organization:national aeronautics and space administration

  • NASA just made a stunning discovery about how fracking fuels global warming – ThinkProgress
    https://thinkprogress.org/nasa-study-fracking-global-warming-0fa0c5b5f5c7

    A new NASA study is one final nail in the coffin of the myth that natural gas is a climate solution, or a “bridge” from the dirtiest fossil fuels to low-carbon fuels like solar and wind.

    NASA found that most of the huge rise in global methane emissions in the past decade is in fact from the fossil fuel industry–and that this rise is “substantially larger” than previously thought. And that means natural gas is, as many earlier studies have found, not a climate solution.

    Selon les chercheurs, les émissions industrielles de #méthane sont 100 fois plus élevées que celles rapportées…
    https://trustmyscience.com/emissions-industrielles-methane-100-fois-plus-elevees-que-estimation

    L’équipe de recherche a équipé une voiture Street View de Google avec un capteur de méthane à haute précision et a découvert que les émissions de méthane des usines d’engrais à l’ammoniac sont 100 fois supérieures aux estimations autodéclarées de l’industrie des engrais.

    Ces émissions sont donc bien supérieures aux estimations de l’Environmental Protection Agency (#EPA) concernant TOUS les processus industriels aux #États-Unis. « Nous avons pris le cas d’une petite industrie dont la plupart des gens n’ont jamais entendu parler et avons découvert que ses émissions de méthane étaient trois fois supérieures que ce que l’EPA supposait être émis par la production industrielle totale aux États-Unis », a déclaré John Albertson, co-auteur et professeur des droits civils et génie de l’environnement. « Cela nous montre qu’il y a un énorme écart entre les estimations divulguées au grand public, et les mesures du monde réel », a-t-il ajouté.

    Au cours de ces dernières années, l’utilisation du #gaz_naturel a augmenté, notamment grâce à l’amélioration de l’efficacité de l’extraction du gaz et également car il est généralement pensé que le gaz naturel est un #combustible_fossile « moins nocif » à utiliser. « Mais le gaz naturel est principalement constitué de méthane, qui, molécule après molécule, possède un potentiel de réchauffement planétaire supérieur à celui du dioxyde de carbone », a déclaré Albertson. « La présence d’émissions ou de fuites importantes en tout point de la chaîne d’approvisionnement pourrait faire du gaz naturel un facteur plus important de changement climatique qu’on ne le pensait auparavant », a-t-il ajouté.

    #climat #énergie

  • Maudits gazons - Le Monolecte
    https://blog.monolecte.fr/2019/06/30/maudits-gazons

    Je ne crois pas qu’il existe quelque chose de plus stupide qu’une tondeuse à gazon. En dehors d’une piscine individuelle. Ou d’une voiture (encore que…). Le genre d’engin qui coute un bras à l’achat, qui ne sert à rien 99 % du temps, qui ne t’apporte aucun plaisir à l’usage et qui est prévu pour te pourrir la vie jusqu’à te claquer dans les pattes de la manière la plus contrariante possible.

  • La Nasa a été piratée par un mini-ordinateur à 35 dollars
    http://www.lefigaro.fr/flash-actu/la-nasa-a-ete-piratee-par-un-mini-ordinateur-a-35-dollars-20190624

    Un hacker a infiltré le réseau informatique d’un centre de la Nasa l’an dernier, forçant l’agence spatiale américaine à déconnecter temporairement des systèmes de contrôle des vols spatiaux du centre affecté.

    L’attaque a commencé en avril 2018 et s’est poursuivie pendant près d’un an dans les réseaux du mythique Jet Propulsion Laboratory (JPL) à Pasadena en Californie, a révélé l’inspecteur général de la Nasa dans un rapport publié le 18 juin.

    L’assaillant a utilisé pour son méfait un mini-ordinateur coûtant 35 dollars et baptisé Raspberry Pi, de la taille d’une carte de crédit et qui se branche sur les télévisions. Il est surtout utilisé par des enfants des pays en développement pour apprendre à coder. Le Raspberry Pi en question s’était connecté sans autorisation au système du JPL.
    Environ 500 mégaoctets de données ont été dérobés, selon le rapport.

    Le vol inclut deux fichiers confidentiels dont un contenant des données scientifiques obtenues par le rover Curiosity qui se trouve sur Mars. Un autre concernait des données couvertes par la loi de contrôle à l’export de technologies pouvant être utilisées militairement.

    « De façon plus importante, l’assaillant a réussi à s’introduire dans deux des trois réseaux principaux du JPL », révèle le rapport.
    Cette faille a fait craindre à la Nasa que le hacker puisse passer du centre de Californie à d’autres centres ailleurs dans le pays, notamment le centre spatial Johnson à Houston, où se trouve la salle de contrôle pour la Station spatiale internationale et les vols habités américains.

    Finalement, « Houston » s’est déconnecté du portail du JPL afin d’éviter toute contamination. En mars, le centre ne s’était toujours pas pleinement reconnecté.

    • Comme Benjamin S. @vincib, j’ai tiqué sur la phrase « Il [le RP pas cher à 35 USD] est surtout utilisé par des enfants des pays en développement pour apprendre à coder ». D’abord mon petit-fils l’utilise chez Codecodecodec à Paris pour apprendre à coder, et puis dans les PED les enfants et les jeunes qui ont accès à la pratique du code sont privilégiés, et donc ils codent sur du matos normal.

