• Digital Transformation & #innovation Ep. 3: #partnerships — The Business of the 21st Century
    https://hackernoon.com/digital-transformation-innovation-ep-3-partnerships-the-business-of-the-

    Digital Transformation & Innovation Ep. 3: Partnerships — The Business of the 21st CenturyAre you ready for a ride?The age of big cruisers is over. Titanic has sunk deep down and it’s time to embrace smaller and more diverse fleets. And when I say more diverse fleets, I don’t mean racial or gender diversity. I’m talking about diversity in expertise and background. I’m talking about partnerships.Partnerships are the foundation of business in the 21st century, especially in the tech industry. We all know how a partnership with another tech company can help one improve their stack and work towards common goals, which is natural and good, but we seem to forget that most crucial partnerships are one with traditional industries.“But, but, they don’t even know the difference between relational and (...)

    #fintech #goldman-sachs #apple

  • What I Learned From #internships at Goldman Sachs and #yelp
    https://hackernoon.com/what-i-learned-from-internships-at-goldman-sachs-and-yelp-b37b9ee53d43?s

    Yelp Headquarters at 140 New Montgomery Street: you made it here, now what?This piece is for all of you SWE interns. First off: congratulations! You probably worked very hard to get where you are. However, like getting into college, your offer letter is just the beginning. Now you need to execute a successful internship. Below, I have compiled some thoughts on how to succeed based on my previous internships at Goldman Sachs and Yelp.Here’s some low-hanging fruit for you. Don’t miss stand-ups or meetings, don’t ask questions that are easily looked up, and put in an honest effort in delivering on your estimates!Set expectations and follow through.You show up to your internship. Over time, you might unconsciously form bad habits. Maybe you start missing a few standups. Maybe you take a long (...)

    #san-francisco-internships #goldman-sachs #tech-internship

  • Ukraine : quand EDF, ENI, Shell et Chevron signaient des accords majeurs sur pétrole et gaz de schiste de Crimée - Le Blog Finance
    http://www.leblogfinance.com/2014/04/ukraine-quand-edf-eni-shell-et-chevron-signaient-des-accords-majeur-s

    Ne soyons pas dupes … Encore une fois, les vives tensions entre la Russie et l’Ukraine pourraient être liées à de fortes odeurs de gaz et de pétrole, le gaz de schiste pouvant également y jouer une large place.

    Rappelons ainsi qu’en novembre 2013, le groupe énergétique italien ENI et l’entreprise française EDF ont signé un accord de partage de production d’hydrocarbures avec l’Ukraine, en vue d’obtenir l’accès à une zone offshore d’une superficie de 1 400 kilomètres carrés … en Crimée occidentale.

    Selon les termes du contrat, ENI, opérateur principal, détient 50 % des parts de cette coentreprise, EDF en détenant 5%, les 45% restants étant partagés entre les entreprises publiques ukrainiennes Vody Ukrainy et Chornomornaftogaz.
    Précisons que la signature de cet accord de 4 milliards de dollars est intervenue quelques jours après la conclusion d’un précédent accord de 10 milliards de dollars avec l’américain Chevron pour la production de gaz de schiste. Une alternative aux énergies plus traditionnelles sur laquelle Kiev semblait miser jusqu’à présent, un accord analogue et d’un même montant ayant été conclu préalablement avec Royal Dutch Shell.

    L’Ukraine pourrait au final trouver auprès des Etats-Unis un nouvel allié pour lui permettre de s’affranchir de sa dépendance en gaz russe. L’Union européenne n’ayant pas d’autre issue quant à elle – si l’on n’y prenait garde – de passer d’une dépendance russe … à une dépendance américaine, les majors américaines pouvant habilement agir en faveur d’un isolement de la Russie en vue au final de ravir sa place sur l’échiquier énergétique mondial. Et ce d’autant plus, que le pays de l’oncle Sam a su avancer ses pions aussi sûrement que discrètement sur le marché énergétique européen.

    Les Etats-Unis pourraient en effet bénéficier des relations on ne peut plus tendues entre Russie, Ukraine et UE … pour offrir ses services – financiers – voire même profiter de l’occasion pour progresser sur le marché européen du gaz via la sulfureuse société Goldman Sachs. Un arrêté en date du 19 janvier 2010 autorisant notamment la société à exercer l’activité de fourniture de gaz sur le territoire français pour approvisionner les fournisseurs de gaz naturel.

