peuvent les rendre enceintes et je croi pas que les femmes qui laissent les gosses dans une boite le font à la légère pour le fun et si il y en a qui le font à la légère pour le fun, alors tant mieux qu’elles n’aient plus la résponsabilité de gosses)

      Sinon pour la France et l’accouchement sous X, il n’existe plus car les enfants nés sous X ont fait pression afin de pouvoir traquer leurs génitrices et illes obtiennent gain de cause au détriment des femmes qui croyait que l’état leur assurerait l’anonymat. Alors non, y a pas réellement d’accouchement sous X en France.

    • relaté dans un livre de e.badinter, je pense l’amour en plus (1980), en france, la « boite à bébé » remonte à napoléon, cela lui a permis d’avoir de la chair à canon pour ses guerres en Egypte et ailleurs.

    • Auparavant, les bébés étaient abandonnés ( principalement pour des raisons financières) à la porte des églises, des monastères, des grandes maisons bourgeoises.

      Les boites à bébé sont apparues en Italie dès le XVe siècle).

  • Contrôle et surveillance en temps de pandémie

    https://lavoiedujaguar.net/Controle-et-surveillance-en-temps-de-pandemie

    https://contrepoints.media/fr/posts/controle-et-surveillance-en-temps-de-pandemie

    La pandémie a révélé les conséquences d’années de coupes budgétaires des gouvernements et de politiques favorisant la privatisation graduelle de nos systèmes publics de santé, au profit d’une vision mettant de l’avant la rentabilité économique de la santé.

    Pour faire face à la pandémie de la Covid-19, au lieu de proposer des investissements dans nos services publics, de nombreux États ont opté massivement pour l’implantation de mesures répressives, telles que le confinement strict et le couvre-feu, et d’une panoplie de mesures de contrôle et de surveillance.

    L’urgence et le climat de peur servent à forcer le consensus et à fabriquer le consentement de la population aux diverses mesures mises de l’avant pour nous sortir de la crise sanitaire. Nous acceptons jour après jour la mise en place de mesures de contrôle social qui, il y a à peine quelques mois, auraient été impensables. Le traitement médiatique de la pandémie n’est pas étranger à l’acceptation sociale des changements drastiques qui nous sont imposés.

    Ainsi, la majorité des États se tournent vers le privé pour nous offrir des solutions technologiques. (...)

    #pandémie #contrôle #surveillance #intelligence_artificielle #Montréal #Davos

  • Qu’est-ce qu’il nous arrive ?
    Beaucoup de questions et quelques perspectives
    par temps de coronavirus

    Jérôme Baschet

    https://lavoiedujaguar.net/Beaucoup-de-questions-et-quelques-perspectives-par-temps-de-coronavi

    Il n’est sans doute pas faux de dire que le Covid-19 est une maladie du Capitalocène et qu’il nous fait entrer de plain-pied dans le XXIe siècle. Pour la première fois sans doute, il nous fait éprouver de façon tangible la véritable ampleur des catastrophes globales des temps à venir.

    Mais encore faut-il tenter de comprendre plus précisément ce qu’il nous arrive, en ce qui concerne tant l’épidémie provoquée par le SARS-CoV-2 que les politiques sanitaires adoptées pour l’endiguer, au prix d’une stupéfiante paralysie de l’économie ; car on ne peut, sans ces préalables, espérer identifier les opportunités qui pourraient s’ouvrir dans ces circonstances largement inédites. La démarche n’a cependant rien d’assurée. Pris dans le tourbillon d’informations chaque jour plus surprenantes ou déconcertantes que suscite l’événement, on titube. On n’en croit parfois ni ses yeux ni ses oreilles, ni nul autre de ses sens. Mieux vaut admettre que bien des certitudes vacillent. Bien des hypothèses aussi. Mais il faut bien commencer à tenter quelque chose, provisoirement et partiellement, en attendant que des élaborations collectives mieux assurées ne prennent le relais. (...)