  • The most expensive hyphen in history
    https://www.fastcompany.com/90365077/the-most-expensive-hyphen-in-history

    Bugs, bugs bugs

    By Charles Fishman4 minute Read

    This is the 18th in an exclusive series of 50 articles, one published each day until July 20, exploring the 50th anniversary of the first-ever Moon landing. You can check out 50 Days to the Moon here every day.

    In the dark on Sunday morning, July 22, 1962, NASA launched the first-ever U.S. interplanetary space probe: Mariner 1, headed for Venus, Earth’s neighbor closer to the Sun.

    Mariner 1 was launched atop a 103-foot-tall Atlas-Agena rocket at 5:21 a.m. EDT. For 3 minutes and 32 seconds, it rose perfectly, accelerating to the edge of space, nearly 100 miles up.

    But at that moment, Mariner 1 started to veer in odd, unplanned ways, first aiming northwest, then pointing nose down. The rocket was out of control and headed for the shipping lanes of the North Atlantic. Four minutes and 50 seconds into flight, a range safety officer at Cape Canaveral—in an effort to prevent the rocket from hitting people or land—flipped two switches, and explosives in the Atlas blew the rocket apart in a spectacular cascade of fireworks visible back in Florida.

    The Mariner 1 probe itself was blown free of the debris, and its radio transponder continued to ping flight control for another 67 seconds, until it hit the Atlantic Ocean.

    This was the third failed probe in 1962 alone; NASA had also launched two failed probes to the Moon. But the disappointment was softened by the fact that a second, identical Mariner spacecraft (along with an identical Atlas-Agena rocket) were already in hangers at the Cape, standing by. Mariner 2 was launched successfully a month later and reached Venus on December 14, 1962, where it discovered that the temperature was 797º F and that the planet rotated in the opposite direction of Earth and Mars. The Sun on Venus rises in the West.

    It was possible to launch Mariner 1’s twin just 36 days after the disaster because it took scientists at NASA’s Jet Propulsion Laboratory only five days to figure out what had gone wrong. In handwritten computer coding instructions, in dozens and dozens of lines of flight guidance equations, a single letter had been written incorrectly, probably forgetfully.

    In a critical spot, the equations contained an “R” symbol (for “radius”). The “R” was supposed to have a bar over it, indicating a “smoothing” function; the line told the guidance computer to average the data it was receiving and to ignore what was likely to be spurious data. But as written and then coded onto punch cards and into the guidance computer, the “R” didn’t have a bar over it. The “R-bar” became simply “R.”

    As it happened, on launch, Mariner 1 briefly lost guidance-lock with the ground, which was not uncommon. The rocket was supposed to follow its course until guidance-lock was re-achieved, unless it received instructions from the ground computer. But without the R-bar, the ground computer got confused about Mariner 1’s performance, thought it was off course, and started sending signals to the rocket to “correct” its course, instructions that weren’t necessary—and weren’t correct.

    Therefore “phantom erratic behavior” became “actual erratic behavior,” as one analyst wrote. In the minute or so that controllers waited, the rocket and the guidance computer on the ground were never able to get themselves sorted out, because the “averaging” function that would have kept the rocket on course wasn’t programmed into the computer. And so the range safety officer did his job.

    A single handwritten line, the length of a hyphen, doomed the most elaborate spaceship the U.S. had until then designed, along with its launch rocket. Or rather, the absence of that bar doomed it. The error cost $18.5 million ($156 million today).

    In the popular press, for simplicity, the missing bar became a hyphen. The New York Times front-page headline was “For Want of a Hyphen Venus Rocket Is Lost.” The Los Angeles Times headline: “‘Hyphen’ Blows Up Rocket.” The science fiction writer Arthur C. Clarke, in his 1968 book The Promise of Space, called it “the most expensive hyphen in history.”

    For NASA’s computer programmers, it was a lesson in care, caution, and testing that ended up steeped into their bones. During 11 Apollo missions, more than 100 days total of spaceflight, the Apollo flight computers performed without a single fault.

    But what happened to Mariner 1 was, in fact, an arresting vulnerability of the new Space Age. A single missing bolt in a B-52 nuclear bomber wasn’t going to bring down the plane, but a single inattentive moment in computer programming—of the sort anyone can imagine having—could have a cascade of consequences.

    George Mueller was NASA’s associate administrator for manned spaceflight from 1963 to 1969, the most critical period for Apollo’s development. Just before that, Mueller had been an executive at Space Technology Laboratories, which had responsibility for writing the guidance equations for Mariner 1, including the equation with the missing bar.

    During his years at NASA, Mueller kept a reminder of the importance of even the smallest elements of spaceflight on the wall behind his desk: a framed image of a hyphen.

    #Histoire_numerique #Nasa #Mariner

  • Comment Apollo et la NASA ont hypnotisé le monde
    https://www.dedefensa.org/article/comment-apollo-et-la-nasa-ont-hypnotise-le-monde

    Comment Apollo et la NASA ont hypnotisé le monde

    De mauvais plaisants mettent en doute notre alunissage consacré par la télé. On se demande comment les américains qui utilisent des moteurs russes en ce moment, ont pu il y a cinquante ans et sans « technologie » (défense de rire) ou presque, envoyer trente lascars sur la lune.

    Comme on a peur des insultes et des menaces, on reprend alors Guénon sur cette capacité hallucinatoire du monde moderne et de amers ricains qui nous mènent en enfer :

    « … à ce titre, cela joue un rôle des plus importants dans l’arsenal de formules dont les « dirigeants » contemporains se servent pour accomplir la singulière œuvre de suggestion collective sans laquelle la mentalité spécifiquement moderne ne saurait subsister bien longtemps. À cet égard, nous ne croyons pas qu’on ait (...)

