organization:organisation mondiale du commerce

  • L’adhésion de la Chine à l’Organisation Mondiale du Commerce a-t-elle été une bonne chose, finalement ?
    https://fr.express.live/2018/07/31/ladhesion-de-la-chine-lorganisation-mondiale-du-commerce-t-elle-ete-une

    Lorsqu’il avait plaidé pour l’inclusion de la Chine dans l’Organisation Mondiale du Commerce au début des années 2000, le président américain …

  • Le Canada, le Mexique et l’Union européenne ripostent aux taxes américaines sur l’acier et l’aluminium
    https://www.francetvinfo.fr/monde/usa/le-canada-le-mexique-et-l-union-europeenne-ripostent-apres-les-taxes-am

    Pour le président de la Commission européenne Jean-Claude Juncker, « l’Union européenne ne peut pas rester sans réagir ». « Ce qu’ils peuvent faire, nous sommes capables de faire exactement la même chose, a-t-il assuré. Les Etats-Unis ne nous laissent pas d’autre choix que de porter ce conflit devant l’Organisation Mondiale du Commerce et d’imposer des droits de douane supplémentaires à un nombre de produits en provenance des Etats-Unis. »

    Contrairement à ce que dit le titre, l’Europe là, c’est plutôt « retenez-moi ou j’fais un malheur ». Alors que le Canada, en effet, a déjà pris ses dispositions très concrètement...

    Pourquoi nos journalistes enjolivent-ils toujours les choses quand il s’agit de parler de ceux qui (ne) prennent (pas) les décisions par chez nous ?

  • Qualifié de « criminel de guerre », l’Israélien Amir Peretz boycotté au Maroc
    9 octobre 2017 - 11h50 - Maroc
    https://www.bladi.net/amir-peretz-criminel-guerre,49703.html

    La présence de l’ancien ministre de la Défense israélien Amir Peretz au Maroc suscite indignation et colère. Pour certains, c’est un « criminel de guerre » qui ne devrait pas pouvoir rentrer au royaume.

    Ce dernier se trouvait au Maroc ce weekend pour participer à une conférence organisée par la chambre des Conseillers en partenariat avec l’Association Parlementaire Méditerranéenne (APM) et l’Organisation Mondiale du Commerce, mais celle-ci a été boycottée par de nombreux membres du parti de la Justice et du développement (PJD) et certains membres des syndicats de l’UMT et de la CDT pour protester contre sa venue et celle d’une délégation de la Knesset.

    Pour eux, il s’agit d’une « normalisation » déguisée des relations avec Israel alors que d’autres évoquent une « dangereuse infiltration » de cet ancien ministre d’origine marocaine. Né en 1952 à Bejaâd, il avait émigré vers Israel avant de devenir ministre de la Défense en 2006.

    La même année, trois avocats marocains avaient déposé une plainte contre lui , pour "crimes de guerre" au Liban, assurant que leur plainte est ""recevable"" étant donné que le responsable israélien est d’origine marocaine.

    La présence de personnalités israéliennes au Maroc fait toujours polémique. Le mois dernier, BDS (Boycott, désinvestissement et sanctions) s’était insurgé contre la présence de l’artiste Noam Vazana au Fesival Tanjazz de Tanger.

  • COP21
    L’INTERDICTION DE MANIFESTATIONS EST UN ABUS DE POUVOIR

    23 nov. 2015

    Naomi Klein, journaliste canadienne, auteure, cinéaste et militante altermondialiste considère l’interdiction de manifester pendant la conférence Climat comme un révélateur des injustices politiques actuelles. « Encore une fois, un pays occidental riche place la sécurité des élites devant les intérêts de ceux qui se battent pour leur survie. Encore une fois, le message est : notre sécurité n’est pas négociable, la vôtre ne compte pas. »

    Naomi Klein, journaliste canadienne, auteure, cinéaste et militante altermondialiste considère l’interdiction de manifester pendant la conférence Climat comme un révélateur des injustices politiques actuelles. « Encore une fois, un pays occidental riche place la sécurité des élites devant les intérêts de ceux qui se battent pour leur survie. Encore une fois, le message est : notre sécurité n’est pas négociable, la vôtre ne compte pas. »
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    Qui protège-t-on, quand on cherche à assurer la sécurité par tous les moyens nécessaires ? Et qui est sacrifié, alors que l’on pourrait faire beaucoup mieux ? Ces questions sont au coeur de la crise climatique. Les réponses sont la raison pour laquelle les sommets du Climat finissent si souvent dans l’acrimonie.

