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  • BCE répond à Mehrezia Laâbidi : Ce n’est qu’une femme après tout (vidéo) | Businessnews.com.tn
    http://www.businessnews.com.tn/BCE-répond-à-Mehrezia-Laâbidi—Ce-nÂ’est-quÂ’une-femme-après-tout-(vidéo),534,49914,3

    Dans l’interview accordée à Al Wataniya, ce soir du mercredi 1er octobre 2014, une phrase prononcée par Béji Caïd Essebsi a attiré l’attention des téléspectateurs. Après avoir clashé Abdellatif Mekki, BCE a eu à commenter les propos tenus par Mehrezia Laâbidi, vice-présidente de l’ANC et candidate d’Ennahdha aux législatives, à savoir qu’il a encouragé le terrorisme et qu’Ali Laârayedh l’a stoppé.

    « Ce n’est qu’une femme », a-t-il lâché en justifiant ses propos par une anecdote sexiste. Il s’agit d’une phrase qui va faire, probablement, couler beaucoup d’encre. Certains vont l’interpréter comme un geste de mépris envers la femme en la considérant comme étant un être inférieur qui ne mérite pas qu’on y réponde.
    D’autres diront qu’il s’agit d’une manière de la ménager car la tradition veut qu’un homme ne réponde pas par la violence à une violence quand elle émane d’une femme. Entre les deux interprétations, la polémique s’annonce virulente.

  • Tunisie : transition dans l’ordre ou nouvelle révolution sociale ?
    Tunisie - La Rue pousse le gouvernement à partir par la porte de derrière | Businessnews.com.tn
    http://www.businessnews.com.tn/details_article.php?a=43449&t=519&lang=fr&temp=3

    La journée du 9 janvier 2014 est à marquer, à plus d’un titre, dans l’histoire de la Tunisie avec l’annonce officielle de la démission du gouvernement d’Ali Laârayedh, devenant ainsi un simple cabinet de gestion des affaires courantes en attendant la formation de son successeur par Mehdi Jomâa, et l’annonce de la suspension des nouvelles taxes sur les moyens de transport, décrétées dans la Loi de finances 2014, jusqu’à sa révision par l’ANC.

    La démission d’Ali Laârayedh était, pourtant, prévue et programmée par la feuille de route, élaborée par le Quartet parrainant le dialogue national et signée par 21 partis politiques. Mais les dirigeants d’Ennahdha ont multiplié les déclarations faisant persister un flou artistique sur les réelles intentions du parti islamiste et du gouvernement de la Troïka.
    [...]
    Mais c’était compter sans cette « Intifadha » de la Rue qui a tout « balayé » sur son chemin et a fait l’effet d’un véritable séisme sous les pieds du pouvoir en place. En l’espace de quatre jours seulement, le mouvement populaire des agriculteurs et des transporteurs a pu avoir raison des ultimes résistances d’un gouvernement accrocheur.
    Il faut dire que les protestations ont fait tâche d’huile dans toutes les régions du pays et ont eu un effet boule de neige balayant tout sur leur passage : sièges de gouvernorats, de délégations du parti d’Ennahdha et des postes de polices sans oublier, bien entendu, le blocage de plusieurs routes, ce qui était annonciateur d’une paralysie totale de toute l’activité économique dans le pays.

    Face à cette détermination implacable et le risque de voir le pays mis à feu et à sang, Ali Laârayedh a été contraint de hâter la présentation de sa démission. Certaines sources indiquent que cette pression de la Rue a été relayée et renforcée par une autre, à savoir celle des pays étrangers desquels notre pays et notre économie dépendent en grande partie.

  • Tunisie – Le gouvernement retourne aux anciennes taxes pour les agriculteurs | Businessnews.com.tn
    http://www.businessnews.com.tn/details_article.php?a=43411&t=520&lang=fr&temp=3

    A l’issue de la réunion d’urgence tenue, mercredi 8 janvier 2014, avec le chef du gouvernement, Ali Laârayedh, l’UTAP (Union tunisienne de l’Agriculture et de la Pêche) a rendu public un communiqué dans lequel elle affirme qu’un accord a été trouvé aujourd’hui.

