person:abdallah ii

  • Affaire Khashoggi : les dernières révélations turques qui accablent Riyad
    France 24 - Dernière modification : 22/10/2018 - Avec AFP et Reuters
    https://www.france24.com/fr/20181022-affaire-khashoggi-jamal-revelations-turquie-arabie-mbs-riyad-erdo

    De nouveaux développements dans l’assassinat du journaliste saoudien jamal Khashoggi sont apparus, lundi, à la veille d’un discours très attendu de Recep Tayyip Erdogan, qui entend révéler « toute la vérité » sur cette affaire. (...)

    #Khashoggi #Arabie_saoudite
    #Jamal_Khashoggi

  • La Jordanie revient sur deux annexes du traité de paix avec Israël
    LE MONDE | 21.10.2018 à 16h20 • Mis à jour le 22.10.2018 à 07h53 | Par Piotr Smolar (Jérusalem, correspondant)
    https://www.lemonde.fr/proche-orient/article/2018/10/21/la-jordanie-veut-reprendre-a-israel-des-zones-pretees-depuis-l-accord-de-pai

    L’affaire dépasse largement deux confettis de terres agricoles. Le roi Abdallah II de Jordanie a suscité la stupéfaction dans les cercles du pouvoir israélien, dimanche 21 octobre, en annonçant qu’il refusait de reconduire deux annexes du traité de paix liant ces pays voisins.

    Depuis sa signature, en 1994, le traité prévoyait que ces terres frontalières – la zone Baqoura-Naharayim et la zone Al-Ghamr-Zofar –, sous souveraineté jordanienne, seraient mises gratuitement à la disposition des fermiers israéliens pour une période de vingt-cinq ans. Un an avant la fin de l’échéance, comme il en a le droit, le roi Abdallah II affirme donc qu’il ne veut pas renouveler ce dispositif.
    Un signal envoyé à Israël

    De façon inhabituelle, le souverain a justifié sa position sur Twitter, en soulignant sa volonté de « prendre toutes les décisions au service de la Jordanie et des Jordaniens ». Une façon, analyse-t-on du côté israélien, d’inscrire ce retournement dans la politique intérieure du pays. Près de 80 députés jordaniens avaient appelé à ne pas renouveler ce régime spécial accordé aux deux confettis de terres. Il en allait, pour eux, de la dignité et de la souveraineté du royaume. De nombreux experts et des voix dans la société civile s’étaient emparés du sujet, ces derniers mois.

    « Le roi a dû passer outre des votes répétés au Parlement, ce qui l’a fait apparaître comme un défenseur d’Israël, souligne Ofer Zalzberg, analyste pour l’International Crisis Group. Ce geste lui permet d’envoyer un signal en faisant payer un prix aux Israéliens pour l’éloignement de la solution à deux Etats et leur comportement unilatéral sur le lieu saint de l’esplanade des Mosquées. Il a plus de latitude pour agir ainsi depuis qu’il n’est plus obligé de se coordonner étroitement avec les Israéliens pour soutenir les rebelles au sud de la Syrie, car Damas a repris cette zone. »

    Israël s’enorgueillit des relations étroites, notamment sécuritaires, qu’il a nouées avec l’Egypte et la Jordanie, après la conclusion d’un traité de paix avec chacun d’entre eux. L’Etat hébreu en fait même un modèle à suivre, dans le rapprochement esquissé en coulisses avec d’autres pays du bloc sunnite dit « modéré ».
    (...)
    « Cet accord [de paix] dans sa totalité constitue un bien cher pour nos deux pays », a réagi très prudemment Benyamin Nétanyahou, dimanche, lors d’une cérémonie à la mémoire de l’ancien premier ministre Yitzhak Rabin. Les officiels israéliens comptent maintenant sur l’année à venir, pendant laquelle les annexes s’appliquent encore, pour trouver un arrangement avec Amman. « On comprend le désarroi dans lequel se trouve le roi sur le plan intérieur, on ne l’accable pas », dit un haut fonctionnaire israélien. En juin, des manifestations de masse contre des mesures d’austérité fiscale avaient fait tomber le premier ministre jordanien. (...)

  • L’« accord du siècle » : les maîtres espions entrent en scène
    Middle East Eye - 28 juin 2018
    http://www.middleeasteye.net/fr/reportages/l-accord-du-si-cle-les-ma-tres-espions-entre-en-sc-ne-1793925807

    Yossi Cohen, directeur du Mossad israélien assistant à la fête nationale du 4 juillet à l’ambassade américaine en Israël, 2017 (AFP)

    Une importante réunion a rassemblé, le 17 juin dernier, à Aqaba en Jordanie, les responsables des services secrets israéliens, saoudiens, égyptiens et palestiniens.

    Selon le site français Intelligence online, cette réunion intervenait un jour avant la rencontre entre le Premier ministre israélien, Benyamin Netanyahou, et le roi de Jordanie, Abdallah II.

