organization:département d'etat

  • Selon Juanma del Olmo, député Podemos et secrétaire à la communication et aux nouvelles technologies, WhatsApp vient de fermer le canal de Podemos quelques jours à peine avant les législatives
    https://twitter.com/juanmalpr/status/1120459372994420736

    INCREIBLE
    @WhatsApp acaba de cerrarnos la cuenta de PODEMOS mediante la que nos comunicábamos con todas las personas que nos han solicitado hacerlo a través de ese canal.

    Justo esta noche, la última semana de campaña, cuando la gente decide el voto.

    • Possiblement comme quelque chose de pas si dangereux que ça (je parle des groupes FB, mais des GJ eux-mêmes) : effet de (dé)mobilisation par procuration (des centaines de milliers de « like », mais maximum quelques milliers de manifestants), utilité des messages problématiques (racistes, conspis, politiquement crétins…) qui peuvent démobiliser, voire permettent de décrédibiliser le mouvement, et outil pratique aux flics pour anticiper les rassemblements et identifier les meneurs d’un mouvement autrement trop informel…

      Après, en l’absence de décision de justice, c’est encore Facebook qui décide et qui défend ses propres intérêts. Et Facebook est plus proche des intérêts du Département d’État US que du gouvernement Macron. Difficile de prévoir des effets de cause-à-effet immédiats du style : « Macron juge les GJ dangereux donc Facebook coupe », parce que ce n’est pas la logique des GAFA, grandes entreprises capitalistes liées à leurs intérêts propres (comme par exemple ne pas payer de taxe nationale ni de taxe européenne comme prétend le vouloir le gouvernement Macron) et à leurs liens avec le Département d’État.

    • Certes, mais — sous réserve, dans la mesure ou, encore une fois, j’ai mal suivi la manière dont les choses se sont passées — il me semble bien que ça a commencé via les groupes facebook ? Qu’ensuite (et déjà dès le départ mais…) il y ait plein de problèmes de toutes sortes c’est une chose, mais à l’origine, c’est ces constellations de groupes qui lancent le mouvement. Précisément (ou au moins en partie) parce que c’est là où les gens postent leurs photos de chiens. Non ?

      Après c’est un cas probablement particulier puisqu’on parle de gens qui pour une bonne part découvrent la militance donc pas de militants qui montent un mouvement via fb mais de gens sur fb qui vont à la militance via les groupes en question et surtout ce qui se passe derrière… mais c’est quand même pas rien.

  • #Huawei : les #Etats-Unis mettent la pression sur l’#Europe
    https://www.lesechos.fr/tech-medias/hightech/0600686058084-huawei-les-etats-unis-mettent-la-pression-sur-leurope-2244251

    « Quand le parti communiste demande quelque chose à une entreprise chinoise, elle obéit », assure un porte-parole du Département d’Etat. « La Chine est un pays communiste depuis 1949, mais l’autoritarisme s’y est encore renforcé ces six dernières années. Cela se reflète dans les lois passées récemment sur la sécurité nationale, la cybersécurité, le contre-terrorisme... Il y est très clair que les entreprises doivent collaborer, sans qu’il soit besoin d’une décision de justice ».

    Après les révélations d’Edward Snowden, qui ont prouvé l’étendue de l’espionnage américain sur ses propres alliés, la mise en garde peut faire sourire. Mais les Etats-Unis font valoir qu’il existe à l’Ouest des contre-pouvoirs - tribunaux indépendants, partis d’opposition, presse libre... - qui n’existent pas en Chine. Au Département d’Etat, on ajoute que « les Etats-Unis, comme la France ou le Royaume-Uni, ne mènent pas ce genre d’opérations pour réprimer la dissidence politique, intimider les gens, faire profiter ses propres entreprises de l’espionnage commercial. La Chine, si »

    #sans_vergogne

  • Importants développements syriens
    http://www.chroniquesdugrandjeu.com/2018/06/importants-developpements-syriens.html

    Il y a une semaine, nous écrivions : Désormais, tous les regards se tournent vers le sud et Deraa, où les barbus modérément modérés ont reçu un avertissement final avant l’offensive. Les forces loyalistes affluent, y compris les milices palestiniennes...

    • Début mai, le Département d’Etat a arrêté de financer les Casques blancs, dans le silence assourdissant de la presstituée occidentale qui portait aux nues ces barbus « sauveteurs », à l’origine du false flag de la Ghouta. Et pas plus tard qu’hier, Washington s’est enfin cru obligé de comprendre, avec un an de retard, qu’Hayat Tahrir al-Cham était, ô surprise, le nouveau nom d’Al Qaeda en Syrie et a placé l’organisation sur sa liste de groupes terroristes.

      Deux décisions qui semblent indiquer un changement de cap impérial. A suivre...

  • الإدارة الأمريكية تلغي مصطلح “الأراضي المحتلة” في فلسطين | رأي اليوم
    https://www.raialyoum.com/index.php/%d8%a7%d9%84%d8%a5%d8%af%d8%a7%d8%b1%d8%a9-%d8%a7%d9%84%d8%a3%d9%85%d8%b1

    Le dernier rapport annuel du Département d’Etat US sur les droits de l’homme dans le monde n’utilise pas l’expression "territoires occupés" mais parle "d’Israël, du plateau du Golan, de rive occidentale du Jourdain et de Gaza".

    #palestine

  • Quand tout va mal, tout va très, très mal pour Airbus...
    http://www.latribune.fr/entreprises-finance/industrie/aeronautique-defense/quand-tout-va-mal-tout-va-tres-tres-mal-pour-airbus-756226.html

    Airbus a révélé s’être dénoncé aux autorités américaines pour des « inexactitudes » dans des ventes d’armes. Les commandes du groupe sont en chute libre.

