• Intermittents du spectacle : « L’usine à gaz de l’année blanche est remplacée par une autre usine à gaz »
    https://www.franceculture.fr/societe/intermittents-du-spectacle-lusine-a-gaz-de-lannee-blanche-est-remplace

    Les mois qui viennent sont importants puisque 2022 est supposée être l’année de fin de la convention actuelle, des règles actuelles. C’est une situation politique dans laquelle les intermittents du spectacle vont avoir des difficultés, en étant en porte-à-faux contre le gouvernement, avec la possibilité d’être dans des dispositifs contre lesquels ils ont toujours lutté : se retrouver dans une caisse spécifique, une sorte de « réserve d’indiens » autofinancée, loin de la solidarité interprofessionnelle de l’assurance chômage. Une caisse qui serait nécessairement fragile parce que financée uniquement soit par des subventions étatiques, soit par des cotisations de gens qui sont eux-mêmes pour partie chômeurs, qui ont à la fois des prestations et des cotisations. On risque donc de se retrouver dans une situation de fragilité extrême qui pourrait amener des logiques malthusienne, élitiste pour sélectionner - comme cela a déjà été tenté en 2003 - les "bons et les mauvais", les « vrais et les faux » et pour diminuer le nombre d’intermittents. 

    Les annexes 8 et 10 pourraient mourir, non pas de leur suppression, mais de la fin de l’assurance chômage « tout court » et donc d’un système fondé sur cette solidarité interprofessionnelle qui permet, par cette solidarité large à l’échelle de tout le salariat, de faire vivre ce dispositif de flexisécurité pour assurer à ceux qui sont dans la précarité de l’emploi, un petit peu de continuité de revenu. 

    Les annexes 8 et 10 représentent 1,3 milliards d’euros de prestations. Le budget du ministère de la Culture est de 3,8 milliards. Si on demandait au ministère de la Culture d’assumer ces prestations, soit environ un tiers de son budget actuel, ce serait astronomique par rapport à sa taille relativement modeste. Par ricochet, cela poserait donc aussi un problème sur le système tout entier.

    #droitauchômage #intermittents_du_spectacle

    • Comment analysez-vous la décision prise dès mars 2020 d’accorder ce qui est devenue l’"année blanche" pour les intermittents du spectacle ? A-t-elle été bien pensée dès le départ ?

      Cette décision a été pensée en urgence et elle a été une traduction de la parole présidentielle. On se souvient de cette réunion un peu survoltée au cours de laquelle le chef de l’État Emmanuel Macron encourageait les uns et les autres à enfourcher le tigre ! Cette parole s’est traduite par une prolongation des droits des intermittents, mais jusqu’à une date précise. Cela a provoqué des inégalités extrêmement fortes, entre ceux qui avaient renouvelé leurs droits récemment et ceux qui les avaient renouvelés de manière beaucoup plus ancienne, avec la création d’une sorte d’usine à gaz, alors qu’il aurait été plus simple de prolonger les droits d’un an pour tout le monde.

  • Occupation Odéon

    L’Occupation Odéon au 09 avril 2021, c’est 102 lieux occupés

    Un bref rappel des revendications :
    – La prolongation de l’année blanche, et son extension à tous les intermittent·e·s de l’emploi.
    – L’abandon définitif de la réforme de l’assurance chômage qui prétend faire 1,3 milliard d’économie sur le dos des plus précaires.
    – Le maintien et la sauvegarde de nos droits sociaux, dont notamment :
    1/ le droit à Allocation Journalière en cas de grossesse ou de maladie pour tous les salarié·e·s à emploi discontinu ;
    2/ un soutien financier pour les caisses sociales spécifiques du spectacle, fragilisées par la baisse de leurs recettes, basées sur l’activité (Afdas, CMB, Audiens Prévoyance, Congés Spectacle).
    – Des mesures d’urgence d’aide à l’emploi immédiat pour les salariée·s du spectacle vivant et enregistré.
    – Un véritable plan de relance ambitieux dans nos secteurs, assujetti à des mesures en faveur de l’emploi des artistes interprètes.
    – Une réelle visibilité sur les conditions de l’ouverture des lieux culturels dans le respect des mesures sanitaires... https://www.philippepillavoine.com/leblog/2021/04/11/occupation-odeon

