organization:université de cergy-pontoise

  • Olivier Cahn : "Le #profil_social des interpellés du « Black bloc » n’a rien de nouveau"

    Alors que les premières comparutions immédiates après les affrontements du 1er-Mai ont lieu, beaucoup s’étonnent du profil social assez « bourgeois » des militants du « #Black_bloc ». Il se révèle en réalité plutôt classique.

    Qualifiés par la droite et l’extrême droite de « racailles de banlieues », les premiers militants « Black blocs » présentés en comparution immédiate après les violences du 1er-Mai présentent un tout autre profil social. Élèves à Centrale, fils et filles de chercheurs au CNRS, d’analystes financiers, etc... Il semble que ces militants appartiennent plus à la #classe_moyenne ou à la #petite_bourgeoisie qu’aux #classes_populaires. Un profil beaucoup moins étonnant qu’il n’y paraît. Olivier Cahn, enseignant-chercheur à l’Université de Cergy-Pontoise, spécialiste de l’anarchisme et du #militantisme_violent, nous livre son analyse sur les #militants du « Black bloc » et sa composition sociale.


    https://www.marianne.net/societe/olivier-cahn-le-profil-social-des-interpelles-du-black-bloc-n-rien-de-nouv
    #classe_sociale #pauvres #riches

    • Il y a eu 7 personnes mises en causes et les accusation sont « possession de sérum phy », « etre habillé en noire » (sur des photos en noire et blanc pour un blouson en fait vert...), « possession d’une écharpe ». Le seul condamné l’a été pour possession de fumigène.

      Comment affirmé des choses sur le profil sociale des black bloc à partir d’un échantillon si faible et si douteux ?

  • #Géographie et #géomatique : la #professionnalisation par la recherche
    http://cdg.revues.org/1153

    Merci à Françoise Bahoken d’avoir signalé cet article

    La pression à la professionnalisation des universités n’est pas nouvelle, mais son intensification risque de disqualifier les formations « généralistes » et en particulier l’étiquetage « recherche ». A l’inverse, la focalisation sur les savoir-faire techniques et l’employabilité directe pourrait se traduire par une « déprofessionnalisation », par la perte d’autonomie, de recul critique, l’assujettissement aux règles, etc. La géomatique pose le problème de façon accrue, l’entrée par les outils couvrant toute la géographie « appliquée » et participant aussi de l’injonction numérique au sein des universités. Il est donc nécessaire de trouver un équilibre, voire de construire des synergies entre maîtrise des outils et initiation à la recherche, savoir-faire technique et recul critique. Le Master « Géomatique appliquée aux études urbaines et aux risques » a été réorganisé en 2010 à l’Université de Cergy-Pontoise, c’est un exemple de formation « indifférenciée », de la recherche de ces synergies et de l’innovation pédagogique. La pédagogie repose sur l’interdépendance entre maîtrise pratique des outils cartographiques et géomatiques, des enjeux thématiques, théoriques et méthodologiques de l’environnement et de la gestion urbaine et la formation des étudiant.e.s par la recherche. L’objectif est que les étudiant.e.s soient à la fois en mesure d’être orateurs à une grande conférence internationale de géographie, ce qui suppose une maîtrise fine des enjeux, des théories et des méthodes de la géographie et de la géomatique en anglais, tout comme de participer activement aux mapathons et hackathons sur les données géospatiales, ce qui nécessite une maîtrise des techniques, des dernières innovations technologiques comme du paysage industriel et d’une capacité à inventer rapidement en situation. Cette démarche nécessite d’ajuster la pédagogie en continu aux changements en cours dans les pratiques sociales comme dans le tissu économique. Chaque année un nouveau projet est co-construit avec les étudiant.e.s, les collectivités et entreprises, en essayant de mettre les ressources dégagées par l’apprentissage au service de l’innovation pédagogique, de la montée en autonomie et d’une ouverture sur la société civile.

