person:abdelbari al-aroussi

  • La torture sévit dans les prisons de la Libye, deux ans après la chute de Kadhafi - ONU

    http://news.yahoo.com/torture-rife-libyas-jails-two-years-gaddafi-un-071055577.html

    Torture and brutality are rife in Libyan prisons two years after the overthrow of leader Muammar Gaddafi in a revolution launched under the banner of freedom and justice, a U.N. report said on Tuesday.

    Around 8,000 prisoners are held without trial in government jails on suspicion of having fought for Gaddafi, while countless others are detained by freelance militias out of sight and in primitive conditions, it added.

    A lire sur la Libye : Lignes de fracture en Libye, de Patrick Haimzadeh - Orient XXI
    http://orientxxi.info/magazine/lignes-de-fracture-en-libye,0372

    Les nombreux affrontements qui secouent la Libye nouvelle doivent très peu aux lignes de fracture mises en avant par les médias étrangers, notamment celle entre islamistes et laïques. Ils sont bien plutôt liés aux rivalités entre régions ou villes et aux comportements à l’égard de l’ancien régime.

    • Pétrole : la Libye espère revenir rapidement à une production normale

      http://www.romandie.com/news/n/_Petrole_la_Libye_espere_revenir_rapidement_a_une_production_normale_91021

      LONDRES - La Libye, dont la production pétrolière est perturbée par des grèves depuis cet été, espère revenir très rapidement à son niveau normal de production, de 1,6 million de barils par jour, a déclaré le ministre libyen du pétrole, Abdelbari al-Aroussi, mercredi à Londres.

      Notre plus grand défi est de ramener la production à 1,6 million de barils, a expliqué Abdelbari al-Aroussi, qui a précisé que la production actuelle oscillait entre 650.000 et 700.000 barils par jour.

      La production pétrolière de la Libye a été réduite à moins de 150.000 barils il y a quelques semaines en raison de grèves et de divers mouvements de protestations sur les installations pétrolières (champs et infrastructures d’exportations).

      Nous avons réussi à obtenir un accord avec la plupart des gens, seul un petit groupe nous pose toujours des problèmes, a détaillé le ministre libyen du pétrole à des journalistes en marge de la deuxième journée de la conférence Oil&Money.

      Nous ne pouvons pas utiliser la force. Nous essayons de convaincre les gens que ce n’est pas une façon d’exprimer leurs revendications, a-t-il expliqué.