person:barak obama

  • Une fin de règne sans gloire pour Barak Obama. Un Nobel qui a fait la guerre à la paix. - RipouxBlique des CumulardsVentrusGrosQ
    http://slisel.over-blog.com/2017/01/une-fin-de-regne-sans-gloire-pour-barak-obama.un-nobel-qui-a-fait-

    « La paix n’est pas l’absence de guerre, c’est une vertu, un état d’esprit, une volonté de bienveillance, de confiance, de justice. »

    Baruch Spinoza, philosophe (1632 – 1677)

     

    Ça y est, le président Obama s’en va laissant Donald Trump prendre en charge le pouvoir ! Avant de revenir sur la dernière partie de la présidence, à savoir l’engagement sans retenue de Obama pour l’élection de Hillary Clinton, nous allons à notre façon donner un point de vue parmi tant d’autres de citoyens lambda appartenant à ce continent des ténèbres qu’est l’Afrique et cher à Hegel, mais aussi à cette espérance religieuse diabolisée car instrumentalisée du fait de ses dirigeants complaisants avec l’Empire qui les adoube et d’où ils tirent leurs seules légitimités pour le plus grand malheur de leur peuple.

    Souvenons-nous de l’espoir suscité par la candidature de Obama, sa venue était vue comme une bénédiction du ciel après les années de feu, de sang, de malheur des deux mandatures de George Walker Bush. Le discours de rupture d’Obama, et même sa nomination, nous faisait espérer- grands naïfs que nous sommes- le retour de l’american way of life, celle d’Armstrong marchant sur la Lune, celle des pères fondateurs de la démocratie et de la liberté. Cette Amérique qui a pris le pari d’élire un Afro-Américain consacrant ainsi le rêve de Martin Luther King « I have a dream… ».

    Le capital de confiance et d’espoir des damnés de la Terre était immense, d’autant qu’à tort ou à raison, nous Africains nous nous sentions rétablis dans notre dignité après deux siècles d’esclavage. Ce fut d’autant plus beau que malgré les dénégations d’Obama affirmant qu’il est chrétien, beaucoup d’entre les naïfs que nous sommes pensaient à tort qu’un président qui a dans sa famille des parents musulmans ne peut que développer de l’empathie avec l’Islam.

    Ceci nous fut confirmé par le fameux discours du Caire Salem Alikoum., « Je vous salue »

    Il parle à cette occasion de « nouveau départ » pour qualifier la relation que l’administration qu’il dirige veut développer entre son pays et le monde arabo-musulman. Le président a su choisir trois bonnes citations du Coran, des allusions à l’âge d’or de l’islam et à sa contribution scientifique dont a pu bénéficier l’Occident ; il a réaffirmé très fortement la liberté de conscience en faveur des musulmans aux États-Unis, et plus généralement Obama aura apporté à la sensibilité inquiète du monde musulman, les apaisements que celui-ci attendait depuis longtemps.

    Dans ce qui suit nous allons montrer les faits les plus saillants vus encore une fois du Sud, nous survolerons rapidement l’aspect économique et l’obamacare qui est en passe d’être détricoté avant même la fin du mandat d’Obama et les meurtres racistes qui ont augmenté.

    Bref inventaire de l’héritage d’Obama ayant consensus en Occident

    Obama c’est avant tout le verbe et la verve. Retour sur trois paroles qui ont marqué l’opinion lors des années de présidence de Barack Obama. « Oui nous pouvons » : « « Yes we can. » Le slogan choisi pour la campagne de Barack Obama en 2008 est indissociable de sa présidence. Il a eu deux significations : celui d’une Amérique qui veut en finir avec les années Bush et celui d’une communauté afro-américaine qui voit pour la première fois un président métis s’installer à la Maison-Blanche. « L’audace d’espérer. » « L’espoir face aux difficultés, l’espoir face à l’incertitude, avait-il martelé. L’audace d’espérer est le plus grand don que Dieu nous a donné. » « Je parie que demain, vous rejetterez la peur, et choisirez l’espoir. » « L’Amérique que j’aime. » L’Amérique qui se dessine dans les discours de Barack Obama est celle qui aurait assumé ses divergences politiques et assimilé ses différentes communautés. « Il n’y a pas d’Amérique blanche, ou d’Amérique noire, d’Amérique asiatique ou latino. Mais les États-Unis d’Amérique. » (1).

    Les avis divergent sur l’héritage de la présidence de Barack Obama. La Tribune de Genève dresse un bilan avec quelques témoignages : « Grâce à l’Obamacare, 20 millions d’Américains qui n’avaient pas d’assurance-maladie ont pu s’en offrir une. Barack Obama n’a toutefois jamais réussi à vendre à ses concitoyens cette réforme qui les oblige à contracter une assurance-maladie, et les républicains ont entamé l’abrogation de la loi la semaine dernière. En matière d’environnement, M. Obama a soutenu l’accord de Paris sur le climat en 2015. Il a aussi protégé 141 millions d’hectares de terres et de mers contre leur exploitation à des fins énergétiques, tout en réduisant de moitié l’importation de pétrole des Etats-Unis. » (2)

    Le lynchage d’El Gueddafi

    A la suite des printemps arabes mis en oeuvre par les officines occidentales, les pays occidentaux pensaient rechaper le Monde arabe à moindre frais d’une façon soft. Ainsi, le président Obama a laissé faire Hillary Clinton en l’occurrence dans cette mise à mort voulue par Sarkozy conseillé par Bernard-Henry Lévy et Cameron. Pour Hillary Clinton, l’élimination du « dictateur » El Gueddafi qui eut pour épitaphe – Je suis venu, j’ai vu, il est mort » fut son plus grand succès et devait la qualifier pour la présidence grâce au succès de sa « stratégie de changement de régime ». Ses emails révélés par le FBI sont la preuve de cette attente. Hillary avait adopté avec enthousiasme la politique des néoconservateurs et des interventionnistes libéraux prônant le renversement de gouvernements qui manquaient de respect pour la seule superpuissance, nation exceptionnelle, indispensable et unique leader du monde.