    #enseignement #savoir #recherche #visualisation

  • Uber, Airbnb, Blablacar... : l’économie de l’avenir ? Stéphane Sirot et Matthieu Lietaert Radio Campus Lille - EulBCE - Les Amis du Monde Diplomatique de Lille Janvier 2017 _
    http://www.campuslille.com/index.php/entry/uber-airbnb-blablacar-l-economie-de-l-avenir-stephane-sirot-matthieu-li

    Le lundi 16 janvier 2017, les Amis du Monde Diplomatique de Lille organisaient une conférence débat à Villeneuve d’Ascq : « Uber, Airbnb, Blablacar... : l’économie de l’avenir ? » avec la participation de Stéphane Sirot et Matthieu Lietaert.


    Enfants, on nous explique quand on sort de table qu’il ne faut jamais partir les mains vides... Ce serait dommage d’effectuer un trajet entre la salle à manger et

    la cuisine à vide, alors qu’il reste tant de vaisselle sale à ranger et qu’on est muni de bras pour la porter. Avec la Silicon Valley, dont certains ont remarqué récemment que ses entrepreneurs étaient obnubilés par les services qui pouvaient remplacer leur maman, c’est un peu pareil. On nous encourage à combler le moindre espace inoccupé et la moindre parcelle de temps mort en participant par là-même à la bonne marche de l’économie.

    Pourquoi rentrer chez soi à pied sans prendre sur son chemin un colis qu’on livrerait à un voisin ? nous demande Amazon, qui envisagerait selon le Wall Street Journal de lancer aux États-Unis le service « On my way », dans lequel les particuliers remplaceraient les entreprises de livraison pour le dernier kilomètre. Cette solution lui permettrait de réduire des frais de logistiques qui s’envolent. Pourquoi, alors qu’on roule seul dans sa voiture, ne pas accepter de prendre un collègue ou un passant qui se rend au même endroit ? nous propose Uber.

    Quoi de commun entre Uber, Airbnb, Blablacar ou Drivy ?
    Ces plateformes sont les fleurons de ce qu’on appelle l’« économie du partage » ou « collaborative ».


    Ces pratiques économiques en vogue ont été rendues possibles par les nouvelles technologies : Internet et les réseaux sociaux. Est-ce qu’elles ne représentent pas l’avenir à la fois souhaitable et inévitable, de telle façon qu’il faudrait simplement les réguler ? D’ailleurs, est-ce qu’elles ne vont pas dans le sens de l’intérêt des consommateurs : souplesse, réactivité, « convivialité », et même caractère écologique ?

    Pourtant, des problèmes importants se posent, de deux types, au moins : d’abord, quelles sont les conditions de travail et les droits de ceux qui travaillent, sans statut, pour certaines plateformes ? Il semble qu’elles font plutôt penser au passé qu’à l’avenir...

    Ensuite, une société fonctionne aussi grâce aux impôts qui permettent l’existence de services publics, qui eux-mêmes rendent possible l’activité économique. Or, qu’en est-il de ces nouvelles formes d’activité économique au regard de l’impôt ? Bref, avant de se précipiter vers tout ce qui est « moderne », « nouveau », « numérique », il faut sans doute réfléchir, examiner, faire le tri pour voir quel est le meilleur parti que l’on peut tirer des progrès techniques, des opportunités qu’ils offrent, et éviter les régressions qu’ils peuvent favoriser.

