COMMENT FACEBOOK ET ZUCKERBERG ONT DÉTRUIT L’HUMANITÉ (OU PRESQUE)
▻https://www.youtube.com/watch?v=-UNz84GGuDc
#Pacôme_Thiellement #internet #infernet #Facebook #Mark_Zuckerberg #parc_d'attraction #like
COMMENT FACEBOOK ET ZUCKERBERG ONT DÉTRUIT L’HUMANITÉ (OU PRESQUE)
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#Pacôme_Thiellement #internet #infernet #Facebook #Mark_Zuckerberg #parc_d'attraction #like
Réseaux sociaux : faut-il en finir avec les « likes » et l’économie de l’attention ? – Libération
▻https://www.liberation.fr/economie/economie-numerique/reseaux-sociaux-faut-il-en-finir-avec-les-likes-et-leconomie-de-lattentio
▻https://www.liberation.fr/resizer/BEyWyK_M28Ff825uWRpfwwW1xp0=/1200x630/cloudfront-eu-central-1.images.arcpublishing.com/liberation/OVQSOMG24NA6DH3V4XX74WPANA.JPG
Ancien symbole de l’ère numérique, le « like » est accusé de tous les maux : course à la popularité, addiction… Facebook et Instagram proposent désormais de cacher les « likes » aux internautes qui se sentent sous pression. Mais à qui cela sert-il vraiment ?
Popularisé par Facebook, où l’on peut « aimer » des contenus depuis 2009, le geste est devenu une norme sur les réseaux sociaux. (Aly Song/Reuters)
par Lucie Ronfaut
publié le 7 juin 2021 à 15h49
Une cousine qui annonce sa grossesse ? J’aime. Un article que vous voulez mettre de côté pour lire plus tard ? Un cœur. Une vidéo que vous n’avez pas eu le temps de regarder, mais dont le sujet vous semble intéressant ? Pouce en l’air quand même. Des dizaines de publications Instagram que vous faites rapidement défiler, sans vraiment les regarder ? Pourtant, vous les « likez » toutes, un peu par réflexe.
#Médias_sociaux #Like #Culture_numérique #Anne_Cordier #Anthony_Masure #Lucie_Ronfaut
L’usage du bouton « j’aime » de Facebook par d’autres sites encadré par la justice européenne
▻https://www.lemonde.fr/pixels/article/2019/07/29/la-cour-de-justice-de-l-ue-encadre-l-usage-du-bouton-j-aime-de-facebook-par-
Ce bouton transmet des données à Facebook sur les visiteurs des sites qui l’utilisent. La Cour de justice de l’UE a jugé que ces sites pouvaient être responsables, avec Facebook, de la collecte de ces données. Que vous cliquiez dessus ou non, le bouton « j’aime » de Facebook, présent sur d’innombrables sites Web, transmet des informations vous concernant à l’entreprise américaine – ce qui lui permet notamment de savoir quels sites vous avez visités. Quelle est, alors, la responsabilité des sites qui (...)
#Facebook #Like #BigData #profiling #marketing #procès #CJUE
Instagram Is Hiding Likes. Will That Reduce Anxiety? - The New York Times
▻https://www.nytimes.com/2019/07/18/world/instagram-hidden-likes.html
Instagram did not share any information about what the testing with users in Canada has shown, nor would it say how long the testing will take place in each country. It is also not clear how the company is measuring the test results.
In late April, Adam Mosseri, the head of Instagram, announced at Facebook’s annual event for developers that the testing would begin in Canada.
“We don’t want Instagram to feel like a competition,” Mr. Mosseri said at the event. “We want people to worry a little bit less about how many likes they’re getting on Instagram and spend a bit more time connecting with the people they care about.”
On Wednesday, Mr. Mosseri announced the test’s expansion to the six additional countries on Twitter.
Rozanna Purcell, a model in Ireland with nearly 300,000 Instagram followers, also welcomed the change.
“I get so many messages of young girls in school who say how down they are and feel like they’re not good enough because their peers get more likes than them,” Ms. Purcell said. “We have enough things in society to compare ourselves to, so getting rid of numbers can only be a good thing.”
But not everybody is excited about hiding like counts.
Adam Liaw, a chef and author in Australia with more than 100,000 Instagram followers, said on Twitter that he thought the change was a “huge mistake” that would ultimately lead to the death of Instagram.
Facebook , gangster aux 55 milliards de dollars Pia de Quatrebarbes - 21 Juin 2019 - Solidaire
▻https://www.solidaire.org/articles/facebook-gangster-aux-55-milliards-de-dollars
Un chiffre d’affaire de plus de 55 milliards de dollars en 2018 : en quinze ans, le réseau aux 2,2 milliards « d’amis » a engrangé un paquet de fric sur nos informations, quitte à s’asseoir sur quelques lois. Un « #gangster_numérique », a tranché le parlement britannique dans un rapport au vitriol... Comment le réseau social qui voulait « rendre le monde meilleur » en est-il arrivé la ?