    Le chef du Mossad israélien, Yossi Cohen, le directeur des services secrets saoudiens, Khaled ben Ali al-Humaidan, le responsable du Service de renseignement général égyptien, Abbas Kamel, le chef des services secrets jordaniens, Adnan Issam al-Jundi, et le directeur du renseignement de l’Autorité palestinienne Majed Faraj, auraient assisté à cette réunion secrète dans la ville côtière jordanienne.

    Selon les sources du site Intelligence Online, ce sont le conseiller de Donald Trump, Jared Kushner, et l’émissaire spécial de Donald Trump pour le Moyen-Orient, Jason Greenblatt qui sont à l’origine de l’organisation de ce conclave entre maîtres espions.

    L’ordre du jour de cette réunion reste encore inconnue. Plusieurs médias s’accordent toutefois à deviner qu’il s’agissait de convaincre l’Autorité palestinienne d’’accepter l’« accord du siècle » que veut imposer l’administration Trump.

    Mais le patron des services secrets palestiniens, Majed Faraj, aurait refusé de participer activement à la discussion lors de cette réunion, se contentant d’exprimer des observations d’ordre général.

    Or, mercredi 27 juin, Majed Faraj a déclaré devant des journalistes à Ramallah qu’il était satisfait du refus de plusieurs pays arabes à la proposition de Washington, appelé l’« accord du siècle ».

  • Le milliardaire palestinien Masri libéré par les Saoudiens, selon sources
    Par Reuters le 17.12.2017 à 14h00
    https://www.challenges.fr/monde/le-milliardaire-palestinien-masri-libere-par-les-saoudiens-selon-sources_
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    AMMAN (Reuters) - Sabih al Masri, milliardaire palestinien et président de la première banque jordanienne, l’Arab bank, a été remis en liberté par les autorités saoudiennes et pourrait être autorisé à quitter prochainement le pays, a-t-on déclaré dimanche de source proche de sa famille.

    Masri, qui a la nationalité saoudienne, avait été arrêté mardi en Arabie saoudite alors qu’il venait de présider à Ryad une série de réunions de sociétés qu’il possède, selon la même source.

    Selon une source proche du dossier, Sabih al Masri a été interrogé sur ses affaires et ses associés. Des proches lui avaient déconseillé de se rendre en Arabie saoudite dans le contexte actuel de vaste campagne anti-corruption menée par le pouvoir en place.

    « Tout va bien et je suis heureux (d’être libre), tout le monde m’a accordé du respect ici », a dit l’homme d’affaires à Reuters à son domicile de Ryad.

    Masri est l’homme d’affaires le plus influent en Jordanie comme dans les territoires palestiniens. Originaire d’une famille de commerçants de Naplouse en Cisjordanie, il a fait fortune en s’associant avec des Saoudiens pour fournir de la nourriture aux troupes engagées dans la coalition sous commandement américain durant la première guerre du Golfe, en 1991.

    Il a été élu président de l’Arab bank en 2012 après la démission d’Abdel Hamid Choman, dont la famille avait fondé l’établissement à Jérusalem en 1930.

    (Suleiman Al-Khalidi ; Eric Faye pour le service français)

  • C’est personnel : Trump a trahi Mahmoud Abbas et le roi Abdallah de Jordanie
    David Hearst - 14 décembre 2017
    http://www.middleeasteye.net/fr/opinions/c-est-personnel-trump-trahi-mahmoud-abbas-et-le-roi-abdallah-de-jorda

    (...) Avant tout, Istanbul a jeté les bases d’un réalignement des États arabes. Le conférence a mis en évidence la rébellion de deux dirigeants arabes pro-occidentaux, le roi Abdallah de Jordanie et Mahmoud Abbas, le président palestinien, contre leurs alliés traditionnels à Washington.

    Le premier est le chef de l’État du second pays arabe à avoir reconnu Israël, le second est le dirigeant palestinien qui a consacré sa vie à la négociation de la désormais défunte solution à deux États.

    Conscients de l’importance de ce qui allait se passer à Istanbul, l’Arabie saoudite et l’Égypte ont déployé d’énormes efforts pour empêcher Abdallah et Abbas de s’y rendre.

    Comme cela a été rapporté, Abdallah et Abbas ont été convoqués pour une réunion d’urgence au Caire. Seul Abbas s’y est rendu.

    Selon mes sources, qui se sont exprimées sous couvert d’anonymat, le président égyptien Abdel Fattah al-Sissi a fait pression sur Abbas pour qu’il ne dirige pas la délégation palestinienne à Istanbul et ainsi amoindrir l’importance de la conférence.

    Pour l’aider à décliner son invitation à Istanbul, de fausses nouvelles ont été diffusées selon lesquelles Abbas avait eu un accident vasculaire cérébral. Abbas les a ignorées.