  • Spatial militaire, la France passerait-elle à l’offensive ?
    https://www.latribune.fr/entreprises-finance/industrie/aeronautique-defense/spatial-militaire-la-france-passerait-elle-a-l-offensive-819012.html


    Quelles armes du futur pour la France dans l’espace
    © NASA NASA / Reuters

    Face à aux menaces dans l’espace, la France pourrait changer de doctrine. Dans un contexte de légitime défense, elle pourrait passer en mode offensif. Ce sera l’un des thèmes abordés lors du Paris Air Forum, organisé par La Tribune et qui se déroulera le 14 juin à la Maison de la Mutualité. Le général Michel Friedling Commandant du Commandement interarmées de l’espace, Caroline Laurent, la directrice de la Stratégie de la DGA, Stéphane Trompille, député de l’Ain et membre de la commission de la défense nationale et des forces armées et, enfin, Riadh Cammoun, VP Public and Regulatory Affairs de Thales Alenia Space débattront sur le thème « Spatial militaire, quelle doctrine pour la France ».

    Tic-tac, tic-tac, tic-tac... D’ici au 14 juillet, Emmanuel Macron va livrer dans un discours, qui doit faire date, la nouvelle stratégie spatiale de la France. Car le président s’intéresse de très près à ce dossier stratégique. "La France y a toujours été précurseur, y compris dans le domaine de la défense", avait-il rappelé le 13 juillet dernier dans les jardins de l’Hôtel de Brienne. "L’espace est un véritable enjeu de sécurité nationale, avait-il d’ailleurs expliqué_. C’est pourquoi je veux que nous définissions, au cours de la prochaine année, une stratégie spatiale de défense_". Tout le monde s’est donc mis au travail dans le dernier semestre 2018, a rendu la copie en fin d’année et ­attend désormais la parole présidentielle.

    Un discours était prévu en début d’année puis reporté en raison du mouvement des « Gilets Jaunes » et du Grand débat national. D’une façon générale, cette nouvelle stratégie est censée "dessiner une ambition pour nos forces armées à l’horizon 2040 avec des jalons très clairs et très cadrés de cette montée en puissance qui est proposée au président de la République", avait expliqué en décembre Hervé Grandjean, le conseiller pour les affaires industrielles au cabinet de Florence Parly. Aujourd’hui, on y est presque.

    Emmanuel Macron doit répondre à la question brûlante : la France va-t-elle changer de doctrine dans l’espace ? C’est fort possible. "La militarisation [de l’espace, ndlr] n’est pas forcément contradictoire avec les principes édictés par le Traité sur l’espace. (...) Le principe de légitime défense continue à s’appliquer", avait laissé entendre Hervé Grandjean. Faut-il rappeler également que la France a su faire évoluer ces dernières années sa doctrine dans le domaine cyber, un espace où elle ne s’interdit plus d’être offensive... Des indices qui laissent à penser que la France pourrait riposter face à des menaces venues de l’espace ou de la Terre pour détruire ou parasiter ses capacités spatiales. Car, comme l’avait affirmé à l’Assemblée nationale le chef d’état-major de l’armée de l’air (CEMAA), le général Philippe Lavigne, "si nous perdons la guerre dans l’espace, nous perdrons la guerre tout court".

  • La #5G, un danger pour l’évacuation des gens en cas de catastrophe naturelle ?
    https://www.numerama.com/tech/519206-la-5g-un-danger-pour-levacuation-des-gens-en-cas-de-catastrophe-nat

    Ce sont les patrons de l’agence spatiale (NASA) et de l’agence d’observation océanique et atmosphérique (NOAA) qui ont tiré la sonnette d’alarme, rapporte le Washington Post. Ils craignent que l’exploitation de certaines fréquences pour la 5G ne réduise les capacités de prévision météorologique de l’Amérique. Ce serait même un retour de quarante ans en arrière dans l’anticipation, dit le patron du NOAA.

    Pour un pays comme les #États-Unis, c’est particulièrement grave : le territoire est chaque année exposé aux #cyclones tropicaux qui naissent dans l’océan Atlantique et qui remontent le golfe du Mexique, ravageant au passage les Caraïbes et la côte sud-est des USA. D’une année sur l’autre, on dénombre quelques dizaines à plusieurs milliers de morts, et bien plus de déplacés.

  • La #Nasa réussit l’exploit de prendre des photos d’avions passant le #mur_du_son
    https://www.20minutes.fr/sciences/2468359-20190308-nasa-reussit-exploit-prendre-photos-passant-mur

    ... pouvoir prendre des images aussi détaillées des ondes de choc est « crucial » pour la mise au point du X-59 de la Nasa, assure encore l’agence. Cet avion expérimental supersonique, espère-t-elle, sera capable de franchir le mur du son en produisant un simple grondement.

  • The Race to Develop the Moon | The New Yorker
    https://www.newyorker.com/magazine/2019/05/06/the-race-to-develop-the-moon

    The guiding laws of space are defined by the Outer Space Treaty, from 1967, which has been signed by a hundred and eight countries, including all those with substantial space programs. “Laws that govern outer space are similar to the laws for the high seas,” Alain Berinstain, the vice-president of global development at the lunar-exploration company Moon Express, explained. “If you are two hundred miles away from the continental shelf, those waters don’t belong to anybody—they belong to everybody.” Moon Express describes the moon as the eighth continent. The company, which is based in Florida, is hoping to deliver its first lander to the moon in 2020; on board will be telescopes and the Celestis cremains. “If you look down at the waters from your ship and see fish, those fish belong to everybody,” Berinstain continued. “But, if you put a net down and pull those fish onto the deck of the ship, they’re yours. This could change, but right now that is how the U.S. is interpreting the Outer Space Treaty.”