Photo Wachiwit /iStock En 2008, quand Facebook débarque en France, c’est la ruée sur les « murs ». On y voit alors un formidable moyen de communiquer, partager des photos, personne ne s’y informe encore, mais on y dissémine naïvement des informations aux quatre vents : scolarité, opinion, statut amoureux....et déjà on #like. Rien de grave a priori, #Mark_Zuckerberg, le concepteur du réseau souhaite alors « rendre le monde meilleur ». Pas « le conquérir, seulement rendre les gens plus ouverts et connectés ».
L’histoire est typique des innovations du web. 4 ans auparavant, dans sa chambre de Harvard, à Boston, le petit génie veut rencontrer des filles, il crée alors avec des camarades un #trombinoscope des étudiants, « The Facebook ». Les universités américaines s’y branchent, puis les lycées et collèges – Il suffit d’avoir 13 ans et une adresse mail. Et bientôt le monde entier : 2,2 milliards d’utilisateurs, un chiffre d’affaires de 55 milliards de dollars, et le 3e site internet le plus visité.
De ses utilisateurs, il sait à peu près tout !
Mais 15 ans après, sa firme est devenue un « gangster numérique au dessus des lois ». La sentence est venue mi-février de la Commission du numérique, de la culture et des médias du #Parlement_britannique. Pendant 18 mois, elle a planché sur le scandale #Cambridge_Analytica. Une centaine de témoins ont été auditionnés, mais le PDG de Facebook, lui, a refusé... A la lecture des 110 pages, on comprend pourquoi et comment #Mark_Zuckerberg a choisi « le profit avant la vie privée ».
Comprenons bien : Que Facebook sait-il de ses utilisateurs ? A peu près tout ! « La pratique la plus problématique, c’est la captation systématique de nos données personnelles », explique Sylvain Steer, enseignant en droit et membre de l’association la Quadrature du Net. Pour les « amis », ce sont donc les contenus publics, les messages privés sur #Messenger, la listes des personnes, pages et groupes suivis, la façon dont on utilise le service et accède aux contenus et les informations sur l’appareil (adresse IP, fichiers présents, mouvements de la souris, accès au GPS et à l’appareil photo).
Pour ceux qui n’ont pas de compte, la firme de Palo Alto a la solution : le « profil fantôme ». Les #cookies, les boutons « J’aime » et « Partager » affichés sur de nombreux sites, transmettent à Facebook les informations de navigation... En bref, Facebook s’accorde un pouvoir de surveillance de masse.
Et quand Mark Zuckerberg répète à tout va, « Facebook ne vend pas les données », le parlement Britannique répond : il ment. En cause, le modèle économique : « la gratuité » pour l’utilisateur contre la monétisation de ses données. « Facebook vend aux annonceurs des catégories de publicité. Ce sont l’ensemble des caractéristiques sociales, économiques et comportementales que le réseau associe à chaque utilisateur afin de mieux le cibler », explique Sylvain Steer. « Avec l’argument fallacieux que c’est pour nous proposer des contenus de la façon la plus adaptée : sous entendu la plus subtile ». Facebook est donc avant tout « une #régie_publicitaire », analyse Yann Le Pollotech, chargé des questions numériques au PCF. 98 % de son chiffre d’affaires mondial provient de la publicité ciblée.
L’accès aux données des téléphones
Le réseau ouvre aussi ses données à des développeurs tiers contre rémunération « 250 000 dollars de publicités par an », écrivait le PDG dans un mail obtenu par les parlementaires britanniques. Facebook nie, explique que l’idée n’avait jamais été appliquée. En 2015, pourtant il restreint l’accès sauf pour une liste de 150 entreprises, dont Apple, Amazon, Netflix, ou Airbnb ou encore le site de rencontre #Tinder. Et là, c’est open bar ! Et Zuckerberg écrivait : « je ne vois pas de cas où des données ont été diffusées de développeurs à développeurs et ont causé un réel problème pour nous »... Raté ! 3 ans après, Cambridge Analytica allait prouver le contraire. La société, basée à Londres, a siphonné les données de 87 millions de comptes. La cheville ouvrière de la campagne numérique de Donald Trump en 2016, a réalisé un micro ciblage des électeurs.
Parmi les autres pépites du rapport : l’accès aux données des téléphones. En 2015, la nouvelle version de l’application sur mobiles #Android pouvait avoir accès au journal des appels téléphoniques. Un cadre de Facebook s’inquiète dans un mail interne que les utilisateurs s’en rendent compte. « Ça serait très risqué : des journalistes (..) qui écrivent des articles sur “Facebook qui utilise sa mise à jour pour espionner votre vie privée” », écrit le cadre. Car le but de la firme, est bel et bien de tout savoir.... Pour cela, il faut capturer l’utilisateur et faire en sorte qu’il y reste. Et le pousser à partager toujours plus d’informations.
