Binning: An Alternative to Point Maps | Mapbox
▻https://www.mapbox.com/blog/binning-alternative-point-maps
Binning is a great alternative technique for visualizing density when working with large data sets.
Binning: An Alternative to Point Maps | Mapbox
▻https://www.mapbox.com/blog/binning-alternative-point-maps
Binning is a great alternative technique for visualizing density when working with large data sets.
plein d’exemples en #d3.js : hexagones, triangles, carrés…
▻http://blockbuilder.org/search#text=bin
Tiens, ça me fait penser que je n’ai pas vu de code postal (#geohash, #openlocationcode, #what3words) basé sur une grille hexagonale. Ça n’apporterait sûrement rien de plus que les grilles rectangulaires, mais ça serait joli :)
Triangles
▻http://blockbuilder.org/armollica/dcfa9c27db140183bd87f3fc90efaf10
Cartogramme :
▻http://blockbuilder.org/shimizu/661f5e59ec3e848ad764
Hexagones, avec diamètre variable :
▻http://blockbuilder.org/mbostock/4330486
Hémicycle :
@fil oui, c’est aussi possible avec #turf.js :)
▻http://jsfiddle.net/nathansnider/ts4oyyn0
▻https://paulcrickard.wordpress.com/2015/02/18/density-map-with-turf-js
Je postais le lien original ici car j’en avais assez de le trimballer dans les onglets de mon nav depuis des mois :p
Mongolia is changing all its #addresses to three-word phrases
Mongolia will become a global pioneer next month, when its national post office starts referring to locations by a series of three-word phrases instead of house numbers and street names.
sauf que...
The new system is devised by a British startup called What3Words, which has assigned a three-word phrase to every point on the globe.
▻http://qz.com/705273/mongolia-is-changing-all-its-addresses-to-three-word-phrases
ping @severo
Ce n’est pas tellement les immenses espaces « vides » qui posent problème, mais plutôt les zones urbaines. Et là, même à l’époque où c’était le système « rationnel » à la soviétique qui était censé régné, c’était le bazar intégral…
Officiellement, une adresse, c’était (il pouvait en manquer certains éléments)
– province
– ville
– district
– quartier (micro-rayon)
– numéro d’immeuble
– numéro de porte
– initiale du prénom du père, prénom
En pratique, les numéros, notamment d’immeubles, avaient disparus à peu près partout. Ils ne se suivaient pas géographiquement et le visiteur (normalement pas le postier) n’avait aucune idée de où étaient les limites des micro-rayons et donc du changement de numérotation…
Ah, sinon, les 3 mots de l’adresse, sont évidemment en anglais, mais on pourra passer gratuitement ! à la traduction en allant sur internet…
Mongol Post will start using the system sometime next month, Sheldrick says. In practice, this means it will pay What3Words to license a bit of software that converts three-word addresses into GPS coordinates. When a piece of mail with a three-word address enters the postal system, it’ll be converted into GPS coordinates for delivery. Users can look up these three-word locations, which have been translated into Mongolian, for free on the What3Words website or app.
Mais à la limite, c’est pas grave, le système n’a de sens que si on dispose d’un accès internet permanent sous la main…
D’ailleurs, la photo du bandeau montre bien la nature du problème…
Dans les « quartiers de yourte » pour trouver quelqu’un on dépend fondamentalement du réseau des voisins.
UB by night (ou presque)
Merci @b_b
La faiblesse de #w3w pour moi, c’est la dépendance à une table de coordonnées. Pour ça je préfère #geohash ou similaires qui contiennent l’information dans le code.
C’est le problème du #triangle de #Zooko si je ne me trompe (@stephane ?)
▻https://en.m.wikipedia.org/wiki/Zooko%27s_triangle
On ne peut pas avoir un code #postal à la fois : simple à se souvenir, auto-suffisant (pas besoin d’interroger un serveur central) et unique...
