organization:conseil général de seine-saint-denis

  • #Petition & #Soutien à la Parole errante.

    Comme vous le savez peut-être la Parole errante est menacée. Le bail du Conseil Général de Seine-Saint-Denis arrive à son terme en juin 2016.
    Nous sommes quelques un.es à s’être regroupé.es pour penser un futur à ce lieu qui nous est cher. Nous avons envoyé une mouture de projet au CG que vous pouvez lire sur le site internet que nous avons monté. Le projet n’est pas figé, nous continuons à réfléchir pour l’enrichir au maximum et à intégrer celleux qui souhaitent nous accompagner dans cette aventure.

    Nous avons besoin de soutien, aussi nous avons mis en place une pétition sur notre site que je vous invite à signer. Il nous faut faire comprendre au CG que nous sommes légitimes pour imaginer et continuer à faire vivre ce lieu comme nous l’entendons.

    Nous allons également organiser des rencontres, projections, concerts, lectures, etc... pendant le mois de mars que Stéphane Gatti va entre autre consacrer à une rétrospective de son travail. Je vous tiendrai au courant quand le programme sera fixé.

    Je vous laisse découvrir le site http://laparoledemain.jimdo.com
    La pétition est en première page.

    N’hésitez pas à faire circuler l’information autour de vous. Nous avons besoin de soutien.

    #Armand_Gatti #Parole_errante

  • La Parole errante demain. Rencontre publique le 25 octobre 2015
    http://laparoledemain.jimdo.com/rencontre-publique-le-25-octobre-2015

    Depuis dix ans, en s’ouvrant à une multitude d’initiatives culturelles, sociales, politiques, la Parole errante est devenue pour la ville, pour la métropole, un poumon, une respiration. Elle ne s’est pas limitée à accueillir des spectateurs mais toute la richesse des temps présents.

    C’est cette réalité foisonnante qui se cherche un devenir. Un devenir tendu entre l’histoire qui l’a vu naître et les exigences d’un présent incertain, pour ne pas dire plus de la crise politique, économique et écologique que nous vivons. Que serait un lieu à la hauteur de ces temps ? Que pourrait devenir la Parole errante demain ?

    Le propriétaire, à savoir le Conseil Général de Seine-Saint-Denis, doit encore décider de l’avenir qu’il réservera à ce #lieu. Néanmoins, le risque que celui-ci se referme et que soit fait table rase de son passé est important. Si une époque de la Parole errante se termine, pour autant, l’imagination de son futur devra, à notre sens, repartir de son histoire, et des besoins et potentialités qui s’y sont formulés ces dix dernières années.

    C’est pourquoi nous défendons un lieu fondé sur l’ouverture, l’#accueil, le #partage, la #solidarité, un lieu ancré dans la ville de Montreuil et dans le territoire de la Seine-Saint-Denis, un centre de création culturel et social qui ne se referme pas sur lui-même.

    Mais ce projet ne se réalisera pas sans le soutien et la participation de tous. Pour cela nous vous invitons à en prendre connaissance (laparoledemain.jimdo.com) et à le soutenir en participant aux journées : La parole Errante Demain ! Deux jours de rencontres publiques autour de l’avenir du lieu qui se dérouleront le 24 et 25 octobre à la Parole errante.

    Ce projet écrit et ces rencontres se veulent le point de départ fédérateur depuis lequel nous poursuivrons la construction d’un lieu commun, ouvert, dont les expressions les plus concrètes continueront de s’élaborer ensemble.

  • Pantin : contre l’expulsion du 2 rue Lakanal
    http://paris-luttes.info/pantin-contre-l-expulsion-du-2-rue

    L’ancienne gendarmerie de #Pantin, laissée vide pendant près de deux ans, est squattée depuis quelques temps par quelques habitants. Son propriétaire, le Conseil Général de #Seine-Saint-Denis a expédié l’affaire, faisant juger son expulsion au mois de décembre. Le texte qui suit relate l’affaire et donne quelques éléments sur le contexte d’une ville qui fait tout pour éloigner ses habitants au profit d’une faune plus friquée.