Les #Fake_News rentrent dans cette catégorie. C’est parce qu’elles sont beaucoup plus partagées que Facebook les laisse se propager... Le sociologue Dominique Cardon limite leur portée dans un livre salvateur (1). Pendant la campagne américaine, ces « fake news » ont été le plus consultées par les 10% des électeurs les plus convaincus, y écrit-il. Pour Yann Le Pollotech aussi, « il faut se méfier de ce concept. Depuis que les hommes communiquent, il y a de la #désinformation. Mais ici, il y a aussi une sorte de racisme social : les fake news ne concerneraient que les moins diplômés.. et les gilets jaunes ! A chacun ses Fakes news ; celle des #CSP_+ [cadres supérieurs, NdlR], c’est que les cheminots partent à la retraite à 50 ans avec un pont d’or. Mais ce n’est pas à Facebook de décider ce qui est de l’ordre du complot ou de la #vérité. La seule manière de les éviter : c’est la délibération, le débat démocratique ».
Mais ce n’est pas le programme du géant. Lui, il a un autre objectif : « enfermer les internautes dans son monde, son univers. Plus que du gangster, cela relève de la #mafia, au sens où c’est aussi une organisation sociale », continue Yann Le Pollotech. Dans ce système, Facebook compte aussi la messagerie #Whatsapp (1,5 milliard d’utilisateurs) et le site de partage de photos et vidéos #Instagram (1 milliard). Et avec elles, toutes leurs données ! En 2014, au moment du rachat de Whatsapp pour 19 milliards de dollars, Zuckerberg promettait « de ne pas combiner les données des comptes Facebook et Whatsapp. Bien sûr, il l’a fait deux ans après », continue Sylvain Steer.
Depuis les scandales continuent : le 20 mars, Facebook reconnaissait ne pas protéger les #mots_de_passe de centaines de millions de comptes. En février, d’autres applications donnaient accès à Facebook à leurs données : une application pour suivre son cycle menstruel, de sport, de santé... En septembre, 50 millions de comptes étaient piratées.
Un modèle basé sur l’illégalité
Que font les législateurs ? En Europe, ils ont franchi une première étape avec le Règlement général pour la protection des données ( #RGPD ), entré en vigueur le 28 mai dernier. Ce dernier impose des formes de consentement éclairé et libre. Mais « Facebook continue de violer les textes, car tout son modèle économique est illégal », rappelle Sylvain Steer. Une plainte collective a été déposée, la CNIL Irlandaise – là où est le siège social de Facebook en Europe- l’examine. Sauf qu’elle prend son temps. « Bien sûr, Facebook comme les autres, fait un lobbying pour retarder sa mise en conformité et prolonger son business », continue-t-il.
Le Parlement britannique veut la fin du far west... Sauf que Facebook, comme #Google « à force de ne pas être réglementés, se sont imposés comme des autorités centralisatrices sur internet. Les États au lieu de le limiter, continuent à lui déléguer des pouvoirs ». La France en tête, « les gouvernements, demandent à ces plateformes géantes de devenir juges et modérateurs des contenus en ligne. Ce qui devrait être de l’ordre de la justice ou du service public », poursuit Sylvain Steer ... Ou comment les gouvernements donnent à Facebook les clés de la censure. Zuckerberg, lui, s’excuse, encore une fois, et promet « de changer ». En attendant, le nombre d’utilisateurs recule, les jeunes désertent la plateforme... Mais pour Instagram. Et restent ainsi dans le monde clos de Facebook.
Culture numérique, Dominique Cardon, Les presses de Sciences Po, sorti en février, 19 euros, 428 pages
(Article paru dans le journal L’Humanité -Dimanche du 28 mars 2019)
#facebook #surveillance #internet #algorithme #censure #réseaux_sociaux #publicité #données #bigdata #profiling #manipulation #marketing #domination #web #voleur de vies #escroc #gangster #fric
Piano à pouces
▻http://www.radiopanik.org/emissions/drache-musicale/piano-a-pouces
Likembe / #Sanza / #Mbira / #Kondi / Kalimba / #Marimba / ...
