#john_bolton

  • La France en danger : où en est le renseignement ?
    Eric Dénécé, Diffusé en direct le 11 sept. 2019
    https://www.youtube.com/watch?v=mx5QlspmmE8

    La France en danger : où en est le renseignement ?

    vers 24:00 Eric Dénécé émet de forts doutes sur l’autonomie de la diplomatie française
    #Macron, #G7, le ministre iranien des Affaires étrangères Mohammad #Javad_Zarif, #John_Bolton.

    Vers 34:50 #Ukraine #CIA
    vers 45:50 #Arabie_Saoudite #Iran
    54 : #Intelligence_économique #Alsthom
    1:09:20 #Affaire_Skripal
    1:11:15 #Yemen
    1:14:50 seule mention de Gaza pour dire que les images sur la #Syrie étaient manipulées, et qu’on montrait à la place les destructions sur #Gaza.
    1:16 frappes chimiques fausses

    Eric dénécé directeur du CF2R : https://www.cf2r.org/#
    Il conseille de lire Le secret de l’Occident : Vers une théorie générale du progrès scientifique de David Cosandey, Flammarion

  • Stop Calling #John_Bolton a ‘Hawk’ – Rolling Stone
    https://www.rollingstone.com/politics/political-commentary/john-bolton-hawk-iraq-war-criminal-882916

    A hawk is a medium-sized bird of prey, a noble animal that plays a vital role in many ecosystems.

    John Bolton, by contrast, is a war criminal, a man better described as a black-pilled, death-worshipping ghoul drenched in the blood of Muslim children than compared to an elegant specimen of the family Accipitridae.

    #criminel #faucon #noble

  • « Bolton espère que les Iraniens seront assez stupides pour provoquer une guerre »
    https://www.mediapart.fr/journal/international/190519/bolton-espere-que-les-iraniens-seront-assez-stupides-pour-provoquer-une-gu

    « La confusion et l’ignorance de Trump rencontrent l’agenda néoconservateur de son entourage », juge l’historien américain Hussein Banai, spécialiste des relations chaotiques entre les États-Unis et l’Iran. Un cocktail explosif.

    #Entretien #John_Bolton,_Iran,_Etats-Unis,_diplomatie,_Maison-Blanche,_guerre,_neoconservatisme,_A_la_Une

  • Quoi qu’il en soit, Trump ne quittera pas la Syrie et l’Afghanistan Stephen Gowans - 2 Janvier 2019 - Investigaction
    https://www.investigaction.net/fr/117672

    Il ne fait que transférer le fardeau sur les alliés et compter davantage sur les mercenaires

    Le retrait annoncé des troupes américaines de #Syrie et la diminution des troupes d’occupation en #Afghanistan ne correspondent très probablement pas à l’abandon par les #États-Unis de leurs objectifs au #Moyen-Orient, mais bien plutôt à l’adoption de nouveaux moyens pour atteindre les buts que la politique étrangère américaine vise depuis longtemps. Plutôt que de renoncer à l’objectif américain de dominer les mondes arabe et musulman par un système colonialiste et une occupation militaire directe, le président #Donald_Trump ne fait que mettre en œuvre une nouvelle politique – une politique basée sur un transfert plus important du fardeau du maintien de l’#Empire sur ses alliés et sur des soldats privés financés par les monarchies pétrolières.

    Le modus operandi de Trump en matière de relations étrangères a été constamment guidé par l’argument que les alliés des États-Unis ne parviennent pas à peser leur poids et devraient contribuer davantage à l’architecture de la sécurité américaine. Recruter des alliés arabes pour remplacer les troupes américaines en Syrie et déployer des #mercenaires (appelés par euphémisme des fournisseurs de sécurité) sont deux options que la Maison-Blanche examine activement depuis l’année dernière. De plus, il existe déjà une importante présence alliée et mercenaire en Afghanistan et le retrait prévu de 7000 soldats américains de ce pays ne réduira que marginalement l’empreinte militaire occidentale.

    Le conflit entre le secrétaire américain à la Défense #Jim_Mattis et Trump quant à leurs visions du monde est perçu à tort comme l’expression d’opinions contradictoires sur les objectifs américains plutôt que sur la manière de les atteindre. Mattis privilégie la poursuite des buts impériaux des États-Unis par la participation significative de l’armée américaine tandis que Trump favorise la pression sur les alliés pour qu’ils assument une plus grande partie du fardeau que constitue l’entretien de l’empire américain, tout en embauchant des fournisseurs de sécurité pour combler les lacunes. Le but de Trump est de réduire la ponction de l’Empire sur les finances américaines et d’assurer sa base électorale, à qui il a promis, dans le cadre de son plan « #America_First », de ramener les soldats américains au pays.