    STÉPHANE SIROT , https://fr.wikipedia.org/wiki/Stéphane_Sirot historien français, enseignant l’histoire politique et sociale du XXe siècle à l’Université de Cergy-Pontoise et l’histoire et la sociologie http://www.cevipof.com/fr/l-equipe/les-chercheurs/chercheurs-associes/bdd/equipe/211 du syndicalisme et des relations sociales https://www.franceculture.fr/personne/stephane-sirot à l’Institut d’administration des entreprises de l’Université de Nantes

    et
    MATTHIEU LIETAERT http://leblogdocumentaire.fr/webdoc-matthieu-lietaert-ou-lart-du-rebond , docteur en sciences politiques, coréalisateur du film The Brussels Business, co-fondateur de l’habitat groupé L’Echappée et co-fondateur du supermarché participatif BEES Coop , http://bees-coop.be/actualites auteur de Homo Coopérans 2.0 http://www.homo-cooperans.net – Changeons de cap vers l’économie collaborative.

    The Brussels Business de Matthieu Liétard
    https://www.youtube.com/watch?v=55U-ia9wYVk

    Le fil du débat 
- Présentation
    – 4mn30 Matthieu Lietaert
    – Une autre économie

    Historique

    Les acteurs de la mondialisation

    Les nouveaux réseaux
    
Le Libéralisme

    13 mn l’économie collaborative.
    Sur le plan politique aucun débat.

    – 23 mn Stéphane Sirot - L’économie collaborative et les sociétés salariales
    
La contre offensive contre les salariés
    
Economie collaborative et lutte des classes
1936-1946 L’évolution du salariat

    33 mn Uber, la fin du compromis fordien

    36 mn Dé-construction du salariat
    
39 mn Syndicalisme

    42 mn Prolétariat - Robotariat. Le retour au 19 ieme

    45 mn De la suppression des emplois

    48 mn Réaction du corps social
    – 51 mn Le futur, 3 solutions
    
Survie et adaptation

    Réformisme

    Retour au droit à la paresse

    – 53 mn Matthieu Lietaert - Rappel sur l’économie du partage

    – 57 mn QUESTIONS 1
    
63 mn Robotisation

    70 mn Réponses de Stéphane Sirot
    
Que peut faire le Syndicalisme ?

    Les révoltés d’UBER

    Pouvoirs politiques
    
Réaction d’UBER
    
Démembrement des droits sociaux
    
80 mn Revenu universel

    – 83 mn QUESTIONS 2

    Revenu universel

    Réponse de Matthieu Lietaert
    – Organisons la contre hégémonie
    – 91 mn Réponse de Stéphane Sirot
    
L’obsession de la notation

    De la sacralisation du travail

    – 94 mn QUESTIONS 3
    
De l’union contre UBER

    Capitalisme numérique et économie

    Economie collaborative


    99 mn Réponses

    – 101 mn QUESTIONS 4
    
Le nouvel ordre économique mondial
    
Résistance Belge aux changements des droits sociaux

    106 mn Se ré-approprier la 4 iéme révolution industrielle

    Economie collaborative et financement des services publics
    
Obsolescence programmée

    – 109 mn Réponse de Matthieu Lietaert
    
Régularisation
    – Biens communs
    – 116 mn Réponse de Stéphane Sirot
    
Utopisme, confrontation au système social dominant.

    #uber #airbnb #blablacar #Economie #Avenir #Stéphane_Sirot #Matthieu_Lietaert #Amis_du_Monde_Diplomatique #Radio #Radio_libre #Radio_Campus_Lille #Audio

  • Chauffeurs Uber : au volant avec les prolétaires 2.0, « entrepreneurs » pour 3,5 euros de l’heure
    http://www.bastamag.net/Chauffeurs-Uber-quand-les-proletaires-2-0-sont-au-volant

    Ils travaillent plus de 60 heures par semaine et gagnent moins que le Smic. Ce sont les chauffeurs VTC. Ils seraient autour de 20 000 en France. L’arrivée de la plateforme numérique Uber a suscité espoirs et vocations pour de nombreux exclus du marché du travail. Et la marque a tout fait pour attirer de nouveaux « partenaires ». Derrière les promesses d’autonomie et d’activités rémunératrices, beaucoup découvrent la précarité, le salariat déguisé sans protection sociale, l’endettement et, au final, une (...)