#k7 sortie sur ▻https://tanukirecords.bandcamp.com
#Likembe #xylophone #k7,Sanza,Likembe,Kondi,Marimba,Mbira,xylophone
▻http://www.radiopanik.org/media/sounds/drache-musicale/piano-a-pouces_06432__1.mp3
The Phenomenon of Social Like
▻https://hackernoon.com/the-phenomenon-of-social-like-a9608f392f25?source=rss----3a8144eabfe3---
Does like button really matter for your product?1 Hacker Way — Facebook’s headquarters in Menlo Park. Photo: David Paul MorrisA short history of Like buttonThe first version of the Like button also known as Awesome button was developed by #facebook in 2007. Mark Zuckerberg was concerned about the public nature of the feature and chose not to launch it until 2009 [1].Later, In 2010, Like button were added to individuals` comments and other content [2]. Since then, almost all public activity on Facebook have been likable. Also Facebook started to include posts and user links that liked in their timelines, as part of the activity log.This changed liking from a relatively private action (from one user to another, visible only to the friends of the user whose object was liked) to a fundamentally (...)
#product-management #the-like-economy #like-button #social-media
Aux Etats-Unis, la justice se mêle des faux abonnés sur les réseaux sociaux
▻https://www.lemonde.fr/pixels/article/2019/01/31/aux-etats-unis-la-justice-se-mele-des-faux-abonnes-sur-les-reseaux-sociaux_5
« C’est la première fois qu’un organisme chargé de faire respecter la loi pose comme illégal le fait de vendre du faux engagement sur les réseaux sociaux », s’est félicitée la procureure de New York. Des sociétés qui vendaient de faux abonnés à des utilisateurs des réseaux sociaux se sont engagées auprès de la justice à ne plus recommencer, dans le cadre d’un accord à l’amiable qui pose pour la première fois l’illégalité de ce genre d’activités. La société Devumi et trois autres sociétés dirigées par German (...)
#Like #LinkedIn #Twitter #SoundCloud #YouTube #bot #manipulation #marketing
Facebook a déjoué une campagne de propagande en français
►https://www.lemonde.fr/pixels/article/2018/11/28/facebook-a-dejoue-une-campagne-de-propagande-en-francais_5389576_4408996.htm
Des comptes Facebook et Instagram, fermés le 4 novembre, postaient des messages liés à la politique et à la société françaises. Un rapport donne les détails de leur activité.
[…]
En parallèle, le réseau social a fourni la liste des comptes Facebook et Instagram supprimés à une équipe d’experts, le DFR Lab, financé par le think tank américain Atlantic Council, avec qui la société de Mark Zuckerberg a noué un partenariat pour analyser les opérations de propagande. Celui-ci a publié, mercredi 28 novembre, un rapport à ce sujet écrit par les analystes Ben Nimmo et Camille François, dont Le Monde a obtenu copie.
Le texte donne des informations plus précises sur l’étendue et l’activité des comptes ayant diffusé des messages problématiques en français sur Facebook et Instagram. Les deux auteurs du rapport du DFR Lab précisent toutefois d’emblée qu’ils n’ont pu récupérer qu’un « aperçu » de l’opération. Les comptes ayant été immédiatement supprimés par Facebook, les chercheurs se sont contentés d’analyser des « traces » gardées automatiquement en mémoire sur divers sites et sur des moteurs de recherche. Un travail « d’archéologue », forcément partiel.
Au total, six pages Facebook et une dizaine de comptes Instagram postaient des messages ou des images en français. Tous formaient un seul et unique réseau, piloté par un ou plusieurs individus. Ils brassaient des thèmes variés, mais beaucoup abordaient, à intervalles réguliers, des questions sociales ou politiques. Trois se faisaient passer pour des femmes noires ; un autre postait des contenus liés aux femmes et à la mode musulmanes ; un compte était consacré au football ; d’autres prétendaient être un trotskiste, un militant nationaliste ou un citoyen engagé dans l’écologie. Les deux comptes Facebook semblaient, selon les éléments recueillis par le DFR Lab, aborder essentiellement des problématiques féministes.
Le rapport mentionné dans l’article
#TrollTracker: Glimpse Into a French Operation – DFRLab – Medium
▻https://medium.com/dfrlab/trolltracker-glimpse-into-a-french-operation-f78dcae78924
A network of inauthentic Facebook and Instagram accounts impersonated French-speaking users whose posts ranged from soccer and fashion tips for Muslim women to attacks on French President Emmanuel Macron, in a manner similar to the Russian troll operation which targeted the United States from 2014 through 2018, according to traces of their activity left online.
Facebook removed the accounts from its platform for “coordinated inauthentic behavior,” meaning these pages, which posed as organizations and individuals from different parts of the political spectrum or focused on opposite sides of a debate, were centrally operated. Most of the accounts were focused on building their audiences among French users, suggesting that this was an operation in its early stages.
[…]
Before the November 13 announcement, Facebook shared the names of 11 French-language Instagram accounts, which the company identified as “inauthentic” with @DFRLab.