    La mort de Ben Laden : la promesse tenue, gage de la réélection

    Une autre prouesse à l’actif d’Obama, le meurtre en direct de Ben Laden à la télévision américaine et sous les yeux ravis du président des Etats-Unis et des principaux membres de son gouvernement tombés en extase a été un « bon point » pour le deuxième mandat. la traque d’Oussama Ben Laden a été autant une mission des différents présidents de Bill Clinton en passant par George W. Bush « Je veux Ben Laden mort ou vif » jusqu’à Barack Obama.Annonçant la mort de l’ennemi numéro un des Etats-Unis, il déclare : « Peu de temps après ma prise de fonction, j’ai demandé au directeur de la CIA de faire de la mort ou de l’appréhension de Ben Laden notre première priorité dans la lutte contre Al Qaïda. » Obama clamera qu’il est celui qui a éliminé la menace. Ben Laden sera jeté à la mer.

    Politique étrangère : Syrie, Libye

    « Le récent déplacement du président américain à La Havane lit-on sur cette contribution de Ouest France a bien sûr couronné de succès l’ouverture des États-Unis vers Cuba. Obama peut également s’attribuer une partie du mérite quant à l’accord nucléaire avec l’Iran. Pourtant, le bilan d’Obama en matière de politique étrangère est loin de faire l’unanimité. En atteste le débat suscité par le très long entretien accordé par le président à la revue The Atlantic dans son édition de mars. Concernant la Syrie, le fait marquant reste la décision de la Maison-Blanche de ne pas intervenir militairement en août 2013. Obama revendique cette décision, au prétexte que « les États-Unis ne peuvent pas tout ». Revenant en détail sur l’intervention en Libye en 2011, Obama déclare « qu’il faisait peut-être trop confiance aux Européens « pour faire le suivi de cette intervention ». Et de mentionner la défaite de Nicolas Sarkozy à la présidentielle de 2012. Bref, un fiasco qui fait aujourd’hui de la Libye l’un des terreaux du djihadisme salafiste. Barack Obama accuse les Européens et les pays arabes d’être des free-riders (profiteurs), relayant hélas le discours de certains candidats républicains, comme Donald Trump qui appelle au désengagement de l’Amérique face aux « coûts énormes » de l’Alliance transatlantique. Très critique vis-à-vis de l’Arabie saoudite, Obama demande à celle-ci de « partager le Moyen-Orient » avec son ennemi iranien. (..) Barack Obama témoigne d’un grand intérêt pour l’Asie-Pacifique depuis l’invention du terme « pivot asiatique » au début de sa présidence. Selon lui, c’est dans cette région que se trouvent les intérêts des États-Unis, et c’est là que se trouve le concurrent – ou partenaire ? – principal : la Chine. » (3)

    Trois bombes par heure dans le monde en 2016

    Pour un président de paix, il y eut plus de guerres plus d’armes vendues. Un rapport du Council on Foreign Relations (CFR) a montré que Washington a bombardé la Syrie, le Pakistan, l’Afghanistan, la Libye, le Yémen ainsi que la Somalie en 2016. Pas moins de 26 171 bombes ont été larguées. 72 par jour. Trois par heure. Les frappes militaires américaines ont été nombreuses en 2016. Très nombreuses. Le toujours président des Etats-Unis avait fait du désengagement militaire de son pays une promesse de campagne, pourtant, le think tank basé à New York nous apprend que Washington a bombardé au moins sept nations en 2016 : la Syrie, l’Irak, le Pakistan, l’Afghanistan, la Libye, le Yémen et la Somalie. Sans surprise, la très grande majorité des bombardements américains ont concerné la Syrie et l’Irak. 24 287 bombes y ont été larguées selon les comptes du CFR. (…) En 2008, alors qu’il menait campagne il avait assuré que lorsqu’il deviendrait commandant en chef des forces armées, il « fixerait un nouvel objectif dès le premier jour » : la fin de la guerre en Irak. « Je mettrai un terme à cette guerre en Irak de manière responsable et terminerai la lutte contre al-Qaïda et les Taliban en Afghanistan. » (4)

    Les Etats Unis champion des ventes d’arme

    S’agissant du carburant des guerres, la fabrication et la vente des armes, tout va bien Selon l’organisme suédois Sipri, le marché des armes est florissant. En 2014, les dépenses militaires mondiales se sont élevées à 1 776 milliards de dollars, ce qui représente 2,3% du produit intérieur brut mondial et environ 245 dollars par habitant En 2015, les 100 principales entreprises productrices d’armement dans le monde ont affiché globalement un chiffre d’affaires de 356,7 milliards USD réalisés dans les contrats d’armement (sur un chiffre d’affaires total de 1 118,1 milliards USD), Les Etats Unis , interviennent en moyenne pour 30 % des ventes. (5)

    Là encore, il y eut un désenchantement des partisans de la paix. Pratiquement tous les pays européens, mais aussi la Russie, la Chine et Israël ont alimenté les guerres certaines fois en vendant des armes aux deux belligérants ! A croire le niveau des vies des occidentaux dépend du nombre d’armes vendues en clair du nombre de morts , de blessés et de désolation de pays vulnérables et misérables qui, certaines fois n’ont pas d’argent pour nourrir leurs peuples, mais trouvent toujours moyen de s’endetter pour se battre contre d’autres miséreux ou pour tenir en respect leurs peuples dans des gouvernances interminables où le mot alternance n’a aucun sens. Dans ces pays, il n’y a que le darwinisme providentiel ou l’émeute fomentées bien souvent par les pays occidentaux pour leurs propres intérêts pour arriver à l’alternance généralement aussi catastrophique… Dans ces pays le lobby de l’armement dirige d’une façon invisible le pays . Aux Etats Unis un seul président, Eisenhower, eut le mérite d’avertir le peuple américain contre le danger de la mainmise sur le pouvoir du complexe militaro-industriel.

    Dans ce contexte pour juger du niveau des armes vendues , Nadia Prupis parlant de ce marché de la mort écrit :

    « Les États-Unis ont vendu plus d’armes que n’importe quel autre pays en 2015, malgré une baisse du commerce mondial des armes, selon un nouveau rapport du Congrès. Avec 40 milliards de dollars, les États-Unis ont signé plus de la moitié de tous les accords d’armement l’an dernier et plus du double du pays en deuxième place, la France, à 15 milliards de dollars. Les ventes d’armes américaines comprenaient des bombes, des missiles, des chars blindés, des hélicoptères d’attaque Apache, des chasseurs F-15 et autres articles (…) » (5).

