#dissertation

  • A Lyrical Cruise in Tunis

    Urban scholars spend at least a decade thinking about the cities they research from the time they identify a research problem to the time they publish their manuscript. But we rarely find published those initial thoughts that are as much about misunderstanding as about comprehending the cities we turn into research projects. This essay is based on field notes from my first summer of pre-dissertation fieldwork in Tunisia, May to July 2014. I use pseudonyms to protect the identity of my interlocutors. The current version is loyal to my mis/understandings of Tunis then. I have not added new information to the body of the text though I continue to live in and research the city.

    https://www.jadaliyya.com/Details/34396/A-Lyrical-Cruise-in-Tunis

    #Tunisia #Tunis #field_notes #dissertation #PhD #city

  • Un gros problème méthodologique d’exposition d’un cours de philosophie

    J’ai de sérieuses difficultés avec la manière dont je dois présenter de nombreuses partie de cours de philosophie.
    Une partie de la philosophie, doit se présenter comme quelque chose proche de l’Histoire : ce que d’anciens auteurs on dit.
    Cependant ce n’est pas seulement de l’histoire, ce sont des Idées, et des Idées que l’on lie a des questions contemporaines, sur laquelle éventuellement la science dit autre chose (et c’est bien souvent le cas).
    Mon côté sceptique me fait inévitablement rappeler a chaque fois les aspects faux de ces idées la. Ce qui au pire crée un questionnement chez l’élève du type : mais si c’est faux pourquoi on nous l’a appris ? Ce a quoi je ne peux pas dire grand chose, si ce n’est tout ceci sont « des propositions », vous n’avez pas a être d’accord avec, juste a les connaître, et justement elle vous permettrons éventuellement par opposition de valoriser votre avis différent.

    Seulement voila. Parfois, c’est « full of bullshit »... Par ex. La thématique de l’inconscient. C’est censé débordé de psychanalyse et de Freud. Alors oui, je passe mon temps a montrer les lettres, que la science a montrer que ceci est faux etc.
    Mais les élèves doivent quand même retenir certains aspects qui vont être « bien considéré » : tient vous avez su ré-expliquer le complexe d’oedipe. C’est bien, vous l’avez bien rendu, on comprend bien... Mais leur réfutation, ou critique éventuelle, ne sera pas apprécié a leur même valeur, puisqu’il n’y a pas d’auteurs philosophique qui tiennent l’idée inverse... Enfin, si dans ce cas il y a Popper, mais il parle de la psychanalyse en général, pas du complexe d’oedipe et de toute façon, il présente une critique, mais pas vraiment un autre point de vue positif.

    Ce qui fait que je rencontre a minima 2 problèmes en suivant « le guide de la réfutation ». Celui-ci explique comment faire de bonne réfutation vis a vis de ce que retiendra le cerveau, les présenter etc.
    Il dit notamment :
    1.Que le mythe que l’on veux dénoncer doit prendre peu de place. Hors, si ils doivent bien présenter la psychanalyse dans leur dissertation, il faut que ça prenne une certaine place dans le cours... D’ailleurs si il ne parle pas de la psychanalyse de quoi parlerons t’il sur un sujet comme l’inconscient. Bien sur je leur est présenté l’avis des dernières recherches en psy cogn, mais je ne m’attends pas a voir des élèves de terminale me citer une étude et en faire matière a disserte...
    2.Qu’il faut proposer au mythe une autre idée qui puisse s’y substitué et être aussi facile a retenir dans les principes.
    Même problème tout ceci est très contemporain. Comment faire ? Dois je leur faire aussi en même temps qu’un cours de philo, un cours de physique ou de psychologie etc. Selon le sujet. D’ailleurs, est-il même possible que j’en sois capable ?

    Si vous avez des idées...