Three of the accounts posed as African women: @une_camerounaise_fiere, @femme_combattante, and @moonlight_en_france. One, @football_et_france, posed as a football fan group focused on encouraging the “Ultras” across all clubs. A more political account, @france__rouge, posed as a Trotskyist, while another, @espoir_de_france, posed as a nationalist.
Of the rest, @action_verte focused on environmental issues, @les_femmes_musulmanes on Muslim women and fashion, and @contre_guerre on conflict, especially in Africa. @la_voix_etranger and @france_pour_tous engaged on immigration issues.
In its November 13 update, Facebook provided screenshots from two Facebook pages, named “fée-ministr” and “la France libre.” Those screenshots showed posts promoting feminist messages.
[…]
More than half of them followed substantially more accounts than they had followers, a strong indication that they were not having great impact yet, and were actively building their audience. Many of these accounts routinely used “audience building” hashtags such as #follow4follow or #like4like, encouraging French users to engage with their content.
In total, the French-language Instagram accounts had a little under 70,000 followers, half of that number being driven by the most-followed account in this network, @les_femmes_musulmanes. According to Facebook’s update, around 65,000 users followed at least one of the Facebook pages. This does not appear to have been a massively effective operation: nonetheless, the set is of interest as it illustrates the latest themes and techniques used by actors to target French users with coordinated inauthentic behavior online.
Conclusions
Facebook determined that this network was one of “coordinated inauthentic activity.” There is insufficient evidence to provide a firm attribution to the Russian Internet Research Agency; the accounts certainly behaved like troll factory accounts, but such behavior is not confined to Russian information operations.
The accounts did not appear to have particular impact. Other than @les_femmes_musulmanes, none achieved a significant following. Their audience-building strategies suggest that the operation was in its early stages; their followings suggest that it still had some way to go.
While the content was largely innocuous, and even positive in some cases (quotes of famous French poets, empowering images), the fact that it was posted by a coordinated inauthentic network, and included strongly political messages, suggests that this was an attempt to gain influence and, potentially, push divisive and inflammatory messages to these audiences at a later stage.
On notera, que des mots contenant "russ" figurent 10 fois dans le rapport (une onzième occurrence est dans les propositions d’autres sujets à suivre à la fin du document), dont 2 dans l’introduction et 2 dans la conclusion, le reste indiquant :
• pour rappeler que la Russie a déjà pratiqué ce genre d’opération et rappeler les thèmes préférés de cette intervention (2)
• pour redire que la façon de procéder pour gonfler son audience ressemble à celui de la ferme à trolls russe
• pour mentionner qu’une image utilisée contenait un mot en russe (3 occurrences, dont une dans la légende de l’image)
Enfin, l’article du Monde a déjà été relayé deux fois ici,
• le 28/11 par un compte sans abonné ni abonnement et dont c’est le seul message
• le 29/11 par un récent membre, probablement enseignant, qui a posté 48 messages depuis le premier le 23/10 et jamais étoilé de billets
Ah oui, précision sur l’auteur du rapport tel que décrit dans son compte Twitter
@DFRLab
@AtlanticCouncil’s Digital Forensic Research Lab. Catalyzing a global network of digital forensic researchers, following conflicts in real time.
« Sur les réseaux sociaux, le contenu n’existe que pour maximiser des chiffres : likes, coeurs, retweets »
▻https://usbeketrica.com/article/reseaux-sociaux-contenu-existe-maximiser-chiffres-nathan-jurgenson
Embauché par Snapchat mais indépendant éditorialement, critique mais de son propre aveu « partial », Nathan Jurgenson est un théoricien des réseaux sociaux au statut intriguant. Rédacteur en chef du magazine « Real Life », lancé par Snapchat en 2016, ex-rédacteur du magazine The New Inquiry, Nathan Jurgenson est aussi connu pour sa critique du digital dualism, terme qu’il propose en 2011, et qui décrit la façon dont sont généralement scindés l’univers d’Internet, considéré comme « virtuel », et la « vraie (...)
#Facebook #Instagram #Like #Snapchat #Twitter #algorithme #manipulation #marketing
Engagement_atypique
▻https://framablog.org/2018/06/30/engagement-atypique
Une trajectoire hors du commun au bénéfice du bien commun : on aimerait bien qu’il y en ait beaucoup comme elle pour s’engager de façon aussi déterminée et compétente. Son parcours méritait bien une interview. Nous espérons entamer une série d’interviews … Lire la suite
#Communs #Contributopia #Droits_numériques #Internet_et_société #Libertés_Numériques #Non_classé #ARCEP #Asso #Association #Bayart #FAI #Fédération #FFDN #Illyse #LGBT #Quadrature #Régulation #Télécoms
la vidéo de l’installation d’une BLR dans les monts du lyonnais est super
▻https://framatube.org/videos/watch/b70dd090-3682-4896-91b3-c8d63611ab6a
Je recommande fortement la lecture de cet excellent interview. #like
Vie privée : l’étau se referme sur les boutons sociaux de Facebook
▻https://www.itespresso.fr/vie-privee-boutons-sociaux-facebook-192158.html
Après Apple, Adblock Plus : les initiatives se multiplient en faveur du blocage des « boutons sociaux » que Facebook et consorts exploitent pour pister les internautes. Pas besoin d’attendre septembre pour pouvoir bloquer les « boutons sociaux » qui permettent à Facebook de vous pister sur les sites web. Telles sont les grandes lignes d’un message qu’eyeo a fait passer aux internautes dans un timing stratégique. L’éditeur allemand d’Adblock Plus a, en l’occurrence, choisi de communiquer dans la (...)
