marketindex:dow 30

  • Pourquoi l’inquiétude actuelle sur les marchés financiers ?
    https://i1.wp.com/lemediapresse.fr/wp-content/uploads/2018/03/wall-street-sign-15060630841j3.jpg?resize=1280%2C640&ssl=1

    Malgré des bénéfices record (93,4 milliards d’euros en 2017 pour les entreprises du CAC40), le prix des actions ne reflète plus la valeur réelle des entreprises et les capitalistes s’inquiètent. En toute fraternité, nous avons décidé de sortir les kleenex, les calculettes et de nous pencher sur leur triste sort.

    La finance est une matière connue de tous (il suffit de regarder le bandeau défilant de n’importe quelle chaîne-robinet d’infos) mais paraissant réservée à des initiés. Exemple : qui sait comment se détermine le prix d’une action ?
    Dans « l’ancien monde », on le faisait à la valeur comptable. On prenait tous les équipements, les usines, les bureaux, les tables, chaises, ordinateurs, les comptes en banque, la valeur des créances, la valeur estimée de la marque, bref tout ce qui compose « l’actif », puis on en soustrayait les dettes, pour faire simple. Mais dans le « nouveau monde » (qui n’en déplaise à notre Grand Leader Jupitérien, n’est pas né en 2017 mais à la même époque que lui, il y a une quarantaine d’années), la valorisation des entreprises cotées en bourse ne repose plus du tout sur cette comptabilité. De nos jours, pour savoir combien vaut une boîte, on prend son bénéfice de l’année et on le multiplie par… un nombre. Sur longue période, ce nombre est estimé par le consensus capitaliste à 15 (mais il varie selon les secteurs, plus bas dans l’automobile, plus haut dans l’internet).

    Or la valorisation actuelle de l’indice Dow Jones, celui qui donne le « la » à tous les autres, n’est pas de 15 mais de… 26 années de bénéfices ! La même distorsion avait été observée en 2007 (krach des subprimes), en 2001 (krach de la bulle internet)… Selon certains économistes particulièrement écoutés à Wall Street, ce « multiple de bénéfices » est en réalité largement au-dessus de 30, soit deux fois la norme de long terme. Pour parvenir à un tel écart, ils multiplient non pas le bénéfice de l’année, mais celui de la moyenne des 10 dernières (corrigeant ainsi les variations brusques, conjoncturelles, du cycle).
    Tout est donc en place pour un nouvel effondrement

    L’économie réelle produit des profits absolument gigantesques en délocalisant, en supprimant des centaines de milliers d’emplois, en obtenant des gouvernements toutes sortes de subventions (en France le Pacte de responsabilité coûte 41 milliards par an au contribuable) et de nouveaux moyens pour pressurer les salariés (Ordonnances « Travail »…), mais ce n’est pas assez ! C’est même très loin de suffire à justifier les prix stratosphériques observés actuellement à la Bourse.
    Il règne donc une grande inquiétude sur la « planète finance » et le moindre mauvais signe peut provoquer une crise de panique. Les entreprises cotées s’emploient à tout faire pour « rassurer les investisseurs », notamment en servant de gros dividendes (leur montant, rapporté au PIB, a quadruplé depuis les années 1980-90) voire en rachetant leurs propres actions (1000 milliards de dollars en 2017).

    Le dernier stress s’est produit fin janvier. Une seule statistique a réussi à faire perdre 10% à Wall Street en une seule semaine : celle de… l’augmentation des salaires. Nos seigneurs et maîtres ont failli s’évanouir en voyant celle-ci « déraper » à +2,9% en tendance annuelle aux Etats-Unis. Toutes les autres bourses ont suivi. A Paris, le CAC40 perdait 8% en quelques jours. Depuis lors, l’indice des salaires américains a été corrigé à +2,6% et comme l’écrit l’Agefi (9 mars 2018), « les signes de tensions sur les salaires se sont apaisés ». Ouf !

    La chose très éclairante de cet évènement est bien sûr l’observation « en direct live », in vivo, de la contradiction fondamentale du capitalisme : dans un contexte technologique donné, celui-ci ne produit du profit qu’en détruisant du salaire (et vice-versa). Or la déconnexion entre la valeur réelle des entreprises et leur valeur boursière est telle, que pour ne pas s’effondrer, il est virtuellement impossible aux entreprises d’autoriser toute hausse de salaires excédant celle des prix. Le capitalisme marche sur un fil suspendu au-dessus d’un gouffre. N’enregistrant des profits que parce que les salariés (90% de la population active) voient leur niveau de vie baisser « et en même temps » leur achètent leurs marchandises, s’il s’écarte d’un millimètre de l’austérité salariale, alors la valeur boursière risque le grand plongeon.

