• #PortesDisparus : au Sénégal, un journaliste rend un nom et un visage à ceux qui sont partis

    Au #Sénégal, alors que chaque semaine les drames de l’émigration clandestine continuent de faire l’actualité, un journaliste, #Ayoba_Faye, a lancé un hashtag « #portés_disparus » pour aider les familles de migrants partis par la mer à avoir des informations sur leur enfant et éviter qu’ils ne tombent dans l’oubli.

    « Ousseynou Ndiaye : disparu depuis 20 jours. Point de départ inconnu », peut-on lire sur le compte X du journaliste sénégalais Ayoba Faye. Depuis une semaine, le rédacteur en chef du média en ligne PressAfrik a listé une dizaine de noms déjà de Sénégalais portés disparus après avoir tenté la traversée par la mer vers l’Espagne.

    https://twitter.com/autruicomoi/status/1727428904036762101

    Une démarche entreprise après que de nombreuses familles l’ont contacté, nous explique Ayoba Faye. « Les parents qui entrent en contact avec moi sont dans le désarroi total. Certains sont restés plus d’un mois sans avoir de nouvelles de leurs enfants. Ils n’ont aucune structure étatique vers qui se tourner. C’est alors que j’ai décidé d’utiliser le peu d’influence que j’ai sur les réseaux sociaux pour aider à mettre un visage sur chaque porté disparu parmi les centaines, voire les milliers, depuis le début des vagues migratoires de cette année 2023. Ce n’étaient pas des personnes anonymes ces jeunes qui ont disparu en mer, ils avaient une vie, ils avaient des rêves, ils avaient une histoire, qui méritent d’être connus. »

    https://twitter.com/autruicomoi/status/1725276632338801028

    À chaque nom listé par le journaliste est associée une photo. Avec ses 34 000 followers, Ayoba Faye espère ainsi aider à retrouver des personnes potentiellement décédées lors de cette traversée extrêmement dangereuse. Une façon aussi de les sortir de l’anonymat et de l’oubli alors que plusieurs acteurs de la société civile sénégalaise demandent l’instauration d’une journée de deuil national pour les migrants.

    https://www.rfi.fr/fr/afrique/20231124-portesdisparus-au-s%C3%A9n%C3%A9gal-un-journaliste-rend-un-nom-et-un-vi

    #hashtag #celleux_qui_restent #asile #migrations #missing #réfugiés #frontières #morts_aux_frontières #mourir_aux_frontière #recherche

  • Une question SPIP :
    Si je comprends bien, les #hashtags de #seenthis sont automatiquement convertis en mots clé #SPIP qu’on peut utiliser dans des boucles.
    Comment est-ce que ca marche ? Je voudrais épargner aux auteurs d’un site de passer par l’interface de gestion des mots clé dans l’espace privé et leur permettre de simplement insérer des #hashtags dans leurs textes comme sur Seenthis.

    Merci pour vos lumières :-)k++

    @b_b @seenthis

  • Fast’n Curious François Saltiel – #HASHTAG INFOS
    https://hashtag-infos.fr/2023/04/12/fastn-curious-francois-saltiel

    Dans le cadre des journées des libertés numériques, François Saltiel a animé, au Concorde, la ciné-conférence : La société du sans-contact est-elle inéluctable ?
    Il a également gentiment accepté de se prêter au jeu d’une interview rapide et curieuse qu nous vous dévoilons ici.

    #François_Saltiel

  • Hashtag – Publictionnaire
    http://publictionnaire.huma-num.fr/notice/hashtag

    Excellent synthèse sur les hashtags par Bérengère Stassin (dans le non moins excellent « Publictionnaire » de l’Université de Nancy).

    Le hashtag (en français : mot-dièse) est apparu sur Twitter en 2007, à l’initiative de Chris Messina, consultant en marketing digital. Son usage s’est ensuite étendu à d’autres plateformes comme Facebook, Instagram ou LinkedIn. Tout comme le tag (en français : mot clé ou mot-clic), il permet d’indexer des contenus et de regrouper ceux qui ont été indexés de la même manière. Relevant de la folksonomie, il constitue un outil d’indexation dite « sociale » et peut être appréhendé selon ses fonctions info-documentaires. Ce « technolangage » (Paveau, 2013) propre au web 2.0 se compose d’un mot ─ ou d’un groupe de mots rédigé sans espace ─ cliquable et précédé d’un croisillon : #harcèlement, #petitdejeunerhealthy. Il est donc également possible de l’appréhender selon ses différentes formes morphosyntaxiques, ses fonctions sémantiques et ses visées pragmatiques (Jackiewicz, Vidak, 2014). Parmi ces visées se trouve la possibilité d’offrir aux publics du web un nouveau moyen de s’exprimer sur un sujet qui les affecte ou qui les interpelle, d’exprimer leur solidarité autour d’un événement (#jesuischarlie), de témoigner d’une discrimination ou d’une violence subie (#blacklivesmatter, #metoo).

    #Hashtags #Folksonomies #Bérengère_Stassin

    • Je ne le vois jamais rappelé, mais l’utilisation du hashtag sur le Web existait déjà pour créer les ancres à l’intérieur des pages Web : en plus de faire le lien vers l’URL d’une page, il est possible de faire un lien vers un endroit spécifique d’une page.

      C’est encore systématique sur Wikipédia, d’ailleurs, de façon très old school, puisqu’il s’agit bien d’avoir une sorte de « table des matières » en début d’article, qui pointe vers les endroits précis de cette page longue :
      https://fr.wikipedia.org/wiki/Hashtag#Émergence_du_hashtag_sur_les_réseaux_sociaux

      Le lien ici est #Émergence_du_hashtag_sur_les_réseaux_sociaux

      Or l’utilisation très fréquente dans le « vieux » Web des ancres internes aux pages, à la manière d’une entrée de dictionnaire, je pense que c’est un précurseur à l’utilisation « thématique » des hashtags. Certes ça semble un usage très « technique », mais encore aujourd’hui, un lien vers une telle ancre apparaît visuellement à l’écran sous forme de lien clairement identifié par son intitulé (je veux dire par là que, autant une note de bas de page se fait vers #nb3 sans trop de difficulté, autant une ancre « thématique », ici, n’est pas une très anonyme « #ancre12 », mais bien « #Emergence_du_hastag… ») :

      Et on a les mêmes limitations liées à leur aspect technique (notamment : pas d’espace dans le hashtag, alors on met des tirets et des underscores).