    La décision du gouvernement français d’interdire les manifestations, marches et autres « activités en extérieur » pendant le sommet du Climat est perturbante à plusieurs niveaux. Ce qui m’inquiète le plus, c’est qu’elle reflète l’injustice fondamentale de la crise climatique elle-même, et cette question centrale : qui sont les personnes dont la sécurité est considérée importante dans notre monde asymétrique ?

    La première chose à comprendre, c’est que les personnes exposées aux pires effets du dérèglement climatique ne peuvent quasiment pas se faire entendre dans le débat public occidental, quand on se demande s’il faut agir sérieusement pour empêcher un réchauffement catastrophique. Les gigantesques sommets du climat comme celui que Paris s’apprête à accueillir sont de rares exceptions. Pendant deux petites semaines, les voix de ceux qui sont touchés, en premier et le plus fort, ont un peu de place pour se faire entendre là où des décisions majeures sont prises. C’est pour cette raison que des habitants des îles du Pacifique, des chasseurs Inuits et des personnes de couleur pauvres vivant à la Nouvelle Orléans parcourent des milliers de kilomètres pour y participer. Participer à ce sommet est une précieuse occasion pour parler du dérèglement climatique du point de vue de la morale, et de mettre des visages humains sur la catastrophe en train de se produire.

    Le deuxième point important c’est que même lors de ces rares moments, les voix de ceux qui se trouvent en « première ligne » n’ont pas assez de place dans les réunions officielles, où dominent les gouvernements et les ONG les plus riches. Les voix des gens ordinaires s’expriment surtout dans les rassemblements de base qui se tiennent parallèlement au sommet, ainsi que dans les manifestations et les moments de protestation qui attirent de cette manière l’attention médiatique. Or le gouvernement français a décidé de confisquer le plus puissant de ces porte-voix, en affirmant qu’assurer la sécurité des manifestations mettrait en péril sa capacité à garantir la sécurité de la zone du sommet officiel où les dirigeants politiques vont se rencontrer.

    Certains disent que cela se justifie dans la situation de riposte contre la terreur. Mais un sommet du climat des Nations-Unies n’est pas comme une réunion du G8 ou de l’Organisation Mondiale du Commerce, où les puissants se rencontrent et ceux qui n’ont pas de pouvoir tentent de gâcher leur fête. Les évènements concomitants de la « société civile » ne sont pas un ajout ou une distraction de l’évènement principal. Elles font intégralement partie du processus. C’est pourquoi le gouvernement français n’aurait jamais dû être autorisé à décider quelle partie du sommet il annule, et quelle partie il continue d’accueillir.

    Après les épouvantables attaques du 13 novembre, il aurait plutôt dû décider s’il avait la volonté et la capacité d’accueillir tout le sommet, avec la pleine participation de la société civile, y compris dans les rues. S’il ne le pouvait pas, il aurait dû y renoncer et demander à un autre pays de le remplacer. Pourtant, le gouvernement de François Hollande a pris une série de décisions qui reflètent une échelle de valeurs et de priorités très particulières quant à qui et quoi obtient la pleine protection de sa sécurité par l’Etat. Oui aux dirigeants du monde, aux matchs de foot et aux marchés de Noël. Non aux manifestations pour le climat et aux rassemblements qui reprochent aux négociations, compte-tenu du niveau des objectifs de réduction des gaz à effet de serre, de mettre en danger la vie et les conditions de vie de millions, si ce n’est de milliards de personnes.

    Et qui sait où cela finira ? Doit-on s’attendre à ce que l’ONU révoque arbitrairement les accréditions de la moitié des participants de la société civile ? Ceux qui semblent le plus susceptible de causer de l’agitation à l’intérieur du sommet bunkerisé ? Je n’en serais pas du tout étonnée.

    Il est important de réfléchir à ce que l’annulation des manifestations et protestations signifie en réalité et au plan symbolique. Le dérèglement climatique est une crise morale car à chaque fois que les gouvernements des pays riches échouent à agir comme il le faudrait, ils envoient le message que nous, au Nord, plaçons notre confort immédiat et notre sécurité économique devant la souffrance et la survie de certains des habitants les plus pauvres et les plus vulnérables de la planète.

