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    #Afnic #pointFR #ccTLDs #InternetMadeInFrance #DotFR

  • Algérie, réforme des élites ratée avec le Hirak, la jeunesse va à la cocaïne.
    http://www.argotheme.com/organecyberpresse/spip.php?article4550

    D’après l’experte de l’ONU qui a diffusé un communiqué de presse, dont nous donnons copie, les restrictions persistantes imposées aux défenseurs des droits humains compromettent les réformes sociales. Ces dernières n’arrangent les rentiers du modèle qui s’est ancré avec les années de violence pratiquée par des nationalistes ayant, en 1988, mobilisé même le pire terrorisme, apparu contre le communisme en Afghanistan. Le volet économique sera traité dans notre prochain sujet... #nationale,_fait_politique,_une_et_première_page,_médias,_actualité,_pays,_france,_afrique,_maghreb

    / Afrique, Monde Arabe, islam, Maghreb, Proche-Orient,, économie , #Journalisme,_presse,_médias, Maghreb, Algérie, Tunisie, Maroc, Libye, Africa, population, société , #Internet,_Web,_cyber-démocratie,_communication,_société,_médias, (...)

    #Afrique,Monde_Arabe,_islam,_Maghreb,_Proche-Orient, #économie_ #Maghreb,_Algérie,_Tunisie,_Maroc,_Libye,_Africa,_population,_société #facebook,twitter,_google+ #Terrorisme_,_islamisme,Al-Qaeda,politique,_

  • Khrys’presso du lundi 18 décembre 2023
    https://framablog.org/2023/12/18/khryspresso-du-lundi-18-decembre-2023

    Comme chaque lundi, un coup d’œil dans le rétroviseur pour découvrir les informations que vous avez peut-être ratées la semaine dernière. Tous les liens listés ci-dessous sont a priori accessibles librement. Si ce n’est pas le cas, pensez à activer … Lire la suite­­

    #Veille #Claviers_invités #GAFAM #Internet #Revue_de_web #Revue_hebdo #Surveillance #veille #webrevue

  • 💪 “J’ai changé d’emploi à 59 ans grâce à la mobilité volontaire sécurisée (MVS)”.

    👉 Découvrez le témoignage de Sylvie Lacep, notre Responsable de l’intégration des démarches transversales https://www.afnic.fr/observatoire-ressources/papier-expert/jai-change-demploi-a-59-ans-grace-a-la-mobilite-volontaire-securisee-mvs

    #Afnic #InternetMadeInFrance #QVT #MVS #Emploi #Seniors

    💪 “I changed job at the age of 59 thanks to the Secure voluntary mobility scheme”

    👉 Discover the testimony of Sylvie Lacep, our Transversal Approach Integration Manager https://www.afnic.fr/en/observatory-and-resources/expert-papers/i-changed-job-at-the-age-of-59-thanks-to-the-mvs-scheme

    #Afnic #Jobs #Seniors #QWL

  • Khrys’presso du lundi 11 décembre 2023
    https://framablog.org/2023/12/11/khryspresso-du-lundi-11-decembre-2023

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    #Veille #Claviers_invités #GAFAM #Internet #Revue_de_web #Revue_hebdo #Surveillance #veille #webrevue

  • La gouvernance de l’internet 🌐 racontée en 3 épisodes podcast !

    Au micro 🎙️ de David Gordon de Nouvelles Voix, retrouvez Pierre Bonis, Directeur général de l’Afnic, qui explique qui gouverne l’internet, les grandes affaires qui ont mis à l’épreuve les principes fondamentaux de cette gouvernance et les chantiers en cours pour demain.

    Écoutez dès maintenant 🎧 le podcast de l’Afnic « Derrière le .fr » sur https://www.afnic.fr/observatoire-ressources/actualites/la-gouvernance-de-linternet-racontee-en-3-episodes-podcast

    #Afnic #InternetMadeInFrance #Gouvernance #Numérique #Internet

  • 🔎 Étude Afnic 2023 : la présence en ligne 💻📱🌐 des TPE et PME françaises 🇫🇷 progresse, leurs pratiques de sécurité 🔐 aussi.

    👉 Découvrez les chiffres clés et notre étude annuelle 📖 en intégralité sur https://www.afnic.fr/observatoire-ressources/actualites/etude-afnic-la-presence-en-ligne-des-tpe-et-pme-francaises-progresse-leurs-pra

    #Afnic #InternetMadeInFrance #Numérique #Entrepreneurs

  • Ex-Mann wählte Notruf : Deutsche verirrt sich im Dschungel in Taiwan – Berliner Polizei hilft bei Rettung
    https://www.tagesspiegel.de/berlin/ex-mann-wahlte-notruf-deutsche-verirrt-sich-im-dschungel-in-taiwan--ber

    Vive le progrès ! En Taiwan, République de Chine, le réseau 5G couvre la surface des forêts vierges. C’est ce qui a sauvé la vie á une touriste berlinoise qui s’est aventurée dans la nature sans prendre les précautions nécessaires.

    L’histoire ne manque pas d’ironie car elle est un cas de détournement créatif des fonctions d’un systëme informatique. Au lieu d’envoyer un appel de secours avec ses coordonnées en Allemagne et occuper le temps de travail de quelques douzaines de policiers et secouristes dans les deux pays la touriste aurait pu se servir du compas électronique de son smartphone et rentrer tranquillement à l’hôtel.

    L’article en fait une histoire de couple sans poser la question des réseaux de communication dana les jungles du pays ou du monde. C’est typique pour la presse bourgeoise d’attirer l’attention sur le côté « humain » des histoires au lieu de s’intéresser aux questions essentielles des événements.

    Taiwan subtropical evergreen forests
    https://en.m.wikipedia.org/wiki/Taiwan_subtropical_evergreen_forests

    Die Berliner Polizei hat bei der Rettung einer deutschen Frau aus einem Dschungel in Taiwan geholfen. Der Ex-Mann der 37-jährigen Berlinerin hatte am vergangenen Sonntag den Notruf 110 gewählt, wie eine Polizeisprecherin am Dienstag sagte.

    Demnach gab er an, dass er eine Textnachricht von der Frau erhalten habe. Sie hatte sich den Angaben zufolge im Dschungel verlaufen und auch ihre Koordinaten gesendet. Laut der Sprecherin nahm der 40 Jahre alte Berliner die Nachricht sehr ernst und machte sich große Sorgen.

    Die Kriminalpolizei gab den Fall an das Bundeskriminalamt in Wiesbaden weiter, das wiederum die Behörden in Taiwan in Kenntnis setzte. Ein Suchteam machte sich dort auf den Weg und konnte die verirrte Frau schließlich finden. Nach Angaben der Berliner Polizei ist die 37-Jährige wohlauf. Sie wurde auf eigenen Wunsch in ihr Hotel gebracht. Zuvor hatte die „Bild“-Zeitung über den Fall berichtet.

    #Chine #Taiwan #5G #télephone_portable #internet #forêt_vierge

  • Khrys’presso du lundi 4 décembre 2023
    https://framablog.org/2023/12/04/khryspresso-du-lundi-4-decembre-2023

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    #Veille #Claviers_invités #GAFAM #Internet #Revue_de_web #Revue_hebdo #Surveillance #veille #webrevue

    • rezo.net n’affiche que du texte. C’est la condition parfaite pour gagner leur badge. Leur test produit le même résultat pour notre site pro. Par contre un site sur le même serveur qui contient beaucoup d’images n’obtient que la notation C.

      Le test ne prend apparamment pas en compte l’efficacité de la programmation des scripts qui produisent le site ni du coût énergétique des base de données à l’oeuvre, alors qu’à ce niveau il y a d’énormes différences. Je ne sais pas s’il donnent de meilleurs scores aux sites statiques systématiquement très efficaces ou s’il font la différence entre SPIP, Drupal etc. et les sites au technologies propriétaires, je ne vois également pas d’analyse des systèmes de cache côté serveur et du type CDN ...