    #urbanisme #squatt #expulsion #socialisme

  •  » [Reprise] Démocratie 0.0 : Affaire Dexia, le Gouvernement doit renoncer à son projet d’amnistie des fautes bancaires
    http://www.les-crises.fr/affaire-dexia-amnistie

    LE CERCLE Les Echos. L’Etat français cherche depuis plusieurs mois une façon de sortir de l’affaire « Dexia ». Cette banque a commercialisé aux collectivités locales des prêts qui comportent des clauses d’intérêts dit « structurés », c’est-à-dire variables suivant des formules de calcul parfois très complexes. Ce qui met aujourd’hui les finances publiques locales en difficulté.

    De plus en plus de collectivités, pour certaines réunies au sein de l’association Acteurs Publics Contre les Emprunts Toxiques (APCET) sont décidées à agir en justice pour mettre en cause la responsabilité des établissements bancaires préteurs. Leur position a été renforcée par trois jugements du Tribunal de grande instance de Nanterre du 8 février 2013 qui, sur la question essentielle du taux d’intérêt, donnent raison au Conseil Général de Seine-saint-Denis contre Dexia.

    Dans ces affaires, il convient de rappeler ce qui est reproché à Dexia, à savoir d’avoir violé les règles relatives au taux effectif global (TEG).

    Or, le TEG, introduit dans notre législation par le décret n°85-944 du 4 septembre 1985 et aujourd’hui codifié dans le Code de la consommation, a pour fonction essentielle de permettre à l’emprunteur de comparer entre eux le coût des crédits de même nature, mais également de favoriser la concurrence sur le marché des crédits.

    Pour cela l’article L. 313-2 du Code de la consommation dispose que le TEG « doit être mentionné dans tout écrit constatant un contrat de prêt ». Cet article s’applique à tous les contrats de crédits consentis par un établissement bancaire.

    Emprunts toxiques, les collectivités contre une « loi d’amnistie » des banques

    Le gouvernement a prévu dans le projet de loi de finance la création d’un fonds de soutien pour aider les collectivités à renégocier leurs emprunts.

    En contrepartie, une disposition contestée par les élus limiterait les poursuites judiciaires contre les banques.

    L’affaire des emprunts toxiques va-t-elle trouver enfin son épilogue ? C’est ce que semblait penser le gouvernement en proposant dans le projet de budget pour 2014 un dispositif destiné à aider les collectivités locales à renégocier leurs emprunts dans de bonnes conditions, tout en limitant la multiplication des contentieux juridiques avec les banques.

    Il y était d’autant plus incité qu’il était à la fois sous la pression forte des élus locaux, et lui-même directement concerné, comme principal créancier depuis la nationalisation de Dexia, la principale banque des collectivités locales.

    Le projet de loi de finance prévoit donc la création d’un fonds de soutien doté de 100 millions d’euros par an pendant quinze ans, financé à moitié par le budget de l’État et à moitié par le relèvement d’une taxe payée par les banques. Ce fonds vise à aider les collectivités – dans la limite de 50 % des frais engagés chaque année – à sortir des emprunts les plus risqués, par un remboursement anticipé.

    Le recours à cette aide implique cependant pour les collectivités d’avoir conclu au préalable un accord avec la banque sur l’ensemble des emprunts souscrits avec elle, ce qui équivaut à renoncer à tout contentieux ultérieur.

    Une multiplication des recours en justice

    Par ailleurs, une disposition prévoit que les collectivités ne pourront plus poursuivre les banques lorsque le montant du taux effectif global (TEG) ne figure pas dans le document de validation du prêt.