    Fait significatif, le plan de Trump est de réduire les dépenses des activités militaires américaines à l’étranger, non pas comme fin en soi mais comme moyen de libérer des revenus pour l’investissement intérieur dans les infrastructures publiques. De son point de vue, les dépenses pour la république devraient avoir la priorité sur les dépenses pour l’#Empire. « Nous avons [dépensé] 7 mille milliards de dollars au Moyen-Orient », s’est plaint le président américain auprès des membres de son administration. « Nous ne pouvons même pas réunir mille milliards de dollars pour l’infrastructure domestique. »[1] Plus tôt, à la veille de l’élection de 2016, Trump se plaignait que Washington avait « gaspillé 6 trillions de dollars en guerres au Moyen-Orient – nous aurions pu reconstruire deux fois notre pays – qui n’ont produit que plus de terrorisme, plus de mort et plus de souffrance – imaginez si cet argent avait été dépensé dans le pays. […] Nous avons dépensé 6 trillions de dollars, perdu des milliers de vies. On pourrait dire des centaines de milliers de vies, parce qu’il faut aussi regarder l’autre côté. » [2]

    En avril de cette année, Trump « a exprimé son impatience croissante face au coût et à la durée de l’effort pour stabiliser la Syrie » et a parlé de l’urgence d’accélérer le retrait des troupes américaines. [3] Les membres de son administration se sont empressés « d’élaborer une stratégie de sortie qui transférerait le fardeau américain sur des partenaires régionaux ». [4]

    La conseiller à la Sécurité nationale, #John_Bolton, « a appelé Abbas Kamel, le chef par intérim des services de renseignement égyptiens pour voir si le Caire contribuerait à cet effort ». [5] Puis l’#Arabie_ saoudite, le #Qatar et les Émirats arabes unis ont été « approchés par rapport à leur soutien financier et, plus largement, pour qu’ils contribuent ». Bolton a également demandé « aux pays arabes d’envoyer des troupes ». [6] Les satellites arabes ont été mis sous pression pour « travailler avec les combattants locaux #kurdes et arabes que les Américains soutenaient » [7] – autrement dit de prendre le relais des États-Unis.

    Peu après, #Erik_Prince, le fondateur de #Blackwater USA, l’entreprise de mercenaires, a « été contactée de manière informelle par des responsables arabes sur la perspective de construire une force en Syrie ». [8] À l’été 2017, Prince – le frère de la secrétaire américaine à l’Éducation #Betsy_De_Vos – a approché la Maison Blanche sur la possibilité de retirer les forces étasuniennes d’Afghanistan et d’envoyer des mercenaires combattre à leur place. [9] Le plan serait que les monarchies pétrolières du golfe Persique paient Prince pour déployer une force mercenaire qui prendrait la relève des troupes américaines.

    En avril, Trump a annoncé : « Nous avons demandé à nos partenaires d’assumer une plus grande responsabilité dans la sécurisation de leur région d’origine. » [10] La rédaction en chef du Wall Street Journal a applaudi cette décision. Le plan de Trump, a-t-il dit, était « la meilleure stratégie » – elle mobiliserait « les opposants régionaux de l’Iran », c’est-à-dire les potentats arabes qui gouvernent à la satisfaction de Washington en vue du projet de transformer « la Syrie en un Vietnam pour l’Ayatollah ». [11]

    En ce moment, il y a 14 000 soldats américains reconnus en Afghanistan, dont la moitié, soit 7 000, seront bientôt retirés. Mais il y a aussi environ 47 000 soldats occidentaux dans le pays, y compris des troupes de l’#OTAN et des mercenaires (14 000 soldats américains, 7 000 de l’OTAN [12] et 26 000 soldats privés [13]). Diviser la contribution étasunienne de moitié laissera encore 40 000 hommes de troupes occidentales comme force d’occupation en Afghanistan. Et la réduction des forces américaines peut être réalisée facilement en engageant 7000 remplaçants mercenaires, payés par les monarques du golfe Persique. « Le retrait », a rapporté The Wall Street Journal, « pourrait ouvrir la voie à un plus grand nombre d’entrepreneurs privés pour assumer des rôles de soutien et de formation », comme le souligne « la campagne de longue date d’Erik Prince ». Le Journal a noté que le frère de la secrétaire à l’Éducation « a mené une campagne agressive pour convaincre M. Trump de privatiser la guerre ». [14]

