• Déroulé explicatif à propos de la #dette_illégitime. « Il faut bien avoir à l’esprit que la #finance, c’est la science de l’#endettement ».

    Thread by AniceLajnef on Thread Reader App – Thread Reader App
    https://threadreaderapp.com/thread/1312302624159526914.html

    Faut-il annuler la dette publique détenue par la banque centrale ?

    Cette question fait débat et divise les économistes. En réalité, cette question est éminemment politique comme nous allons le voir.

  • CADTM - Un plan B pour une Europe des peuples
    http://cadtm.org/Un-plan-B-pour-une-Europe-des

    Quelques semaines après les rencontres internationalistes du Plan B de Paris en janvier et du lancement de « Diem » à Berlin début février, le Plan B madrilène reprend le flambeau et poursuit la mission de recomposition de la gauche européenne tout en dépassant les clivages qui mettent en péril le projet commun d’une Europe réellement démocratique au service des peuples. En réponse à l’Appel contre les politiques d’austérité et la « dettocratie » signé par plus de 13 000 personnes, dans un contexte politique espagnol extrêmement instable deux mois après les législatives du 20 décembre, les rencontres du Plan B pour l’Europe se sont déroulées au Centre Social et Culturel Matadero |1| de Madrid du 19 au 21 février dernier.

    Il s’agit selon cet appel de « créer un espace de confluence au sein duquel tous les mouvements, les personnes et les organisations qui s’opposent au modèle actuel d’Union européenne puissent discuter et élaborer un agenda commun d’actions, de projets et d’objectifs. Ceci dans le but principal de rompre avec le régime d’austérité de l’UE et de démocratiser radicalement les institutions européennes, en les mettant au service des citoyens. » Même si certains signataires, tel la CUP de Catalogne, ne croient pas à une supposée démocratisation des institutions européennes et préfèrent parler d’une refonte totale plutôt que d’une réforme, tous appuient l’initiative. A ce propos, Marina Albiol, eurodéputé de Izquierda Unida affirme clairement : « Cette Europe n’est pas réformable. C’est pour cela que nous sommes venu la briser, briser ses normes et récupérer ce qu’ils nous ont volé ». « Nous ne nous trompons pas d’ennemis. Ce n’est pas une lutte entre pays, c’est une lutte de classe » conclut-elle.

    #Europe #dette_illégitime #austérité #lutte_des_classes

  • CADTM - En Islande, les responsables du naufrage bancaire n’ont pas pu acheter leur procès
    http://cadtm.org/En-Islande-les-responsables-du

    À l’issue de sa visite en Grèce qui s’est achevée le 8 décembre 2015, l’Expert de l’ONU sur la dette, Juan Pablo Bohoslavski, a recommandé au gouvernement grec « d’améliorer les procédures juridiques et administratives pour examiner la responsabilité des autorités du gouvernement et celles des décideurs du secteur privé » en citant l’exemple de l’Islande. Ce petit pays de 320 000 habitants a, en effet, démontré qu’il est tout à fait possible de poursuivre en justice les responsables de la crise financière et de les condamner à des peines d’emprisonnement. Le CADTM s’est entretenu avec Eva Joly, députée européenne du groupe des Verts, qui a joué un rôle clé puisqu’elle a conseillé en 2009 et 2010 le Procureur spécial islandais dans le cadre de ces enquêtes pénales. Eva Joly, à qui nous avons remis le dernier ouvrage d’Éric Toussaint, « Bancocratie », aborde également dans cet entretien la gestion de la crise en Islande et les pressions de ses créanciers pour obtenir le remboursement d’une dette illégitime.

    #banksters #Islande #dette_illégitime

  • Terre à Terre de Ruth Stégassy
    02.05.2015

    Extractivisme et dette - Information - France Culture
    http://www.franceculture.fr/emission-terre-a-terre-extractivisme-et-dette-2015-05-02

    Avec : Henry Muhiya, secrétaire exécutif de la Commission épiscopale pour les ressources naturelles, auteur du rapport du CCFD « Des ressources naturelles au cœur des conflits » et Nicolas Sersiron, président du Comité pour l’annulation de la dette du tiers monde, le Cadtm France et auteur de « Dette et extractivisme »

    Rapport du CCFD :

    http://ccfd-terresolidaire.org/infos/paix-et-conflits/un-rapport-sur-des-4789

    http://rf.proxycast.org/1023048365006397440/10867-02.05.2015-ITEMA_20750691-0.mp3