    #Année_blanche #cagnotte #chômage #assurance_chômage #intermittence #Intermittents_du_spectacle #occupation #Occupation_Odéon #Occupation_Partout #Odéon #Paris #Réforme #revue_de_presse #théâtre #widget #Pearltrees

  • Rennes : Un conseiller #Pôle_emploi menacé de licenciement pour avoir aidé des chômeurs
    https://www.20minutes.fr/societe/2803595-20200619-rennes-conseiller-pole-emploi-menace-licenciement-avoir-a

    C’est en 2014 que Yann Gaudin a identifié une première « anomalie ». Elle concerne les #intermittents_du_spectacle en fin de droits qui pouvaient alors prétendre à une aide spécifique de solidarité d’un montant de 324 €. Sauf que le conseiller a découvert que le dossier de demande ne leur était pas transmis, les privant ainsi de cette #aide. Pour les informer de leurs droits, Yann Gaudin a alors rédigé un mail à 8.000 intermittents bretons. Une initiative qui n’a pas beaucoup plus à sa direction et lui a valu une première convocation. « A partir de là, j’ai commencé à me méfier et à tout vérifier », indique le conseiller.

  • Intermittents du spectacle et intermittents de l’emploi : Luttons Pour ne Pas Mourir* #LPPM
    https://www.youtube.com/watch?v=EX1aI8ElliA

    ACTION DU 1er MAI
    Pour la première fois, nous avons réunis intermittents du spectacle et intermittents de l’emploi (Maîtres d’hôtel, restauration, ..) tous condamnés à la pauvreté.
    Les mesures d’urgence que nous réclamons ne sont pas discutables, elles sont vitales.

    Intermittence du spectacle sous Covid-19
    https://seenthis.net/messages/848451

    #intermittents_du_spectacle #intermittents_de_l'emploi #DroitAuChômage

    • Nous produisons, nous décidons, c’est beau comme le communisme. Et pourtant. Prenons la chose par un autre bout, là où la CGT EDF décide de tout, et l’écart revendiqué se résorbe pour échouer dans la normalité, y compris sous ses formes les plus abjectes.
      La caisse centrale de l’action sociale d’EDF GDF du comité d’entreprise EDF GDF est financée par 1% des recettes de ces entreprises. Contrairement aux autres comités d’entreprise, celui-ci est dirigé exclusivement par les représentants du personnel. Quelle belle exception ! Le patron c’est la CGT, le syndicat maison, c’est la CGT. Avec les privatisations, le nombre de centres de vacances de ce qui fut longtemps le premier employeur de #saisonniers de France a diminué de 40%, passant de 600 à moins de 400 structures (à la louche). La CCAS reste néanmoins un des employeurs d’#intermittents_du_spectacle les plus appréciés. Obtenir un contrat pour une tournée nationale de projections de films, de concerts ou de représentations en ces lieux, c’est s’assurer de bons nombre de cachets pour ouvrir droit au chômage. Dans ces centres prédomine une gestion féodale de personnes dépendants des salaires versés (agents techniques, personnels de salle, ouvriers, #animateurs). Dans des régions où l’emploi est rare, on aura à coeur de garder le sien ou de ne pas hypothéquer la saison, le contrat d’après. Un machisme étouffant y règne (observez une fois le SO central de la CGT et complétez le tableau pour entrevoir leurs moeurs au quotidien), jusqu’à un informel et aléatoire droit de cuissage. On y gouverne le personnel par la trouille, l’humiliation, et depuis que le harcèlement est devenu un délit, quelques « affaires » encombrent les instances de direction. Les centres locaux n’ont pas le monopole de ces rapports de pouvoir, après avoir été harcelée, une employée du siège à Montreuil s’est suicidée. Les direction territoriales font la promotion de k’égalité hommes femmes, du féminisme (campagne d’office et d’info tout à fait réussies), pendant qu’elles ont à mettre sous le tapis de nombreuses situations où des femmes employées par la CCAS sont violentées par leur hiérarchie, avec des directeurs de centres qui pratiquent l’humiliation privée et publique (un théâtre destiné à faire obéir tous les autres).