    Individual countries have their own interpretations of the treaty, and set up their own regulatory frameworks. Luxembourg promotes itself as “a unique legal, regulatory and business environment” for companies devoted to space resources, and is the first European country to pass legislation similar to that of the U.S., deeming resources collected in space to be ownable by private entities.

    It’s not difficult to imagine moon development, like all development, proceeding less than peacefully, and less than equitably. (At least, unlike with colonization on Earth, there are no natives whose land we’re taking, or so we assume.) Philip Metzger, a planetary physicist at the University of Central Florida, said, “I’m really glad that all these countries, all these companies, are going to the moon. But there will be problems.” Any country can withdraw from the Outer Space Treaty by giving a year’s notice. “If any country feels it has a sufficient lead in space, that is a motivation to withdraw from the treaty,” he said.

    So there is a tacit space race already. On the one hand, every national space agency applauded the success of the Chang’e-4 lander. The mission had science partnerships with Germany, the Netherlands, Saudi Arabia, and Sweden. NASA collaborates with many countries in space, sharing data, communications networks, and expertise. Russian rockets bring American astronauts to the International Space Station. When, in response to economic sanctions, the head of the Russian space agency said that maybe the American astronauts could get to the I.S.S. by trampoline, the comment was dismissed as posturing. Still, NASA has contracted with Boeing and SpaceX, Elon Musk’s rocket company, to begin taking astronauts to the I.S.S. this year—which means the U.S. will no longer rely on Russia for that. Russia and China say they will work together on a moon base. NASA used to collaborate with the China National Space Administration; in 2011, six months after members of NASA visited the C.N.S.A., Congress passed a bill that effectively prohibited collaboration.

    It’s natural to want to leave the moon undisturbed; it’s also clear that humanity will disturb it. But do we need to live there? Jeff Bezos, the founder of Amazon, envisages zoning the moon for heavy industry, and Earth for light industry and residential purposes. Bezos’s company Blue Origin is developing reusable rockets intended to bring humans reliably back and forth from space, with the long-term goal of creating manufacturing plants there, in zero gravity. Earth would be eased of its industrial burden, and the lower-gravity conditions would be beneficial for making certain goods, such as fibre-optic cables.

    “There’s the argument that we’ve destroyed the Earth and now we’re going to destroy the moon. But I don’t see it that way,” Metzger said. “The resources in space are billions of times greater than on Earth. Space pretty much erases everything we do. If you crush an asteroid to dust, the solar wind will blow it away. We can’t really mess up the solar system.”

    #Espace #Communs #Tragédie_communs #Idéologie_californienne #Géopolitique

  • #Nasa : Victime d’une #fraude, l’agence spatiale a acheté des pièces défectueuses pour ses fusées pendant des années
    https://www.20minutes.fr/monde/2509431-20190502-nasa-victime-fraude-agence-spatiale-achete-pieces-defectu

    La Nasa aurait trouvé le responsable de l’échec de deux missions effectuées en 2009 et 2011. L’entreprise américaine Sapa Profiles Inc lui aurait vendu frauduleusement des pièces en #aluminium défectueuses.

    Pendant 19 ans, des responsables de cette société, qui s’appelle aujourd’hui Hydro Extrusion Portland Inc., auraient « falsifié des milliers de documents de certification de pièces en aluminium destinées à des centaines de clients », a affirmé ce mardi la Nasa dans un communiqué.

  • La vitesse d’expansion de l’univers dépasse toutes les prévisions
    https://www.nationalgeographic.fr/espace/2019/04/la-vitesse-dexpansion-de-lunivers-depasse-toutes-les-previsions
    https://www.nationalgeographic.fr/sites/france/files/styles/desktop/public/01-hubble-heic1301a.jpg?itok=nkGXfdYv

    Si la vitesse d’expansion de l’univers est réellement supérieure à nos attentes, alors il faudra établir de nouvelles théories physiques pour expliquer cette divergence. L’énergie noire est-elle plus exotique ou plus chargée en énergie que nous ne le pensions ? La matière noire est-elle plus complexe que nos prévisions ? Existe-t-il un autre type de particule non visible dans l’univers comme les neutrinos stériles qui interagissent avec d’autre type de matière uniquement par la gravité ?

    Et si notre grand livre des comptes cosmiques était vraiment dans le rouge, il faudrait alors s’adresser à un comptable externe et il se pourrait qu’il arrive bientôt. En 2017, des scientifiques ont détecté des ondes gravitationnelles, des vibrations de l’espace-temps et une projection de lumière suite à la collision de deux étoiles à neutrons. Ce relevé historique a permis aux astronomes de déduire une estimation de la constante de Hubble indépendante. Pour le moment, cette valeur s’intercale pile entre les estimations de Planck et celles obtenues grâce à l’échelle des distances cosmiques.

    • http://hubblesite.org/news_release/news/2019-25

      Astronomers using NASA’s Hubble Space Telescope say they have crossed an important threshold in revealing a discrepancy between the two key techniques for measuring the universe’s expansion rate. The recent study strengthens the case that new theories may be needed to explain the forces that have shaped the cosmos.