    #Résister

    / A la une, #Transformer_le_travail, #Conditions_de_travail, Emploi , #Ma_vie_au_travail, #Classes_populaires, Protections (...)

    #Emploi_ #Protections_sociales

    • Excellent article !

      Le lundi 16 janvier 2017, les Amis du Monde Diplomatique de Lille organisaient une conférence débat à Villeneuve d’Ascq : « Uber, Airbnb, Blablacar... : l’économie de l’avenir ? » avec la participation de Stéphane Sirot et Matthieu Lietaert.

      Pour l’écouter : http://www.campuslille.com/index.php/entry/uber-airbnb-blablacar-l-economie-de-l-avenir-stephane-sirot-matthieu-li

      Quoi de commun entre Uber, Airbnb, Blablacar ou Drivy ?
      Ces plateformes sont les fleurons de ce qu’on appelle l’« économie du partage » ou « collaborative ».

      Ces pratiques économiques en vogue ont été rendues possibles par les nouvelles technologies : Internet et les réseaux sociaux. Est-ce qu’elles ne représentent pas l’avenir à la fois souhaitable et inévitable, de telle façon qu’il faudrait simplement les réguler ? D’ailleurs, est-ce qu’elles ne vont pas dans le sens de l’intérêt des consommateurs : souplesse, réactivité, « convivialité », et même caractère écologique ? Pourtant, des problèmes importants se posent, de deux types, au moins : d’abord, quelles sont les conditions de travail et les droits de ceux qui travaillent, sans statut, pour certaines plateformes ? Il semble qu’elles font plutôt penser au passé qu’à l’avenir...
      Ensuite, une société fonctionne aussi grâce aux impôts qui permettent l’existence de services publics, qui eux-mêmes rendent possible l’activité économique. Or, qu’en est-il de ces nouvelles formes d’activité économique au regard de l’impôt ? Bref, avant de se précipiter vers tout ce qui est « moderne », « nouveau », « numérique », il faut sans doute réfléchir, examiner, faire le tri pour voir quel est le meilleur parti que l’on peut tirer des progrès techniques, des opportunités qu’ils offrent, et éviter les régressions qu’ils peuvent favoriser.

      STÉPHANE SIROT, historien français, enseignant l’histoire politique et sociale du XXe siècle à l’Université de Cergy-Pontoise et l’histoire et la sociologie du syndicalisme et des relations sociales à l’Institut d’administration des entreprises de l’Université de Nantes

      et
      
MATTHIEU LIETAERT, docteur en sciences politiques, coréalisateur du film The Brussels Business, co-fondateur de l’habitat groupé L’Echappée et co-fondateur du supermarché participatif BEES Coop, auteur de Homo Coopérans 2.0 – Changeons de cap vers l’économie collaborative.

      + Les débats des Amis du Monde Diplomatique, c’est gratuit et c’est du sérieux, on en a de la chance à Villeneuve d’Ascq.

      PREUVE A propos d’Uber, le débat auquel vous avez échappé :

      Les débats de l’ULB, avec cultures d’europe - l’ubérisation du monde va-t-elle bouleverser nos vies ?
      
C’était le 23 février 2017 à 20h au Campus du Solbosch, bâtiment K, amphithéâtre Henri La Fontaine.
      
Avec Luc Ferry, essayiste et philosophe, ancien ministre de l’Éducation nationale français.
      "Cette "infrastructure du monde" qu’est le Web a permis l’apparition d’une économie dite "collaborative", celles que symbolisent des applications comme Uber, Airbnb ou BlaBlaCar. Selon l’idéologue Jeremy Rifkin, elles annoncent la fin du capitalisme au profit d’un monde de gratuité et de souci de l’autre.
      N’est-ce pas, tout à l’inverse, vers un hyper-libéralisme, vénal et dérégulateur, que nous nous dirigeons ? Certaines perspectives ouvertes par les innovations techno-scientifiques sont enthousiasmantes, d’autres effrayantes." (L. Ferry).
      Il est urgent de débattre de ces questions qui engagent l’avenir de nos sociétés démocratiques.
      