    Pendant ce temps, le roi Abdallah a été convoqué à Riyad, et là encore, on m’a informé qu’on lui avait dit de ne pas aller à Istanbul. Le roi Abdallah est resté quelques heures à Riyad avant de partir pour Istanbul.

    Leur présence à la conférence a envoyé un message à l’Arabie saoudite et aux États-Unis : l’accord de Riyad avec Trump n’est pas accepté par la Jordanie et la Palestine, qui sont soutenus en cela par les pays musulmans. En d’autres termes : vous n’avez pas carte blanche pour négocier avec Israël sans nous.

    Les deux hommes ont manifesté publiquement leur refus de s’incliner et leur colère en se tenant aux côtés du président turc aux penchants islamistes Recep Tayyip Erdoğan sur la photo de groupe.

    Abdallah II a hoché vigoureusement la tête lorsqu’Erdoğan a affirmé : « Je répète que Jérusalem est notre ligne rouge. L’esplanade des Mosquées appartiendra aux musulmans à jamais. Nous n’abandonnerons jamais notre exigence d’une Palestine souveraine et indépendante. Nous ne pouvons pas rester spectateurs dans cette situation qui affectera notre avenir à tous. »(...)

  • Amman appelle Israël à juger le garde de son ambassade ayant tué deux Jordaniens
    L’Express | Par AFP | publié le 27/07/2017
    http://www.lexpress.fr/actualites/1/monde/amman-appelle-israel-a-juger-le-garde-de-son-ambassade-ayant-tue-deux-jorda

    Amman - Le roi Abdallah II de Jordanie a appelé jeudi le Premier ministre israélien Benjamin Netanyahu à faire juger un garde de l’ambassade d’Amman qui avait ouvert le feu et tué deux Jordaniens dimanche, selon une source gouvernementale.

    Le souverain hachémite, qui s’exprimait au cours d’une réunion avec de hauts responsables jordaniens, a appelé M. Netanyahu à « assumer ses responsabilités et prendre les mesures légales nécessaires pour juger le meurtrier », selon la même source.

    La Jordanie et Israël sont liés par un traité de paix signé en 1994.

    Le roi a critiqué la manière dont le garde avait été chaleureusement accueilli comme un héros par le Premier ministre israélien qui l’avait embrassé à son retour d’Amman.

    « Nous sommes heureux de te voir ici et de voir que tout est fini (...) Tu as bien agi et calmement (...) Tu représentes l’Etat d’Israël et l’Etat d’Israël ne l’oublie jamais », a dit M. Netanyahu au garde qu’il a rencontré mardi, selon les médias israéliens.

    « Ce comportement provocateur, nous le refusons totalement (...) Il nourrit l’extrémisme », a dénoncé le roi Abdallah de Jordanie.

    « Un membre de l’ambassade d’Israël à Amman a ouvert le feu sur deux de nos citoyens. L’Etat jordanien fera tout son possible pour leur rendre justice », a prévenu le souverain hachémite.

    Il a mis en garde Israël, affirmant que son attitude dans cette affaire aurait un « impact direct » sur la nature des relations entre les deux pays.

    Des milliers de Jordaniens avaient crié « mort à Israël » mardi lors des funérailles d’une des deux victimes jordaniennes. (...)

    #Unpeutard #Amman #Ziv

    • La Jordanie inculperait de meurtre le garde de sécurité de l’ambassade israélienne par contumace
      Le garde de sécurité israélien avait été attaqué ; Amman menace d’une procédure juridique internationale
      Times of Israel Staff 28 juillet 2017, 11:31
      http://fr.timesofisrael.com/la-jordanie-inculperait-de-meurtre-le-garde-de-securite-de-lambass

      Le garde de sécurité de l’ambassade israélienne en Jordanie qui aurait tué deux Jordaniens dans l’enceinte diplomatique d’Amman après avoir été attaqué au couteau par l’un d’eux aurait été inculpé de meurtre par contumace.

      Le procureur-général de Jordanie Akram Masaadeh a déclaré à l’agence de presse jordanienne que son bureau avait terminé l’enquête portant sur l’incident de dimanche au cours duquel Mohammad Jawawdeh, âgé de 17 ans, et Bashar Hamarneh ont été tués, selon une traduction offerte par le quotidien Al Ghad.

      Il a inculpé le garde, Ziv, dont le nom de famille reste sous ordonnance de non publication et qui se trouve dorénavant en Israël, de deux chefs d’accusation de meurtre et de possession d’une arme sans autorisation préalable.

      Masaadeh a indiqué que l’immunité diplomatique des employés n’empêcherait ni son inculpation, ni la tenue d’un procès en Israël.

      De plus, le gouvernement a chargé le ministre de la Justice Awad Abu Jarad « de mener à bien la justice pénale », a rapporté le Jordan Times.