    La décision d’interdire les espaces les plus importants où les voix des personnes affectées par le climat auraient pu s’exprimer, est l’expression dramatique de cet abus de pouvoir profondément non éthique. Encore une fois, un pays occidental riche place la sécurité des élites devant les intérêts de ceux qui se battent pour leur survie. Encore une fois, le message est : notre sécurité n’est pas négociable, la vôtre ne compte pas.

    Un dernier point : j’écris ces lignes depuis Stockholm, où je participe à une série d’événements publics sur le climat. Quand je suis arrivée, la presse s’excitait autour d’un tweet envoyé par la ministre de l’environnement, Asa Romson. Peu après la nouvelle des attentats de Paris, elle a tweeté sa colère et sa tristesse face à ces morts. Puis, qu’elle pensait que c’était une mauvaise nouvelle pour le sommet du climat, une pensée qui a traversé l’esprit de tous ceux que je connais, et qui ont un rapport avec le sommet du climat. Pourtant, elle a été jetée au pilori à cause de son insensibilité supposée : comment pouvait-elle penser au dérèglement climatique alors que venait de se produire un tel carnage ?

    Cette réaction est révélatrice de l’idée que le changement climatique est une question mineure, une cause sans véritables victimes, un événement futile. En particulier quand les problèmes sérieux de la guerre et du terrorisme sont au centre de l’attention. Cela m’a fait penser à ce que l’auteure Rebecca Solnit a écrit récemment : « le dérèglement climatique est une violence ».

    C’est une violence. Une partie de cette violence est infiniment lente : la montée du niveau des mers qui efface peu à peu des nations, les sécheresses qui tuent des milliers de personnes. Cette violence est aussi terriblement rapide : les tempêtes qui portent les noms de Katrina et Haiyan emportent des milliers de vies en un seul instant ravageur. Quand les gouvernements et les grandes entreprises échouent en conscience à agir pour empêcher la catastrophe du réchauffement, c’est un acte de violence. C’est une violence si grande, si mondiale, et infligée à tant de périodes temporelles à la fois (cultures anciennes, vies présentes, futur potentiel) qu’il n’existe pas encore de mot capable de décrire toute cette monstruosité. Faire preuve de violence pour réduire au silence ceux qui sont le plus vulnérables à la violence climatique est une violence de plus.

    Pour expliquer pourquoi les matchs de foot se tiendraient comme prévu, le ministre français des Sports a déclaré : « la vie doit continuer ». Oui, c’est vrai. C’est la raison pour laquelle j’ai rejoint le mouvement pour la justice climatique. Parce que quand les gouvernements et les grandes entreprises échouent à prendre en compte toutes les vies sur Terre, ils doivent être contestés.

  • Naomi Klein - #COP21 : l’interdiction des manifestations est un abus de pouvoir | Édition | Le Club de Mediapart
    https://blogs.mediapart.fr/edition/les-invites-de-mediapart/article/231115/cop21-l-interdiction-des-manifestations-est-un-abus-de-pouvoir

    Le deuxième point important c’est que même lors de ces rares moments, les voix de ceux qui se trouvent en « première ligne » n’ont pas assez de place dans les réunions officielles, où dominent les gouvernements et les ONG les plus riches. Les voix des gens ordinaires s’expriment surtout dans les rassemblements de base qui se tiennent parallèlement au sommet, ainsi que dans les manifestations et les moments de protestation qui attirent de cette manière l’attention médiatique. Or le gouvernement français a décidé de confisquer le plus puissant de ces porte-voix, en affirmant qu’assurer la sécurité des manifestations mettrait en péril sa capacité à garantir la sécurité de la zone du sommet officiel où les dirigeants politiques vont se rencontrer.

    Certains disent que cela se justifie dans la situation de riposte contre la terreur. Mais un sommet du climat des Nations-Unies n’est pas comme une réunion du G8 ou de l’Organisation Mondiale du Commerce, où les puissants se rencontrent et ceux qui n’ont pas de pouvoir tentent de gâcher leur fête. Les évènements concomitants de la « société civile » ne sont pas un ajout ou une distraction de l’évènement principal. Elles font intégralement partie du processus . C’est pourquoi le gouvernement français n’aurait jamais dû être autorisé à décider quelle partie du sommet il annule, et quelle partie il continue d’accueillir.