    Il faut réduire à tout prix ce fameux « multiple de bénéfices », faire en sorte qu’il passe de 25 à 20 par exemple ; et donc, à nouveau, augmenter les profits ! Mais comment écouler la marchandise ? En obligeant les ménages à s’endetter. En France, l’endettement des ménages représentait 75% du revenu disponible en 2000 ; 16 ans plus tard il était passé à 110%. Heureusement que tout ça sert à quelque chose. C’est si beau et surtout si désintéressé, de participer tous ensemble au bien-être des capitalistes ! Personnellement, la mine réjouie du présentateur de BFM-Business, ça me fait ma journée.
    LM

    https://lemediapresse.fr/idees-fr/pourquoi-linquietude-actuelle-sur-les-marches-financiers

  • Davos, ou l’ascension en chute libre
    http://www.dedefensa.org/article/davos-ou-lascension-en-chute-libre

    Davos, ou l’ascension en chute libre

    Comme chaque année, nos alpinistes huppées, dans leurs 4x4 de platine montées sur skis sertis de l’indice Dow Jones ou dans leurs hélicoptères tapissés de dollars artificiellement intelligent, sont en pleine ascension vers Davos, où ils se retrouvent le 23 janvier pour trois jours de fiesta communautaire, diversifiée et sociétale. Pour cette balade avant le gros du boulot, ils ont de la lecture : le rapport annuel que vient de publier la Fondation du Forum Economique de Davos, la 13ème édition du Global Risks Report annuel. Nous en parlons au contraire de l’habitude où nous passons à côté sans le regarder ni même le voir, parce qu’il est cette année particulièrement soigné et assaisonné dans le genre catastrophique.

    Une fois de plus, nous faisons confiance aux (...)

  • The Dow at 25,000: The bonanza for the oligarchy continues - World Socialist Web Site

    https://www.wsws.org/en/articles/2018/01/05/pers-j05.html

    The surge of the Dow Jones Industrial Average stock index past 25,000 points yesterday marks a further escalation in the speculative binge that has gripped Wall Street and global stock markets over the past year, signifying a massive transfer of wealth to the heights of society.

    It took just 23 days for the Dow to jump from 24,000 to its latest milestone, the shortest period between 1,000-point increments in the index’s history.

    During 2017, the S&P Global Broad Market Index soared by 22 percent, the biggest increase since the global financial crisis of 2008–2009. This represents a rise of around $9.6 trillion in market value. The FTSE All-World index rose 1.6 percent in December, notching up 14 straight months of gains, the longest such run on record.

    #fiance #capitalisme #dow_jones

  • Warnings of new financial bubble as #bitcoin price hits $10,000 - World Socialist Web Site
    https://www.wsws.org/en/articles/2017/11/29/bitc-n29.html

    Warnings of new financial bubble as bitcoin price hits $10,000
    By Andre Damon
    29 November 2017

    The price of the digital currency bitcoin reached $10,000 late Tuesday, an eleven-fold increase since the start of the year, when it was valued at $900.

    The explosive surge of bitcoin, the first so-called “cryptocurrency,” or digital money, has eclipsed the run-up of any comparable asset in modern history. As the New York Times noted Tuesday, “The Dow Jones industrial average, in its biggest year, 1915, went up 82 percent, or one-tenth as much as Bitcoin has gone up this year. Amazon’s red-hot stock is up only one-fifteenth as much as Bitcoin this year.”

  • Tens of thousands line up at Amazon job fairs as Dow tops 22,000 - World Socialist Web Site
    https://www.wsws.org/en/articles/2017/08/03/pers-a03.html

    How the other half lives in 2017
    Tens of thousands line up at Amazon job fairs as Dow tops 22,000
    3 August 2017

    “Long ago it was said that ‘one half of the world does not know how the other half lives.’”—Jacob Riis, 1890

    Two scenes played out across America yesterday, providing a window onto two separate worlds: one occupied by a small, wealthy elite; the other by the working class, who comprise roughly the bottom 90 percent of the population.

    Shortly after the opening bell on Wall Street, the Dow Jones industrial average broke the 22,000 mark for the first time in history, a milestone that was greeted with exuberant headlines in the establishment press and made the lead story on NBC’s evening news program.

    #amazon #emploi #travail #multinationales #monopole

  • Les #salaires et Wall Street
    http://www.wsws.org/fr/articles/2017/jul2017/pers-j18.shtml

    Malgré les conflits géopolitiques, la stagnation économique et les crises gouvernementales pays après pays, les marchés boursiers aux États-Unis et dans le monde continuent leur spectaculaire montée. Vendredi, alors que de nouvelles révélations dans la saga Trump-Russie intensifiaient la #crise à laquelle l’administration américaine profondément impopulaire fait face, Wall Street a marqué une autre journée triomphale. Les indices Dow Jones et S & P 500 ont fini sur de nouveaux records et le Nasdaq a enregistré sa meilleure semaine de l’année. Depuis sa crise post-2008 en mars 2009, le Dow a augmenté de 340 pour cent.

    L’autre tendance économique persistante, en particulier aux États-Unis, est la stagnation et le déclin des salaires. Cela en dépit d’un supposé taux de chômage aux États-Unis de 4,4 pour cent, d’un niveau bas par rapport aux normes historiques et de ce que les médias qualifient d’une « solide » création d’emplois.