    On l’aura compris les dirigeants arabes sont aux premiers loges pour acheter les armes. Nadia Prupis écrit :

    « Les principaux acheteurs, quant à eux, étaient le Qatar, l’Égypte, et l’Arabie saoudite, Beaucoup de ces armes ont été utilisées pour aider la coalition menée par l’Arabie saoudite et soutenue par les États-Unis à combattre les rebelles au Yémen, entraînant des pertes civiles élevées. Le Guardian note que les résultats concordent avec une autre étude récente, qui concluait que l’administration Obama avait approuvé pour plus de 278 milliards de dollars de vente d’armes en huit ans, soit plus du double de l’administration Bush, 128,6 milliards de dollars. » (6)

    La journaliste bien connue, Diana Johnstone décrit la paranoïa qui sévit à la fois dans le parti démocrate, mais aussi au sein de l’Administration actuelle qui accélère les mesures de rétorsion contre la Russie pour les rendre irréversibles, tels que l’expulsion de 35 diplomates fin décembre et l’accélération du déploiement des troupes américaines en Pologne à la frontière avec la Russie.

    « L’impertinence de Vladimir Poutine, écrit-elle, ouvertement en faveur d’un « monde multipolaire », l’a hissé à la première place dans la liste des méchants. Il est promu « dictateur » et « menace existentielle » aux yeux de la nation exceptionnelle, cible numéro un du changement de régime. Hillary Clinton et ses partisans politiques et médiatiques s’accordent pour attribuer sa défaite à un complot mené par Vladimir Poutine visant à changer le régime aux Etats-Unis. Jamais à Washington n’a-t-on vu un parti au pouvoir si incapable d’accepter l’alternance, si vindicatif, si avide de trouver des boucs émissaires, si prêt à violer toutes les bienséances démocratiques et diplomatiques, si prêt à pratiquer la politique de la terre brûlée, même aux dépens de ces « valeurs » dont il se proclame le défenseur indispensable, à commencer par la liberté d’expression ? » (7)

    La folie de fin de règne à Washington : la phobie de Poutine

    S’agissant de la comédie visant à impliquer Poutine dans l’ingérence dans les élections, les Etats-Unis qui ont déclenché 200 guerres en 240 ans d’existence n’ont jamais cessé d’interférer quand leurs intérêts étaient en jeu. : « Tout Washington est scandalisé, tandis que les membres du Congrès rivalisent entre eux pour diaboliser la Russie à cause de sa supposée ingérence dans la récente élection présidentielle américaine. « Toute intervention étrangère dans nos élections est absolument inacceptable », a déclaré Paul Ryan, le président de la Chambre des représentants. Cet éclat de vertueuse indignation serait plus facile à gober si les Etats-Unis n’avaient pas eux-mêmes pris l’habitude chronique d’intervenir dans les élections à l’étranger. Sur une période d’un peu plus d’un siècle, les leaders américains ont utilisé toute une variété d’outils pour influencer les électeurs dans des pays étrangers. Nous avons choisi des candidats, les avons conseillés, financé leurs partis, conçu leurs campagnes, corrompu les médias pour les soutenir et menacé ou calomnié leurs rivaux ».(8)

    Une appréciation rendant compte de ce désamour graduel nous est donné par une diplomate russe : « La politique étrangère de l’administration Barack Obama au cours des huit années de la présidence d’Obama « suscite l’aversion du monde entier », a déclaré la porte-parole du ministère russe des Affaires étrangères, Maria Zaéskharova. « Je pense que cet homme [Obama] et son équipe – naturellement, parlant de l’homme, nous entendons l’équipe qui s’est révélée mauvaise pour tous sur la scène mondiale », Selon la diplomate russe, du point de vue moral, on peut blâmer l’équipe d’Obama d’avoir commis un « crime » car il a démontré que « le plus fort a des droits illimités à faire le mal ». (9)

    En définitive rien de nouveau sous le soleil ! Tous les président américains à partir de la chute du mur de Berlin furent frappés d’hubris , une sorte de messianisme de la certitude de la « Destinée Manifeste » qui leur donne mission de régenter le monde. Cela a commencer avec Georges Bush père qui parlait déjà après avoir laminé l’armée irakienne en 1991, du nouvel ordre mondial vertueux étant la seule hyper-puissance selon le bon mot de Hubert Védrine et ayant sonné d’après Francis Fukuyama, l’idéologue du Pentagone, la fin de l’histoire et annoncé un âge d’or qui allait durer mille ans.

    On sait comment cette histoire est en train de se dérouler , car nous eûmes après Bill Clinton qui s’illustra par le dépeçage des balkans avec la complicité de l’Europe et notamment de l’Allemagne Ce sera aussi la presque décennie du pétrole contre nourriture, une histoire abjecte dont l’épilogue fut la mort de 500.000 enfants prix à payer – pas cher- selon Madeleine Albright pour faire partir Saddam Hussein qui n’est parti que plus tard. Il a fallu l’avènement de Georges Walker Bush pour que la sentence s sentence « to be hanged by the neck until you are dead » se réalise un matin de janvier de l’aid el adha en guise de sacrifice,’ il y a dix ans sous la gouvernance d’un certain Paul Bremer gouverneur d’un Irak en miettes Ces présidents venaient avec leurs certitudes gravées dans l’arbre ,bouleverser des équilibres sociologiques culturels et cultuels plusieurs fois millénaires en y semant le chaos constructeur selon Condolezza Rice

    La présidence Obama ne fut pas différente sauf que nous avons cru en ses promesses de désengagement de l’Irak, de l’Afghanistan. Nous seulement ne se fit pas, mais sous l’ère Obama fut inaugurée la terrible guerre des drones reapers et autres ; Pour ne pas risquer la mort des GI’S rien de plus simple : Une salle climatisée du fin fond du Texas, un contrôle par satellite et une décision de mort par drone interposé. Il suffit alors au soldat de jouer au joystick pendant qu’à des milliers de kms de là c’est la mort, le deuil la désolation des vies brisées des pays en miettes. Non content de tout cela après l’épisode Bin Laden, deux conflits marquent l’ère Obama, la Syrie vidée de sa sève ,plusieurs milliers de morts et de blessés, la destruction honteuse de la Lybie avec deux vassaux le tandem Sarkozy – Hollande et David Cameron dont les prouesses envers les faibles aboutirent au lynchage de Kadhafi. Enfin la tolérance envers l’Arabie Saoudite pour causes de contrats d’armements et de pétrole s’avère être une complicité dans la mort silencieuse du peuple yéménite

    L’Occident s’est empressé de décerner le prix Nobel de la paix à Barack Obama pour la promesse d’une paix qui n’est jamais arrivée. Peut-être que le Comité Nobel ne sera plus aussi chaud pour l’octroi de ce prix ? De plus s’agissant justement de la paix du monde, les années Bush ont traumatisé le monde, mais on ne s’attendait à rien de bon. Avec Obama nous avons cru à ses promesses qui comme dit Jacques Chirac n’engagent que les naïfs que nous sommes. A la place nous découvrons en fait « l’american way of war »… de l’empire qui tarde à comprendre que tout le monde aura à gagner avec un monde multipolaire. Peut être là encore un vœu pieux avec le nouveau président Trump avec son obsession protectionniste.