      C’est un joli truc pour impressionner la galerie mais ne dit rien du tout sur l’efficacité énergétique de la production et transmission des informations.

      Pourtant c’est marrant, alors félicitations pour le score excellent !
       :-)

      #internet #www #énergie #écologie #publicité #greenwashing

    • @monolecte ben quand même, 3,6Mo sur une seule page … Au siècle dernier quand le modem grésillait encore les recommandations étaient de 50ko tout compris.
      Et le JS c’est pas l’horreur si par exemple ça permet de servir des images adaptées et au poids réduit.
      J’ai des pages avec images au score de 80%, bon, pas tout les sites. Mais je pense qu’effectivement tout les paramètres d’une page ne peuvent pas être pris en compte : ne serait-ce que la consommation électrique du serveur ou son optimisation comme le code la mise en cache etc
      Je me fie plus à pagespeed et aux recommandations web.

  • La plus grande #enquête participative sur l’#extrême_droite en #France
    https://www.youtube.com/watch?v=-jnwq4-cdHw&t=1s

    Aidez nous à combattre l’extrême droite

    StreetPress.com est un #média indépendant d’investigation. Nous voulons mener la plus grande enquête jamais réalisée sur l’extrême droite et ses groupuscules radicaux. Selon nos estimations, il y aurait en plus du RN présent sur tout le territoire, près de 150 groupes actifs en France. Ils forment un maillage militant dense et s’en prennent partout dans l’hexagone à tous ceux qui ne collent pas à leur vision rance de la France.

    Nous avons décidé de ne pas les lâcher. Nous sommes convaincus que la connaissance est le premier outil de lutte contre les haineux et les violents.

    Nous avons donc décidé d’enquêter sur chacun de ces 150 #groupuscules et les milliers de membres qui les composent, dévoiler les noms de ceux qui les financent et leurs réseaux politiques. C’est un travail titanesque que nous ne pourrons mener seul. Unissons nos forces.

    ► Chacun d’entre vous peut nous aider, de manière anonyme s’il le souhaite.

    https://riposte-extremedroite.streetpress.com

    #StreetPress

    • [Street press] Johan Weisz-Myara@joweisz
      https://twitter.com/joweisz/status/1730184462531538952
      THREAD TRES TRES VENERE 🤬

      Mon whatsapp chauffe. Vous êtes des dizaines à me demander pourquoi @StreetPress est down depuis près de deux heures.

      L’explication est + flippante que la question 🧶👇

      Car qui a coupé StreetPress à votre avis ? 👇

      Non, @StreetPress n’a pas été censuré par une décision de justice.

      Non ce n’est pas un hacker qui aurait poussé nos admins système ou notre développeur dans leurs retranchements. 👇

      Oui, c’est bien @Scaleway_fr - un hébergeur français - pas un Gafa, qui a décidé de bloquer nos IP sous 48h 😱

      Bloquer un site d’information agréé par la Commission Paritaire des Publications et Agences de Presse, en 3 clicks ? C’est très simple 👇

      Voici ce qu’il s’est passé pour @StreetPress
       : Lundi, un internaute qui apparaît dans un sujet sur des néonazis qui s’entraînent dans les catacombes (ça ne s’invente pas) nous demande de le flouter - chose que l’on fait dans la foulée. 👇

      Mardi, le même internaute signale notre sujet à Youtube, des réseaux sociaux et notre hébergeur, donc.
      Le seul qui va nous bloquer en 48h, c’est donc notre hébergeur
      @Scaleway_fr qui nous envoie un mail mystique, du type « abuse #0876XXXXXXXX » 👇

      Mardi et mercredi, on taffe du matin au soir pr une grosse enquête à sortir jeudi matin :

      La semaine, ils bossent à l’Assemblée 🇫🇷 pour des députés RN, le week-end, ils militent pour des groupuscules violents 🥊🔥
      https://streetpress.com/sujet/1701278537-rassemblement-national-rn-radicaux-identitaires-monarchistes

      Allez la lire, elle est dingue. [...] Ces radicaux occupent aussi des postes-clés au sein du RNJ, la section jeunesse du...

      Jeudi matin, on sort l’enquête. Une heure plus tard
      @Scaleway_fr nous coupe.

      Encore une fois, sans décision de justice.

      L’#hébergeur bloque en 48 heures un site d’info français qui emploie 17 journalistes.

      Un site d’information politique et générale agréé par la CPPAP. 👇
      Ce fonctionnement à l’américaine pose un immense problème de censure et de liberté d’informer.

      Je pose ça ici, et je suis preneur de vos avis et retours
      @laquadrature @gandi_net @N0thing2Hide @RSF_inter

      je ne pige pas bien car les pages du site restent accessibles.. (coup de pub ?)
      sinon, c’est couillon de ne pas choisir un hébergeur de confiance situé à l’étranger (surtout pour payer un hébergeur qui appartient à X Niel, si j’ai bien compris), histoire qu’il soit moins sensibles à des campagnes politiques hostiles, ou moins contraint de collaborer avec le police et la justice française.

      en lançant leur enquête ils ont dit s’être formé en cybersécurité mais le sens politique parait leur faire au moins partiellement leur fait défaut.

      #internet #fafland

  • La newsletter Afnic de novembre est en ligne http://afnic-media.fr/newsletter/20231128.html

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    #Afnic #InternetMadeInFrance #PointFR #Numérique #DotFR #ccTLDs #domains #domainnames #digital

  • Le .fr gagne en notoriété spontanée auprès des TPE-PME françaises.

    Par exemple 70,9% des TPE et PME Françaises citent spontanément le .fr lorsqu’elles répondent à la question “Quelles sont toutes les extensions que vous connaissez, ne serait-ce que de nom ?”. C’est +6.2 par rapport à 2022 !

    Retrouvez les détails de notre enquête de perception annuelle sur https://www.afnic.fr/observatoire-ressources/actualites/le-fr-gagne-en-notoriete-spontanee-aupres-des-tpe-pme-francaises

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    .fr gains unaided awareness among French VSEs/SMES.

    For example, 70.9% of French VSEs and SMEs spontaneously answered .fr when asked the question “What TLDs do you know, even if only by name?”. It’s +6.2 compared to 2022!

    Read more details on this study on https://www.afnic.fr/en/observatory-and-resources/news/fr-gains-unaided-awareness-among-french-vses-smes

    #Afnic #PointFR #France #Internet #Numérique #DotFR #ccTLDs #Domains

  • Khrys’presso du lundi 27 novembre 2023
    https://framablog.org/2023/11/27/khryspresso-du-lundi-27-novembre-2023

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    #Veille #Claviers_invités #GAFAM #Internet #Revue_de_web #Revue_hebdo #Surveillance #veille #webrevue
    https://mamot.fr/system/cache/media_attachments/files/111/461/792/480/400/887/original/3eb8e5799eb93577.mp4

  • Retour sur les ateliers R&D et Tech du CENTR à Paris par Benoit Ampeau, Directeur partenariats et innovation à l’Afnic https://www.afnic.fr/observatoire-ressources/papier-expert/partages-dexpertises-a-paris-lors-des-ateliers-rd-et-tech-du-centr

    Back to the CENTR R&D and Tech workshops in Paris with Benoit Ampeau, Partnerships and Innovation Director at Afnic https://www.afnic.fr/en/observatory-and-resources/expert-papers/experience-sharing-in-paris-at-the-centr-rd-and-tech-workshops

    #Afnic #InternetMadeInFrance #DNS #Tech #domains

  • Histoire du mouvement libertaire en #Bulgarie - Chronologie
    https://www.partage-noir.fr/histoire-du-mouvement-libertaire-en-bulgarie-chronologie

