• En #Italie, l’aile gauche du #Parti_démocrate sur le départ
    https://www.mediapart.fr/journal/international/240217/en-italie-l-aile-gauche-du-parti-democrate-sur-le-depart

    Après la victoire du « non » au référendum et sa démission de la présidence du conseil début décembre, #Matteo_Renzi a quitté la direction du Parti démocrate (PD) dimanche 19 février. Objectif : le reprendre en mains au congrès prochain, une fois le divorce avec son #aile_gauche consommé.

    #International #europe #frondeurs #Giuseppe_Civati #Milan

  • Alstom-Belfort : Hollande et Valls #frondeurs ?
    https://www.mediapart.fr/journal/france/130916/alstom-belfort-hollande-et-valls-frondeurs

    Une indignation chasse l’autre. La fermeture du site historique de l’entreprise Alstom, à Belfort, donne lieu à de multiples réactions politiques, indignées le plus souvent. Un regard en arrière rappelle hélas que les grands mots ne fabriquent pas les grands remèdes.

    #France #Alstom_Belfort #Arnaud_Montebourg #fermeture_d'usine #François_Hollande #libéralisme #Manuel_Valls

  • #primaire du #PS : l’aile gauche reste sur ses gardes
    https://www.mediapart.fr/journal/france/200616/primaire-du-ps-l-aile-gauche-reste-sur-ses-gardes

    En faisant adopter à l’unanimité samedi un texte proposant la tenue d’une primaire de la « Belle alliance » en janvier, le premier secrétaire #Jean-Christophe_Cambadélis et le sortant #François_Hollande semblent donner des gages aux opposants à l’intérieur du PS. Mais toutes les questions ne sont pas réglées. L’aile gauche demande une primaire très ouverte, comme en 2011.

    #France #2017 #Arnaud_Montebourg #EELV #élection_présidentielle #frondeurs #Jean-Luc_Mélenchon #parti_socialiste #PCF

  • Hollande et la primaire: second souffle ou dernier soupir?
    https://www.mediapart.fr/journal/france/190616/hollande-et-la-primaire-second-souffle-ou-dernier-soupir

    Le président de la République n’étant plus en mesure de se représenter, le citoyen #François_Hollande sera candidat à la candidature de son parti. La primaire socialiste aura lieu les 22 et 29 janvier prochains.

    #France #Arnaud_Montebourg #Emmanuel_Macron #frondeurs #Manuel_Valls #Primaire_au_parti_socialiste

  • #loi_sur_le_travail : deux débats pour une #motion_de_censure
    https://www.mediapart.fr/journal/france/120516/loi-sur-le-travail-deux-debats-pour-une-motion-de-censure

    Le gouvernement a échappé à la motion de censure déposée par la droite, mais pas aux débats qui secouent sa majorité. Près de trente députés socialistes étaient prêts à demander la démission de l’exécutif, et leur initiative a alimenté les discussions à l’Assemblée, de façon plus intense que les jeux de rôle partisans en séance.

    #France #frondeurs #parlement #parti_socialiste #politique

  • À pas de néant

    Cette politique n’a pas de résultat sur le plan économique, mais de surcroît parce qu’elle réduit les capacités d’intervention de la puissance publique, sa capacité à mettre en œuvre la justice sociale et l’égalité, elle menace la République et la menace de la République c’est la préparation d’un énorme désastre démocratique. Benoît Hamon en 2014 (sic !)

    http://www.dailymotion.com/video/x28ejch_benoit-hamon-il-y-a-un-desaccord-sur-l-orientation-de-la-politi

    De l’usage des tartuffes et imposteurs
    http://www.wsws.org/fr/articles/2016/mai2016/493l-m11.shtml

    Comme l’année dernière, quand ils ont permis à Hollande de passer la loi Macron, les « frondeurs » veulent non pas mettre fin à l’austérité, mais préserver aussi longtemps que possible l’illusion qu’il y a une opposition à l’austérité au sein du PS. Ils sont hostiles aux jeunes et aux travailleurs qui se mobilisent contre les mesures d’austérité du PS.