    Professeur Chems Eddine Chitour

    Ecole Polytechnique Alger

     

    1.http://www.la-croix.com/Monde/Ameriques/Trois-grandes-paroles-Barack-Obama-2017-01-15-1200817339

    2. http://www.lemonde.fr/ameriques/article/2017/01/16/bilan-d-obama-le-paradoxe-americain_5063393_3222.html#ShE0hJ4U2o3afToz.99

    3.http://www.ouest-france.fr/debats/point-de-vue/politique-etrangere-le-bilan-discute-dobama-4149159

    4.http://reseauinternational.net/les-etats-unis-ont-largue-lequivalent-de-trois-bombes-par-heure-dans-le-monde-en-2016/#EYWYhUfTrZXxOtOX.995.

    5.http://www.grip.org/fr/node/1942

    6.Nadia Prupis http://lesakerfrancophone.fr/alors-que-le-commerce-mondial-declinait-la-vente-darmes-etasunien

    7.https://francais.rt.com/opinions/31994-folie-fin-regne-washington

    8.http://www.mondialisation.ca/usa-nous-intervenons-dans-les-elections-dautres-pays-depuis-plus-dun-siecle/5568909

    9. ttp ://lesakerfrancophone.fr/le-monde-entier-est-degoute-par-la-politique-etrangere-de-ladministration-obama

     

     Article de référence :

    http://www.lexpressiondz.com/chroniques/analyses_du_professeur _chitour/258595-un-nobel-qui-a-fait-la-guerre-a-la-paix.html

    La source originale de cet article est Mondialisation.ca
    Copyright © Chems Eddine Chitour, Mondialisation.ca, 2017

  • J – 138 : Aujourd’hui j’ai décidé que j’allais faire une petite séance de défonce de portes ouvertes. Clint Eastwood. Cinéaste de droite, et révisionniste. Son dernier film. Sully . Film de droite jusque dans son esthétique. Vous voyez la démonstration ne devrait pas poser trop de difficulté.

    Et du coup on peut même se poser la question de savoir ce que je pouvais bien faire dans une salle de cinéma pour voir le dernier film de Clint Eastwood, qui plus est avec ma fille cadette, la merveilleuse Adèle, qui mérite sans doute mieux, dans son parcours de formation, notamment au cinéma. De même que j’avoue une prédilection tout à fait coupable pour les films de James Bond, je dois reconnaître que j’aime par-dessus tout le film de catastrophe aérienne, même quand ils sont assez mauvais et j’en rate peu et du coup je peux dire qu’ils sont généralement unanimement mauvais, les pires étant souvent ceux de détournements d’avions avec sauvetage héroïque par des troupes d’élite, autant vous dire que ceux-là ne sont pas mes préférés. Expliquer pourquoi mon goût cinéphile est aussi déplorable, s’agissant des films de James Bond, est assez embarrassant, cela a beaucoup à voir je crois avec une certaine scène du premier James Bond dans laquelle on voir Ursula Andres sortir de l’eau dans un bikini blanc fort chaste à l’époque, complètement ravageur du point de vue de ma libido naissante, pré-adolescent, en colonie de vacances à Villars de Lans, le film projeté avec un vrai projecteur, sur un drap tendu dans la salle de ping-pong, la plupart d’entre nous assis parterre. Pour ce qui est des films de catastrophe aérienne, c’est un peu moins honteux, cela a à voir aussi avec un souvenir d’enfance, mais d’un tout autre ordre. Mon père était ingénieur en aéronautique, et il est arrivé, plus d’une fois, quand nous étions enfants, mon frère Alain et moi, qu’il soit appelé, c’était souvent le soir, au téléphone à la maison, pour conseiller à distance des équipes techniques ou carrément remettre son pardessus et sa cravate et repartir au travail faire face à des situations, dont il lui arrive aujourd’hui de parler plus librement et qui n’avaient rien de simple apparemment, certaines sont assez cocasses comme l’histoire de cette vieille dame qui avait été mal aiguillée, en partance dans un vol pour la Côte d’Ivoire et qui au bout d’une douzaine d’heures de vol s’étonnait auprès d’une hôtesse de n’être toujours pas arrivée, indocte qu’elle fut qu’elle était en fait sur le point de se poser à Singapore. D’autres anecdotes sont sans doute moins plaisantes. Un soir, nous regardions en famille un film dont je viens de retrouver le titre en faisant la rechercher suivante, « film de catastrophe aérienne » + « Burt Lancaster », il s’agit donc d’ Airport , film de 1970, dont de nombreuses scènes se passent dans la tour de contrôle d’un aéroport aux prises avec une situation de crise et dans lequel film un personnage se tourne vers le personnage interprété par Burt Lancaster, « et maintenant qu’est-ce qu’on fait Chef ? » Et mon frère Alain, rarement en manque de répartie, avait répondu : « On appelle De Jonckheere ». Les films de catastrophe aérienne vus à la télévision en famille avaient pour moi cet éclairage particulier que de temps en temps, ils faisaient sourire mon père qui commentait gentiment que certains situations étaient hautement improbables. Bref, je garde pour le souvenir d’Airport de George Seaton, 1970, comme pour celui de ces soirées de télévision familiales lointaines, une prédilection étonnante, eut égard à mon rapport assez critique en général à propos des films de fiction, donc, pour les films de catastrophe aérienne.

    Les films de catastrophe aérienne sont unanimement mauvais, j’aurais bien du mal à en sauver un dans le genre, peut-être le Vol du Phenix de Robert Aldrich avec James Stewart, mais ce n’est pas non plus un chef d’œuvre, mais le récit est assez étonnant.