    Un véritable séisme... Après s’être dénoncé à la justice britannique, Airbus a transmis fin 2016 à Washington à la suite d’un examen de ses procédures de conformité avec la réglementation américaine « certaines inexactitudes dans les déclarations faites au Département d’Etat américain au titre de la partie 130 de la réglementation américaine sur la commercialisation d’armes (ITAR) ». Le constructeur européen a précisé dans son communiqué sur les résultats portant sur les neuf premiers mois de l’année qu’il « coopère pleinement » avec les autorités américaines.

    Précisons, ce qui n’est pas fait dans l’article, que la partie 130 de ITAR porte sur les POLITICAL CONTRIBUTIONS, FEES AND COMMISSIONS
    https://www.ecfr.gov/cgi-bin/text-idx?SID=86008bdffd1fb2e79cc5df41a180750a&node=22:1.0.1.13.67&rgn=div5

  • Les États-Unis se retirent de l’UNESCO
    http://www.lefigaro.fr/flash-actu/2017/10/12/97001-20171012FILWWW00180-les-etats-unis-se-retirent-de-l-unesco.php

    Les Etats-Unis ont annoncé aujourd’hui qu’ils se retiraient de l’Organisation des Nations unies pour l’éducation, la science et la culture (Unesco), accusant l’institution d’être « anti-israélienne ». Les Etats-Unis conserveront un statut d’observateur, a précisé le Département d’Etat, en lieu et place de leur représentation à l’agence onusienne basée à Paris.

    La directrice générale de l’Unesco, Irina Bokova, a dit « regretter profondément » cette décision. « L’universalité est essentielle à la mission de l’UNESCO pour construire la paix et la sécurité internationales face à la haine et à la violence, par la défense des droits de l’homme et de la dignité humaine », a souligné dans un communiqué Mme Bokova.

  • The U.S. is finally out of the closet -
    Following the appointment of a settlement-loving envoy, the pretense is over: the United States will no longer be able to claim that it is an honest broker in the Israeli-Palestinian conflict | Opinion

    Gideon Levy 18.12.2016
    read more: http://www.haaretz.com/opinion/.premium-1.759618

    President-elect Donald Trump has decided to appoint an anti-Israeli and racist lawyer as ambassador to Israel. That is, of course, his prerogative. With David Friedman’s appointment last Thursday, the United States has finally come out of the closet. From now on, it officially supports the establishment of an Israeli apartheid state between the Mediterranean Sea and the Jordan River.
    Friedman is not the first Jewish ambassador to Israel – a matter that has always sparked questions of dual loyalty – but he is the first declared friend of the settlements in this position. His predecessor, Dan Shapiro, was also a friend of the settlements, like all the ambassadors before him – representatives of governments that could have stopped the settlement project but did not raise a finger to do so, and even financed it.
    But now we have an ambassador who has also contributed to the dispossession from his own pocket.
    This innovation means an end to ridiculous statements of denunciation by the U.S. Department of State, at which Israel thumbed its nose. No more black diplomatic cars following the construction of every new balcony in the occupied territories. From now on, we have an ambassador who will feel the pain of the Amona outpost’s evacuation and take part in cornerstone-laying ceremonies in every new settlement.
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    This means the United States will no longer be able to claim that it is an honest broker. It never was one, but now the mask is off. In those terms, Friedman’s appointment is right and good. The Palestinians, Europeans and the rest of the world should know: America is for the occupation. No more pretense.
    Friedman is anti-Israeli, like anyone else who urges Israel to deepen the occupation. Friedman is a racist, like anyone else who pushes for an apartheid state. He is also antidemocratic and McCarthyist (saying supporters of J Street are “far worse than kapos”) – and we have enough of those of our own. Friedman will spur them on, and in that, too, he is patently anti-Israeli.

    • Le président élu Donald Trump a décidé de nommer un avocat anti-israélien et raciste comme ambassadeur en Israël. C’est, bien sûr, sa prérogative. Avec la nomination de David Friedman jeudi dernier, les États-Unis sont finalement sortis du placard. Désormais, elle soutient officiellement l’établissement d’un Etat d’apartheid israélien entre la Méditerranée et le Jourdain. Friedman n’est pas le premier ambassadeur juif en Israël - une question qui a toujours suscité des questions de double loyauté - mais il est le premier ami déclaré des colonies dans cette position. Son prédécesseur, Dan Shapiro, était aussi un ami des colonies, comme tous les ambassadeurs avant lui, des représentants des gouvernements qui auraient pu arrêter le projet de colonisation mais n’ont pas levé le doigt pour le faire et même financé. B Nous avons maintenant un ambassadeur qui a également contribué à la dépossession de sa propre poche. Cette innovation signifie la fin des déclarations ridicules de dénonciation par le Département d’Etat des États-Unis, au cours desquelles Israël s’est moqué du nez. Plus de voitures diplomatiques noires à la suite de la construction de chaque nouveau balcon dans les territoires occupés. Désormais, nous avons un ambassadeur qui sentira la douleur de l’évacuation de l’avant-poste d’Amona et participera aux cérémonies de pose des pierres angulaires dans chaque nouvel établissement. Skip - Alertes par courrier électronique Inscrivez-vous ci-dessous et recevez chaque nouvelle colonne Gideon Levy directement dans votre boîte de réception Cela signifie que les États-Unis ne pourront plus prétendre que c’est un courtier honnête. Il n’a jamais été un, mais maintenant le masque est éteint. En ces termes, la nomination de Friedman est bonne et bonne. Les Palestiniens, les Européens et le reste du monde devraient savoir : l’Amérique est pour l’occupation. Plus de prétention. Friedman est anti-israélien, comme n’importe qui d’autre qui exhorte Israël à approfondir l’occupation. Friedman est un raciste, comme n’importe qui d’autre qui pousse pour un état d’apartheid. Il est également antidémocratique et maccarthyste (disant que les partisans de J Street sont « bien pires que les kapos ») - et nous en avons assez de ceux de nos propres. Friedman les stimulera, et en cela, lui aussi, il est manifestement anti-israélien.

