• L’OMS juge « prématuré » de déclarer victoire face au Covid-19, alors que certains pays lèvent les restrictions
    https://www.francetvinfo.fr/sante/maladie/coronavirus/l-oms-juge-premature-de-declarer-victoire-face-au-covid-19-alors-que-ce

    « Nous sommes préoccupés par le fait qu’un récit s’est installé dans certains pays selon lequel, en raison des vaccins et de la transmissibilité élevée d’Omicron, et de sa moindre gravité, prévenir la transmission ne serait plus possible. Rien de tout cela ne pourrait être plus éloigné de la vérité », a affirmé le chef de l’institution.

    Pour Tedros Adhanom Ghebreyesus, « ce virus est dangereux ». "Nous ne demandons à aucun pays de réinstaurer des confinements. Mais nous appelons tous les pays à protéger leur population en utilisant tous les outils disponibles, et pas que les vaccins", a-t-il souligné. Affirmant que le virus va continuer à évoluer, il a appelé les pays à poursuivre les tests, la surveillance du virus et son séquençage. « Nous ne pouvons pas combattre ce virus si nous ne savons pas ce qu’il fait. »

    Qu’est-ce que les pays européens, et la France en particulier, savent que le patron de l’OMS ignore ?

  • #omicron : Qu’est ce qu’on fait de ce #vaccins contre ce virus

    https://www.youtube.com/watch?v=x5-5P3ugQ_M

    Les pays riches ont moins bien géré cette épidémie que les pays pauvres.

    Une épidémie ne se dirige pas avec des ordinateurs !

    #NDR à chaque fois que quelqu’un commence à rapporter des données qui ne vont pas entièrement dans le sens du courant officiel, il faut censurer ces données, que ce soit par un moyen ou par un autre.

    #OMS #Science #covid-19 #sante #vaccination #coronavirus #santé #capitalisme #bienfaiteurs #multinationales #religion des #vaccins #hydroxychloroquine la #réalité est dominée par l’#objectif #croyance #chloroquine #actualités_française #libéralisme #évidence #censure #pensée_unique

  • #Covid-19 : l’#OMS affirme que les doses de rappel ne mettront pas fin à la pandémie
    https://amp.france24.com/fr/santé/20211222-l-oms-affirme-que-les-doses-de-rappel-ne-mettront-pas-fin-à-l

    « Des programmes de rappel sans discernement ont toutes les chances de prolonger la pandémie, plutôt que d’y mettre fin, en détournant les doses disponibles vers les pays qui ont déjà des taux de vaccination élevés, offrant ainsi au virus plus de possibilités de se répandre et de muter », a souligné le Dr Tedros.

    « Il est important de se souvenir que la très grande majorité des hospitalisations et des morts sont des gens qui ne sont pas vaccinés pas des gens qui n’ont pas eu de dose de rappel », a-t-il insisté, ajoutant : « Et il nous faut être très clair » sur le fait que « les vaccins restent efficaces contre les variants Delta comme Omicron ».

    Mutations qui donc pourraient aboutir à l’apparition de

    variants « totalement résistants » aux vaccins actuels ou à une infection antérieure

    https://seenthis.net/messages/942104

  • Le CDC admet que la « pandémie de Covid » était le produit d’un test inapproprié Paul Craig ROBERTS
    CDC Admits that the Covid Pandemic Was the Product of an Inappropriate Test
    https://www.paulcraigroberts.org/2021/12/27/cdc-admits-that-the-covid-pandemic-was-the-product-of-an-inappropr (traduction Réseau International.)

    Discrètement, sans l’attention des médias, les Centers for Disease Control and Prevention (CDC) ont retiré le processus PCR comme test valide pour la détection et l’identification du SRAS-CoV-2.


    « Après le 31 décembre 2021, les CDC retireront la demande d’autorisation d’utilisation d’urgence auprès de la Food and Drug Administration (FDA) des CDC 2019-Novel Coronavirus (2019-nCoV) Real-Time RT-PCR Diagnostic Panel, le test introduit pour la première fois en février 2020 pour la détection du SRAS-CoV-2 uniquement ». 

 Les CDC admettent que le test PCR ne peut pas différencier le SRAS-CoV-2 des virus de la grippe.
    J’ai signalé il y a plusieurs mois que les « autorités sanitaires » étaient parvenues à cette décision, mais qu’elles retardaient sa mise en œuvre jusqu’à la fin de 2021. Elles avaient besoin de ce faux test pour entretenir la peur afin d’obtenir le plus de vaccinations, et donc de profits, possible.

    Il est extraordinaire que le retrait du test par le CDC n’ait reçu aucune attention de la part des médias ou des politiciens.

    Le Dr Kary Mullis, lauréat du prix Nobel et inventeur du processus PCR, a déclaré il y a plusieurs années que « le PCR est un processus. Il ne vous dit pas que vous êtes malade ». Il n’a jamais été conçu pour être un test Covid.

    Le Dr Pascal Sacre, le célèbre Belge spécialisé dans les soins intensifs, a déclaré que le processus RT-PCR a été détourné et appliqué comme une stratégie implacable et intentionnelle pour créer l’apparence d’une pandémie basée sur des résultats de tests bidons et non sur de véritables patients atteints du Covid afin de violer les droits humains et constitutionnels des citoyens.

    Comme je l’ai toujours signalé, le test PCR a été délibérément effectué à des cycles élevés, connus pour produire des faux positifs. La plupart des prétendus « cas Covid » n’étaient rien d’autre que des fabrications intentionnelles. Les hôpitaux ont fait partie de l’escroquerie, car ils ont été incités par des récompenses financières à déclarer pratiquement tous les décès comme des décès dus au Covid. C’était facile à faire, car chaque personne mourante, quelle qu’en soit la cause, subissait un test PCR qui produit jusqu’à 97% de faux positifs et était ainsi déclarée « mort Covid ».

    La question qui se pose au monde est de savoir si les « autorités sanitaires », qui ne sont en fait que les avocats des profits de Big Pharma, comme l’a prouvé Robert F. Kennedy Jr., les politiciens et les médias menteurs seront tenus responsables des blessures et des décès causés par le « vaccin » lui-même, des pertes et des fermetures d’entreprises causées par les confinements insensés, et des violations extraordinaires des lois de Nuremberg par la vaccination obligatoire.

    Les peuples du monde doivent comprendre que la « pandémie de Covid » orchestrée est le plus horrible crime de masse jamais commis dans l’histoire de l’humanité. C’est « l’Occident libre » qui a organisé et perpétré ce crime horrible.
    Les personnes qui ont fait confiance à Fauci, qui ont fait confiance à Biden, qui ont fait confiance à l’establishment médical et qui ont fait confiance aux médias ont vu leur vie ruinée.

    La race humaine sera-t-elle trop stupide pour comprendre cette tromperie et les conséquences pour les droits de l’homme et la liberté humaine ? Continuera-t-elle à faire confiance aux autorités et aux médias qui l’ont trompée avec un récit contrôlé qui exigeait de réduire au silence et de punir tous les vrais experts ? Si tel est le cas, ils auront été effectivement réduits en esclavage.

    #covid-19 #sante #vaccination #coronavirus #santé #capitalisme #profits #bienfaiteurs #multinationales #vaccins #pandémie

    • L’oms prévoit de vacciner les martiens
      Après 11,2 milliards de doses l’an dernier, la production mondiale de vaccins devrait doubler en 2022
      https://www.rts.ch/info/economie/12758787-apres-112-milliards-de-doses-lan-dernier-la-production-mondiale-de-vacc

      Selon les fabricants, près de 24 milliards de doses de vaccin contre le Covid-19 devraient être produites en 2022, deux fois plus qu’en 2021. L’OMS en appelle à la solidarité pour atteindre le taux de 70% de vaccination dans tous les pays d’ici fin juin.
      En 2021, 11,2 milliards de doses contre le Covid-19 ont été produites et 8,6 milliards ont été administrées sur la planète. Il n’y a toutefois que 3,6 milliards de personnes à être aujourd’hui pleinement vaccinées.

      L’Organisation mondiale de la santé déplore une mauvaise répartition des vaccins, notamment en Afrique, en Asie et en Amérique du Sud, où le taux de vaccination est parfois inférieur à 20 voire 10%. . . . .
      #oms #bill_gates #fric

  • Covid-19 : l’Italie restreint ses conditions d’entrée pour les voyageurs européens
    https://www.lemonde.fr/planete/article/2021/12/14/covid-19-les-pays-bas-ferment-les-ecoles-primaires-une-semaine-plus-tot-par-

    Covid-19 : l’Italie restreint ses conditions d’entrée pour les voyageurs européens
    Ces nouvelles mesures, valables du 16 décembre au 31 janvier, interviennent alors que l’Europe fait face à une nouvelle vague de Covid-19, marquée par une rapide propagation du variant Omicron.
    La planète reste en alerte alors que le variant Omicron se propage à un rythme inédit, selon l’Organisation mondiale de la santé (OMS) qui estime que la plupart des pays sont désormais touchés. La pandémie de Covid-19 a fait au moins 5,3 millions de morts dans le monde depuis la fin de 2019, selon un bilan établi par l’Agence France-Presse (AFP) à partir de sources officielles, mardi 14 décembre.
    L’Italie a annoncé une restriction des conditions d’entrée sur son territoire pour les voyageurs en provenance de l’Union européenne (UE) à partir de jeudi, avec un test négatif obligatoire pour tous et une quarantaine de cinq jours pour les non-vaccinés.Jusqu’à présent, les ressortissants de l’UE pouvaient se rendre en Italie munis d’un passe sanitaire attestant un schéma de vaccination complet, une guérison récente ou un test négatif.
    Les personnes non vaccinées devront observer une quarantaine de cinq jours à leur arrivée, en plus de la présentation d’un test négatif. Celles qui arrivent de l’extérieur de l’UE devaient déjà être placées en quarantaine.

    #Covid-19#migrant#migration#italie#sante#frontiere#circulation#variant#omicron#OMS#test#quarantaine#restrictionsanitaire

  • WHO Global Competency Standards for Refugee and Migrant Health Services – Strengthening the health workforce to provide quality health services to refugees and migrants
    https://www.who.int/news-room/events/detail/2021/12/16/default-calendar/who-global-competency-standards-for-refugee-and-migrant-health-services-strengt

    WHO Global Competency Standards for Refugee and Migrant Health Services – Strengthening the health workforce to provide quality health services to refugees and migrants
    WHO Global Competency Standards for Refugee and Migrant Health Services – Strengthening the health workforce to provide quality health services to refugees and migrants
    16 December 2021 14:00 – 15:00 CET Virtual, On Zoom
    Refugees and migrants may face a number of challenges to accessing health care, including language and cultural differences, institutional discrimination and restricted use of health services, which shape their interactions with the host country’s health system and health workforce. The health workforce has a vital role in providing people-centred health services and building the resilience of health systems to respond to the health needs of refugees and migrants. This requires health workers with specific competencies.
    The Global Competency Standards highlight the competencies and behaviours needed to provide high-quality health services to refugees and migrants with the aim to support the development of competency-based curricula tailored to the local context and for health workers to achieve a minimum level of competence to ensure better health outcomes for refugees and migrants.The Standards are accompanied by a Knowledge Guide for health workers and health administrators and a Curriculum Guide for educational institutions. The Knowledge Guide identifies the foundational knowledge, skills and attitudes for the Global Competency Standards. The Curriculum Guide sets out considerations and options to deliver and assess competency-based learning outcomes of health workers at different stages in their career development. These have been adapted from the Global Competency and Outcomes Framework for Universal Health Coverage.
    The Standards and the two Guides have been developed by the Health and Migration Programme in close collaboration with the Health Workforce Department. It is the first set of its kind to be produced for health workers who provide health services to refugees and migrants as well as for educational institutions to incorporate these standards and foundational knowledge and skills into health worker training.

