person:abbas ibrahim

  • De la corruption à la guerre au Yémen, l’histoire secrète des chars français
    Fabrice Arfi, Médiapart
    28 septembre 2018

    https://www.mediapart.fr/tools/print/767627

    Un char Leclerc vendu aux Émirats arabes unis par la France. © Nexter
    Des documents obtenus par Wikileaks et partagés avec Mediapart, Der Spiegel et La Repubblica lèvent le voile sur un secret d’État : la corruption cachée derrière la vente de chars français aux Émirats arabes unis. Ce sont les mêmes chars qui sévissent aujourd’hui dans la guerre au Yémen, à l’origine de la pire crise humanitaire du monde, selon l’ONU.
    Les chars français utilisés depuis trois ans par les Émirats arabes unis au Yémen, dans une guerre qui a déjà fait plus de 10 000 morts (majoritairement des civils) et provoqué, selon l’ONU, la pire crise humanitaire du monde, cachent un lourd secret.

    Un secret d’État vieux d’un quart de siècle.

    Sa révélation ouvre aujourd’hui la porte sur les aveux inédits d’une corruption étatique à travers le versement, par une entreprise d’armement gouvernementale française, de 200 millions de dollars d’argent noir sur des comptes situés dans des paradis fiscaux, selon des documents obtenus par Wikileaks et partagés avec Mediapart, Der Spiegel (Allemagne) et La Repubblica (Italie), qui ont pu les authentifier par une enquête indépendante.

    Ces documents offrent une plongée rare dans les arcanes de l’un des plus gros contrats d’armement signés par la France, aujourd’hui troisième pays exportateur d’armes au monde.

    Un char Leclerc vendu par la France aux Émirats arabes unis. © DR
    Les chars Leclerc vendus au début des années 1990 par la France aux Émirats arabes unis (EAU) ont été fabriqués par l’entreprise GIAT (Groupement industriel des armements terrestres, Nexter aujourd’hui), dont l’État français est actionnaire à 100 %. Ils ont commencé à être livrés au début des années 2000, mais n’ont connu leur baptême du feu qu’en 2015, à l’occasion du déclenchement de la guerre au Yémen, comme en témoignent de nombreux écrits spécialisés (voir ici ou là).

    Depuis trois ans, des combats acharnés y opposent une rébellion houthie soutenue par l’Iran à une coalition emmenée par l’Arabie saoudite et les Émirats arabes unis, qui cherchent à conforter le président yéménite en place, Abdrabbo Mansour Hadi. Selon l’ONU, la coalition, armée notamment par la France, a « causé le plus de victimes civiles directes ». Les Nations unies évoquent de possibles crimes de guerre, rappelant que des « zones résidentielles », des « marchés » et « même des installations médicales » ont été touchées. Et d’après l’ONG Save The Children, cinq millions d’enfants sont aujourd’hui menacés de famine au Yémen à cause de la guerre.

    En son temps, le contrat de vente des chars Leclerc aux Émirats avait été qualifié par la presse française de « contrat du siècle ». Pour cause : le marché, signé le 6 avril 1993, une semaine après la formation du gouvernement Balladur, portait sur la livraison de 388 chars, 46 véhicules armés et quantité de munitions pour 3,6 milliards de dollars, montant revu légèrement à la baisse par la suite (3,2 milliards).

    Mais des négociations secrètes avaient débuté deux ans auparavant, selon les documents récupérés par Wikileaks. En janvier 1991, sous le gouvernement de Michel Rocard, l’État français a missionné, par l’intermédiaire de l’entreprise GIAT, un émissaire très introduit auprès des autorités d’Abou Dabi. Son nom : Abbas Ibrahim Yousef al-Yousef.

  • Les services irakiens et libanais démantèlent un réseau qui faisait chanter les banques libanaises - P.H.B. - L’Orient-Le Jour
    https://www.lorientlejour.com/article/1127931/les-services-irakiens-et-libanais-demantelent-un-reseau-qui-faisait-c

    Les services de renseignements irakiens ont annoncé mardi avoir démantelé, en coopération avec la Sûreté générale libanaise, un réseau qui répandait des informations erronées dans le but d’extorquer des fonds à des établissements bancaires libanais. Parmi ces derniers Bank Audi, qui avait été il y a deux semaines la cible de rumeurs de blanchiment d’argent de groupes terroristes. 