  • Avec « Mulan », « non seulement Disney s’affranchit de la sortie en salle, mais il fait payer le prix fort à ses fans »
    https://www.lemonde.fr/economie/article/2020/09/08/avec-mulan-non-seulement-disney-s-affranchit-de-la-sortie-en-salle-mais-il-f

    Ce film-phare de l’année pour Disney, dont la production a coûté près de 200 millions de dollars, est sorti en effet uniquement sur le site de visionnage en ligne (streaming) Disney+. Un pari d’autant plus audacieux que la société a décidé de faire payer le film 30 dollars, en surcroît de l’abonnement au site de sept dollars par mois. Il est aussi en vente sur les plates-formes Apple, Google, Roku et Amazon.
    Une stratégie originale

    Non seulement le créateur de Mickey s’affranchit de la sortie en salle, mais il fait payer le prix fort à ses fans. Même si, en contrepartie, il promet l’accès libre sur le site dès le mois de décembre, date de la sortie en France. Le film finira par sortir également en salle, notamment en Chine, le 11 septembre, et dans les autres pays où Disney+ n’est pas accessible. Cette stratégie originale bouscule l’ordonnancement bien réglé qui voulait qu’un film fasse des premières armes sur le grand écran avant de connaître plus tard une nouvelle carrière en vidéo et à la télévision. En France, cette traditionnelle « chronologie des médias » fait même l’objet d’une loi. Tout cela vole en éclats et la crise sanitaire a accéléré le basculement.

    #Mulan #Disney #Culture #Mouvements_sociaux #Hashtag

    • 30 dollars en plus de l’abonnement qui te promettait, justement, l’accès au catalogue Disney et Star Wars ?

      On peut déjà prévoir que, début 2021, Disney lancera une grande campagne pour dénoncer l’échange de films sur BitTorrent et les méchants pirates de l’internet.

  • Levée de boucliers contre Mulan, l’héroïne chinoise de Disney
    https://www.lemonde.fr/international/article/2020/09/09/levee-de-boucliers-contre-mulan-l-heroine-chinoise-de-disney_6051460_3210.ht

    Non contente d’avoir mobilisé contre elle une coalition de militants prodémocratie de Hongkong, de Taïwan et de Thaïlande, la deuxième adaptation de Mulan par Disney, disponible le 4 décembre sur le site de vidéo à la demande Disney+, est dans le collimateur des défenseurs du peuple ouïgour, la minorité opprimée du Xinjiang, où une partie du tournage du film a eu lieu.
    Lire aussi A Hongkong, la recherche de la « vraie Mulan »

    Le générique de Mulan remercie les départements de la propagande du Parti communiste de la région autonome du Xinjiang, celui de la ville de Turpan ainsi que son bureau de sécurité publique, c’est-à-dire la police. En soi, rien de très étonnant : la plupart des grands films d’action se passant en Chine sont tournés au Xinjiang, qui offre des paysages exceptionnels de montagnes et de déserts. Avec, comme il se doit, l’imprimatur des bureaux de propagande et de police.

    Mais la répression féroce par la Chine des Ouïgours, après avoir été ignorée pendant des années, ne laisse plus indifférent. Sur Twitter ou Facebook, des défenseurs des droits de l’homme en Occident et en Asie, mais aussi de nombreux Ouïgours en exil, pointent le fait que le studio américain a de fait collaboré avec une entité, la police, qui est complice d’actes extrêmement graves contre le peuple ouïgour, comme l’internement de masse de plus d’un million de personnes. Ces crimes font l’objet de plusieurs lois votées par le Congrès américain pour punir les plus hauts responsables politiques de la région autonome.
    Défenseuse servile de l’Etat chinois

    Mulan raconte l’histoire, très populaire dans le monde chinois, d’une jeune femme qui se déguise en homme pour remplacer son père âgé dans l’armée impériale. Et se distingue au combat contre les envahisseurs. Mais l’actrice chinoise choisie par Disney, Liu Yifei, a cru bon, en août 2019, au plus fort des manifestations antigouvernementales de Hongkong, de déclarer sur Weibo, le Twitter chinois, son soutien à la police du territoire, honnie par les manifestants pour sa brutalité. Une position qui à Hongkong a fait d’elle la défenseuse servile de l’Etat chinois.
    Article réservé à nos abonnés Lire aussi Avec « Mulan », « non seulement Disney s’affranchit de la sortie en salle, mais il fait payer le prix fort à ses fans »

    L’arrestation à Hongkong, le 10 août, d’Agnes Chow, l’une des membres de l’ancien parti politique Demosisto, a ravivé la polémique : les jeunes Hongkongais, qui depuis les propos de Liu Yifei avaient déclaré vouloir boycotter le film, ont décidé de faire d’Agnes Chow « [leur] Mulan », l’héroïne hongkongaise qui se bat contre les barbares du Nord, c’est-à-dire la Chine.

    Ils ont été rejoints par des hordes d’internautes de Taïwan et de Thaïlande, qui s’étaient déjà mobilisés en avril, en pleine épidémie, sous la bannière virtuelle de « #milkteaalliance », l’Alliance du thé au lait, contre les prétentions chinoises à faire partout la loi. Un couple d’acteurs thaïlandais avait alors été pris à partie par les ultranationalistes chinois suite à des déclarations ambiguës, à leurs yeux, sur Taïwan et Hongkong, suscitant en réponse une campagne coordonnée de moqueries.

    Brice Pedroletti

    #Mulan #Disney #Culture #Mouvements_sociaux #Hashtag

  • The Second Act of Social-Media Activism | The New Yorker
    https://www.newyorker.com/culture/cultural-comment/the-second-act-of-social-media-activism

    Un article passionnant qui part des analyses de Zeynep Tufekci pour les reconsidérer à partir des mouvements plus récents.

    Some of this story may seem familiar. In “Twitter and Tear Gas: The Power and Fragility of Networked Protest,” from 2017, the sociologist Zeynep Tufekci examined how a “digitally networked public sphere” had come to shape social movements. Tufekci drew on her own experience of the 2011 Arab uprisings, whose early mobilization of social media set the stage for the protests at Gezi Park, in Istanbul, the Occupy action, in New York City, and the Black Lives Matter movement, in Ferguson. For Tufekci, the use of the Internet linked these various, decentralized uprisings and distinguished them from predecessors such as the nineteen-sixties civil-rights movement. Whereas “older movements had to build their organizing capacity first,” Tufekci argued, “modern networked movements can scale up quickly and take care of all sorts of logistical tasks without building any substantial organizational capacity before the first protest or march.”