    #Covid-19#migrant#migration#OMS#sante#refugie#accessante#personnelmedical#formation

  • Omicron Covid variant discovered in west Africa and the Gulf | Coronavirus | The Guardian
    https://www.theguardian.com/world/2021/dec/01/omicron-covid-variant-discovered-in-west-africa-and-the-gulf
    https://i.guim.co.uk/img/media/56b84c9ef8ce79954fdca128fff8ce4e565a7f17/0_192_5760_3456/master/5760.jpg?width=1200&height=630&quality=85&auto=format&fit=crop&overlay-ali

    Omicron Covid variant discovered in west Africa and the Gulf

    US tightens border controls as more countries report first cases of coronavirus variant
    The Omicron variant of Covid-19 has been identified in west Africa and the Gulf, as the US said it was further tightening its border controls. Washington’s announcement was made as more countries reported their first cases of the variant, suggesting it is spreading around the globe.
    With Ghana, Nigeria, Norway, Saudi Arabia and South Korea among the latest states to record cases, Omicron has been identified in 24 countries.
    Dozens of countries have imposed stricter travel rules, and the US Centers for Disease Control and Prevention (CDC) said on Wednesday it was requiring all air travellers entering the country to show a negative Covid-19 test performed within one day of departure.Fifty-six countries were reportedly implementing travel measures to guard against Omicron despite warnings by the World Health Organization that “introducing blunt, blanket measures … will only worsen inequities”.However, a report on Wednesday suggesting that retrospective analysis in Nigeria had found evidence of Omicron as early as October – raising fears it had been circulating weeks earlier than first thought – proved to be incorrect.In fact, the genetic sequence identified in October was for the prevalent Delta variant of the virus, Nigerian health authorities said.Saudi Arabia became the first Gulf state to identify an Omicron case on Wednesday. Authorities in Riyadh said the variant had been identified in a traveller arriving from a north African country, without naming it.
    In Asia, South Korea confirmed its first cases, and Japan asked international airlines to stop taking new reservations for all flights arriving in the country until the end of December in a further tightening of already strict border controls. The transportation ministry said the request was an emergency precaution.The move by the world’s third-largest economy, coupled with its recent return to a ban on foreign visitors, is among the most stringent anywhere, and more in line with its cloistered neighbour China than with some other democracies in the region.This week the World Health Organization urged countries to avoid blanket travel bans.Japan has confirmed a second case of the Omicron variant in a person who arrived from Peru, one day after it reported its first case in a Namibian diplomat.
    Scientists are working frantically to determine how threatening Omicron is. Much remains unknown about the new variant, which has been identified in more than 20 countries, including whether it is more contagious, whether it makes people more seriously ill, and whether it can thwart the vaccine.
    Dr Anthony Fauci, the top US infectious disease expert, said more would be known about the variant in two to four weeks as scientists grow and test lab samples of the virus.

    #Covid-19#migrant#migration#monde#sante#variant#omicron#frontiere#circulation#economie#visiteur#oms#etranger

  • Fermer les frontières ne stoppera pas la propagation du variant Omicron
    https://www.seneweb.com/news/Sante/fermer-les-frontieres-ne-stoppera-pas-la_n_365358.html

    Fermer les frontières ne stoppera pas la propagation du variant Omicron
    Par : slate.fr - Slate.fr | 01 décembre, 2021 à 13:12:32 | Lu 2687 Fois | 7
    La découverte du variant B.1.1.529 du SARS-CoV-2, baptisé « Omicron » par l’Organisation mondiale de la santé (OMS), suscite l’inquiétude au niveau mondial, et a mis la planète en état d’alerte général. Et pour cause : l’OMS l’a déclaré « variant préoccupant » , car sa protéine Spike présente un large éventail de mutations, ce qui fait craindre que les vaccins et les traitements actuels s’avèrent moins efficaces pour le combattre.Bien qu’il soit encore trop tôt pour en être certain, Omicron semble par ailleurs être capable de réinfecter les gens plus facilement que les autres souches. Suivant l’exemple des États-Unis, du Canada, du Royaume-Uni et de l’Union européenne notamment, l’Australie a elle aussi fermé ses frontières aux voyageurs en provenance de plusieurs pays d’Afrique australe. Les citoyens australiens qui cherchent à rentrer chez eux depuis l’Afrique australe pourront le faire, mais à leur arrivée ils devront rester en quarantaine à l’hôtel et passer des tests. Ceux qui, au cours des deux semaines passées, sont revenus des neuf pays concernés –Afrique du Sud, Namibie, Zimbabwe, Botswana, Lesotho, Eswatini, Seychelles, Malawi et Mozambique– devront quant à eux s’isoler.
    Le problème est qu’Omicron a déjà été détecté dans d’autres régions du monde que l’Afrique, notamment au Royaume-Uni, en Allemagne, en Israël, à Hong Kong et en Belgique. Ainsi, si une interdiction de voyager dans les pays d’Afrique australe peut ralentir sa propagation et faire gagner un peu de temps, il est peu probable qu’elle suffise à l’arrêter complètement.
    Les gouvernements d’Australie et d’autres pays mettent en place ces restrictions pour tenter de protéger leurs propres citoyens. Cependant, ces mesures devraient s’accompagner d’un déblocage de ressources supplémentaires destiné à soutenir les réponses mises en place par les pays d’Afrique australe et d’ailleurs.
    Ce variant a été identifié le 22 novembre en Afrique du Sud, à partir d’un échantillon prélevé sur un patient le 9 novembre.Les virologues sud-africains ont agi rapidement : ils se sont entretenus avec leurs collègues par l’intermédiaire du Réseau de surveillance génomique en Afrique du Sud, et ont assuré la liaison avec leur gouvernement tout en informant l’Organisation mondiale de la santé, le 24 novembre.Cette démarche est conforme au Règlement sanitaire international, qui fixe les directives selon lesquels les pays sont censés réagir dans un tel contexte.
    Les scientifiques et les hommes politiques africains ont été déçus par la mise en place des mesures d ?interdiction, qu’ils considèrent comme une réaction « réflexe » de la part des pays qui les imposent. Ils affirment qu’elles auront des effets négatifs importants sur l’économie sud-africaine, qui accueille traditionnellement des touristes du monde entier pendant la période estivale de fin d’année. Ils soulignent également que l’on ne sait toujours pas si ce nouveau variant provient effectivement d’Afrique du Sud, même s’il y a été identifié pour la première fois. Étant donné qu’Omicron a déjà été détecté dans plusieurs autres pays, il se peut qu’il circule déjà dans des régions non incluses dans les interdictions de voyages.

    #Covid-19#migrant#migration#afrique#monde#sante#variant#omicron#frontiere#circulation#economie#OMS

  • Propagation du variant Omicron : L’Oms dénonce l’isolement de l’Afrique - Lequotidien - Journal d’information Générale
    https://lequotidien.sn/propagation-du-variant-omicron-loms-denonce-lisolement-de-lafrique

    Propagation du variant Omicron : L’Oms dénonce l’isolement de l’Afrique
    Lequotidien
    L’Afrique du Sud ainsi que les pays de l’Afrique australe sont presque isolés du reste du monde à cause de l’apparition du variant Omicron. Une situation dénoncée par l’Oms et qui ne risque d’être appliquée par les autres pays africains. C’est Macky Sall qui l’a assuré.
    Par Malick GAYE – Une « discrimination » ! C’est de cette façon que l’Afrique du Sud perçoit l’isolement que subit le pays à cause de la déclaration du variant Omicron. Porté à la connaissance du monde le 24 novembre passé, ce variant « préoccupant » du Covid-19 serait plus contagieux que Del­ta. Une donne qui a poussé une bonne partie de l’Europe à suspendre ses liaisons aériennes avec les pays de l’Afrique australe. Une situation dénoncée par l’Orga­nisation mondiale de la santé (Oms), qui appelle à une action coordonnée.L’Oms qui a salué l’attitude de l’Afrique du Sud en partageant le plus tôt possible les informations sur le nouveau variant, craint que cet isolement n’encourage pas la transparence. En effet, elle doute que les pays fassent de la rétention d’informations, de peur d’être isolés.Le Président sud-africain, Cyril Ramaphosa, s’est dit « profondément déçu » par ces fermetures de frontières, qui représentent, à ses yeux, une forme de « discrimination à l’égard de notre pays » et de ses voisins.
    Ces restrictions contredisent aussi frontalement les engagements du G20 à Rome, le mois dernier, en faveur du tourisme et des voyages internationaux, a poursuivi Cyril Ramaphosa, au ton sévère mais posé, dans un discours télévisé.
    Elles ne font qu’« endommager davantage nos économies et saper notre capacité à répondre et à nous remettre de la pandémie », a-t-il dit. L’Oms, qui a pourtant déconseillé les restrictions sur les voyages, estimant qu’il faudra « plusieurs semaines » pour comprendre la virulence d’Omi­cron. L’organisation a appelé dimanche à ce que « les frontières restent ouvertes », se tenant « aux côtés des pays africains ». L’Oms a également appelé les dirigeants du monde entier à « adopter une approche scientifique », basée sur « l’évaluation des risques » avant de décider de nouvelles restrictions.
    Le Président sénégalais, Macky Sall, a assuré hier lundi que les pays africains ne fermeront pas leurs portes à l’Afrique du Sud et aux autres pays d’Afrique australe, malgré l’apparition du variant de Covid-19, dénommé Omicron. Pour autant, Macky Sall invite ses collègues à rester vigilants.

    #Covid-19#migrant#migration#afrique#afriquedusud#sante#oms#variant#omicron#circulation#frontiere#economie

  • INTERDICTION DE VOLS AUX PAYS AFRICAINS : La directrice régionale de l’OMS monte au créneau | EnQuete+
    https://www.enqueteplus.com/content/interdiction-de-vols-aux-pays-africains-la-directrice-r%C3%A9gionale-de

    La directrice régionale de l’OMS monte au créneau
    Après la découverte du nouveau variant Omicron en Afrique du Sud, de nombreux pays ont mis en place une interdiction de voyage visant l’Afrique. Une attitude que déplore la directrice régionale de l’OMS, Docteur Matshidiso Moeti.Alors qu’un nombre croissant de pays impose des interdictions de vols aux pays d’Afrique australe, l’Organisation mondiale de la santé (OMS) a appelé les pays à agir conformément à la science et au Règlement sanitaire international (2005) en laissant les frontières ouvertes. Ces décisions prises par beaucoup de pays sont causées par des inquiétudes suscitées par le nouveau variant Omicron.Mais pour la directrice régionale de l’OMS, Docteur Matshidiso Moeti, ce n’est pas une raison de fermer les frontières aériennes aux pays d’Afrique. ‘’Maintenant que le variant Omicron est présent dans plusieurs régions du monde, la mise en place d’interdictions de voyage visant l’Afrique constitue une attaque de la solidarité mondiale. La Covid-19 profite continuellement de nos divergences. Nous ne prendrons le dessus sur le virus que si nous travaillons ensemble sur les solutions ‘’, a averti hier Dre Matshidiso Moeti dans un communiqué parvenu à ‘’EnQuête’’.Selon elle, les restrictions de voyage pourraient contribuer à réduire légèrement la propagation de la Covid-19. Mais ces dernières font peser un lourd fardeau sur les vies et les moyens de subsistance. A son avis, si des restrictions sont mises en place, elles ne devraient pas être inutilement invasives et intrusives. Elles devraient, souligne-t-elle, être basées sur la science et le Règlement sanitaire international qui est un instrument juridiquement contraignant de droit international reconnu par plus de 190 pays. Pour le Bureau régional de l’agence sanitaire mondiale, l’Afrique du Sud a suivi le Règlement sanitaire international. Dès que son laboratoire national a identifié le variant Omicron, elle en a informé l’OMS le 24 novembre, explique-t-elle. ‘’La rapidité et la transparence avec lesquelles les gouvernements d’Afrique du Sud et du Botswana ont informé le monde de ce nouveau variant sont à saluer. L’OMS se tient aux côtés des pays africains qui ont eu le courage de partager ces informations de santé publique susceptibles de sauver des vies, en aidant ainsi à protéger le monde contre la propagation de la Covid-19‘’, soutient Dre Moeti.Tandis que les investigations sur le variant Omicron continuent, l’OMS recommande aux pays d’adopter une approche scientifique s’appuyant sur l’évaluation des risques. L’organisation onusienne demande également de mettre en place des mesures qui peuvent limiter sa propagation éventuelle. Des interdictions de vol ont été imposées aux pays d’Afrique australe, mais seulement deux pays ont jusqu’à présent détecté le nouveau variant. Dans le même temps, des pays d’autres régions ont signalé des cas d’Omicron.