    En effet, le 8 février dernier, le tribunal de grande instance de Nanterre avait donné raison au conseil général de Seine-Saint-Denis contre la banque Dexia au motif que la mention de ce taux, obligatoire, ne figurait pas dans le fax de validation. Une décision susceptible de jurisprudence qui fait craindre aux banques une multiplication des contestations en justice.

    Finances et Gestion locales : Validation législative des emprunts toxiques : Christian Pierret dénonce une ” amnistie bancaire “

    Dans un courrier adressé fin octobre à l’ensemble des députés, Christian Pierret, ancien ministre, maire de Saint-Dié-des-Vosges, président de la FVM souhaite attirer l’attention des parlementaires sur le projet de validation législatif proposé dans l’article 60 – II du projet de loi de finances initial pour 2014, dont le contenu va être discuté en séance avant la mi-novembre.

    Sous réserve des décisions de justice passées en force de chose jugée, seraient ainsi validés les contrats de prêt et leurs avenants (…) conclus entre un établissement de crédit et une personne morale, ne faisant pas mention de taux effectif global (TEG), ou mentionnant un TEG inférieur au taux effectif global résultant de la convention.

    Le Gouvernement souhaite en effet assurer la « sécurisation juridique des contrats de prêts » accordés aux collectivités locales (cf. conséquences du jugement du TGI de Nanterre du 8 février 2013, CG 93 c/ Dexia – appel en cours). Dans l’exposé des motifs du projet d’article, l’exécutif affiche clairement les objectifs de cette disposition rétroactive dont vont bénéficier les banques en ajoutant que les assignations en justice ont triplé depuis février 2013 et que « cette jurisprudence fait peser un risque majeur sur les finances publiques, dans la mesure où l’État est actionnaire à 75% de la Société de financement local (SFIL) ». Les raisons qui motivent la présentation de l’article 60 – II du projet de loi sont donc très claires…

    Le président de la FVM souligne dans ce courrier, qu’à l’heure actuelle, « des dizaines de villes moyennes sont concernées par des emprunts structurés dont certains sont devenus toxiques, et recherchent pour l’instant à faire reconnaître leurs droits devant les tribunaux civils ». Au-delà des incertitudes juridiques sur la place qu’il faut donner aux collectivités locales en matière de droit bancaire ou de droit de la consommation, Christian Pierret alerte les députés sur le déséquilibre important qui pourrait résulter, pour les emprunteurs. Il fait également part de ses « plus vives réserves sur cette validation des contrats de prêts, dont chaque cas relève d’une situation distincte, et qui s’apparente encore une fois, à une amnistie bancaire »...

    #économie
    #Démocratie_0.0
    #Dexia
    #bankster

  • Les bons comptes de la BNP dans les écoles du 93 | Bakchich
    http://www.bakchich.info/societe/2012/03/07/les-bons-comptes-de-la-bnp-dans-les-ecoles-du-93-61203

    En décembre 2009, le Conseil Général de Seine-Saint-Denis, le rectorat et la Fondation BNP-Paribas ont signé un partenariat surprenant. Nom du baptême : « L’Opération Odyssée Jeunes ». Son objet : La Fondation BNP-Paribas, directement liée à la banque, s’engage à financer les voyages scolaires des collégiens du département. La Convention avec la Fondation BNP-Paribas, écrite et signée par le Président du Conseil Général, M. Claude Bartolone (PS), déborde d’enthousiasme : « Entre le Département et le groupe BNP-Paribas c’est – allez, j’ose le dire sans rougir – une longue histoire d’amour ». On comprend pourquoi, en lisant les dernières lignes du texte : « Je vous le dis, je n’ai aucun tabou avec le monde de l’entreprise (...) Je lance aujourd’hui un appel à toutes les entreprises qui souhaiteraient investir dans l’avenir de la Seine-Saint-Denis ».

    Ainsi, M. Bartolone, pourtant socialiste, non seulement souscrit, mais encourage, le privé à investir dans l’éducation publique.

    Pas d’ordinateur ni de centre de formation mais des voyages

    #éducation #banque