    #Capitalocène #maladie #capitalisme #Covid-19 #Yuval_Harari #peste #épidémies #Amérique #colonisation #Anthropocène #zoonoses #Davos #Brésil #Mexique #États-Unis #Chine #Europe #France #Asie #Trump #Bolsonaro #López_Obrador #EZLN #zapatistes #Macron #FMI #auto-organisation

  • Davos: World needs to prepare for ’millions’ of climate refugees

    Richer countries may become a rising source of refugees as climate change forces people to flee their countries.

    The world needs to prepare for a surge in refugees with potentially millions of people being driven from their homes by the impact of climate change, the United Nations High Commissioner for Refugees said on Tuesday.

    Speaking to Reuters at the #World_Economic_Forum in Davos, Switzerland, UN Commissioner Filippo Grandi said a UN ruling this week meant those fleeing as a result of climate change had to be treated by recipient countries as refugees, with broad implications for governments.

    The UN Human Rights Committee made the landmark ruling on Monday in relation to refugee-status applicant #Ioane_Teitiota, a man from the Pacific nation of #Kiribati who brought a case against New Zealand after authorities denied his claim of asylum.

    “The ruling says if you have an immediate threat to your life due to climate change, due to the climate emergency, and if you cross the border and go to another country, you should not be sent back because you would be at risk of your life, just like in a war or in a situation of persecution,” Grandi said.

    “We must be prepared for a large surge of people moving against their will,” he said. “I wouldn’t venture to talk about specific numbers. It’s too speculative, but certainly we’re talking about millions here.”

    Potential drivers of migration include wildfires like those seen in Australia, rising sea levels affecting low-lying islands, the destruction of crops and livestock in sub-Saharan Africa, and floods worldwide, including in parts of the developed world.

    For most of its 70 years, UNHCR, the UN’s refugee agency, has worked to assist those fleeing poorer countries as a result of conflict. But climate change is more indiscriminate, meaning richer countries may become a rising source of refugees.

    “It is further proof that refugee movements and the broader issue of migration of populations ... is a global challenge that cannot be confined to a few countries,” said Grandi.

    The UNHCR’s budget has risen from $1bn a year in the early 1990s to $8.6bn in 2019 as conflicts in Iraq, Afghanistan and Syria have forced civilians to flee, and the agency now assists more than 70 million forcibly displaced people globally.

    Turkey is the largest recipient of this aid, with more than four million refugees and asylum seekers, the vast majority from Syria. This has strained Turkey’s public finances and led President Tayyip Erdogan to demand more assistance from Europe.

    Last November, Erdogan threatened to open the door for Syrian refugees to head to Europe unless the European Union stepped up. He is now calling for the “resettlement” of up to one million Syrians in the north of their homeland.

    Grandi said European governments needed to think hard about solutions to the migrant crisis that has affected them since 2015 - but also show more understanding of Turkey’s situation.

    “We must recognise that for the past several years [Turkey] has been hosting the largest refugee population in the world,” he said. “There’s a lot of political talk. I concentrate on the substance of this, which is ’let’s strengthen Turkey’s ability to host refugees until they can go back safely, voluntarily to their countries’.”

    https://www.aljazeera.com/ajimpact/davos-world-prepare-millions-climate-refugees-200121175217520.html
    #réfugiés_climatique #réfugiés_environnementaux #Davos #HCR #WEF

  • Notes anthropologiques (XXXV)

    Georges Lapierre

    https://lavoiedujaguar.net/Notes-anthropologiques-XXXV

    L’Idée et son devenir (I)