      A brief recap: The universe is getting bigger every second. The space between galaxies is stretching, like dough rising in the oven. But how fast is the universe expanding? As Hubble and other telescopes seek to answer this question, they have run into an intriguing difference between what scientists predict and what they observe ...

  • NASA InSight captures the first ever sounds of a marsquake
    https://massivesci.com/notes/nasa-insight-captures-the-first-ever-sounds-of-a-marsquake

    On the 128th sol (Martian day) of its mission, NASA’s InSight rover, using its seismometer pictured above, has captured evidence of an earthquake on Mars. Er, uh, a marsquake. iframe width="480" height="270"...

  • #SpaceX : mystérieux incident sur la capsule #Crew Dragon_lors d’un test au sol
    https://www.latribune.fr/entreprises-finance/industrie/aeronautique-defense/spacex-mysterieux-incident-lors-d-un-test-sur-la-capsule-crew-dragon-81491


    "Les essais initiaux (de Crew Dragon, ndlr) se sont déroulés normalement, mais l’essai final s’est terminé en anomalie sur le site d’essai", a seulement indiqué un porte-parole de SpaceX.
    Crédits : STEVE NESIUS

    Censée transporter des astronautes américains dans l’espace, la capsule Crew Dragon de SpaceX a subi un incident mystérieux que la NASA n’a pas souhaité commenter.

    Que s’est-il vraiment passé à Cap Canaveral ? Un mystérieux incident s’est produit samedi lors d’un test au sol de la capsule Crew Dragon de SpaceX, censée transporter des astronautes américains dans l’espace d’ici à la fin de l’année, ont annoncé SpaceX et la Nasa. « SpaceX a mené une série de tests de moteurs sur notre véhicule d’essai Crew Dragon sur notre site d’essai de Cap Canaveral », a indiqué un porte-parole de SpaceX. « Les essais initiaux se sont déroulés normalement, mais l’essai final s’est terminé en #anomalie sur le site d’essai ».

    S’agit-il d’une explosion ? Le porte-parole, tout comme la NASA, se sont refusés à tout autre commentaire. Mais un photographe du site Florida Today a photographié un nuage de fumée noire au-dessus de Cap Canaveral samedi. Le patron de la NASA, Jim Bridenstine, a seulement indiqué que la NASA avait été informée de « l’anomalie ». « C’est pour cette raison que nous faisons des tests. Nous en tirerons les leçons et ferons les ajustements nécessaires afin que le programme de vols commerciaux avance en toute sécurité », a-t-il précisé dans un tweet.

    Crew Dragon a effectué un test grandeur nature dans l’espace en mars, réalisant un aller-retour non habité de près d’une semaine vers la Station spatiale internationale. Ce succès semblait assurer que le premier vol habité aurait lieu avant la fin de cette année. La capsule est équipée de huit propulseurs (nommés SuperDraco) qui servent de système de secours en cas d’urgence : par exemple, si la fusée qui la lance a un problème, la capsule s’en détache à grande vitesse grâce à ses propulseurs, afin de faire revenir les astronautes sur Terre sains et saufs. Les moteurs sont imprimés en 3D.

    La NASA compte sur la capsule Dragon de SpaceX et celle de Boeing, Starliner, pour assurer le transport de ses astronautes vers l’ISS, confiés depuis 2011 à la Russie.

  • How to Hire a Python Developer With Right Skill Set?
    https://hackernoon.com/how-to-hire-a-python-developer-with-right-skill-set-764a12cc5b4f?source=

    Bram Cohen has beautifully crafted Python language in a nutshell, as “simple, clean syntax, object encapsulation, good library support and optional named parameters”.Hence hiring a Python developer is the best approach for any company where it has a huge potential to grow any business to a great extent. Some of the pioneers in the technology industry like YouTube, Reddit, NASA, PayPal, Spotify, Quora etc are the popular projects that are built using Python language. Hire a python developer to get benefited from the compelling features of the Python program.Why Python is a preferable language among the companies?In the era of Artificial Intelligence and Machine Learning certain programming languages always have a standard demand in the market irrespective of the evolution of other niche (...)

    #hire-python-developers #python-programming #python-web-development #hire-python-programmers #python-web-developer

  • La Chine se lance aussi dans la chasse aux astéroïdes
    https://www.latribune.fr/economie/international/la-chine-se-lance-aussi-dans-la-chasse-aux-asteroides-814775.html


    DR

    La Chine a annoncé à son tour jeudi le lancement d’une sonde vers un astéroïde, dans le sillage d’expéditions similaires lancées ces dernières années par l’Europe, les Etats-Unis et le Japon.

    La mission, qui doit durer 10 ans, est à destination de l’astéroïde 2016 H03, un minuscule corps céleste de 41 mètres de diamètre qui évolue au plus près à 5,2 millions de km de la Terre, a annoncé l’agence spatiale chinoise.

    La sonde sera chargée de rapporter des échantillons du sol de l’astéroïde, a expliqué devant la presse le directeur du Centre d’exploration et d’ingénierie spatiale, Liu Jizhong, sans donner de date pour le lancement de la mission.

    L’engin se divisera en deux lors de son retour vers la Terre : une capsule transportant les échantillons regagnera le sol terrestre, tandis qu’un autre module se dirigera vers un autre objet céleste encore plus lointain, la comète 133P, distante de plus de 300 millions de km de notre planète.