    Le rapport sur l’emploi des États-Unis pour juin, sorti la semaine dernière, a suscité, en dépit d’une croissance de la masse salariale supérieure à celle prévue, un malaise même dans certains milieux bourgeois, car les salaires n’ont augmenté que de 2,4 pour cent comparés à la même période de l’année précédente, bien en deçà du taux de 3 pour cent dans les mois précédant Le krach financier de 2008. Le New York Times a cité un haut dirigeant de Manpower North America, qui a déclaré : « Nous n’avons pas vu auparavant une chute du chômage avec les taux de participation bas et en même temps des salaires qui ne bougent pas. Cela vous dit que quelque chose ne va pas sur le marché du travail. »

    Selon le plus récent « Real Wage Index » (indice des salaires réels), publié plus tôt ce mois sur le site PayScale, cinq des 32 zones métropolitaines incluses dans l’indice ont enregistré des baisses de salaire au deuxième trimestre de cette année. Quatre des cinq étaient dans les régions du Midwest les plus touchées par des décennies de désindustrialisation : Detroit, Kansas City, Chicago et Minneapolis.

    En tenant compte de l’inflation, les salaires réels aux États-Unis ont, selon cet indice, reculé de 7,5 % depuis 2006. En termes réels, les salaires moyens aux États-Unis ont atteint leur pic il y a plus de 40 ans.

  • Sommet historique à Wall Street : le Dow Jones passe le mur des 20 000 points
    https://www.crashdebug.fr/international/13104-sommet-historique-a-wall-street-le-dow-jones-passe-le-mur-des-20-00

    Plus dure serat la chute

    Contributeur anonyme

    Crédit Photo : SAUL LOEB/AFP

    Depuis l’élection de Donald Trump à la présidence des États-Unis le 8 novembre dernier, Wall Street ne cesse de grimper. Le Dow Jones a gagné environ 10% depuis le scrutin.

    Cinq jours seulement après l’investiture de Donald Trump à la maison Blanche, le Dow Jones vient de casser le mur des 20 000 points sur lequel il buttait depuis plusieurs semaines. Une nouvelle preuve de la confiance des marchés dans la politique économique de l’administration Trump.

    Depuis l’élection de Donald Trump à la présidence des États-Unis le 8 novembre dernier, déjouant tous les pronostics, Wall Street ne cesse de grimper. En bientôt trois mois, l’indice phare de la Bourse de New York a gagné environ 10% et avance ainsi de plus de 25% les douze (...)

    #En_vedette #Actualités_internationales #Actualités_Internationales

  • Un deuxième jour avec Trump

    Trump applauds torture in CIA interrogations - World Socialist Web Site

    http://www.wsws.org/en/articles/2017/01/26/tort-j26.html

    Trump applauds torture in CIA interrogations
    By Patrick Martin
    26 January 2017

    In an interview with ABC News broadcast Wednesday night, President Donald Trump enthusiastically endorsed waterboarding in interrogating prisoners, and said he would consider seeking to repeal the current legal ban on torture if his top national security officials recommended it.

    The interview was conducted the same day that the Washington Post made public a draft memorandum discussing possible reopening of CIA secret prisons overseas, where individuals seized by the US military-intelligence apparatus were taken to be tortured. The prisons were opened by the CIA after the September 11, 2001 terrorist attacks, and closed by the Bush administration after the horrific methods being used were made public in leaks to the media.

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    Wall Street’s Trump euphoria propels Dow above 20,000 - World Socialist Web Site
    http://www.wsws.org/en/articles/2017/01/26/stoc-j26.html

    Wall Street’s Trump euphoria propels Dow above 20,000
    By Barry Grey
    26 January 2017

    On Wednesday, Wall Street celebrated the installation of an administration staffed by CEOs and pledged to remove all obstacles to corporate profit-making by pushing the Dow Jones Industrial Average above the 20,000 level for the first time in history. US stock indexes have been soaring since the November 8 election of Donald Trump, with the Dow rising 9 percent in just 11 weeks.

    The blue chip index gained 155 points to close at 20,068 on Wednesday. The Standard & Poor’s 500 and Nasdaq indexes also recorded strong gains and ended the day in record territory.

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    Trump launches war against immigrant workers - World Socialist Web Site

    http://www.wsws.org/en/articles/2017/01/26/pers-j26.html

    Trump launches war against immigrant workers
    26 January 2017

    The two executive orders signed by President Donald Trump on Wednesday at the Department of Homeland Security (DHS) constitute an assault not only against immigrants, but against the working class as a whole.

    The main order called for beginning construction of “the wall” on the Mexican border that was endlessly promoted by Trump in the course of his presidential campaign, and for an escalation of the criminalization of undocumented immigrants.

    #trump #régression

  • Noël à Wall Street : l’indice Dow Jones se rapproche de 20 000
    http://www.wsws.org/fr/articles/2016/dec2016/pers-d22.shtml