    The speed afforded by such protest is, however, as much its peril as its promise. After a swift expansion, spontaneous movements are often prone to what Tufekci calls “tactical freezes.” Because they are often leaderless, and can lack “both the culture and the infrastructure for making collective decisions,” they are left with little room to adjust strategies or negotiate demands. At a more fundamental level, social media’s corporate infrastructure makes such movements vulnerable to coöptation and censorship. Tufekci is clear-eyed about these pitfalls, even as she rejects the broader criticisms of “slacktivism” laid out, for example, by Evgeny Morozov’s “The Net Delusion,” from 2011.

    “Twitter and Tear Gas” remains trenchant about how social media can and cannot enact reform. But movements change, as does technology. Since Tufekci’s book was published, social media has helped represent—and, in some cases, helped organize—the Arab Spring 2.0, France’s “Yellow Vest” movement, Puerto Rico’s RickyLeaks, the 2019 Iranian protests, the Hong Kong protests, and what we might call the B.L.M. uprising of 2020. This last event, still ongoing, has evinced a scale, creativity, and endurance that challenges those skeptical of the Internet’s ability to mediate a movement. As Tufekci notes in her book, the real-world effects of Occupy, the Women’s March, and even Ferguson-era B.L.M. were often underwhelming. By contrast, since George Floyd’s death, cities have cut billions of dollars from police budgets; school districts have severed ties with police; multiple police-reform-and-accountability bills have been introduced in Congress; and cities like Minneapolis have vowed to defund policing. Plenty of work remains, but the link between activism, the Internet, and material action seems to have deepened. What’s changed?

    The current uprisings slot neatly into Tufekci’s story, with one exception. As the flurry of digital activism continues, there is no sense that this movement is unclear about its aims—abolition—or that it might collapse under a tactical freeze. Instead, the many protest guides, syllabi, Webinars, and the like have made clear both the objectives of abolition and the digital savvy of abolitionists. It is a message so legible that even Fox News grasped it with relative ease. Rachel Kuo, an organizer and scholar of digital activism, told me that this clarity has been shaped partly by organizers who increasingly rely on “a combination of digital platforms, whether that’s Google Drive, Signal, Messenger, Slack, or other combinations of software, for collaboration, information storage, resource access, and daily communications.” The public tends to focus, understandably, on the profusion of hashtags and sleek graphics, but Kuo stressed that it was this “back end” work—an inventory of knowledge, a stronger sense of alliance—that has allowed digital activism to “reflect broader concerns and visions around community safety, accessibility, and accountability.” The uprisings might have unfolded organically, but what has sustained them is precisely what many prior networked protests lacked: preëxisting organizations with specific demands for a better world.

    What’s distinct about the current movement is not just the clarity of its messaging, but its ability to convey that message through so much noise. On June 2nd, the music industry launched #BlackoutTuesday, an action against police brutality that involved, among other things, Instagram and Facebook users posting plain black boxes to their accounts. The posts often included the hashtag #BlackLivesMatter; almost immediately, social-media users were inundated with even more posts, which explained why using that hashtag drowned out crucial information about events and resources with a sea of mute boxes. For Meredith Clark, a media-studies professor at the University of Virginia, the response illustrated how the B.L.M. movement had honed its ability to stick to a program, and to correct those who deployed that program naïvely. In 2014, many people had only a thin sense of how a hashtag could organize actions or establish circles of care. Today, “people understand what it means to use a hashtag,” Clark told me. They use “their own social media in a certain way to essentially quiet background noise” and “allow those voices that need to connect with each other the space to do so.” The #BlackoutTuesday affair exemplified an increasing awareness of how digital tactics have material consequences.

    These networks suggest that digital activism has entered a second act, in which the tools of the Internet have been increasingly integrated into the hard-won structure of older movements. Though, as networked protest grows in scale and popularity, it still risks being hijacked by the mainstream. Any urgent circulation of information—the same memes filtering through your Instagram stories, the same looping images retweeted into your timeline—can be numbing, and any shift in the Overton window means that hegemony drifts with it.

    In “Twitter and Tear Gas,” Tufekci wrote, “The Black Lives Matter movement is young, and how it will develop further capacities remains to be seen.” The movement is older now. It has developed its tactics, its messaging, its reach—but perhaps its most striking new capacity is a sharper recognition of social media’s limits. “This movement has mastered what social media is good for,” Deva Woodly, a professor of politics at the New School, told me. “And that’s basically the meme: it’s the headline.” Those memes, Woodley said, help “codify the message” that leads to broader, deeper conversations offline, which, in turn, build on a long history of radical pedagogy. As more and more of us join those conversations, prompted by the words and images we see on our screens, it’s clear that the revolution will not be tweeted—at least, not entirely.

    #Activisme_connecté #Black_lives_matter #Zeynep_Tufekci #Mèmes #Hashtag_movments #Médias_sociaux

  • #VraieFemmeAfricaine, le hashtag qui renverse les clichés sexistes
    https://www.lemonde.fr/afrique/article/2020/03/05/vraiefemmeafricaine-le-hashtag-qui-prend-les-cliches-sexistes-a-contre-pied_

    Reste à savoir si ce #hashtag pourra accélérer le changement des comportements. L’exemple du #Sénégal tendrait à faire pencher la balance côté du « oui » après que #BalanceTonSaïSaï #Dafadoye et #Doyna, (« balance ton porc », « ça suffit ! » et « stop », en wolof) apparus en 2018 et 2019 suites à une série de viols et de féminicides ont contribué à changer dans la loi la qualification du #viol de « #délit » à « #crime », le 30 décembre 2019. Entre 2016 et 2019, 4 320 cas de viol avaient été recensés dans le pays et le combat sur les réseaux sociaux puis dans la rue a aidé à cette transformation majeure. Les auteurs de viol s’exposent désormais à la perpétuité et non plus à cinq à dix ans de prison.

    #femmes #Afrique #sexisme #féminisme #réseaux_sociaux

  • #Incendies en #Australie : les climatosceptiques derrière une grande campagne de #désinformation | LCI
    https://www.lci.fr/planete/incendies-australie-les-climatosceptiques-derriere-une-grande-campagne-de-desinf

    Des chercheurs ont ainsi observé que la crise actuelle avait donné lieu à une campagne de désinformation « sans précédent » dans l’histoire du pays, avec des "#bots" (programmes informatiques qui envoient automatiquement des messages) déployés pour défendre l’idée que les feux ne sont pas liés au réchauffement climatique.