    « Les services de renseignements irakiens, en coopération avec la SG libanaise, ont découvert un réseau d’escroquerie, dont les membres publiaient des informations erronées dans le but d’extorquer de l’argent à plusieurs banques libanaises, en affirmant être en possession de documents attestant qu’ils disposaient de comptes s’élevant à des millions de dollars dans ces banques et en faisant circuler de fausses informations sur ces établissements », selon le communiqué des services de renseignements irakiens. « Il s’est avéré que ces documents étaient des faux », ajoute le communiqué, selon lequel « plusieurs membres de ce réseau ont été arrêtés ». « Les efforts se poursuivent pour appréhender les autres malfaiteurs », dans le cadre de « la poursuite des efforts visant à protéger l’économie des deux pays et maintenir les relations privilégiées » entre l’Irak et le Liban, toujours selon le texte.

    Lebanese banks return Saddam’s hidden millions to Iraqi authorities - The National
    https://www.thenational.ae/world/mena/lebanese-banks-return-saddam-s-hidden-millions-to-iraqi-authorities-1.75

    The head of Lebanon’s Association of Banks said on Thursday that the country’s financial sector had returned to Iraqi authorities nearly all money hidden in Beirut banks by officials under former dictator Saddam Hussein.

    The announcement came the day after the head of Lebanon’s General Security branch, Maj Gen Abbas Ibrahim, said that a joint operation with Iraqi authorities had prevented a $1 billion fraud scam targeting Iraqi branches of major Lebanese lenders. He announced that some suspects had been arrested.

  • L’Arabie saoudite n’a atteint aucun de ses objectifs au Liban | Middle East Eye
    http://www.middleeasteye.net/fr/opinions/l-arabie-saoudite-n-atteint-aucun-de-ses-objectifs-au-liban-312615633

    La démission de Saad Hariri aurait dû normalement provoquer la chute de son gouvernement et plonger le pays dans une vaste déstabilisation, croit savoir Amin Hoteit, professeur de droit à l’Université libanaise. Ce général à la retraite, ancien commandant en chef de l’École d’état-major de l’armée libanaise, nous déclare que « la démission devait être accompagnée d’un vaste plan de déstabilisation sécuritaire exécuté par des partis libanais, qui projetaient de manifester et de fermer des routes ».

    L’armée et les services de sécurité ont étouffé dans l’œuf toutes ces tentatives en prenant des mesures préventives comprenant le déploiement de plusieurs milliers de militaires
    Cependant, l’armée et les services de sécurité ont étouffé dans l’œuf toutes ces tentatives en prenant des mesures préventives comprenant le déploiement de plusieurs milliers de militaires et des centaines d’agents en civils dans les régions les plus sensibles, notamment dans le nord du Liban.

    Selon Amin Hoteit, des groupes palestiniens du camp d’Aïn al-Hilweh, à 40 kilomètres au sud de Beyrouth, avaient pour mission de fermer la route côtière menant à la partie méridionale du pays, le fief du Hezbollah.

    Conscient de ces dangers, le président Aoun a dépêché d’urgence, au tout début de la crise, le directeur de la Sûreté générale, Abbas Ibrahim, à Amman en Jordanie pour évoquer avec le président palestinien Mahmoud Abbas la situation dans les camps du Liban. Ce dernier a chargé son ambassadeur à Beyrouth, Achraf Dabbour, de prendre les mesures nécessaires pour colmater toute brèche sécuritaire à ce niveau.

  • Abbas Ibrahim (Sureté générale libanaise) L’homme des missions impossibles
    http://magazine.com.lb/index.php/fr/component/k2/item/17932-abbas-ibrahim-l%E2%80%99homme-des-missions-impossibles?issue_id=2