  • LE BLOGUE NOIR DE BROCELIANDE : Oups ! Les médias ont oublié de vous parler de « l’ami et mentor » d’Hillary, l’ancien leader du KKK R. Byrd (R.I.P.)
    https://gaideclin.blogspot.com/2016/07/oups-les-medias-ont-oublie-de-vous.html

    Oups ! Les médias ont oublié de vous parler de "l’ami et mentor" d’Hillary, l’ancien leader du KKK R. Byrd (R.I.P.)

    Dans leur insondable hypocrisie, les médias n’ont de cesse d’alerter le public sur le supposé "racisme" de Donald Trump, le candidat républicain à la Maison Blanche. Celui-ci est pourtant soutenu par certains noirs et hispaniques, bizarrement, mais peu importe, l’essentiel est de faire passer le seul message qui compte : Trump est horriblement méchant, haineux, vicieux, repoussant.
    Trump, c’est le mal.

    Par contraste, son adversaire démocrate, Hillary Clinton, c’est le bien. C’est une femme, elle est gentille, courageuse, et symbolise l’amour entre les peuples et le respect envers toutes les communautés. Conclusion, si vous n’êtes ni raciste, ni fasciste, ni extrémiste, ni aigri. En gros si vous êtes un être humain sain d’esprit, vous ne pouvez que penser comme les médias et soutenir la "gentille" Hillary contre "l’affreux" Donald.

    Pourtant, quand on y regarde de plus près, tout n’est pas si simple. Alors que les médias tentaient vainement de créer un lien factice entre Trump et le leader du Ku Klux Klan David Duke, ils oubliaient opportunément de parler des liens bien réels qu’Hillary Clinton avait entretenu avec un autre leader du KKK, décédé en 2010, le sénateur démocrate de Virginie-Occidentale, Robert Byrd.

    Dans une vidéo publiée sur la chaine YouTube officielle du Département d’Etat, le 28 Juin, 2010, H. Clinton a rendu hommage au sénateur Byrd avec ces mots : "Aujourd’hui, notre pays a perdu un véritable américain original, mon ami et mentor Robert C. Byrd."

    Voici ce dit Wikipedia sur le sénateur Byrd :

    Dans les années 1940, Byrd était un chef local du Ku Klux Klan, opposé à toute idée d’intégration raciale au sein de l’armée. Les soupçons de racisme le suivront durant toute sa carrière politique. (...)

    Quelques déclarations controversées de "l’ami et mentor" d’Hillary Clinton :
    « Je souhaite de ne jamais me battre aux côtés d’un nègre. Plutôt mourir mille fois, et voir le drapeau américain piétiné dans la boue au point qu’il ne puisse plus être encore hissé, que voir ce pays bien-aimé se dégrader par une race de bâtards, une survivance du spécimen le plus noir des terres sauvages. » Lettre de Robert Byrd au sénateur Theodore Bilbo du Mississippi (1945) 
    « On a besoin du Klan aujourd’hui plus que jamais, et je désire voir sa renaissance ici en Virginie-Occidentale. » Autre lettre de Robert Byrd (1946)
     « Il y a des niggers blancs. J’ai vu beaucoup de niggers blancs dans ma vie ; je vais utiliser ce mot. » Interview à Fox News Channel, le 4 mars 2001. (Il est impossible de traduire parfaitement le mot anglais nigger mais il équivaut à « nègre » ; aux États-Unis, ce terme, autrefois courant, est aujourd’hui considéré comme péjoratif et particulièrement injurieux pour désigner un Noir. Byrd s’est excusé plus tard, et dit qu’il n’a voulu offenser personne.)
     

    Barack Obama a prononcé l’éloge funèbre de Robert Byrd lors de ses funérailles
    Le président Obama a salué la mémoire du sénateur Robert C. Byrd aujourd’hui pour avoir su garder la foi en sa famille, son état de Virginie-Occidentale et sa bien-aimée Constitution des États-Unis.

    "Il était une icône du Sénat, il a été un chef de parti, il était un homme d’État, et il était mon ami", a déclaré Obama devant des milliers de personnes qui se sont réunies pour les funérailles de Byrd sur les marches du Capitole de la Virginie-Occidentale. "Voilà comment je me souviendrai de lui."

    Conclusion : il faut toujours se méfier des images d’Épinal véhiculées par les médias ! 

    Sources : 
    dailycaller 
     100percentfedup

  • Israël : conseil des ministres dimanche sur le plateau du Golan, selon des médias - L’Orient-Le Jour
    AFP | 16/04/2016
    http://www.lorientlejour.com/article/981387/israel-conseil-des-ministres-dimanche-sur-le-plateau-du-golan-selon-d

    Le conseil des ministres israélien hebdomadaire doit se tenir pour la première fois dimanche sur le plateau du Golan conquis sur la Syrie en 1967 puis annexé, ont annoncé samedi des médias israéliens.
    Interrogé par l’AFP, le bureau du Premier ministre Benjamin Netanyahu s’est refusé à confirmer ou démentir cette information.

    Selon la radio publique, M. Netanyahu a pris cette initiative pour faire comprendre à la communauté internationale qu’un éventuel retrait du plateau du Golan « n’était en aucun cas à l’ordre du jour ni dans l’immédiat ni à l’avenir ».

    La radio a précisé que M. Netanyahu a fait passer ce message lors d’un récent entretien avec le secrétaire d’Etat américain John Kerry et compte également le répéter jeudi lors d’une rencontre à Moscou avec le président russe Vladimir Poutine.

    • Plateau du Golan : l’Allemagne accuse Israël de violer le droit international
      Par i24news | Publié : 18/04/2016
      http://www.i24news.tv/fr/actu/international/110086-160417-benyamin-netanyahou-israel-ne-se-retirera-jamais-du-plateau-du

      Le ministère allemand des Affaires étrangères a annoncé lundi qu’une décision unilatérale israélienne pour maintenir le contrôle sur le plateau du Golan va à l’encontre du droit international après que le Premier ministre israélien Benyamin Netanyahou a affirmé qu’"Israël ne se retirera jamais du plateau du Golan."