    Alors que des médias, des sites et des hommes politiques conservateurs du monde entier défendent l’idée que les feux seraient en fait criminels, le hashtag #arsonemergency ("urgence incendie criminel") est notamment utilisé en force sur les réseaux sociaux.

    Timothy Graham, expert des médias numériques à l’Université de technologie du Queensland, explique à l’AFP que, selon ses recherches, la moitié des comptes #Twitter utilisant ce #hashtag semblent se comporter comme des « bots » ou des « #trolls », ces internautes publiant des messages intentionnellement provocateurs. « Nos conclusions révèlent un effort concerté pour désinformer le public sur les causes des #feux_de_forêt », indique-t-il. « Cette campagne est sans comparaison dans son ampleur avec ce qu’on a pu voir dans d’autres pays, comme lors de la présidentielle américaine de 2016, mais ce niveau de désinformation en Australie est sans précédent. »

    #climat

  • Macron, Hitler, Marx, Staline, Trump, Lincoln, Jean-Baptiste et Le Monde... (quand l’Absente tue le game !)

    Branle bas de combat ! #Le_Monde aurait osé « la #caricature de trop » ! Comme l’explique brillamment #André_Gunthert sur son « carnet de recherches d’image sociale », cette #Une, grandiloquente et #en_même_temps irrévérencieuse, « vient clore l’impressionnante dégringolade du président Macron »
    http://imagesociale.fr/6975
    seenthissé par @colporteur : https://seenthis.net/messages/747820

    Le récit, commencé en fanfare et qui se clôt sur un champ de bataille, est illustré en couverture du magazine par un photomontage du graphiste Jean-Baptiste Talbourdet

    Mais bien qu’elle contienne toutes les références nécessaires, je ne partage pas les conclusions de cette note, qui prête à l’auteur #Jean-Baptiste_Talbourdet une intension volontairement malveillante sans l’avoir questionné.

    Suite, donc, à cette couverture pour le moins « audacieuse », une shitstorm s’est installée, sur les limites de la représentation du #Chef de l’#État, on croirait presque à un blasphème tant la bronca est générale. #Luc_Bronner, directeur de la rédaction du Monde, oppose un petit justificatif, et c’est là, selon moi, que se joue une couardise dommageable pour tou-te-s :
    https://www.lemonde.fr/m-le-mag/article/2018/12/29/a-nos-lecteurs-a-propos-de-la-une-de-m-le-magazine-du-monde_5403549_4500055.
    Il avait tous les éléments pour faire une démonstration historique avec un filage magistral et ... non, il se réfugie derrière une rapide référence de l’Histoire de l’Art, en bon #sachant, et prend pour exemple... d’autres couvertures du Monde ! En bref, il lâche le choix politique pour une excuse graphique, esthétisante... alors qu’elle-même est issue d’une tradition politique !

    #Hubert_de_Jenlis, en bon chevalier de #Macron, pense porter un coup de grâce par la preuve irréfutable d’un #plagiat de #Lincols_Agnew qui portraitise #Hitler :
    https://twitter.com/HubertdeJenlis/status/1079143667724627968

    Hors, cet portrait a servi pour illustrer un essai ô combien intéressant paru dans le Harpers en juillet 2017 : The Reichstag Fire Next Time, The coming crackdown par #Masha_Gessen :
    https://harpers.org/archive/2017/07/the-reichstag-fire-next-time
    Le portrait, donc, est signé #Lincoln_Agnew et fait partie d’un diptyque où on retrouve donc Hitler :

    Illustrations by Lincoln Agnew. Source photographs: Adolf Hitler © Hulton Archive/Getty Images; crowd saluting Hitler © Visual Studies Workshop/Getty Images

    Mais aussi #Trump, #Putin, #Obama, #Bush :

    Source photographs: Donald Trump © JB Lacroix/WireImage; Vladimir Putin © Mikhail Svetlov/Getty Images; Barack Obama © Ron Sachs-Pool/Getty Images; George W. Bush © Luke Frazza/AFP/Getty Images; protest © Creative Touch Imaging Ltd./NurPhoto/Getty Images; drone © Erik Simonsen/Getty Images

    Ce qui semblait de toute évidence être une copie se révèle, si on prend le temps de lire l’article, puis de chercher les sources d’inspiration de Lincoln Agnew, être un hommage, dans le fil d’une tradition de représentation de la #Puissance et du #Pouvoir de figures d’autorité, dans la _#Droite ligne de #Gauche_ de l’#iconographie #Russe.
    Et il se trouve que Agnew lui-même s’inspire de #Gustav_Klutsis qui portraitise #Marx, #Engels, #Lenine et #Staline de la même manière en... 1933 !

    Gustav Klutsis, Raise Higher the Banner of Marx, Engels, Lenin and Stalin ! 1933

    (L’année même de l’incendie du du Reichstag dont il est question plus haut.) Portrait qu’on peut retrouver dans la superbe exposition de nov 2017 à février 2018 au musée #Tate : Red Star Over Russia at Tate Modern
    https://www.tate.org.uk/whats-on/tate-modern/exhibition/red-star-over-russia
    Il est vraiment intéressant de regarder la vidéo faite par le Tate Modern pour l’exposition : https://youtu.be/Kd_GHlMkwpQ

    qui revient sur

    the story behind graphic designer #David_King's collection of 250,000 artworks, photographs and documents from the Soviet Union.

    Et cette histoire, derrière la collection, c’est le point de départ sur une #Disparition, une #Invisibilisation. Celle de Léon #Trotski. C’est donc l’histoire de la construction de l’image de la Puissance, du Pouvoir, et la représentation de l’Homme Fort, et comment celle-ci écrase tout sur son passage. Pas grand chose à voir donc avec un parti politique particulier, mais bien plus avec une #oppression_systémique, la plus rependue au monde...

    L’affiche de l’expo est peut-être même la première inspiration de la série, et il est troublant de la mettre à côté du portrait de Macron tant les deux visages se répondent ! Elle est datée de 1923 et signée #Strakhov (Braslavsky) Adolf Yosypovych :

    Elle est issue d’une campagne de propagande pour... l’émancipation féminine ! Et ... combien avez-vous vu de #femmes dans cette suite de portraits, jusqu’à présent ? Hein ?!