    L’évènement clé est l’élection de Trump. Après une chute initiale suite au résultat inattendu du vote, la bourgoisie est rapidement parvenue à un consensus sur le fait qu’elle avait beaucoup à gagner d’un gouvernement Trump. Les cours se sont envolés, et malgré quelques interruptions mineures, la flambée continue depuis.
    Dire que le climat des affaires a changé relève de euphémisme. L’oligarchie américaine célèbre un Noël de rêve. Elle anticipe, à juste titre, que le gouvernement Trump sera celui de l’oligarchie financière. La cabale de milliardaires, de banquiers, de PDG, et de généraux qui constitue son cabinet ministériel et le cercle intérieur de la Maison Blanche est engagée à lever toutes les contraintes qui pèsent sur la capacité des riches de piller la société.
    Les banquiers comptent obtenir l’élimination des restrictions mineures sur la spéculation imposées par la loi bancaire Dodd-Frank de 2010 et, en plus, des taux d’intérêt plus élevés. C’est garanti par la présence de trois ex-banquiers de Goldman Sachs au gouvernement : le néo-fasciste Stephen Bannon (stratège en chef de la Maison Blanche), Steven Mnuchin (chef du département du Trésor) et le président de Goldman Sachs, Gary Cohn (président du Conseil national économique).
    Il est donc peu étonnant que les actions bancaires aient été au cœur de la flambée des cours ; les actions Goldman Sachs ont augmenté de plus de 33 pour cent, ce qui représente un quart de la hausse du Dow. JPMorgan Chase n’est pas à la traîne non plus (montée de 22 pour cent).
    Les sociétés énergétiques comptent éliminer toutes les contraintes sur l’exploitation des mines, le forage et la pollution, et obtenir une politique étrangère leur assurant le contrôle des ressources mondiales. Rex Tillerson, PDG du pétrolier Exxon-Mobil, dirigera la diplomatie américaine. Des serviteurs attitrés du patronat opposés à la réglementation écologique dirigent l’Agence pour la protection de l’environnement (le procureur général de l’Oklahoma Scott Pruitt), le Département de l’Energie (l’ex-gouverneur du Texas, Rich Perry) et le Département de l’Intérieur (le représentant républicain du Montana, Ryan Zinke).
    Les actions des sociétés industrielles montent en vue de baisses des salaires, d’augmentations des cadences et de baisses d’effectifs sanctionnées par par les secrétaires du Commerce, le milliardaire Wilbur Ross, et du Travail, le magnat du fast-food Andrew Puzder, qui critique l’existence d’un salaire minimum.
    Les actions des géants du transport et du bâtiment, dont Caterpillar, grimpent suite à l’annonce par Trump d’un plan d’infrastructure de mille milliards de dollars. Ceci prépare des privatisations et l’octroi de contrats juteux garantissant aux entreprises des réductions d’impôt allant jusqu’à 80 pour cent, liées à la construction d’infrastructures dont elles seront alors les propriétaires, leur assurant des revenus à perpétuité.
    Les entreprises de défense attendent avec impatience une flambée de leurs bénéfices, grâce à une augmentation massive des dépenses militaires sous Trump.
    Les grandes entreprises s’attendent toutes à une hausse de leurs bénéfices grâce à la réduction de 20 pour cent des impôts sur les sociétés ; à l’éviscération des règlements sur la santé et la sécurité des travailleurs ; aux coupes claires dans l’assurance maladie, les retraites publiques, les aides au logement, et l’éducation publique imposées par des réactionnaires sociaux dont le chef milliardaire du Département de l’ Education Betsy DeVos, Ben Carson à l’Aménagement urbain, et Tom Price au Département de la Santé et des Services sociaux. Ils comptent réduire sévèrement la part des bénéfices, tirés de la sueur des travailleurs, qui finance ensuite les services publics, ce qu’ils considèrent être un détournement intolérable de leurs richesses.

  • This Time, Cheaper Oil Does Little for the U.S. Economy - The New York Times
    http://www.nytimes.com/2016/01/22/business/energy-environment/this-time-cheaper-oil-does-little-for-the-us-economy.html

    But this time is different. The losses from lower prices are larger and quicker than expected as energy companies cut back on investment and lay off workers, while the gains are smaller and slower to materialize, as consumers save some of their windfalls.

    [...]

    The decline of oil prices is causing other problems, too. It has contributed to the correction in global equity markets; the Standard & Poor’s 500-stock index is down 10 percent this year. And lower prices are weighing on #inflation, jeopardizing the Federal Reserve’s plans to raise interest rates by about one percentage point this year.

    #bourse #finance #économie #pétrole

    • ÉCONOMIE. La chute du prix du pétrole fragilise les bourses | Courrier international
      http://www.courrierinternational.com/article/2014/12/13/la-chute-du-prix-du-petrole-fragilise-les-bourses

      “La chute des prix du pétrole entraine des turbulences sur les marchés” titre aujourd’hui le Financial Times.

      [...]

      Une baisse du prix du baril ne devrait-il pas plutôt favoriser l’essor de l’économie mondiale ? Pas pour le quotidien économique de référence qui souligne que si “les prix peu élevés [du pétrole] pourraient sonner comme une réduction des coûts [de production] et une aubaine pour l’économie globale, leur impact positif est en réalité très modeste”.

      Au centre du système financier

      Selon le quotidien britannique, “La chute progressive des prix du pétrole a déclenché la tourmente sur les marchés financiers, couronnant ainsi une semaine d’instabilité des prix de l’énergie qui a contraint les investisseurs à vendre des actions et des obligations”. Ainsi, le Dow Jones a perdu 3,7% la semaine dernière, ce qui représente la baisse la plus conséquente depuis 2011. Même son de cloche dans les autres places boursières.

