organization:congrès du violence against women act

  • « Je ne vous oublierai jamais » : Joe Biden écrit à la victime du #viol de #Stanford
    http://www.lemonde.fr/big-browser/article/2016/06/10/je-ne-vous-oublierai-jamais-joe-biden-ecrit-a-la-victime-du-viol-de-stanford

    L’affaire vient de prendre une nouvelle ampleur avec la publication d’une lettre ouverte du vice-président des Etats-Unis, Joe Biden, qui a fait parvenir son texte à Buzzfeed. Adressée « à une jeune fille courageuse », la lettre commence ainsi : « Je ne connais pas votre nom – mais vos mots sont gravés à jamais dans mon âme. »

    « Je suis empli de colère – à la fois que cela vous soit arrivé, et que notre société ait réussi à vous demander encore de défendre votre propre valeur, écrit le vice-président. Vous avez été victime d’une culture qui existe sur nos campus, où une femme sur cinq subit une agression sexuelle, année après année. Une culture qui promeut la passivité, qui encourage les jeunes filles et les jeunes gens à fermer les yeux sur ce qui s’y passe. »

    Dénonçant la tendance à reporter la faute sur les victimes, Joe Biden promet de « continuer à parler, pour changer la culture de nos campus, une culture qui continue à poser les mauvaises questions : que portiez-vous ? Pourquoi étiez-vous là ? Qu’avez-vous dit ? Combien d’alcool avez-vous bu ? Au lieu de demander : comment a-t-il pu penser qu’il avait le droit de violer ? »

    Joe Biden a supervisé et défendu le vote au Congrès du Violence Against Women Act (loi contre la violence envers les femmes), alors qu’il était encore sénateur, en 1994. Ce texte visait à renforcer la protection des victimes de viol et d’agressions sexuelles.

    • L’affaire vient de prendre une nouvelle ampleur avec la publication d’une lettre ouverte du vice-président des Etats-Unis, Joe Biden, qui a fait parvenir son texte à Buzzfeed. Adressée « à une jeune fille courageuse », la lettre commence ainsi : « Je ne connais pas votre nom – mais vos mots sont gravés à jamais dans mon âme. »

      « Je suis empli de colère – à la fois que cela vous soit arrivé, et que notre société ait réussi à vous demander encore de défendre votre propre valeur, écrit le vice-président. Vous avez été victime d’une culture qui existe sur nos campus, où une femme sur cinq subit une agression sexuelle, année après année. Une culture qui promeut la passivité, qui encourage les jeunes filles et les jeunes gens à fermer les yeux sur ce qui s’y passe. »

      Dénonçant la tendance à reporter la faute sur les victimes, Joe Biden promet de « continuer à parler, pour changer la culture de nos campus, une culture qui continue à poser les mauvaises questions : que portiez-vous ? Pourquoi étiez-vous là ? Qu’avez-vous dit ? Combien d’alcool avez-vous bu ? Au lieu de demander : comment a-t-il pu penser qu’il avait le droit de violer ? »

      Joe Biden a supervisé et défendu le vote au Congrès du Violence Against Women Act (loi contre la violence envers les femmes), alors qu’il était encore sénateur, en 1994. Ce texte visait à renforcer la protection des victimes de viol et d’agressions sexuelles.