    S’ils affichent leurs réticences, c’est afin d’empêcher à long terme que le PS ne soit totalement discrédité et ne s’effondre aux présidentielles de 2017, et, à court terme, d’empêcher une explosion sociale qui forcerait l’abandon de la loi El Khomri et ferait chuter le gouvernement Valls.

    Si le sort de la loi est laissé entre leurs mains, la politique d’austérité et de guerre continuera – soit par une capitulation en rase campagne face au 49-3 de Valls comme l’année dernière, soit par le biais de tractations plus complexes entre les partis parlementaires français et l’UE.

    Les bâtisseurs de ruines, Jean ORTIZ
    http://www.legrandsoir.info/les-batisseurs-de-ruines.html

    « Regardez-les travailler », disait Eluard. Je voulais titrer « Ils ont osé » le 49-3, mais ils n’osent rien, ils sont eux-mêmes, « ralliés » avec ferveur au néo voire à l’ultra libéralisme.
    Ils ne font qu’obéir aux marchés et se contorsionnent devant le MEDEF, pensant conserver ainsi voiture de fonction, impunité, coussins et retraites dorés. Ils se veulent les gérants les plus loyaux du capitalisme. Ils ont le cynisme des apostats, l’arrogance des traîtres ; ils exsudent le mépris du peuple. Chez eux, point de scrupules, ni de honte. A l’époque de la guerre de libération algérienne, ils voulaient liquider « la racaille ». Après la Libération, ils sortirent les chars contre les mineurs. Sans parler de la « Non intervention » lors de la Guerre d’Espagne. Ont-ils vraiment été un jour véritablement « de gauche » ? Mitterrand avoua qu’il signa le programme commun pour en finir avec le PCF. Bassesse et vilenie leur tiennent lieu de valeurs.
    Combien de « flingueurs » vont aller maintenant au bout de leur démarche ? Se déclarer en insurrection civique au sein de leur parti ? Ou en sortir... ? Ce sera un test grandeur nature. Quant à la CGT, FO, à la FSU, Solidaires, l’UNEF, etc., aux « Nuits debout », elles peuvent mettre à leur actif d’avoir « poussé » ces petits politicards à tordre le coup à la démocratie, pour servir les intérêts des classes dominantes. A tomber le masque. Faut-il qu’ils aient eu peur du mouvement populaire, du débat, du rôle du Parlement ! Autant de points marqués par tous ceux qui depuis plus de deux mois battent le pavé, supportent avec courage les violences policières éhontément orchestrées par un pouvoir minoritaire, faible et minable. Champion hors catégories de la collaboration de classe. Le coup de force infâme pourrait se retourner très vite contre ses auteurs. J’y crois. Le mouvement va s’amplifier. C’est sûr. On ne peut nier un peuple indéfiniment.

    P.S. : A leur propos, mon père disait : « il est vain de demander à l’ormeau de produire des poires ». « P’alante ! ». Les pommiers sont en fleur. Les premières cerises sont pour demain.

    Nouveau seuil atteint dans le processus de décomposition du PCF
    http://www.gaucherepublicaine.org/chronique-devariste/nouveau-seuil-atteint-dans-le-processus-de-decomposition-du-pcf/7398018

    le Front de gauche n’existe plus sauf dans les nostalgies de certains. Né d’une volonté commune de Marie Georges Buffet (alors secrétaire nationale du PCF) et de Jean-Luc Mélenchon, il s’est concrétisé par une alliance entre le PCF et le PG (parti né dans cette circonstance) qui a été élargi ensuite à des petits groupes politiques. Cette alliance n’existant plus, parler aujourd’hui du Front de gauche est ne pas passer par la case « analyse concrète de la situation concrète ».

    Alors que Pierre Laurent a tenté tous les contacts possibles avec Taubira, avec les frondeurs, avec Hulot, avec le PS via son accord pour les primaires socialistes, le manque de détermination de ses interlocuteurs et la réaction majoritaire de la base communiste l’ont obligé à déclarer que le PCF ne pourrait pas participer à une primaire avec le président sortant. Le vide stratégique est criant.