    Et donc Sully de Clint Eastwood. Avec Adèle en plus. La honte.

    Depuis une dizaine d’années Clint Eastwood réécrit la grande narration performative et nationale des Etats-Unis, ne se contenant d’ailleurs pas toujours de réécrire avantageusement l’histoire de son pays, puisque son récit d’Invictus fait l’éloge inconditionnel de Nelson Mandela et voudrait nous faire croire que la nation multicolore sud africaine s’est bâtie sur la victoire des Bocks sur les All Blacks , comme c’est mignon, comme c’est loin de la réalité et comme surtout ce passe sous silence la pieuse tricherie du bon Mandela ( http://www.desordre.net/blog/?debut=2010-05-02#2487 ), pareillement le récit d’American Sniper est à gerber, qui, même s’il frôle par endroits à quel point quelques soldats américains auront laissé des plumes dans cette guerre d’Irak du fils, continue de remarquablement regarder ailleurs quand il s’agirait de considérer le martyr de la population irakienne, mais que voulez vous Clint Eastwood il est américain, à ce titre, il pense que les éléments de sa nation ont des droits supérieurs et valent mieux que les habitants d’autres pays, pensez s’il va se pencher sur la souffrance d’un pays du tiers Monde même si ce dernier est pétrolifère, il est au contraire plus urgent de construire une statue de commandeur à un gars de chez lui, probablement con et inculte comme une valise sans poignée, mais très doué pour ce qui est de dégommer des Irakiens à distance, aussi con que soit ce type il est aux yeux de Clint Eastwood et d’une nation de lavés du bulbe l’homme providentiel, concert de klaxons à ses funérailles, pauvre type providentiel, pauvres types qui klaxonnent.

    Sully donc, surnom de Chesley Sullenberger admirable commandant de bord qui en janvier 2009, avec une maestria et un sang-froid, un peu hors du commun tout de même, a réussi à amérir sur l’Hudson alors qu’il venait de décoller de La Guardia et quelques minutes plus tard, de perdre les deux moteurs de son airbus A320, d’où la nécessité de se poser, mais, las, aucune possibilité d’aller se poser sur une piste voisine. Cette catastrophe aérienne évitée, les 155 passagers de ce vol, de même que le personnel de bord tous sauvés, par ce geste extraordinaire de Chesley Sullenberger, quelques jours plus tard, le maire de New York lui remet les clefs de la ville et quelques jours encore plus tard il est invité à la première cérémonie d’investiture de Barak Obama, c’est vrai qu’après les huit années catastrophiques de Bush fils, on pouvait y voir un signe prometteur, on remarque d’ailleurs que Clint Eastwood en bon républicain crasse de sa mère coupe bien avant.

    Bon c’est sûr avec un miracle pareil, vous avez un film. Encore que. L’incident en lui-même et le sauvetage, c’est suffisamment répété dans le film, ne durent que 208 secondes, le sauvetage des passagers ayant ensuite trouvé refuge sur les ailes de l’avion, une vingtaine de minutes, du coup évidemment, il faudra recourir à quelques artifices du récit, surtout en amont, le coup des trois passagers qui attrapent leur vol in extremis, le gentil commandant de bord qui connait tout le monde à La Guardia, même la vendeuse de sandwichs pakistanaise, et ensuite en aval, la célébration du héros, foin du miracle trop rapide pour le cinéma, en brodant un peu, vous l’avez votre film.

    C’est sans compter sur la volonté dextrogène du Clint Eastwood républicain de sa mère, il ne suffit pas que l’avion se soit posé, que les passagers soient sauvés, Sully est un homme providentiel et si vous n’aviez pas compris que d’aller poser son coucou sur les eaux glacées de L’Hudson en janvier était miraculeux, on va vous le montrer et vous le remontrer, un certain nombre de fois, quatre ou cinq fois si ma mémoire est bonne, et comme on peut douter que vous ayez vraiment compris que Sully il a vraiment été très fort, on vous montre aussi, cela aussi répété trois fois, ce qu’il aurait pu se passer s’il n’avait pas été assez fort, c’est-à-dire, l’avion aller se cracher sur les banlieues denses du New Jersey, sauf que ces dernières étant peu photogéniques, on dira que c’était l’Hudson River ou le sud de Manhattan et là autant vous dire que cela claque visuellement, et des fois que vous n’ayez toujours pas compris que cette scène est un remake d’un truc qui s’est déjà produit au même endroit un certain 11 septembre, dont la moitié des Américains seulement sont capables de savoir que c’était celui de l’année 2001 — ils savent juste que c’est nine-eleven comme ils disent —, on n’est pas aidé avec un public pareil, pas étonnant que le vieux Clint Eastwood républicain de sa maman il soit un peu obligé de souligner certains passages trois fois en rouge, bref si vous n’aviez pas suivi que c’était à cela que cela faisait référence, vous aurez une scène qui vous dira que oui, un tel miracle à New York cela fait du bien, qui plus est un miracle aéronautique. Bref du lourd, du charpenté, des câbles d’amarrage pour ficeller le récit. Vous avez compris que Sully c’était un héros ? Un type providentiel ? C’est bon je n’insiste pas ?

    Ben Clint Eastwood, républicain, je crois que je vous l’ai déjà dit, qui aime croire à la providence des grands hommes du cru, il ne voudrait pas non plus que vous ignopriez qu’en plus le héros, on l’a emmerdé vous n’avez pas idée, parce que voilà quand même on se demandait si à la base il n’aurait pas commis un erreur de jugement et que si cela se trouve, en fait, il aurait très pu aller poser son coucou sur la piste de Newark dans le New Jersey tout juste voisin et que là quand même, en choisissant un terrain aussi défavorable et risqué il a quand même pris un sacré pari, un pari à 155 âmes. Alors à la commission d’enquête, ils ont peut-être été un peu tatillons, blessants, peut-être, envers le héros national en tentant de lui opposer que certes l’histoire se finit bien encore que le zingue qui a dû coûter un bras, ben il est au fond de l’eau, sans doute pas réparable. A vrai dire, c’est possible, je n’en sais rien, je m’en fous un peu même. Je note aussi au passage que Clint Eastwood de la providence républicaine dans cet endroit du film commet surtout le plagiat assez éhonté d’un très mauvais film, Flight de Robert Zemeckis, et que si cela se trouve c’est avec cette enquête prétendument interminable qu’il comble et qu’il meuble, là où le récit dans sa durée originale n’est peut-être pas suffisant pour tenir le film entier, même répété à l’envi. A vrai dire je ne connais pas bien l’histoire et ma curiosité n’est pas si grande, moi ce que j’aime dans les films de catastrophe aérienne, ce sont les scènes d’avion — et là j’ai bien aimé, faut avouer, la scène avec les deux F4 au dessus du Nevada, mais je m’égare —, il y a sans doute eu une enquête, elle a peut-être été un peu pénible, ce n’est même pas sûr, elle est présentée dans le film comme un péché de l’adminsitration, pensez, Clint Eastwood de sa maman, il a appelé à voter Trump, alors pensez si effectivement il va faire les louanges de quelque administration que ce soit, ce que je sais, et que le film ne dit pas c’est que la semaine suivante, le Chesley Sullenberger il était l’invité de Barack Obama pour sa première investiture à la Maison Blanche, de là à penser qu’il n’avait pas beaucoup de raisons de s’inquiéter sur la suite de la fin de sa carrière...