      Le porte-parole allemand du ministère des Affaires étrangères Martin Schaefer a déclaré : « c’est un principe de base du droit international et de la Charte des Nations Unies qu’aucun Etat ne peut revendiquer le droit d’annexer le territoire d’un autre État juste comme cela. »

      Le porte-parole du Département d’Etat américain a quant à lui publié une déclaration affirmant que la « position américaine n’a pas changé et que le plateau du Golan ne fait pas partie d’Israël. »

      Le vice-ministre syrien des Affaires étrangères Faisal al-Mekdad a déclaré dimanche au journal libanais « al Mayadeen » que « le Golan est occupé depuis toujours et qu’il restera un territoire arabe syrien ».

    • L’UE ne reconnaît pas l’occupation du Golan par Israël, rappelle Mogherini
      AFP | 19/04/2016
      http://www.lorientlejour.com/article/981869/lue-ne-reconnait-pas-loccupation-du-golan-par-israel-rappelle-mogheri

      L’UE a rappelé mardi qu’elle ne reconnaissait pas l’occupation par Israël du plateau du Golan en dépit des propos du Premier ministre Benjamin Netanyahu selon lesquels la partie annexée du Golan syrien restera « à jamais sous souveraineté israélienne ».

      « L’UE reconnaît Israël dans ses frontières d’avant 1967, quelles que soient les revendications du gouvernement (israélien) sur d’autres régions jusqu’à ce qu’un réglement final soit conclu », a affirmé la chef de la diplomatie européenne, Federica Mogherini.
      « Il s’agit d’une position commune réaffirmée de l’Union européenne et de ses Etats-membres », a ajouté M. Mogherini avant une réunion des donateurs internationaux en soutien à l’économie palestinienne à Bruxelles.(...)

  • La Turquie bombarde à l’artillerie les positions prises par le YPG et les SDF dans la base de Menagh (poche d’Azaz, nord d’Alep) et aux alentours - ceci afin de freiner son avancée vers Azaz :
    http://news.yahoo.com/turkey-shells-kurdish-held-areas-syrias-aleppo-monitor-155529508.html;_y

    Beirut (AFP) - Turkish artillery on Saturday bombarded areas of Aleppo province in northern Syria controlled by Kurdish forces, the Syrian Observatory for Human Rights said.
    The monitoring group’s head, Rami Abdel Rahman, said Turkish shelling struck areas of Aleppo, including Minnigh, recently taken by the Kurdish People’s Protection Units (YPG) militia from Islamist rebels.

    Même un « jihadologue » avec des analyses aussi discutables et partisanes que Charles Lister relève la contradiction de la politique américaine : des brigades de l’ASL alliées aux Kurdes du YPG (au sein des SDF), et soutenues par les USA, sont bombardées par l’alliée des USA, la Turquie, en soutien à d’autres brigades de l’ASL soutenues par les USA, la Turquie et l’Arabie saoudite :
    https://twitter.com/Charles_Lister/status/698535922338439168

    #Turkey (NATO member) is bombing #YPG (backed by US, #Russia) & SDF (backed by US), for attacking FSA (backed by US, Turkey & Saudi)

    On passera vite sur l’alliance des ces groupes de l’ASL, soutenus par la Turquie, avec divers groupes jihadistes car évidemment M. Lister aimerait, lui, que les USA cessent leur alliance avec le YPG et laissent les Turcs bombarder tranquillement le nord de la Syrie.

    Cette contradiction avait déjà été évoquée ici il y a deux mois : http://seenthis.net/messages/435727
    Elle semble en tout cas de plus en plus difficilement tenable.

    • La contradiction de cette politique s’exprime par des remontrances, pour l’instant un peu molles, du Département d’Etat aux deux camps :
      http://seenthis.net/messages/460841

      Le porte-parole du département d’Etat américain a condamné ces tirs :
      « Nous avons pressé les Kurdes syriens et d’autres forces affiliées au PYD de ne pas profiter de la confusion en s’emparant de nouveaux territoires. Nous avons aussi vu des informations concernant des tirs d’artillerie depuis le côté turc de la frontière et avons exhorté la Turquie à cesser ces tirs ».

      Article du Monde signalé par @simplicissimus

    • #Syrie: Le Front al-#Nosra reçoit des renforts via la #Turquie
      http://fr.sputniknews.com/international/20160214/1021748782/syrie-renforts-terroristes-transit-turquie.html

      Près de 400 combattants du groupe djihadiste Légion du Sham (Faylaq al-Sham) sont arrivés à Tall Raafat, dans le gouvernorat d’Alep, en provenance d’Idlib, a annoncé dimanche la chaîne de télévision libanaise Al Mayadeen.

      Transitant par le territoire turc, ces « renforts » se battront aux côtés du Front al-Nosra contre les forces gouvernementales syriennes, précise Al Mayadeen.

    • Déclaration de Davutoglu : « la Turquie ne permettra pas la prise d’Azaz par les milices kurdes ». Le ministre des affaires étrangères turc revendique et justifie les bombardements à l’artillerie du YPG en sol syrien.
      http://www.reuters.com/article/us-mideast-crisis-syria-turkey-davutoglu-idUSKCN0VO0ZZ

      Turkey will not allow Azaz in northern Syria to fall to the Kurdish YPG militia and the group will face the “harshest reaction” if it tries to approach the town again, Prime Minister Ahmet Davutoglu said on Monday.
      Speaking to reporters on his plane en route to Ukraine, Davutoglu said YPG fighters would have seized control of Azaz and the town of Tal Rifaat further south had it not been for Turkish artillery shelling them over the weekend.
      "YPG elements were forced away from around Azaz. If they approach again they will see the harshest reaction. We will not allow Azaz to fall," Davutoglu said.
      He said Turkey would make the Syrian Menagh air base “unusable” if the YPG does not withdraw from the area, which it seized from Syrian rebels. He warned the YPG not to move east of its Afrin region or west of the Euphrates River.