    681 - Fondation de l’Etat bulgare. 855 - Cyrille et Méthode composent l’alphabet slave. 865 - Conversion des Bulgares au Christianisme. 920 - Naissance du Bogomilisme, secte religieuse et mouvement social de tendance nettement libertaire, suivi du Catharisme en France. 1018 - Après trois siècles et demi, la Bulgarie perd son indépendance et tombe sous la domination de Byzance. 1187 - Résurrection de l’Etat bulgare, après une éclipse de près de 170 ans. 1393 - Occupation turque de la (...) 16-17 - Histoire du mouvement libertaire en Bulgarie (Esquisse) - G. Balkanski

    / Bulgarie, #Internet_Archive

    #16-17_-_Histoire_du_mouvement_libertaire_en_Bulgarie_Esquisse_-_G._Balkanski_ #anarchisme

  • « En sociologie, la prise en compte du ressenti peut aider à identifier les inégalités les plus critiques », Nicolas Duvoux
    https://www.lemonde.fr/idees/article/2023/11/20/en-sociologie-la-prise-en-compte-du-ressenti-peut-aider-a-identifier-les-ine

    La sociologie ne peut prétendre à la neutralité, puisqu’elle est une science étudiant la société au sein de laquelle elle émerge. Elle est prise dans les divisions et conflits sociaux, elle met au jour des formes de contrainte et de domination auxquelles elle ne peut rester indifférente. De quel côté penchons-nous ?, demandait à ses pairs le sociologue américain Howard Becker, dans un texte majeur (« Whose Side Are We on ? », Social Problems, 1967). Cependant, cette discipline n’a pas vocation à se substituer à la politique et aux choix collectifs qui relèvent du débat public. La contribution qu’elle peut apporter est de formuler un diagnostic aussi précis que possible sur les dynamiques sociales et la différenciation de leurs effets selon les groupes sociaux.

    L’inflation et la hausse des prix alimentaires très forte depuis l’année 2022 affectent beaucoup plus durement les ménages modestes. Ceux-ci consacrent en effet une part plus importante de leurs revenus à ce poste de consommation. Le relever revient à formuler un constat objectif. De même, la hausse des taux d’intérêt immobiliers exclut davantage de l’accès à la propriété les ménages sans apport (plutôt jeunes et de milieux populaires) que les autres. Il y va ainsi des évolutions de courte durée, mais aussi de celles de longue durée : le chômage touche plus fortement les moins qualifiés, les ouvriers et employés, même s’il n’épargne pas les cadres, notamment vieillissants ; la pauvreté touche davantage les jeunes, même si elle n’épargne pas les retraités.
    Formuler un diagnostic suppose d’éviter deux écueils qui se répondent et saturent un débat public fait d’oppositions, voire de polarisation, au détriment d’une compréhension de l’état de la société. La littérature du XIXe siècle – comme les sciences sociales avec lesquelles elle a alors partie liée – a souvent oscillé entre d’un côté une représentation misérabiliste du peuple, en soulignant la proximité des classes laborieuses et des classes dangereuses, et de l’autre une vision populiste qui exalte les vertus des classes populaires. Claude Grignon et Jean-Claude Passeron l’ont montré dans un livre qui a fait date (Le Savant et le Populaire, Gallimard, 1989). De la même manière, le débat public semble aujourd’hui osciller entre un optimisme propre aux populations favorisées économiquement et un catastrophisme des élites culturelles.

    Cruel paradoxe

    Pouvoir envisager l’avenir de manière conquérante vous place du côté des classes aisées ou en ascension. Cette thèse a un enjeu politique évident : le rapport subjectif à l’avenir nous informe sur la position sociale occupée par un individu et non sur sa représentation de la société. Pour ne prendre qu’un exemple, sur la fracture entre les groupes d’âge, on n’est guère surpris qu’en pleine période inflationniste le regain de confiance en son avenir individuel soit le privilège quasi exclusif [d’un %] des seniors. Il faut être déjà âgé pour penser que l’on a un avenir, cruel paradoxe d’une société qui fait porter à sa jeunesse le poids de la pauvreté et de la précarité de l’emploi, au risque de susciter une révolte de masse.
    Peut-être est-ce un signe de l’intensité des tensions sociales, nombre d’essais soulignent le décalage entre la réalité d’une société où les inégalités sont relativement contenues et le pessimisme de la population. Les dépenses de protection sociale sont parmi les plus élevées du monde, sinon les plus élevées. En conséquence de ces dépenses, les Français jouissent d’un niveau d’éducation, d’égalité et d’une sécurité sociale presque sans équivalent. Ces faits sont avérés.

    Mais le diagnostic ne se borne pas à ce rappel : les données objectives qui dressent le portrait d’une France en « paradis » sont, dans un second temps, confrontées à l’enfer du « ressenti », du mal-être, du pessimisme radical exprimé par les Français, souvent dans des sondages. Ainsi, dans « L’état de la France vu par les Français 2023 » de l’institut Ipsos, il apparaît que « 70 % des Français se déclarent pessimistes quant à l’avenir de la France ». Les tenants de la vision « optimiste », qui se fondent sur une critique du ressenti, tendent à disqualifier les revendications de redistribution et d’égalité.

    Or l’écart entre le « ressenti » et la réalité objective des inégalités peut être interprété de manière moins triviale et surtout moins conservatrice. Cet écart peut être travaillé et mis au service d’un diagnostic affiné de la situation sociale, un diagnostic qui conserve l’objectivité de la mesure tout en se rapprochant du ressenti.

    Une autre mesure de la pauvreté

    La notion de « dépenses contraintes » en porte la marque : ce sont les dépenses préengagées, qui plombent les capacités d’arbitrage des ménages, notamment populaires, du fait de la charge du logement. Entre 2001 et 2017, ces dépenses préengagées occupent une part croissante du budget, passant de 27 % à 32 %, selon France Stratégie. « Le poids des dépenses préengagées dans la dépense totale dépend d’abord du niveau de vie. Il est plus lourd dans la dépense totale des ménages pauvres que dans celle des ménages aisés, et l’écart a beaucoup augmenté entre 2001 (6 points d’écart) et 2017 (13 points d’écart). »
    Cette évolution et le renforcement des écarts placent de nombreux ménages – même s’ils ne sont pas statistiquement pauvres – en difficulté. La volonté de rapprocher « mesure objective » et « ressenti » permet de prendre une tout autre mesure de la pauvreté, qui double si l’on prend en compte le niveau de vie « arbitrable » , soit le revenu disponible après prise en compte des dépenses préengagées.

    De ce point de vue, l’équivalent du taux de pauvreté, c’est-à-dire la part des personnes dont le revenu arbitrable par unité de consommation est inférieur à 60 % du niveau de vie arbitrable médian, s’établissait à 23 % en 2011, selon des travaux réalisés par Michèle Lelièvre et Nathan Rémila pour la direction de la recherche, des études, de l’évaluation et des statistiques. Ce chiffre atteint même 27 % si l’on prend en compte les dépenses peu compressibles, comme l’alimentation. Comparativement, le taux de pauvreté tel qu’on le définit traditionnellement se fixait en 2011 à 14,3 %. L’augmentation de la fréquentation des structures d’aide alimentaire témoigne des difficultés croissantes d’une part conséquente de la population.

    Le parti du catastrophisme

    L’optimisme empêche de penser les réalités dans toute leur violence et d’identifier les remèdes qui conviennent le mieux à ces maux. Le catastrophisme doit également être évité. Il a tendance à accuser exclusivement les super-riches dans la genèse des maux sociaux, en mettant en avant une explosion des inégalités démentie par les faits, si l’on exclut le patrimoine et la forte augmentation de la pauvreté dans la période post-Covid-19. En prenant le parti du catastrophisme, la sociologie, et avec elle la société, s’exonérerait d’un travail de fond.
    Un certain nombre de points soulignés par ceux qui critiquent le pessimisme restent vrais. La société française a connu une relative mais réelle démocratisation de l’accès à des positions privilégiées. Les postes d’encadrement n’ont cessé d’augmenter en proportion de la structure des emplois, une partie non négligeable de la population – y compris au sein des catégories populaires – a pu avoir accès à la propriété de sa résidence principale, a pu bénéficier ou anticipe une augmentation de son patrimoine. Les discours sur la précarisation ou l’appauvrissement généralisés masquent la pénalité spécifique subie par les groupes (jeunes, non ou peu qualifiés, membres des minorités discriminées, femmes soumises à des temps partiels subis, familles monoparentales) qui sont les plus affectés et qui servent, de fait, de variable d’ajustement au monde économique. Le catastrophisme ignore ou feint d’ignorer les ressources que les classes moyennes tirent du système éducatif public par exemple.