    La prise de participation de Goldman Sachs au sein du groupe énergétique espagnol Endesa pouvant également permettre à la « pieuvre » anglo-saxonne d’avancer ses pions. Un élément à surveiller de très, près, alors que la péninsule ibérique constitue une passerelle entre le gaz algérien et les consommateurs du Vieux Continent … détournant à sa manière le client final de la suprématie russe en la matière …. avais-je indiqué ici-même sur leblogfinance.com en octobre 2012.

    Fin janvier 2014, c’est une part de Dong, l’entreprise publique d’énergie du Danemark qui a été cédée à la banque d’investissement américaine.

    Sources : AOF, Ria Novosti, AFP

    Elisabeth Studer – 09 avril 2014 – www.leblogfinance.com

    #Ukraine
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  • Power To the People : 200.000 Danois signent une pétition contre Goldman Sachs | Olivier Demeulenaere – Regards sur l’économie
    http://olivierdemeulenaere.wordpress.com/2014/02/01/power-to-the-people-200-000-danois-signent-une-petiti

    "Le gouvernement danois est sur le point de s’effondrer après que plus de 200.000 des cinq millions de Danois ont signé une pétition en ligne pour protester contre la prise de participation dans la société Dong Energy, une société de services publics du secteur de l’énergie, par la banque d’investissement américaine Goldman Sachs. Il s’agit de la plus grande expression de mécontentement de la population au cours des dernières années pour le gouvernement de coalition sociale-démocrate mené par le Premier ministre Helle Thorning-Schmidt, qui recueillait déjà de mauvais résultats dans les sondages avant que cette affaire n’éclate.

    Les Danois n’ont pas accepté que l’exécutif ait conclu un accord qui permet à Goldman de détenir 19% du capital, et qui contient une clause qui accorde à la « Firme » un droit de veto sur les grandes décisions de l’entreprise malgré cette participation minoritaire (la part de l’Etat danois serait ramenée à 60%). Goldman aura donc son mot à dire si Dong Energy veut changer son CEO ou son directeur financier, et si elle décide de réaliser une augmentation de capital ou de se lancer dans l’acquisition d’une autre entreprise, par exemple.

    La méthode que Goldman a utilisée pour cette acquisition, au travers d’une société d’investissement basée au Luxembourg, détenue par des actionnaires des îles Caïmans et de l’Etat américain du Delaware, deux autres paradis fiscaux, a été la goutte d’eau qui a fait déborder le vase.

    Chez Goldman, les banquiers, pourtant habitués depuis 2008 à recueillir la réprobation du public, ont été surpris par la réaction du peuple danois, comme l’ont été les hauts fonctionnaires danois. « Nous comprenons que presque tout le monde déteste Goldman Sachs, mais vous ne pouvez pas faire des affaires et dire : "Votre offre est la meilleure, mais vous ne pouvez pas gagner", a expliqué un officiel danois au Financial Times.

    Le parti populaire socialiste, membre de la coalition gouvernementale au pouvoir depuis l’automne 2011, s’est fermement opposé à cette transaction. Les 6 ministres membres de ce parti ont présenté leur démission, dont la ministre des affaires sociales et de l’intégration, Annette Vilhelmsen. Cette dernière a cependant assuré que son parti, qui détient 16 sièges sur 179 au parlement danois, ne tomberait pas pour autant dans l’opposition, ce qui signifie que le gouvernement ne devrait pas avoir à démissionner. Cependant, la coalition de Thorning-Schmidt, qui était déjà minoritaire au parlement, ne détient plus que 61 sièges. « La vente de Dong est le coup de grâce de ce gouvernement », a affirmé Christoffer Green-Pedersen, professeur de sciences politiques à l’Université d’Aarhus, à l’agence de presse Bloomberg.

    #économie
    #banques
    #banksters
    #Danois
    #pétition
    #Goldman-Sachs

  • Le Petit Européiste : Les billets en Euro
    http://lepetiteuropeiste.blogspot.fr/2013/12/les-billets-en-euro.html

    La dernière fois en fouillant mes poches je suis tombé sur un vieux billet tout froissé et tout ratatiné dont je ne reconnaissais pas du tout la couleur et quand je l’ai déplié c’est là que j’ai vu que c’était un vieux billet de 20 francs. Je l’ai observé pendant très longtemps et ça m’a rappelé plein de souvenirs, c’était terrible comme sensation. Je me suis rendu compte que j’avais jamais trop regardé un billet en euro avec trop d’attention et, je sais pas pour vous mais moi en fait je suis même pas capable de me rappeler comme ça la couleur de tous les billets et les dessins qu’il y a dessus. Je pense que c’est parce que les billets ils me marquent pas et donc c’est pour ça que je les ai pas retenus. J’ai creusé fort dans ma tête pour comprendre pourquoi les billets ils m’intéressaient pas trop et en fait c’est quand j’ai regardé encore de plus près mon billet en franc que j’avais retrouvé dans ma poche que j’ai compris.