    La démission de Mattis a été interprétée comme une protestation contre Trump, qui « cède un territoire essentiel à la Russie et à l’Iran » [15] plutôt que comme un reproche à Trump de se reposer sur des alliés pour porter le fardeau de la poursuite des objectifs étasuniens en Syrie. La lettre de démission du secrétaire à la Défense était muette sur la décision de Trump de rapatrier les troupes américaines de Syrie et d’Afghanistan et insistait plutôt sur « les alliances et les partenariats ». Elle soulignait les préoccupations de Mattis sur le fait que le changement de direction de Trump n’accordait pas suffisamment d’attention au « maintien d’alliances solides et de signes de respect » à l’égard des alliés. Alors que cela a été interprété comme un reproche d’avoir abandonné le fer de lance américain en Syrie, les Kurdes, Mattis faisait référence aux « alliances et aux partenariats » au pluriel, ce qui indique que ses griefs vont plus loin que les relations des États-Unis avec les Kurdes. Au contraire, Mattis a exprimé des préoccupations cohérentes avec une plainte durable dans le milieu de la politique étrangère américaine selon laquelle les efforts incessants de Trump pour faire pression sur ses alliés afin qu’ils supportent davantage le coût du maintien de l’Empire aliènent les alliés des Américains et affaiblissent le « système d’alliances et de partenariats » qui le composent. [16]

    L’idée, aussi, que la démission de Mattis est un reproche à Trump pour l’abandon des Kurdes, est sans fondement. Les Kurdes ne sont pas abandonnés. Des commandos britanniques et français sont également présents dans le pays et « on s’attend à ce qu’ils restent en Syrie après le départ des troupes américaines ». [17] Mattis semble avoir été préoccupé par le fait qu’en extrayant les forces américaines de Syrie, Trump fasse peser plus lourdement le poids de la sécurisation des objectifs étasuniens sur les Britanniques et les Français, dont on ne peut guère attendre qu’ils tolèrent longtemps un arrangement où ils agissent comme force expéditionnaire pour Washington tandis que les troupes américaines restent chez elles. À un moment donné, ils se rendront compte qu’ils seraient peut-être mieux en dehors de l’alliance américaine. Pour Mattis, soucieux depuis longtemps de préserver un « système global d’alliances et de partenariats » comme moyen de « faire progresser un ordre international le plus propice à la sécurité, à la prospérité et aux valeurs [des États-Unis], le transfert du fardeau par Trump ne parvient guère à « traiter les alliés avec respect » ou à « faire preuve d’un leadership efficace », comme Mattis a écrit que Washington devrait le faire dans sa lettre de démission.

    Le président russe #Vladimir_Poutine a accueilli l’annonce de Trump avec scepticisme. « Nous ne voyons pas encore de signes du retrait des troupes américaines », a-t-il déclaré. « Depuis combien de temps les États-Unis sont-ils en Afghanistan ? Dix-sept ans ? Et presque chaque année, ils disent qu’ils retirent leurs troupes. » [18] Le #Pentagone parle déjà de déplacer les troupes américaines « vers l’#Irak voisin, où environ 5000 soldats étasuniens sont déjà déployés », et qui ‘déferleront’ en Syrie pour des raids spécifiques ». [19] Cette force pourrait aussi « retourner en Syrie pour des missions spéciales si des menaces graves surgissent » [20] ce qui pourrait inclure les tentatives de l’armée syrienne de récupérer son territoire occupé par les forces #kurdes. De plus, le Pentagone conserve la capacité de continuer de mener des « frappes aériennes et de réapprovisionner les combattants kurdes alliés avec des armes et du matériel » depuis l’Irak. [21]

    Trump n’a jamais eu l’intention d’apporter à la présidence une redéfinition radicale des objectifs de la politique étrangère américaine, mais seulement une manière différente de les atteindre, une manière qui profiterait de ses prouesses autoproclamées de négociation. Les tactiques de négociation de Trump n’impliquent rien de plus que de faire pression sur d’autres pour qu’ils paient la note, et c’est ce qu’il a fait ici. Les Français, les Britanniques et d’autres alliés des Américains remplaceront les bottes étasuniennes sur le terrain, avec des mercenaires qui seront financés par les monarchies pétrolières arabes. C’est vrai, la politique étrangère des États-Unis, instrument pour la protection et la promotion des profits américains, a toujours reposé sur quelqu’un d’autre pour payer la note, notamment les Américains ordinaires qui paient au travers de leurs impôts et, dans certains cas, par leurs vies et leurs corps en tant que soldats. En tant que salariés, ils ne tirent aucun avantage d’une politique façonnée par « des #élites_économiques et des groupes organisés représentant les intérêts des entreprises », comme les politologues Martin Gilens et Benjamin I. Page l’ont montré dans leur enquête de 2014 portant sur plus de 1700 questions politiques américaines. Les grandes entreprises, concluaient les chercheurs, « ont une influence considérable sur la politique gouvernementale, tandis que les citoyens moyens et les groupes fondés sur les intérêts des masses n’ont que peu d’influence ou pas d’influence du tout ». [22] Autrement dit, les grandes entreprises conçoivent la politique étrangère à leur avantage et en font payer le coût aux Américains ordinaires. 

