Interview (en anglais) de Nidal el Khairy, artiste palestinien engagé (pléonasme?), par Stefan Christoff:
▻http://freecityradio.org/post/91734658870/interview-palestinian-artist-nidal-el-khairy
Interview (en anglais) de Nidal el Khairy, artiste palestinien engagé (pléonasme?), par Stefan Christoff:
▻http://freecityradio.org/post/91734658870/interview-palestinian-artist-nidal-el-khairy
#Gaza’s doctors: The other face of the Resistance
▻http://english.al-akhbar.com/node/21012
For 29 days, doctors in Gaza have been working amid blood and body parts. As hundreds of people suffering serious injuries continue to stream in, they are unfortunately forced to give priority only to those they can save. In the meantime, janitors working by their side have not stopped rinsing the blood away.
#Articles #Ashraf_al-Qudra #Israel #Kamal_Adwan_Hospital #Mohammed_Abu_Arab #Nidal_Ahmed #Shifa_Hospital #Culture_&_Society
#al-Baysarieh : Tensions mount against Palestinian residents
▻http://english.al-akhbar.com/content/al-baysarieh-tensions-mount-against-palestinian-residents
A Lebanese man walks past the burnt out vehicle of one of the suspected suicide bombers from the attack on the Iranian cultural centre the previous day, after villagers set fire to the car outside his home in Baissarieh, south of the Sidon, on February 20, 2014. (Photo: AFP-Mahmoud Zayyat) A Lebanese man walks past the burnt out vehicle of one of the suspected suicide bombers from the attack on the Iranian cultural centre the previous day, after villagers set fire to the car outside his home in Baissarieh, south of the Sidon, on February 20, 2014. (Photo: AFP-Mahmoud Zayyat)
Those who pick the men for suicide bombings know what they are doing. Four months ago, they partially succeeded in causing tensions in the southern (...)
#Lebanon #Articles #Nidal_al-Moughir #Palestine #South_Lebanon
Au #Liban, les politiques s’emparent de l’affaire #Georges_Abdallah - Regards.fr
►http://www.regards.fr/monde/au-liban-les-politiques-s-emparent
En prison depuis vingt-sept ans et libérable depuis douze ans, Georges Ibrahim Abdallah vient de déposer sa huitième demande de remise en liberté. Ce militant communiste, âgé aujourd’hui de 60 ans, est le plus ancien prisonnier politique détenu actuellement en France. Ignoré pendant trois décennies par les autorités politiques de son pays, son cas ressurgit dans les débats depuis quelques semaines. Pour la première fois depuis 1999, le Premier ministre Najib Mikati, en visite à Paris depuis jeudi, devrait demander sa libération. Depuis 1984, date de son arrestation, aucune autorité libanaise n’est entrée en contact avec le prisonnier. En 2006, l’Union de la jeunesse démocratique libanaise (UJDL) a constitué un collectif pour défendre le cas de Georges Abdallah. « Pendant très longtemps, sa situation n’a jamais été évoquée par les politiques, déplore Hassan Sabra, responsable du collectif. Ce n’est que depuis quelques semaines qu’il y a un regain d’intérêt. »
voilà qui devrait intéresser notre ami #nidal, je n’ai pas vu passé d’info à ce sujet
La #CBC prétend avoir une enquête « inédite » avec plein de morceaux de révélations dedans sur l’enquête de l’#ONU sur la mort de #Hariri.
En gros : la science-fiction habituelle, connue de longue date (et aimablement distillée, ici, par Malbrunot). Et des ficelles tellement énormes que ça va finir par se voir (si l’enquête de l’ONU contient de tels éléments, ça va jaser).