    Quel dommage ! Quel dommage que les gonades qui s’expriment contre la pseudo-insulte faite au Chef de la France soient quasiment, uniquement, masculines ou assimilées. Quel dommage aussi que pour défendre un choix, d’autres gonades masculines n’osent aller au bout de la filiation. Je n’irait pas jusqu’à dire quel dommage que si peu soient encore #Charlie, mais ceci dit, ça a quand même son sens. L’année 2018 a vu augmenter, terriblement, la pression du #patriarcat, du #masculinisme même, et la #répression, partout : cette fin d’année est maculée de sang sous les coups frénétiques d’un service régalien qui ne fait que protéger un président fantoche dont quasi plus personne ne veut. Et quand, enfin, arrive une occasion de justifier le maintien de leur chef au Pouvoir, la meute de déchaine, écrasant, une fois de plus la continuité des leçons de l’Histoire, de sa contextualisation globale nécessaire, et participe ainsi, encore plus, au #confusionnisme plutôt qu’à l’#éducation_populaire...
    Quelle misère !

    Épilogue : Toute #oppression crée un état de #guerre.
    #Simone_de_Beauvoir, in Le Deuxième #sexe, t.2, L’expérience vécue

  • Qui est Gerda Taro, à laquelle le Doodle du jour rend hommage ?
    01.08.2018 Bruno Labarbère.
    http://mizuwari.fr/index.php/2018/08/01/qui-est-gerda-taro-a-laquelle-le-doodle-du-jour-rend-hommage


    François Maspero « Ombre d’une photographe, Greda Taro »

    Ombre parmi les ombres Gerda Taro a subi le plus cruel destin que puisse connaître les ombres : celui de ne même pas être sa propre ombre, mais celle d’un autre. Pendant plus de soixante ans, quand on cherchait son nom, on le trouvait certes cité des centaines de fois. Mais toujours associé, en quelques lignes, en quelques pages, à l’homme dont elle a un temps partagé la vie. Rien de plus. Fugace passage dans la biographie d’un personnage célèbre, et dont il ne restait que des traces brouillées, confuses, souvent contradictoires, mensongères, parfois même absurdes.

    #Femmes photographes #Gerda Taro #Guerre d’Espagne #Photojournaliste #Robert Capa

  • De l’indignation et de la #Propagande en 280 caractères
    https://reflets.info/de-lindignation-et-de-la-propagande-en-280-caracteres

    Twitter est un logiciel de microblogging mais n’est pas un « réseau social » (terme qui ne signifie pas grand chose si l’on y réfléchit bien) et il génère de nombreux comportements et émotions. L’indignation, menant à […]

    #Tribunes #BalanceTonPorc #débats_de_société #harcèlement_sexuel #hashtag #JeSuisCharlie #propagande_en_démocratie #Twitter

  • Hashtag | WP

    #Hashtag, #Metadata_tag
    https://en.wikipedia.org/wiki/Hashtag

    #Mot-dièse, marqueur de #métadonnées
    https://fr.wikipedia.org/wiki/Hashtag

    #Meta-Kommentierung
    https://de.wikipedia.org/wiki/Hashtag

    [...]

    The pound sign [hashtag /oAnth] was adopted for use within IRC networks circa 1988 to label groups and topics.[9] Channels or topics that are available across an entire IRC network are prefixed with a hash symbol # (as opposed to those local to a server, which use an ampersand ‘&’).[10]

    The use of the pound sign in IRC inspired[11] Chris Messina to propose a similar system to be used on Twitter to tag topics of interest on the #microblogging network.[12] He posted the first hashtag on Twitter:

    How do you feel about using # (pound) for groups. As in #barcamp [msg]?
    — Chris Messina, ("factoryjoe"), August 23, 2007[13]

    Messina’s suggestion to use the hashtag was not adopted by Twitter, but the practice took off after hashtags were widely used in tweets relating to the 2007 San Diego forest fires in Southern California.[14][15]

    According to Messina, he suggested use of the hashtag to make it easy for “lay” users to search for content and find specific relevant updates; they are for people who do not have the technological knowledge to navigate the site. Therefore, the hashtag “was created organically by Twitter users as a way to categorize messages." [16]

    Internationally, the hashtag became a practice of writing style for Twitter posts during the 2009–2010 Iranian election protests; Twitter users inside and outside Iran used both English- and Persian-language hashtags in communications during the events.[17]

    The first published use of the term “hash tag” was in a blog post by Stowe Boyd, “Hash Tags = Twitter Groupings,”[18] on August 26, 2007, according to lexicographer Ben Zimmer, chair of the American Dialect Society’s New Words Committee.

    Beginning July 2, 2009,[19] Twitter began to #hyperlink all hashtags in tweets to Twitter search results for the hashtagged word (and for the standard spelling of commonly misspelled words). In 2010, Twitter introduced “Trending Topics” on the Twitter front page, displaying hashtags that are rapidly becoming popular. Twitter has an algorithm to tackle attempts to spam the trending list and ensure that hashtags trend naturally.[20]

    Although the hashtag started out most popularly on Twitter as the main social media platform for this use, the use has extended to other social media sites including Instagram, Facebook, Flickr, Tumblr, and Google+.[21]

    […]

    #Style

    On #microblogging or #social_networking sites, hashtags can be inserted anywhere within a sentence, either preceding it, following it as a postscript, or being included as a word within the sentence (e.g. “It is [hushtag]sunny today”).

    The quantity of hashtags used in a post or tweet is just as important as the types of hashtags used. It is currently considered acceptable to tag a post once when contributing to a specific conversation. Two hashtags are considered acceptable when adding a location to the conversation. Three hashtags are seen by some as the “absolute maximum”, and any contribution exceeding this risks “raising the ire of the community.”[24]

    As well as frustrating other users, the misuse of hashtags can lead to account suspensions. Twitter warns that adding hashtags to unrelated tweets, or repeated use of the same hashtag without adding to a conversation, could cause an account to be filtered from search, or even suspended.

    […]

    via https://diasp.eu/p/5930657

    #histoire_numérique #signe_fonctionel #fonction_formatique #usage #réseaux_sociaux #métadonnées

  • #seenthis_fonctionnalités Les #hashtags, hiérarchisés

    Bon, les hashtags sont désormais omniprésent, je ne pense pas que ce soit particulièrement une caractéristique de Seenthis.