    #Covid-19#migrant#migration#afrique#sante#variant#omicron#frontiere#circulation#oms

  • Omicron : l’OMS déconseille aux personnes vulnérables de voyager, mise en garde du PDG de Moderna
    https://www.lemonde.fr/planete/article/2021/11/30/omicron-pekin-reconnait-que-le-variant-complique-les-jo-mise-en-garde-du-pdg

    Omicron : l’OMS déconseille aux personnes vulnérables de voyager, L’Organisation mondiale de la santé estime, cependant, que les interdictions générales de voyager n’empêcheront pas la propagation du variant Omicron.Au lendemain de l’alerte des ministres de la santé des pays du G7 déclarant dans un communiqué commun que le variant Omicron exige une « action urgente », la Chine a reconnu, mardi 30 novembre, que le nouveau variant serait synonyme de difficultés supplémentaires pour l’organisation des Jeux olympiques d’hiver de Pékin, qui doivent se tenir du 4 au 20 février 2022.
    Dans une interview au Financial Times mardi, le président-directeur général (PDG) de Moderna, Stéphane Bancel, s’est montré pessimiste quant à la réponse des vaccins existants contre ce nouveau variant du coronavirus. L’Organisation mondiale de la santé (OMS) estime qu’Omicron présente « un risque très élevé » au niveau mondial. Elle a, cependant, conseillé aux personnes les plus vulnérables, « notamment les personnes âgées de 60 ans ou plus et celles qui présentent des comorbidités », d’éviter de voyager.De nombreux Etats ont suspendu les voyages vers l’Afrique australe et instauré des dispositifs préventifs. Après plusieurs pays de l’Union européenne, dont la France, l’Allemagne et l’Italie, l’Espagne a annoncé, mardi, la suspension des vols en provenance d’Afrique australe à compter de jeudi et jusqu’au 15 décembre. En Asie, le Japon, trois semaines après avoir assoupli certaines restrictions, interdit depuis mardi « toutes les entrées de ressortissants étrangers ». Le gouvernement a confirmé, mardi, son premier cas d’Omicron, chez un homme revenu de Namibie.
    Au Royaume-Uni, porter un masque dans les transports et les magasins est redevenu obligatoire mardi. Tous les voyageurs y arrivant doivent faire un test PCR et s’isoler jusqu’au résultat. Depuis ce week-end, Londres n’acceptait déjà plus les non-Britanniques venant de dix pays africains (Afrique du Sud, Namibie, Lesotho, Eswatini, Zimbabwe, Botswana, Malawi, Mozambique, Zambie et Angola).
    Tout en reconnaissant des difficultés supplémentaires, la Chine a réaffirmé mardi sa confiance dans la réussite des Jeux olympiques d’hiver à Pékin, en dépit du nouveau variant Omicron, dont aucun cas n’a été à ce jour détecté dans le pays, hormis dans le territoire autonome de Hongkong. La Chine a largement maîtrisé l’épidémie sur son sol grâce à des mesures draconiennes : très forte limitation des vols internationaux, quarantaine obligatoire à l’arrivée, dépistages massifs ou encore isolement des cas contacts, identifiés grâce aux applications de suivi des déplacements. La vie a quasi repris son cours normal dès le printemps de l’année dernière. Mais le pays reste confronté à l’apparition de petits foyers sporadiques. Alors que les frontières chinoises sont pratiquement fermées depuis mars 2020, les Jeux de Pékin se dérouleront dans une bulle sanitaire dont ne pourront sortir les quelque 2 900 sportifs attendus. Ils devront être soit vaccinés soit se soumettre à une quarantaine de vingt et un jours à leur arrivée. Tous seront soumis à des tests de dépistage quotidiens. Seuls des spectateurs résidant en Chine pourront assister aux épreuves. La Chine fait état ces dernières semaines de seulement quelques dizaines de nouveaux cas quotidiens de Covid-19.
    Les autorités sanitaires néerlandaises ont annoncé mardi avoir détecté le variant Omicron dans un test effectué le 19 novembre, une semaine plus tôt que ce qui était estimé jusqu’ici, et des contrôles sont en cours pour voir dans quelle mesure il s’est propagé. « L’Institut néerlandais de la santé et de l’environnement a détecté le variant Omicron dans deux échantillons de test qui avaient déjà été prélevés aux Pays-Bas (…) les 19 et 23 novembre 2021 », a-t-il déclaré dans un communiqué. Les Pays-Bas avaient annoncé lundi que quatorze personnes étaient porteuses du variant Omicron dans le pays, figurant toutes parmi les passagers partis d’Afrique du Sud et diagnostiqués positifs au Covid-19 vendredi à leur arrivée à Amsterdam. Or, les deux échantillons avaient été prélevés avant même que l’Afrique du Sud rapporte à l’OMS avoir détecté ce nouveau variant, le 24 novembre, suscitant un vent de panique et une interdiction de nombreux territoires des voyageurs en provenance d’Afrique australe.Il n’est pas encore possible de savoir « si les personnes concernées [dans les cas précédents] se sont également rendues en Afrique australe », a précisé l’Institut néerlandais de la santé, ajoutant que les personnes testées avaient été informées et que les services de santé municipaux avaient commencé à enquêter sur leurs contacts. Avec 16 cas désormais confirmés, les Pays-Bas comptent l’un des chiffres de contamination par le nouveau variant les plus élevés d’Europe, à ce stade.

    #COvid-19#migrant#migration#monde#sante#chine#afriqueaustrale#paysbas#grandebretagne#sante#variant#omicron#criculation#frontiere#oms#test#quarantaine#vaccination

  • Omicron : l’OMS déconseille aux personnes vulnérables de voyager, mise en garde du PDG de Moderna
    https://www.lemonde.fr/planete/article/2021/11/30/omicron-pekin-reconnait-que-le-variant-complique-les-jo-mise-en-garde-du-pdg

    Omicron : l’OMS déconseille aux personnes vulnérables de voyager, L’Organisation mondiale de la santé estime, cependant, que les interdictions générales de voyager n’empêcheront pas la propagation du variant Omicron.Au lendemain de l’alerte des ministres de la santé des pays du G7 déclarant dans un communiqué commun que le variant Omicron exige une « action urgente », la Chine a reconnu, mardi 30 novembre, que le nouveau variant serait synonyme de difficultés supplémentaires pour l’organisation des Jeux olympiques d’hiver de Pékin, qui doivent se tenir du 4 au 20 février 2022.
    Dans une interview au Financial Times mardi, le président-directeur général (PDG) de Moderna, Stéphane Bancel, s’est montré pessimiste quant à la réponse des vaccins existants contre ce nouveau variant du coronavirus. L’Organisation mondiale de la santé (OMS) estime qu’Omicron présente « un risque très élevé » au niveau mondial. Elle a, cependant, conseillé aux personnes les plus vulnérables, « notamment les personnes âgées de 60 ans ou plus et celles qui présentent des comorbidités », d’éviter de voyager.De nombreux Etats ont suspendu les voyages vers l’Afrique australe et instauré des dispositifs préventifs. Après plusieurs pays de l’Union européenne, dont la France, l’Allemagne et l’Italie, l’Espagne a annoncé, mardi, la suspension des vols en provenance d’Afrique australe à compter de jeudi et jusqu’au 15 décembre. En Asie, le Japon, trois semaines après avoir assoupli certaines restrictions, interdit depuis mardi « toutes les entrées de ressortissants étrangers ». Le gouvernement a confirmé, mardi, son premier cas d’Omicron, chez un homme revenu de Namibie.
    Au Royaume-Uni, porter un masque dans les transports et les magasins est redevenu obligatoire mardi. Tous les voyageurs y arrivant doivent faire un test PCR et s’isoler jusqu’au résultat. Depuis ce week-end, Londres n’acceptait déjà plus les non-Britanniques venant de dix pays africains (Afrique du Sud, Namibie, Lesotho, Eswatini, Zimbabwe, Botswana, Malawi, Mozambique, Zambie et Angola).
    Tout en reconnaissant des difficultés supplémentaires, la Chine a réaffirmé mardi sa confiance dans la réussite des Jeux olympiques d’hiver à Pékin, en dépit du nouveau variant Omicron, dont aucun cas n’a été à ce jour détecté dans le pays, hormis dans le territoire autonome de Hongkong. La Chine a largement maîtrisé l’épidémie sur son sol grâce à des mesures draconiennes : très forte limitation des vols internationaux, quarantaine obligatoire à l’arrivée, dépistages massifs ou encore isolement des cas contacts, identifiés grâce aux applications de suivi des déplacements. La vie a quasi repris son cours normal dès le printemps de l’année dernière. Mais le pays reste confronté à l’apparition de petits foyers sporadiques. Alors que les frontières chinoises sont pratiquement fermées depuis mars 2020, les Jeux de Pékin se dérouleront dans une bulle sanitaire dont ne pourront sortir les quelque 2 900 sportifs attendus. Ils devront être soit vaccinés soit se soumettre à une quarantaine de vingt et un jours à leur arrivée. Tous seront soumis à des tests de dépistage quotidiens. Seuls des spectateurs résidant en Chine pourront assister aux épreuves. La Chine fait état ces dernières semaines de seulement quelques dizaines de nouveaux cas quotidiens de Covid-19.
    Les autorités sanitaires néerlandaises ont annoncé mardi avoir détecté le variant Omicron dans un test effectué le 19 novembre, une semaine plus tôt que ce qui était estimé jusqu’ici, et des contrôles sont en cours pour voir dans quelle mesure il s’est propagé. « L’Institut néerlandais de la santé et de l’environnement a détecté le variant Omicron dans deux échantillons de test qui avaient déjà été prélevés aux Pays-Bas (…) les 19 et 23 novembre 2021 », a-t-il déclaré dans un communiqué. Les Pays-Bas avaient annoncé lundi que quatorze personnes étaient porteuses du variant Omicron dans le pays, figurant toutes parmi les passagers partis d’Afrique du Sud et diagnostiqués positifs au Covid-19 vendredi à leur arrivée à Amsterdam. Or, les deux échantillons avaient été prélevés avant même que l’Afrique du Sud rapporte à l’OMS avoir détecté ce nouveau variant, le 24 novembre, suscitant un vent de panique et une interdiction de nombreux territoires des voyageurs en provenance d’Afrique australe.Il n’est pas encore possible de savoir « si les personnes concernées [dans les cas précédents] se sont également rendues en Afrique australe », a précisé l’Institut néerlandais de la santé, ajoutant que les personnes testées avaient été informées et que les services de santé municipaux avaient commencé à enquêter sur leurs contacts. Avec 16 cas désormais confirmés, les Pays-Bas comptent l’un des chiffres de contamination par le nouveau variant les plus élevés d’Europe, à ce stade.

    #COvid-19#migrant#migration#monde#sante#chine#afriqueaustrale#paysbas#grandebretagne#sante#variant#omicron#criculation#frontiere#oms#test#quarantaine#vaccination

  • #Covid-19 : le #sarilumab, un #anti-IL-6, n’a pas montré de bénéfice dans l’essai Corimuno | Le Quotidien du Médecin
    https://www.lequotidiendumedecin.fr/actus-medicales/recherche-science/covid-19-le-sarilumab-un-anti-il-6-na-pas-montre-de-benefice-da

    Cet #inhibiteur_de_l'interleukine-6 (anti-IL-6) est pourtant préconisé par l’Organisation mondiale de la santé (#OMS) dans le traitement des formes graves de Covid-19, tout comme un médicament très proche, le tocilizumab (les deux en association avec la dexaméthasone ).

    Cette recommandation s’appuie sur une méta-analyse menée par le groupe de travail de l’instance « WHO Rapid Evidence Appraisal for COVID-19 Therapies » (REACT), publiée en juillet dernier dans le « JAMA ». Les résultats des 19 essais sur le tocilizumab suggéraient une diminution de la fréquence du recours à la ventilation mécanique invasive et une baisse de la mortalité à 28 jours. Mais les 9 essais sur le sarilumab n’avaient pas montré d’effet sur les risques de recours à la ventilation mécanique invasive ou de décès à 28 jours (OR à 1).

    Pour expliquer cette différence entre deux traitements aux mécanismes d’action similaire, les auteurs avancent les modalités hétérogènes des essais. « Contrairement aux essais sur le tocilizumab, la plupart des essais sur le sarilumab ont été réalisés sans corticoïdes associés dans le cadre des soins habituels », soulignent les auteurs.