  • Edelstein fustige son homologue jordanien après son hommage à des terroristes
    Times of Israel Staff 18 juillet 2017, 12:50
    http://fr.timesofisrael.com/edelstein-fustige-son-homologue-jordanien-apres-son-hommage-a-des-

    Yuli Edelstein, le président de la Knesset, a vivement critiqué lundi le président du parlement jordanien, Atef Tarawneh, qui a rendu hommage aux terroristes qui ont tué deux policiers vendredi sur le mont du Temple de Jérusalem.

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    « Il est inconcevable qu’une figure si importante d’un pays avec qui nous sommes en paix ose encourager le meurtre de citoyens israéliens », a dit Edelstein dans un message vidéo.

    « Si vous être incapables de condamner des attentats, contentez-vous de ne rien dire », a-t-il ajouté.

    Dimanche, Tarawneh avait déclaré que les trois terroristes avaient « semé et arrosé la terre pure », et rendu hommage au « sacrifice de jeunes Palestiniens qui combattent toujours au nom de la nation. »

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    Le Parlement jordanien rend hommage aux terroristes du mont du Temple
    Au lendemain de la condamnation de l’attentat par le roi Abdallah II, Amman accuse l’“occupation” et prie pour les âmes des “martyrs”
    Times of Israel Staff 17 juillet 2017, 11:51
    http://fr.timesofisrael.com/le-parlement-jordanien-rend-hommage-aux-terroristes-du-mont-du-tem

    Le Parlement jordanien a rendu hommage dimanche aux terroristes qui ont perpétré un attentat vendredi au mont du Temple qui a tué deux policiers israéliens, moins d’un jour après que le roi Abdallah II a condamné l’attentat.

    Le Parlement a également critiqué Israël pour la fermeture du mont du Temple, appelé Haram al-Sharif (noble sanctuaire) par les musulmans, et a prié pour les âmes des trois terroristes qui ont mené l’attentat, ont indiqué les médias jordaniens.

    « Qu’Allah ait pitié de nos martyrs, qui ont semé et arrosé la terre pure », a déclaré le président du Parlement, Atef Tarawneh. « Nous relèverons la tête grâce aux sacrifices des jeunes Palestiniens qui combattent toujours au nom de la nation. »

    Il a béni les familles des trois cousins, Muhammad Ahmed Muhammad Jabarin, 29 ans, Muhammad Hamad Abdel Latif Jabarin, 19 ans, et Muhammad Ahmed Mafdal Jabarin, 19 ans, qui ont mené l’attentat.

    « Qu’Allah ait pitié de nos jeunes, membres de la famille Jabarin, dont les membres méritent de recevoir gloire et honneur », a-t-il dit.

  • Le roi de Jordanie salue le « courage » de Trump pour un règlement israélo-palestinien
    Publié le mercredi 05 avril 2017 - Mis à jour le mercredi 05 avril 2017 à 22h15
    https://www.rtbf.be/info/monde/detail_le-roi-de-jordanie-salue-le-courage-de-trump-pour-un-reglement-israelo-p

    (Belga) Le roi Abdallah II de Jordanie a salué mercredi aux côtés de Donald Trump le « courage et le dévouement » du président américain pour la recherche d’une solution de paix au conflit israélo-palestinien. « Ce que j’ai vu, c’est une implication dès le début du président et de son équipe avec chacun de nous dans la région à propos des défis auxquels sont confrontés Israéliens et Palestiniens », a loué le souverain lors d’une conférence de presse avec M. Trump dans les jardins de la Maison Blanche. Aux yeux du roi de Jordanie, «  le président (Trump) comprend les nuances et les défis » du conflit entre Israël et les Palestiniens pour lequel tous les efforts en vue d’un plan de paix sont au point mort depuis exactement trois ans et l’échec en avril 2014 de l’administration de Barack Obama et de son secrétaire d’Etat John Kerry. « Je crois qu’il a le courage et le dévouement pour pouvoir le faire », a encore salué Abdallah II de Jordanie à propos de Donald Trump. Il a rappelé que le « boulot » de la Jordanie était de « faciliter le climat entre Israéliens et Arabes pour avancer ensemble et, compte tenu du soutien du président, de pouvoir arrondir les angles entre les Israéliens et les Palestiniens ».
    « J’ai hérité d’un foutoir. Qu’il s’agisse du Moyen-Orient, qu’il s’agisse de la Corée du Nord ou qu’il s’agisse de tant d’autres choses », a martelé de son côté le président Trump, en allusion à son prédécesseur Barack Obama.