En utilisant les exemples de la page wikipedia, w3w c’est le DNS, geohash c’est le .onion.
@severo Oui, c’est bien ce triangle.
UK Postcode Format Breakdown | GIS for Thought
▻http://gisforthought.com/uk-postcode-format-breakdown
▻https://www.flickr.com/photos/115987875@N04/20698319139/in/dateposted-public
Pour retrouver même si ce n’est pas directement lié : #geohash
« On peut créer des alternatives à Google avec le logiciel libre »
▻http://www.lemonde.fr/festival/article/2015/07/04/on-peut-creer-des-alternatives-a-google-avec-le-logiciel-libre_4670378_44151
On vient de franchir une étape fondamentale, celle de la co-création du premier jeu de données d’adresses. La base adresse est consultable sur le site data.gouv.fr où l’on trouve à la fois les jeux de données libérés par la communauté d’OpenStreetMap, et ceux des services de l’Etat, l’IGN et la Poste, ainsi que des outils pour les utiliser. L’enjeu est fondamental en terme d’innovation et d’indépendance. L’adresse, c’est la première chose dont on a besoin pour retrouver son chemin, calculer son itinéraire, effectuer des livraisons, secourir des blessés...
#openstreetmap #opendata cc @severo @adsib
Oui c’est une excellente idée que l’État libère les données qui sont de caractère public, et considère #OSM comme un allié et pas comme un concurrent. J’espère qu’on pourra faire la même chose ici en Bolivie, il y a justement un projet en cours d’élaboration pour un « registro domiciliario », on va essayer de proposer cette solution.
Et aussi proposer l’utilisation de #geohash, qui est bien adapté dans un pays où la poste est moribonde, le code postal n’existe pas, et les numéros dans les rues n’existent pas toujours (et dans le « campo », pas de rue, pas d’adresse). Un peu sur le modèle irlandais avec #eircode :
Digital Geography - new word-based coordinate system
▻http://www.digital-geography.com/new-word-based-coordinate-system
In the system of what3words the world is divided into 57 trillion 3x3m squares, which are defined by three words instead of e.g. decimal geographic coordinates. With these words and the reached accuracy many thematic applications could benefit from the possibility to work with an accurate place description.
ping @severo
Ouaip, c’est pas la première fois qu’on en parle ici : ▻http://seenthis.net/recherche?recherche=what3words
Comme je l’écrivais la dernière fois, un des avantages de geohash sur what3words, c’est que la position est contenue dans le code, alors que what3words nécessite une requête à une base de données pour faire la correspondance avec la position codifiée.
Un autre problème éventuel de what3words est que les mots sont anglais... C’est cool pour les (nord-)américains, mais pour une grande partie du monde, c’est à peine plus intelligible qu’un code geohash.
Ouaip, c’est pas la première fois qu’on en parle ici
lo sé :)
Ben, j’ai essayé, pour les adresses en France, les 3 mots sont en français.
Ah oui tiens... Moi j’habite à decreto.repele.exclamó
Leurs interfaces sont pas mal du tout.
Ah non, on choisit la langue de « l’adresse » et on a un autre triplet (qui n’a rigoureusement rien à voir avec une traduction)
Exemple : la tour Eiffel (du moins le carré retenu…)
galon.baisser.coupe
prices.slippery.traps
pueden.materna.afuera
kaninchen.umgehen.sucher
@b_b t’es pas loin de tendon.cuite.boire (entre autres…)
Ha misère, ça me correspondrait bien mieux en plus... En fait je suis exactement sur réactif.jade.découpure.
what3words
►http://what3words.com
Fonctionnement
w3w est un quadrillage géant de la planète, composé de 57 000 milliards de carrés de 3 mètres de côté. Chacun de ces carrés a été associé à une adresse composée de 3 mots du dictionnaire. Un exemple d’adresse w3w est bulbe.relaxer.poche
Pas complètement convaincu par un système qui reste commercial, mais l’idée n’est pas inintéressante.
voir aussi #openlocationcode
et surtout #geohash
►https://en.wikipedia.org/wiki/Geohash
▻http://postgis.net/docs/ST_GeoHash.html
Les deux font la même chose que what3words, en moins intelligible, mais sans nécessiter une base de données distante : la #position est contenue dans le code.