    Le catastrophisme nourrit, comme l’optimisme, une vision du monde social homogène, inapte à saisir les inégalités les plus critiques et les points de tension les plus saillants, ceux-là mêmes sur lesquels il faudrait, en priorité, porter l’action. La prise en compte du ressenti peut aider à les identifier et à guider le débat et les décideurs publics, à condition de ne pas entretenir de confusion sur le statut des informations produites, qui ne se substituent pas aux mesures objectives, mais peuvent aider à les rapprocher du sens vécu par les populations et ainsi à faire de la science un instrument de l’action.

    Nicolas Duvoux est professeur de sociologie à l’université Paris-VIII, auteur de L’Avenir confisqué. Inégalités de temps vécu, classes sociales et patrimoine (PUF, 272 pages, 23 euros).

    voir cette lecture des ressorts du vote populaire RN depuis les années 2000
    https://seenthis.net/messages/1027569

    #sociologie #inflation #alimentation #aide_alimentaire #dépenses_contraintes #revenu_arbitrable #revenu #pauvreté #chômage #jeunesse #femmes #mères_isolées #précarité #taux_de_pauvreté #patrimoine #inégalités #riches #classes_populaires

    • « Les inégalités sont perçues comme une agression, une forme de mépris », François Dubet - Propos recueillis par Gérard Courtois, publié le 12 mars 2019
      https://www.lemonde.fr/idees/article/2019/03/12/francois-dubet-les-inegalites-sont-percues-comme-une-agression-une-forme-de-

      Entretien. Le sociologue François Dubet, professeur émérite à l’université Bordeaux-II et directeur d’études à l’Ecole des hautes études en sciences sociales (EHESS), vient de publier Le Temps des passions tristes. Inégalités et populisme (Seuil, 112 p., 11,80 €).

      Reprenant l’expression de Spinoza, vous estimez que la société est dominée par les « passions tristes ». Quelles sont-elles et comment se sont-elles imposées ?

      Comme beaucoup, je suis sensible à un air du temps porté sur la dénonciation, la haine, le #ressentiment, le sentiment d’être méprisé et la capacité de mépriser à son tour. Ce ne sont pas là seulement des #émotions personnelles : il s’agit aussi d’un #style_politique qui semble se répandre un peu partout. On peut sans doute expliquer ce climat dangereux de plusieurs manières, mais il me semble que la question des #inégalités y joue un rôle essentiel.

      Voulez-vous parler du creusement des inégalités ?

      Bien sûr. On observe une croissance des inégalités sociales, notamment une envolée des hyper riches qui pose des problèmes de maîtrise économique et fiscale essentiels. Mais je ne pense pas que l’ampleur des inégalités explique tout : je fais plutôt l’hypothèse que l’expérience des inégalités a profondément changé de nature. Pour le dire vite, tant que nous vivions dans une société industrielle relativement intégrée, les inégalités semblaient structurées par les #classes sociales : celles-ci offraient une représentation stable des inégalités, elles forgeaient des identités collectives et elles aspiraient à une réduction des écarts entre les classes [et, gare à la revanche ! à leur suppression]– c’est ce qu’on appelait le progrès social. Ce système organisait aussi les mouvements sociaux et plus encore la vie politique : la #gauche et la #droite représentaient grossièrement les classes sociales.

      Aujourd’hui, avec les mutations du capitalisme, les inégalités se transforment et se multiplient : chacun de nous est traversé par plusieurs inégalités qui ne se recouvrent pas forcément. Nous sommes inégaux « en tant que » – salariés ou précaires, diplômés ou non diplômés, femmes ou hommes, vivant en ville ou ailleurs, seul ou en famille, en fonction de nos origines… Alors que les plus riches et les plus pauvres concentrent et agrègent toutes les inégalités, la plupart des individus articulent des inégalités plus ou moins cohérentes et convergentes. Le thème de l’#exploitation de classe cède d’ailleurs progressivement le pas devant celui des #discriminations, qui ciblent des inégalités spécifiques.

      Pourquoi les inégalités multiples et individualisées sont-elles vécues plus difficilement que les inégalités de classes ?

      Dans les inégalités de classes, l’appartenance collective protégeait les individus d’un sentiment de mépris et leur donnait même une forme de fierté. Mais, surtout, ces inégalités étaient politiquement représentées autour d’un conflit social et de multiples organisations et mouvements sociaux. Dans une certaine mesure, aussi injustes soient-elles, ces inégalités ne menaçaient pas la dignité des individus. Mais quand les inégalités se multiplient et s’individualisent, quand elles cessent d’être politiquement interprétées et représentées, elles mettent en cause les individus eux-mêmes : ils se sentent abandonnés et méprisés de mille manières – par le prince, bien sûr, par les médias, évidemment, mais aussi par le regard des autres.

      Ce n’est donc pas simplement l’ampleur des inégalités sociales qui aurait changé, mais leur nature et leur perception ?
      Les inégalités multiples et individualisées deviennent une expérience intime qui est souvent vécue comme une remise en cause de soi, de sa valeur et de son identité : elles sont perçues comme une agression, une forme de #mépris. Dans une société qui fait de l’#égalité_des_chances et de l’#autonomie_individuelles ses valeurs cardinales, elles peuvent être vécues comme des échecs scolaires, professionnels, familiaux, dont on peut se sentir plus ou moins responsable.

      Dans ce régime des inégalités multiples, nous sommes conduits à nous comparer au plus près de nous, dans la consommation, le système scolaire, l’accès aux services… Ces jeux de comparaison invitent alors à accuser les plus riches, bien sûr, mais aussi les plus pauvres ou les étrangers qui « abuseraient » des aides sociales et ne « mériteraient » pas l’égalité. L’électorat de Donald Trump et de quelques autres ne pense pas autre chose.

      Internet favorise, dites-vous, ces passions tristes. De quelle manière ?

      Parce qu’Internet élargit l’accès à la parole publique, il constitue un progrès démocratique. Mais Internet transforme chacun d’entre nous en un mouvement social, qui est capable de témoigner pour lui-même de ses souffrances et de ses colères. Alors que les syndicats et les mouvements sociaux « refroidissaient » les colères pour les transformer en actions collectives organisées, #Internet abolit ces médiations. Les émotions et les opinions deviennent directement publiques : les colères, les solidarités, les haines et les paranoïas se déploient de la même manière. Les #indignations peuvent donc rester des indignations et ne jamais se transformer en revendications et en programmes politiques.

      La démultiplication des inégalités devrait renforcer les partis favorables à l’égalité sociale, qui sont historiquement les partis de gauche. Or, en France comme ailleurs, ce sont les populismes qui ont le vent en poupe. Comment expliquez-vous ce « transfert » ?

      La force de ce qu’on appelle les populismes consiste à construire des « banques de colères », agrégeant des problèmes et des expériences multiples derrière un appel nostalgique au #peuple unique, aux travailleurs, à la nation et à la souveraineté démocratique. Chacun peut y retrouver ses indignations. Mais il y a loin de cette capacité symbolique à une offre politique, car, une fois débarrassé de « l’oligarchie », le peuple n’est ni composé d’égaux ni dénué de conflits. D’ailleurs, aujourd’hui, les politiques populistes se déploient sur tout l’éventail des politiques économiques.

      Vous avez terminé « Le Temps des passions tristes » au moment où émergeait le mouvement des « gilets jaunes ». En quoi confirme-t-il ou modifie-t-il votre analyse ?