  • Non, #Benyamin_Nétanyahou n’a pas raté une proposition historique de paix au #Proche-Orient
    http://orientxxi.info/magazine/non-benyamin-netanyahou-n-a-pas-rate-une-proposition-historique-de-paix-
    http://orientxxi.info/local/cache-vignettes/L800xH398/a1de4c5c6d8c4f1a9f4e24175fe597-d53f9.jpg?1488115960

    Non, Benyamin Nétanyahou n’a pas raté une proposition historique de paix au Proche-Orient
    Orient XXI > Magazine > Elisabeth Marteu > 27 février 2017

    Le 19 février 2017, la presse israélienne se faisait l’écho de fuites émanant de l’ancienne administration américaine au sujet d’un plan de paix régional que John Kerry aurait proposé à Benyamin Nétanyahou en février 2016, réactivant l’initiative de paix entérinée par la Ligue arabe en 2002. Or, si l’ancien secrétaire d’État américain a bien organisé à Aqaba une réunion entre le premier ministre israélien, le roi Abdallah II de Jordanie et le président égyptien Abdel Fattah Al-Sissi, le regard porté sur cette initiative relève du fantasme et d’une relecture enchantée de l’histoire.

  • Quand Netanyahu refusa la paix
    Le Premier ministre israélien a rejeté en février 2016 un plan de paix ouvrant la voie à une normalisation des relations avec les États arabes de la région.
    Par Armin Arefi
    Modifié le 20/02/2017 à 18:58 -
    http://www.lepoint.fr/monde/quand-netanyahu-refusa-la-paix-20-02-2017-2106189_24.php

    On peut répéter à l’envi vouloir la paix au Proche-Orient, et être prêt à reprendre sans condition des négociations directes avec les Palestiniens, tout en rejetant le moment venu une occasion rare de mettre fin à un conflit vieux de soixante-neuf ans. Voici l’étonnant paradoxe révélé par le quotidien israélien Haaretz au sujet du Premier ministre israélien Benjamin Netanyahu. Dans son édition de dimanche, le journal de centre gauche affirme que le chef du gouvernement israélien a rejeté un plan de paix selon lequel plusieurs pays arabes de la région étaient prêts à reconnaître Israël comme « État juif » et à pousser à une reprise des négociations directes entre les deux camps, deux demandes-clés maintes fois formulées par le Premier ministre israélien.

    À l’initiative de ce plan de paix israélo-arabe, l’ancien secrétaire d’État américain John Kerry, qui a secrètement réuni le 21 février 2016 à Aqaba, dans le sud de la Jordanie, Benjamin Netanyahu ainsi que deux chefs d’État arabes en paix avec l’État hébreu : le président égyptien Abdel Fattah al-Sissi, et le roi de Jordanie Abdallah II. Son objectif : faire accepter par les trois dirigeants un plan de paix régional visant à encourager l’Autorité palestinienne à reprendre les négociations de paix avec le soutien des pays arabes de la région. Absent du sommet d’Aqaba, le président palestinien Mahmoud Abbas en a toutefois été informé, affirme Haaretz. Contacté par l’Agence France-Presse, un responsable américain a confirmé l’existence de cette réunion. Tout comme la présidence égyptienne.(...)

    https://seenthis.net/messages/571334

    • Israël, la Jordanie et l’Égypte ont tenu un sommet secret pour la paix il y a un an
      MEE et agences | 20 février 2017
      http://www.middleeasteye.net/fr/reportages/isra-l-la-jordanie-et-l-gypte-ont-tenu-un-sommet-secret-pour-la-paix-

      John Kerry aurait présenté un projet qui incluait la reconnaissance d’Israël en tant qu’État juif et la reprise des négociations avec les Palestiniens

      Un plan pour une initiative de paix régionale a été présenté au Premier ministre israélien Benjamin Netanyahou il y a un an lors d’un sommet secret du secrétaire d’État américain John Kerry, a rapporté Haaretz dimanche, citant des anciens responsables (restés anonymes) de l’administration Obama.

      Netanyahou n’a pas accepté ce projet, affirmant qu’il aurait du mal à obtenir l’approbation du plan par son gouvernement de coalition, a rapporté Haaretz. Toutefois, le sommet a peu après servi de base à des pourparlers entre Netanyahou et le chef de l’opposition israélienne Isaac Herzog sur l’établissement éventuel d’un gouvernement d’union, bien que cela ne se soit jamais concrétisé.

      Selon l’article, le sommet s’est déroulé dans la station balnéaire égyptienne d’Aqaba et comprenait le roi Abdallah II de Jordanie et le président égyptien Abdel Fattah al-Sissi.

      Le journal israélien a indiqué que Kerry avait présenté un projet qui incluait la reconnaissance d’Israël en tant qu’État juif et la reprise des négociations avec les Palestiniens, soutenues par les nations arabes.(...)

