• صحيفة "يسرائيل هايوم" الإسرائيلية تكشف التفاصيل الكاملة لـ"صفقة القرن" بوثيقة مسربة داخل وزارة الخارجية الإسرائيلية - رأي اليوم
    https://www.raialyoum.com/index.php/%d8%b5%d8%ad%d9%8a%d9%81%d8%a9-%d9%8a%d8%b3%d8%b1%d8%a7%d8%a6%d9%8a%d9%84

    Des fuites israéliennes assez détaillées sur le contenu du "deal du beau-fils" plus connu sous le nom de "deal du siècle"... Ci-dessous, c’est plus commode en français, la version qu’en donne Al-Manar (http://french.almanar.com.lb/1355312)

    Selon Israel Yahom, un quotidien qui prône une ligne éditoriale en faveur du Premier ministre israélien Benjamin Netanyahu, cette transaction élaborée par le gendre du président américain Jared Kushner, comprend un accord tripartite entre l’entité sioniste, l’Organisation de libération de la Palestine et le Hamas en vue de fonder un Etat palestinien.

    Comme prévu, ce dernier n’a rien à voir avec la Palestine préconisée par le Droit international, sans compter la Palestine historique. Baptisé Nouvelle Palestine (New Palestine), il s’étendra sur des parties de la Cisjordanie occupée, sans les colonies, ainsi que sur la bande de Gaza.
    L’accord accorde à « Israël » les colonies isolées, au même titre que les blocs de colonies.

    Toujours selon ce journal dont les révélations devraient être lues avec précaution, la ville sainte d’al-Quds Jérusalem serait partagée entre l’entité sioniste et la Nouvelle Palestine, où les habitants arabes devraient être transférés.
    La responsabilité de la ville sainte en incombera à la municipalité israélienne à laquelle la Nouvelle Palestine devra payer les impôts. Il ne serait plus permis aux Juifs de s’acheter des maisons arabes et vice versa.
    Les lieux saints resteraient tels quels.

    S’agissant de la bande de Gaza, l’Egypte devrait accorder de nouvelles terres à la Palestine afin d’y édifier un aéroport, des usines, une zone de transit commercial et agricole. Les Palestiniens ne seraient pas autorisés à y résider.
    La superficie des territoires et leur cout devraient faire l’objet d’une entente entre les différents protagonistes, par l’intermédiaire des Etats favorables. C’est-à-dire les Etats-Unis, l’Union européenne et les pays pétroliers du Golfe.
    La définition de l’Etat palestinien viendra ultérieurement.

    Une autoroute devrait relier la bande de Gaza à la Cisjordanie, tout en permettant l’installation de canaux hydroliques souterrains entre les deux. 30 milliards de dollars seraient alloués à la Nouvelle Palestine, sur une durée de 5 années, dont 20% seraient procurés par les Etats-Unis, 10% par l’UE et 70% par les pays pétroliers du Golfe. Les plus riches parmi ces derniers devraient payer le plus car selon l’accord, ils profitent le plus de l’accord.

    Le prix des colonies annexées par Israël dont celles isolées devraient être fournies par Israël.

    Il est interdit à la Nouvelle Palestine d’avoir une armée. Le seul arsenal dont elle peut disposer est celui de la police. Et c’est à Israël que revient de la défendre contre toute offensive étrangère. A condition qu’elle lui paie le prix de cette défense. Des négociations auront lieu entre l’entité sioniste et les pays arabes sur la valeur qu’ils auront à payer à l’armée israélienne en échange de cette défense.

    Lors de la conclusion de l’accord, le Hamas devra démanteler son arsenal et le livrer aux Egyptiens. Il n’aura droit qu’à des armes individuelles et personnelles pour ses dirigeants. En échange, ces derniers vont percevoir des salaires mensuels que les Etats arabes auront à leur payer.

    Les frontières de la bande de Gaza seront ouvertes au commerce international via les passages israéliens et égyptiens. Le marché de Gaza sera ouvert à la Cisjordanie et à la mer aussi.