      Si j’ai anticipé la tonalité de ce mouvement, je n’en avais prévu ni la forme ni la durée. Il montre, pour l’essentiel, que les inégalités multiples engendrent une somme de colères individuelles et de sentiments de mépris qui ne trouvent pas d’expression #politique homogène, en dépit de beaucoup de démagogie. Dire que les « gilets jaunes » sont une nouvelle classe sociale ou qu’ils sont le peuple à eux tout seuls ne nous aide guère. Il faudra du temps, en France et ailleurs, pour qu’une offre idéologique et politique réponde à ces demandes de justice dispersées. Il faudra aussi beaucoup de courage et de constance pour comprendre les passions tristes sans se laisser envahir par elles.

      #populisme

  • Khrys’presso du lundi 20 novembre 2023
    https://framablog.org/2023/11/20/khryspresso-du-lundi-20-novembre-2023

    Comme chaque lundi, un coup d’œil dans le rétroviseur pour découvrir les informations que vous avez peut-être ratées la semaine dernière. Tous les liens listés ci-dessous sont a priori accessibles librement. Si ce n’est pas le cas, pensez à activer … Lire la suite­­

    #Veille #Claviers_invités #GAFAM #Internet #Revue_de_web #Revue_hebdo #Surveillance #veille #webrevue
    https://mamot.fr/system/cache/media_attachments/files/111/248/983/671/525/366/original/f8bb55a2886cd22d.mp4


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  • Web-Summit-Resümee : Die Woke-Washing-Maschine des Neoliberalismus
    https://www.heise.de/meinung/Web-Summit-Resuemee-Die-Woke-Washing-Maschine-des-Neoliberalismus-9532834.html
    Au.Web-Summit l’économie du web montre son visage moche.


    Die neue Chefin des Web Summit Katherine Maher

    18.11.2023 von Hartmut Gieselmann
    ...
    Ukraine-Krieg als Technologielabor

    Es gab noch eine Reihe weiterer Themen, die durchaus kontrovers hätten diskutiert werden können:

    Die Beiträge des ehemaligen Boxweltmeisters Wladimir Klitschko und seiner Landsfrau Iryna Volnytska von der SET University machten unverblümt deutlich, wie wenig Interesse sie an einem schnellen Ende des Krieges mit Russland am Verhandlungstisch haben. Laut Volnytska ist die IT-Branche in der Ukraine im vergangenen Kriegsjahr um sieben Prozent gewachsen. Insbesondere im Bereich der Militärtechnik sei die Ukraine zu einem Experimentierfeld für technologische Kriegsführung geworden, in dem beispielsweise die Abwehr russischer Hackerangriffe erprobt werde. Die Ukraine sei ein „Sandkasten“, in dem der Westen seine Waffensysteme testen könne, um sich für eine spätere Konfrontation mit Russland zu wappnen. Volnytska stellte Investoren lukrative Vorteile bei Investitionen in ukrainische IT- und Militärtechnologie in Aussicht.

    Klitschko verglich den Krieg mit einem Boxkampf: Es sei die achte von zwölf Runden und man dürfe nicht nachlassen, Schläge auszuteilen. Man dürfe auch keine russischen Sportler zu den kommenden Olympischen Spielen zulassen, weil diese oft vom Militär beschäftigt würden. Kompromisse, wie sie typischerweise in diplomatischen Gesprächen über Waffenstillstände und Friedensabkommen ausgehandelt werden, bezeichnete Klitschko als „Zeitverschwendung“ und erntete dafür Applaus.

    Stau im Steuerparadies

    Lissabon warb auf dem Web Summit mit seiner großen Zahl an so genannten Unicorns: Start-ups, die noch vor dem Börsengang einen Marktwert von über einer Milliarde US-Dollar erreichen. Ein gutes Dutzend davon sei bereits in Lissabon ansässig, sieben aus Portugal, fünf hätten ihren Hauptsitz aus dem Ausland in die Stadt verlagert. Angelockt werden ausländische Unternehmen und Selbstständige durch niedrige Steuersätze von 20 Prozent sowie Doppelbesteuerungsabkommen mit einigen Ländern, die im Extremfall zu einer völligen Steuerfreiheit führen.

    Dadurch kommen zwar viele Unternehmen und Selbstständige ins Land, aber der öffentlichen Hand fehlen die Mittel. In Lissabon haben wir das als Besucher des Web Summit an den täglichen Staus zu spüren bekommen. Die öffentlichen Verkehrsmittel sind dem Ansturm kaum noch gewachsen. Morgens und abends quälen sich endlose Blechlawinen durch die engen Straßen der Innenstadt. Selbst Busse und Bahnen bleiben stecken.

    #Internet #WWW #business #Ukraine #Portugal

  • Privacy is Priceless, but Signal is Expensive
    https://signal.org/blog/signal-is-expensive

    Signal est un service centralisé et ne peut alors pas satisfaire toutes les exigences d’une communication parfaitement privée. Pourtant Signal permet une communication assez protégée sous condition d’utiliser un portable qui n’espionne pas ses utilisateurs. Malheureusement il n’ y a que peu de smartphones dans cette catégorie. GrapheneOS est une bonne solution - en connaissez vous d’autres ? Des systèmes Android sécurisés qui ne transmettent pas de données à Google et d’autres vampires de données ?

    Meredith Whittaker and Joshua Lund on 16 Nov 2023

    Signal is the world’s most widely used truly private messaging app, and our cryptographic technologies provide extra layers of privacy beyond the Signal app itself. Since launching in 2013, the Signal Protocol—our end-to-end encryption technology—has become the de facto standard for private communication, protecting the contents of billions of conversations in WhatsApp, Google Messages, and many others. Signal also continues to invest in research and development in the pursuit of extending communications privacy. This commitment underlies our recent work to add a layer of quantum resistance to the Signal Protocol, and our previous work on metadata protection technologies that help keep personal details like your contact list, group membership, profile name, and other intimate information secure. This singular focus on preserving the ability to communicate privately is one reason that we work in the open, documenting our thinking and making our code open source and open to scrutiny—so you don’t have to take our word for it.

    Signal is also a nonprofit, unlike almost every other consumer tech company.

    This provides an essential structural safeguard ensuring that we stay true to our privacy-focused mission. To put it bluntly, as a nonprofit we don’t have investors or profit-minded board members knocking during hard times, urging us to “sacrifice a little privacy” in the name of hitting growth and monetary targets. This is important in an industry where “free” consumer tech is almost always underwritten by monetizing surveillance and invading privacy. Such practices are often accompanied by “growth hacking” and engagement maximization techniques that leverage dark patterns to keep people glued to feeds and notifications. While Signal is also free to use, we reject this kind of manipulation, focusing instead on creating a straightforward interpersonal communications app. We also reject business models that incentivize such practices.

    Instead of monetizing surveillance, we’re supported by donations, including a generous initial loan from Brian Acton. Our goal is to move as close as possible to becoming fully supported by small donors, relying on a large number of modest contributions from people who care about Signal. We believe this is the safest form of funding in terms of sustainability: ensuring that we remain accountable to the people who use Signal, avoiding any single point of funding failure, and rejecting the widespread practice of monetizing surveillance.

    But our nonprofit structure doesn’t mean it costs less for Signal to produce a globally distributed communications app. Signal is a nonprofit, but we’re playing in a lane dominated by multi-billion-dollar corporations that have defined the norms and established the tech ecosystem, and whose business models directly contravene our privacy mission. So in order to provide a genuinely useful alternative, Signal spends tens of millions of dollars every year. We estimate that by 2025, Signal will require approximately $50 million dollars a year to operate—and this is very lean compared to other popular messaging apps that don’t respect your privacy.