    Et, finalement, ce n’est pas tout, il y a une chose qui est entièrement passée sous silence dans ce film, dans l’après accident, plutôt que de passer des témoignages, genre télé-réalité de passagers miraculés pour entrelarder le générique, Clint Eastwood s’est bien gardé de nous dire que Chesley Sullenberger, son Sully donc, avait, en fait, intelligemment profité de son quart d’heure warholien pour attirer l’attention du Sénat américain sur les dangers de la dérégulation aérienne aux Etats-Unis, les mauvaises pratiques de la formation des jeunes pilotes et la dépréciation alarmante de la profession (c’était une chose que j’avais lue je ne sais plus où, et dont il me semblait aussi l’avoir vue dans un film, Capitalism, a love story , de Michael Moore, cinéaste dont je ne pense pourtant pas le plus grand bien, mais, vous l’aurez compris, pas autant de mal que Clint Eastwood).

    En fait ce que cela m’apprend, c’est que cette érection de l’homme providentiel m’est insupportable, on l’a bien compris, surtout envers et contre toutes les logiques collectives pourtant possibles, c’est le principe de tout programme de droite, se goberger pendant que cela dure et quand cela ne dure pas, ne plus avoir d’autres alternatives que d’attendre que l’homme providentiel — comme Roosevelt a su le faire en insufflant un peu de communisme dans le moteur capitaliste, ce qu’Obama n’a pas su faire, non qu’il n’ait pas nécessairement essayé d’ailleurs, pourtant, comme le montre Laurent Grisel, dans son Journal de la crise , ce qui marche dans le capitalisme c’est le communisme —, ne sauve la situation pour pouvoir de nouveau se goinfrer, sans comprendre que l’on ne peut pas toujours compter sur les hommes providentiels, parce qu’ils n’existent pas davantage que le père Noël et pas davantage que James Bond.

    Alors si je peux promettre raisonnablement que je n’irai plus jamais voir un film de catastrophe aérienne, cela va me coûter davantage avec les films de James Bond, la faute à Ursula.

    Exercice #53 de Henry Carroll : Utilisez le flash pour capturer l’énergie d’une fête

    #qui_ca

  • BHO et son radar-qui-ne-voyait-pas-Daesh
    http://www.dedefensa.org/article/bho-et-son-radar-qui-ne-voyait-pas-daesh

    BHO et son radar-qui-ne-voyait-pas-Daesh

    Il va sans dire qu’on prépare avec zèle et ardeur, dans la presse-Système, l’éloge sacrée et extatique du “legs du président Obama”, par contraste avec le regard méprisant sinon menaçant porté sur la prestation de serment du président Trump le 20 janvier prochain. CNN est bien placé dans cette compétition, avec son émission The Legacy of Barak Obama, qui est passée dans la soirée d’hier. Auparavant, quelques extraits en avaient été publiés, et notamment celui-ci rapporté par Breitbart.News :

    « During an interview set to air on Wednesday’s CNN special, “The Legacy of Barack Obama,” an excerpt of which was aired on Wednesday’s “New Day,” President Obama answered a question on whether the rise of ISIS surprised him by saying that “The ability of ISIL to initiate major land (...)

  • Enfin ! Barak Obama décidé à s’occuper des rebelles du Front Al Nosra...
    https://www.crashdebug.fr/international/12656-enfin-barak-obama-decide-a-s-occuper-des-rebelles-du-front-al-nosra

    Et c’est annoncé par le Washington Post. Encore une belle claque pour les toutous atlantistes européens et leurs médias à la botte.

    Il a l’air fin, notre capitaine de pédalo avec son Fabius et autre Ayrault ! Ils ont l’air fins nos spécialistes jacasseurs du Moyen Orient qui chantent en choeur que le Front Al Nostra est un groupe de rebelles « modérés » qui » libèrent » la Syrie ! C’est terrible. On passe vraiment pour des idiots finis, mais tant pis, c’est jouissif tout de même..

    A lire aussi , parce que tout finit tout de même par sortir :

    Moscou remettra à l’OIAC des preuves d’attaques chimiques terroristes à Alep

    Alors que Washington pourrait revoir ses priorités en Syrie suite à l’élection de Donald Trump, Barack Obama a demandé à l’armée de cibler le groupe terroriste rebelle Front al-Nosra, qui (...)

    #En_vedette #Ça_s'est_dit_par_là... #International

  • #SYRIE : Qui sont les véritables barbares ? Interview avec le président Assad 15.10.2016 vidéo traduction simultanée
    http://vilistia.org/archives/12332

    Le président américain Barak Obama et la chancelière allemande Angela Merkel ont condamné les attaques aériennes russes et syriennes sur Alep et les ont qualifiées de barbares. Tous les grands médias ont diffusé cela le 30 septembre 2016, je cite … Lire la suite →

    #SYRIE_ARMEMENT

  • Washington Post propagandist for Israel warns Sanders to stay away from the subject, forever
    http://mondoweiss.net/2016/04/washington-post-propagandist-for-israel-warns-sanders-to-stay-away-from-

    “Sanders faces denunciations for ignorant remarks about Israel” is the headline in the Washington Post, on a column by Jennifer Rubin about Bernie Sanders’s comments about Israel and Palestine to the Daily News.

    It is propaganda from start to finish, beginning with the headline.

    Let me translate.