      C’est l’occasion pour le Financial Times de rappeller le lien organique qui lie “l’or noir” et le système financier mondial. Citant l’analyste économique Robert Sluymer, il rappelle que “le pétrole est un actif financier extrêmement négocié. Il est au centre du système financier et quand il vient à faillir, il devient un point faible pour toute l’économie.”

  • What is driving the stock market panic? - World Socialist Web Site
    http://www.wsws.org/en/articles/2016/01/18/pers-j18.html

    Banks, hedge funds and governments all over the world are entering a new week of trading with fear and trepidation. The US markets are closed Monday for the Martin Luther King Jr. holiday, but one can be certain that the Federal Reserve, the major Wall Street banks and the Obama administration will continue to be involved in intensive behind-the-scenes discussions with their international counterparts following the most disastrous two-week start of a new year in history.

    Friday’s panic sell-off on stock markets from China and Europe to the US, with the Dow giving up 391 points and crashing through the 16,000 point barrier, capped off two weeks that erased $5.7 trillion from global share values.

    #fiance #économie #crise_financière

  • 2016 s’ouvre sur une tempête boursière

    http://www.lemonde.fr/economie/article/2016/01/16/2016-s-ouvre-sur-une-tempete-boursiere_4848496_3234.html

    On prévoyait 2016 volatile, instable, incertaine. Pas à ce point. Deux semaines à peine après le début de l’année, on peut dire qu’elle est, pour l’heure, catastrophique. Les chiffres parlent d’eux-mêmes : le CAC 40 est en recul de 9,21 % depuis le 1er janvier, alors qu’il avait progressé de 8,5 % en 2015. Le DAX allemand s’effondre de 11,15 % et le Footsie britannique, de 7,02 %…

    Chaque nouvel événement témoigne de la très grande nervosité des investisseurs. Ainsi de la mésaventure de Renault, dont le titre a dévissé de 10,2 % en Bourse, jeudi 14 janvier, sur fond de craintes de scandale à la Volkswagen.

    Aucune région du monde n’est épargnée. L’affaissement est le même outre-Atlantique, où le Dow Jones glisse de 8,25 %, tandis que le Nasdaq perd 10,36 %. « Les indices américains ont complètement craqué », indiquaient les analystes d’Aurel BGC après une nouvelle dégringolade, mercredi.

    Même scénario pour les places boursières des pays émergents, du Brésil à la Russie en passant par la Chine. Si l’on regarde depuis 2000, les oscillations des courbes font penser à un « encéphalogramme qui se serait emballé, s’agitant de plus en plus vite à la hausse ou à la baisse », soulignait, mardi, Agustin Carstens, le gouverneur de la Banque du Mexique.

    Quant au VIX, le fameux « indice de la peur », qui mesure la volatilité à venir du marché à travers les options d’achat ou de vente placées sur le S&P 500, il a connu un nouvel accès de fièvre cette semaine, à plus de 25 points, (...).

    Les milliards très instables des banques centrales

    Elles tiennent l’économie à bout de bras depuis des mois et, pourtant, les banques centrales sont aujourd’hui en partie responsables des turbulences enregistrées sur les Bourses. Et cela, en raison de l’incroyable quantité de liquidités que la Réserve fédérale (Fed) aux Etats-Unis, la Banque d’Angleterre, la Banque du Japon ou encore la Banque centrale européenne ont injectée sur les marchés depuis 2009, notamment en rachetant des dettes publiques ou privées. Leur objectif ? Eviter le effondrement des marchés, au départ, puis tenter de relancer la machine économique.

    Aujourd’hui, ces liquidités représentent 30 % du PIB mondial, contre 6 % à la fin des années 1990. Une augmentation phénoménale qui a deux conséquences. La première est que les marchés sont devenus accros à cet argent facile. L’idée de voir le robinet se tarir les angoisse. La remontée des taux directeurs de la Fed, amorcée en décembre 2015, qui sera suivie, dans quelques années, de l’épongement des liquidités injectées par l’institution, les rend donc terriblement nerveux.

    Mais il y a pire. Car ces liquidités, naturellement, se placent là où les rendements sont les plus élevés. C’est-à-dire sur les Bourses émergentes, les actions des nouvelles technologies, ou encore les obligations d’entreprises... « A la moindre alerte, les milliards se déplacent sans crier gare, dans un sens ou dans l’autre, sans discernement », explique Patrick Artus, chef économiste chez Natixis, dans La Folie des banques centrales (Fayard, 168 pages, 15 euros, coécrit avec la journaliste Marie-Paule Virard). « Les instituts monétaires jouent les pousse-au-crime. »

    Les sommes en jeu sont si énormes que chaque départ provoque des mini-krachs, en particulier sur les Bourses ou, ces derniers mois, sur les monnaies des pays émergents, comme le rouble ou le real brésilien. A l’inverse, elles contribuent à la formation de bulles spéculatives là où elles s’investissent en masse... Autant dire que l’extrême volatilité observée sur les marchés ces derniers jours n’est probablement qu’un avant-goût de ce qui nous attend en 2016.