    Ces notes anthropologiques ne sont qu’une maigre exploration de l’humain, une contribution limitée et brouillonne à sa connaissance ; elles forment l’ébauche d’une investigation, sans plus. Elles demandent à être reprises avec plus de constance et de profondeur. Dans ces notes, le sujet ne se distingue pas de son objet ; il ne cherche pas à se différencier de ce qui constitue l’objet de son investigation. Le sujet n’est rien d’autre qu’un moment de l’humain, le résultat en chair, en os et en esprit d’un monde, et ce monde est celui de l’humain. Le sujet qui pense et qui écrit est une actualisation momentanée de l’humain, c’est ainsi que le sujet et l’objet de sa réflexion ne se distinguent pas. Dans une civilisation de l’argent — et l’argent n’est que le mode d’expression dominant de la pensée (ou, si l’on veut, de l’humain) —, le sujet a été enfanté par l’argent, il est l’enfant de l’argent, qu’il le veuille ou non. L’argent est sa dimension humaine (ou, plus surement, inhumaine), sa vérité, en quelque sorte — ce qu’ont du mal à accepter ceux qui se consacrent aux sciences dites humaines, psychiatres, sociologues et anthropologues, historiens ou autres philosophes. Se tenir à l’écart de cette implication c’est une façon de tenir le monde à l’écart de sa critique (...)

    #anthropologie #Antonin_Artaud #Van_Gogh #échange #Maurice_Godelier #coutume #don #potlatch #valeur #Marx #Nouvelle-Guinée #Davos #aliénation #bien_commun

  • Davos 2019: Parables from the Promenade
    https://hackernoon.com/davos-2019-parables-from-the-promenade-e116d3f03fb?source=rss----3a8144e

    Davos 2019: Parables from the PromenadeOn the train ride to Davos, the influential Swiss town in the middle of nowhere. I flew into Zurich from Bangkok so I was not ready for the cold at all.The economic mood hasn’t been so bright leading up to 2019’s World Economic Forum at Davos. We are very far along the risk curve and are left with a paucity of “alpha” to uncover, leaving the economy at its most fragile state after the unexpected Trump Rally. I often get asked where to park one’s treasury, and I can provide little input (not equities, not gold). The world today is still injured with the events of a mystical 2008 past, and the recent hit in the market leave us in weak confidence. Our collective memories and melodies are mystic not born in relation to reality, but transforms our (...)

    #hackernoon-top-story #bitcoin #davos-2019 #cryptocurrency #government

  • Dutch historian Rutger Bregman goes viral after challenging Davos panel to talk about taxing the wealthy - ABC News (Australian Broadcasting Corporation)
    https://www.abc.net.au/news/2019-01-31/dutch-historian-rutger-bregman-goes-viral-after-davos-tax-speech/10766504

    “This is my first time at Davos and I find it quite a bewildering experience to be honest,” he said.

    "I mean, 1,500 private jets flown in to hear David Attenborough speak about how we’re wrecking the planet.

    "I hear people talking the language of participation and justice and equality and transparency.

    "But then almost no-one raises the real issue of tax avoidance, right, and of the rich just not paying their fair share.

    “It feels like I’m at a firefighters’ conference and no-one’s allowed to speak about water.”
    ’All the rest is bullsh*t’

    #davos #économie

  • Des militants déguisés en loups s’invitent à Davos pour protester contre les « tribunaux d’arbitrage » du RDIE
    https://france.attac.org/nos-idees/mettre-au-pas-la-finance-les-banques-et-les-transnationales/article/des-militants-deguises-en-loups-s-invitent-a-davos-pour-protester-cont

    Des militant·e·s déguisé·e·s en loups se sont invité·e·s dans les rues de Davos, en marge du Forum économique mondial, pour protester contre le droit des entreprises à poursuivre les gouvernements en justice dans le cadre des dispositions controversées du mécanisme de règlement des différends entre Investisseurs et États (RDIE ou ISDS en anglais). Cette action s’est déroulée le 23 janvier à 13 h. Source : Attac

  • A Davos, des jets et des hélicoptères privés par centaines Belga - 22 Janvier 2019 - RTBF
    https://www.rtbf.be/info/economie/detail_a-davos-jets-et-helicopteres-prives-par-centaines?id=10125174

    Le changement climatique a beau s’être imposé dans le débat au Forum économique mondial de Davos depuis plusieurs années, c’est pourtant bien souvent en jet privé que viennent en discuter grands patrons ou responsables politiques du monde entier.

    500 vols en jets privés sont attendus cette semaine dans les aéroports avoisinant la station des Alpes suisses, d’ordinaire paisible, selon un communiqué de la société d’affrètement Air Charter Service (ACS). Ce n’est pas un record : en 2015, 1700 vols en jet privés avaient été recensés dans le ciel suisse.