  • News | NASA’s Cassini Reveals Surprises with Titan’s Lakes
    https://www.jpl.nasa.gov/news/news.php?feature=7378


    This near-infrared, color view from Cassini shows the sun glinting off of Titan’s north polar seas.
    Image credit: NASA/JPL-Caltech/Univ. Arizona/Univ. Idaho

    On its final flyby of Saturn’s largest moon in 2017, NASA’s Cassini spacecraft gathered radar data revealing that the small liquid lakes in Titan’s northern hemisphere are surprisingly deep, perched atop hills and filled with methane.

    The new findings, published April 15 in Nature Astronomy, are the first confirmation of just how deep some of Titan’s lakes are (more than 300 feet, or 100 meters) and of their composition. They provide new information about the way liquid methane rains on, evaporates from and seeps into Titan - the only planetary body in our solar system other than Earth known to have stable liquid on its surface.

  • https://www.lemonde.fr/sciences/article/2019/04/13/jeu-des-differences-chez-les-jumeaux-astronautes_5449622_1650684.html

    Après 340 jours dans l’espace, Scott Kelly et son jumeau resté sur Terre ne sont plus les mêmes

    La NASA a comparé Scott Kelly, qui a séjourné à bord de la Station spatiale internationale, à son frère Mark. Des observations qui confirment les risques liés à l’exploration spatiale.

  • En #Colombie, le long bras de fer entre les Indiens et le gouvernement
    https://www.lemonde.fr/planete/article/2019/04/08/en-colombie-le-long-bras-de-fer-entre-les-indiens-et-le-gouvernement_5447216

    Samedi 6 avril, les bulldozers sont entrés en action pour déblayer la route panaméricaine bloquée depuis vingt-sept jours entre les villes de Cali et de Popayan, dans le sud-ouest de la Colombie. La veille, les envoyés de Bogota et les représentants des communautés indiennes du département du Cauca étaient arrivés à un accord dans le hameau de Mondomo. Aux abords de la voie, les #Indiens ont commencé à emballer leurs casseroles et à démonter les bâches en plastique qui leur ont servi de tentes pendant plus de trois semaines.

    « Si le président Ivan Duque ne tient pas ses promesses, on reviendra », avertit Jeson, un jeune de la communauté Nasa.

    #paywall... #amérindiens #peuples_autochtones #contestation

  • Debris from India’s anti-satellite test could put the space station at risk, says NASA - MIT Technology Review
    https://www.technologyreview.com/the-download/613256/debris-from-indias-anti-satellite-test-could-put-the-space-station

    The blast destroyed a satellite but also created 400 pieces of debris, threatening the safety of astronauts on the International Space Station, NASA administrator Jim Bridenstine said.

    The controversial launch: Last week India announced it had shot down one of its own satellites, thus joining the group of four “space powers” (including Russia, China, and the US). It seems to have been an attempt at a show of strength ahead of an upcoming election this month.

    The impact: Unfortunately, by breaking up the satellite, India added significantly to the growing problem of space junk. Bridenstine said that the 400 pieces of debris included about 60 trackable pieces that are at least 10 centimeters in size, the New York Times reported. It’s also put people in danger, he said. The satellite itself was destroyed at the fairly low altitude of 180 miles (300 kilometers) but 24 of the pieces of debris have reached a point higher than the ISS, which orbits at an altitude of 254 miles (408 km).

    Strong words: “That is a terrible, terrible thing, to create an event that sends debris at an apogee that goes above the International Space Station,” Bridenstone said in a recorded meeting with NASA staff yesterday. “That kind of activity is not compatible with the future of human spaceflight. It’s unacceptable and NASA needs to be very clear about what its impact to us is.”

    #Espace #Militarisation #Communs #Débris

  • Google employees are lining up to trash Google’s AI ethics council - MIT Technology Review
    https://www.technologyreview.com/s/613253/googles-ai-council-faces-blowback-over-a-conservative-member

    un élément intéressant et à prendre en compte : les deux personnes visées sont également les deux seules femmes de ce comité d’experts. Choisies stratégiquement par Google pour faire jouer l’avantage genre, ou cibles plus évidentes des protestataires parce que femmes ?

    En tout cas, la place que la Heritage Foundation (droite dure et néo-management) prend dans l’espace mental des Etats-Unis, notamment dans le domaine technologique, est à suivre de près.

    Almost a thousand Google staff, academic researchers, and other tech industry figures have signed a letter protesting the makeup of an independent council that Google created to guide the ethics of its AI projects.
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    The search giant announced the creation of the council last week at EmTech Digital, MIT Technology Review’s event in San Francisco. Known as the Advanced Technology External Advisory Council (ATEAC), it has eight members including economists, philosophers, policymakers, and technologists with expertise in issues like algorithmic bias. It is meant to hold four meetings a year, starting this month, and write reports designed to provide feedback on projects at the company that use artificial intelligence.

    But two of those members proved controversial. One, Dyan Gibbens, is CEO of Trumbull, a company that develops autonomous systems for the defense industry—a contentious choice given that thousands of Google employees protested the company’s decision to supply the US Air Force with AI for drone imaging. The greatest outrage, though, has come over the inclusion of Kay Coles James, president of the Heritage Foundation, a think tank that opposes regulating carbon emissions, takes a hard line on immigration, and has argued against the protection of LGBTQ rights.

    One member of the council, Alessandro Acquisti, a professor at Carnegie Mellon University who specializes in digital privacy issues, announced on March 30th that he wouldn’t be taking up the role. “While I’m devoted to research grappling with key ethical issues of fairness, rights & inclusion in AI, I don’t believe this is the right forum for me to engage in this important work," he tweeted.