    Ainsi, « un effet synergique entre les corticostéroïdes et les anticorps antirécepteurs de l’IL-6, mis en évidence dans la méta-analyse de l’OMS, pourrait expliquer un tel écart. […]

    Source : Sarilumab in adults hospitalised with moderate-to-severe COVID-19 pneumonia (CORIMUNO-SARI-1) : An open-label randomised controlled trial - The Lancet Rheumatology

    #il-6

  • World scrambles to contain Omicron coronavirus variant | South China Morning Post
    https://www.scmp.com/news/china/science/article/3157621/world-scrambles-contain-omicron-coronavirus-variant

    World scrambles to contain Omicron coronavirus variant
    The emergence of a coronavirus variant with a large number of mutations could pose new challenges for China but too little was known about the strain, according to one of the country’s top respiratory disease specialists.
    Chinese media reported Zhong Nanshan’s assessment of the Omicron variant on Saturday as countries around the world scrambled to contain the variety first found in southern Africa and identified on Friday by the World Health Organization (WHO) as a variant “of concern”.The WHO cautioned countries against “hastily” tightened travel restrictions.
    A number of jurisdictions, from the European Union, to the United States, Hong Kong and Russia, tightened limits on travellers from countries in southern Africa.Dozens of confirmed cases have been identified in South Africa, Hong Kong, Botswana, Belgium and Israel, while suspected cases have been reported in the Czech Republic and Germany.Dutch officials said 61 people on two flights from South Africa to Amsterdam tested positive for Covid-19 on Saturday, but it was not clear if they were infected with the new variant. China did not announce any new travel restrictions in response to the variant but the country has one of the strictest restrictions on border entry and flights. It has also introduced a flight suspension mechanism if there are more than five positive cases on board.
    Sanjaya Senanayake, associate professor of medicine at the Australian National University, said Omicron was troubling because of its high number of mutations. Research indicated that it had 32 spike protein mutations, compared with the 13 to 17 seen in the more prevalent Delta variant.
    “Some of these mutations can increase transmissibility of the variant, while others can help it evade the immune system: a worrying combination,” he told the Australian Science Media Centre. In a post on the website of Imperial College in London, Neil Ferguson, director of the college’s MRC Centre for Global Infectious Disease Analysis, said such a number of mutations in the spike protein gene was “unprecedented”. According to the WHO, early signs indicate an increased risk of reinfection from Omicron compared to other highly transmissible variants – meaning people who have had Covid-19 and recovered could be at greater risk of catching it again with Omicron.The WHO said studies were under way in South Africa and other countries to better understand the variant in terms of transmissibility, severity and any impact on the use of diagnostics, therapeutics and vaccines.US infectious disease chief Anthony Fauci said that while the reports on the new variant threw up a “red flag”, it was possible that vaccines might still work to prevent serious illness.

    #Covid-19#migrant#migration#sante#variant#omicron#circulation#frontiere#monde#OMS

  • Covid-19 : la France suspend les vols en provenance d’Afrique australe après la découverte d’un nouveau variant
    https://www.lemonde.fr/planete/article/2021/11/26/covid-19-un-nouveau-variant-inquiete-plusieurs-pays-europeens-interdisent-l-

    Covid-19 : la France suspend les vols en provenance d’Afrique australe après la découverte d’un nouveau variant
    L’OMS a voulu apporter de la nuance, estimant qu’il faudra encore des semaines pour comprendre le niveau transmissibilité du variant. Elle déconseille, pour l’instant, de prendre des mesures de restriction aux voyages.La France a devancé l’avis des autorités européennes, ainsi que celui de l’Organisation mondiale de la santé (OMS) : Matignon a annoncé, vendredi 26 novembre, suspendre immédiatement les arrivées en provenance de sept pays d’Afrique australe, dont l’Afrique du Sud, en raison de « la découverte d’un nouveau variant du coronavirus particulièrement préoccupant ».Cette mesure, appliquée « pour une durée minimale de quarante-huit heures », concerne également les voyageurs venant du Lesotho, du Botswana, du Zimbabwe, de Mozambique, de Namibie et d’Eswatini. « Les personnes ayant voyagé au cours des quatorze derniers jours dans l’un de ces pays sont invitées à se signaler aux autorités et à réaliser dans les meilleurs délais un test de dépistage RT-PCR », ajoute également Matignon.La Commission européenne avait proposé peu avant de suspendre les vols en provenance d’Afrique australe. L’exécutif européen doit faire une proposition aux représentants de tous les Etats membres lors d’une réunion prévue ce vendredi.Ce sera ensuite au Conseil (institution représentant les Vingt-Sept) d’adopter une telle recommandation. « La situation est en train d’évoluer très vite ; nous voulons nous assurer de faire le maximum pour ralentir la diffusion de ce variant » B.1.1.529, a déclaré un porte-parole de la Commission.
    L’OMS a voulu apporter de la nuance, vendredi, estimant qu’il faudrait encore quelques semaines pour comprendre le niveau transmissibilité et de virulence du nouveau variant B.1.1.529, en déconseillant aux pays de prendre des mesures de restriction aux voyages.Des experts chargés de suivre les évolutions du virus Covid se réunissent toutefois déjà aujourd’hui pour déterminer si le variant doit être classifié comme « préoccupant » ou « à suivre », a expliqué Christian Lindmeier, lors d’un point de presse régulier des agences de l’Organisation des Nations unies (ONU). Des scientifiques sud-africains ont annoncé jeudi qu’un nouveau variant du Covid-19 présentant un nombre « extrêmement élevé » de mutations et avec un « potentiel de propagation très rapide », avait été détecté dans le pays.
    Lire aussi Covid-19 : visualisez la part des variants du SARS-CoV-2 qui circulent en FranceAprès cette annonce, plusieurs pays ont fait savoir qu’ils allaient interdire l’entrée aux voyageurs en provenance des pays d’Afrique australe. Interrogé sur ces mesures, M. Lindmeier a rappelé quelle était la position officielle de l’OMS à ce sujet.« L’OMS recommande aux pays de continuer à appliquer une approche scientifique et fondée sur les risques lors de la mise en œuvre des mesures relatives aux voyages, conformément aux recommandations temporaires du comité d’urgence (…). A ce stade, encore une fois, la mise en œuvre de mesures de restrictions aux voyages est déconseillée », a-t-il dit.Pour faciliter les débats publics sur les variants, l’OMS nomme les variants à l’aide du nom des lettres de l’alphabet grec (alpha, bêta, gamma, delta…), plus accessible à un public non scientifique et qui permet d’éviter de stigmatiser le pays où ce variant est initialement découvert. L’OMS n’a toutefois pas encore donné de noms au nouveau variant, étant donné que ses experts ne l’ont pas encore classifié.

    #Covid-19#migrant#migration#UE#OMS#Afriquedusud#lesotho#botswana#zimbabwe#mozambique#namibie#eswatin#variant#circulation#frontiere

  • COP26 : Les liens directs entre les changements climatiques, la santé et la migration doivent être traités de toute urgence - OIM, OMS, Lancet Migration | International Organization for Migration
    https://www.iom.int/fr/news/cop26-les-liens-directs-entre-les-changements-climatiques-la-sante-et-la-migrat

    COP26 : Les liens directs entre les changements climatiques, la santé et la migration doivent être traités de toute urgence - OIM, OMS, Lancet Migration
    Glasgow - Les changements climatiques, la santé et la mobilité humaine sont étroitement liés. Ensemble, ils ont un impact profond sur nos sociétés, et leurs liens doivent être reconnus et traités de toute urgence, selon l’Organisation internationale pour les migrations (OIM), l’Organisation mondiale de la Santé (OMS) et Lancet Migration, qui appellent les dirigeants mondiaux à prendre des mesures concrètes pour atténuer les conséquences des changements climatiques sur les migrations et la santé des personnes dans le monde entier, à l’occasion de la 26e Conférence des Parties (COP26) de la Convention-cadre des Nations Unies sur les changements climatiques (CCNUCC). « Alors que les effets des catastrophes, de la dégradation des terres et de la pénurie d’eau deviennent plus intenses et plus dévastateurs, il est devenu essentiel de s’attaquer aux effets des changements climatiques sur les migrations, les déplacements et la santé », a déclaré António Vitorino, Directeur général de l’OIM. « Ces questions sont interconnectées mais sont abordées de manière cloisonnée depuis trop longtemps. Nous devons les aborder ensemble ».

    #Covid-19#migration#migrant#sante#environnement#OIM#Cop26#OMS

  • China Tobacco: l’OMS protège-t-elle le plus grand cigarettier au monde? | Vapolitique
    https://vapolitique.blogspot.com/2021/11/china-tobacco-loms-protege-t-elle-le.html?m=1

    À la lecture des faits, notamment de l’enquête de terrain de l’OCCRP, qui corroborent les analyses qui l’ont précédées, le silence de l’OMS et des « anti-tabac » liés à Bloomberg à propos de China Tobacco est étonnant. D’autant plus qu’il s’accompagne d’un tapage souvent délirant de ceux-ci sur la #vape. Pour aller plus loin : lire la vaste enquête (en 7 articles) publiée en juin 2021 de l’Organized Crime and Corruption Reporting Project (OCCRP), un consortium de journalistes indépendants spécialisés sur le crime organisé et la corruption : https://www.occrp.org/en/loosetobacco/china-tobacco-goes-global — Permalien

    #lobbying #oms #santépublique #tabac

  • L’OMS autorise un huitième vaccin, développé en Inde, contre le Covid-19
    https://www.lemonde.fr/planete/article/2021/11/03/l-oms-autorise-un-huitieme-vaccin-developpe-en-inde-contre-le-covid-19_61008

    L’OMS autorise un huitième vaccin, développé en Inde, contre le Covid-19
    C’est le premier vaccin anti-Covid-19 entièrement développé en Inde et le huitième à recevoir le précieux sésame. L’Organisation mondiale de la santé (OMS) a accordé, mercredi 3 novembre, l’homologation d’urgence au Covaxin. Ce vaccin – efficace à 78 % – est recommandé pour tous les groupes d’âge à partir de 18 ans.Il requiert deux doses à quatre semaines d’intervalle, mais se révèle « particulièrement bien adapté aux pays à revenu faible et moyen en raison de la facilité avec laquelle il peut être stocké », selon un communiqué de l’OMS. C’est le premier vaccin entièrement développé et fabriqué en Inde à recevoir l’homologation de l’organisation onusienne.Il rejoint les vaccins anti-Covid-19 de Pfizer-BioNtech, Moderna, AstraZeneca (l’OMS compte deux vaccins AZ, dont l’un fabriqué en Inde), Johnson & Johnson, Sinopharm et Sinovac sur la liste. Le vaccin Covaxin, ou BBV152, est un vaccin à virus inactivé, une technologie relativement classique mais comportant un nouvel adjuvant le rendant plus efficace, selon le fabriquant. C’est cet adjuvant qui le distingue des deux autres vaccins à virus inactivé déjà autorisés par l’OMS, ceux des laboratoires chinois Sinovac et Sinopharm.Le stockage est plus simple que pour les vaccins à ARN messager comme ceux de Moderna et Pfizer-BioNtech, qui, pour s’être révélés les plus efficaces parmi tous les sérums autorisés jusqu’à présent, ont néanmoins besoin d’être transportés et stockés à ultra-basse température.
    L’homologation par l’OMS permet de faciliter la reconnaissance internationale du vaccin, surtout aux agences onusiennes et au système Covax – mis en place pour faciliter l’accès à l’immunisation au Covid-19 dans les pays les plus démunis –, et d’en faire usage. « L’homologation par l’OMS est un pas significatif vers un accès mondial au Covaxin qui est sûr, efficace et déjà largement utilisé en Inde », a souligné le docteur Krishna Ella, PDG de Bharat Biotech. Le ministre des affaires étrangères indien, Subrahmanyam Jaishankar, s’est lui aussi réjouit dans un tweet. Il estime que l’homologation « va faciliter les voyages pour de nombreux citoyens indiens et il contribue à l’équité vaccinale ». L’iniquité vaccinale – les pays les plus riches se sont réservé l’essentiel des doses de vaccin disponibles – est un problème dénoncé sans relâche par l’OMS, comme par les pays qui en sont victimes. L’organisation a souligné récemment que, « jusqu’à présent, seuls 0,4 % des tests et 0,5 % des vaccins injectés dans le monde ont été utilisés dans les pays à faibles revenus, malgré le fait que ces pays comptent pour 9 % de la population mondiale ». Selon Bharat Biotech, la capacité de production était de 50 à 55 millions de doses par mois en octobre et l’entreprise compte atteindre une capacité de production annuelle d’un milliard de doses à la fin de 2021. Des transferts de technologie « sont également en cours vers des entreprises en Inde, aux Etats-Unis et d’autres pays », précise Bharat Biotech.

    #Covid-19#migration#migrant#inde#sante#vaccin#OMS#equite#COVAX#circulationtherapeutique#circulation#frontiere

  • ¡Escándalo!: El coordinador de la OMS en España recibió 100.000 euros de Pfizer y un «premio honorífico» de Janssen | euskalnews.com
    http://euskalnews.com/2021/08/escandalo-el-coordinador-de-la-oms-en-espana-recibio-100-000-euros-de-pf

    
El caso de Federico Martinón, coordinador del centro de la OMS en seguridad vacunal y jefe de pediatría del Hospital Universitario de Santiago de Compostela, ha vuelto a poner en evidencia las promiscuas relaciones entre las farmacéuticas y las autoridades sanitarias, según adelanta mpr21.


    Martinón es pediatra, partidario de la vacunación obligatoria y es un intenso promotor a través de su cuenta de Twitter de la inoculación de las vacunas COVID en menores, destacando la fiabilidad de la vacuna de Janssen en la red social.

    No es casualidad. El pasado mes de junio, la farmacéutica Janssen le hizo entrega de sus premios «Afectivo Efectivo» por «su entrega personal, su enorme empatía con los más pequeños y su exitosa trayectoria profesional internacional».