      À ce gouvernement par la peur s’adjoint un lien plus intégrateur, une connivence des subalternes avec les directeurs et le fonctionnement des centres locaux, obtenue par corruption croisée des uns et des autres, chacun à hauteur du pouvoir qui lui est concédé participant à des pratiques de détournement des fournitures, contrats, règles, etc.
      Cette boite reposait et repose encore sur un accord productiviste noué après guerre. Jamais les agents d’EDF n’ont réellement mis en jeu leur pouvoir sur la production par des grèves ou actions décisives, jamais l’aristocratie ouvrière d’EDF, les conducteurs de centrales nucléaires, n’a fait défaut aux régimes successifs.

      Cet été, tous les centres de la CCAS de France présentaient aux « bénéficiaires » et à leur visiteurs une expo photo poétique empreinte de nostalgie sur la centrale de Fessenheim (des portails d’ouvriers et techniciens dévoués au bien de la population, des oiseaux, des paysages).

      Je les préfère évidemment lorsque, bien rarement, ils coupent le jus à des boites ou des décideurs, comme c’est le cas ces jours-ci ; lorsque, bien rarement aussi, ils font les Robins des bois en rétablissant le courant aux privés d’électricité ou font basculer en heures creuses la tarification de milliers de foyers.

      #électricité #productivisme #EDF #PCF #cogestion #CGT #clientélisme #nucléaire

    • L’impact des grèves dans les raffineries et les transports n’est pas négligeable pour la #surproduction. Maintenant si les « privilégié.e.s » de la grande turbine décidaient le black-out des principaux sites de production, de commerce, de pouvoir...?
      Faut pas trop rêver, les sapins clignoteront encore ce noël !


      Je me souviens d’un mec qui bossait pour €DF, sur les pylônes, sa maison était éclairée comme un hall d’aéroport. Le plafond du garage couvert de néons, t’en avait même sur les murs. Comme tout à chacun, tu éteins la lumière quand tu quittes une pièce. Ben pas lui, sa baraque brillait de la cave au grenier.
      À propos de la photo du sapin dans la forêt, l’autre jour après une énième mission intérimaire de merde où le taulier me dit : « si t’es pas content, tu dégages » Comme je suis déjà grillé aux assedics, j’ai récupéré mes clous et basta, la tchav ! Puis v’là que je pomme en sortant du bled (Mordelles à côté de Rennes) je m’engage sur une route qui s’avère une impasse et je tombe sur une première maison éclairée comme un sapin de noël, c’est le cas de le dire. Puis une deuxième, une troisième…
      J’ai fini par faire demi tour entouré de lutins et de guirlande clignotantes et quitter ce hameau qui est peut-être un repaire d’anciens employés de la grande turbine. Bastards !

  • Caen. Huit intermittents du spectacle au tribunal le 21 octobre
    https://www.ouest-france.fr/normandie/caen-14000/caen-huit-intermittents-du-spectacle-au-tribunal-le-21-octobre-6568187

    Dans un communiqué, la Koordination des #intermittents_du_spectacle du Calvados s’insurge contre Pôle emploi qui assigne au tribunal huit intermittents du spectacle.

    #Pôle_emploi a, à nouveau convoqué huit artistes le 21 octobre au tribunal de grande instance pour allocations indûment perçues. Dans un communiqué, la Kic, Koordination des intermittents du spectacle du Calvados s’insurge contre Pôle emploi qui assimile les artistes et techniciens du spectacle « à ce qu’ils ne sont pas, c’est-à-dire des éducateurs, formateurs, animateurs et enseignants ».