    Le général Ibrahim n’exclut pas des « événements inattendus » après la défaite de l’ex-Front al-Nosra dans le jurd de Ersal. Il ne croit pas, cependant, à une infiltration massive des terroristes dans les régions libanaises. « Le peuple libanais, aussi bien dans sa composante chrétienne que musulmane, n’est pas un terreau fertile pour le terrorisme, assure-t-il. Il y a, dans chaque chrétien libanais, une partie de culture musulmane. L’inverse est aussi vrai. Ce mélange a créé un modèle unique qui fait que le Libanais tend, naturellement, vers la modération. Il existe des exceptions, comme partout dans le monde, mais elles sont individuelles ».
    La couverture accordée par le pouvoir politique aux services de sécurité facilite énormément leur travail. « En dépit des dissensions politiques autour de certains dossiers, la sécurité reste un domaine sacré qui ne fait l’objet d’aucun questionnement ou doute », dit-il.
    Mais cela n’a pas été toujours le cas. L’armée libanaise et les services de sécurité n’ont-ils pas fait l’objet de campagne de dénigrement de la part de certains hommes politiques ? « Dans le passé, le ciblage des services de sécurité s’inscrivait dans le cadre de surenchères politiques, répond le patron de la SG. Le pays était profondément divisé, sans président de la République. L’esprit du pacte national faisait défaut. Les circonstances ont changé aujourd’hui. Le circuit constitutionnel est de nouveau en place et les institutions fonctionnent normalement, ce qui nous assure la couverture politique nécessaire pour pouvoir accomplir notre mission ».
    Aujourd’hui, la lutte contre le terrorisme est globalisée. Cette réalité impose une coopération sécuritaire au niveau régional et international. « Je dis toujours aux délégations étrangères qui nous rendent visite ou aux responsables sécuritaires que nous rencontrons lors de nos voyages que le Liban est en première ligne, déclare Abbas Ibrahim. Je leur explique qu’en luttant contre le terrorisme, le Liban se défend, bien entendu, mais il protège aussi leurs propres pays. Ils doivent donc nous apporter une aide logistique afin que nous puissions mener cette bataille dans les meilleures conditions ». Le directeur de la SG souligne, dans ce cadre, que la coordination avec les services de sécurité arabes et étrangers est « quasi-quotidienne » : « A chaque fois que le besoin se fait sentir, j’appelle directement les responsables sécuritaires arabes et étrangers. La coopération est étroite et le contact permanent ».

  • Cinq combattants du Hezbollah libérés, 8 000 jihadistes et civils syriens en route pour Idleb - L’Orient-Le Jour
    https://www.lorientlejour.com/article/1065670/cinq-combattants-du-hezbollah-liberes-8-000-jihadistes-et-civils-syri

    À Qaa, M. Ibrahim a rencontré Wafic Safa, responsable de la coordination au sein du Hezbollah. Il a également annoncé la réouverture prochaine d’un bureau de la Sûreté générale dans la localité. La tournée de Abbas Ibrahim a eu lieu sur fond de bombardement à l’artillerie lourde, par l’armée, de positions occupées par des combattants de Daech dans le jurd de Ras Baalbeck et de Qaa.

    Concernant le sort des combattants de la Brigade Ahl al-Cham, présents dans le jurd de Ersal, et qui devaient être inclus dans l’échange de prisonniers entre le Hezbollah et Fateh el-Cham, le général Ibrahim a annoncé leur départ prochain. La dernière partie de l’accord entre le parti chiite et les jihadistes prévoyait l’évacuation des combattants d’Ahl el-Cham et leurs familles, ainsi que de réfugiés, vers le Qalamoun syrien. Selon la chaîne LBCI, les négociations concernant le départ de ce groupuscule ont été retardées par le fait que les combattants d’Ahl el-Cham ont pris part, aux côtés de Fateh el-Cham, aux combats qui ont opposé ce dernier la semaine dernière au Hezbollah, et alors qu’ils avaient promis de rester neutres.

    À noter que le secrétaire général du Hezbollah, Hassan Nasrallah, qui devait s’exprimer hier dans la soirée au sujet de l’étape qui va suivre la libération du jurd, a finalement reporté son discours à aujourd’hui, afin de laisser la place à la couverture médiatique de la libération des combattants du parti chiite.

  • Acte d’accusation délivré à l’encontre de trois personnes, dont un employé de la Finul, soupçonnés d’espionnage - 29/12/2015
    http://www.lorientlejour.com/article/962395/acte-daccusation-delivre-a-lencontre-de-trois-personnes-dont-un-emplo

    Le premier juge d’instruction militaire, Riad Abou Ghida, a émis mardi un acte d’accusation contre trois personnes, dont un fonctionnaire libanais de la Finul, soupçonnées d’espionnage au profit d’Israël.

    Le 8 novembre dernier, la Sûreté générale avait annoncé l’arrestation de Hani Matar, originaire de Aïn Ebel, un village chrétien frontalier d’Israël et employé par la Finul depuis 30 ans. La SG avait également arrêté le ressortissant syrien Ramez el-Sayyed et son épouse.

    Ces trois personnes avaient « avoué (...) avoir rassemblé des informations sur des personnalités et des objectifs sécuritaires et militaires » et avoir « filmé des routes et des lieux sensibles » dans le sud du Liban pour les envoyer à leurs commanditaires, selon un communiqué de la Sûreté.
    Le général Abbas Ibrahim, directeur de la SG et le cheikh sunnite Maher Hammoud, connu pour ses positions proches du Hezbollah, faisaient partie des personnes espionnées.