    • Democratic debate: Is Netanyahu welcome at White House or an arrogant, deceptive asshole?
      http://mondoweiss.net/2016/04/democratic-debate-is-netanyahu-welcome-at-white-house-on-day-1-or-an-arr

      In the last 24 hours the hiring of Simone Zimmerman as Bernie Sanders’s Jewish outreach director has caught fire on the internet, thanks to the pro-Israel community’s outrage that she doesn’t like Israeli PM Netanyahu. Zimmerman expressed herself on Facebook during the Gaza slaughter of 2014.

      “Fuck you, Bibi… you sanctioned the murder of over 2,000 people this summer.”

      Then over Netanyahu’s showing up the president last March by speaking at Congress to try to upend the Iran deal:

      “Bibi Netanyahu is an arrogant, deceptive, cynical, manipulative asshole.”

      This is a good debate to have.

    • Bernie Sanders Suspends Staffer for Criticizing Israeli Prime Minister Benjamin Netanyahu
      http://gawker.com/bernie-sanders-suspends-staffer-for-criticizing-israeli-1771110775

      In an act of political cowardice, the campaign of Bernie Sanders has suspended a young staffer named Simone Zimmerman, who was recently hired to coordinate the campaign’s outreach to Jewish communities, for criticizing Benjamin Netanyahu, the right-wing Prime Minister of Israel, in a year-old post on Facebook.

    • At Democratic Debate, Sanders Stands Up for Palestinians While Clinton Takes Strong pro-Israel Stance

      There comes a time when you have to say that ’Netanyahu isn’t right all of the time,’ Sanders says, criticizes ’disproportionate’ use of force in Gaza; Clinton say Hamas deliberately put civilians at risk.
      Haaretz Apr 15, 2016 5:56 AM
      http://www.haaretz.com/world-news/u-s-election-2016/1.714593

      Democratic front-runner Hillary Clinton took a strong pro-Israel stance in a presidential debate in Brooklyn on Thursday, while her rival Bernie Sanders again doubled down on his criticism of Israel’s conduct during the 2014 conflict with the Gaza Strip, proceeding to state that “we’re going to have to say that Netanyahu isn’t right all of the time.”

      “Of course Israel has the right to defend itself. That’s not up for debate,” Sanders said, but added: “We had some 10,000 civilians who were wounded, 1,500 who were killed. Was that a disproportionate attack? I believe it was.”

      Stressing what he said was the need for an “even-handed approach” by the U.S., Sanders said that “as someone who’s 100 percent pro-Israel, in the long run, if we’re ever to bring peace… we have to treat Palestinian people with respect and dignity.”

      In response, Clinton touted her role negotiating a ceasefire between Israel and Hamas in 2012, and added that “there’s always second guessing when there’s a war.” Israel did not invite the rocket attacks on its territory, Clinton said, and accused Hamas of conducting warfare in a way which deliberately placed civilians in harm’s way. After Israel left Gaza and “turned over the keys to the Palestinians,” Hamas took over the Strip and turned Gaza into a “terrorist haven,” Clinton said.

      With regards to the conflict as a whole, Clinton said that the U.S. should continue to pursue a two-state solution for the conflict, and added that had Yasser Arafat agreed to Ehud Barak’s proposal in Camp David, there would have been a Palestinian state today. Regarding Sanders’ criticism of Netanyahu, Clinton said that while no Israeli leader is always right, “it’s a difficult position.” It’s difficult to seek peace when there’s a terrorist group in Gaza that doesn’t want you to exist, Clinton said.

      Criticizing Clinton for not mentioning the Palestinians in her AIPAC speech, Sanders said that the U.S. needs to assume an evenhanded approach to the conflict if it intends to bring peace to the area.

      “Describing the problem is easier than trying to solve it,” Clinton responded.

      Last week in a New York Daily News interview, Sanders erroneously inflated the number of Palestinian civilians killed during the 2014 Gaza conflict, for which he has since pulled back after a conversation with ADL’s Jonathan Greenblatt.

      Sanders is currently trailing Hillary Clinton in the April 19 New York primary by double digits. According to a recent Fox New poll, Clinton leads Sanders among Jewish voters by 24 points (59-35 percent).

      In 2013, the Jewish vote made up 16-19 percent of the electorate in the New York City Democratic mayoral primary.

      Earlier on Thursday, the New York Times reported that Sanders suspended his new Jewish outreach coordinator, after one of her past Facebook posts resurfaced in which she used coarse language to criticize Prime Minister Benjamin Netanyahu.

      The Washington Free Beacon reported on Wednesday that Simone Zimmerman wrote last year on Facebook that “Bibi Netanyahu is an arrogant, deceptive, cynical, manipulative a**hole."

    • Un débat tumultueux entre Clinton et Sanders avant les primaires de New York
      LE MONDE | 15.04.2016 à 08h37 | Par Stéphane Lauer (New York, correspondant)
      http://www.lemonde.fr/elections-americaines/article/2016/04/15/un-debat-tumultueux-entre-clinton-et-sanders-avant-les-primaires-de-new-york
      En matière de politique étrangère, les positions se sont révélées également très tranchées. M. Sanders a ainsi vivement critiqué Mme Clinton pour son soutien inconditionnel à Israël. « Si notre but est de rechercher la paix, nous ne devons pas dire à Nétanyahou qu’il a toujours raison », a-t-il fait valoir. Alors que Barak Obama a déclaré il y a quelques jours sur la chaîne Fox News que sa gestion de la transition démocratique en Libye avait été l’une de ses plus grandes erreurs, Mme Clinton a tenté de se justifier avant que M. Sanders ne lui lance que les décisions prises dans cette région partaient du même état d’esprit que l’invasion de l’Irak.

      La pugnacité de M. Sanders sera-t-elle suffisante pour renverser la vapeur dans cette course à l’investiture ? Rien n’est moins sûr. Même si le sénateur du Vermont sort d’une impressionnante série de huit victoires dans neuf Etats, la bataille de New York s’annonce délicate dans la mesure où il peine à mobiliser au sein de l’électorat noir, qui dans cet Etat pèse plus de 15 % des voix démocrates.

  • #Etats-Unis : #Shell autorisée à forer en profondeur en #Arctique
    http://www.rfi.fr/economie/20150818-shell-autorise-definitivement-forer-profondeur-alaska-arctique-petrole

    Barak Obama a provoqué la colère des écologistes. Il envoie surtout un mauvais signal avant la conférence de Paris sur le climat, la COP 21. L’Arctique est en effet menacé par le réchauffement climatique et la fonte des glaces y a triplé en dix ans.