    Les intermittents du spectacle ont déjà été confrontés à cette situation. La Kic rappelle qu’en 2015, Pôle emploi avait perdu son procès « contre huit intermittents du spectacle auxquels étaient réclamés au total près de 160 000 € pour des indemnités chômage ». La justice avait jugé illégales les retenues effectuées sur les allocations par Pôle Emploi « pour rembourser la soi-disant #dette ». Et Pôle emploi avait été condamné à rétablir les artistes dans leurs droits.

    « Pôle emploi recommence et attaque ces mêmes artistes pour leur réclamer les mêmes sommes sur les mêmes contrats en qualifiant ces contrats et déclarations de fraude. C’est une manœuvre de plus pour exclure un maximum de personnes de l’assurance chômage ! Nous ne l’acceptons pas, notre mobilisation se poursuivra ! ».
    La Koordination des intermittents du spectacle du Calvados conclut en évoquant les nouvelles règles d’assurance chômage décrétées par le gouvernement : « Elles accroissent les sanctions envers les chômeurs, rendent plus difficile l’accès aux #allocations et en réduisent le montant et la durée ».

    #droit_au_chômage

  • Unédic : un automne studieux pour les partenaires sociaux, Sarah Belouezzane et Bertrand Bissuel

    La ministre du travail va s’atteler à partir de la rentrée, à la négociation d’une nouvelle convention sur les règles de l’assurance-chômage.

    L’automne prochain ne sera pas la saison du répit, pour la ministre du travail, Muriel Pénicaud, et les membres de son cabinet. Après avoir été absorbée, durant une année, par deux réformes majeures (la réécriture du code du travail, en 2017, puis la loi « avenir professionnel », adoptée définitivement mercredi 1er août), l’ex-DRH de Danone va s’atteler, à partir de la rentrée, à un autre dossier sensible : la négociation d’une nouvelle convention Unédic sur les règles de l’assurance-chômage.

    Ce chantier résulte d’un souhait exprimé, le 9 juillet, par Emmanuel Macron devant le Congrès à Versailles. Un souhait totalement inattendu pour deux raisons. D’abord, les partenaires sociaux s’étaient entendus, en 2017, sur les conditions d’indemnisation des demandeurs d’emploi dans une convention qui devait s’appliquer jusqu’en octobre 2020. En outre, le projet de loi « avenir professionnel » prévoyait, initialement, que les branches devaient discuter de mécanismes pour combattre la précarité – l’exécutif se réservant la possibilité, en cas d’échec des tractations, de créer un bonus-malus ayant pour effet d’augmenter les cotisations des entreprises où les CDD prolifèrent.

    Le bonus-malus n’est pas cité explicitement

    Ce plan de marche a donc été entièrement revu, durant l’examen au Sénat du projet de loi « avenir professionnel ». Le gouvernement a, en effet, déposé un amendement au texte, le 10 juillet, le lendemain du discours de M. Macron. Il indique que, « après concertation » avec les partenaires sociaux, un « document de cadrage » est transmis à ces derniers afin qu’ils négocient une nouvelle convention Unédic. Le but est de faire évoluer les règles de manière à « lutter contre la précarité et [à] inciter les demandeurs d’emploi au retour à l’emploi ». Le bonus-malus n’est pas cité explicitement, mais l’exécutif attend du patronat et des syndicats qu’ils trouvent des solutions à la hauteur du problème.

    Sinon, prévient-on dans l’entourage de Mme Pénicaud, « on fera le bonus-malus ». Doivent également être revisitées les dispositions permettant de cumuler un salaire et une indemnisation : elles sont critiquées au motif qu’elles dissuaderaient certains demandeurs d’emploi d’accepter une offre de CDI.

    Autre thème de discussion pour les organisations d’employeurs et de salariés : l’éventuelle « création d’une allocation-chômage de longue durée, attribuée sous condition de ressources ». « Nous avons décidé de changer notre fusil d’épaule pendant l’élaboration de la loi », reconnaît-on dans l’entourage de la ministre du travail. L’objectif étant de parvenir à une transformation « plus profonde » du système.