    En quelque sorte #censure #manifestation #état_d'urgence

  • Plus de 40 ans ? Vous êtes concerné par la prochaine catastrophe social...
    http://www.express.be/business/fr/economy/plus-de-40-ans-vous-etes-menace-par-la-trappe-de-lage-moyen/203231.htm

    Alors que les dirigeants européens viennent seulement de prendre conscience de la marginalisation de plus en plus grande des jeunes actifs, un nouveau désastre social est en train d’émerger : les actifs d’âge mûr vont être les prochains laissés pour compte du progrès technologique et de la mondialisation. Ce constat, c’est celui que fait Edoardo Campanella, un économiste de la Kennedy School de l’Université de Harvard qui a également travaillé pour l’Organisation Mondiale du Commerce et conseillé le Sénat italien.

    Jusqu’à présent, les gens d’âge moyen ont été les grands gagnants du système. Ils bénéficient de contrats de travail stables, ils font partie du groupe social qui influence le plus les politiciens, et ils sont moins vulnérables aux crises économiques que leurs ainés « seniors ». D’autres facteurs, tels que les droits de douane élevés, les avantages accordés en fonction de l’âge, et les clauses qui limitent les possibilités de recours au licenciement leur ont même permis de conserver des emplois qui sont par nature condamnés à disparaître.

    En contrepartie, cette situation a favorisé la marginalisation des plus jeunes actifs. Selon l’OCDE, entre 2008 à 2012, le taux de chômage des Européens âgés de 45 à 54 ans n’a progressé « que » de 5,2% à 7,7%, alors que le taux de chômage des jeunes est passé de 15% à 21,4%.

    Mais la concurrence provenant des pays émergents et les progrès technologiques sont en train de changer la donne, affirme l’économiste. Il explique que les industries traditionnelles qui employaient les travailleurs dans la force de l’âge sont de plus en plus souvent délocalisées hors d’Europe, et que les entreprises qui les remplacent sont souvent des entreprises jeunes, à l’exemple des startups du secteur de la technologie où la majorité des employés a moins de 40 ans. Selon l’institut McKinsey, 12 inventions récentes sont appelées à refaçonner nos économies : l’internet mobile, l’automatisation du travail intellectuel, l’Internet des objets, le cloud (informatique en nuage), la robotique avancée, les véhicules sans conducteur, la génomique de nouvelle génération, le stockage de l’énergie, l’impression 3D, les matériaux avancés, l’exploration et les forages avancés et les énergies renouvelables.

    Ces innovations vont créer des opportunités d’emploi pour travailleurs les plus jeunes, et d’un autre côté, elles vont rendre les compétences de certains employés d’âge mûr obsolètes, et écarter ces travailleurs du marché du travail. En effet, les travailleurs les plus âgés ont plus de difficultés à apprendre les nouvelles compétences demandées ; ils sont aussi moins mobiles, et plus réticents à accepter de prendre les risques inhérents à la création d’entreprise.

    L’Europe, avec ses populations vieillissantes, est particulièrement concernée par ce phénomène, d’autant que ses travailleurs, habitués à des systèmes de protection sociale généreux, auront plus de mal à accepter ces nouvelles contraintes, précise Campanella. Les pays de la périphérie, qui ont souvent des secteurs publics pléthoriques qu’ils sont maintenant contraints de réduire, seront ceux où son impact sera le plus fort, car une grande partie des fonctionnaires ont plus de 40 ans. De plus, l’incapacité des Etats membres de l’euro à pouvoir dévaluer leur monnaie pour regagner de la compétitivité sur les secteurs industriels menacés risque d’aggraver cette évolution.

    L’accélération du progrès et des changements qu’il induit signifie qu’il sera de plus en plus difficile pour le législateur d’adopter simultanément les réformes structurelles nécessaires pour adapter le pays. En outre, les pays de la zone euro ne disposent pas des leviers monétaires ou fiscaux qui faciliteraient cette transition.

    Campanella prédit qu’il en résultera de l’instabilité sociale, parce que les travailleurs dans la force de l’âge seront poussés dans une « trappe de l’âge moyen » : ils seront trop vieux pour trouver du travail, mais trop jeunes pour partir en retraite, ce qui les poussera à se faire défendre par les syndicats. Ils s’opposeront ainsi aux jeunes, qui voudront défendre ce système qui leur convient, et cette polarisation pourrait remettre en cause la cohésion sociale.