    #PCF #PS #Social_démocratie #Frondeurs #Gauche #Tartufferie #Imposture #49-3 #institutions #Cinquième-république

  • Les « frondeurs » échouent à monter une motion de censure de gauche
    https://www.mediapart.fr/journal/france/110516/les-frondeurs-echouent-monter-une-motion-de-censure-de-gauche

    Il a manqué deux signataires aux députés de gauche (PS, EELV et PCF) opposés au texte pour pouvoir déposer une motion de censure contre le gouvernement. Les députés aubrystes, pourtant opposés, étaient aux abonnés absents.

    #France #députés_PS #frondeurs #loi_El_Khomri #loi_sur_le_travail #loi_travail #Manuel_Valls #Myriam_El_Khomri #parti_socialiste

  • #loi_sur_le_travail : les « frondeurs » échouent à monter une motion de censure de gauche
    https://www.mediapart.fr/journal/france/110516/loi-sur-le-travail-les-frondeurs-echouent-monter-une-motion-de-censure-de-

    Il a manqué deux signataires aux #députés_PS, écolos et Front de gauche opposés au texte de loi de #Myriam_El_Khomri pour pouvoir déposer une motion de censure contre le gouvernement. Les députés aubrystes, pourtant fort opposés au texte, étaient aux abonnés absents. La motion de censure déposée mardi par la droite n’a aucune chance d’être votée.

    #France #frondeurs #loi_El_Khomri #loi_travail #Manuel_Valls #parti_socialiste

  • #loi_sur_le_travail : sans majorité, le gouvernement passe en force
    https://www.mediapart.fr/journal/france/100516/loi-sur-le-travail-sans-majorite-le-gouvernement-passe-en-force

    Manuel Valls et #Myriam_El_Khomri à l’Assemblée © Reuters #Manuel_Valls a annoncé, mardi 10 mai, la décision du gouvernement de recourir à l’article 49-3, qui permet de passer un texte sans vote, pour imposer la loi sur le travail à des députés récalcitrants. Après le fiasco de la déchéance de nationalité, le gouvernement n’arrive plus à construire de majorité et n’a jamais paru aussi faible. Certains députés socialistes envisagent même de voter la censure.• Loi sur le travail : notre dossier

    #France #députés_PS #frondeurs #loi_El_Khomri #loi_travail #parti_socialiste

  • Reprendre confiance dans notre force | @éditorial de #Lutte_Ouvrière
    http://www.lutte-ouvriere.org/editoriaux/reprendre-confiance-dans-notre-force-65325.html

    Les chauffeurs de taxis sont à bout. À cause de la concurrence des VTC, les voitures de tourisme avec chauffeur, leurs revenus sont en chute libre. Même en allongeant leur journée de travail, beaucoup n’arrivent plus à payer le crédit de leur voiture et de leur licence. Mais ils s’organisent et se battent pour défendre leurs intérêts.

    Il en va de même pour les éleveurs et les producteurs de lait. Ils vendent leurs produits à perte et n’arrivent à se payer un salaire que grâce aux aides de l’Europe et du gouvernement. Mais ils manifestent, ils mettent l’opinion de leur côté et forcent le gouvernement à les entendre.

    Et les salariés ? Combien d’ouvriers, d’employés, de techniciens sont, eux aussi, au bout du rouleau ? Combien d’hospitaliers, d’agents territoriaux ? Eux aussi accumulent les heures de travail et la fatigue et sont condamnés aux salaires de misère. Et que dire de ceux plongés au chômage et réduits à survivre avec les minima sociaux ?

    Eh bien, ils doivent, eux aussi, se manifester ! D’abord pour se faire entendre, puis pour réussir à résister aux attaques de leurs conditions de travail et de vie. Car les salariés subissent, depuis plusieurs années, une offensive systématique du grand patronat. Déjà violentes sous Sarkozy, les attaques ont empiré avec Hollande.