#Apple #Facebook #Like #Instagram #LinkedIn #MySpace #Pinterest #Reddit #Snapchat #Tumblr #Twitter #YouTube #AdBlock (...)
Vie privée : Apple s’attaque aux boutons « j’aime » de Facebook
▻https://www.lemonde.fr/pixels/article/2018/06/05/vie-privee-apple-s-attaque-aux-boutons-j-aime-de-facebook_5310048_4408996.ht
La prochaine version du navigateur d’Apple demandera l’autorisation des utilisateurs avant de permettre à certains « traceurs », comme le bouton « j’aime » de Facebook, de récolter des données. L’annonce est arrivée relativement discrètement, vers la fin de la conférence donnée par Apple lundi 4 juin, lors de la WWDC, sa grand-messe des développeurs. Elle fut pourtant hors norme : en dévoilant de nouvelles fonctionnalités visant à protéger la vie privée des utilisateurs de son navigateur Safari, Apple a (...)
#Apple #Google #Microsoft #Amazon #Facebook #Like #Safari #tracker #données #BigData #GAFAM (...)
Comment Facebook piste les internautes qui ne sont pas sur le réseau social
▻http://www.lemonde.fr/pixels/article/2018/04/13/comment-facebook-piste-les-internautes-qui-ne-sont-pas-sur-le-reseau-social_
Le réseau social ne s’en cache plus : il collecte des données même sur les internautes qui n’ont pas ouvert de compte Facebook. « Peu importe que vous ayez un compte Facebook ou non : [le réseau social] est capable de collecter des informations sur chacun d’entre nous. » Cette phrase assassine a été lancée par la députée démocrate Debbie Dingell (Michigan), lors du deuxième jour d’audition de Mark Zuckerberg, le patron de Facebook, devant le Congrès américain. Mardi 10 et mercredi 11 avril, plusieurs élus (...)
Cookies, mouchards : comment vous êtes suivis sur Internet
►http://www.lemonde.fr/les-decodeurs/article/2018/03/30/cookies-mouchards-comment-vous-etes-suivis-sur-internet_5278722_4355770.html
En quelques années, les technologies développées pour la publicité ont considérablement renforcé le suivi des individus sur Internet. Voici comment elles fonctionnent. L’affaire Cambridge Analytica autour des fuites de données utilisateurs de Facebook le montre : la protection des données personnelles sur Internet est devenue un enjeu majeur de ces dernières années. Même sans être forcément inscrits sur Facebook ou sur un autre réseau social, les internautes ne sont pas prémunis, les techniques (...)
Vie privée : Facebook condamné en Belgique
▻http://www.lemonde.fr/pixels/article/2018/02/16/vie-privee-facebook-condamne-en-belgique_5258213_4408996.html
Le réseau social est accusé de pister les internautes, y compris lorsque ces derniers ne disposent pas de comptes sur le réseau social. Nouvelle étape dans le bras de fer qui oppose depuis 2015 Facebook aux autorités belges : la justice a ordonné, vendredi 16 février, au réseau social de cesser de pister les internautes en Belgique sans leur consentement. Facebook doit « cesser de suivre et d’enregistrer l’utilisation d’Internet des personnes surfant de Belgique », écrit le tribunal néerlandophone de (...)
Trading de pages Facebook : comment ils vous manipulent pour de l’argent
▻https://mrmondialisation.org/trading-de-pages-facebook
Chaque détenteur d’un compte facebook se voit régulièrement, si ce n’est plusieurs fois par jour, proposer à sa vue des contenus de pages aux titres évocateurs. « C’est OUF », « TopiBuzz », « La vie est trau belle » ou autres « J’encaisse, j’observe, je ne dis rien mais fais GAFFE j’ai une très bonne MÉMOIRE », autant de pages qui apparaissent comme du divertissement bon-enfant mais qui occupent une grande place dans nos actualités. Mais en réalité, les stratégies marketing que déploient souvent ces pages (...)