    Avant sur les billets en francs il y avait des personnages dessus ou on voyait leurs têtes, et c’était des personnages vachement sympathique : Antoine de Saint-Exupéry, Pierre et Marie Curie, Blaise Pascal, Paul Cézanne, Gustave Eiffel et Claude Debussy. Je me rappelle même que sur le billet de 50 Francs ils avaient mis des dessins du Petit Prince, ils étaient super jolis.

    Alors j’ai regardé mon billet en euro de plus près et j’ai vu qu’il n’y avait pas de personnages dessus. En même temps c’est normal, car les billets c’est les mêmes pour tous les pays et le problème c’est qu’on peut pas mettre des personnalités connues sans créer de jalousie. Ils auraient pas pu choisir car y’a que 7 billets en tout alors y’aurait forcément des pays qui n’auraient pas eu leur personnage dessus. Et même si on avait choisi que quelques pays, ils se seraient peut-être disputés pour savoir qui allait être sur le billet le plus gros ou sur le plus courant .

    A la place ils ont mis d’un côté du billet des faux monuments qu’ils ont inventés parce que là aussi ils pouvaient pas choisir un monument d’un pays sans vexer les autres. Alors du coup les gens ils disent que c’est à cause de ces dessins sur les billets qui représentent des constructions imaginaires que les gens ils peuvent pas s’identifier et se sentir européen. Moi je pense que c’est l’inverse en fait et c’est plus parce que le peuple européen il existe pas qu’ils ont pas réussis à trouver des symboles qui représenteraient tout le monde.

    .......

    #bce
    #euro
    #franc
    #goldman-sachs
    #mario-draghi
    #peuple-européen

    • Et soudain un moment de lucidité :

      Le problème c’est que les gens qui ont voulus construire l’Europe quand on regarde l’histoire c’est pas forcément les personnes les plus pacifiques et les plus cool à mettre dans son porte monnaie. Par exemple, ça nous obligerait à payer avec un billet ou y’aurait César dessus et un autre avec le visage d’Adolf Hitler ou encore Napoléon. En fait, ceux qui ont cru à un projet européen et qui ont voulu le mettre en place, à chaque fois ça a été des dictateurs ou des empereurs.

      Il manque juste Jean Monnet et Robert Schuman aux idées et actes peu glorieux.

  • Comment Dublin a récupéré 2 milliards d’euros d’une des banques qu’il a sauvées
    http://www.latribune.fr/actualites/economie/union-europeenne/20131205trib000799446/comment-dublin-a-recupere-2-milliards-d-euros-d-une-des-banques-qu-il-a-sa

    Comment BoI va rembourser l’Etat ?
    Ce remboursement se fera sous deux formes. La première est une augmentation de capital classique de BoI de 580 millions d’euros réalisée mercredi. La seconde est l’émission, via un véhicule ad hoc issu de la BoI, appelé Baggot Securities, de nouvelles actions préférentielles pour un montant de 1,3 milliard d’euros. Cette dernière opération vise précisément à rembourser les actions préférentielles détenues actuellement par l’État.

    Ces actions préférentielles garantissaient le paiement d’un dividende - ce qui n’est pas le cas des actions ordinaires - et assurait la présence d’un représentant du gouvernement au conseil d’administration. Mais surtout, elles devaient être remboursées avant le 31 mars 2014 au prix d’un euro pièce (alors que l’action ordinaire coûte aujourd’hui environ 26 centimes), sous peine de devoir le rembourser ensuite avec un coût supplémentaire de 40 %.

    Goldman Sachs à la manœuvre
    En réalité, cette somme est donc moins un remboursement pur et simple qu’un transfert de dette vers le secteur privé. Une grande partie des contributeurs devrait, du reste, être les actionnaires actuels de BoI. La banque a prévenu qu’elle ne voulait pas rembourser ces nouvelles actions préférentielles avant 2016, mais les titres seront cotés à la Bourse de Luxembourg. Reste que cette opération - montée par Goldman Sachs qui, au passage, selon l’Irish Independent, devrait glaner 43 millions d’euros - semble prouver que les investisseurs retrouvent clairement la confiance dans le potentiel du secteur financier irlandais.....