      En attendant, le YPG et les SDF (le groupe Jaysh al-Thuwar, l’armée des révolutionnaires, issu de l’ASL : https://en.wikipedia.org/wiki/Army_of_Revolutionaries) auraient pris le contrôle de la ville de Tall Rifaat contrôlé par les milices islamistes de Ahrar al-Cham al-islamiya et Harakat Noureddin al-Zenki

  • Les Toyota de l’Etat islamique ont été fournis par les Etats-Unis et la Grande-Bretagne
    http://www.brujitafr.fr/2015/10/les-toyota-de-l-etat-islamique-ont-ete-fournis-par-les-etats-unis-et-la-gr

    Plutôt que de demander au constructeur Toyota d’expliquer pourquoi l’État islamique disposait de centaines de nouvelles véhicules tout-terrain, les autorités américaines auraient dû poser la question au Département d’Etat de leur propre pays, qui aurait...

  • Le mystère des Toyota de l’EI élucidé
    http://fr.sputniknews.com/international/20151012/1018773818/vehicules-toyota-islamistes.html

    L’homme politique américain et membre du Parti républicain Ronald Paul, ainsi que ses associés, ont tenté de pénétrer le mystère des voitures tout-terrain japonaises mises à la disposition des djihadistes. Tony Cartalucci, observateur et représentant de l’Institut pour la paix et pour la prospérité, de Ronald Paul, a dénoncé le fait qu’en 2013 le Département d’Etat des USA, en coopération avec le gouvernement britannique, avait octroyé des véhicules à l’Armée syrienne libre, la principale force armée opposée au régime de Bachar el-Assad.

  • #Torture : le rapporteur #ONU ne peut pas visiter les #prisons américaines - RTBF Societe
    http://www.rtbf.be/info/societe/detail_torture-le-rapporteur-onu-ne-peut-pas-visiter-les-prisons-americaines?id

    (Une histoire qui n’a pas vraiment - vraiment pas- intéressé grand monde https://www.google.sn/#q=Torture+rapporteur+ONU+juan+mendez+guantanamo&lr=lang_fr&tbs=lr:lang_1fr,q)

    « J’ai demandé à être invité à visiter des prisons sur le continent », mais la réponse n’a pas été satisfaisante, a déclaré M. Juan Mendez, lors d’une conférence de presse à Genève en marge du Conseil des droits de l’homme. Selon lui, « il y a eu des contacts avec le Département d’État, mais qui sont restés sans suite ».

    Les autorités américaines lui auraient indiqué qu’il n’était pas question de le laisser visiter des prisons fédérales, notamment les quartiers de haute sécurité, où les prisonniers peuvent être à l’isolement 22 heures voire 23 heures par jour.

    Selon lui, « il n’est pas rare » aux #États-Unis de voir des prisonniers passer plus de 25-30 ans à l’isolement.

    « On estime qu’il y a environ 80 000 prisonniers à l’isolement aux États-Unis », a encore indiqué M. Mendez, pour qui ce confinement ne devrait pas dépasser les 30 à 60 jours.

    « Des études psychiatriques montrent que l’isolement peut provoquer des dommages cérébraux irréversibles », a t-il encore indiqué.

    « Les prisonniers peuvent lire, écrire, ils ont la télévision », mais le contact humain est essentiel, a-t-il conclu.

    Le rapporteur a encore rappelé qu’il avait demandé en 2012 aux États-Unis à visiter la prison de #Guantanamo. « Les États-Unis ont posé des conditions inacceptables pour moi, je ne pouvais pas visiter toute la prison, et je ne pouvais pas m’entretenir en tête à tête avec les prisonniers », a indiqué M. Mendez qui a refusé de se rendre à Guantanamo dans ces conditions.

    Pentagon denies UN investigator chance to interview Guantánamo detainees | US news | The Guardian
    http://www.theguardian.com/us-news/2015/mar/15/pentagon-un-torture-investigator-interview-guantanamo-detainees

    Shortly after the Pentagon took a battery of pro-Guantánamo US senators for a tour of its infamous detention center, it confirmed that it will deny the United Nations’ torture investigator interviews with Guantánamo Bay detainees.

    Juan Méndez, the UN’s special rapporteur on preventing torture, “has been invited to visit Guantánamo; however, he will not be permitted to interview detainees”,Army Lieutenant Colonel Myles Caggins, the Pentagon’s detentions spokesman, told the Guardian.

    Méndez told reporters in Geneva last week that he had spurned what he considered hollow offers by the US to visit Guantánamo, citing unacceptable restrictions on his ability to examine the facility for himself.

    “I am not allowed to have any unmonitored or even monitored conversations with any inmate in Guantánamo Bay,” Méndez said, according to AFP.

  • Le rôle diplomatique secret de Google dénoncé par Julian Assange

    http://www.numerama.com/magazine/31048-le-role-diplomatique-secret-de-google-denonce-par-julian-assange.htm

    Dans un livre publié en septembre dernier, le fondateur de Wikileaks décrit en profondeur le rôle diplomatique joué très discrètement mais efficacement par Google, en particulier dans les pays arabes. Pour Julian Assange, Google est devenu une officine au service des intérêts américains, notamment grâce à sa filiale Google Ideas dirigée par Jared Cohen.

    Dans un courriel interne cité par Julian Assange, daté du 27 février 2012, le responsable aux renseignements de Stratfor avait parlé en ces termes d’un projet confidentiel de Jared Cohen de se rendre dans les semaines suivantes à la frontière entre l’Iran et l’Azerbaïdjan :

    Google a le soutien et la protection aérienne de la Maison Blanche et du Département d’Etat. En réalité, ils font des choses que la CIA ne peut pas faire. Mais je suis d’accord avec toi. Il va se faire kidnapper ou se faire tuer. C’est ce qui pourrait arriver de mieux pour exposer le rôle secret qu’a Google pour faire mousser les soulèvements, pour être franc. Le gouvernement US pourra prétendre qu’il ne savait rien, et c’est Google qui tiendra le sac de merde.