Donc, les habituelles lubies sur l’analyse de communications téléphoniques de membres du #Hezbollah (responsables de l’assassinat, mais ça on le savait déjà). Aucune mention :
– du fait que le réseau de téléphonie mobile est lourdement infiltré par les services israéliens (plus de 100 espions arrêtés depuis quelques mois, un bon nombre bossant sur la téléphonie mobile) ; donc toute conclusion tirée de l’analyse d’un réseau compromis fait doucement rigoler au #Liban ;
– du fait que le Hezbollah est doté de son propre réseau de communication, qu’il est totalement paranoïaque là-dessus (à juste titre, voir point précédent), et qu’il a d’ailleurs pris le contrôle de Beyrouth, par les armes, lorsque le gouvernement Saniora a voulu déclarer son réseau hors la loi. Et pour organiser l’attentat le plus grave au Liban, le Hezbollah utiliserait des téléphones portables non sécurisés.
Grand moment de n’importe quoi :
"Selon CBC, l’enquête de l’ONU vise également un autre suspect possible, Wissam al Hassan, l’actuel chef des services secrets libanais. À l’époque du meurtre, il était le chef de la sécurité de Rafic Hariri. Le jour de l’explosion, il était absent."
Bien sûr, « les services secrets libanais », ça n’a pas beaucoup de sens. Lesquels ? Depuis la vague d’arrestation d’espions au Liban, tout le monde sait qu’il y a plusieurs « services secrets » au Liban.
Wissam al Hassan est un des hommes-clés de Saad Hariri. Que vient-il faire dans un attentat qu’on prétend organisé par le Hezbollah ?
La piste Wissam Eid, vieille rumeur balancée aux journalistes occidentaux pour leur faire prendre des vessies pour des lanternes :
"Déjà en 2006, un policier libanais, le capitaine Wissam Eid, avait remis à l’ONU un rapport aux Nations unies qui identifiait les réseaux téléphoniques et le Hezbollah."
Mais tenez-vous bien :
"L’ONU a perdu ce rapport."
Donc CBC est en train de publier des « révélations » sur l’activité d’un capitaine mort, sur un rapport qui aurait disparu.
"Des informations laissent croire que l’ONU serait enfin prête à porter des accusations contre les responsables du meurtre de Rafic Hariri."
Hé ben ça promet.
Pour rappel, j’ai déjà évoqué la « piste » Wissam Eid ici :
►http://seenthis.net/messages/453
Pour l’AFP, il n’est même plus nécessaire d’utiliser le conditionnel quand on cite un article qui lui-même rapporte des rumeurs :
►http://qc.news.yahoo.com/s/afp/101122/monde/onu_tsl_liban_hezbollah_canada_1
« Wissam Eid, ancien étudiant en informatique, avait procédé à une étude des appels téléphoniques de tous les portables utilisés dans les environs de l’hôtel St. George où le convoi de Hariri avait été pris pour cible.
Il avait rapidement établi l’existence d’un réseau de téléphones utilisés par les assassins. Il avait ensuite établi un lien avec une ligne fixe d’un hôpital du Hezbollah dans le sud de Beyrouth et une poignée de téléphones portables utilisés par le Hezbollah. »
Tiens, et on raccroche les wagons avec un « hôpital du Hezbollah dans le sud de Beyrouth ».
Histoire de faire le lien avec l’incident suivant :
►http://www.tdg.ch/depeches/monde/liban-altercation-enqueteurs-tsl-femmes-clinique-medecin
"Des enquêteurs du tribunal de l’ONU chargé de l’affaire de l’assassinat du l’ex-Premier ministre libanais Rafic Hariri se sont heurtés mercredi à un groupe de femmes dans une clinique de la banlieue sud de Beyrouth, bastion du Hezbollah, selon la responsable de l’établissement."
Cette façon de construire les "démonstrations" journalistiques à l’envers est impressionnante. Wissam Eid a été assassiné en janvier 2008 ; on peut donc penser que ses éventuelles "révélations" auprès de l’ONU sont antérieures à cette date.
Daniel Bellemare a été nommé à la tête de la Commission d’enquête en novembre 2007.
Faire le lien entre Wissam Eid et un incident survenu en octobre 2010, ça ne tient donc pas la route.