    1500, c’est tout de même 200 de plus que l’an dernier, un paradoxe alors que le changement climatique a été placé au premier rang des risques pour l’économie mondiale par les participants au Forum, selon un sondage dévoilé la semaine dernière par les organisateurs.

    Une fois arrivés dans des aéroports tels que Zurich, à deux heures de train de Davos, les passagers de ces vols privés poursuivent souvent leur voyage en hélicoptère, pour gagner du temps.

    Plus que pour le Super Bowl ou la Champions’ League
    Au final, la demande pour les jets privés pendant la semaine de Davos dépasse de loin celle enregistrée lors d’autres événements, tels que le Super Bowl aux Etats-Unis ou la finale de la ligue des Champions de foot, relève Andy Christie, responsable d’ACS.

    « Nous avons même reçu des réservations en provenance de Hong Kong, d’Inde ou des Etats-Unis. Aucun autre événement n’a une telle portée internationale » , a-t-il ajouté, selon le communiqué.

    Et la tendance est aux jets les plus gros et les plus coûteux possibles.

    Les organisateurs du Forum de Davos assurent compenser ces émissions par des initiatives en faveur de l’environnement et ont partiellement remboursé cette année les trajets en train. Avec un succès mitigé, semble-t-il.

    #davos #changement_climatique #jet_privé #hélicoptère #pollution #environnement #Inégalités #multinationales #globalisation_4.0 #World_Economic_Forum #WEF

  • Derniers préparatifs pour l’ouverture du Forum économique de Davos Le suivi du WEF - 21 Janvier 2019 - RTS
    La globalisation 4.0 : concevoir une nouvelle architecture mondiale à l’ère de la quatrième révolution industrielle"

    https://www.rts.ch/info/economie/10153687-derniers-preparatifs-pour-l-ouverture-du-forum-economique-de-davos.html

    - Les derniers préparatifs sont en cours à #Davos (GR), à la veille de l’ouverture du Forum économique mondial (#WEF). L’élite mondiale se réunit en l’absence de Donald Trump et de ses ministres, mais aussi d’Emmanuel Macron et de Theresa May.

    – Malgré ces absences, Davos attend plus de 3000 participants pour cette nouvelle édition du forum dont le thème est « La globalisation 4.0 : concevoir une nouvelle architecture mondiale à l’ère de la quatrième révolution industrielle ». Le WEF 2019 sera officiellement ouvert mardi par le président de la Confédération Ueli Maurer.

    – Parmi les personnalités présentes figurent 65 chefs d’Etat et de gouvernement, dont le vice-président chinois Wang Qishan, l’Allemande #Angela_Merkel, le Japonais #Shinzo_Abe, l’Israélien #Benjamin_Netanyahu, l’Espagnol #Pedro_Sanchez, l’Italien #Giuseppe_Conte ou encore le nouveau président brésilien #Jair_Bolsonaro, dont ce sera le premier voyage à l’étranger.

    Mesures sécuritaires : Pas de baisse malgré les absences

    La #police cantonale des Grisons et l’#armée ont présenté lundi le dispositif de sécurité mis en place. Malgré l’absence de chefs d’Etat de premier plan, les mesures de sécurité sont loin d’avoir été revues à la baisse.

    Le commandant de la police cantonale grisonne a précisé que le nombre de personnalités à protéger plus de cent - restait important cette année. Le nouveau président brésilien Jair Bolsonaro pourrait bien être la cible des manifestations en marge du WEF.

    Le dispositif de sécurité va en outre, comme chaque année depuis 2015 et les attentats de Paris, prendre en compte de façon spécifique la menace terroriste.

    L’espace aérien est verrouillé dans un rayon de 46 kilomètres autour de la station grisonne et jusqu’à 6000 mètres d’altitude. L’Autriche et l’Italie, pays voisins de la Suisse, sont impliquées dans le dispositif

    Une économie mondiale qui s’essoufle : Un rapport du FMI présenté à Davos
    Le Fonds monétaire international a dévoilé devant l’élite économique mondiale réunie à Davos le tableau d’une croissance mondiale encore solide mais qui ralentit plus que prévu, contrariée par les tensions commerciales et les risques politiques, tels le Brexit au Royaume-Uni et la fronde sociale en France.