    « Google est perçu comme une entreprise essentiellement philanthropique », écrit Assange. Mais, fait-il remarquer, si une entreprise militaire privée comme Academi (anciennement Blackwater) « avait un programme tel que Google Ideas, ça lui vaudrait un examen critique intense » auquel Google échappe, grâce à son image de bienfaiteur de l’Internet.

    « Les aspirations géopolitiques de Google sont fermement mêlées dans celles de l’agenda des affaires étrangères de la plus grande superpuissance mondiale. A mesure que le monopole de Google sur la recherche et les services Internet s’accroît (...), son influence sur les choix et les comportements sur la totalité des être humains se traduit en un véritable pouvoir d’influer sur le cours de l’histoire ».

  • USA : Qu’est-ce qui a tant effrayé l’USS Donald Cook en Mer Noire ?
    http://www.brujitafr.fr/article-usa-qu-est-ce-qui-a-tant-effraye-l-uss-donald-cook-en-mer-noire-12

    Le Département d’État a reconnu que l’équipage du destroyer USS Donald Cook est gravement démoralisé depuis qu’il a été survolé en Mer Noire par un avion russe de combat Sukhoï-24 (Su-24) qui ne portait ni bombes ni missiles mais uniquement un dispositif de guerre électronique. Sur cette vidéo, le destroyer USS Donald Cook arrive en Mer Noire pour prendre position à proximité des eaux territoriales de la Russie Le 10 avril 2014, le destroyer USS Donald Cook arrivait en Mer Noire et le 12 avril un bombardier tactique russe Su-24 survolait ce vaisseau au cours de l’incident qui, d’après plusieurs medias, aurait totalement démoralisé (...)

  • #Israel denounces #US #Terrorism report over mention of “price tag” attacks
    http://english.al-akhbar.com/content/israel-denounces-us-terrorism-report-over-mention-price-tag-attac

    An Israeli settler woman, left, questions a Palestian woman walking her children home, as settler families move into a four-story building which the Palestinian Rajabis family has said was taken over fraudulently by Israeli settlers, in the West Bank town of Hebron, on April 13, 2014. (Photo: AFP - Hazem Bader)

    Israeli police on Thursday challenged Washington’s inclusion of Zionist extremist attacks on Palestinians in a global terror report, claiming such incidents could not be likened to terrorist attacks. For the first time, the State Department’s 2013 Country Reports on Terrorism, published Wednesday, included a reference to a growing wave of racist anti-Palestinian vandalism, euphemistically known as “price tag” attacks. read (...)

    #Palestine #price_tag #Top_News

    • Israël dénonce un rapport US sur le terrorisme qui mentionne les attaques « prix à payer »
      Par Al Akhbar
      http://www.ism-france.org/communiques/Israel-denonce-un-rapport-US-sur-le-terrorisme-qui-mentionne-les-attaque

      Pour la première fois, le Rapport national du Département d’Etat sur le Terrorisme 2013, publié mercredi, comprend une référence à la vague croissante de vandalisme raciste anti-palestinien, connu sous l’euphémisme d’attaques « prix-à-payer » (price tag).

      « En Cisjordanie , des attaques contre des résidents, des biens et des lieux de culte palestiniens par des colons israéliens extrémistes ont continué et n’ont globalement pas fait l’objet de poursuites, » dit le rapport, citant des données des Nations Unies et d’ONG.

      Mais le porte-parole de la police israélienne, Micky Rosenfeld, a dit que les incidents étaient loin des menaces terroristes mondiales soulignées dans le rapport.

      « Il n’y a aucune comparaison entre les incidents criminels aux motifs nationalistes et les incidents reliés au terrorisme, » a déclaré Rosenfeld à l’AFP.

      Le rapport états-unien a noté que « le Bureau de la Coordination des affaires humanitaires des Nations Unies a recensé 399 attaques par des colons israéliens extrémistes qui ont fait des blessés palestiniens ou des dommages matériels. »

      « Des extrémistes violents, dont des colons israéliens, ont vandalisé cinq mosquées et trois églises à Jérusalem et en Cisjordanie . »

  • Les USA assassinent Lumumba... et assument !
    http://survie.org/billets-d-afrique/2014/232-fevrier-2014/article/les-usa-assassinent-lumumba-et-4626

    Alors que se commémorait - le 17 janvier dernier - le 53ème anniversaire de la mort de Patrice Lumumba, le Département d’Etat des USA a reconnu, dans un document, son implication dans le renversement et l’assassinat de l’ancien Premier Ministre Congolais. Ce document de 900 pages nommé « Congo 1960-1968 » a été déclassifié. Analyses. « Une oreille a été coupée de la tête de Lumumba », voilà ce que l’on peut lire dans ce document qui retrace, en toute transparence, la politique des USA au Congo dans les années (...)

    #232_-_février_2014

    / #République_Démocratique_du_Congo, #Salves, #Etats_Unis, #Histoire

  • Talking in Circles - By Micah Zenko | Foreign Policy
    http://www.foreignpolicy.com/articles/2013/05/09/targeted_killings_koh_policy_obama?page=full

    Harold Koh, ancien intermédiaire US auprès de l’ONU sur la légalité des frappes de drones, fait semblant d’être préoccupé par les assassinats de Obama pour mieux les faire accepter,

    Comme beaucoup d’anciens hauts fonctionnaires de l’administration Obama, Harold Koh a exprimé ses préoccupations sur les politiques de frappe des drones étasuniens. En tant qu’ancien conseiller juridique du département d’Etat, il a joué un rôle essentiel dans la formulation et la défense des principes juridiques internationaux qui soutenaient « les pratiques de frappes étasuniennes, y compris les opérations létales menées par l’utilisation de véhicules aériens sans pilote, » comme il l’a énoncé dans un discours en mars 2010. Koh était également responsable de la coordination de la réponse officielle du gouvernement américain à des questions posées par les rapporteurs spéciaux de l’ONU et au sein du Conseil des droits de l’homme. Comme Koh l’a proclamé l’été dernier : « Je n’ai pas intégré le gouvernement pour tuer des gens. »

    Malheureusement pour lui, parce que le président Barack Obama a autorisé plus de 375 frappes de drones tuant plus de 3.000 personnes pendant que Koh était l’avocat principal du Département d’Etat, il a été contraint de consacrer beaucoup de temps à tuer des gens.