  • Les militaires otages du Front al-Nosra retrouvent enfin la liberté - L’Orient-Le Jour
    http://www.lorientlejour.com/article/957449/militaires-otages-lapplication-de-laccord-avec-al-nosra-a-commence-af

    Quinze mois après leur capture en août 2014, durant la bataille de Ersal (Békaa), les militaires libanais otages du Front al-Nosra ont été libérés dans le cadre d’un accord entre le groupe jihadiste et les autorités libanaises. L’échange des militaires contre 13 détenus au Liban s’est déroulé dans le jurd de Ersal, à la frontière de la Syrie.

    « Les efforts de la Sûreté générale, sous la direction du général Abbas Ibrahim, mandaté par le gouvernement, ont été couronnés de succès avec la libération mardi de seize militaires qui étaient retenus par le Front al-Nosra dans le jurd de Ersal », a annoncé la SG dans un communiqué.

    Les soldats de l’armée libanaise libérés sont : Georges Khoury, Rayane Salam, et Nahi Abou Kalfouni. Les agents des Forces de sécurité intérieure (FSI) sont : Pierre Geagea, Ihab al-Atrache, Sleiman Dirani, Maymoun Jaber, Ahmad Abbas, Waël Hommos, Ziad Omar, Mohammad Taleb, Lameh Mzahem, Abbas Mchayk, Maher Fayad, Georges Khazzaka et Rawad Abou Darhamayn.

  • Le réseau d’espionnage israélien ouvre de nouvelles pistes au Liban - Scarlett HADDAD - L’Orient-Le Jour
    http://www.lorientlejour.com/article/954129/le-reseau-despionnage-israelien-ouvre-de-nouvelles-pistes-au-liban.ht

    Selon les faits, la Sûreté générale a donc arrêté un Syrien de la famille Sayed qui réside à Saïda, dans le quartier dit de Jérusalem, c’est-à-dire près des domiciles de cheikh Maher Hammoud et Souhaib Hablé. Marié à une Libanaise (elle aussi a été arrêtée), Sayed a fait l’objet de plusieurs mandats d’arrêt pour vols et autres délits, mais il est en même temps lié à une partie de l’opposition syrienne installée à Istanbul, dont il toucherait un salaire. Lui et sa femme auraient donc été enrôlés pour travailler pour le compte des Israéliens par un Libanais habitant le village de Aïn Ebel et travaillant pour la Finul depuis trente ans. À partir du quartier général des Casques bleus à Naqoura, ce Libanais fait donc de fréquentes visites en Israël pour des missions de coordination coiffées par l’Onu. Selon l’enquête préliminaire, c’est à la faveur de ces visites qu’il aurait été enrôlé par un autre Libanais originaire de Aïn Ebel qui, lui, est désormais installé en Israël et occupe une fonction au ministère de la Défense. Il aurait donné à son compatriote des puces téléphoniques indépendantes du réseau libanais de télécommunications tout en lui demandant de recruter des agents au Liban dans le but de surveiller certaines personnalités et éventuellement d’effectuer des missions plus complexes.

    C’est ainsi que le fonctionnaire de la Finul aurait enrôlé Sayed et lui aurait demandé, pour commencer, de surveiller les déplacements et les domiciles des cheikhs Hammoud et Hablé connus pour leurs positions en faveur du Hezbollah et de la résistance, tout comme il aurait eu pour mission de surveiller les déplacements du directeur général de la Sûreté le général Abbas Ibrahim, notamment lorsqu’il se rend à son village Kaoussariyet al-Sayyad. Sayed devait suivre ses différents itinéraires et définir la composition du convoi qui l’escorte. Selon l’enquête préliminaire, l’objectif de ces surveillances serait de préparer des attentats contre les personnalités citées dans le but à la fois de susciter une discorde confessionnelle et de porter un coup au Hezbollah et à l’État libanais. Le général Ibrahim joue en effet un rôle déterminant dans la pacification des camps palestiniens, notamment celui de Aïn el-Héloué qui regroupe des factions palestiniennes hostiles entre elles et souvent incontrôlables.

  • Pour Abbas Ibrahim, directeur de la Sûreté générale, Israël et les militants islamistes tentent de déclencher une guerre civile au Liban
    http://www.dailystar.com.lb/News/Lebanon-News/2014/Nov-06/276672-israel-jihadists-seeking-to-ignite-civil-war-in-lebanon-ibrahim

    Israel and Islamist militants are seeking to ignite civil war in Lebanon, General Security head Abbas Ibrahim wrote in an editorial published Thursday.

