person:alexandre lacroix

  • Le discours de Marine Le Pen ou les fondamentaux de la pensée d’extrême-droite
    http://ht.ly/wr9s1
    La Philo de l’Info, c’est chaque vendredi à 19h15. Alexandre Lacroix, directeur de la rédaction de Philosophie Magazine est notre partenaire pour cette séquence. Alexandre a envie de nous parler de Marine Le Pen, présidente du FN et plus précisément de son discours prononcé hier à l’issue du défilé parisien qui a rassemblé 5.300 personnes d’après la préfecture de police et 20.000 personnes d’après les organisateurs.
    #Philosophie #pensée #extrême_droite #UMP #PS

  • Les 400 culs : Romantique le #baiser ?
    http://sexes.blogs.liberation.fr/agnes_giard/2012/06/romantique-le-baiser-.html

    Essayant de trouver l’origine de cette étrange coutume, Alexandre Lacroix s’étonne de n’en trouver pratiquement aucune trace sur terre. « La pratique n’est pas universelle, dit-il, et, avant la récente mondialisation, de nombreuses cultures ignoraient tout du baiser (ce qui donne tort au passage, à ceux qui voient dans ce geste le simple prolongement d’un comportement animal). Dans le récit de son voyage autour du monde publié en 1772, Louis Antoine de Bougainville s’émerveille de la liberté des moeurs de Tahiti, fournit un luxe de détails sur les amours locales, mais ne mentionne nul baiser. Explorant l’Afrique équatoriale dans les années 1870, l’explorateur anglais Samuel White Baker relève l’absence du baiser et précise que dans certaines tribus, on se lèche les yeux pour témoigner sa tendresse. » Au Japon, où le baiser est l’équivalent d’une pénétration génitale ou anale, on se témoigne son affection en se nettoyant les oreilles à l’aide de spatules. Les habitants de la terre de feu se frottent mutuellement les joues en marque d’affection. En Laponie, chez les Iakoutes de Sibérie et en Chine, on pose son nez sur la joue de la personne aimée et on inspire l’air pour humer la personne, yeux fermés, afin de s’imbiber de son odeur. Le baiser, en revanche, semble être quelque chose d’étranger à ces cultures qui le relèguent bien souvent au rang de simple pratique sexuelle.

  • S’embrasser, c’est s’aimer ?
    http://sexes.blogs.liberation.fr/agnes_giard/2011/12/sembrasser-cest-saimer-.html

    Vous ne vous embrassez que deux fois dans la journée, vite-fait avant le travail ? Il a oublié de le faire ce matin ? Elle s’écarte stratégiquement quand vous vous approchez d’elle ? Il y a « comme un froid sur tes lèvres », suggère Alexandre Lacroix qui augure mal de votre relation future… Dans un essai à la fois horripilant et lumineux, Contribution à la théorie du baiser, Alexandre Lacroix affirme que sans cette marque d’affection un couple ne peut survivre longtemps. « Pour mesurer la force du lien sentimental, il suffit d’observer la régularité, la durée et l’intensité de leurs baisers. Rien n’est plus destructeur à la longue que l’oubli du baiser. » On pourrait se révolter contre cette forme de diktat insidieuse qui assimile le “calin” conjugal, l’insupportable mamour buccal, à une preuve d’affection… mais ce serait sans compter sur la force des symboles qui structurent notre vision du monde. Même ceux et celles qui se défendent d’aimer cette accolade faciale ne peuvent s’empêcher d’être heureux quand, dans un film hollywoodien, les deux héros échangent un long baiser !