    The creation of ATEAC—and the inclusion of Gibbens and James—may in fact have been designed to appease Google’s right-wing critics. At roughly the same time the council was announced, Sundar Pichai, Google’s CEO, was meeting with President Donald Trump. Trump later tweeted: “He stated strongly that he is totally committed to the U.S. Military, not the Chinese Military. [We] also discussed political fairness and various things that Google can do for our Country. Meeting ended very well!”

    But one Google employee involved with drafting the protest letter, who spoke on condition of anonymity, said that James is more than just a conservative voice on the council. “She is a reactionary who denies trans people exist, who endorses radically anti-immigrant positions, and endorses anti-climate-change, anti-science positions.”

    Some noted AI algorithms can reinforce biases already seen in society; some have been shown to misidentify transgender people, for example. In that context, “the fact that [James] was included is pretty shocking,” the employee said. “These technologies are shaping our social institutions, our lives, and access to resources. When AI fails, it doesn’t fail for rich white men working at tech companies. It fails for exactly the populations that the Heritage Foundation’s policies are already aiming to harm.”

    Messages posted to a Google internal communications platform criticized the appointment of James especially. According to one post, earlier reported by the Verge and confirmed by the employee, James “doesn’t deserve a Google-legitimized platform, and certainly doesn’t belong in any conversation about how Google tech should be applied to the world.”

    As of 5:30 pm US Eastern time today the public letter, posted to Medium, had been signed by 855 Google employees and 143 other people, including a number of prominent academics. “Not only are James’ views counter to Google’s stated values,” the letter states, “but they are directly counter to the project of ensuring that the development and application of AI prioritizes justice over profit. Such a project should instead place representatives from vulnerable communities at the center of decision-making.”

    #Google #Intelligence_artificielle #Ethique #Politique_USA

  • Où va tomber le satellite à la dérive de la NASA ?
    https://www.lemonde.fr/planete/article/2011/09/23/le-point-d-impact-du-satellite-de-la-nasa-reste-inconnu_1576560_3244.html

    La NASA ne pourra donner de précisions sur le point d’impact du satellite que vingt minutes avant son entrée dans l’atmosphère. Les autorités italiennes ont demandé aux habitants du nord du pays de rester chez eux cette nuit.

    Un satellite américain hors d’usage de la taille d’un petit bus doit retomber sur terre en 26 morceaux, vendredi 23 septembre, entre 18 heures et minuit, heure française.L’orientation du satellite américain de 6,3 tonnes ayant changé, ses débris pourraient tomber aux Etats-Unis, a indiqué la NASA, tout en jugeant cette probabilité très faible. Le lieu de chute le plus probable, puisque le plus vaste, reste l’océan Pacifique.

    Sa trajectoire précise n’est toujours pas connue, la NASA ne pouvant donner davantage de précisions sur l’heure et le lieu de l’impact.Tout juste sait-on que cette pluie de débris métalliques se produira quelque part entre 57 degrés de latitude nord et 57 degrés de latitude sud, une surface couvrant la majeur partie de la planète.
    […]
    Principe de précaution ou paranoïa méditéranéenne ? Les autorités italiennes ont demandé aux habitants du nord du pays de rester chez eux dans la nuit entre vendredi et samedi, estimant que la possibilité d’impact est de 1,5 %. Les régions potentiellement à risque sont celles du nord du pays, le Piémont, la Lombardie, le Val d’Aoste, la Ligurie, le Trentin-Haut Adige, la Vénétie et la partie ouest de l’Emilie-Romagne, selon la protection civile. Dans les régions concernées, les habitants sont appelés à rester dans les étages les moins élevés et de préférence près des murs porteurs.

    La plus grande partie du satellite, nommé Upper Atmosphere Research Satellite (UARS), devrait brûler en rentrant à grande vitesse dans les couches denses de l’atmosphère terrestre. En 2002, l’agence spatiale américaine avait mené un audit sur les risques induits par la retombée du satellite. Il en découle que sur les 5 668 kg du mastodonte, 532 kg seulement pourraient survivre à l’entrée dans l’atmosphère. Soit 26 objets — dont le poids varie de 1 kg à 158 kg — parmi lesquels on compte des roues et des batteries et des réservoirs à carburant en titane totalement vide.

    L’UARS est le plus gros satellite de la NASA à retomber dans l’atmosphère depuis trois décennies et la chute de Skylab dans l’ouest de l’Australie en 1979. Mais le plus gros engin spatial à être retombé sur terre était la station spatiale soviétique Salyut 7 dont les débris ont arrosé une ville d’Argentine en 1991, sans faire de victime. Selon les experts des débris orbitaux, des objets d’une taille comparable à ceux de l’UARS retombent vers la Terre environ une fois par an. Aucun accident n’a encore été déploré.

  • India says it has just shot down a satellite in space - MIT Technology Review
    https://www.technologyreview.com/the-download/613228/india-says-it-has-just-shot-down-a-satellite-in-space

    C’en est fini de la démilitarisation de l’espace.

    Je suis en train de finir la trilogie de SF par Liu Cisun, et comme toujours, la SF nous montre comment cela peut nous conduire au pire.

    Prime Minister Narendra Modi announced the successful test in a live television broadcast to the nation, saying it now made India a space power, Reuters reports.