    La crise, la concurrence exacerbée et le chômage de masse ont été utilisés comme des moyens de chantage pour restaurer les marges et les profits des entreprises qui n’ont fait qu’enrichir une minorité. Les grandes banques réalisent plusieurs milliards de bénéfices annuels. Même des firmes comme PSA dont on nous a dit qu’ils étaient à deux doigts de la faillite pour justifier des milliers de licenciements, font désormais le bonheur de la Bourse.

    Il s’agit d’une politique de classe. Il s’agit d’une guerre_de_classe que le patronat mène avec l’aide du gouvernement. Mais il la mène d’autant plus facilement qu’il n’y a pas d’opposition frontale avec les travailleurs, car les réactions sont faibles ou isolées. C’est ce qu’il faut changer.

    La politique et la vie des travailleurs changeront si le rapport de force entre les travailleurs et le patronat change, si les travailleurs se lèvent à nouveau pour leurs intérêts.

    Les attaques contre le #Code_du_travail, celle qui se dessine contre les chômeurs, la répression contre les salariés d’Air France ou ceux de Goodyear montrent qu’aujourd’hui, le patronat et le gouvernement se sentent tout permis. Il faut leur montrer qu’ils se trompent, en participant, nombreux, aux rassemblements organisés jeudi 4 février pour soutenir les anciens salariés de #Goodyear condamnés à de la prison ferme.

    Il faut faire en sorte que les travailleurs retrouvent l’envie, l’énergie et les moyens de répondre à l’arrogance et aux provocations patronales et gouvernementales. C’est à cet objectif que doivent se consacrer ceux qui ne veulent pas se laisser faire.

    D’ici la #présidentielle, les manœuvres au PS et à la #gauche de la gauche vont se multiplier. Aujourd’hui les #frondeurs du #PS, les écologistes et le Parti communiste tentent de se mettre d’accord sur l’organisation d’une primaire dans l’espoir que la gauche puisse se refaire une virginité en se trouvant un #candidat autre que Hollande pour 2017.

    Mais qu’y a-t-il à attendre de ces anciens ministres devenus frondeurs après avoir cautionné la plupart des mesures antiouvrières de Hollande ?

    Se fixer pour objectif de ressusciter une « vraie gauche », comme le souhaitent #Mélenchon ou le #PCF, est un objectif aussi vague que trompeur.

    Faut-il rappeler que #Hollande, #Valls et Macron se revendiquent toujours de la « gauche » ? Faut-il rappeler que, de Mitterrand à Hollande, tous se sont présentés comme des candidats « vraiment » à gauche et qu’il y a eu tromperie sur la marchandise ?

    L’expérience a prouvé que les frontières politiques ne passent pas entre la gauche et la droite. Elles sont déterminées par les intérêts de classe et opposent les travailleurs et les exploités à la poignée de capitalistes qui dominent l’économie.

    Au lieu de véhiculer de nouvelles illusions dans des politiciens qui ne méritent pas la #confiance des travailleurs, il faut encourager ces derniers à mettre en avant leurs intérêts et leur donner confiance en leurs propres forces. 

    La crise est à mettre au compte des banquiers et du grand #patronat. C’est la faillite d’un système basé sur le monopole du capital et la recherche effrénée du profit.

    Les travailleurs, qui portent toute la société sur leurs épaules, n’ont pas à accepter d’être les pions d’un tel système. Ils doivent se battre pour leurs intérêts et pour remettre l’économie sur ses pieds.

  • #PS : un #congrès de béni-oui-oui pour investir Hollande en 2017 [éditorial de Lutte Ouvrière, lundi 8 juin 2015]
    http://www.lutte-ouvriere.org/notre-actualite/editoriaux/article/ps-un-congres-de-beni-oui-oui-pour

    Il y a trois ans, #Hollande était élu sur le slogan, « le changement, c’est maintenant ». Depuis, la situation des travailleurs a effectivement changé... en pire. En pire parce qu’il y a 600 000 chômeurs de plus, parce que les conditions de travail sont devenues plus dures et que le niveau de vie a baissé.

