• Covid-19 : premiers transferts de patients d’Ile-de-France vers des hôpitaux de l’Ouest
    https://www.lemonde.fr/planete/article/2021/03/13/covid-19-premiers-transferts-de-patients-d-ile-de-france-vers-des-hopitaux-d

    La région capitale a échappé au confinement, qui est reconduit ce week-end dans les Alpes-Maritimes, le Pas-de-Calais et la région de Dunkerque.

    La France a recensé vendredi plus de 90 000 morts du Covid-19 depuis plus d’un an et n’est toujours pas sortie d’affaire. Avec 20 000 à 30 000 cas par jour, l’épidémie est loin de faiblir, et la situation est jugée particulièrement inquiétante en Ile-de-France.

    Pour tenter d’échapper à un reconfinement de la région, l’exécutif mise sur les transferts de patients franciliens vers les régions moins touchées par l’épidémie, afin de désengorger les services de réanimation de la région capitale. Trois premiers patients hospitalisés en réanimation dans des hôpitaux franciliens ont été transférés samedi 13 mars par hélicoptère vers l’ouest de la France, à Nantes, Angers et au Mans, a annoncé Frédéric Adnet, directeur du SAMU de Seine-Saint-Denis. Selon l’Agence régionale de santé (ARS) d’Ile-de-France, trois autres patients seront transférés dimanche, deux vers la Nouvelle-Aquitaine et un vers les Pays-de-la-Loire.

    Pour que les patients puissent être transférés, il faut « qu’ils soient dans un état stable » et que « les familles aient donné leur accord », a précisé Frédéric Adnet. Si elle était décidée, une évacuation plus massive de patients par TGV n’aurait lieu qu’en « milieu de semaine prochaine », car il y a « une énorme logistique à mettre en place ».

    Jeudi, le ministre de la santé, Olivier Véran, avait annoncé le transfert prochain « de dizaines, voire de centaines de patients » d’Ile-de-France vers d’autres régions. Vendredi, le directeur général de l’Assistance publique-Hôpitaux de Paris, Martin Hirsch, a affirmé qu’il y avait « entre 20 % et 30 % de déprogrammations » des activités non urgentes, pour faire de la place aux « patients Covid ».

  • Macron sur la septuagénaire blessée à Nice : « Il faut avoir un comportement responsable » | Le Huffington Post
    https://www.huffingtonpost.fr/2019/03/24/macron-sur-la-septuagenaire-blessee-a-nice-il-faut-avoir-un-comportem
    https://o.aolcdn.com/images/dims3/GLOB/crop/3240x1703+0+886/resize/1200x630!/format/jpg/quality/85/https%3A%2F%2Fmedia-mbst-pub-ue1.s3.amazonaws.com%2Fcreatr-images%2F2019-0

    « Je souhaite d’abord qu’elle se rétablisse au plus vite et sorte rapidement de l’hôpital, et je souhaite la quiétude à sa famille. Mais pour avoir la quiétude, il faut avoir un comportement responsable », a déclaré le président de la République. « Je lui souhaite un prompt rétablissement, et peut-être une forme de sagesse », a-t-il ajouté.

    « Quand on est fragile, qu’on peut se faire bousculer, on ne se rend pas dans des lieux qui sont définis comme interdits et on ne se met pas dans des situations comme celle-ci », tout en soulignant que « cette dame n’a pas été en contact avec les forces de l’ordre ».

    Emmanuel Macron a assuré que la décision de « définir des périmètres d’interdiction » était devenue « nécessaire » et avait « été mise en œuvre avec professionnalisme et mesure à Nice ».

    Les conditions encore floues de l’accident

    La garde des Sceaux a également adressé ses vœux de rétablissement à la manifestante dimanche, tout en s’étonnant de sa présence. « Je trouve tout de même curieux que lorsqu’une manifestation est interdite, comme c’était le cas à Nice, quelqu’un aille absolument avec la volonté de manifester à cet endroit-là », a déclaré Nicole Belloubet sur BFMTV. « Il y avait quelques périmètres, dans certaines villes, où les manifestations étaient interdites », avait-elle détaillé. « À la suite de sommations, une personne qui y reste est susceptible de commettre un délit et c’est dans ce cadre-là que les événements se sont passés ».