    #dette_illégitime #grands_projets_nocifs #GPII

  • CADTM - La poudrière sociale de l’Europe de l’Est (Partie 1)
    http://cadtm.org/La-poudriere-sociale-de-l-Europe

    http://cadtm.org/La-poudriere-sociale-de-l-Europe,10970 (2 ème partie)

    20 ans après l’éclatement de la Yougoslavie, l’interminable processus de transition économique s’est soldé par une désindustrialisation massive de la région, une paupérisation générale des sociétés, durement touchées par la crise de 2008. Pourtant, la moindre remise en cause du modèle suivi n’est pas à l’ordre du jour. En Slovénie et en Croatie, qui ont rejoint l’UE ces dernières années, le constat est accablant. Les politiques néolibérales qui sont appliquées dans les Balkans n’ont fait qu’augmenter le poids de la dette extérieure, la récession et le chômage. Depuis la crise de 2007-2008, les banquiers étrangers qui contrôlaient le système financier de la région, ainsi que l’UE, le principal bailleur de fonds des Balkans, ont cessé leurs prêts et aggravé encore plus la crise de la dette. L’austérité, imposée par la Troika (FMI, UE, BCE), frappe de plein fouet cette région.

    #dette_illégitime #troïka #banksters #austérité #UE

  • Afrique : mêmes causes, mêmes effets ...

    CADTM - Ebola ou l’expression terrifiante de la pauvreté et de l’indifférence
    http://cadtm.org/Ebola-ou-l-expression-terrifiante

    Est-ce un hasard si cette épidémie sévit dans des pays qui sont parmi les plus pauvres de la planète ? Le dernier Rapport sur le développement humain 2014 du PNUD (Programme des Nations Unies pour le développement) classe la Guinée à la 179e place sur 187 pays, le Liberia figure quant à lui à la 175e place et la Sierra Léone au 183e rang de ce triste classement. L’absence - ou dans le meilleur des cas la défaillance - des systèmes de santé est la conséquence directe des coupes franches dans les budgets sociaux, du gel des salaires et des licenciements dans la fonction publique imposés par les Institutions financières internationales pour rembourser la dette. En effet, si les services de santé et d’assainissement (infrastructures d’égouts, de traitement des eaux, etc.) de ces pays n’avaient pas été entièrement démantelés par les divers plans d’ajustement structurel (PAS) imposés par le FMI et la Banque mondiale, le risque épidémique aurait été bien plus faible ou plus facilement contrôlable. Comme le souligne le Dr Jean-Claude Manuguerra, responsable de la Cellule d’intervention biologique d’urgence de l’Institut Pasteur, Ebola « profite pour se développer d’un système de santé mal organisé par manque de moyens » |5| .

    http://cadtm.org/Les-richesses-du-Maroc-sont

    Les Institutions financières internationales (FMI, Banque mondiale, BEI) et les agences de notation encensent les « performances » de l’État pour l’encourager à se jeter dans les bras des créanciers. C’est ainsi que le Maroc se trouve de nouveau pris dans la tourmente de l’endettement. La dette publique a atteint 679 milliards de DH, soit 78 % du PIB. Le service de la dette (montants empruntés + intérêts) accapare, en moyenne, 106 MMDH annuellement, depuis les cinq dernières années.

    Avec un service de la dette de ce volume, tout développement économique et humain devient impossible. Un audit de cette dette et l’annulation de la partie qui n’a pas servi les intérêts du peuple s’imposent comme deux solutions pour recommencer à croire à un développement effectif du pays. Cette piste n’est envisageable que si le Maroc arrive à se libérer de la tutelle des Centres de décision impérialistes (États et IFI) qui nous imposent leurs mesures libérales.

    Celles-ci se traduisent par l’offensive de l’actuel gouvernement sur plusieurs fronts : vers l’annulation de la Caisse de compensation, baisse de l’investissement public et dans les secteurs sociaux, gel de l’emploi public, privatisation des services publics et enfin « réforme » de la Caisse marocaine des retraites (faire passer l’âge de la retraite à 65 ans, hausse des cotisations des salariés, etc).