    Le baril à moins de 30 dollars

    Rappelons cependant que la prévision est un art difficile. En témoigne le pétrole. En 2015, le baril pourrait coûter 380 dollars (348 euros), avaient avancé les économistes Patrick Artus et Moncef Kaabi en 2005 dans une étude de la banque Ixis-CIB. Compte tenu de la hausse de la consommation mondiale et du manque de réserves, ils jugeaient alors « totalement déraisonnables » les hypothèses selon lesquelles le baril pourrait retomber entre 30 et 40 dollars à l’horizon de dix ans.

    Raté. Le baril de WTI, le pétrole américain qui sert de référence mondiale, s’est échangé à seulement 49 dollars en moyenne en 2015. Et sa baisse ne cesse de s’accentuer. Il est tombé à 29,73 dollars, vendredi 15 janvier, à New York. Le baril de brent de la mer du Nord chutait au même moment à 29,30 dollars, son plus bas cours depuis février 2004.

    Aucun rebond spectaculaire n’est attendu à court terme. La situation pèse sur la Bourse : si ce contre-choc donne de l’oxygène aux consommateurs d’or noir, il pénalise violemment les pays producteurs, et toute l’importante filière pétrolière. En France, il soumet Total, Vallourec, Technip, CGG à rude épreuve.

    Autre défi : la révolution du pétrole et du gaz de schiste aux Etats-Unis a provoqué une surabondance d’hydrocarbures. Aujourd’hui, le marché croule sous le pétrole, qu’il vienne des Etats- Unis, de Russie, de l’Arabie saoudite, qui laisse ses vannes grandes ouvertes, ou encore d’Iran. Avec la levée imminente des sanctions occidentales contre Téhéran, le pays va pouvoir relever son offre pour exporter. La demande, elle, reste freinée par le manque de tonus de nombreuses économies, dont la Chine.

    Le scénario noir d’un yuan en chute libre

    Bien qu’elle soit créancière nette du reste du monde, la Chine a un problème financier sérieux, manifeste dans la dégradation de ses comptes extérieurs. Après avoir vu affluer pendant des années une partie des liquidités alimentées par les banques centrales des pays industrialisés, Fed en tête, elle se trouve confrontée depuis un an à des sorties massives de capitaux, de l’ordre de 100 milliards de dollars par mois.

    Cette inversion des flux de capitaux complique la gestion de ses réserves de change. Celles-ci, en baisse de 10 %, s’élevaient encore, en décembre 2015, à 3 300 milliards de dollars, ce qui représente vingt mois d’importation. Ce matelas n’est confortable qu’en apparence : car, pour soutenir le cours de sa monnaie qui se déprécie, la banque centrale puise dans ses réserves. Cette situation ne peut pas s’éterniser.

    Le manque de transparence de la politique de l’institution et les hésitations chinoises en matière de change ont accentué la volatilité mondiale. Les marchés craignent désormais que, pour avancer sur le terrain de la libéralisation financière en ouvrant ses marchés de capitaux, et pour éviter un atterrissage brutal de l’économie, Pékin n’opte pour une baisse de sa monnaie.

    Les réserves de change chinoises fondent

    Elles ne cessent de baisser. Fin novembre, les réserves de change chinoises sont tombées à 3 438 milliards de dollars, à leur plus bas niveau depuis trois ans. Et pour cause : ces derniers mois, la banque centrale de Chine (PBOC) est massivement intervenue pour soutenir sa monnaie, le yuan.

    Pour éviter que celui-ci ne se déprécie trop rapidement, notamment face au billet vert, elle a massivement acheté des dollars sur les marchés de change, puisant ainsi dans ses réserves. En abaissant régulièrement, depuis l’été dernier, le cours pivot autour duquel le yuan peut évoluer de 2 %, la PBOC tente d’accompagner la baisse de sa devise en limitant le recours à ses réserves. Mais les experts y ont également vu une façon d’amadouer le Fonds monétaire international, afin qu’il intègre le yuan au panier de devises constituant son unité de compte.

    Jusqu’alors, les autorités chinoises ont dépensé des fortunes pour éviter une forte dépréciation du change. « Le problème, analyse M. Artus, est que cet ajustement lent de la devise amplifie les sorties de capitaux. » D’où la crainte des marchés d’un changement de pied. « Ils se disent que les autorités chinoises pourraient de façon plausible s’engager dans une dépréciation importante, et cela serait un choc dont n’ont absolument pas besoin les économiques occidentales », a déclaré, vendredi à l’AFP, Didier Saint-Georges, de la société de gestion Carmignac.

    « Le scénario catastrophe serait de laisser flotter le renminbi. Car il ferait une chute libre de 15 % à 20 %, et ce serait un choc colossal pour l’économie mondiale », confirme M. Artus. Compte tenu du poids de la Chine dans l’économie mondiale (18 % du PIB et 14 % de ses exportations), une telle crise aurait des répercussions planétaires et aggraverait les difficultés des pays émergents exportateurs de matières premières.

    Les toussotements de la machine américaine

    Et si le vent tournait aussi aux Etats-Unis ? Deux indicateurs économiques sont venus renforcer, vendredi 15 janvier, le sentiment que l’économie américaine ne pourrait peut-être pas rester immunisée très longtemps contre le ralentissement mondial.