Viré pour avoir « liké » sur Facebook une publication raciste
▻http://www.lalibre.be/actu/belgique/vire-pour-avoir-like-sur-facebook-une-publication-raciste-5a4522d5cd70b09cef
La cour du travail de Liège donne raison à une ASBL qui a licencié un comptable accro aux réseaux sociaux. La cour du travail de Liège a récemment rendu un arrêt donnant raison à une ASBL bruxelloise active dans la valorisation du centre-ville, qui a licencié son comptable parce que celui-ci avait publié à plusieurs reprises sur son mur Facebook des liens faisant référence à des mouvements soutenant la quenelle du présumé humoriste français Dieudonné. L’employeur, expliquait jeudi « L’Echo », n’a pas (...)
#Facebook #Like #procès #travailleurs #surveillance #SocialNetwork
Le journaliste qui met « liké une publi » dans le titre mais « publier des liens sur son mur » dans l’article ...
Lis bien : c’est justement la question qui se pose. En fait, c’est en deux temps, d’abord publications puis likes malgré la promesse de ne plus publier.
Ah oui, j’avais lu que la citation, merci. Du coup c’est la faute de @etraces on va dire :)
Facebook can track your browsing even after you’ve logged out, judge says
▻https://www.theguardian.com/technology/2017/jul/03/facebook-track-browsing-history-california-lawsuit
Judge dismisses lawsuit accusing Facebook of tracking users’ activity, saying responsibility was on plaintiffs to keep browsing history private A judge has dismissed a lawsuit accusing Facebook of tracking users’ web browsing activity even after they logged out of the social networking site. The plaintiffs alleged that Facebook used the “like” buttons found on other websites to track which sites they visited, meaning that the Menlo Park, California-headquartered company could build up (...)
#Facebook #Like #historique #procès
Fake Likes probe turns to local operators
▻http://www.bangkokpost.com/news/crime/1267202/fake-likes-probe-turns-to-local-operators
Police are investigating how almost half a million unused Thai SIM cards got into the hands of three Chinese people allegedly operating in Thailand the business of generating fake page views and online... Police found about 100,000 SIM cards, many computers and other electronic equipment at a shophouse in Ratchata Withi Road in Muang Aranyaprathet district of Sa Kaeo Monday afternoon. They searched (...)
Fermeture d’une gigantesque « ferme à clics » en Thaïlande
▻http://www.lemonde.fr/pixels/article/2017/06/13/fermeture-d-une-gigantesque-ferme-a-clics-en-thailande_5143890_4408996.html
La police locale a mis au jour plusieurs centaines de téléphones et des milliers de cartes SIM dans une maison près de la frontière avec le Cambodge. Vente d’abonnés ou de « likes », comptes imaginaires, votes dans les classements des magasins d’applications, commentaires… Dimanche 11 juin, la police thaïlandaise a fermé une très importante « ferme à clics », des organisations qui vendent de fausses appréciations en ligne, le plus souvent situées en Asie du Sud-Est. Selon le Bangkok Post, les autorités (...)
#Facebook #Like #Twitter #WeChat #Followers #SIM #faux #marketing
Comment les Russes peuvent acheter des « likes » et des « followers » en supermarché
▻http://www.lemonde.fr/big-browser/article/2017/06/13/comment-les-russes-achetent-des-likes-et-des-followers-en-supermarche_514370
Il existe, dans des centres commerciaux en Russie, des machines à vendre de la popularité virtuelle. La devise officielle des réseaux sociaux est l’influence. Plus vous en avez, plus vous avez de résonance, donc du pouvoir, pour vendre des idées ou des produits. Cette influence se mesure en « followers » (« suiveurs »), en amis, en nombre de personnes qui sont exposées à ce que vous diffusez. Comme tout système, il peut être manipulé : en achetant des faux « followers » ou de faux « likes », la (...)
#Facebook #Like #Followers #Twitter #faux #marketing #Instagram
See the Russian Vending Machine Selling Fake Instagram Likes in Action
▻https://motherboard.vice.com/en_us/article/see-the-russian-vending-machine-selling-fake-instagram-likes-in-ac
The company behind them says the devices are coming to other countries in Europe soon. On Tuesday, we wrote about a vending machine in Russia that sells Instagram likes and followers, among other social media services. Today, the machine’s manufacturer, Snatap, provided Motherboard with a video of the kiosk in action. In the clip, a woman prints two of her Instagram photos for 50 rubles ($.88). The video doesn’t show the process of buying likes and followers, but it does confirm the machine (...)
facebook joue-t-il un rôle dans la radicalisation de la pensée ? Récit d’une expérience troublante RTBF - 12 Mars 2017 - R.C., C.H, RTBF
facebook nous pousse-t-il à lire des points de vue de plus en plus extrême ? C’est l’hypothèse d’un journaliste américain qui a réalisé une expérience assez interpellante. Sur facebook, il faut le savoir, ce que vous voyez ou pas est déterminé par un algorithme. C’est une formule qui fait un tri pour vous en fonction de toute une série de paramètre : les pages que vous aimez, l’endroit où vous vivez, les articles sur lesquels vous avez cliqué, les amis que vous suivez, etc.