  • Après avoir fait #défaut, l’#Argentine met en cause « la responsabilité des #Etats-Unis »
    http://www.lemonde.fr/ameriques/article/2014/07/30/les-negociations-sur-la-dette-argentine-n-aboutissent-toujours-pas_4464402_3

    Les #fonds_spéculatifs « ont essayé de nous imposer quelque chose d’#illégal », a déclaré le ministre de l’économie argentin, Axel Kicillof. « Nous leur avons fait une offre. Nous leur avons proposé de faire un gain de 300 %. Ça n’a pas été accepté, parce qu’ils veulent plus et ils le veulent maintenant. »

    Buenos Aires « remboursera » les porteurs de bons issus de la #dette #restructurée, mais « à des conditions raisonnables, sans tentative d’extorsion, sans pression, sans menace », a-t-il ajouté.

    #dette_illégitime #fonds_vautours #capitalisme_financier

  • CADTM - Nouveau jugement concernant les « fonds vautours », un nouveau chapitre de la dette illégale et illégitime
    http://cadtm.org/Nouveau-jugement-concernant-les

    Nouveau jugement concernant les « fonds vautours », un nouveau chapitre de la dette illégale et illégitime

    4 septembre par CADTM AYNA , ATTAC/CADTM Argentina
    Le jugement récent de la Cour d’appel de New York confirmant que l’Argentine doit payer aux détenteurs de bons 100% de la valeur nominale de leurs crédits est une démonstration supplémentaire que tant que l’Argentine ne répudie pas sa dette
    publique illégale et illégitime elle demeurera soumise aux intérêts du capital transnational.

    Dans le cas présent, il s’agit de fonds d’investissement qui après le défaut ont acheté ces titres pour 20% de leur valeur nominale et qui ensuite ont refusé la proposition d’Echange de 2005 et sa réouverture en 2010 pour saisir la justice new-yorkaise à l’encontre de l’Argentine. Cette possibilité leur a été donnée en raison des droits octroyés par l’Argentine lors de l’émission des titres. Parmi ceux-ci on trouve le transfert de la juridiction à New York et la renonciation à l’immunité souveraine |1| ou à la clause du créancier le plus favorisé |2|. Il s’agit d’une constante que ce soit pour l’endettement relatif aux années 1990 ou à celui de la décennie kirchneriste.

    Limité par ses propres actes, le gouvernement se limite face au jugement à réaffirmer sa vocation de payeur en tentant de s’attirer les bonnes grâces de la justice nord-américaine et du secteur financier international. C’est ainsi que vient d’être déposé au Congrès un projet de loi qui, d’une part, ré-ouvre l’Echange pour 7% des détenteurs de titres dans les mêmes conditions que lors des Echanges de 2005 et de 2010 et d’autre part, offre aux autres qui avaient participé aux Echanges de 2005 et de 2010 que le lieu de paiement soit transféré en Argentine pour leur garantir un paiement régulier et leur éviter d’éventuels embargos qui pourraient toucher des fonds argentins suite au jugement de New York

    #fonds_vautours
    #Argentine
    #New_York
    #dette
    #dette_illégale
    #dette_illégitime

  • La dette extérieure de la Tunisie 1970 – 2011. A qui profite le crime ? | Nawaat - Tunisia
    http://nawaat.org/portail/2013/02/26/la-dette-exterieure-de-la-tunisie-1970-2011-a-qui-profite-le-crime
    Remarquable étude, suivie de non moins intéressants commentaires. Un pavé dans la mare douloureux pour nos amis tunisiens, en attendant le deuxième volet annoncé de l’analyse

    En 2011, l’endettement à court terme représente plus de 65% du service total de la dette extérieure de la Tunisie. Ce type d’endettement, cette spirale héritée de la dictature, est une épée de Damoclès sur le pays qui met en danger son économie, sa finance, sa souveraineté politique et ce dans un délai très court.

    Conclusion

    En 2012, la Tunisie est plus que jamais aspirée par la spirale de la dette. La situation économique excessivement grave, associée à une profonde crise sociale et politique, conduit le pays directement vers un défaut de paiement anarchique dont les conséquences réelles pour le peuple tunisien sont encore difficiles à mesurer. A qui la faute ?

    Le dictateur Ben Ali a mis le pays dans une situation inextricable, sauf en usant du droit national pour un audit et un moratoire sur la dette tunisienne et le droit international pour l’annulation de la dette odieuse et illégitime.

    Le gouvernement de Beji Caid Essebsi, suivi de celui dominé par Ennahdha ont tous les deux poursuivi inexorablement les crimes de la dictature en matière d’endettement. Ils ont tous les deux ignoré la volonté du peuple tunisien et les objectifs de sa révolution qui lui a été confisquée dans une stratégie de choc sociaal et de contre révolution.

    #Tunisie
    #Dette