    Avant d’engager les discussions, les partenaires sociaux devront poser un diagnostic commun, début septembre. Diagnostic qui devrait servir de base au « document de cadrage » préparé par l’exécutif. Celui-ci a vocation à orienter fortement les échanges entre le patronat et les syndicats. Ils disposeront de quatre mois pour conclure. Le gouvernement table, semble-t-il, sur janvier, voire février 2019. Le processus devrait également conduire à aborder un autre sujet chaud : le régime d’indemnisation des intermittents du spectacle.

    #assurance-chômage #intermittents_du_spectacle #précarité #salaire #allocation_chômage #chômeurs_en_activité_à_temps_réduit

  • Quand les intermittents font le spectacle au théâtre de l’Odéon
    https://www.mediapart.fr/journal/france/260416/quand-les-intermittents-font-le-spectacle-au-theatre-de-lodeon

    © Kalidou Sy Depuis dimanche soir, plusieurs dizaines d’intermittents, rejoints par des étudiants et des militants du mouvement Nuit debout, occupent la terrasse du théâtre de l’Odéon. Ils protestent contre un nouveau cadrage financier proposé par le #patronat qui réclame une économie de 185 millions d’euros sur leur régime d’assurance chômage. Reportage.

    #France #Economie #Culture-Idées #azoulay #intermittents_du_spectacle #Medef

  • Au théâtre de la Colline, le retour des #intermittents_du_spectacle
    https://www.mediapart.fr/journal/france/050416/au-theatre-de-la-colline-le-retour-des-intermittents-du-spectacle

    Les intermittents du spectacle sont revenus. Remontés contre le Medef et le gouvernement, ils viennent s’ajouter à d’autres mécontentements, prêts à les rejoindre. Lundi 4 avril, ils se sont réunis en assemblée générale à Paris comme dans toute la #France.

    #loi_El_Khomri #social

  • Mouvement #social : le retour des #intermittents_du_spectacle
    https://www.mediapart.fr/journal/france/050416/mouvement-social-le-retour-des-intermittents-du-spectacle

    Les intermittents du spectacle sont revenus. Remontés contre le Medef et le gouvernement, ils viennent s’ajouter à d’autres mécontentements, prêts à les rejoindre. Lundi 4 avril, ils se sont réunis en assemblée générale à Paris comme dans toute la #France. Premier volet de notre série d’articles sur la contestation qui bouillonne.

    #loi_El_Khomri

  • Un peu de propagande avant la « renégociation » de la convention Unédic : « Le nombre d’intermittents du spectacle continue de progresser »
    http://www.lesechos.fr/economie-france/social/021375010532-le-nombre-dintermittents-du-spectacle-continue-de-progresser-1

    Pôle emploi a recensé 256.000 salariés ayant cotisé l’an passé au régime spécifique des #intermittents_du_spectacle. Ce total a augmenté de 4,8 % depuis 2010. Le régime reste largement déficitaire et son avenir sera de nouveau l’objet de vifs débats lors de la renégociation de la convention Unédic cet hiver. Au risque pour le gouvernement de revoir exploser le conflit qui avait lourdement perturbé les festivals de l’été 2014.

    Trop, toujours #trop. M’enfin, oublions pas : quand c’est sans alloc’, c’est moins grave. #précarité

    • L’emploi intermittent en 2014 : de la mauvaise interprétation du nombre d’intermittents, association française des assistants réalisateurs
      http://www.afar-fiction.com/spip.php?article2166

      La hausse du nombre d’intermittents en 2014, mise en avant par le rapport de #Pôle_Emploi sur L’emploi intermittent dans le spectacle au cours de l’année 2014 [1], a été reprise par plusieurs médias, alors qu’elle ne représente qu’une augmentation de 0,8% par rapport à 2013 et correspondant en réalité à une hausse du nombre de cotisants.

      De l’augmentation du nombre d’intermittents au déficit de l’UNEDIC qui empire, il n’y a qu’un pas que certains se sont à nouveau empressés de souligner [2] [3].

      Il faut pourtant se pencher un peu plus en détail sur les chiffres publiés par Pôle Emploi pour en tirer les véritables informations utiles.