  • اردوغان يعلن الحرب على الاكراد و”الدولة الاسلامية” معا عبر بوابة جرابلس.. هل هذه المعركة اول تطبيق للتفاهمات السرية مع القيادة السورية؟ وهل سيكون المقابل اغلاق الحدود التركية في وجه المعارضة المسلحة؟ | رأي اليوم
    http://www.raialyoum.com/?p=506695

    L’édito de Rai al-youm sur l’intervention de l’armée turque sur le territoire syrien, sous le titre "Erdogan déclare la guerre à la fois aux Kurdes et à l’"Etat islamique" à Jarablus. Est-ce que cette bataille est la première application des ententes secrètes avec la direction syrienne ? Y aura-t-il en échange la fermeture des frontières turques à l’opposition armée ? [au régime syrien]

    Quelques points de l’article qui développe le titre.
    Jarablus est un des derniers points stratégiques que possède l’EI sur la frontière turque. Leur fermeture signifierait un étranglement total de l’EI puisque les lignes d’approvisionnement depuis l’est irakien sont fermées.
    Par cette action, Erdogan fait d’une pierre deux coups : contre l’EI et contre les Kurdes.
    On remarque que la réaction syrienne est particulièrement inaudible, alors que le commandant de l’YPG kurde évoque un accord entre la Turquie, l’iran et la Syrie.
    On se demande naturellement si cette intervention est la suite d’un accord entre Turcs et Syriens, sous l’égide de la Russie et de l’Iran : accord pour une intervention militaire turque en Syrie contre les Kurdes en échange de la fermeture des frontières à l’opposition armée contre le régime syrien.
    On en est qu’au début des opérations mais on peut remarquer que 1) les bombardements de l’aviation syrienne à Hasaké montrent que l’alliance syro-kurde se lézarde 2) le contrôle truc des frontières est devenu beaucoup plus rigoureux 3) Erdogan a rappelé que la Turquie souhaite que soit respectée l’intégralité du territoire syrien, ce qui signifie aussi l’absence de toute zone d’auto-administration kurde
    Il en ressort que, au moins pour le moment, Erdogan est revenu sur toute sa politique vis-à-vis de la Syrie, en donnant la priorité à l’avortement des projets kurdes, politique qui reçoit le soutien de la Syrie, de l’Irak et de l’Iran [les 3 autres pays avec des minorités kurdes].
    La meilleure indication de cette entente secrète, c’est le calme sur le front à Alep et l’appui US à l’opération turque, sans veto russe.
    La question qui se pose dès lors est celle de la poursuite de cet accord, une fois que la question de l’EI aura été réglée.
    Impossible d’y répondre aujourd’hui.

    #syrie #grand_jeu_au_moyen-orient

    • Dans la même édition, un autre article vient conforter cette lecture : http://www.raialyoum.com/?p=506822
      مصر والأردن تجددان الدعوة لحل سياسي للأزمة السورية يحفظ وحدتها ويحول دون امتداد العنف إلى دول الجوار
      L’Egypte et la Jordanie renouvellent leur appel à une solution politique de la crise syrienne qui garde l’unité du pays et empêche que la violence ne s’étende dans les pays voisins (à l’issue d’une rencontre au Caire entre Sissi et Abdallah II)

  • #Obama_doctrine / partie 1
    Allez, je me lance dans le commentaire, en espérant faire des émules...
    L’article, déjà signalé par @kassem, dont la matière première sont des interviews d’Obama, est consultable ici : http://www.theatlantic.com/magazine/archive/2016/04/the-obama-doctrine/471525
    Au tout début de l’article Goldberg nous dépeint une administration américaine en août 2013 persuadée, notamment Kerry, de la nécessité de faire payer amèrement à Assad les 1400 morts de l’attaque chimique de la Ghouta orientale censé avoir tout juste eu lieu. Le tout, bilan humain et responsabilité, considéré comme des faits indiscutables par le journaliste.

    In the Damascus suburb of Ghouta nine days earlier, Assad’s army had murdered more than 1,400 civilians with sarin gas. The strong sentiment inside the Obama administration was that Assad had earned dire punishment. In Situation Room meetings that followed the attack on Ghouta, only the White House chief of staff, Denis McDonough, cautioned explicitly about the perils of intervention. John Kerry argued vociferously for action.

    Puis retour en arrière sur le désaccords au sein de l’administration US quant au degré d’investissement dans la guerre en Syrie. Parmi les plus chauds partisans d’un investissement militaire plus fort en Syrie, bien sûr Samantha Power et son devoir d’ingérence humanitaire ("responsability to protect") mais aussi Hillary Clinton, selon Goldberg. A ceux-là Obama aurait opposé son principe du « don’t do stupid shit », en clair pas un soldat américain au sol pour réitérer les « conneries » de Walker Bush.
    Ce principe du « don’t do stupid shit » n’admettant selon les confidences d’Obama que deux exceptions : les intérêts vitaux américains et, bien sûr, la sacro-sainte sécurité d’Israël :

    only a handful of threats in the Middle East conceivably warranted direct U.S. military intervention. These included the threat posed by al‑Qaeda; threats to the continued existence of Israel (“It would be a moral failing for me as president of the United States” not to defend Israel, he once told me); and, not unrelated to Israel’s security, the threat posed by a nuclear-armed Iran.