    En revanche, il y a l’aspect hiérarchisé qui est marrant : les messages avec le hashtag #seenthis_fonctionnalités apparaissent aussi dans la page du hashtag #seenthis_fonctionnalité, et du hashtag #seenthis, et #seen… On peut par exemple préciser #spip-3.1, ou #spip-3 ou juste #spip, et ça fera une hiérarchie. On a une série avec #ghost et autres endroits abandonnés…

    Et par ailleurs on a un système de thématisation automatique, qui tourne avec l’API Reuters (OpenCalais), qui produit des hashtags automatiquement.

    Et enfin on peut s’abonner (« suivre ») des hashtags (pas seulement des @auteurs). Si on suit un hashtag, dans la logique des hashtags hiérarchisés, on voit aussi passer les enfants de son hashtag. Ça me semble particulièrement intéressant, parce qu’on peut taguer de manière précise (#spip-3.1), mais suivre de manière plus générale (#spip tout court).

    • Commentaire : j’aime bien l’idée des hashtags hiérarchisés, et je trouve particulièrement élégant le principe de taguer précisément et de suivre plus largement. Mais après, dans la pratique, je ne suis pas certain que ce soit très important. En dehors de #spip, je n’ai pas vu autre chose qui tourne comme ça.

      Sur le fait de pouvoir s’abonner à un hashtag, très bien. Mais notre communauté étant très petite, là encore dans la pratique, ce n’est pas forcément indispensable. Si on avait le nombre de participants de Mastodon, ça deviendrait sans doute plus pertinent, du coup :-))

      Quant à la thématisation automatique, ça fonctionne surtout bien en anglais (c’est censé fonctionner aussi en français, mais ça ne semble pas donner des résultats très spectaculaires), sur certains sujets. Genre dans le flux de @nidal, c’est fonctionne très bien parce qu’on y parle de pays, de villes, de mouvements politiques… qu’OpenCalais identifie plutôt bien.

      L’autre aspect problématique, c’est qu’on dépend là d’une API propriétaire, et qu’on n’a pas franchement de concurrent même propriétaire. Je me souviens que @fil avait évoqué des choses libres, mais est-ce que ça fonctionne bien ?

    • Moi je trouve ça très bien la hiérarchie, ne serait-ce que pour les problèmes de pluriels ou autres tags pas tout à fait écrits pareil.

      C’est une des méthodes pour organiser l’énorme bordel que sont les tags libres. Dans d’autres systèmes (Stackoverflow il me semble par ex), il y a des fonctionnalités de fusion des tags, administrable par des admins et par celleux qui ont beaucoup de points. C’est une autre méthode. Mais si on laisse tout libre, alors ce système de hiérarchie limite les dégâts de l’éparpillement.

      Et je m’abonne à quelques tags (dont « ghost », pour avoir toutes les variantes).

    • Pouvoir construire son propre flux (ou sa newsletter) serait vraiment bien. La page « Thèmes », c’est ce qui m’a permis de garder le contact avec Seenthis (@7h36 est vraiment précieux aussi pour ça) et de me motiver à venir éplucher une fois par mois la 20aine de tags que j’essaie de suivre.

      Par contre c’est pas évident de savoir quoi suivre parce qu’il n’y a pas de page qui permettrait d’explorer tous les tags et de capter leur hiérarchie, ou encore de voir les articles les plus « favorisés » sur tel ou tel tag (dans l’esprit de Delicious), ou « favorisés » par celles et ceux qu’on suit uniquement. Ou encore une bête liste des « tags » les plus utilisés en ce moment.

      Quand ne on suit pas Seenthis au jour le jour, c’est compliqué de saisir les nouveaux usages qui pourrait peut-être nous intéresser.

      Merci en tout cas pour ces #seenthis_fonctionnalités, c’est vraiment super classe de capter la richesse de cet outil et sa conception.

  • C’est quoi, Seenthis ? - SeenThis
    https://seenthis.net/fran%C3%A7ais/article/c-est-quoi-seenthis
    Voici la traduction allemande. Depuis la publication de ce texte #Seenthis a évolué et il me semble qu’il faudrait le corriger un peu. C’est que je me suis d’ailleurs permis de faire dans la traduction.

    Was ist Seenthis?

    Seenthis ermöglicht ein persönliches Blog aus Kurzbeiträgen zu führen. Es dient vor allem dem Verfolgen und Ordnen von aktuellen News. Zu diesem Zweck stellt Seenthis in erster Linie Werkzeuge zum Verlinken, Zitieren und Kommentieren bereit, und ergänzt sie durch eine zweckmäßige automatische Formatierung der Texte.

    Ziel von Seenthis ist hauptsächlich das gegenseitige Empfehlen von Links als Informationsaustausch auf Augenhöhe.

    Das integrierte Forensystem ermöglicht den Teilnehmern konstruktiven Meinungsaustausch in öffentlichen Diskussionen. Das leistungsfähiges Schlagwort- und Hashtagsystem von Seenthis vereinfacht den Aufbau von Dokumenten- und Themensammlungen.

    Short-Blogging

    Seenthis basiert auf dem Konzept des „Short-Blogging“: Gebloggt werden Links und Verweise, unterstützt durch Automatismen zum einfachen Anlegen von Zitaten und zugehörigen Kommentaren.

    Das Seenthis-System beschleunigt drei grundlegende Aktionen dieses Blogging-Typs:
    — Websites verlinken,
    — aus ihnen zitieren,
    — eigene Kommentare schreiben.

    Das geschieht unmittelbar im „Textmodus“ im Eingabefenster der Beiträge.
    — eine Adresse im Format http:// wird automatisch in einen aktiven Hyperlink umgewandelt,
    — ein von An- und Abführungszeichen umschlossener Text-Absatz wird in einen Zitat-Block umgewandelt, der klar vom restlichen Text abgesetzt ist.

    Dabei stellt das System automatisch eine ordentliche Typographie sicher. Neben anderen Korrekturen führt es, wo angebracht, geschützte Leerzeichen, typographische Apostrophs und franösische Anführungszeichen in den Text ein. Zeilenumbrüche und Absatzwechsel werden ebenfalls respektiert.

    Seenthis hebt sich deutlich von Blog- und Micro-Blog-Systemen ab:

    News-Tracking und Themensammlung

    Seenthis bietet eine Reihe Automatismen, die News-Tracking und Themensammlung vereinfachen.

    –>Die #Themen

    Blogbeiträge können mit #Hashtags Themengruppen zugeordnet werden. Ein Begriff, der mit einer Raute, auch Doppelkreuz genannt, beginnt, wird zu einem Thema.