Le débat sera animé par Guy Haarscher, philosophe et professeur émérite de l’ULB.

      Prix d’entrée : Extérieurs : 10 EUR - Membres ULB, UAE, CEPULB, Extension ULB, Seniors, Demandeurs d’emploi (sur présentation de la carte) : 5 EUR - Étudiant·e·s (sur présentation de la carte) : GRATUIT - Les tickets d’entrée sont disponibles le soir même de l’événement
Source : http://www.ulb.ac.be/debats
      _ Luc Ferry ? Sur le travail ? Ouaf ! _

    • https://www.bloomberg.com/news/articles/2017-02-28/in-video-uber-ceo-argues-with-driver-over-falling-fares

      “I don’t know if you remember me, but it’s fine,” Kamel says. The pair begin talking shop, and Kalanick explains that they’re going to cut down on the number of black cars, which will reduce competition and should be good for Kamel.

      Then Kamel says what every driver has been dying to tell Kalanick: “You’re raising the standards, and you’re dropping the prices.”

      Kalanick: “We’re not dropping the prices on black.”

      Kamel: “But in general the whole price is—”

      Kalanick: “We have to; we have competitors; otherwise, we’d go out of business.”

      Kamel: “Competitors? Man, you had the business model in your hands. You could have the prices you want, but you choose to buy everybody a ride.”

      Kalanick: “No, no no. You misunderstand me. We started high-end. We didn’t go low-end because we wanted to. We went low-end because we had to because we’d be out of business.”

      Kamel: “What? Lyft? It’s a piece of cake right there.”

      Kalanick: “It seems like a piece of cake because I’ve beaten them. But if I didn’t do the things I did, we would have been beaten, I promise.”

      The two bat that idea around, and Kamel brings the conversation back to his losses.

      Kamel: “But people are not trusting you anymore. … I lost $97,000 because of you. I’m bankrupt because of you. Yes, yes, yes. You keep changing every day. You keep changing every day.”

      Kalanick: “Hold on a second, what have I changed about Black? What have I changed?”

      Kamel: “You changed the whole business. You dropped the prices.”

      Kalanick: “On black?”

      Kamel: “Yes, you did.”

      Kalanick begins to lose his temper. “Bullshit,” he says.

      Kamel: “We started with $20.”

      Kalanick: “Bullshit.”

      Kamel: “We started with $20. How much is the mile now, $2.75?”

      Kalanick: “You know what?”

      Kamel: “What?”

      Kalanick: “Some people don’t like to take responsibility for their own shit. They blame everything in their life on somebody else. Good luck!”

      Kamel: “Good luck to you, but I know [you’re not] going to go far.”

      The door slams. Kamel drives away. Later, the Uber driver app prompts him to rate Kalanick, as he does all his riders. Kamel gives him one star.

  • Le mouvement social actuel, le point sur la CGT et le Syndicalisme français, les nuits debout, , , , Stéphane Sirot, analyse