    La consommation des ménages, qui représente 70 % de l’activité économique aux Etats-Unis, commence à montrer des signes d’essoufflement. Jusqu’à présent, elle représentait une sorte de rempart aux vents contraires que constituent la force du dollar et le ralentissement de la demande extérieure. Mais, en décembre 2015, les ventes de détail ont baissé de 0,1 % par rapport à novembre, selon les chiffres du Département du commerce. Sur un an, la progression n’est que de 2,1 %, la plus fragile depuis le début de la reprise, il y a six ans. Malgré les gains de pouvoir d’achat dus à la faiblesse des prix de l’essence, les Américains achètent moins d’appareils électroniques (–0,2 %), de produits alimentaires et de boissons (– 0,3 %) ou encore de vêtements (– 0,9 %).

    L’annonce, le même jour, par Wal-Mart, le plus gros employeur du pays, de la fermeture de 154 magasins aux Etats-Unis et de la suppression de 10 000 emplois n’a guère rassuré. Par ailleurs, les ventes de Macy’s ont baissé de 4,7 % sur les deux derniers mois de 2015 et celles de Gap, de 5 %. Les deux enseignes ont également prévu des fermetures de magasins. Même tendance chez Best Buy, le leader des produits électroniques, avec un recul de 1,2 %.

    L’autre voyant qui vire au rouge, c’est l’industrie. La production a décliné en décembre de 0,4 %. Il s’agit du troisième mois consécutif de baisse. Sur un an, l’activité dans le secteur industriel s’est contractée de 1,8 %, un chiffre qui n’avait plus été enregistré depuis 2009.
    Le président de la Réserve fédérale de New York, William Dudley, a déclaré vendredi qu’il s’attendait à « un quatrième trimestre [2015] faible du côté de la croissance ». La première estimation sera publiée le 29 janvier.

  • What I Learned from Losing $200 Million - Issue 31: Stress
    http://nautil.us/issue/31/stress/what-i-learned-from-losing-200-million

    I’d lost almost $200 million in October. November wasn’t looking any better. It was 2008, after the Lehman Brothers bankruptcy. myself recently, on the bank’s website. My first reaction was that it seemed almost farcically fashioned to “fight the last war”: The Dow drops by about half, U.S. GDP dips around 5 percent, unemployment spikes to 10 percent—basically it’s the aftermath of 2008 all over again. It doesn’t account for other potential calamities, like a breakup of the Euro, for example, or an emerging market crisis, or hyperinflation, or shock-induced feedback effects like the ones I faced with fuel. There’s also the inconvenient fact that both Fannie Mae and Freddie Mac were stress tested regularly by their regulator, and declared well capitalized—right up until they failed in 2008. (...)

  • La tragédie du vol MH 17 est-elle un événement du type ’Archiduc Franç...
    http://www.express.be/business/fr/economy/la-tragedie-du-vol-mh-17-est-elle-un-evnement-du-type-archiduc-franois-ferdinand-tenez-vous-pret-pour-un-autre-monde/206570.htm

    La tragédie du vol MH17 pourrait bientôt entrer dans l’histoire comme un tournant dans la pire crise qu’aient connu la Russie et l’Occident depuis la fin de la Guerre Froide. Pourtant, les experts et le public semblent ne pas encore avoir compris que cette situation est tout à fait similaire à celle qui a conduit à la Première Guerre Mondiale, écrit Zero Hedge.

    Avec le durcissement des sanctions économiques que les Etats-Unis ont imposées à la Russie, qui devrait être copié par les pays européens, on peut déjà affirmer que nous sommes au bord d’une véritable guerre économique.

    Lorsque le Serbe de Bosnie Gavrilo Princip a assassiné l’archiduc d’Autriche François-Ferdinand le 28 Juin 1914 à Sarajevo avec une arme fabriquée en Belgique, très peu ont pensé que cet événement était susceptible de déclencher une guerre mondiale et une grave dépression économique.

    Deux jours après cet assassinat, le Financial Times avait rapporté que « les marchés financiers avaient été à peine affectés par l’assassinat de l’héritier du trône d’Autriche », et qu’il n’y avait « aucune preuve que les investisseurs puissent être pris de panique ».

    La complaisance l’a emporté sur les risques géopolitiques, et six mois plus tard, le Dow Jones Industrial Average s’est effondré de 35%, et le monde est entré dans la Première Guerre mondiale.

    « Il y a toujours un catalyseur sous la forme d’un évènement dans l’histoire que les gens considèrent à posteriori comme étant l’élément déclencheur d’une perturbation mondiale majeure. D’habitude, ce sont des tensions importantes politiques, militaires et économiques existantes qui sont les facteurs réels qui mènent aux guerres. Le papillon peut battre ses ailes et créer un ouragan de l’autre côté du monde. Un évènement aussi tragique que la catastrophe aérienne peut être l’étincelle déclencheuse de l’embrasement », écrit le site.....

    #MH_17
    #guerre
    #Gaza
    #Israël
    #Ukraine
    #Russie
    #déclencheur
    #pétrole
    #énergie
    #bourse

    • Ce n’est pas l’assassinat de l’archiduc qui a « provoqué » la guerre. Elle a eu lieu parce que les gouvernants voulaient la faire. Et les opinions, chauffées à blanc, ont suivi.