    En vertu de cet accord, il a été décidé de travailler avec les anciennes procédures relatives au paiement des taxes de circulation des véhicules de transport agricole. Le délai de paiement a également été prolongé jusqu’au 20 janvier courant et l’Union a appelé les agriculteurs à payer les tarifs dans les délais fixés. Une commission mixte formée par des représentants de l’UTAP et des ministères concernés sera, aussi, formée afin d’étudier les problématiques inhérentes au secteur agricole.

  • Projet de loi sur le régime du Waqf (Habous) - Un Etat religieux dans l’Etat civil
    http://www.lapresse.tn/13112013/74891/un-etat-religieux-dans-letat-civil%C2%A0.html
    Une nouvelle critique du projet de restauration du régime juridique des biens habous en Tunisie, proposé par les députés d’Al Nahda

    « On jette les bases de l’Etat religieux avant de passer à son édification »

    Pour quelles raisons, le gouvernement démissionnaire de Ali Laârayedh et l’ANC réduite à sa majorité tiennent-ils à passer un projet d’une telle envergure et de si peu d’acuité en ce moment particulier d’impasse politique et de crise économique ? Selon l’économiste, universitaire et homme politique Hassine Dimassi, l’objectif du gouvernement, de l’ANC et des architectes de ce projet de loi est de préparer les bases matérielles et infrastructurelles d’un Etat religieux à inclure dans une première étape dans l’Etat civil. Dans une première étape, la restauration du Waqf donnera lieu à un Etat dans l’Etat.
    Diversion ? « Le projet sonne plutôt comme une affaire du plus grand sérieux et de la plus haute importance. Il s’inscrit dans la stratégie mondiale d’islamisation progressive des pays arabes. Il s’agit d’une toute première étape : on crée un Etat dans l’Etat ; on jette les bases de l’Etat religieux avant de passer à l’étape de son édification ».
    Ce qui s’est passé lundi à l’ANC lui donne raison. La séance a été rehaussée par la présence exceptionnelle du rapporteur général de la constitution, Habib Khédher et d’un groupe d’experts : un professeur à la faculté de droit et des sciences politiques de Tunis, un enseignant à l’université Ezzitouna, un conseiller auprès de la cour des comptes, un conservateur de la propriété foncière qui ont en commun la référence islamiste. En parfait accord avec les députés de la majorité membres des deux commissions, ils décrètent que « le projet salvateur a juste besoin d’être dépoussiéré et réformé après les dérives dont il était l’objet dans le passé ». En l’absence des députés de l’opposition, ce furent trois heures de discussions sereines, de cohésion et d’unanimité.

    #Tunisie
    #habous
    #waqf

  • Tunisie – Est-ce le bon retour de Kamel Morjane ? | Businessnews.com.tn
    http://www.businessnews.com.tn/Tunisie-–-Est-ce-le-bon-retour-de-Kamel-Morjane-,519,36968,1

    Le vote des représentants du Parti « Al Moubadara » de Kamel Morjane à l’Assemblée nationale constituante (ANC) en faveur du nouveau gouvernement d’Ali Laârayedh a fait couler beaucoup d’encre et soulevé de multiples réactions dans les milieux politiques.
    Certains analystes voient dans cette position une tentative de M. Morjane de se rapprocher d’Ennahdha dans l’espoir de se voir lever l’interdiction de voyage, arrêter les poursuites judiciaires lancées contre lui et fermer les yeux sur l’affaire des passeports délivrés à Ben Ali et à des membres de sa famille.

  • Journal Le temps -Sondage Emrhod Consulting - Ennahdha reste en tête des intentions de vote avec 19,5%
    http://www.letemps.com.tn/article-74261.html

    Nidaâ Tounes talonne de près Ennahdha avec 18,7%

    Béji Caïd Essebsi en première position pour la présidentielle et montée fulgurante de Hamadi Jebali

    42% des personnes sondées estiment que la désignation de Ali Laârayedh comme Chef du gouvernement est inappropriée

    Le mouvement islamiste Ennahdha reste le parti le plus populaire en Tunisie, selon un sondage réalisé par le cabinet Emrhod Consulting. Ce parti qui a remporté les élections du 23 octobre 2011 récolte, en effet, 19,5% des intentions de vote pour les élections législatives