    #économie
    #Europe
    #crise
    #Irlande
    « plan de sauvetage » du #FMI et du #MES
    #banksters
    #Bank-of-Ireland ( BoI )
    #Goldman-Sachs

  • CADTM - Bancocratie : de la république de Venise à Mario Draghi et Goldman Sachs
    http://cadtm.org/Bancocratie-de-la-republique-de

    Du 12e au début du 14e siècle, l’Ordre des Templiers, présent dans une grande partie de l’Europe, s’est converti en banquier des puissants et a contribué à financer plusieurs croisades. Au début du 14e siècle, il est devenu le principal créancier du roi de France, Philippe le Bel. Face au poids d’une dette qui grevait ses ressources, Philippe le Bel s’est débarrassé de ses créanciers et, par la même occasion, de sa dette en diabolisant l’Ordre des Templiers, l’accusant de multiples crimes |1|. L’Ordre a été interdit, ses chefs exécutés et ses biens confisqués. Il manquait un État et un territoire à l’Ordre des Templiers pour faire face au roi de France. Son armée (quinze mille hommes dont mille cinq cents chevaliers), son patrimoine et ses créances sur les dirigeants ne l’ont pas protégé de la puissance d’un Etat décidé à éliminer son principal créancier.

    À la même époque (11e – 14e siècles), les banquiers vénitiens financent aussi des croisades et prêtent de l’argent aux puissants d’Europe, mais ils manœuvrent beaucoup plus habilement que l’Ordre des Templiers. A Venise, ils prennent la tête de l’État en lui donnant la forme d’une république. Ils financent la transformation de Venise, cité-État, en un véritable empire comprenant Chypre, l’Eubée (Négrepont) et la Crète. Ils adoptent une stratégie imparable pour s’enrichir durablement et garantir le remboursement de leurs créances : ils décident eux-mêmes d’endetter l’État vénitien auprès des banques qu’ils possèdent. Les termes des contrats de prêts sont définis par eux puisqu’ils sont à la fois propriétaires des banques et dirigeants de l’État

    #économie
    #bankster
    #Bancocratie : de la #république-de-Venise à #Mario-Draghi et #Goldman-Sachs

  • Goldman Sachs enregistre des pertes sur ses activités de taux
    http://www.lemonde.fr/economie/article/2013/10/18/goldman-sachs-rogne-sur-les-bonus-de-ses-traders-pour-reduire-ses-pertes-dan

    De toutes les grandes banques de Wall Street, c’est Goldman Sachs qui a enregistré la plus grosse perte (– 47 %, à 1,3 milliard de dollars) dans le fixed income (les placements obligataires) au troisième trimestre. Sauf que ses bénéfices n’en sont, étrangement, aucunement affectés, rapporte le Financial Times (FT), vendredi 18 octobre.
    Et pour cause : la banque d’affaires américaine a tout simplement pioché dans la réserve d’argent consacrée aux bonus de ses traders afin de compenser la perte. Ainsi, « seulement » 2,4 milliards de dollars seront consacrés à la rémunération des employés de Goldman, contre 3,7 au trimestre précédent. Résultat, le bénéfice net du troisième trimestre de Goldman Sachs est stable, à 1,5 milliard de dollars, et dépasse même les estimations des analystes.

    « CLIMAT POLITIQUE TOXIQUE »

    Selon Harvey Schwartz, directeur financier de la banque, cette perte s’explique par un mauvais dosage de son portefeuille clients ("mix client") dans le fixed income : Goldman Sachs a, selon lui, une plus grande proportion de gestionnaires affectés aux portefeuilles de clients institutionnels. Or ces derniers se sont montrés plus prudents sur les placements obligataires que les hedge funds (fonds spéculatifs), en raison de l’incertitude sur les marchés.

    Goldman Sachs n’est pas la seule à avoir souffert du « climat politique toxique aux Etats-Unis » – alimenté par l’incertitude sur la politique monétaire de la Réserve fédérale, puis par les quinze jours qu’a duré le « shutdown » (fermeture de l’administration fédérale faute d’accord sur le budget) – ces dernières semaines, explique le FT.

    #crise
    #dette
    #Goldman-Sachs
    #traders
    #fixed-income #lespauvrestraders