De la convention républicaine à des contenus néo-nazis
En tenant compte d’un grand nombre d’élément, facebook va vous proposer des contenus qu’il imagine intéressant pour vous. Un journaliste américain a fait une expérience éclairante en s’abonnant à la page facebook de la convention républicaine, il a été confronté après seulement quelques jours à des contenus néo-nazis.
Comment s’y est-il pris ? L’expérience de Ryan Broderick est simple : il a créé un nouveau profil facebook et a « aime » uniquement la page de la convention républicaine nationale. « A ce moment là, une liste de page m’a été suggéré. La première était celle du chef de cabinet de la Maison Blanche. J’ai cliqué sur like et facebook m’a proposé plein d’autres pages que j’ai également liké », explique le journaliste.
Les contenus radicaux s’invitent parfois plus vite qu’on ne le pense
Au fil des jours, il continue à s’abonner à ce que facebook lui propose et partage ses contenus. Il va de surprise en surprise. « J’ai commencé à avoir des contenus légèrement pornos avec des textes anti-immigrés écrits dessus. J’ai vu des articles que je n’aurais jamais eu dans mon fil d’actualité à fil comme des articles sur le white power ».
Et de fil en aiguille, c’est le contenu du site Daily Stormer qui lui est proposé. « C’est un site géré par des néo-nazis et c’est intéressant de voir que cela n’a pris que quatre jours pour que mon fil d’actualité soit radicalisé au point que je reçoive des contenus écrits par des néo-nazis ».
Cette expérience démontre que les contenus radicaux s’invitent parfois plus vite qu’on ne le pense, qu’ils soient politiques ou religieux comme c’est le cas avec la propagande djihadiste.
facebook a pour sa part contesté l’expérience en disant que personne n’utilise le réseau social de cette manière - sans aucun ami - et en aimant tout ce qu’on se voit proposer.
Source : ▻http://www.rtbf.be/info/medias/detail_les-reseaux-sociaux-participent-ils-a-la-radicalisation-de-la-pensee-rec
Encore une bêtise du site Buzzfeed qui ne fait que dans le sensationnalisme et le buzz voici la lettre ouverte d’un citoyen américain accusé faussement par cet auteur d’être un raciste avec son nom trainé dans la boue par ce « journaliste » dans le pur style du lynchage publique : ▻http://www.opnlttr.com/letter/open-letter-buzzfeeds-ryan-broderick
Ce site qui se prétends expert en « débunkage de hoax » est aussi peu éthique dans ces façons de faire et relaie des informations salaces, sexistes, du genre Détective et on ne sera pas étonné des résultats de prétendues enquêtes ne donnant sur rien d’autre que la censure.
@Elihanah , il faut bien que les Journulistes disent de temps en temps une vérité, afin de se faire un peu de crédibilité, c’est ça le decodex.
Exemple sur #youtube.
Tu regardes quelques vidéos, par exemple celles d’Usul2000 .
Au bout de 1/2 vidéos, souvent moins, que te propose youtube ?
#Martine() #LePen , on est pas couché, trash, jesus rèvele la vérité, le rappeur dissident #zémour . . . . . .
Pourtant, je ne me souviens pas d’avoir jamais regardé ce genre de vidéos.
Curieux n’est il pas ?
Même constat à propos de ces algorithmes mystérieux, qui, sur les portails de #Free, ou d’#Orange nous bombardent depuis des mois les photos de MLP et de macron.
Ah oui, ils sont programmés pour nous faire découvrir des choses qui pourraient nous intéresser, qu’on nous dit.
_ () J’habites prés de Lille, dans ma région on écrit #Martine() #LePen , #Marinne #Aubry. Probablement un effet du patois régional. _
Pourquoi la police belge déconseille de cliquer sur les Réactions de Facebook
▻http://www.numerama.com/tech/170514-pourquoi-la-police-belge-deconseille-de-cliquer-sur-les-reactions-d
Soucieuse de la protection de la vie privée de ses concitoyens, la police belge conseille aux internautes de bien réfléchir avant de dire à Facebook ce que leur fait ressentir une publication, à travers les boutons « Réactions » ajoutés par le réseau social. On sait la Belgique en guerre contre Facebook. L’an dernier, la CNIL belge a interdit à Facebook de tracer les utilisateurs qui n’étaient pas inscrits sur le réseau social, en conséquence de quoi la firme a décidé d’interdire la lecture de ses pages (...)