    [Donc ça n’empêchait pas de droner autant qu’on veut au Yémen notamment conte la fameuse menace d’al-Qaïda (AQPA), exception au principe dûment revendiquée, mais aussi de financer des groupes proxies en Syrie, au risque de renforcer la cousine d’AQPA en Syrie : al-Nousra...]
    Ensuite Goldberg revient sur la fameuse ligne rouge d’Obama, censée avoir été franchie en août 2013. Adel al-Jubeïr persuadé que cette fois-ci Barack va y aller et puis Merkel qui fait savoir qu’elle n’en sera pas, le vote négatif au Parlement britannique et enfin la visite surprise de James Clapper à Obama pour lui rendre bien clair que si des éléments « robustes » soutenait la thèse de la responsabilité de l’attaque à Assad, ce n’est tout de même pas un « slam dunk ». Bref, plutôt sûr, mais pas vraiment quand même... Genre, s’il avère que c’était faux, je refuse d’endosser, Mister president !

    Obama was also unsettled by a surprise visit early in the week from James Clapper, his director of national intelligence, who interrupted the President’s Daily Brief, the threat report Obama receives each morning from Clapper’s analysts, to make clear that the intelligence on Syria’s use of sarin gas, while robust, was not a “slam dunk.” He chose the term carefully. Clapper, the chief of an intelligence community traumatized by its failures in the run-up to the Iraq War, was not going to overpromise, in the manner of the onetime CIA director George Tenet, who famously guaranteed George W. Bush a “slam dunk” in Iraq.

    Goldberg nous rapporte ensuite la déception de Valls, Abdallah II de Jordanie, l’émir d’Abou Dabi, et des Saoudiens en la personne d’al-Jubeïr, quand ils apprennent qu’Obama va demander l’autorisation préalable du Congrès.
    Tiens, et les Israéliens, qui avaient pourtant fourni obligeamment de supposés enregistrements audio d’Assad au moment de cette attaque, ils en pensaient quoi ?
    Epilogue de ce 1er épisode, Godberg nous évoque Obama à l’initiative du deal avec Poutine lors d’un sommet du G20 : abandon des armes chimiques contre abandon des frappes - ce n’est pas cette version là que l’on connaissait !

    Amid the confusion, a deus ex machina appeared in the form of the Russian president, Vladimir Putin. At the G20 summit in St. Petersburg, which was held the week after the Syria reversal, Obama pulled Putin aside, he recalled to me, and told the Russian president “that if he forced Assad to get rid of the chemical weapons, that that would eliminate the need for us taking a military strike.”

    Et finalement qui a quand même gagné dans ce deal ?

    The removal of Syria’s chemical-weapons stockpiles represented “the one ray of light in a very dark region,” Netanyahu told me not long after the deal was announced.

    En passant rien sur la neutralisation probable par les Russes de deux missiles tirés - on ne sait trop par qui - vers la Syrie, et qui pourrait bien avoir été une invitation claire de Vladimir à Barack à se cantonner à la diplomatie plutôt qu’au hard power...

  • Syrie : la Jordanie va coordonner ses activités militaires avec la Russie
    Par Georges Malbrunot Publié le 24/10/2015
    http://www.lefigaro.fr/international/2015/10/24/01003-20151024ARTFIG00077-syrie-la-jordanie-va-coordonner-ses-activites-mil

    (...) Amman, qui a un des plus importants contingents de djihadistes combattant auprès de Daech en Irak et en Syrie, craint leur retour. Sans le dire ouvertement, la Jordanie n’est pas mécontente de voir Daech, Nosra et d’autres rebelles salafistes visés par les frappes russes en Syrie. Il y a quelques semaines, le fils d’un député jordanien a commis un attentat suicide pour le compte de Daech en Irak.

    En se rapprochant ainsi de Moscou, Amman agit au nom d’une pure realpolitik. Le fragile royaume, agité par un terreau djihadiste historiquement puissant, fait figure en effet d’ultime rempart entre Daech, implanté en Irak et en Syrie, et Israël. Le roi Abdallah II redoute une chute brutale du régime de Bachar el-Assad, avec lequel officiellement tous les liens ont été coupés, sauf entre services de renseignements, précise-t-on à Damas.