    Un an après l’accord, seront organisées en Nouvelle Palestine des élections démocratiques auxquelles tous les Palestiniens peuvent se porter candidat. Un an plus tard, les détenus seront libérés progressivement, sur une durée de trois ans.

    En cinq années, un port maritime et un aéroport vont être érigés en Nouvelle Palestine. Entretemps, les Palestiniens utiliseront les aéroports et ports israéliens.

    Les frontières entre la Nouvelle Palestine et « Israël » seront ouvertes devant les citoyens et les marchandises comme c’est le cas entre les pays amis.
    Un pont suspendu sur une hauteur de 30 mètres au-dessus du sol sera construit entre Gaza et la Cisjordanie. Sa construction sera confiée à une société chinoise. La Chine aura à participer à son coût à hauteur de 50%, alors que le Japon, la Corée du sud, l’Australie, et le Canada, devront chacun déverser 10% de son prix. Les Etats-Unis et l’union européenne rembourseront quant à eux deux 10% de son prix.

    Concernant la vallée du Jourdain, elle restera entre les mains des Israéliens. Sa route 90 sera divisée en quatre parcours, tous sous la supervision israélienne, dont les deux qui relieront la nouvelle Palestine à la Jordanie.

    Au cas où le Hamas et l’OLP refusent l’accord, les Etats-Unis enrayeront toute l’aide financière qu’ils fournissent aux Palestiniens et s’attelleront pour empêcher toute aide de parties tierces.

    Au cas où l’OLP accepte les conditions de l’accord, mais le Hamas et le Jihad islamique les rejettent, la responsabilité de l’échec leur incombera. Si un affrontement éclate entre Israël et le Hamas, les Etats-Unis soutiendront Israël pour nuire à leurs dirigeants.

    #palestine #deal_du_siècle #kushner

    Et si Israël refuse l’accord, le soutien économique que les USA lui procurent sera suspendu.

  • Israel lobby billionaire praises Kushner for collusion with Netanyahu | The Electronic Intifada | Ali Abunimah Power Suits 4 December 2017
    https://electronicintifada.net/blogs/ali-abunimah/israel-lobby-billionaire-praises-kushner-collusion-netanyahu

    President Donald Trump’s son-in-law Jared Kushner received public praise on Sunday from a billionaire Israel lobby financier for his possibly illegal attempts to derail a UN Security Council vote condemning Israel’s settlements a year ago.

    This came as news broke that Kushner failed to disclose in government ethics filings his role as director of a family foundation that funded Israeli settlements.

    Kushner, a senior adviser to Trump, is in charge of efforts to revive the so-called peace process.

    New details of Kushner’s Saudi-backed plan reported Sunday confirm that it would require nothing less than a complete capitulation by the Palestinians to Israel’s demands, leaving them with a state in name only.
    “Nothing illegal”

    On Sunday, Kushner appeared at the Saban Forum, an Israel lobby conference at Washington’s Brookings Institution, financed by Israeli-American billionaire Haim Saban.

    Saban and Kushner sat on stage for what was billed as a “keynote conversation.”

    “You’ve been in the news the last few days, to say the least. But you’ve been in the news about an issue that I personally want to thank you for, because you and your team were taking steps to try and get the United Nations Security Council to not go along with what ended up being an abstention by the US,” Saban said in the exchange in the video at the top of this article.

    “As far as I know there was nothing illegal there but I think that this crowd and myself want to thank you for making that effort.”

    “Thank you,” Kushner responded.
    (...)

    “Peace” plan

    Given the systematic lack of accountability for senior US officials, dating back decades, there is little reason to expect that anything short of an indictment will remove Kushner from his role.

    And the more that is known about the “peace plan” he is helping forge, the clearer it is that Kushner and his colleagues are simply mouthpieces for Netanyahu.

    On Sunday, The New York Times characterized the as yet unpublished plan in the following terms: “The Palestinians would get a state of their own but only noncontiguous parts of the West Bank and only limited sovereignty over their own territory. The vast majority of Israeli settlements in the West Bank, which most of the world considers illegal, would remain. The Palestinians would not be given East Jerusalem as their capital and there would be no right of return for Palestinian refugees and their descendants.”

