Les journalistes inquiets du numérique
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C’est là qu’on retombe sur le format. L’article « littéraire », c’est bien, mais ça ne suffit plus si derrière, on ne sait pas le distribuer efficacement. C’est sur ce point que les journalistes web ont une longueur d’avance, même s’ils n’ont pas toujours les outils adéquats (les réseaux sociaux, c’est encore très artisanal). Ils se préoccupent d’attirer l’attention sur leur production, de la faire arriver vers un public que cela pourra intéresser. Un souci que n’ont pas intégré les journalistes papier, qui une fois la copie rendue, se désintéressent de cet aspect. Or, il fait partie du job.