    Le FMI a annoncé qu’il abaissait, pour la deuxième fois en quelques mois, le rythme d’expansion désormais estimé à 3,5% (-0,2 point) pour cette année après 3,7% en 2018. La prévision pour 2020 est également moins bonne à 3,6% (-0,1 point).

    Les projections 2019 pour les deux premières économies - Etats-Unis (+2,5%) et Chine (+6,2%) - sont, elles, restées inchangées après avoir été abaissées en octobre. Le FMI a pris acte d’une trêve commerciale annoncée le 1er décembre par Donald Trump et Xi Jinping. « Mais la possibilité que les tensions refassent surface au printemps assombrit les perspectives de l’économie mondiale », a commenté le FMI.

    Interrogé lundi dans La Matinale, l’économiste Stéphane Garelli décrit lui une manifestation « tournée vers les questions de société », susceptible de préparer le terrain de négociations à venir.

    Les jeunes au coeur du WEF - Les « Global shapers » sont coprésidents
    Pour la première fois, le Forum économique mondial de Davos donne une partie du contrôle aux jeunes. La 49e édition est coprésidée par des « global shapers », le nom donné à un groupe de jeunes de moins de 30 ans, parrainé par le WEF depuis plusieurs années.

    Six jeunes, au profil inconnu mais aux ambitions gigantesques, vont représenter les quelque 7000 « global shapers » répartis dans 160 pays et qui ont chacun développé une initiative locale.
    . . . . . .

    L’interview de Klaus Schwab : « Il faut un retour de la morale dans l’économie »
    Le patron du World Economic Forum (WEF) de Davos, Klaus Schwab, a annoncé qu’il faisait de la « moralisation » un des thèmes de l’édition 2019. « Il faut une moralisation de la mondialisation », assurait-t-il récemment lors d’un entretien accordé à la RTS.

    Ce retour de la morale dans l’économie passe par « les comportements privés » et par des « patrons plus modestes », affirme le fondateur du Forum de Davos. Selon l’économiste, il faut sortir de l’idée de « tout ce qui n’est pas interdit est permis » et la situation d’incertitude a amené « un nouvel égoïsme ». « Certains se disent ’me first’ et veulent ramasser le plus possible. »

    3000 participants attendus - Mais des absences de marque
    Après avoir renoncé à se rendre à Davos en plein « shutdown », le président américain Donald Trump a décidé jeudi d’annuler le déplacement de l’ensemble de sa délégation. Le président français Emmanuel Macron n’y participera pas non plus, en raison d’un « agenda surchargé » et de la crise des « gilets jaunes », tout comme la Première ministre britannique Theresa May, qui se consacre au Brexit.

    #globalisation_4.0 #économie #économie_mondiale #FMI #crise #global_shapers #initiatives_locales #morale #Klaus_Schwab #moralisation (#MDR)

  • ChooseFrance à Versailles : Macron déroule le tapis rouge aux as de l’évasion fiscale

    En plein mouvement social exigeant plus de justice fiscale et sociale, Emmanuel Macron déroule le tapis rouge à Versailles pour 150 patrons de grandes entreprises, dont bon nombre sont impliquées dans des scandales d’évasion fiscale, suppriment des emplois ou ont des pratiques nocives pour le climat et la planète : #ChooseFrance ou comment tout sacrifier au nom du Business as usual ?

    https://blogs.mediapart.fr/maxime-combes/blog/210119/choosefrance-versailles-macron-deroule-le-tapis-rouge-aux-de-levasio

    #ChooseFrance #davos #macron #multinationales #Versailles

  • Report to #Davos meeting points to deepening contradictions of global capitalism - World Socialist Web Site

    https://www.wsws.org/en/articles/2019/01/18/wefr-j18.html

    The report prepared by the World Economic Forum (WEF) for its annual gathering in Davos, Switzerland, next week presents a picture of the ongoing disintegration of all the mechanisms—economic, political and ideological—that have served to sustain the global capitalist order in the post-war period.