    C’est ainsi que les choses devraient être, selon Mattis et d’autres membres de l’élite de la politique étrangère américaine. Le problème avec Trump, de leur point de vue, est qu’il essaie de transférer une partie du fardeau qui pèse actuellement lourdement sur les épaules des Américains ordinaires sur les épaules des gens ordinaires dans les pays qui constituent les éléments subordonnés de l’Empire américain. Et alors qu’on s’attend à ce que les alliés portent une partie du fardeau, la part accrue que Trump veut leur infliger nuit est peu favorable au maintien des alliances dont dépend l’Empire américain. 

    Notes :
    1. Bob Woodward, Fear : Trump in the White House, (Simon & Shuster, 2018) 307.

    2. Jon Schwarz, “This Thanksgiving, I’m Grateful for Donald Trump, America’s Most Honest President,” The Intercept, November 21, 2018.

    3. Michael R. Gordon, “US seeks Arab force and funding for Syria,” The Wall Street Journal, April 16, 2018.

    4. Gordon, April 16, 2018.

    5. Gordon, April 16, 2018.

    6. Gordon, April 16, 2018.

    7. Gordon, April 16, 2018.

    8. Gordon, April 16, 2018.

    9. Michael R. Gordon, Eric Schmitt and Maggie Haberman, “Trump settles on Afghan strategy expected to raise troop levels,” The New York Times, August 20, 2017.

    10. Gordon, April 16, 2018.

    11. The Editorial Board, “Trump’s next Syria challenge,” The Wall Street Journal, April 15, 2018.

    12. Julian E. Barnes, “NATO announces deployment of more troops to Afghanistan,” The Wall Street Journal, June 29, 2017.

    13. Erik Prince, “Contractors, not troops, will save Afghanistan,” The New York Times, August 30, 2017.

    14. Craig Nelson, “Trump withdrawal plan alters calculus on ground in Afghanistan,” The Wall Street Journal, December 21, 2018.

    15. Helene Cooper, “Jim Mattis, defense secretary, resigns in rebuke of Trump’s worldview,” The New York Times, December 20, 2018.

    16. “Read Jim Mattis’s letter to Trump : Full text,” The New York Times, December 20, 2018.

    17. Thomas Gibbons-Neff and Eric Schmitt, “Pentagon considers using special operations forces to continue mission in Syria,” The New York Times, December 21, 2018.

    18. Neil MacFarquhar and Andrew E. Kramer, “Putin welcomes withdrawal from Syria as ‘correct’,” The New York Times, December 20, 2018.

    19. Thomas Gibbons-Neff and Eric Schmitt, “Pentagon considers using special operations forces to continue mission in Syria,” The New York Times, December 21, 2018.

    20. Gibbons-Neff and Schmitt, December 21, 2018.

    21. Gibbons-Neff and Schmitt, December 21, 2018.

    22. Martin Gilens and Benjamin I. Page, “Testing Theories of American Politics : Elites, Interest Groups, and Average Citizens,” Perspectives on Politics, Fall 2014.
    Traduit par Diane Gilliard
    Source : https://gowans.wordpress.com/2018/12/22/no-matter-how-it-appears-trump-isnt-getting-out-of-syria-and-afgha

  • John Bolton chaired anti-Muslim think tank
    https://www.nbcnews.com/politics/white-house/john-bolton-chaired-anti-muslim-think-tank-n868171

    John Bolton, President Donald Trump’s new national security adviser, chaired a nonprofit that has promoted misleading and false anti-Muslim news, some of which was amplified by a Russian troll factory, an NBC News review found.

    The group’s authors also appeared on Russian media, including Sputnik and RT News, criticizing mainstream European leaders like French President Emmanuel Macron.

    From 2013 until last month, Bolton was chairman of the Gatestone Institute, a New York-based advocacy group that warns of a looming “jihadist takeover” of Europe leading to a “Great White Death.”

    The group has published numerous stories and headlines on its website with similar themes. “Germany Confiscating Homes to Use for Migrants,” warned one from May 2017, about a single apartment rental property in Hamburg that had gone into temporary trusteeship. Another from February 2015 claimed the immigrants, for instance Somalis, in Sweden were turning that country into the “Rape Capital of the West.”