    "Independence Day arrives while Lebanon battles the odds ... in an ordeal not destined to end until [Lebanon’s] inevitable victory in the battle for existence and identity in the face of organized terrorism, which is seeking to ... strike at its elements of existence through inciting [sectarian] strife and setting the stage for a civil war by targeting the military institution and other security agencies,” Ibrahim said in the article for the November issue of General Security Magazine.

    “Zionism is equally as dangerous [a threat] as takfiri terrorism,” he said.

    Without naming them, Ibrahim said takfiri groups – clearly indicating ISIS and the Nusra Front – in addition to Israel have similar objectives, while each party “is trying to strengthen its status.”

    “It is no secret to anyone that their [Israelis and takfiris] relationship is overt and implicit.”

  • Abbas Ibrahim après l’attentat meurtrier de Dahr el-Baïdar : « Nous en avons réchappé miraculeusement »
    http://www.lorientlejour.com/article/872731/liban-resurgence-des-menaces-securitaires-une-conference-du-mouvement

    Ce matin, le quotidien an-Nahar rapportait que des groupes armés liés aux Brigades Abdallah Azzam, basés dans le camp palestinien de Aïn el-Héloué (Liban-sud), projetaient d’assassiner un haut responsable sécuritaire libanais. Se basant sur une note obtenue du Mossad (services de renseignements israéliens), la journaliste d’origine libanaise Julia Abou Araj (qui détient la nationalité israélienne depuis 2000) de la chaîne télévisée israélienne I 24, avait indiqué que la cible d’une éventuelle opération serait le directeur général de la Sûreté générale. Contacté par le quotidien libanais, un responsable de la Sûreté générale avait affirmé avoir consulté le document en question, estimant que les informations qu’il contenait étaient crédibles et se recoupaient avec d’autres informations en possession de son service de sécurité.

    • Suicide bomber kills policeman at East Lebanon checkpoint | Al Akhbar English
      http://english.al-akhbar.com/content/blast-heard-east-lebanon-police-checkpoint-tv

      A suicide bomber blew himself up at a police checkpoint in eastern Lebanon Friday, killing at least one policeman and injuring dozens of others.

      The target of the attack may have been General Security chief Abbas Ibrahim who told media that the bomb was detonated several minutes after his vehicle convoy had passed. He was not injured in the attack.

      The blast took place in the town of Dahr al-Baidar, about 35 kilometers east of Beirut, on a road that connects the Lebanese capital to Damascus.

      Head of the Internal Security Forces (ISF) Ibrahim Basbous said the suicide bomber detonated his vehicle as policeman Mahmoud Jamal ad-Din was searching it, killing him instantly.

      “The driver was travelling towards the direction of Beirut through the town of Sawfar. He was stopped at a police checkpoint, and detonated his vehicle while two members of the ISF were searching it,” Basbous told reporters at the scene.

      Basbous said six other ISF officers, two army soldiers and 23 civilians were injured in the attack. The health ministry put the casualty toll at one dead and 32 injured.

    • Mossad Document Says Armed Group Plotting to Assassinate Ibrahim
      http://www.naharnet.com/stories/en/135833-mossad-document-says-armed-group-plotting-to-assassinate-ibrahim

      An armed group affiliated with the Qaida-linked Abdullah Azzam Brigades is plotting to target a high-ranking security figure reportedly General Security chief Maj. Gen. Abbas Ibrahim, media reports said on Friday.

      Julie Abou Araj, an Israeli reporter, obtained the information from Israeli Mossad document, An Nahar newspaper reported.

      Abou Araj, who is of Lebanese origins and holds the Israeli citizenship since 2000, said in a report that the Mossad received the information through its agents who are operating in Ain el-Hilweh Palestinian refugee camp in southern Lebanon.

      The agents intercepted phone conversations between a terror group in the refugee camp that indicates a huge assassination bid is being plotted.

      The newspaper said that a booby-trapped car was being prepared inside the Ain el-Hilweh camp by Chechen experts to be delivered to a Palestinian delegation that holds routine meetings with Ibrahim, without its knowledge.

      The journalist said that Abdullah Azzam Brigades is seeking to assassinate Ibrahim since the Abra clashes between Salafist cleric Sheikh Ahmed al-Asir and the army in June 2013.