    Dès son arrivée au pouvoir, Hollande a jeté aux orties son #programme de campagne pour adopter la ligne patronale - démantèlement des droits sociaux, allègement du coût du travail et chantage à la réduction de la dette. On en connaît le résultat : un grand patronat qui a traversé le plus gros de la crise sans perdre un euro et le monde ouvrier sacrifié sur l’autel de la compétitivité et des licenciements.

    Et que font les dirigeants socialistes réunis en congrès le week-end dernier ? Ils applaudissent la politique de #Valls #Macron et en redemandent en offrant à Hollande une standing ovation.

    Sarkozy a été accusé d’usurper le mot « républicain », mais cela fait des décennies que les dirigeants du PS usurpent celui de « socialiste ».

    Il y a très longtemps, lorsque le mouvement socialiste était digne de ce nom, il défendait les intérêts matériels et politiques des travailleurs. Il luttait contre l’exploitation patronale, dénonçait la loi du profit et se fixait pour but de renverser la #bourgeoisie.

    Aujourd’hui, le PS est passé dans le camp patronal et en est un serviteur fidèle. Il ne s’agit pas seulement de Hollande, de Valls ou de Macron mais bien du PS dans son ensemble. Dans ses discours, le PS tient à faire entendre une petite musique sociale, mais au pouvoir il ne jure que par la rentabilité et la compétitivité patronale, par la croissance des affaires de la bourgeoisie.

    Cette semaine encore, le PS justifiera la possibilité pour le patronat de recourir plus largement aux accords de compétitivité, il justifiera le plafonnement des indemnités que les #Prud’hommes peuvent prononcer en cas de condamnation de l’employeur, jusqu’au nouveau plan #Hirsch qui vise, comme l’ancien, à supprimer des RTT au personnel des #hôpitaux parisiens pour récupérer quelques millions.

    En exécutant loyal de la bourgeoisie, Hollande la servira jusqu’au bout de son mandat, et le PS sera avec lui. Jean-Christophe #Cambadélis, désormais premier secrétaire du PS, est convaincu qu’avec le retour de la croissance, les résultats de la politique gouvernementale ne tarderont pas. Derrière Hollande, les socialistes fondent leurs espoirs sur la reprise. Mais ce n’est pas « l’espoir » qui remplit le réfrigérateur, paye le loyer ou fait le plein de carburant !

    Pour rester au pouvoir, les socialistes misent plus sûrement sur l’anti-Sarkozysme et la peur du #FN. Le « tout sauf Sarkozy » est en passe de redevenir le slogan numéro un du PS.

    Et tous, de nous faire croire que la politique se borne à devoir choisir entre un Sarkozy toujours aussi arrogant et méprisant, une #Le_Pen prônant la guerre entre pauvres et un Hollande qui n’a pas cessé un seul jour de gouverner en faveur des patrons ! Il faut dire non à ce jeu de dupes où, pour rejeter untel ou unetelle, les travailleurs se privent d’affirmer leurs intérêts.

    À gauche de la gauche, #Mélenchon et le #Parti_de_gauche, #Duflot et les écologistes, Pierre #Laurent et le #PCF ou #Hamon et les frondeurs du PS rêvent de voir naître un « mouvement citoyen », un « #Podemos » ou un « #Syriza » à la française susceptible de les hisser à nouveau au pouvoir. En tirant à boulets rouges sur le #gouvernement, #Montebourg qui a été ministre pendant deux ans s’est aussi mis sur les rangs.

    Toute cette agitation peut réserver bien des surprises mais il n’y en aura aucune de bonne pour les travailleurs.

    Qu’attendre d’ex-ministres du gouvernement ou de #frondeurs qui cherchent d’abord à préserver leur carrière en se démarquant de Hollande ? Quant à ceux qui promettent une politique favorable aux travailleurs sans s’engager à combattre la bourgeoisie, ce ne sont que des bonimenteurs.

    On ne combattra pas le chômage sans empêcher le grand patronat de licencier. On ne répartira pas le travail entre tous et on ne créera pas d’emplois sans prendre l’argent où il est, c’est-à-dire sur les dividendes des grands actionnaires. On ne préservera pas nos conditions de vie sans combattre la mainmise des banquiers et le chantage des financiers au paiement de la dette.