    #islamophobie

  • What’s at Stake for Oil as Trump Appoints Another Iran Hawk? - Bloomberg
    https://www.bloomberg.com/news/articles/2018-03-23/what-s-at-stake-for-oil-as-trump-appoints-another-iran-hawk

    Iran is trying to attract more than $100 billion from international oil companies to boost crude and condensate output by about 25 percent to more than 5 million barrels a day. Without new investment from international companies production will stagnate.

    Trump’s disdain for the nuclear deal has already deterred investors from the country, the third-biggest producer in OPEC. Of the Western energy majors, only France’s Total SA has returned, and its gas venture is proceeding slowly. Iranian officials are already complaining that western oil companies are too cautious to return to the country and there are signs that Russian companies are stepping in to fill the vacuum.

    Total has the biggest financial stake of any international energy major, having pledged to invest $1 billion in the first phase of an offshore natural gas project. Overall investment in the project could reach $5 billion, and while the company is determined to press ahead, Chief Executive Officer Patrick Pouyanne has promised to review the legal consequences of any new U.S. restrictions.
    […]
    Three years ago, in a New York Times op-ed titled “To Stop Iran’s Bomb, Bomb Iran,” Bolton argued that the only way to prevent Tehran obtaining nuclear weapons was a military strike. He cited Israel’s preemptive strike in 1981 on Saddam Hussein’s Osirak reactor as an example of effective action.

    Bolton downplayed the significance of his past public statements in an interview with Fox News shortly after the appointment was announced, saying he would defer to the president’s judgment.

    I’ve never been shy about what my views are,” Bolton said. But, he added, that “now is behind me, at least effective April 9, and the important thing is what the president says and what advice I give him.

    Bolton’s appointment has lots of implications beyond just Iran, Ian Bremmer, president of consultant Eurasia Group, said on Twitter. It also makes Trump’s scheduled talks with North Korea’s leader Kim Jong-Un riskier, he said.

    Thursday was “probably the worst/biggest single day for geopolitical risk since I started Eurasia Group in 1998,” Bremmer said on Twitter.

  • #John_Bolton, un « faucon » pour Donald Trump en politique étrangère
    http://www.lemonde.fr/ameriques/article/2018/03/23/john-bolton-un-faucon-pour-donald-trump-en-politique-etrangere_5275089_3222.

    Neuf jours après avoir renvoyé son chef de la diplomatie, Donald Trump a annoncé dans la soirée du jeudi 22 mars, sur Twitter le limogeage de son conseiller à la sécurité nationale, H. R. McMaster, et son remplacement par John Bolton.

  • #George_Clooney Makes Politics
    http://africasacountry.com/george-clooney-makes-politics

    George Clooney profile in the December issue of #Esquire is a checklist of all things that position him above the typical A-lister: not only does he have great cars, but he has carefully chosen three cars that speak to his eliteness. Not only does he lives in cool, expensive houses, but ones with Hollywood pedigrees. And does he ever have friends. Another thing that puts Clooney on the Top Shelf: he’s not only a liberal politics supporter, but a maker of politics. We learn, after a lot of (...)

    #MEDIA #PALAVER #John_Bolton #Kofi_Annan #Sudan #UN

    • ça devrait intéresser pas mal de monde : @nidal @alaingresh

      Too bad that superego didn’t tell his son to read up better on Darfur, do work quietly, humbly, and meaningfully, and not buy into the idea that celebrity “can make a difference.”

  • Signalé par Rami Zuraik sous le titre « Food as a weapon » :
    http://landandpeople.blogspot.com/2010/12/food-as-weapon.html

    cet article du New York Times indique que John Bolton suggère de couper l’aide alimentaire à la Chine comme moyen de pression. (Menacer la population de malnutrition pour faire pression sur les autorités politiques, c’est une des définitions du terrorisme.)

    Asking China to Act Like the U.S. - NYTimes.com
    http://www.nytimes.com/2010/11/28/weekinreview/28cooper.html

    Some conservative critics of the Obama administration say that the United States can manage this new reality only if it is tougher in its demands of Beijing. “I would turn up the pressure on China to reunite the Korean peninsula,” said John Bolton, who was the United States ambassador to the United Nations in the Bush administration. “This division is unnatural, and they need to get on the right side of history. And in the meantime, I would strangle North Korea economically, ramping up the P.S.I. activities,” a reference to military maneuvers in the Yellow Sea.

    “I’d cut off all food aid; that’s turning up the pressure,” Mr. Bolton said. “What Obama’s doing right now is just rhetoric.”

    #john_bolton #Chine #aide_alimentaire #sécurité_alimentaire