    De son côté, le procureur de Nice Jean-Michel Prêtre estime que le délit « n’est pas si net » dans le cas de la septuagénaire : « là où ça s’est passé, c’était presque en dehors de la place, dans un mouvement confus des forces de l’ordre et des manifestants ». Le procureur a indiqué que la septuagénaire "a apparemment tapé fort sur un poteau

    #gorets

  • La nouvelle cartographie des cours d’#eau menace l’intérêt général
    https://reporterre.net/La-nouvelle-cartographie-des-cours-d-eau-menace-l-interet-general

    Comme Reporterre vous le racontait hier, près d’un cours d’eau sur cinq pourrait être déclassé en fossé ou ravine… et ainsi sortir du cadre protecteur de la #loi sur l’eau. « C’est principalement le cas des têtes de bassin, notamment celles des petites rivières », précise Bernard Rousseau, spécialiste de l’eau à France nature environnement (FNE). Ces têtes de bassin sont constituées de rus, de ruisseaux et d’aubettes qui représentent l’arborescence — le chevelu — en amont des rivières et des fleuves.

    Ce #chevelu, bien qu’épars et instable, joue un rôle écologique fondamental. Refuge de #biodiversité, il détermine, de par sa position en amont, la qualité de l’eau en aval. C’est pourquoi « l’enjeu principal est par rapport aux zones de #traitement : au bord des cours d’eau, les traitements phytosanitaires sont très réglementés, ce n’est pas le cas auprès des simples fossés », résume Bernard Rousseau. La directive #nitrates de 1991, l’arrêté de 2006 sur l’utilisation des produits phytopharmaceutiques, puis le Grenelle de l’environnement préconisent ainsi des zones non traitées et des bandes enherbées de cinq mètres minimum aux abords des points d’eau. Loin d’être symboliques, ces bandes sans pesticide permettent de maintenir un filtre vert, une « zone tampon », afin de limiter les transferts de produits phyto vers les eaux de surface. Ce sont de petites stations d’épuration. L’équation est donc simple : sans zone libre d’épandage, les cours d’eau déclassés vont voir la concentration en pesticides augmenter. « Si l’on se met à traiter en amont, ça se retrouvera en aval. C’est la qualité de notre chevelu qui fait la qualité des cours d’eau », conclut Henri Delrieu, de l’association environnementale Le Chabot.

    #permis_de_polluer comme des #gorets #FNSEA
    Premier épisode https://seenthis.net/messages/573478
    Deuxième épisode https://seenthis.net/messages/573892

  • Un maire FN de Moselle repeint sa sculpture en bleu : l’artiste de Léojac voit rouge #goret
    http://www.ladepeche.fr/article/2014/07/29/1926249-maire-fn-moselle-repeint-sculpture-bleu-artiste-leojac-voit-rouge.

    De son côté, la ministre de la Culture a dénoncé dans un communiqué « une violation manifeste du #droit moral et des règles élémentaires du code de la propriété intellectuelle et de la protection du patrimoine ». « Les œuvres ne peuvent être ni modifiées, ni même déplacées, ni a fortiori détruites sans l’autorisation de l’#artiste ou de ses ayants droit. Elles ne peuvent en aucun cas être vendues » a précisé Aurélie Filippetti.

    #art #gorafi_encore_plagié

  • Attention, c’est du gros #mansplaining sans nuance... Et bien sûr, la #prostitution, c’est trop cool pour se faire des copines qui sont tellement contentes de faire ça et le #féminisme est contreproductif avec ses jérémiades permanentes sur la #violence, gnagnagna...
    http://www.vice.com/fr/read/amsterdam-diaries-interview-832

    Pour tout ce qui est parité et égalité des sexes, je me revendique féministe. Mais je déplore que le féminisme moderne soit juste une kyrielle de plaintes et de revendications et que tout soit analysé à travers le prisme de la domination masculine. Je regrette aussi que ce mouvement soit dominé par une élite issue de la classe moyenne qui confond l’intérêt général avec ses propres intérêts. Cette idéologie victimise les femmes, quel que soit le problème. Elles sont toujours soit forcées, soit soumises, soit contraintes. Les féministes considèrent les femmes comme des êtres dépourvus de libre-arbitre. Les féministes fabriques les victimes, là où il n’y en n’a pas forcément.

    Je ne peux pas m’empêcher de comparer ces jeunes femmes qui soutiennent des causes qui en valent la peine, comme Malala Yousafzai qui se bat pour l’éducation des filles au Pakistan ou Fahma Mohamed qui milite contre l’excision, avec des féministes dont l’unique revendication est d’obliger les banques à imprimer des portraits de femmes sur leurs billets ou de forcer les magazines à bannir la nudité de leurs pages. Il y a aussi ces tarés qui manifestent avec des slogans du genre « La prostitution, c’est de la violence envers les femmes » ou encore « La prostitution c’est de la misogynie ». C’est un ramassis de conneries et un non-sens total.