En découvrant openlocationcode on pourrait se demander « pourquoi un nouveau système ? », voici les raisons avancées sur leur site :
- The codes aren’t case sensitive and don’t include easily confused characters. We’ve selected the characters to make it difficult to impossible to spell words in any language.
– Codes are generated from latitude and longitude, so they already exist for everywhere. Nobody has to set them up or pay for them. Each place has only one code.
– Codes that are similar are located closer together than codes that are different.
– Open Location Codes represent an area, not a point.
– The size of the area depends on the length of the code. Long codes are more accurate than short codes.
– Dropping characters from the end of a code gives you a larger area that contained the original code.
– Codes are 10 or 11 characters long (8FMGP9FW+6M), but if you’re in the local area (within 50km), the leading four characters of the code can be omitted (P9FW+6M) making the codes even shorter.
– The short code can be used together with a place name (like P9FW+6M Pisa, Italy).
Aucune différence avec geohash sur ces 8 points-là.
@severo merci pour la confirmation, on est donc bien devant le cas classique illustré par xkcd :p
De fait, je n’ai pas l’impression que quelqu’un utilise openlocationcode.
#Openlocationcode a été becté par Google…
▻https://maps.google.com/pluscodes
Je suis désolée, mais je trouve mon adresse en 3 mots plus #poétique qu’avec le code triste de #Google.
Open Location Code : An Open Source Standard for Addresses, Independent of Building Numbers And Street Names
▻https://github.com/google/open-location-code/blob/master/docs/olc_definition.adoc
Un nouveau code géographique, pour remplacer #geohash, appelé « Open Location Code » et porté par #Google.
L’idée de ces algorithmes est de coder #latitude et #longitude en une seule chaîne de caractères, et plus la chaîne est longue, plus la précision est grande.
C’est utile pour mettre dans une URL, pour dicter par téléphone, etc. Et pour générer des codes de référence, par exemple tous les poteaux EDF : si un client appelle pour signaler que le poteau « 123458384 » (code indiqué sur la plaque du poteau, imaginons) est tombé, fauché par un coup de vent, au lieu de devoir faire une requête à une base de données pour savoir où se trouve ce poteau, le code contient en lui même la localisation, ce qui facilite l’intervention. Ça se décline en plein d’usages. Ça permet de remplacer l’adresse postale, voir par exemple l’Eircode irlandais :
On est en train de travailler ici sur geohash
mais il faudra peut être qu’on s’intéresse à ce nouveau code.
Trois exemples d’emploi de la #géolocalisation qui changent du matraquage FourSquare et de ses usages marketing :
– le super projet #Geohashing, toujours en cours chez les fans d’#XKCD : ►http://wiki.xkcd.com/geohashing - rencontres fortuites de Geeks entre exploration et exploit.
– une étude sur l’apport d’une cartographie des signaux des téléphones mobiles pour faciliter la prise en charge des crises humanitaires telles qu’un tremblement de Terre : ►http://irevolution.net/2012/02/26/mobile-technologies-crisis-mapping-disaster-response (Patrick Meier)
– et une visualisation des territoires et migrations pendant l’Antiquité, via l’interface GapVis (à partir de Google Maps) et des textes de référence de l’époque (Flavius Josèphe, Thucydide...) : ►http://www.ledevoir.com/opinion/blogues/les-mutations-tranquilles/344034/la-geolocalisation-au-service-des-textes-ancients
+ pour les fans de #cartographie, #géographie et visualisations, l’incroyable collection de cartes historiques de David Rumsey : ►http://www.davidrumsey.com