    Here we review some of these costs and where this money goes, in the name of providing more transparency into Signal. But we hope to do more than that. Where money goes and how it’s made is a bit of a taboo in tech, something that most tech companies avoid talking about. The actual costs of consumer tech are generally hidden behind stories of innovation and the word “free,” and the connection between the product marketing of a highly profitable tech industry and the ingress and egress of profit and revenue is usually unclear. We believe a material map of these dynamics can help clarify just what is required to fulfill the dream of privacy-preserving alternative technology, and contribute to establishing a solid foundation from which we can grow alternatives that contest tech surveillance and the incentives behind it.

    This is not a comprehensive overview—this post isn’t meant to provide a full accounting or to review every line item in detail. Instead, we focus on illustrative examples, looking at infrastructure and labor in particular. We’ll also explore average costs that in practice vary dynamically in relation to factors that are often outside of our control.

    Infrastructurally Different

    We’ll start with an overview of some of Signal’s biggest infrastructural costs—what we pay for the utilities and services that let Signal reach you. These include the temporary storage of end-to-end encrypted data for message delivery; the global server network that processes billions of requests every day; the registration fees that cover the delivery of verification codes during the sign-up process to help verify phone numbers and prevent spam accounts; the bandwidth that is required to efficiently route end-to-end encrypted messages and calls around the world; and some of the additional services that keep everything running smoothly. We’ll dive into each of these in more detail, but here’s a quick breakdown:

    Storage: $1.3 million dollars per year.
    Servers: $2.9 million dollars per year.
    Registration Fees: $6 million dollars per year.
    Total Bandwidth: $2.8 million dollars per year.
    Additional Services:

    $700,000 dollars per year.

    Current Infrastructure Costs (as of November 2023): Approximately $14 million dollars per year.
    The Cost of Storing Nothing and Serving Everyone

    Data is profitable, and we’re a nonprofit focused on collecting as little data as possible.

    Most tech companies collect and create as much data as they can. They build large data warehouses, and then later invent new terms like “data lake” when their unquenchable thirst for more of your private information can no longer fit within the confines of a single warehouse. Their default move is to store everything for as long as they can in an easily accessible and unencrypted format, suffering data breach, after data breach, after data breach, hoping to monetize this data by indirectly (or directly) selling it to advertisers or using it to train AI models. Again, data is profitable.

    In contrast, Signal’s default move is to end-to-end encrypt everything that we possibly can and to store as little as possible—all while making sure your messages are delivered promptly and your calls are clear and free of delays. We do this by taking advantage of globally distributed hosting infrastructure and by paying for significant amounts of bandwidth from some of the top providers in the world.

    Just like everything else in Signal, messages and files are always end-to-end encrypted. When you send a message, the Signal service temporarily queues that message for delivery. As soon as your message is delivered, that small bundle of encrypted data (i.e. your message) can be dropped from the queue. The storage of end-to-end encrypted files is temporary too, and any undelivered end-to-end encrypted data is automatically purged after a period of inactivity. Even though everything is only temporary, this storage still costs Signal around $1.3 million dollars per year.

    This is a lot of money, although it’s less than it would cost if we stored everything forever. But unlike the tech companies that collect and store everything, we don’t have (and do not want to have) any surveillance data to sell or use to recoup these costs. We can’t read or access any end-to-end encrypted messages because the keys that are required to decrypt them are in your hands, not ours. And it’s not just about your messages. Signal also uses our metadata encryption technology to protect intimate information about who is communicating with whom—we don’t know who is sending you messages, and we don’t have access to your address book or profile information. We believe that the inability to monetize encrypted data is one of the reasons that strong end-to-end encryption technology has not been widely deployed across the commercial tech industry.

    In order to provide a globally accessible, reliable, and high-performance communications service for the many millions of people around the world who depend on Signal, it’s necessary for Signal’s servers to be globally distributed. Having a geographically distributed network of servers is particularly important for end-to-end encrypted voice and video calls, because latency can result in audio delays or degraded video connections that quickly make the app unusable for real-time communication.

    Because everything in Signal is end-to-end encrypted, we can rent server infrastructure from a variety of providers like Amazon AWS, Google Compute Engine, Microsoft Azure, and others while ensuring that your messages and calls remain private and secure. We can’t access them, and neither can the companies that provide any of the infrastructure we rent. As a small nonprofit organization, we cannot afford to purchase all of the physical computers that are necessary to support everyone who relies on Signal while also placing them in independent data centers around the world. Only a select few of the very largest companies globally are still capable of doing this, which is a hallmark of a troublingly concentrated industry.

    Signal’s addition of novel privacy-preserving features also affects our server costs. To pick one example, we developed a new approach to private contact discovery in 2017 that uses a trusted execution environment. This made us the first large-scale messaging app to let people automatically find their friends and contacts without revealing their address book to us, keeping these connections private. Because other mainstream apps don’t have this layer of privacy protection in place, they can often access details about your network and relationships without restrictions, and many of them store this highly sensitive information for later use.

    When we first deployed this system in 2017, only a few servers were necessary. But as the number of people using Signal increased, the number of servers required to support private contact discovery also rose. At its peak, nearly 600 servers were dedicated to private contact discovery alone, at a total cost of more than $2 million dollars per year.

    This significant cost would have continued to rise. However, thanks to algorithmic research advances and hardware updates, we’ve been able to reduce the total number of private contact discovery servers to around 10 total—despite the fact that the service is handling more traffic than ever. A significant amount of money and engineering resources have been dedicated to ensuring that your address book remains completely inaccessible to us, and Signal will continue to push the envelope and introduce new techniques to enhance your privacy even when the initial costs are high.
    Registration Fees

    Signal incurs expenses when people download Signal and sign up for an account, or when they re-register on a new device. We use third-party services to send a registration code via SMS or voice call in order to verify that the person in possession of a given phone number actually intended to sign up for a Signal account. This is a critical step in helping to prevent spam accounts from signing up for the service and rendering it completely unusable—a non-trivial problem for any popular messaging app.

    Signal’s registration service routes registration codes over multiple telephony providers to optimize delivery across the globe, and the fees we pay to third-party vendors for every verification code we send can be very high. This is in part, we believe, because legacy telecom operators have realized that SMS messages are now used primarily for app registration and two-factor authentication in many places, as people switch to calling and texting services that rely on network data. In response to increased verification traffic from apps like Signal, and decreased SMS revenue from their own customers, these service providers have significantly raised their SMS rates in many locations, assuming (correctly) that tech companies will have to pay anyway.

    The cost of these registration services for verifying phone numbers when people first install Signal, or when they re-register on a new device, currently averages around $6 million dollars per year.

    These costs vary dramatically from month to month, and the rates that we pay are sometimes inflated due to “toll fraud”—a practice where some network operators split revenue with fraudulent actors to drive increased volumes of SMS and calling traffic on their network. The telephony providers that apps like Signal rely on to send verification codes during the registration process still charge their own customers for this make-believe traffic, which can increase registration costs in ways that are often unpredictable. Of course, Signal does everything we can to reduce or eliminate the impact of toll fraud. We work closely with our voice and SMS verification providers to detect and shut down fraudulent registrations as quickly as possible. But it’s still a game of cat and mouse, with unavoidable expenses along the way.
    The Going Rate for Transfer Rates

    You are probably familiar with the concept of paying for bandwidth in the form of buying a data plan from your cellular provider or signing up with an Internet Service Provider (ISP) for your home. But it may surprise you to learn that every website, app, and service also pays for the bandwidth they use whenever you connect to them.

    Some pay more than others. Most of the major tech companies (like Amazon, Google, and Microsoft) own and operate their own data centers. After spending billions of dollars to build massive hosting facilities, they install their own fiber optic cables and custom networking equipment. This also means they get to earn a lot of money by charging others for the privilege of using that equipment.

    Smaller organizations like Signal can’t afford to build matching infrastructure from scratch, so we (along with almost every startup and tech company) pay rent to the big players in order to access the bandwidth we need.

    Millions of people use Signal every day, and it takes a lot of bandwidth to provide a fast and reliable service. Signal spends around $2.8 million dollars per year on bandwidth to support sending messages and files (such as photos, videos, voice notes, documents, etc.) and to enable voice and video calls.