      Aujourd’hui, il semble bien qu’il y ait un parti de la guerre avec ce qu’il faut de chauffeurs d’opinion. La question est plutôt : les opinions suivront-elles ?

      La dichotomie meurtrière « nous/eux » est aujourd’hui bien ancrée et laisse le champ à un embrasement possible.

      L’histoire (1914, par exemple) a montré qu’un engrenage peut déboucher sur une catastrophe. Mais qui s’intéresse à l’histoire ? On commémore le centenaire et les « héros » mais a-t-on rappelé la « logique » de cette « montée à la guerre » ? Coup de Tanger, Panthersprung von Agadir, loi des trois ans, guerres balkaniques,… Ce qui a surpris, ce n’est certainement pas qu’elle éclate.

      Aujourd’hui ? On a eu, il y a un an, une première (?) montée avec l’affaire syrienne ; la montée ukrainienne actuelle semble perdre son impulsion.

      À force, tout peut être « l’étincelle déclencheuse de l’embrasement ».

  • Spoliation de l’épargne des ménages en 2015
    http://www.brujitafr.fr/article-spoliation-de-l-epargne-des-menages-en-2015-123778610.html

    Le fmi veut confisquer 10% de l’épargne de tous les européens Après le fmi et la bundesbank, l’ue veut ‘mobiliser’ votre épargne Pourquoi votre epargne sera taxee de 10% (lisez bien, vous avez une autre preuve ci-dessous) Alerte : preparation d’une saisie globale de l’epargne dans 28 pays europeens L’avenir pourrait nous rappeler très bientôt que, depuis plus de vingt-cinq ans, une grande crise économique et financière s’est déclenchée tous les sept ans : En octobre 1987, le Dow Jones perd 22,6 % en une journée ; c’est le premier krach de l’ère informatique. La crise s’étend vite ; le 2 novembre 1987, (...)

  • The 16,000 Dow - World Socialist Web Site

    http://www.wsws.org/en/articles/2013/11/25/pers-n25.html

    The Dow Jones Industrial Average closed above 16,000 for the first time ever Thursday, in the seventh consecutive week of gains. This feat was immediately followed by another milestone: the S&P 500 index closed at 1,804, the first time the index has closed above 1,800 in history.

    The Dow is up by 24 percent over the past year, having doubled since 2009. The S&P 500 is likewise up by 28 percent.

    #finance #spéculation #wall_street #criminalité_financière #dow_jones

  • Wall Street optimiste, doutant de la concrétisation de frappes contre la Syrie
    http://www.romandie.com/news/n/_Wall_Street_optimiste_doutant_de_la_concretisation_de_frappes_contre_la_S

    Selon des résultats définitifs à la clôture, l’indice vedette Dow Jones Industrial Average s’est apprécié de 140,62 points à 15.063,12 points et le Nasdaq, à dominante technologique, a pris 46,17 points à 3.706,18 points.

    ...

    Le Congrès n’a pas l’air prêt à soutenir le plan du président (Barack) Obama de frapper la Syrie, et il est peu probable que celui-ci passe par dessus ce vote, commente Alan Skrainka, de Cornerstone Wealth Management.

    Ce serait une très bonne nouvelle pour le marché, poursuit-il.

    Il y a aussi eu quelques bonnes nouvelles économiques, comme les exportations chinoises, mais c’est surtout la croyance qu’il n’y aura pas d’intervention militaire américaine en Syrie qui a enlevé beaucoup d’incertitude.

  • Les coupes du « séquestre » : un nouveau stade dans les attaques contre la classe ouvrière américaine
    http://www.wsws.org//fr/articles/2013/mar2013/pers-m05.shtml

    L’argument central de l’élite dirigeante et de ses organes politiques, à savoir qu’il « n’y a pas d’argent » pour l’emploi, l’éducation, les soins de santé, le logement, les retraites, est un mensonge. L’élite financière américaine n’a jamais été aussi riche. Alors même que le gouvernement lançait son attaque contre les programmes sociaux, l’indice Dow Jones Industrial Average (DJIA) était sur le point d’atteindre un nouveau record. Les bénéfices des sociétés et les rémunérations des PDG continuent de grimper en flèche, subventionnés par des milliers de milliards de prêts quasi gratuits et de renflouements venant du Trésor et de la Réserve fédérale.

  • Are algorithms nature?
    http://www.guardian.co.uk/science/blog/2011/jul/13/ted-global-2011-glastonbury-nerdstock

    Algorithms are no longer just a set of instructions that tell a computer what to do. They’ve become a force in their own right, according to Kevin Slavin, the co-founder of games company Area/Code. The world has now become a place where algorithms battle each other for supremacy. The financial markets now consist of one set of algorithms trying to outsmart another set, and nobody can be exactly sure any more of what it exactly is that we’re doing. “We’ve lost the sense of what’s actually happening in this world that we’ve made.”

    He cites the example of the “Flash Crash”, when at 2.42pm on 6 May last year, 9% of the Dow Jones index simply disappeared “and nobody knew where it went”. No person was in control; it was simply a bunch of computer algorithms battling it out against each other. This, he says, is not information: it’s culture.