    En la web de este premio no se cuantifica las cantidades que suponen la entrega de este premio, ya sea en dinero o en especie, pero esta circunstancia le ha valido a Martinon para ser la persona de referencia de varias televisiones.

    Su presencia como miembro del Comité Asesor de Vacunas de la OMS es sin duda llamativo. Una publicación de Eldiario.es del año 2019 reveló que Martinón, junto a su compañera María Garcés, cobraron individualmente casi 100.000 y 36.000 euros cada uno de las compañías Pfizer y GlaxoSmithKline (GSK), entre los años 2017 y 2018. Y lo siguen haciendo, porque el sistema sanitario está corrompido hasta la médula y las «puertas giratorias» están a la orden del día.

    #pfizer #GSK #oms #corruption #Espagne

    • @metroet_ si tu utilise la fonction « citation » tu permet au traducteur automatique de nous rendre ton texte en espagnol lisible.

      ¡Escándalo!: El coordinador de la OMS en España recibió 100.000 euros de Pfizer y un «premio honorífico» de Janssen | euskalnews.com
      http://euskalnews.com/2021/08/escandalo-el-coordinador-de-la-oms-en-espana-recibio-100-000-euros-de-pf

      
El caso de Federico Martinón, coordinador del centro de la OMS en seguridad vacunal y jefe de pediatría del Hospital Universitario de Santiago de Compostela, ha vuelto a poner en evidencia las promiscuas relaciones entre las farmacéuticas y las autoridades sanitarias, según adelanta mpr21.

      Martinón es pediatra, partidario de la vacunación obligatoria y es un intenso promotor a través de su cuenta de Twitter de la inoculación de las vacunas COVID en menores, destacando la fiabilidad de la vacuna de Janssen en la red social.

      No es casualidad. El pasado mes de junio, la farmacéutica Janssen le hizo entrega de sus premios «Afectivo Efectivo» por «su entrega personal, su enorme empatía con los más pequeños y su exitosa trayectoria profesional internacional».

      En la web de este premio no se cuantifica las cantidades que suponen la entrega de este premio, ya sea en dinero o en especie, pero esta circunstancia le ha valido a Martinon para ser la persona de referencia de varias televisiones.

      Su presencia como miembro del Comité Asesor de Vacunas de la OMS es sin duda llamativo. Una publicación de Eldiario.es del año 2019 reveló que Martinón, junto a su compañera María Garcés, cobraron individualmente casi 100.000 y 36.000 euros cada uno de las compañías Pfizer y GlaxoSmithKline (GSK), entre los años 2017 y 2018. Y lo siguen haciendo, porque el sistema sanitario está corrompido hasta la médula y las «puertas giratorias» están a la orden del día.

  • ‘A world problem’: immigrant families hit by Covid jab gap | Global development | The Guardian
    http://www.theguardian.com/global-development/2021/jul/08/a-world-problem-immigrant-families-hit-by-covid-jab-gap
    https://i.guim.co.uk/img/media/bdb918878352dcaa40cf733864c3db0e2c01db57/0_244_4500_2700/master/4500.jpg?width=1200&height=630&quality=85&auto=format&fit=crop&overlay-ali

    ‘A world problem’: immigrant families hit by Covid jab gap
    Families spread across rich and poor countries are acutely aware of relatives’ lack of access to vaccine. For months she had been dreaming of it and finally Susheela Moonsamy was able to do it: get together with her relatives and give them a big hug. Throughout the pandemic she had only seen her siblings, nieces and nephews fully “masked up” at socially distanced gatherings. But a few weeks ago, as their home state of California pressed on with its efficient vaccination rollout, they could have a proper reunion.“It was such an emotional experience, we all hugged each other; and with tears in our eyes, we thanked God for being with us and giving us the opportunity to see each other close up again and actually touch each other,” she says. “We never valued a hug from our family members that much before.”
    A couple of weeks later, the high school counsellor set off from her home in Oakland for a family trip to Disneyland on the outskirts of Los Angeles. It felt “strange … but wonderful” after a year spent hunkered down with her elderly parents. But while they were away she and her relatives received news that brought great sorrow: one of Moonsamy’s cousins, the daughter of her father’s sister, had died of Covid-19.This was not a family member in California, where Moonsamy has lived for 35 years, but in South Africa, the country where she was born and her parents left during apartheid. There, Covid is running rampant in a virulent third wave. Less than 6% of the population has had one dose of the vaccine and less than 1% has had two.
    The virus has now claimed the lives of 13 of Moonsamy’s family and friends, and she feels every day may bring more bad news. Amid talk of the pandemic nearing its end in California, where more than half the population is fully vaccinated, she has very mixed feelings.“It’s definitely exciting,” she says. “But at the same time you think of the ones that have gone, and you feel, if only they were able to get to this point – to celebrate with us. That would be just so great. We need to remember them … and look forward. To celebrate the freedom but at the same time keep the ones who have gone in mind.”
    Moonsamy is far from the only person to feel conflicted about the easing of restrictions. Across Europe and North America in the coming months, mass vaccination programmes are expected to bring back some form of normality. In England restrictions are due to be eased on 19 July, baptised “Freedom Day” by the tabloid press. In the US, most states have lifted restrictions already. Across the EU, to varying degrees, countries are preparing to reopen for summer. But in much of the rest of the world – from Kampala to Cape Town, the Philippines to Peru – the pandemic is not only ongoing but worsening. In low-income countries just 1% of the population on average has been given at least one dose of the vaccine.Caught in the middle of this growing divide are millions of people with relatives in the developed and the developing worlds, who find themselves struck by the staggering global inequality in their daily family catchups, WhatsApp groups and Skype chats.These huge differences have long been a facet of the diaspora experience, but the pandemic has magnified them. For many, the two-speed vaccination programmes have come to represent all that one part of the family has and the other has not.
    “[I feel] a huge amount of guilt … and a lot of sadness,” says Isabella (not her real name), a law student born in Colombia but who has lived in Canada since she was four.Like much of South America, Colombia is in the grip of a third wave of Covid-19, which has claimed about 45,000 lives since mid-March – more than 40% of the total death toll. About 24% of the population has had their first dose of the vaccine; in Canada, the figure is 69%.
    Isabella, 23, is fully vaccinated. Getting her first dose last month was an emotional experience. “I felt happy but I also remember just wanting to burst into tears when I was sitting in the little chair, because when I looked around me it was incredible to see how well organised the vaccination programme was, but I also knew that this is not the case in Colombia and it would be at least another year before my cousin my age in Colombia would be sitting in the same chair,” she says. “And who knows what might happen between now and then?” Farouk Triki, 30, is a Tunisian software engineer living in Paris. He left his parents and siblings behind to move to France with his wife four years ago. He has had his vaccination, but none of his family back home have: the Tunisian rollout has seemed tortuously slow to those living there, with just 5% having received both doses.
    “[I’m] concerned and scared,” says Triki, “because I’ve heard that it’s even worse than the British [variant]”, which his family caught in March. His parents, Farouk and Hanen, both teachers in Sfax on the Mediterranean coast, emerged unscathed from the illness, with neither requiring hospital treatment. But Hanen remembers the time with sadness. “Many relatives and friends died of Covid 19,” she says.For Isabella, who could only watch from afar as Covid tore through first her mother’s side of the family and then, last month, her father’s, the predominant feeling is helplessness. “I think [that] is the biggest thing, a feeling of not being able to do anything,” she says. “We try to help our family financially, sending them money if they need it, but other than that … that’s really all we can do from here.”
    Others in a similar situation have attempted to rally the community to send money to help their home countries. Raj Ojha, a mortgage broker from Nepal living in Slough in the south of England, has raised £2,000 through his organisation, the Nepalese British Community UK group. The money will go to two grassroots charities helping those hit hardest in the small Himalayan nation.“We are here in the UK and we can’t physically go back to Nepal. All we can do is extend our helping hands to the organisations that are working tirelessly in Nepal,” he says.
    At the start of this year, the head of the World Health Organization, Tedros Adhanom Ghebreyesus, warned that the world stood “on the brink of a catastrophic moral failure” if it did not get more vaccinations to the developing world. But such efforts have stalled. The Covax scheme, designed to deliver cheap doses and promote vaccine equality, was already facing accusations of aiming too low when its chief supplier, the Serum Institute of India, announced it was diverting its vaccine exports for domestic use. So far, it has distributed only 95m of the almost 2bn vaccines promised this year. Supplies are not the only problem: in many lower- and middle-income countries the logistics of a mass vaccination rollout put a huge strain on fragile healthcare systems.
    Moonsamy, Ojha and Isabella agree that there is an ethical imperative for richer countries to help those with fewer resources. However it would not simply be altruism – it just makes sense.“Now that developed countries are getting on the way to having their populations vaccinated, huge, huge efforts need to be made to get vaccines to developing countries – if not for the goodness of doing that for others then at least to protect the rest of the world from more variants,” says Isabella. Moonsamy agrees. “This is a world problem that affects all of us. By helping others, we are actually helping ourselves,” she says. Last weekend, Moonsamy held a 4 July gathering for some of her Californian relatives. They laughed, ate and talked. They also prayed for their family in South Africa. “Our hearts ache for them,” she says.
    “As much as we enjoy our amazing freedom from being locked down for the past year … we are not really free until we are all free. So we continue to do our part by helping others so that we can one day all celebrate our freedom together.”

    #Covid-19#migrant#migration#sante#immigrant#diaspora#vaccination#inegalite#paysdeveloppe#paysendeveloppement#OMS#solidarite

  • « L’industrie pharmaceutique est rodée à la fabrique de l’ignorance »
    https://www.limpertinentmedia.com/post/l-industrie-pharmaceutique-est-rod%C3%A9e-%C3%A0-la-fabrique-de-l

    Louis Fouché était médecin-anesthésiste réanimateur à l’#AP-HM de Marseille il y a encore quelques jours, jusqu’à ce que ses positions face aux décisions du gouvernement Macron lui coûtent son poste. Il a été parmi les premiers professionnels de la santé à dénoncer les incohérences de la stratégie sanitaire durant la #pandémie de #Coronavirus. Il est également porte-parole de Réinfo Covid https://reinfocovid.fr , un #collectif de chercheurs, d’universitaires, de médecins, de soignants, d’enseignants, d’entrepreneurs, d’artistes, de parents et de citoyens qui questionnent la politique sanitaire et cherchent à rouvrir l’espace de débat démocratique, mais pas que. Ce couteau suisse, réfugié dans le pays de l’horlogerie pour souffler un peu loin du tumulte français, a accepté de revenir sur cette période survoltée dans laquelle nous sommes tous plongés depuis près de deux ans. En nous fournissant sa grille de lecture et les solutions qu’il entrevoit pour le futur.

    Amèle Debey pour L’Impertinent : Alors, vous vous êtes fait virer ?
    Louis Fouché  : Les mots sont plus subtils que ça. Je suis en disponibilité de la fonction publique hospitalière. Je ne travaille plus officiellement pour l’assistance publique des hôpitaux de Marseille. Je suis en vacances sans solde si vous préférez. Ce n’est pas forcément définitif, mais c’est en attendant que la poussière retombe. C’est un choix volontaire... mais il y a beaucoup de pression.

    On vous a poussé vers la porte ?
    J’ai décidé de prendre un peu de recul et de me consacrer à mes enfants à temps plein. C’est la raison officielle de ma disponibilité.

    Qui dit raison officielle implique qu’il y ait une raison officieuse ?
    Il y a une différence entre la parole publique et la parole privée. La première est stratégique et ne cherche pas à régler ses comptes avec qui que ce soit. C’est celle que nous partageons ici. Ce qu’il faut c’est traverser le conflit et arriver à le résoudre. L’attiser, ou jeter de l’huile sur le feu n’a pas beaucoup d’intérêt, à part le buzz et l’audience. Mais je n’ai rien à vendre. Et ça n’est pas une voie stratégique vers la paix.

    Une plainte a également été déposée contre vous par l’Ordre des médecins ?
    En effet. On ne m’en a d’ailleurs pas encore précisé le motif, malgré une demande très officielle de ma part. Donc je ne sais pas. Les peines encourues peuvent être symboliques ou importantes. Puisque c’est de la justice ordinale, cela va jusqu’au retrait du droit d’exercice. J’ai le souvenir de quelqu’un qui a dit que l’ #azithromycine était peut-être utile et qui a pris trois ans d’interdiction d’exercer. Donc trois ans sans salaire, sans travail. Cela me paraît disproportionné. Le Covid soulève beaucoup trop de passions.