    Voice and video calls require significantly more bandwidth than text messages, and Signal’s end-to-end encrypted calling functionality is one of the most expensive services that we provide. Signal also goes far beyond other messaging apps when it comes to protecting your privacy during voice and video calls, and we do this in ways that substantially increase how much bandwidth we use in order to provide a high-quality calling experience.

    To take one example, Signal always routes end-to-end encrypted calls from people who aren’t in your contacts through a relay server that obscures IP address information.

    Almost none of our competitors do this, and Signal’s default behavior is much more expensive than the alternative. Automatically relaying 1-on-1 voice and video calls from unknown contacts (instead of always using a peer-to-peer connection whenever possible) provides an extra layer of privacy, but results in considerably higher bandwidth costs for Signal’s calling-related relay servers. At current traffic levels, the amount of outbound bandwidth that is required to support Signal voice and video calls is around 20 petabytes per year (that’s 20 million gigabytes) which costs around $1.7 million dollars per year in bandwidth fees just for calling, and that figure doesn’t include the development costs associated with hiring experienced engineers to maintain our calling software, or the cost of the necessary server infrastructure to support those calls.
    The Human Touch

    Signal isn’t just a collection of privacy-preserving services that route end-to-end encrypted messages and calls around the world. It’s also a set of cross-platform apps and modular development components (commonly called libraries) that make this type of private communication possible in the first place. Because the norm is surveillance, we’re often required to create or modify our own libraries from scratch, swapping in privacy instead of using more common frameworks that assume surveillant defaults. Swimming against the tide of an ecosystem whose incentives and infrastructure promote surveillance and privacy invasions is, of course, more time-intensive and more expensive, and requires dedicated and experienced people.

    First, we have three distinct client teams, one for each platform (Android, Desktop, and iOS). These teams are constantly working: adjusting to operating system updates, building new features, and making sure the app works on a wide variety of devices and hardware configurations. We also have dedicated engineering teams that handle the development and maintenance of the Signal Server and all of its infrastructure, our calling libraries like RingRTC, and core libraries like libsignal. These also need constant development and monitoring.

    Product and design teams help shape the future of the app and determine how it will look and function, while our localization team coordinates translation efforts across more than sixty languages. We even have a full-time, in-house support group that interfaces with people who use Signal and provides detailed technical feedback and real-time troubleshooting information to every other team. This is an essential function, particularly at Signal, because we don’t collect analytics or telemetry data about how people are using Signal.

    This is a lot of work, and we do it with a small and mighty team. In total, around 50 full-time employees currently work on Signal, a number that is shockingly small by industry standards. For example, LINE Corporation, the developers of the LINE messaging app popular in Japan, has around 3,100 employees,
    while the division of Kakao Corp that develops KakaoTalk, a messaging app popular in Korea, has around 4,000 employees. Employee counts at bigger corporations like Apple, Meta, and Google’s parent company (Alphabet) are much, much higher.

    To sustain our ongoing development efforts, about half of Signal’s overall operating budget goes towards recruiting, compensating, and retaining the people who build and care for Signal. When benefits, HR services, taxes, recruiting, and salaries are included, this translates to around $19 million dollars per year.

    We are proud to pay people well. Our goal is to compensate our staff at as close to industry wages as possible within the boundaries of a nonprofit organization. We know that we can’t provide equity, expensive playpen offices, or other benefits common to large tech companies. We also know that we need to recruit and retain a highly experienced and specialized workforce in an extremely competitive industry if we’re going to offer a service that provides a meaningful alternative to apps with far more people and resources. And we don’t believe that precarity should be the cost of doing good. Compared to most tech companies, Signal’s numbers are a drop in the bucket.

    Growth in Signal translates into increased infrastructure costs, and having more infrastructure requires more labor. As of November 2023, Signal’s server network is regularly responding to around 100,000 requests per second, and we routinely break our previous records. A funny thing happens when a globally accessible service starts handling billions of requests every day. Suddenly one-in-a-million possibilities are no longer unique or rare, and unlikely situations become more and more common as Signal grows. It’s not unusual for our engineers to do things like write custom code to reproduce an esoteric and complicated IPv6 connectivity issue that’s affecting people running an arcane operating system configuration in specific regions, but only when connected via a certain set of internet service providers.

    Troubleshooting such infrastructure issues can be very expensive, because isolating a problem and developing a fix can take a lot of time and expertise.

    Identifying and fixing arcane problems is not the only thing that takes time and skill. In the context of building for privacy, adding a common feature or service in a way that avoids surveillance frequently requires significant work and creativity. To take one example, profile pictures and profile names are always end-to-end encrypted in Signal. This means that Signal does not have access to your profile name or chosen profile photo. This approach is unique in the industry. In fact, it has been more than six years since we first announced this additional layer of protection, and as far as we know none of our competitors have yet adopted it. Other messengers can easily see your profile photo, profile name, and other sensitive information that Signal cannot access. Our choice here reflects our staunch commitment to privacy, but it also means that it took Signal more effort to implement support for profile photos. Instead of a weekend project for a single engineer, our teams were required to develop new approaches and concepts within the codebase (like profile keys), which they worked to roll out across multiple platforms after an extended testing period.

    The same dynamic played out again when Signal introduced support for animated GIF searches on Android and iOS. Instead of quickly and easily integrating the standard GIF search SDK that most other apps were using, engineers spent considerable time and creativity developing another unique privacy-preserving technique that hides GIF search terms from Signal’s servers, while also hiding who is searching for those terms from the GIF search engine itself. We later expanded those techniques to further obfuscate GIF search information by obscuring the amount of traffic that passes through the proxied connection.

    When Meta acquired GIPHY, and many other apps were scrambling to contend with the privacy implications of the deal, Signal employees slept soundly knowing that we had already built this feature correctly several years earlier.

    Even more recently, Signal has started taking steps to protect today’s conversations from future threats by adding post-quantum resistance to the Signal Protocol. The financial costs associated with these research and development initiatives are substantial. They’re also essential for building privacy-preserving technology in a dynamic industry where surveillance is the norm.

    By offering a competitive compensation package, Signal helps make it easy for people to choose to develop privacy-preserving technology that benefits the world instead of going to work for the surveillance-advertising-industrial complex. We’re proud of our healthcare plans, family-friendly policies like extended parental leave, flexible schedules, and the many other benefits that help make Signal a great place to work.

    These things cost money, but a world where Signal can attract talented people to work on privacy-preserving technology is a world that looks a lot more attractive.
    Future Tense

    We hope that this cursory tour of some of Signal’s operations and costs helps provide a greater understanding of Signal’s unique place in the tech ecosystem, and of the tech ecosystem itself.

    Our goal of developing an open source private messenger that is supported and sustained by small donations is both highly ambitious and, we believe, existentially important. The cost of most consumer technology is underwritten by surveillance, which has allowed people to assume that “free” is the default, and a handful of industry players have accrued eye-watering amounts of personal data and the unprecedented power to use that data in ways that are shaping our lives and institutions globally.

    To put it another way, the social costs of normalized privacy invasion are staggeringly high, and maintaining and caring for alternative technology has never been more important.

    Signal is working to show that a different approach is possible—an approach that puts privacy at the center, and where organizations are accountable to the people who use and rely on their services, not to investors, or to the endless pursuit of growth and profit.

    Thank you for your support. It’s an honor and privilege to work on Signal every day, and we—very literally—couldn’t do it without you. Please consider donating to Signal via our website or learn how to give using the app.