    • non mais il est humain, il est gentil avec celles qui assouvissent son besoin de se réchauffer le coeur.
      (oui pour se réchauffer le coeur, rien de tel qu’une bonne pipe affectueuse)
      Et il est respectueux des femmes : il préfère les call girls aux filles en vitrines..
      Belles pépites.. c’est moi qui mets en gras

      Quand as-tu rendu visite aux travailleuses du sexe pour la première fois ?
      C’est difficile à expliquer, je ne l’avais pas prévu, je n’avais aucun besoin à satisfaire . Sur une plage, une nuit, je me suis dit « Qu’est-ce que tu fous dehors à 20h le soir de Noël ? » J’étais en plein divorce et je n’avais pas trop la tête à fêter Noël. J’ai conclu qu’une compagnie féminine pourrait me réchauffer le coeur – idéalement, j’aurais aimé être avec une jeune japonaise sexy de 25 ans (sans doute à cause de l’influence du porno). Puis, je suis redescendu sur Terre en me disant que ça avait peu de chance d’arriver, sauf si j’étais prêt à payer pour ça.

      Et donc tu t’es rendu à Amsterdam.
      Ouais, je me suis éclaté autant que peut le faire un homme qui n’a pas fait l’amour depuis longtemps. J’y suis revenu deux fois en six semaines. (...)
      J’ai rendu visite à une escort girl néerlandaise en plein après-midi, et là j’ai vraiment eu l’impression de partager de bons moments avec elle, comme si c’était ma copine.

      Comment ça ?
      Cette relation se fait sur le long terme, elle implique des actes sexuels beaucoup plus intimes . On pouvait s’embrasser, ce qui compte beaucoup pour moi. Une relation avec une escort girl est parfois beaucoup plus excitante qu’avec une vraie copine . J’ai réitéré l’expérience aussi souvent que possible. Tu ne peux pas attendre la même chose avec une fille en vitrine, même si ça peut arriver. Parfois, il faut que je fasse la cour plusieurs fois à une fille avant de créer ce lien.

      Donc ces visites ne sont pas juste charnelles ?
      Absolument. Les filles auxquelles je rends visite régulièrement sont des personnes que j’affectionne vraiment . J’apprécie leur compagnie. Je m’intéresse à elles en tant que personnes . Je ne suis pas comme ces gens des services sociaux qui cataloguent les prostituées comme des êtres brisés. Pour eux, les prostituées ne sont que des statistiques et des gens vulnérables. Pour moi, ce sont au contraire des personnes qui méritent le respect. Et de ce que j’ai pu voir, elles valent souvent beaucoup mieux que ceux qui prétendent les connaître .

      ben oui, si la valeur et le respect s’obtient par le plaisir qu’elles te procurent, tu m’étonnes que tu les valorises et les respectes..
      #crétin_abyssal

    • #femmes #violence_sexuelle

      Les féministes considèrent les femmes comme des êtres dépourvus de libre-arbitre.

      ba c’est Vice quoi une revue bourgeoise défendant une conception abstraite et bourgeoise du libre arbitre visant à masquer les rapports de domination et d’exploitation salariale ... C’est bien sûr cette conception du libre arbitre qui sous-tend l’abstraction du contrat au cœur de la relation d’échange ( relisons le fameux passage sur le contrat du Chapitre VI de la section 2 du Livre 1 du Capital, j’espère que je ne me trompe pas sur la ref) La prostitution n’est qu’une forme particulièrement abjecte de l’exploitation salariale où la dimension patriarcale se trouve radicalisée. Exiger l’abolition de la prostitution en dehors d’un mouvement révolutionnaire plus large abolissant les rapports sociaux fondés sur l’échange capitaliste me semble illusoire. Cela ne signifie pas que toute lutte partielle autour de la question de la prostitution soit vouée à l’échec. Cependant constituer la prostitution comme terrain de lutte suppose de partir des forces sociales en présence, en l’occurrence les prostituées elle-mêmes, et de leurs situation(s) spécifiques. Les résistances contre l’oppression et l’exploitation prostitutionnelle doivent avoir pour base la prostitution elle-même, sa configuration matérielle spécifique et les relations de pouvoir particulières constituant ses conditions de possibilité. Sinon, on tombe dans l’imposition par l’"extérieur" d’une vision abstraite de l’émancipation qui tend à nier la capacité d’"agency" ( « agence » en français ? ) des prostituées.
      No disrespect, mais je trouve que de nombreux/ses groupes/ personnes sincères se prononçant sur la question, moi y compris, feraient parfois mieux de se taire et se contenter de servir de caisse de résonance aux revendications/ luttes des prostituées elle-même. Ceci vaut d’ailleurs aussi pour les questions ayant trait à l’articulation des problématiques de féminisme et de race.