    In his preface to the report, WEF president Børge Brende said the world was facing a “growing number of complex and interconnected challenges—from slowing global growth and persistent economic inequality to climate change and geopolitical tensions,” as well as changes brought about by technological developments, characterised by the WEF as the Fourth Industrial Revolution.

    #capitalisme

  • La neige recyclée, une solution qui n’a rien de miraculeux pour les stations Cynthia Racine/Alain Arnaud - 21 Octobre 2018 - RTS
    https://www.rts.ch/info/regions/9920786-la-neige-recyclee-une-solution-qui-n-a-rien-de-miraculeux-pour-les-stati

    Développée en Scandinavie, l’idée d’utiliser de la neige recyclée d’une saison à l’autre fait son chemin en Europe. Elle est intéressante, mais n’a rien d’une solution miracle pour les stations.
    Ce concept, baptisé « snow farming » en anglais, consiste à conserver le manteau neigeux sous des copeaux ou des plaques isolantes pendant l’été pour en limiter au maximum la fonte. Cette neige « recyclée » peut ensuite être récupérée au début de la saison suivante.


    L’idée est déjà utilisée à #Davos depuis une dizaine d’années pour une piste de ski de fond et commence à se faire connaître ailleurs en Europe, comme à Kitzbühel et à #Courchevel notamment. La station française a ainsi profité de l’enneigement exceptionnel de l’hiver dernier pour recycler 20’000 m3 d’or blanc et attend désormais de voir ce qu’il en restera à la fin de l’automne.

    Une piste de ski alpin à Adelboden
    La station d’Adelboden, dans l’Oberland bernois, a inauguré jeudi la première piste de ski alpin du pays réalisée selon ce procédé. Au printemps dernier, plusieurs centaines de bénévoles ont amassé quelque 24’000 mètres cube de neige qu’ils ont recouvert de bâches pour qu’elle passe l’été. Malgré la canicule, les trois quarts n’ont pas fondu. Une piste de 500 mètres de long pour 60 de large a été inaugurée, avec l’idée de permettre aux juniors d’Adleboden de s’entraîner près de chez eux.

    Une solution ponctuelle et locale
    Mais cette solution reste cependant limitée, de l’avis de certains spécialistes. « D’avoir du stock de neige qui peut encore éventuellement être mobilisé, légèrement déplacé, étalé sur une piste pour couvrir certains points qui sont plus fragiles, c’est une méthode intéressante », relève ainsi le nivologue Robert Bolognesi. « Malheureusement, on ne peut pas imaginer recouvrir tout un domaine skiable et - arrivé le mois de décembre - tout recouvrir et recommencer le ski. Ce peut être une méthode tout à fait intéressante ponctuellement, localement. »

    Conséquences sur l’environnement
    Le système permet de récupérer jusqu’à 50% de la neige conservée mais le « snow farming » n’est pas forcément plus écologique. « On met de côté une partie de l’eau, sous forme solide, qui ne revient plus dans le cycle hydrologique » relève Rafael Matos Wasem, professeur à la haute école de gestion et de tourisme en Valais. « Du coup, cela va poser des problèmes aussi au niveau de la quantité d’eau qui est charriée par les cours d’eau de montagne. »

    Le paysage est, lui aussi, impacté. « Ce sont des terrains qui ne sont plus dévolus à des pâturages, qui ne sont plus verts en été », poursuit Rafael Matos Wasem. « On se promène dans les régions de montagne et on est confronté tout à coup à des structures artificielles et complètement inesthétiques. »

    Et la simplicité apparente de la méthode n’enlève rien à son coût : la station autrichienne de Kitzbühel dépense par exemple 165’000 francs par saison dans cette « assurance neige ».

    #climat #ski #tourisme #montagne #privilégiés #recyclage #dérisoire #bêtise. Ce ne serait pas #consternant, je dirais #MDR