    #communication #sécurité #messenger #Android #vie_privée #internet

  • Khrys’presso du lundi 13 novembre 2023
    https://framablog.org/2023/11/13/khryspresso-du-lundi-13-novembre-2023

    Comme chaque lundi, un coup d’œil dans le rétroviseur pour découvrir les informations que vous avez peut-être ratées la semaine dernière. Tous les liens listés ci-dessous sont a priori accessibles librement. Si ce n’est pas le cas, pensez à activer … Lire la suite­­

    #Veille #Claviers_invités #GAFAM #Internet #Revue_de_web #Revue_hebdo #Surveillance #veille #webrevue
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  • Sur les traces de l’anarchisme au Québec - 1. Aux origines : le 19e siècle
    https://www.partage-noir.fr/sur-les-traces-de-l-anarchisme-au-quebec-1-aux-origines-le-19e


    ❝Cela fait maintenant plus de 100 ans que les idées anarchistes ont libre cours au #Québec. Depuis la création des premiers syndicats ouvriers combatifs au 19e siècle jusqu’aux récentes mobilisations contre le Sommet des Amériques, l’influence libertaire s’est exprimée de nombreuses façons. Une multitude de journaux, d’interventions publiques, de grèves générales, d’oeuvres artistiques, d’initiatives sociales et d’alterna­tives radicales témoignent de cet engagement au quotidien. Malgré la (...) #Ruptures_n°1_-_automne_2001

    / #Québec, #Internet_Archive #anarchisme
    https://www.partage-noir.fr/IMG/pdf/ruptures_1.pdf

  • Les jeunes-gens ont trouvé un nouveau truc pour sécher les cours. Le mot d’absence falsifié avec imitation de la signature d’un des deux parents ? Complètement has been ... Maintenant on fait dans le « séchage » de masse. La situation est particulièrement « sensible » dans ce département. Depuis le 7 octobre, il ne s’y passe pas un jour sans qu’un établissement ne soit obligé de suspendre les cours.

    À Laval, sept nouveaux établissements scolaires victimes d’alertes à la bombe - France Bleu
    https://www.francebleu.fr/infos/education/a-laval-sept-nouveaux-etablissements-scolaires-victimes-d-alertes-a-la-bo

    Les fausses alertes à la bombe se multiplient en Mayenne. Les élèves et les professeurs de sept établissements à Laval ont été obligés d’évacuer ce mardi 7 novembre.

    https://actu.fr/pays-de-la-loire/evron_53097/en-mayenne-plusieurs-alertes-a-la-bombe-dans-des-etablissements-scolaires_60299

    https://www.ouest-france.fr/pays-de-la-loire/laval-53000/une-nouvelle-alerte-a-la-bombe-est-en-cours-au-college-alain-gerbault-a

    N’empêche que ça pourrait leur coûter cher à tous·tes ces réfractaires à l’éducation « républicaine » ...

    Dans un communiqué de presse en début de semaine, la préfète de la Mayenne a rappelé que diffuser une fausse information dans le but d’une destruction est passible de deux ans de prison et 30 000 euros d’amende.

    https://www.francebleu.fr/infos/faits-divers-justice/alerte-a-la-bombe-en-mayenne-quelle-procedure-a-suivre-2300195

  • Oberlandesgericht : Cloudflare haftet als Täter für Urheberrechtsverletzungen
    https://www.heise.de/news/Oberlandesgericht-Cloudflare-haftet-als-Taeter-fuer-Urheberrechtsverletzungen-
    Attention à ce que fabriquent vos clients. L’exemption des poursuites contre les violations du droit d’auteur pour les prestateurs de services internet ("Providerprivileg") vient de subir un coup grave.

    Cloudflare vient d’être condamné pour complicité directe de la distribution illégale d’oruvres protégés par le portail
    ddl-music. Ses services servent à obfusquer l’adresse ip du portail et le caching des donnés par son CDN fait de Cloudflare un participant actif de l’infaction parce que l’entreprise devient propriétaire des données distribuées.

    https://de.m.wikipedia.org/wiki/Providerprivileg
    C’est une décision inquiétante car elle rend caduc le « Providerprivileg » imscrit dans la loi allemande.

    7.11.2023 von Stefan Krempl - Das Oberlandesgericht Köln hat Cloudflare dazu verdonnert, den Zugang zu einem urheberrechtlich geschützten Musikalbum über das Portal ddl-music.to zu sperren.

    Cloudflare haftet als Betreiber eines Content Delivery Networks (CDN) für den beschleunigten Abruf von Internetinhalten nicht nur als Störer, sondern als Täter von Urheberrechtsverletzungen. Das US-Unternehmen, das auch Cybersicherheitsservices und verteilte DNS-Dienste bereitstellt, habe keinen Anspruch auf die für Zugangsprovider im Telemediengesetz (TMG) und im EU-Recht vorgesehenen Haftungsprivilegien, hat das Oberlandesgericht Köln (OLG) nach Angaben des Bundesverbands Musikindustrie (BVMI) am Freitag entschieden. Cloudflare werde zudem verpflichtet, den Zugang zu einem urheberrechtlich geschützten Musikalbum über die Domain ddl-music.to zu sperren. Konkret geht es um „Herz Kraft Werke“ von Popstar Sarah Connor.

    Das OLG hält so laut dem BVMI ein Urteil des Landgerichts Köln vom September 2022 „teilweise aufrecht“. Bei der niederen Instanz hatte das Plattenlabel Universal Music bereits Ende 2020 eine einstweilige Verfügung erreicht, wonach Cloudflare der Störerhaftung unterliegt. Demnach kann der CDN-Betreiber prinzipiell zur Verantwortung gezogen werden für Urheberrechtsverletzungen, selbst wenn diese auf Drittseiten erfolgen. Mit zum Verhängnis wurde Cloudflare dabei, dass seine Produkte durch verteilte Zwischenspeicherung in Proxy-Servern direkten Internetverkehr von Kundenservern fernhalten, Zugriffe auf das Domain Name System (DNS) mit eigenen Resolvern umleiten und so die Identität der Seitenbetreiber verschleiern können.
    Täterhaftung

    „Der CDN-Dienst ermöglicht Betreibern von strukturell rechtsverletzenden Webseiten eine Anonymisierung, indem die Identität von Cloudflare an die Stelle des wahren Host Providers gesetzt wird“, schreibt der BVMI dazu. Kunden könnten sich so „der Rechtsverfolgung entziehen“. Das Cloudflare-CDN spiele damit „für die Zugänglichmachung illegaler Inhalte eine zentrale Rolle“. Das Geschäftsmodell von DDL-Music sei zudem klar auf illegale Downloads geschützter Werke ausgerichtet gewesen. René Houareau, Geschäftsführer Recht & Politik beim BVMI, freute sich daher, dass das OLG „durch die Verschärfung der Haftung als echte Täterhaftung ein weiteres Zeichen gegen die illegale Nutzung von Musikaufnahmen“ setze.

    Der Bundesgerichtshof (BGH) habe im Juni 2022 grundsätzlich die Täterhaftung für Sharehosting-Plattformen etabliert, die das OLG nun „präzise weiter ausinterpretiert“ habe, erklärte Houareau. Erstmals habe das OLG Köln zudem in einer Entscheidung vom 9. Oktober 2020 eine einstweilige Verfügung gegen Cloudflare bestätigt und „damit die Störerhaftung von Anonymisierungsdiensten etabliert“. Eine Sprecherin des OLG Köln antwortete am Dienstagnachmittag inhaltlich nicht auf eine Anfrage von heise online zum weiteren Beschlusstenor und Aktenzeichen. Der DDL-Music-Fall erinnert auch an die Auseinandersetzung zwischen Sony Music und dem DNS-Dienst Quad9, in der das Landgericht Leipzig diesen Anfang März ebenfalls nicht nur als Störer, sondern als Täter von Urheberrechtsverletzungen verurteilte.

    DDL-Music ist bereits seit zwei Jahren offline, sodass das neue Urteil für den Zugang zu diesem Angebot keine Rolle mehr spielt. Plattenfirmen dürfte es nun aber leichter fallen, Cloudflare und weitere CDNs dazu anzuhalten, andere Warez-Portale zu blockieren. Derzeit ist unklar, ob der Fall noch vor dem BGH landen könnte.

    #Allemagne #justice #internet #droit_d_auteur #fai