    Bullseye: “Some time ago, our scientists, shot down a live satellite 300 kilometers away in space, in low Earth orbit,” Modi said in an hour-long statement that was broadcast on all national TV stations. Ajay Lele, at the Institute for Defence Studies and Analyses in New Delhi, told Reuters that it was likely the satellite was destroyed using a missile that carried no warhead.

    Exclusive club: India is only the fourth country to have successfully shot down a satellite. The US, Russia, and China have all done so in the past. The US and Russia both did so in the 1980s, and China conducted its first successful test in 2007.

    Debris threat: China’s 2007 test was condemned as irresponsible when it happened as it created a massive cloud of debris of almost 3000 pieces that were big enough to be tracked by NASA. Many thousands more were too small to see. Even small pieces of debris can be hazardous for other satellites or the International Space Station. We do not yet know what has happened to the remnants of India’s satellite.

    Security fears: The satellite test comes as India is gearing up for an election and is approaching the period during which the government is not allowed to make any policy statements designed to swing votes. Issues of national security are exempt, however, and this week’s display of strength comes against the backdrop of rising tensions with neighboring Pakistan.

    #Guerre #Espace #Militarisme #Communs

  • (1) La première sortie 100% féminine dans l’espace annulée, faute de combinaison à la bonne taille - Libération
    https://www.liberation.fr/sciences/2019/03/26/la-premiere-sortie-100-feminine-dans-l-espace-annulee-faute-de-combinaiso

    Zut alors, c’est quand même ballot… Ce vendredi devait avoir lieu la première sortie dans l’espace 100% féminine de l’histoire de la station spatiale internationale (et donc de l’histoire de l’humanité tout court). Mais la Nasa a changé ses plans au dernier moment, et on a appris cette nuit que l’équipe sera finalement constituée d’un homme et d’une femme.

    Le problème ? Il n’y aura pas assez de combinaisons spatiales à la bonne taille pour vendredi. Les sorties dans l’espace – qu’on appelle « activités extra-véhiculaires » dans le métier, soit « EVA » pour faire court – sont pourtant planifiées et organisées des mois à l’avance. On avait donc prévu, pour cette petite virée hors de l’ISS, une combinaison en taille M pour l’astronaute américaine Christina Koch, et une taille L pour sa collègue Anne McClain. Elles sont bien rangées dans leur placard, prêtes à être enfilées vendredi.

    Mais Anne McClain a déjà effectué une première sortie vendredi dernier, le 22 mars. C’était la toute première EVA de sa carrière, et elle en a tiré au moins deux enseignements capitaux : d’une part, elle sait désormais comment remplacer une batterie pour les panneaux solaires de la station (une compétence assez classe en matière de bricolage), et d’autre part, la taille L est trop grande pour elle. « Anne s’était entraînée avec du M et du L, et elle pensait préférer la taille large. Mais après la sortie de vendredi, elle a décidé que la taille medium lui allait mieux », raconte Stephanie Schierholz, porte-parole de la Nasa. Et il vaut mieux se sentir à l’aise quand on doit passer six à sept heures dans le vide spatial à effectuer des manipulations minutieuses : de l’avis de tous les astronautes qui s’y sont frottés, les EVA sont éreintantes.

    L’astronaute Anne McClain lors de sa sortie extra-véhiculaire du 22 mars, qui a duré 6 heures et 39 minutes pour améliorer les capacités de stockage d’énergie de la station spatiale.L’astronaute Anne McClain dans sa combi trop grande, lors de sa sortie extra-véhiculaire du 22 mars, qui a duré 6 heures et 39 minutes pour améliorer les capacités de stockage d’énergie de la station spatiale. (Photo Nasa)

    Pour garantir à Anne McClain de bonnes conditions de travail, il faut donc revoir sa garde-robe. Ce n’est malheureusement pas aussi facile que changer de chemise : les combinaisons spatiales sont constituées de nombreuses pièces – torse, épaules, bras, gants, pantalon, casque, tableau de bord électronique… – qu’il faut assembler et ajuster entre elles, sans oublier de les inspecter et les tester pour éviter tout risque de fuite. La tâche est laborieuse, et elle n’était pas prévue dans l’emploi du temps déjà surchargé des astronautes. « Dans ce cas, il est plus facile (et plus rapide !) de changer l’équipe de sortie que de reconfigurer la combinaison », conclut Stephanie Schierholz.

    C’est donc l’astronaute Nick Hague qui enfilera la combinaison taille L de McClain toute prête à l’emploi, et la remplacera aux côtés de Christina Koch pour continuer le changement des batteries de la station. Il n’est pas prévu pour le moment de réorganiser une sortie à deux femmes : la troisième EVA de cette mission aura lieu le 8 avril et la Nasa, dans son communiqué, semble toujours compter sur une équipe formée d’Anne McClain et du Canadien David Saint-Jacques.

  • Key Greenland glacier growing again after shrinking for years, #NASA study shows
    https://www.nbcnews.com/mach/science/key-greenland-glacier-growing-again-after-shrinking-years-nasa-study-ncna98

    While this is “good news” on a temporary basis, this is bad news on the long term because it tells scientists that ocean temperature is a bigger player in glacier retreats and advances than previously thought, said NASA climate scientist Josh Willis, a study co-author. Over the decades the water has been and will be warming from man-made climate change, he said, noting that about 90 percent of the heat trapped by greenhouse gases goes into the oceans.

    “In the long run we’ll probably have to raise our predictions of sea level rise again,” Willis said.

    #glacier #climat #Groenland