    Qu’il y ait une plainte, c’est très sain. Je souhaite que cela permette de rouvrir un espace de dialogue, de remettre en discussion des choses qui ne l’ont pas été jusqu’ici, notamment sur la politique sanitaire. Mais hélas, je crains que cette plainte soit plutôt le reflet d’un certain raidissement quant à la liberté de la parole médicale et scientifique.

    La loi a changé le 22 décembre 2020. La parole des médecins en France doit se conformer aux directives de l’ #OMS et de la Haute autorité de santé. Ce qui est complètement délirant. A la fin, il n’y a plus de discussion. Les médecins sont indépendants dans leur prescription, leur diagnostic et le lien qu’ils ont avec le patient. Ce n’est sûrement pas un ministre qui va décider ce qu’il faut faire. Encore moins l’OMS, depuis Genève ou je ne sais où, de manière univoque, concernant le soin.

    A quel moment vous êtes-vous dit que quelque chose clochait dans la gestion de cette crise ?
    Quasiment depuis le départ, car on n’a pas du tout appliqué le plan pandémie qui avait été écrit et qui impliquait des éléments de bons sens comme de tester et d’isoler les malades, de les traiter, surveiller leur évolution, prendre soin de manière pluridisciplinaire et y compris des #comorbidités. La grande bataille médiatique et gouvernementale contre l’ #hydroxychloroquine m’a étonné. On ne va pas se battre pour une molécule ? C’est une stratégie entière qui fait sens.

    En anglais, on appelle ça un « #bundle_of_care » : rassurer, informer, essayer de travailler sur les pathologies chroniques des gens, les surveiller à la maison, mettre en route une anticoagulation précoce si c’est utile – et dans cette maladie ça l’est – pour éviter les caillots sanguins qui vont amener plein de complications, une morbidité et une mortalité propres. Rien que le fait de mettre des anticoagulants quand c’est utile diminue le recours à l’hospitalisation, à la réanimation. Rien que ça, aurait dû être fait et ça a pris un certain temps.

    « On a laissé l’hôpital se surcharger »

    L’ #oxygénothérapie aussi est quelque chose qui sauve des vies et permet de gagner du temps. Juste mettre de l’oxygène dans le nez des gens en fait. C’est pareil : on sait le faire en médecine de ville, on n’est pas obligé de le faire en réanimation. Ça dépend de la dose, mais on peut le mettre en route à la maison, en ambulatoire. Idem pour la corticothérapie qui est utile au stade de l’orage cytokinique. Dans toutes les infections virales, il peut survenir une surinfection bactérienne. Le traitement est alors une antibiothérapie. Tout cela est du ressort de la médecine de ville.

    Au lieu de ça, s’est mise en place une tout autre façon de faire. On a négligé voir interdit la médecine de ville pour laisser l’hôpital se surcharger. Je ne vous parle même pas du gag à répétition des masques. N’importe qui de sain d’esprit doit voir que quelque chose cloche. Et tout le monde l’a vu. Mais certains sont rentrés dans une rationalité morbide. Par déni des conclusions à tirer, ils ont cherché à soutenir et justifier les choix politiques sidérants.

    Comment expliquez-vous que l’on ait pas fait tout ça ?
    Je n’ai pas d’explication. Beaucoup de choses ont été transparentes dès le départ. Une des pistes que je peux donner est que c’était une nouvelle maladie et qu’il fallait prendre le temps de la connaître.

    On a assez rapidement compris un certain nombre de choses dans cette pandémie. En réanimation par exemple, on a réalisé assez vite qu’il valait mieux laisser les malades avec de l’oxygène à plein pot dans le nez plutôt que de les intuber de manière systématique. Pourtant, c’est resté la recommandation pendant plusieurs semaines. Certains services prestigieux ont eu beaucoup de mal à accepter le feed-back du terrain. C’est un problème.

    Un des facteurs déclencheurs de mes prises de parole a probablement été le fait de masquer les #enfants à l’école. Pour moi, en tant que parent et pas vraiment en tant que soignant, il y avait comme une ligne rouge qui avait été franchie lorsqu’on a commencé à faire du mal aux enfants, sans aucune justification scientifique, ni médicale. Une vraie incompréhension. J’ai lancé un appel au secours qui disait entre les lignes : je ne comprends rien à ce qui se passe, ce n’est pas clair, il y a des choses complètement contradictoires, j’ai besoin d’aide. Je savais que, tout seul, je n’arriverai pas à faire le tour de cette histoire. Réinfo Covid, au départ, était un appel à l’aide à d’autres soignants d’autres médecins, des chercheurs, des universitaires puis rapidement à tous les corps de métier de la société, pour essayer de comprendre par la tête avec les études scientifiques, comprendre dans le cœur avec les émotions et avec les artistes et comprendre par les tripes avec les témoignages de terrain des citoyens sur ce qu’ils vivaient. Ça a été les trois premières dimensions de Réinfo Covid, pour essayer de comprendre quelque chose à cette crise.

    Ce qui m’a fait bouger également, c’est que soient complètement exclues de l’équation de cette crise les victimes collatérales de la politique sanitaire. C’est-à-dire les gens qui sont morts parce qu’ils avaient peur. Qui sont restés chez eux, qui n’ont pas fait soigner leurs cancers, leurs lymphomes leurs infarctus et qu’on s’est mis à voir arriver parfois avec six mois, neuf mois, un an de retard diagnostique et thérapeutique.

    Le fait qu’on n’en parle pas, qu’on reste focalisé sur le virus sans prendre en compte l’écosystème m’a choqué. Sans parler des conséquences pédagogiques, sociales, financières, et en santé mentale.

    Comment expliquez-vous qu’il n’y ait pas plus de médecins qui tiennent le même discours que vous ?
    C’est plutôt une bonne chose pour moi quand il y a de la biodiversité et j’apprends beaucoup des contradicteurs. Je suis complètement ok pour qu’il y ait du dissensus. Ça fait avancer. Ce qu’il faut c’est pouvoir parler librement. Or, aujourd’hui c’est impossible. Une pression insidieuse s’est mise en place. Si vous n’êtes pas d’accord avec la doxa dominante alors vous êtes « dangereux ». Mais je reçois d’innombrables messages de soutien de confrères.

    « Les études de médecine ne forment plus des individus critiques »
    Je vous assure que la #doxa tient beaucoup au #conformisme et à l’ #intimidation. Pour ceux qui ont un avis différent. Je le respecte infiniment. Mais parfois, c’est vraiment difficile de questionner ce que vous faites alors que vous êtes en train de le faire. Certains de mes collègues sont restés traumatisés par l’épisode de mars-avril. Je pense qu’il faut respecter ça. Mais en revanche, un retour d’expérience utile doit être fait de manière froide, en analysant les problématiques systémiques en jeu.

    Aujourd’hui, les études de médecine ne forment pas des individus critiques, libres, joyeux, bienveillants, ou empathiques, elles forment des gens dociles au protocole. Nous avons une médecine très protocolaire, conforme à un idéal industriel de création du savoir et du soin, qui fait que les agents de ce système sont prolétarisés. Comme Charlie Chaplin dans Les temps modernes . Il essaie de serrer les boulons, mais c’est la chaîne de montage qui va plus vite que lui et qui l’emporte. Les agents d’un système industrialisé perdent petit à petit leur savoir. Leur savoir-faire, leur savoir-être, leur savoir théoriser. C’est le cas des médecins, surtout ceux qui sont hyper-spécialisés.

    Beaucoup de jeunes médecins, de #fact_checkers , de #zététiciens, de no fake med, se sont même lancés à corps perdu dans l’ #inquisition. Ils veulent absolument défendre ce qui est raconté par le pouvoir. Avec un niveau d’agressivité et de violence proprement époustouflant. Ils se fient uniquement à une partie des études scientifiques qui les arrangent et négligent le reste. Ils sont perdus dans une sorte de religion fanatique scientiste.

    Par contre, vous avez toute une frange de vieux médecins qui, eux, ont réagi. Je suis très loin d’être le seul. A Réinfo Covid on est plus de 9000 soignants et il y a plein d’autres associations qui ont bougé. Vous ne voyez qu’un petit morceau de la réalité qui est mis en lumière par la scénarisation médiatique faite autour de cette crise, qui a systématiquement vaporisé les voix dissidentes.

    Est-ce que vous pensez que l’ #Evidence_Based_Medecine ( #EBM ) fait partie du problème ?
    Oui, effectivement. Il y a dix ans je suis allé à une conférence de sociologie du travail au Collège de France et un économiste de la santé était venu parler d’évaluation en santé, au nom de la Haute autorité de santé. Il a commencé son propos en disant : Nous (sous-entendu économistes de la santé) nous sommes là pour liquider le modèle artisanal de la médecine. Nous sommes là pour mettre en place un modèle industrialisé, évalué, rationalisé et rentable de production et de consommation de biens et de services de soins standardisés.

    Donc le mandat des tutelles de santé aujourd’hui n’est pas de faire du sur-mesure entre chaque patient et chaque soignant, c’est de faire un système industriel de production et de consommation de masse. Un marché, et rentable s’il vous plait. A partir du moment où vous avez dit ça, ça veut dire que les outils de création du savoir eux-mêmes vont répondre aussi à cet impératif.

    L’EBM est un outil industriel, rationalisé, évalué de production et de consommation du savoir médical standardisé. Mais comme tout processus industriel, il va toujours produire la même chose. A savoir une réponse sûrement très pertinente entre une chimio A et une chimio B dans un lymphome, mais incapable de fournir une réponse dans le cadre d’une épidémie. En sciences, ce sont toujours une minorité de gens, d’abord considérés comme des fous, puis comme des héros, qui sont parvenus à trouver des solutions différentes de ce qui semblait établi comme vérité.

    Il semble également qu’il soit devenu difficile de se fier aux publications scientifiques ?
    Kamran Abassi, éditeur en chef d’une prestigieuse revue, le British Medical Journal , a écrit un bel éditorial sur le sujet : Covid 19 : Politization, corruption, and suppression of science... https://www.bmj.com/content/371/bmj.m4425 Aujourd’hui, beaucoup de gens ne publient pas parce qu’ils veulent trouver de la science, mais parce que sinon ils meurent. Le fameux publish or perish . Sans s’en rendre compte, on ne publie pas tant pour ce qu’on va produire ou essayer de défricher de savoir, que pour faire toujours un peu plus de tout ce que vous avez déjà fait, dans le but de faire avancer sa carrière.

    « L’industrie pharmaceutique est rodée à la fabrique de l’ignorance »
    D’autre part, l’EBM est devenue d’une telle complexité techno-administrative que seules les très grosses structures, les #CHU par exemple, ou les consortiums pharmaceutiques restent seuls capables de produire des études. Mais eux-mêmes sont sujets à ce qu’on appelle des #conflits_d’intérêts. Ceux-ci, dans l’histoire du Covid, sont absolument phénoménaux. Ils se comptent à plusieurs milliards d’euros. Il suffit de prendre en compte le marché du vaccin, du traitement précoce, du traitement tardif du Covid long... Bref, l’outil a été totalement frelaté par tant de conflits d’intérêts.

    Le fait que l’industrie pharmaceutique passe son temps à injecter, dans la publication scientifique, des études bidons, frelatées et contradictoires n’est pas nouveau. Cela a été rapporté avec l’industrie du tabac, notamment. Celle-ci a réussi, pendant plus de 80 ans, à maintenir que le tabac n’était pas nocif, que même les femmes enceintes pouvaient fumer. Ça, c’est la fabrique de l’ignorance. Justement par l’EBM. C’est une pratique à laquelle l’ #industrie_pharmaceutique est aujourd’hui extrêmement rodée, grâce au doute qu’elle sait faire naître.

    Un autre moment épistémologique mérite d’être souligné dans cette crise : la toute puissance de la pseudo-modélisation mathématique à partir de l’interprétation algorithmique du #big_data. La majeure partie d’entre nous a vécu cette crise de manière virtuelle, selon des chiffres, des courbes. L’idée que le #datamining sur du big data serait mieux à même que vous et moi de dire la vérité est devenue la règle.

    « Ceux qui vont créer le savoir sont ceux qui seront capables de manipuler le big data »
    Pour être plus clair : #Waze (une application d’aide à la conduite, ndlr.) sait mieux que vous par où vous devez passer, parce que Waze est interconnecté à tous les téléphones portables partout. C’est pareil pour l’épidémie. Ce n’est pas le réel de votre quotidien qui vous a dit qu’elle était grave. C’est la propagande médiatique pseudoscientifique. Vous n’avez pas eu des charniers en centre-ville. Ce n’est juste pas vrai. Le gros de votre souffrance a été la conséquence de la politique sanitaire. Pas du réel de l’épidémie. Ceux qui vont créer le savoir aujourd’hui ne sont plus les médecins, ne sont plus les chercheurs, mais sont ceux capables de manipuler le big data avec du datamining algorithmique. #Microsoft , #Amazon , #Facebook , etc… Au bout du compte, vous donnez un pouvoir démesuré à des systèmes que vous ne maîtrisez pas.