    Le capital financier, responsable de la crise, s’est déjà largement remboursé sur notre dos, les classes populaires n’ont plus à se saigner pour lui.

    C’est à défendre et à se battre pour une telle politique que les travailleurs doivent se préparer.

    #lutte_de_classe #réformisme

  • La seule cohérence de #Valls, c’est la défense des intérêts patronaux - [dernier éditorial de Lutte Ouvrière]
    http://www.lutte-ouvriere.org/notre-actualite/editoriaux/article/la-seule-coherence-de-valls-c-est #extrait

    #Hollande et Valls savent très bien qu’eux et le #PS vont continuer à se discréditer auprès de leur électorat. Mais ils sont prêts à le faire jusqu’au bout pour satisfaire le patronat.
    De son côté, la fraction du #Parti_socialiste qui a été écartée du gouvernement, autour de Montebourg et de ceux qui se nomment les « #frondeurs », est maintenant sur la réserve. Elle sait elle aussi que le gouvernement va continuer à subir un discrédit, mais espère éviter d’en être touchée. Elle voudrait même pouvoir prétendre d’ici un an ou deux, à l’approche de prochaines élections, qu’elle aurait eu une autre politique à défendre, qui aurait mieux marché. Mais laquelle ?
    Montebourg ne dit rien contre la politique de subventions au grand patronat. Il fait diversion en s’en prenant à l’Allemagne, l’accusant d’imposer l’austérité car il voudrait qu’en #France l’État puisse faire plus de déficit. #Montebourg voudrait pouvoir consacrer encore plus d’argent à aider le grand patronat, mais cela aussi serait payé d’une façon ou d’une autre par les classes populaires.
    Ce n’est pas de ce côté-là que les travailleurs peuvent chercher un sauveur. Bien sûr, c’est encore moins du côté de la droite, qui n’a rien d’autre à proposer, ni de l’extrême droite de #Le_Pen, qui derrière ses discours ne fait que proposer la même chose, si possible en pire.
    Alors, comme le dit « L’Internationale », il n’y a pas de sauveur suprême. Ce #gouvernement, comme les précédents, est l’ennemi déclaré des travailleurs, le soutien déclaré du #patronat, et pour défendre leurs intérêts ils ne peuvent compter que sur eux-mêmes. En réalité, c’est beaucoup car, à condition de savoir s’organiser et lutter tous ensemble pour leurs intérêts vitaux, les travailleurs peuvent représenter une force invincible. Il est urgent pour eux de s’en servir

  • Pierre-Alain Muet : parce qu’"Hollande a changé la nature du quinquennat"
    http://www.marianne.net/Pierre-Alain-Muet-parce-qu-Hollande-a-change-la-nature-du-quinquennat_a239

    ...........

    http://www.marianne.net/photo/art/default/983447-1165699.jpg?v=1403169659

    Et puis le professeur d’économie, spécialiste des questions budgétaires s’insurge : « Pour les deux tiers des entreprises françaises, le problème ce n’est pas la compétitivité, c’est l’effondrement de la demande, consécutif aux trois années de crises que nous avons vécues en Europe. Où est la cohérence ? » L’économiste, encore lui, estime que la plate-forme de l’Appel des 100, qui veut répartir les 41 milliards d’euros au profit de la consommation, « est plus réaliste et plus raisonnable » que le plan Valls-Hollande. « Il faut rééquilibrer le Pacte de compétitivité, avancer sur une réforme des impôts », tente-t-il. Faire autrement tout en restant dans le cadre européen ? « J’aimerais bien qu’on desserre les contraintes, qu’on reporte à plus tard le retour à l’équilibre budgétaire. Mais ce débat, on ne peut l’avoir seul. En attendant il faut agir au niveau français. »

    ...........

    #économie
    #appel_des_100
    #assemblée_nationale
    #consommation
    #frondeurs
    #hollande
    #pacte_de_compétitivité