    Der Einsatz von #Hashtags auf Seenthis bietet zahlreiche fortgeschrittene Möglichkeiten:
    — sie funktionieren mit allen Buchstaben, nicht nur mit ASCII-Zeichen; insbesondere wird die Verwendung von kyrillischen und arabischen Zeichen unterstützt.
    — Die Themenbezeichnungen können Punkte, Binde- und Unterstriche enthalten, so dass Ausdrücke wie #spip-2.1.2 oder #iran_wahlen möglich sind.
    — last not least werden Themen automatisch zu hierarchischen Unterthemen auf Grundlage der Buchstaben, die ihre Bezeichnung bilden. So gehört das Thema #spip-2.1.2 zum übergeordneten Thema #spip-2, das wiederum Teil der Themengruppe #spip ist.

    Damit besteht die Möglichkeit, durch intelligentWas ist Seenthis?

    Seenthis ermöglicht ein persönliches Blog aus Kurzbeiträgen zu führen. Es dient vor allem dem Verfolgen und Ordnen von aktuellen News. Zu diesem Zweck stellt Seenthis in erster Linie Werkzeuge zum Verlinken, Zitieren und Kommentieren bereit, und ergänzt sie durch eine zweckmäßige automatische Formatierung der Texte.

    Ziel von Seenthis ist hauptsächlich das gegenseitige Empfehlen von Links als Informationsaustausch auf Augenhöhe.

    Das integrierte Forensystem ermöglicht den Teilnehmern konstruktiven Meinungsaustausch in öffentlichen Diskussionen. Das leistungsfähiges Schlagwort- und Hashtagsystem von Seenthis vereinfacht den Aufbau von Dokumenten- und Themensammlungen.

    Short-Blogging

    Seenthis basiert auf dem Konzept des „Short-Blogging“: Gebloggt werden Links und Verweise, unterstützt durch Automatismen zum einfachen Anlegen von Zitaten und zugehörigen Kommentaren.

    Das Seenthis-System beschleunigt drei grundlegende Aktionen dieses Blogging-Typs:
    — Websites verlinken,
    — aus ihnen zitieren,
    — eigene Kommentare schreiben.

    Das geschieht unmittelbar im „Textmodus“ im Eingabefenster der Beiträge.
    — eine Adresse im Format http:// wird automatisch in einen aktiven Hyperlink umgewandelt,
    — ein von An- und Abführungszeichen umschlossener Text-Absatz wird in einen Zitat-Block umgewandelt, der klar vom restlichen Text abgesetzt ist.

    Dabei stellt das System automatisch eine ordentliche Typographie sicher. Neben anderen Korrekturen führt es, wo angebracht, geschützte Leerzeichen, typographische Apostrophs und franösische Anführungszeichen in den Text ein. Zeilenumbrüche und Absatzwechsel werden ebenfalls respektiert.

    Seenthis hebt sich deutlich von Blog- und Micro-Blog-Systemen ab:

    News-Tracking und Themensammlung

    Seenthis bietet eine Reihe Automatismen, die News-Tracking und Themensammlung vereinfachen.

    –>Die #Themen

    Blogbeiträge können mit #Hashtags Themengruppen zugeordnet werden. Ein Begriff, der mit einer Raute, auch Doppelkreuz genannt, beginnt, wird zu einem Thema.

    Der Einsatz von #Hashtags auf Seenthis bietet zahlreiche fortgeschrittene Möglichkeiten:
    — sie funktionieren mit allen Buchstaben, nicht nur mit ASCII-Zeichen; insbesondere wird die Verwendung von kyrillischen und arabischen Zeichen unterstützt.
    — Die Themenbezeichnungen können Punkte, Binde- und Unterstriche enthalten, so dass Ausdrücke wie #spip-2.1.2 oder #iran_wahlen möglich sind.
    — last not least werden Themen automatisch zu hierarchischen Unterthemen auf Grundlage der Buchstaben, die ihre Bezeichnung bilden. So gehört das Thema #spip-2.1.2 zum übergeordneten Thema #spip-2, das wiederum Teil der Themengruppe #spip ist.

    Damit besteht die Möglichkeit, durch intelligenten Einsatz von #Themen eine fein strukturierte Datenbasis zu schaffen, sowie automatisch über neue Beiträge zum Thema #spip-2.1.2 benachrichtigt zu werden, indem man dem Thema #spip folgt.

    –> Hierarchische Hyperlinks
    Hyperlinks werden ebanfalls hierarchisch gegliedert. So können alle Beiträge aufgefunden werden, die eine bestimmte WWW-Seite zitieren oder auch alle Verweise auf alle verschiedenen referenzierten Seiten einer Website.

    Wie bei den Theman kann man:
    — eine einzelne Information auf einer einzelenen Seite einer Website referenzieren
    — allen Erwähnungen von Seiten einer ganzen Website folgen.

    –> Informationen folgen

    Bei Seenthis eingetragen Mitglieder stehen Abonnement-Werkzeuge zur Verfügung, um nach Inhalt gefliterte Beiträge automatisch automatisch in ihre eigene Website oder ihre Newsfeeds zu übernehmen. Die Auswahl erfogt nach
    — Autoren,
    — Themen,
    — Websites.

    Öffentliche Diskussionen

    Seenthis ergänzt jeden Beitrag um ein Forum. Diese Foren werden hervorgehoben, denn sie ermöglichen das Kommentieren und Verschlagworten der Beiträge mit Hashtags sowie öffentliche Diskussionen. Diese persönlichen Gespräche finden immer öffentlich statt.

    Linkempfehlungen unter Mitgliedern

    Alle beschriebenen Funktionen erleichtern das Empfehlen von Links und Ressourcen innerhalb der Nutzergemeinde. Das stellt die zentrale Funktion von Seenthis dar.
    en Einsatz von #Themen eine fein strukturierte Datenbasis zu schaffen, sowie automatisch über neue Beiträge zum Thema #spip-2.1.2 benachrichtigt zu werden, indem man dem Thema #spip folgt.

    –> Hierarchische Hyperlinks
    Hyperlinks werden ebanfalls hierarchisch gegliedert. So können alle Beiträge aufgefunden werden, die eine bestimmte WWW-Seite zitieren oder auch alle Verweise auf alle verschiedenen referenzierten Seiten einer Website.

    Wie bei den Theman kann man:
    — eine einzelne Information auf einer einzelenen Seite einer Website referenzieren
    — allen Erwähnungen von Seiten einer ganzen Website folgen.

