• manipulation de la LDJ pour faire croire à une attaque de synagogue dénoncé par l’UJFP.
    http://www.med-in-marseille.info/spip.php?breve4247
    http://www.ujfp.org/spip.php?article3321

    "Une réunion était prévue par la LDJ devant la synagogue, donc ils ne sont pas venus à la rescousse comme ils le prétendent. Mais tellement sûr de leur impunité qu’ils n’ont même pas pris soin d’effacer sur internet l’annonce de leur traquenard. Donc lorsque qu’on sait qu’ils agressent violemment et systématiquement toutes les manifestations pacifiques en faveur du peuple Palestinien nous sommes en droit de nous interroger ? Comment la police obligatoirement au courant par ses RG n’a rien fait pour éviter tout contact alors qu’elle connaissait le parcours de la manif. Pourquoi n’a t-elle pas pisté ce groupe extrémiste sachant qu’ils avaient écrit noir sur blanc qu’ils allaient attaquer la manif ?

    Le plus grave est le traitement médiatique car rapidement, à partir des réseaux sociaux, depuis Marseille nous avons su que ce groupe est parti commettre les exactions qu’il avait promis de faire. Des témoignages ont confirmé que les nervis de la LDJ sont venus attirer des jeunes dans ce piège. Ce qui est étrange dans cette affaire, c’est la complicité médiatique autour de cette supercherie minable et facilement vérifiable. Comme d’habitude, comme à l’époque de la fausse affaire du RER D ou de la fausse attaques du centre social juif, et tant d’autres manipulations nos confrères ont été prompt à relayer ses mensonges, nous ne doutons pas que le rétablissement de la vérité ne sera pas à la hauteur. Au final, c’est certainement pire que nous pouvons l’imaginer, es-ce que nos confrères parisien se sont laissé bernés ou sont-ils complices, quid également de l’attitude de la police et des autorités religieuses de cette synagogue...

    Donc ces abrutis peuvent se vanter sur les réseaux sociaux d’avoir défendu la synagogue. Tout en oubliant d’effacer l’annonce des festivités. Une telle manipulation est odieuse et c’est pour cette raison que nous relayons cette tribune de dénonciation publié par d’autres français de culture juive, de vraies justes, qui sont pour la paix, la vraie !"

    Suis une tribune de l’UFPJ adressée à Mathieu Deslandes, « Rédacteur en chef adjoint de Rue 89 » qui on s’en souvient, est un titre en ligne qui milite pour que la Presse retrouve sa grandeur journalistique.

    #nuit_de_cristal_a_la_Roquette #Marseille_trop_puissant #ldj #ufpj #rue89 #medias #manipulation #manifestation #conflit_israelo_palestinien

  • Coin Joli : Ils ripostent pour désenclaver l’école
    http://www.lamarseillaise.fr/marseille/societe/27020-ils-ripostent-pour-desenclaver-l-ecole

    Drôle : d’un côté la Ville de #Marseille finance la recherche sur les ensembles résidentiels fermés...
    http://bit.ly/1fGNlWI

    Le précédent programme « Les enclaves résidentielles à Marseille. Logiques spatiales, dynamiques, formes et représentations »mené par l’équipe de recherche du LPED avait permis une circonscription précise du phénomène de la fermeture résidentielle à Marseille (Plus de 1000 résidences relevées sur le terrains et rentrées sous SIG) ainsi qu’une compréhension de ses dynamiques géohistoriques, politiques et juridiques (cf. rapport de recherche ici).

    Cette nouvelle étude, effectuée à la demande de la Ville de Marseille , vise d’une part à actualiser ce corpus de résidences et surtout, l’étendre aux autres types de fermetures (non résidentielles) à Marseille. Plus que la question de la fermeture, c’est celle de son impact sur l’espace et les pratiques qui sont posées.

    Les fermetures à répétition qui marquent l’espace marseillais depuis maintenant plus de 15 ans retranchent aujourd’hui des parties importantes de voirie à la trame viaire générale. Ce phénomène a un impact sensible sur l’accessibilité de certains points de la ville entre eux tout en accentuant les détours et l’usage du « tout-voiture ». Marseille est donc confrontée à une profonde « crise de la rue » posant de réels problèmes du point de vue de l’écologie urbaine et de la structuration de son territoire .

    ...tandis que de l’autre, elle continue tranquillement de laisser ces mêmes-rues se fermer :

    Les parents d’élèves de l’école primaire Coin Joli ont attaqué les propriétaires en justice contre la fermeture du lotissement. Les parents d’élèves de l’école communale attaquent en justice la fermeture du lotissement.

    (...)

    Malgré les sollicitations restées sans réponse auprès de la mairie et de l’association des propriétaires, cette dernière a voté la fermeture complète du lotissement Coin Joli avec l’enclavement total de la rue située devant l’entrée de l’école primaire fréquentée par quelques 240 élèves. Pour le représentant des parents d’élèves de Coin Joli, « il suffirait que la municipalité soit moins hypocrite et prenne ses responsabilités en décidant que les voies d’accès à l’école redeviennent publiques ».

    Carte : https://a.tiles.mapbox.com/v3/mapper.hef83132/page.html?secure=1#17/43.26509/5.40111

    #gated_communities #ensembles_résidentiels_fermés #marseille_trop_puissant #fragmentation_urbaine

    • Les aventures de Coin-Joli, la suite :

      http://bit.ly/1qvqKWu

      « L’affaire est extrêmement simple », a plaidé un Me Candon visiblement agacé par l’attitude de sa consoeur qui l’a coupé tout au long de l’audience. Nul besoin pour lui de longues démonstrations dans la mesure où le lotissement est régi par un cahier des charges en vigueur depuis 1928. Or celui-ci stipule, cite l’avocat, que « le sol des rues et places sera perpétuellement ouvert à la circulation publique et que la propriété privée de ces voies n’est que provisoire, celles-ci devant revenir à la Ville de Marseille sur simple demande de sa part. » En attendant la décision du tribunal, rendue dans les prochains jours, les riverains regrettent : « A Coin-Joli, il n’y a plus d’enfants. C’est sûr que c’est calme. C’est mort. »

      #incurie_municipale (ou #incurie_communautédecommunesque ?)