    Malheureusement, dans un discours prononcé il y a deux jours à l’Oxford Union, Koh a démontré qu’il avait l’intention de maintenir le mythe fondamental du programme d’assassinat ciblé de l’administration Obama : que toute personne tuée est un haut responsable ou un membre d’Al-Qaïda qui présente une menace imminente d’attaque sur le territoire américain.

    Pour Paul Woodward les Micah ZenKo doivent aller encore plus loin dans leur critique et notamment renoncer à adopter le vocabulaire des Obama,

    The ongoing campaign to cover up Obama’s indiscriminate killing program — War in Context
    http://warincontext.org/2013/05/10/the-ongoing-campaign-to-cover-up-obamas-indiscriminate-killing-program

    Micah Zenko poursuit son effort sans relâche pour attirer l’attention sur l’utilisation inexcusable de drones de guerre par l’administration Obama , mais il y a un point de formulation que lui et d’autres pourraient aider à changer concernant la façon dont nous parlons de cette question : abandonner l’utilisation du terme « assassinat ciblé . »

    Les attentats du 11/9 étaient eux-mêmes très ciblés. Les pirates de l’air ont été très précis quant aux bâtiments qu’ils voulaient frapper et ils ont frappé leurs cibles sélectionnées, mais la plupart des gens trouveraient profondément choquant de décrire ces attaques comme des formes d’assassinat ciblé.

    Pourquoi ? Parce que ciblé implique que le tueur a identifié ses victimes et que l’assassinat n’est pas aveugle.

    Mais tenez compte de ce fait. Alors qu’un mémorial a été créé et qu’un musée mémorial sera bientôt ouvert à la mémoire de chaque victime innocente du 11/9 dont toutes les identités sont connues, la majorité des personnes tuées dans la guerre par drones d’Obama sont des personnes dont les noms étaient inconnues du gouvernement américain au moment où elles ont été tuées. Certains ont été identifiés seulement comme étant des hommes en âge de combattre et d’autres n’ont pas été du tout identifiés, de la même manière que les immeubles ont été détruits sans le moindre moyen de savoir qui ou combien de personnes pouvaient résider à l’intérieur.

    La précision du système de guidage d’un missile ne doit pas être utilisée pour dissimuler son rôle dans les massacres aveugles.

  • Renaud Girard du Figaro dénonce les néoconservateurs français de l’Elysées et du Quai d’Orsay sur le dossier iranien

    Dans son article « La carte turque de la diplomatie américaine » du 23 avril, Renaud Girard écrit que sur le dossier iranien la France

    semble hélas marginalisée

    En mai 2007, Ali Larijani, alors numéro trois du régime iranien, en charge du Nucléaire avait, dans une entretien au Figaro, proposé que la France joue un rôle d’intermédiaire sincère entre Washington et Téhéran. Cette offre avait été torpillée par un petit cla de diplomates néoconservateurs sévissant au Quai d’Orsay et à l’Elysée. A Washington cela fait longtemps que les néoconservateurs ont perdu toute influence dans un Département d’Etat qui s’apprête à confier à la Turquie ce beau rôle d’honest broker en Orient...

    La question est aussi de savoir si, aujourd’hui, avec un gouvernement socialiste, les néoconservateurs français ont perdu de l’influence sur le dossier iranien...

    Le texte intégral n’est accessible sur Internet qu’aux abonnés
    http://www.lefigaro.fr/mon-figaro/2013/04/22/10001-20130422ARTFIG00569-la-carte-turque-de-la-diplomatie-americaine.php

    .

  • الخارجية الأمريكية : الخطيب سيبقى زعيما للمعارضة السورية حتى مايو المقبل
    http://www.alquds.co.uk/index.asp?fname=latest/data/2013-03-29-06-40-25.htm

    الخارجية الأمريكية: الخطيب سيبقى زعيما للمعارضة السورية حتى مايو المقبل

    Etonnantes révolutions arabes où c’est le Département d’Etat des USA qui nous explique que « al-Khatib restera le chef de l’opposition syrienne jusqu’à mai prochain ».

  • Pour Christophe Ayad du Monde, Al Qaeda en Syrie « est encensé par les Syriens pour sa bravoure au combat, sa discipline et sa probité » (« les Syriens »… !). Ce qui serait la raison du fait qu’il « s’impose » comme le principal groupe armé (et non parce qu’il est constitué de miliciens professionnels très bien entraînés et très bien financés, qui ont déjà participé à plusieurs guerres). Et si « certains observateurs » (dont le Département d’État américain) prétendent qu’il s’agit de combattants étrangers liés à Al Qaeda, c’est pas vrai : « plusieurs témoignages » « laissent penser » qu’il est « très majoritairement syrien » et pas du tout lié à Al-Qaida. L’Armée syrienne libre, à l’inverse, c’est rien qu’une milice mal structurée et malhonnête…
    http://www.lemonde.fr/proche-orient/article/2013/03/16/en-syrie-l-irresistible-ascension-du-front-al-nosra_1849409_3218.html

    Inscrit par le Département d’Etat américain sur la liste des organisations terroristes, le Front Al-Nosra est encensé par les Syriens pour sa bravoure au combat, sa discipline et sa probité. Au point que ce groupe armé est en train de s’imposer comme le principal groupe armé en Syrie. Les origines et la composition de cette organisation très secrète restent mal connues. Certains observateurs en font une filiale de l’Etat islamique en Irak, lui-même affilié à Al-Qaida. Plusieurs témoignages recueillis dans le nord de la Syrie laissent penser que Jabhat Al-Nosra est un groupe très majoritairement syrien – autour de 80 % – sans lien organique avec Al-Qaida, mais proche sur le plan idéologique.