    Stéphane Sirot, historien spécialiste du syndicalisme et du mouvement ouvrier fait le point sur la situation actuelle, Syndicats, CGT, Conflits syndicaux, Nuit debout . . . .
    Sur wikipédia :
    Stéphane Sirot est un historien français. Il est spécialiste de l’histoire et de la sociologie des grèves, du syndicalisme et des relations sociales. Il enseigne l’histoire politique et sociale du XXe siècle à l’Université de Cergy-Pontoise et l’histoire et la sociologie du syndicalisme et des relations sociales à l’Institut d’administration des entreprises de l’Université de Nantes.
    • 1884. Des syndicats pour la République, Lormont, Le Bord de l’eau, coll. « 3e culture », 2014, 114 p., ISBN 9782356873040
    • Le syndicalisme, la politique et la grève. France et Europe : XIXe-XXIe siècles, Nancy, Arbre bleu éditions, coll. « Le corps social », 2011, 360 p., ISBN 979-10-90129-00-9
    • Les syndicats sont-ils conservateurs ?, Paris, Éditions Larousse, coll. « À dire vrai », 2008, 126 p., ISBN 978-2035839718
    • La grève en France. Une histoire sociale, XIXe-XXe siècle, Paris, Éditions Odile Jacob, coll. « Histoire », 2002, 306 p., ISBN 978-2738111722
    • Maurice Thorez, Paris, Presses de Sciences Po, coll. « Facettes », 2000, 301 p., ISBN 978-2724607963
    • Histoire sociale de l’Europe : industrialisation et société en Europe occidentale, 1880-1970 (codirection avec François Guedj), Paris, Éditions Seli Arslan, coll. « Histoire, cultures et sociétés », 1998, 411 p., ISBN 978-2842760144

    C’est un extrait de l’émission : C’est l’heure de l’mettre *, sur Radio Campus Lille.

    Le lien vers l’intégrale de l’émission : http://www.campuslille.com/index.php/entry/utopie-capitaliste
    Stéphane prend la parole à la 11 iéme minute.

    #audio #radio #Radios_libres #Radio_Campus_Lille #CGT #CFDT #Nuit_debout #Syndicalisme #Histoire #Code_du_travail #Stéphane_Sirot

  • Journée spéciale « D’Alep à Calais : face à l’urgence »
    Balade radiophonique par Séverine Liatard dans l’exposition en cours au Musée national de l’histoire et des cultures de l’immigration « Frontières » avec Yvan Gastaut.
    http://www.franceculture.fr/emissions/la-fabrique-de-lhistoire/journee-speciale-dalep-calais-face-lurgence#

    Présentation par Olivier Belin du colloque international organisé par l’Université de Cergy-Pontoise, « Les éphémères et l’événement (16e-21e siècles) » qui se tiendra le 12 et 13 février 2016 aux Archives nationales (Site de Pierrefitte et de Paris) et Julien Hage pour sa contribution au colloque. Les "éphémères" sont ces petits documents du quotidien (tracts, étiquettes, affiches, prospectus…) qui fleurissent à l’occasion des événements importants et qui, comme l’an dernier lors des commémorations liées aux attentats, sont parfois conservés et patrimonialisés. Quel rôle jouent-ils dans la construction de notre histoire culturelle ?

    A l’occasion de la journée spéciale « D’Alep à Calais : face à l’urgence », balade radiophonique par Séverine Liatard dans l’exposition en cours au #Musée national de l’histoire et des cultures de l’#immigration, « #Frontières » du 10 novembre 2015 au 29 mai 2016, avec #Yvan_Gastaut, l’un des commissaires de l’#exposition.

    Chronique « Un classique, l’histoire continue » de Séverine Liatard : Saint-Louis – première parution en 1996 (éd. Folio histoire – Gallimard)

    Chronique « Un saut dans la loi » d’Amélie Meffre : un décret de 1903 sur l’usage des armes à feu pour les gendarmes
    Intervenants :

    Olivier Belin : maître de conférences en littérature française à l’Université de Cergy-Pontoise et membre du comité de rédaction de la revue en ligne Acta Fabula, en collaboration avec des historiens du livre, des historiens de l’art et des conservateurs,
    Yvan Gastaut : historien de l’époque contemporaine (XIXème-XXIème siècles), spécialiste de l’immigration, maître de conférences à l’université de Nice Sophia Antipolis.
    Julien Hage : maître de conférences au Pôle Métiers du livre de Saint-Cloud (Université de Paris Ouest Nanterre La Défense), membre du laboratoire Dispositifs d’information et de communication à l’ère numérique, spécialiste d’histoire de l’édition, livre et imprimerie