    Pour l’éviter, les politiciens européens devraient :

    ✔ Développer la formation continue pour tous ;

    ✔ Développer des partenariats entre les secteurs privé et public ;

    ✔ Permettre que les salaires puissent baisser avec l’âge du travailleur pour tenir compte de l’obsolescence croissante de ses qualifications, et développer son attractivité ;

    ✔ Redéfinir le contrat social de l’Europe, pour promouvoir la solidarité intergénérationnelle et créer un système capable de fusionner la créativité des jeunes avec la sagesse des personnes d’âge mûr.

    #économie
    #social
    #catastrophe #sociale
    #trop-vieux pour #travailler, #trop-jeune pour la #retraite ..

  • Paquet de Bali
    http://survie.org/billets-d-afrique/2014/232-fevrier-2014/article/paquet-de-bali-4621

    Le 7 décembre, l’Organisation Mondiale du Commerce (OMC) a conclu une série d’accords, dite « paquet de Bali », les premiers du genre depuis 1995. La mesure phare concerne la facilitation des échanges commerciaux (c’est­-à-dire l’assouplissement des procédures douanières et la modernisation des appareils réglementaires et logistiques) qui s’appliquera à tous les Etats membres de l’OMC mais s’avèrera très coûteuse à mettre en place pour les pays les moins riches. Les #Multinationales de l’import-export, (...)

    #232_-_février_2014

    / Multinationales, #Agriculture, #Brèves_d'Afrique_et_d'ailleurs

  • L’OMC, après le FAO, sera dirigée par un brésilien
    http://www.argotheme.com/organecyberpresse/spip.php?article1759

    Depuis quatre mois la désignation d’un nouveau directeur de l’OMC [1], l’Organisation Mondiale du Commerce, était sur rails. Mardi, 7 mai, l’opération de sélection a été lancée, débouchant en fin de semaine sur le choix du brésilien Roberto Carvalho de Azevêdo, comme successeur au français Pascal Lamy qui dirigeait cette importante organisation depuis le 1er septembre 2005. Début du mois prochain, ce nouveau directeur prendra fonction, après qu’une commission dirigée par l’ambassadeur pakistanais (...) (...)

    #Monde,_informations,_actualité,_international,_politique,_relations,_diplomatie,_affaires_étrangères, #diplomatie,_sécurité,_commerce,_économie_mondiale #économie,_politique,_arts,_corruption,_opposition,_démocratie

  • La vengeance est un plat qui se télécharge froid pour Antigua et Barbuda | Korben
    http://korben.info/la-vengeance-est-un-plat-qui-se-telecharge-froid-pour-antigua.html

    Mais Antigua et Barbuda ne se sont pas laissé faire et ont poursuivi les États-Unis devant l’Organisation Mondiale du Commerce en 2005. L’OMC a alors rendu un jugement en faveur du petit pays. Mais les États-Unis ont fait leur tête de mule et n’ont jamais respecté la décision de l’OMC. En guise de sanction, l’OMC a alors autorisé en 2007, Antigua et Barbuda à s’exonérer des #copyright s, brevets et marques déposées américains jusqu’à un plafond de 21 millions de dollars par an.

  • Mondialisation agricole : fatalité ou pas ? | zorel
    http://reflets.info/mondialisation-agricole-fatalite-ou-pas

    Plus personne ne peut prétendre aujourd’hui ignorer que notre économie est globalisée, mondialisée. La mondialisation est vue comme un phénomène inéluctable, une conséquence inévitable du capitalisme, une fatalité pour certains. Rares sont ceux qui osent s’élever contre l’économie de marché qui la sous-tend. Ceux qui le font sont vite assimilés à des trublions ignares et inconscients. Pourtant, pendant la campagne présidentielle, une grande partie des Français ont démontré qu’ils se préoccupaient du sujet. Le « made in France » vanté par de nombreux candidats est souvent revenu sur la table. Mais pourquoi relocaliser ? Est-ce possible ? De quelle manière ? La mondialisation agricole : un constat alarmant Depuis la création du GATT (General Agreement on Tariffs and Trade) en 1947 puis, plus récemment, de l’OMC (Organisation Mondiale du Commerce) en 1995, le libre-échange et la libéralisation du commerce se sont vus imposés au monde agricole. L’idée initiale était de rééquilibrer les productions dans le monde et d’endiguer le problème de la faim. Nous sommes en 2012 et les problématiques sont toujours les mêmes. De là à dire que la situation s’est aggravée, il n’y a qu’un pas. Les accords internationaux sur l’agriculture ont été conclus dans les années 1990-2000 lors du (...)