    A la différence de leurs homologues irakiens, les djihadistes syriens ont veillé à ne pas se mettre à dos la population. Par contraste, l’Armée syrienne libre (ASL), un regroupement hétéroclite de brigades fondées et commandées par des chefs locaux, a mauvaise réputation à cause des exactions commises par certains commandants : pillages de biens de l’Etat ou privés, racket, enlèvements, détournements de l’aide humanitaire ou d’armes destinées à être revendues sur le marché noir se multiplient à mesure que la Syrie s’installe dans une économie de guerre.

    • Sur l’affirmation « sans lien organique avec Al-Qaida », on se moque évidemment du monde. Comme le résume la fiche Wikipédia :
      http://fr.wikipedia.org/wiki/Al-Qa%C3%AFda

      Tantôt dépeinte comme une organisation terroriste structurée dont Oussama ben Laden serait le chef, tantôt comme une nébuleuse de mouvements djihadistes ou encore comme un réseau de cellules terroristes indépendantes, nul n’est en mesure de définir clairement la structure d’Al-Qaida.

      De fait, quand on veut mettre un groupe dans le sac d’Al-Qaida sans trop s’user le neurone, on se contente d’évoquer la proximité idéologique avec une informelle « nébuleuse » ; mais quand on veut, comme ici, continuer à trouver brave, discipliné et honnête un groupe qui a pourtant tous les traits d’Al-Qaida, on dit qu’on n’a pas trouvé de document écrit prouvant un « lien organique » avec un bunker de commandement centralisé ultra-moderne creusé dans une grotte de la montagne afghane. Ce qui est bien pratique.

    • http://angryarab.blogspot.com/2013/03/angry-arab-interviews-aron-lund-on.html

      Jabhat An-Nusrah: how many variants of it exist among the armed groups?

      Only one Jabhat el-Nosra, if by that you refer to a large al-Qaida franchise. You also have some radical groups of Syrians and foreign fighters who seem to share the same basic salafi-jihadi ideology (like Kataeb el-Muhajerin or the Mujahedin Shoura Council), but they’re tiny by comparison.
      Then you have other Islamist groups who are also ultraconservative and Sunni-sectarian, but more connected to mainstream salafi thinking in the Gulf etc, and not specifically to the salafi-jihadi criminal undergound. They don’t seem to be linked to al-Qaida in the same fashion either, and try to distance themselves a little from the most radical jihadi stuff. These factions include Ahrar el-Sham and the other factions within the Syrian Islamic Front."

  • Relents tunisiens d’ACTA | Sabine Blanc (Owni)
    http://owni.fr/2012/11/15/relents-tunisiens-d-acta

    Le Parti Pirate tunisien et ses amis sont mobilisés contre l’inscription de la propriété intellectuelle dans la Constitution. Cet été, une campagne soutenue par le Département d’État américain, alertait les citoyens contre les « dangers » de la contrefaçon. Source : Owni

  • Retour sur Ground Zero
    par Pepe Escobar, Traduction [JFG-QuestionsCritiques]
    http://questionscritiques.free.fr/edito/AsiaTimesOnline/Pepe_Escobar/11_septembre_2001_questions_sans_reponses_turbo-capitalisme_

    Lorsque j’avais interviewé le Lion du Panshir, Ahmed Shah Massoud, fin août 2001 - seulement deux semaines avant son assassinat, le 9 septembre, le feu vert pour le 11/9 - il était convaincu que les Etats-Unis n’envahiraient pas l’Afghanistan pour attraper « Geronimo ». ( voir Masoud : From warrior to statesman, Asia Times Online, September 12, 2001.)

    Ce que Massoud ne savait pas, alors, était ce qui s’était passé le 2 août à Islamabad, lorsque la négociatrice du Département d’Etat US, Christine Rocca, avait répété, sans équivoque, pour la dernière fois à l’ambassadeur Taliban auprès du Pakistan, Abdul Salam Zaïf : « Soit vous acceptez notre offre d’un tapis d’or, soit nous vous enterrons sous un tapis de bombes ». L’offre concernait le « Pipelineistan » - un tapis d’or pour les Taliban en échange des droits de transit pour la construction par UNOCAL du pipeline TAP (Turkménistan/Afghanistan/Pakistan).

    Déjà, avant même l’offre finale de Rocca, l’administration de George W. Bush - à la réunion du G8 à Gênes, en Italie, en juillet - avait déjà secrètement informé les Européens, plus le Pakistan et l’Inde, que Washington commencerait à bombarder l’Afghanistan à partir d’octobre. C’était plusieurs semaines avant que le « Pearl Harbor », très cher aux néo-cons[ervateurs], ne soit envoyé par la Providence sous la forme du 11/9.

    Le trucage des combattants de la liberté

    Onze ans plus tard, les sténographes légendaires de l’Empire encouragent désormais avec enthousiasme ... al-Qaïda (qu’y a-t-il de nouveau ?). L’administration de Barack Obama - mettant en suspens la terminologie sur la « guerre contre la terreur » et orwellinisant ses méthodes - a travaillé côte à côte avec le Groupe des combattants libyens lié à al-Qaïda pour renverser Moummar Kadhafi en Libye ; et, côte à côte avec la Maison des Saoud, il soutient un chapelet de djihadistes salafistes de la variété al-qaïdesque pour renverser le régime de Bachar el-Assad en Syrie.[5]