    #migration #mur #forteresse_Europe #

  • Les Inaudibles, de Nonna Mayer et Céline Braconnier on Vimeo
    https://vimeo.com/123207646

    Nonna Mayer est directrice de recherche émérite au CNRS, rattachée au Centre d’études européennes de Sciences Po. Céline Braconnier est professeure de science politique à l’Université de Cergy-Pontoise et directrice de Sciences Po Saint-Germain-en-Laye. Interview de l’une et de l’autre à propos de leur ouvrage « Les Inaudibles » sur le vote des #précaires en France, publié aux Presses de Sciences Po.

    Avant lecture... Mais pour avoir entendu Braconnier, leur taff pêche d’emblée car les auteures considèrent que le #précariat n’existe pas en raison de l’#hétérogénéité des populations/situations concernées. Or il suffit de faire un peu d’histoire pour constater que « la » classe ouvrière n’a pas eu pour principe de constitution une condition sociale homogène mais une (des) activités pratiques, théoriques communes.

  • France, Angers : Colloque Polyphonies franco-chinoises : représentations, dynamiques identitaires et didactique (27-29/11)

    Le 27, 28, 29 novembre 2014 - Colloque international et transdisciplinaire : Polyphonies franco-chinoises : représentations, dynamiques identitaires et didactique, les 27, 28 et 29 novembre à l’Université catholique de l’Ouest (UCO) à Angers.

    Evénement organisé par le LICIA (Langages, Interactions Culturelles, Identités et Apprentissages) équipe de recherche de l’UCO au CoDiRe (Université de Nantes) – EA 4643 en partenariat avec le Centre de Recherche Textes et Francophonies de l’Université de Cergy-Pontoise (CRTF) – EA 1392.

    La réflexion de ce colloque se situera à l’intersection des espaces francophone et sinophone, là où ils peuvent se croiser, se chevaucher, s’interpénétrer, voire se heurter, se rejeter...

    http://www.chinefrancophonie.com/t3096-france-angers-colloque-polyphonies-franco-chinoises-represe

  • France, Université de Cergy-pontoise : « Choisir d’écrire en français » : enjeux et perspectives, 15 octobre 2014

    Le mercredi 15 octobre 2014, L’Université de Cergy-Pontoise (Les Chênes 2, salle 214) organise une journée d’études intitulée « Choisir d’écrire en français » : enjeux et perspectives, où de jeunes chercheurs se proposent d’aborder et d’interroger le choix de certains auteurs d’écrire en français.
    Avec notamment l’intervention de Zheng Dong – Université Paris III sur Le contexte historique de la naissance des écrivains chinois francophones.

    http://www.chinefrancophonie.com/t2991-france-universite-de-cergy-pontoise-choisir-decrire-en-fran

  • La forge des possibles : Open World Forum 2011, et le FacLab

    http://www.laforgedespossibles.org/2011/09/open-world-forum-2011-et-le-faclab

    La Forge était présente dès potron-minet à la conférence de presse préparatoire de l’Open World Forum 2011, qui se tenait à l’Hôtel de Ville de Paris.

    Nous y avions été cordialement invités par Ckab / Hackable Devices (H:D pour les intimes), co-organisateur de la journée Experiment de l’Open World Forum, pour effectuer des démonstrations de MakerBot, et annoncer, tadaaaaaa !, l’ouverture prochaine de notre projet de FacLab, le FabLab de l’Université de Cergy-Pontoise. Nous aurons l’occasion d’y revenir extensivement dans un futur article, mais d’ores et déjà nous pouvons annoncer que la Forge des Possibles et l’UCP proposeront au sein du FacLab des formations (Diplômes Universitaires dans un premier temps) centrées sur la fabrication numérique, et ce dès 2012 (c’est à dire demain…).

    #La_forge_des_possibles, #FacLab, #FabLab, #Université_de_Cergy-Pontoise, #Open_World_Forum