    Est-ce qu’on pourrait résumer la polarisation par la confrontation médecin statisticien VS médecin clinicien ?
    Je pense que c’est un peu simpliste, parce qu’il y a des cliniciens non statisticiens qui ont une foi dogmatique dans la science. Et des statisticiens très soucieux de savoir ce que veulent dire leurs nombres « en vrai »… C’est toujours beaucoup plus complexe qu’une simple polarisation binaire. Ce n’est jamais noir ou blanc, il y a plein de gris. On fait ce qu’on peut pour se débattre dans la fange du réel. C’est triste que ça aboutisse au conflit.

    Je crois cependant qu’il y a effectivement une petite frange de gens – pas forcément médecins d’ailleurs – qui sont aujourd’hui scientistes. Ils croient en « la science » comme à une religion. Ce n’est pas sain, parce que tout l’objet de la science est justement de se départir du dogme, de la croyance. Il ne doit pas être question de foi là-dedans, mais d’essayer de cultiver le doute. Les scientistes n’ont aucun doute. Ils sont persuadés d’avoir raison, et adoptent une posture inquisitrice.

    Or, quand est-ce que la religion a eu besoin de créer l’ #Inquisition ? C’est lorsqu’elle était malmenée, mise en défaut, lorsqu’elle avait tellement triché, vendu des indulgences, lorsque sa construction même se dérobait sous ses pieds. L’inquisition se crée lorsque les choses tournent mal pour ceux qui tiennent le système de croyance.

    « On va vers une médecine qui va ressembler à du peer reviewing citoyen globalisé »
    Ce qui est en train d’apparaître, c’est que l’Evidence Based Medecine se dérobe sous nos pieds. Elle n’est pas capable de dire la vérité de ce que serait un traitement efficace dans le Covid. Il faut revenir à la clinique ; au lit du patient. D’ailleurs, il s’est passé quelque chose de très intéressant épistémologiquement pendant cette crise et qui avait déjà cours dans d’autres domaines : c’est la mutualisation de l’expérience empirique de terrain. Ce que je veux dire par là, c’est qu’Internet a permis de mettre en #réseau énormément d’expériences diverses, un foisonnement de possibles qui vous donnent une petite image du réel. Pour moi, il s’agit d’un changement majeur. Car on va vers une médecine qui va ressembler à du peer reviewing citoyen globalisé.

    Peut-être que ce sont les citoyens qui vont aller relire et critiquer les études. Il y a déjà des sites de pre-print qui se sont mis en place. L’IHU de Marseille a mis ses données en libre accès pour tout chercheur désireux de travailler. Vous aurez des revues entières qui vont se créer en montrant justement patte blanche sur leurs financements. Plus de place pour les grosses multinationales. Aujourd’hui, Big pharma et Big data tiennent en même temps l’édition scientifique. Il y a un vrai problème. La seule issue me semble de revenir au réel.

    Si tout le monde y va de son expertise, comme c’est d’ailleurs le cas à l’heure actuelle, comment sait-on ce qu’on doit croire ? Comment fait-on pour s’en sortir ? Les gens n’ont-ils pas besoin qu’on leur dise ce qu’ils doivent penser ?
    Soit vous le voyez comme ça, soit vous le regardez de l’autre côté : les gens ont besoin de reprendre en souveraineté, de décider en conscience et en responsabilité à qui ils font confiance. Comment ils se traitent, prennent en main leur vie et leur pathologie. Si l’humanité occidentale attend d’un sauveur extérieur, messianique, qu’il vienne lui apporter la démocratie, la vérité, la science, la santé, il arrive ce qui arrive aujourd’hui. Vous avez laissé dans les mains de #Nestlé le soin de vous nourrir ? Vous avez laissé dans les mains de #Pfizer et #Novartis le soin de vous soigner ? Bonne chance !

    Vous ne pensez pas que c’est un peu naïf ? Nos sociétés sont construites ainsi, l’avènement de la religion démontre à quel point les gens ont besoin qu’on leur indique où est le bien et où est le mal. Sont-ils vraiment prêts à décider pour eux-mêmes ?
    Moi j’aime bien les gens. J’ai l’impression que l’humain est plutôt quelque chose de rassurant et d’assez joyeux et gentil, qui est prompt à donner, à ouvrir son cœur. C’est mon expérience et non une vérité. Mon expérience de ce que je reçois chaque jour, en tant que soignant et en tant qu’humain. Qu’il y ait quelques gros salopards, j’en suis bien convaincu aussi, mais ils sont infiniment minoritaires.

    Est-ce que les gens sont prêts ? Eh bien c’est ce qu’on va voir ! Dans le cas contraire, ils deviennent du bétail. Parce que le #pass_sanitaire revient à cela : vous êtes le bétail d’Astrazeneca, de Pfizer et d’autres gens que vous ne connaissez même pas, à qui vous faites confiance malgré leurs mensonges, alors qu’ils ont été condamnés à combien de reprises pour falsification de données et publicité mensongère ? Pour avoir donné de l’argent aux décideurs afin de caser leurs produits ? On parle de condamnations à hauteur de plusieurs centaines de milliards d’euros ! Si, malgré cela, vous voulez leur faire confiance, c’est que vous n’avez pas envie de regarder le réel. Que vous n’êtes pas prêts.

    Mais la vérité est que vous avez tout pour savoir comment vous soigner contre le Covid. Vous avez suffisamment de témoignages de terrain et suffisamment de data. Il faut juste sortir de la Caverne de l’ignorance où les sophistes vous tiennent prisonniers.

    Si tout cela a un poids, pourquoi n’y a-t-il pas plus de gens dans les rues en France ? Pourquoi un million d’inscriptions à la vaccination après le discours de Macron ?
    J’ai plusieurs grilles de lecture. D’abord, je pense que la colère, et notamment la colère de rue, n’est pas le bon chemin. L’histoire a démontré qu’une manifestation dans la rue n’est intéressante que si elle est pré-insurrectionnelle. Ce n’est pas ce que je prône attention, mais ce qu’on constate à travers l’histoire.

    Si vous voulez que ça change, vous n’allez pas dans la rue pour demander à papa qu’il change ses lois. Vous le faites pour lui. Sinon vous êtes encore coincé dans le triangle de Karpman, qui est une figure psychologique explicative très importante :

    En Suisse, vous avez la chance de pouvoir changer les choses via les votations. En France, le système démocratique est mort et enterré. Complètement frelaté, complètement mafieux de tous les côtés à un niveau qui dépasse l’entendement. On n’a plus qu’un simulacre de démocratie depuis bien longtemps.

    Ce qui reste, pour beaucoup de gens, c’est de manifester, peut-être de manière inadaptée, son désaccord. Ces manifestations sont instrumentalisées par le pouvoir en France. C’est un espace d’extrême sécurité pour le gouvernement, qui en maîtrise parfaitement la #scénarisation médiatique. Un espace fait pour attiser la colère dans une spirale de violence mimétique qui va aboutir à faire monter un candidat d’extrême droite choisi pour apparaître messianique, mais qui ne sera en fait rien de plus que le Gniafron sur lequel Guignol tapera aux prochaines élections et assurera la victoire du candidat désigné par le pouvoir. C’est donc complètement scénarisé pour inhiber l’action de terrain et de réalité.

    « Ce n’est pas dans la rue que ça se joue »
    Et c’est là que la France est peut-être un poil plus subtile que ce que vous pensez : énormément de gens ont déjà compris cette étape-là. Pourquoi y a-t-il moins de gens dans la rue ? Parce qu’il y en a plein qui savent déjà que ça n’est pas le bon chemin de transformation du #système. Que ça n’est pas là que ça se joue. Qu’aller dans la rue ne sert qu’à une seule chose, c’est se retrouver, se donner de l’auto-empathie. Et ce n’est pas rien. Se dire qu’on est ni seul, ni fou est très important.

    Nous sommes, dans les faits, très nombreux. Et surtout ce n’est pas une question de nombre. Nous sommes déterminés, courageux, inventifs. Inarrêtables. Allons travailler dans le réel ! Travaillons à ce que nous voulons vraiment qu’il advienne. Ne le demandons pas. Faisons-le. C’est faire des écoles alternatives qui protègent les enfants, qui les éduquent correctement et en font des individus libres, joyeux, heureux et non des rouages d’un système techno-sanitaire délirant. C’est aller se nourrir autrement, cultiver autrement avec la #permaculture et l’ #agroécologie, faire des restaurants autrement, faire des cinémas autrement, faire la culture autrement. C’est se réapproprier tout ce qui nous a été confisqué : l’eau, la terre, les semences, la santé, l’éducation, la culture, la beauté, la joie.

    Tous les pans de la réalité sont en train de s’effondrer avec la chute du système néolibéral. Nous y vivons et il nous entraînait dans le #transhumanisme. Sa chute est une chance qui nous est offerte. L’idée selon laquelle l’ #humain serait insuffisant, incapable, ne pourrait pas prendre ses décisions tout seul, qu’il ne pourrait pas vivre sans des vaccins tous les trois mois ou des médicaments toutes les semaines, sans une prothèse numérique, c’est une anthropologie qui déteste l’homme et le Vivant. Elle cherche à mettre à sa place des systèmes techniques optimisés pour annihiler l’erreur humaine, la variabilité du vivant. C’est un idéal de détestation de l’humain et c’est celui-là même qui est dominant actuellement et doit s’effondrer.

    Est-ce que vous croyez réellement en un complot organisé, comme l’explique Pierre Barnerias dans Hold-Up, par exemple ?
    Non, il n’y a pas besoin d’aller si loin, ce n’est pas utile. Qu’il y ait des gens qui veulent faire élire un candidat plutôt qu’un autre, ça oui, j’en suis convaincu. Mais je ne crois pas que ce soit du #complotisme. C’est juste que des puissances d’argent ont tout intérêt à ce que les puissances politiques s’alignent avec elles. L’ #Union_européenne est ainsi le bras armé des #multinationales pour asservir le pouvoir politique.

    « Le pass sanitaire n’a rien à voir avec la santé »
    Après, est-ce que le virus a été parachuté et mis sur terre à dessein ? En fait, ça m’est complètement égal. Je n’ai même pas besoin de penser à ça, parce que je me mets à l’endroit où j’ai le pouvoir d’agir. Donc l’origine du virus n’est pas ce qui m’importe. A la fin, ce sont les mêmes puissances d’argent qui profitent. Les Américains le disent : quand vous ne comprenez rien, follow the money ! Qui gagne de l’argent dans cette crise ? Ni vous, ni moi. C’est dans la nature du capitalisme et du néolibéralisme particulièrement de profiter de chaque malheur pour en faire quelque chose de rentable.

    Idem, que des puissances politiques profitent d’un virus pour essayer de reprendre le contrôle sur la population, ça me semble une évidence. Le passe sanitaire aujourd’hui n’a rien à voir avec la santé, ni avec la vaccination, ni avec le virus. Par contre, il est bel et bien un hold-up du contrat social. C’est le #biopouvoir expliqué par Gorgio Agamben, Hannah Arendt et Michel Foucault. Chaque fois que les médecins sont trop proches du pouvoir politique, ce n’est pas bon. Ils tendent à établir une tyrannie techno-sanitaire.

    Comment est-ce qu’on peut expliquer le manque de moyens dans les hôpitaux et la #déliquescence progressive du système hospitalier, en #France comme en #Suisse d’ailleurs ?
    C’est une très vaste question dont je pense qu’on ne verra pas le bout le temps de cet entretien. On pourrait résumer ce constat au fait qu’on a confié la planification de la santé à un système techno-administratif complètement hors sol et décorrélé du soin. Les questions comptables sont devenues les seules variables à optimiser. Les 30 dernières années ont vu émerger le règne de la #technocratie_sanitaire. Et l’irruption du conseil stratégique entrepreneurial auprès des décideurs ( #Mac_Kinsey , etc… ) comme clé de résolution pour faire de la santé un marché rentable à bas coûts de production.

    « L’ensemble des données françaises est accessible à d’autres gens que les Français »
    Les investisseurs institutionnels du système de santé se sont petit à petit transformés. En France, l’ #assurance-maladie était liée à un système de contribution des actifs à l’assurance maladie. Petit à petit, l’Union européenne a obligé à un virage vers un système anglo-saxon, de financement par des fonds de pension. C’est-à-dire qu’en gros, vous allez donner la responsabilité de votre retraite ou de votre santé à une structure privée qui va aller jouer au casino avec votre pognon sur les marchés financiers. Ces énormes groupes financiers sont des #investisseurs_institutionnels qui dirigent la politique sanitaire, in fine, par le biais de l’Union européenne. Cela fait très longtemps que les #retraites et l’ #assurance-maladie sont lorgnés par ces #fonds_de pension internationaux, parce que c’est une manne énorme.