    –> Informationen folgen

    Bei Seenthis eingetragen Mitglieder stehen Abonnement-Werkzeuge zur Verfügung, um nach Inhalt gefliterte Beiträge automatisch automatisch in ihre eigene Website oder ihre Newsfeeds zu übernehmen. Die Auswahl erfogt nach
    — Autoren,
    — Themen,
    — Websites.

    Öffentliche Diskussionen

    Seenthis ergänzt jeden Beitrag um ein Forum. Diese Foren werden hervorgehoben, denn sie ermöglichen das Kommentieren und Verschlagworten der Beiträge mit Hashtags sowie öffentliche Diskussionen. Diese persönlichen Gespräche finden immer öffentlich statt.

    Linkempfehlungen unter Mitgliedern

    Alle beschriebenen Funktionen erleichtern das Empfehlen von Links und Ressourcen innerhalb der Nutzergemeinde. Das stellt die zentrale Funktion von Seenthis dar.

    Est-ce que c’est possible de rajouter à Seenthis le texte allemand sous son propre URL et de l’afficher aux visiteurs utilisant un « brouteur » ou système d’exploitation allemand ?

    @fil

    • La traduction automatique n’est pas mentionnée dans le texte initial. Pourtant elle constitue un élément essentiel de Seenthis même si nous ne l’utilisons qu’exeptionnellement. J’ai donc ajouté deux phrases à propos du multilinguisme.

      Automatische Übersetzungen

      Seenthis bringt Menschen aus unterschiedlichen Ländern und Kulturen zusammen. Den Austausch unter ihnen unterstützt die automatische Übersetzung der Zitate für angemeldete Mitglieder.

    • Avec le peu de droits que j’ai je ne vois que les rubriques Francais (2), Mentions (3) et Sites (1).
      On pourrait créer une traduction de l’article 3 (10. C’est quoi, Seenthis ?) dans une nouvelle rubrique Allemand/Deutsch.

      Est-ce que c#est compatible avec la structure de Seenthis ?

      Actuellement j’essaye de populariser l’approche Seenthis pour me débarasser des innombrables listes de diffusion auxquelles on m’abonne et qui font exploser ma boîte mail alors que je n’ai strictement rien à faire de la plupart des messages. Ces infos constitueraient de jolis billets Seenthis et seraint très utiles comme partie d’une archive crée avec des #hashtag . Dans ma boîte mail il me pourrissent la vie à cause de l’absence d’un formatage unique et parce que je n’ai pas le temps de les classer dans des catégories ou par des hashtag.

      P.S. Je vois que Seenthis tourne toujours sous #SPIP 2.1.29 - à quand la documentation sur comment mettre en place des instances Seenthis sous SPIP 3.n.n ? Ce serait un beau sujet pour le #SPIPoulet prochain.

  • It isn’t a highway and it doesn’t have lanes |

    http://dreamcafe.com/2017/02/27/it-isnt-a-highway-and-it-doesnt-have-lanes

    It isn’t a highway and it doesn’t have lanes

    27 February 2017 | 63 Comments

    By Steven Brust

    As long as there is class society in general and capitalism in particular there will be conflict between art and commercialism. How could their not be? In a society in which money is tied to fame and those two things combine into the official social measure of quality, any artist (in the broadest sense of the term) with a hint of self-awareness combined with the least shred of integrity has to, at some point, confront the issue.

    While there are those who write to live, many of us live to write. Commercial success means less time doing a day job that perhaps we hate, and more time for our passion. To be sure, some of us—I include myself—have, simply because of luck, never had to face the choice between writing what satisfies us, and writing what will generate income. But for many, it can be a constant and difficult choice.

    #hashtag_à_venir

  • Le FBI sur la voie de destitution du genre « Watergate », une fois Clinton élue
    http://www.argotheme.com/organecyberpresse/spip.php?article2946

    11 jours avant l’élection présidentielle du 8 novembre aux Etas-Unis, le FBI a balancé une nouvelle accusation contre la candidate, donnée gagnante d’avance. C’est un inconvénient important dans sa campagne, dès lors les mots en #Hashtag de la déclaration du directeur de la police fédérale comporte : #enquête - #FBI et #Clinton servent à déterminer de graves erreurs, passibles d’inculpations majeures. Une aubaine pour son adversaire, Donald Trump. Les nouveaux éléments démontrent on pas le manque de (...)

    Actualité, événement, opinion, intérêt général, information, scoop, primauté

    / censure, presse, journaux, dictature, expressions, liberté, journaliste, poète, poésie, livre, écrits, #diplomatie,_sécurité,_commerce,_économie_mondiale, #crise,_capitalisme,_économie,_justice,_Bourse, économie, politique, (...)

    #Actualité,événement,_opinion,_intérêt_général,_information,_scoop,_primauté #censure,_presse,_journaux,_dictature,_expressions,_liberté #_journaliste,_poète,_poésie,_livre,_écrits #économie,_politique,_arts,_corruption,_opposition,_démocratie #Obama,_USA,_Israël,_Proche-Orient,_Palestine

  • Provinz als Kulturbewahrer
    https://seenthis.net/messages/525817


    @Taxi hat einen neuen #hashtag nämlich #Provinz . Darunter findet nichts statt, worauf der Inhaber eines Abonnements bei den Berliner Philharmonikern stolz wäre, aber die netten Abartigkeiten des Lebens halten dort länger als in Berlin und anderen echten Städten. Schon mal was von #Wacken gehört, laut genug isses ja ? #Punk hat scheinbar auch einen Alterssitz in der Provinz gefunden, irgenwo musser ja hin.

    Bildquelle: https://www.flickr.com/photos/mararie

    Flickr

    #Kultur #Philharmonie

  • Lutter contre la #haine sur le net - Slideshare
    http://alireailleurs.tumblr.com/post/141594188418

    L’indispensable Olivier Ertzscheid (blog, @affordanceinfo), maître de conférence en sciences de l’information et de la communication à la Roche-sur-Yon, publie sur Slideshare une présentation réalisée pour ses étudiants à l’occasion des assises de la lutte contre la haine sur internet. Une présentation qui met en perspective les questions de droit en rapport des discours de haine sur le net, insistant sur l’ouverture nécessaire d’un #dialogue entre les #plateformes et leurs utilisateurs pour “mettre en délibéré la partie du code qui relève de l’éditorialisation” des contenus qui posent problèmes. A lire !