    These were the elements reportedly conveyed to Palestinian Authority leader Mahmoud Abbas by Saudi Crown Prince Mohammad bin Salman last month with an ultimatum that he accept them or resign.

    These ideas are so far below what any Palestinian could ever accept that even Abbas was “alarmed and visibly upset” by the Saudi proposal, according to an official from his Fatah party cited by the Times.

    The White House has denied that its plan has been finalized, and Saudi Arabia denied it supported such positions, according to the Times.

    But the newspaper provides ample reason to doubt those denials, noting that: “the main points of the Saudi proposal as told to Mr. Abbas were confirmed by many people briefed on the discussions between Mr. Abbas and Prince Mohammad, including Mr. [Ahmad] Yousef, the senior Hamas leader; Ahmad Tibi, a Palestinian member of the Israeli Parliament; several Western officials; a senior Fatah official; a Palestinian official in Lebanon; a senior Lebanese official; and a Lebanese politician, among others.”

    The Saudis have been pressuring the Palestinians to capitulate to Israel evidently to clear the Palestinian cause out of the way so that the growing Saudi-Israeli alliance aimed at Iran can be brought fully into the open.

    One element of the plan reportedly includes giving Palestinians a capital in the village of Abu Dis, instead of Jerusalem.

    This is a revival of a 1990s fantasy in which the small village would be renamed “al-Quds” and declared the “capital of Palestine,” while the real city of Jerusalem is swallowed up by Israel.

    Israel currently uses part of Abu Dis as an illegal garbage dump.

    #Flynn #Kushner #Mueller

    • L’étrange cas de Jared Kushner et du lobby israélien
      Richard Silverstein | 4 décembre 2017
      http://www.middleeasteye.net/fr/opinions/l-trange-cas-de-jared-kushner-et-du-lobby-isra-lien-1758255038

      Il était clair que l’objectif de toute la hiérarchie, à commencer par Netanyahou et Trump, était de détruire la résolution, qui bénéficiait du soutien tacite de l’administration Obama.

      Bien que les États-Unis se soient finalement abstenus, l’administration Obama n’a manifestement rien fait pour arrêter la résolution – ce qui signifie qu’elle l’a tacitement soutenue. Par le passé, elle avait en réalité opposé son veto à des propositions pratiquement identiques du Conseil de sécurité.

      L’abstention était alors une initiative assez audacieuse de la part des États-Unis. Par conséquent, en intervenant pour tuer la résolution, Kushner a franchi la ligne entre le fait d’utiliser son droit de s’exprimer librement sur la politique du gouvernement garanti par le Premier Amendement et le fait de subvertir la politique étrangère officielle des États-Unis. Il s’agit là d’un terrain juridique encore inexploré.

      L’inclusion de la loi Logan dans une liste d’accusations contre Kushner ne serait pas seulement un fait nouveau : cela avertirait en effet le lobby israélien qu’une ligne rouge a été franchie. Et qu’une fois que cette ligne est franchie, on a affaire à un comportement criminel. Ce serait là une première. Un coup de semonce choquant qui ferait vaciller le lobby.

      Cependant, on peut douter que Mueller fasse de la loi Logan un élément clé de sa stratégie juridique. Lorsque l’on poursuit un président des États-Unis, on préfère ne pas s’essayer à des théories juridiques non éprouvées ou ésotériques.

  • Pan-African #FASHION that rejects “social entrepreneurship”
    http://africasacountry.com/pan-african-fashion-that-rejects-social-entrepreneurship

    ‘Kushn’ is a chic, afro-futurist fashion and #design store based in #Cape_Town. Owners Greer Valley and her husband, Themba Mntambo, started the company three years ago using leather and colourful woven cloth sourced from textile co-ops in Ethiopia and Ghana. The store’s name is a play on the kingdom of Kush – which was […]

    #Kushn #Local #Process #Traditional