    L’ensemble des budgets sociaux français, c’est l’équivalent du budget de l’État. De quoi intéresser les investisseurs potentiels. Ce phénomène fait partie du mouvement idéologique néolibéral. Par ailleurs, d’autres investisseurs sont venus croquer le budget de la santé. Des investisseurs du numérique, de la data. De nouveaux opérateurs inconnus jusqu’ici, comme Google, Amazon, Facebook, Microsoft... Aujourd’hui, le #Health_Data_Hub français est possédé par Microsoft, donc fait partie du cloud act américain. L’ensemble des données françaises est accessible à d’autres gens que les Français. Si ces données sont potentiellement revendues à des propriétaires de compagnies d’assurance ou de retraite, ça pose problème. Ça correspond à une perte de souveraineté qui confine à la haute trahison de la part de nos élites. Le Covid vient nous dire qu’il faut réinventer un autre système de santé.

    Si je vous suis, cette pandémie est une opportunité, parce qu’elle révèle les failles d’un système dépassé ?
    Exactement ! Le Covid est venu appuyer sur tout ce qui fait mal. Richard Horton l’a appelé une « syndémie », justement parce que le problème n’était pas tant le virus que la fragilité de l’ensemble de notre système. Le Covid est le KAIROS en grec, le moment à saisir. Il y a un livre de Christiane Singer que j’aime bien qui s’appelle Du bon usage des crises . Elle dit que les crises sont là justement pour nous éviter le pire. Pour éviter de recommencer encore et encore les mêmes erreurs.

    A l’issue de cette crise, soit la majorité se plie et on bascule dans un avenir transhumaniste très sombre qui fera beaucoup de victimes collatérales, soit c’est une vraie occasion, une vraie chance que le peuple se lève et fasse tomber ce système de merde qui ne tient plus que sur des mensonges.

    Cette crise nous place dans une situation de dépendance économique très importante. C’est une crise monétaire aussi et je tiens à lancer l’appel suivant : remonétarisez-vous ! Comprenez ce que c’est que l’outil de création monétaire et pourquoi les Etats l’ont perdu. Et pourquoi il faut s’en redoter absolument. Toute une série d’émissions avec des universitaires a été faite sur la création monétaire. Ça s’appelle Prenez place, sur YouTube. https://www.youtube.com/c/PRENEZPLACE/featured Elles débouchent sur des propositions pratiques, à la fois sur des #cryptomonnaies adossées à la block-chain, à la fois sur des monnaies locales, des monnaies locales adossées à la block-chain, la #monnaie libre, etc...

    Comprenez-vous que l’on puisse s’interroger sur votre légitimité à faire des analyses sur le système monétaire, en tant qu’anesthésiste-réanimateur ?
    La légitimité vient probablement du caractère collectif et collégial des réflexions menées. J’en suis un des porte-parole. Ensuite, je viens de la philosophie. Avant de faire médecine, j’ai fait des études d’humanité classique : histoire antique, philosophie, géographie, littérature… Cela reste un de mes backgrounds, que j’ai continué à pratiquer ensuite pendant mes études de médecine. J’ai mené un Master 2 d’éthique médicale, orienté autour de la question de l’anthropologie de la technique. Le système monétaire, le système de santé, le système scolaire, sont des « systèmes techniques » comme d’autres. En ce sens, ils sont des objets de mon travail de recherche personnel.

    Beaucoup sont sensibles au discours de Réinfo Covid parce que, justement, il émane de gens parfois très simples, qui ont juste leurs émotions et une capture sensible et subtile de la réalité. Ils vont dire en quelques phrases ce que je vais mettre des jours ou des livres à écrire, parce que j’essaie de le dire de manière rationnelle.

    On est dans une république des experts, vous avez raison, dans laquelle ceux qui sont admis à parler sont ceux qui possèdent le diplôme équivalent, mais je vous renvoie à #Roland_Gori et à La fabrique des Imposteurs . Aujourd’hui, il y a de très nombreux imposteurs qui ont tous les diplômes pour s’exprimer et qui ne disent que de la merde.

    Vous qui travaillez sur le terrain, avez-vous constaté un rajeunissement de la patientèle hospitalisée ?
    Sur le #variant_Delta oui, il y a un certain rajeunissement. Mais il faut bien faire la différence entre les cas, les cas hospitalisés et les cas graves. Dans les cas graves, les cas hospitalisés effectivement, on a l’impression qu’il y a plus de gens entre 45 et 65 ans que lors des vagues précédentes. Cette impression doit encore être validée dans le temps.

    Cela s’explique peut-être par le variant, ou par l’état de santé général de la population qui n’est globalement pas bon. Une autre hypothèse est que les personnes plus âgées ont déjà fait les frais de l’épidémie, ou que la vaccination les protège en partie. En tous cas, instrumentaliser cette donnée pour faire peur et pousser à l’injection vaccinale est un argument pour le moment fallacieux eu égard à ce que nos savons des vaccins, de leurs risques et de leurs bénéfices potentiels.

    « La crise est une occasion de reconstruire notre société »
    Chacun est bien sûr libre de consentir à se vacciner si tant est qu’il ait reçu une information claire, loyale et appropriée. Information elle même basée sur une science impeccable. Aucun de ces critères n’est rempli pour l’heure.

    Finalement, ne pourrait-on pas résumer toute cette histoire par un combat du cynisme contre l’humanisme ?
    La #crise est une occasion de reconstruire notre société et c’est un sacré défi. Un sacré boulot ! Mais c’est plutôt super joyeux, parce que le grand arbre s’est enfin effondré et toutes les pousses qu’il dissimulait vont pouvoir fleurir : les monnaies alternatives, les écoles en conscience, une autre façon de soigner, de faire de l’agriculture, de faire l’économie, de travailler notre façon de prendre soin des personnes âgées, ou des enfants... tout ça était prêt, sauf que c’était caché par le grand arbre qui prenait toute la lumière. Enfin, une chance nous est donnée de renouer avec le vivant, d’arrêter de vouloir contrôler et prédire, pour enfin ressentir et s’ajuster.

    Est-ce que c’est un combat ? En tout cas ce n’est pas une guerre, parce que la guerre c’est l’éradication de l’ennemi. Ici, ça ne se fera pas, car le rapport de force est trop important. C’est un peu la leçon de l’Aïkido : l’idée que l’adversaire, c’est le partenaire.

    Je pense que, si l’on devait trouver une opposition, ce serait celle des gens qui ont peur contre des gens qui n’ont pas peur. Des gens qui tiennent à un système et qui ne veulent pas qu’il bouge contre des gens qui veulent que ça s’ouvre vers autre chose. Agir c’est tenir son « non ». C’est être capable de dire « j’assume les conséquences ». Si on les assume collectivement, si on est en nombreux, on a une puissance d’agir sur le réel très importante.

    C’est prendre conscience que par le boycott, l’obstruction vous êtes extrêmement puissant à infléchir le cours de la réalité. Il faut juste être suffisamment carré et suffisamment clair. Il faut rester groupés, serrer les coudes et garder les yeux rivés sur ce vers quoi vous avez envie d’aller. Ça va passer.

    • L’ oxygénothérapie aussi est quelque chose qui sauve des vies et permet de gagner du temps. Juste mettre de l’oxygène dans le nez des gens en fait. C’est pareil : on sait le faire en médecine de ville, on n’est pas obligé de le faire en réanimation. Ça dépend de la dose, mais on peut le mettre en route à la maison, en ambulatoire. Idem pour la corticothérapie qui est utile au stade de l’orage cytokinique. Dans toutes les infections virales, il peut survenir une surinfection bactérienne. Le traitement est alors une antibiothérapie. Tout cela est du ressort de la médecine de ville.

      Au lieu de ça, s’est mise en place une tout autre façon de faire. On a négligé voir interdit la médecine de ville pour laisser l’hôpital se surcharger. Je ne vous parle même pas du gag à répétition des masques. N’importe qui de sain d’esprit doit voir que quelque chose cloche. Et tout le monde l’a vu. Mais certains sont rentrés dans une rationalité morbide. Par déni des conclusions à tirer, ils ont cherché à soutenir et justifier les choix politiques sidérants.
      . . . .

    • Or, quand est-ce que la religion a eu besoin de créer l’Inquisition ? C’est lorsqu’elle était malmenée, mise en défaut, lorsqu’elle avait tellement triché, vendu des indulgences, lorsque sa construction même se dérobait sous ses pieds. L’inquisition se crée lorsque les choses tournent mal pour ceux qui tiennent le système de croyance.

    • L’intérêt de cet article est la description de la démolition de notre système de santé par la gestion gouvernementale aberrante de cette pandémie
      Exemple, la saturation des hôpitaux et de leurs urgences en donnant ordre de ne pas soigner les malades au début, sauf avec du paracétamol.

      Si on part du fait que cette destruction, est demandée en clair par l’union européenne, beaucoup de décisions macron, OMS . . .. s’expliquent.

      Pour le reste, discussions, ergotages sur le virus, son traitement, les courbes et simulations mathématiques, laissons cela aux spécialistes et amateurs faisant illusion, ou scientifiques , tous en désaccord, normal.

      Comme le dit la Reine d’Angleterre, Honni soit qui mal y pense .

    • Dans mon relevé de sa ligne de défense bidon (https://seenthis.net/messages/926892) , je l’avais zappé celle-là :

      En sciences, ce sont toujours une minorité de gens, d’abord considérés comme des fous, puis comme des héros, qui sont parvenus à trouver des solutions différentes de ce qui semblait établi comme vérité.

      C’est très exactement le contraire : ce cas est une extrême minorité, ça n’est quasiment jamais arrivé dans l’Histoire. Toutes les découvertes importantes ont été relues, discutées, et approuvées comme étant intéressantes à approfondir par les spécialistes du même thème. On s’en fout des autres, du grand public, ou que sais-je, c’est pas à eux qu’on va demander si une découverte est pertinente ou pas, mais bien à celleux qui sont capables de comprendre et reproduire les mêmes calculs, les mêmes expériences, etc.
      Et c’est bien pour ça que tous ceux capables de discuter du même domaine qui ont tenté de relire ou reproduire les affirmations fantaisistes de Raoult (et donc de Fouché) ont dans une écrasante majorité dit que c’était du grand n’importe quoi pas sérieux.

      Bref encore un énorme mensonge de plus au milieu de toute cette merde.

  • #Covid-19 : l’#OMS demande à la #Chine la publication de « toutes les données » sur les premiers cas
    https://www.francetvinfo.fr/sante/maladie/coronavirus/covid-19-l-oms-demande-a-la-chine-la-publication-de-toutes-les-donnees-

    Pour Peter Embarek, chef de la délégation de scientifiques internationaux envoyés en Chine par l’OMS, la fuite du virus d’un laboratoire de Wuhan, la ville chinoise où les premiers cas ont été détectés fin 2019, fait partie des hypothèses « probables ». « Un employé [d’un laboratoire] infecté sur le terrain en prélevant des échantillons relève de l’une des hypothèses probables. C’est là que le virus passe directement de la chauve-souris à l’homme », a-t-il déclaré à la chaîne publique danoise TV2.

    Dans un documentaire (en danois) diffusé jeudi, le scientifique s’est montré très critique envers Pékin. Selon lui, il a été difficile pour son équipe de discuter de cette théorie avec les scientifiques chinois.

    • Hypothèse du laboratoire : la piste d’une pression chinoise relancée - Heidi.news
      https://heidi.news/sante/hypothese-du-laboratoire-la-piste-d-une-pression-chinoise-relancee

      Pourquoi c’est compliqué. Sollicité par le Washington Post pour un commentaire, Ben Embarek a d’abord invoqué une erreur de traduction du danois vers l’anglais. Le porte-parole de l’OMS a ajouté que l’interview s’était déroulé il y a « des mois », et qu’il y a, à ce stade, « pas de nouveaux éléments ni de changement de la position selon laquelle toutes les hypothèses restent sur la table ». Dans un communiqué publié le 12 août, l’OMS a rappelé que les enquêtes complémentaires demandées par le rapport doivent être menées dès que possible, mais qu’il convenait de « dépolitiser la situation » pour que la recherche de l’origine de Sars-CoV-2 ne tourne pas au « blame game ». Plus facile à dire qu’à faire, tant le sujet est devenu brûlant entre Pékin et Washington. Ce vendredi 13 août, la Chine a rejeté l’appel de l’OMS pour une nouvelle enquête sur son territoire.