  • Charlie Hebdo. La liste des personnalités à la marche républicaine
    http://www.ouest-france.fr/charlie-hebdo-la-liste-des-personnalites-la-marche-republicaine-3105688

    Arf Avigdor Lieberman

    PERSONNALITÉS INTERNATIONALES

    Le roi de Jordanie Abdallah II et son épouse la reine Rania La chancelière allemande Angela Merkel, le Premier ministre britannique David Cameron, le président du conseil italien Matteo Renzi, le président du gouvernement espagnol Mariano Rajoy, le président de la Commission européenne Jean-Claude Juncker, le président du Parlement européen, Martin Schulz et le président du Conseil européen Donald Tusk entoureront le président François Hollande. Seront aussi présents les chefs de gouvernement danois Helle Thorning-Schmidt, belge Charles Michel, néerlandais Mark Rutt, grec Antonis Samaras, portugais Pedro Passos Coelho, tchèque Bohuslav Sobotka, hongrois Viktor Orban, letton Laimdota Straujuma, bulgare Boïko Borisov, croate Zoran Milanovic, ainsi que le président roumain, Klaus Iohannis. Hors UE, seront présents notamment le président ukrainien Petro Porochenko, le Premier ministre turc Ahmet Davutoglu, le ministre russe des Affaires étrangères Sergueï Lavrov, la présidente de la Confédération suisse Simonetta Sommaruga, le Premier ministre albanais Edi Rama, le ministre bosniaque des Affaires étrangères Zlatko Lagumdzija, la présidente kosovare Atifete Jahjaga, la présidente du Parlement serbe Maja Gojkovic. L’Afrique sera représentée par huit chefs d’Etat dont les présidents malien Ibrahim Boubacar Keïta, gabonais Ali Bongo, nigérien Mahamadou Issoufou, béninois Thomas Boni Yayi ainsi que par le Premier ministre tunisien Mehdi Jomaa. Le ministre des Affaires étrangères des Emirats arabes unis, cheikh Abdallah ben Zayed Al-Nahyane et le chef de la diplomatie israélienne Avigdor Lieberman représenteront leurs pays. L’Amérique du Nord sera présente avec le ministre américain de la Justice Eric Holder et le ministre canadien de la Sécurité publique Steven Blaney. Seront aussi à Paris le secrétaire général de l’Otan Jens Stoltenberg, le secrétaire général du Conseil de l’Europe Thorbjorn Jagland, et les dirigeants d’autres institutions internationales (Organisation internationale de la Francophonie, Bureau international du Travail, Ligue arabe). Également les maires de grandes villes européennes : Milan (Giuliano Pisapia), Barcelone (Xavier Trias), Turin (Piero Fassino), Florence (Dario Nardella).

  • INFO LE FIGARO - Syrie : la Jordanie ouvre son ciel aux drones israéliens
    http://www.lefigaro.fr/flash-actu/2013/04/21/97001-20130421FILWWW00208-info-le-figaro-syrie-la-jordanie-ouvre-son-ciel-a
    Par Georges Malbrunot

    Jusque là prudent face au conflit syrien et après une tentative avortée de négociations avec Bachar el-Assad, le roi Abdallah II a mis deux couloirs aériens à la disposition de l’aviation israélienne, selon les informations du Figaro.

    « C’est un geste fort et exceptionnel », confie une source militaire occidentale au Moyen-Orient.

    Pour éviter d’être repérés, " les drones israéliens volent durant la nuit", précise le militaire. "Ils font de la reconnaissance, mais ils sont aussi armés et peuvent donc frapper une cible n’importe où en Syrie".

  • Le dilemme du dictateur -jordanien (Culture et politique arabes)
    http://cpa.hypotheses.org/3984

    A l’instar de bien des potentats régionaux, Abdallah II de Jordanie va devoir affronter le dilemme posé par la croissance d’internet et des réseaux sociaux. Il va lui falloir choisir entre s’enfermer derrière les murailles de sable de son minuscule royaume ou s’ouvrir aux flux impétueux des navigations électroniques… A dire vrai, on voit mal comment il pourrait, aujourd’hui, retenir la première option. Il va donc devoir se résoudre à adapter le système politique aux transformations d’une société informée par le Net. (...) Source : Culture et politique arabes

  • #Jordanie : le roi nomme un nouveau Premier ministre - Nouvelobs.com
    http://tempsreel.nouvelobs.com/actualite/monde/20110201.AFP1506/jordanie-le-roi-nomme-un-nouveau-premier-ministre.html

    Le roi Abdallah II de Jordanie a nommé Maarouf Bakhit pour remplacer Samir Rifaï à la tête du gouvernement et l’a chargé de mener de « réelles réformes politiques », a annoncé mardi le palais royal après plusieurs manifestations de l’opposition au cours des dernières semaines.

    • Marrant : ancien militaire, déjà nommé premier ministre de 2005 à 2007, avec pour but premier de « lutter contre le terrorisme ».

      Comme en Égypte, c’est donc un maître tortionnaire, ami des néoconservateurs et ayant sévi à l’époque des #extraordinary_renditions, qui est nommé pour « accompagner » les réformes vers plus de démocratie.

    • c’est souvent comme ça les transitions, cf. l’Espagne menée à la démocratie par les deux « héritiers » (civil et royal) du franquisme... discutant au final avec les communistes etc.