    #climat #déraison #leadership

  • A propos du dégel entre Cuba et les Etats-Unis

    http://www.polemicacubana.fr

    Une des nouvelles les plus importantes de la fin de l’année 2014 a été l’apparition simultanée de Barak Obama et Raul Castro sur les écrans de télévision des Etats-Unis et de Cuba, afin d’annoncer « urbi et orbi » le dégel des relations entre les deux gouvernements.
    Lorsque personne ne pouvait imaginer qu’un tel geste puisse se produire, les deux présidents ont organisé cet évènement le mercredi 17 décembre à partir des capitales de leurs pays respectifs, lançant ainsi la première étape vers la normalisation de leurs relations publiques après 53 années de « guerre froide » et de « blocus économique ».

    Comme on le sait, ce « geste » est le résultat de longues négociations qui ont été entamées en 2012 par deux fonctionnaires (Ricardo Zuniga, pour les États-Unis, et Josefina Vidal, pour Cuba), négociations maintenues dans le plus grand secret afin de « rapprocher les position » sur des questions que chaque gouvernement considère « essentielles ».
    Même si a également contribué le fait que Raul Castro, après le remplacement de son frère Fidel, a commencé à mettre en œuvre une série de changements dans une économie qui jusque-là faisait partie du dogme « socialiste » en vigueur sur l’île, un dogme qui était intouchable. Des changements pour avancer vers la transformation du « socialisme » (capitalisme d’Etat) en un capitalisme de marché.
    Il est donc normal que tous les partisans de ce système – dans l’île et hors d’elle – soient enthousiasmés par cette perspective et que des préoccupations se soient seulement exprimées dans les secteurs qui au sein et à l’extérieur de Cuba ont dénoncé la restauration de l’exploitation capitaliste par un gouvernement qui continue à se prétendre révolutionnaire et socialiste. Ces secteurs sont inquiets de voir l’impuissance dans laquelle sont actuellement les travailleurs cubains, une impuissance qui va s’aggraver avec l’alliance qui est en cours entre les syndicats Parti-État et le capital privé.
    Comme cette réalité n’est pas vraiment commentée dans les prétendus organes d’information, nous avons jugé nécessaire de reproduire l’article d’un compagnon libertaire cubain Manuel Diaz Rogelio Moreno et le texte de l’Atelier libertaire Alfredo López de la Havane sur ce qu’il y a derrière cette « réconciliation »…

    #cuba #états-unis

  • La grande braderie transatlantique - Gresea
    http://www.gresea.be/spip.php?article1259

    Lundi 7 avril 2014, Henri Houben, 54432 signes.
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    Gresea asbl (Groupe de recherche pour une stratégie économique alternative)

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    On pouvait penser que la crise économique, la plus grave depuis celle des années 30, avait calmé les ardeurs capitalistes à exiger plus de marché, plus de concurrence, plus de libéralisation. On pouvait estimer que des échecs répétés en la matière les avaient amenés à renoncer à ces projets. Il n’en est rien. Que du contraire !
    Le 13 février 2013, le président américain, Barak Obama, et les responsables de la Commission européenne annoncent officiellement que des négociations vont être entamées entre les deux parties à partir de juillet de la même année pour aboutir à un vaste marché transatlantique prévu pour 2015. L’accord à obtenir se veut d’emblée ambitieux, englobant aussi bien les matières commerciales que celles de la propriété intellectuelle, c’est-à-dire les brevets et licences, ou la question des investissements à l’étranger. En même temps, en réunissant les deux puissances occidentales, les promoteurs du projet veulent créer un précédent qui moulera les futurs traités commerciaux dans un cadre clairement libéral.

    Ce n’est pas la première fois qu’est lancée une telle initiative des deux côtés de l’Atlantique. Dès 1990, un après la chute du mur de Berlin, une résolution est signée par les deux régions, soulignant les communautés de vues et la nécessité de coopérer dans ce monde nouveau. En particulier, il fallait « promouvoir les principes de l’économie de marché, rejeter le protectionnisme, renforcer et ouvrir davantage (les pays) à un système de commerce multilatéral » [1].

    A ce moment, le commissaire à la Concurrence était le Britannique thatchérien, sir Leon Brittan. Il va tenter de créer avec son homologue américain plusieurs associations réunissant des membres venant des deux continents. Ce sera le nouveau partenariat transatlantique inauguré officiellement en décembre 1995. La seule organisation qui existera réellement est le TransAtlantic Business Dialogue [2] (devenu par la suite TransAtlantic Business Council [3]), soit le TABD [4]. Cet organe, rassemblant quelques dizaines des plus grandes multinationales européennes et américaines, va se vanter de voir 60% de ses propositions reprises par les administrations respectives et transformées sous forme de lois ou de directives.

    En 1997, l’OCDE [5] va tenter d’obtenir de ses États membres un accord multilatéral sur l’investissement (AMI), incorporant ce que les firmes désirent à ce niveau : la protection de la propriété des entreprises, le traitement favorable et non discriminatoire entre national et étranger, un tribunal indépendant où les entreprises peuvent déposer plainte contre les États qui ne respecteraient pas ces règles.

    Plus récemment, en 2006, plusieurs États, dont les États-Unis, le Japon et l’Union européenne, vont tenter d’instaurer un pacte dans la lutte contre le piratage des produits brevetés, intitulé accord commercial anti-contrefaçon (ACTA [6] selon le sigle anglais). Il s’agissait d’appliquer des règles très strictes en matière de marques, de labels, de défense d’appellations régionales, impliquant entre autres que des médicaments génériques n’auraient pas pu circuler entre pays. Face à une opinion publique manifestement hostile, le parlement européen rejettera ce traité. Mais 22 des 28 États membres de l’Union le signeront.

    A chaque fois, un projet est mené dans la plus grande discrétion, si ce n’est le secret le plus absolu. Il suscite une opposition populaire justifiée, qui émeut l’un ou l’autre organe institutionnel. Les contradictions entre les États parties prenantes provoquent le refus de l’accord négocié.

    Mais la Commission est persévérante et a de la suite dans ces idées. Comme on a pu le voir à de nombreuses reprises, quand les populations votèrent négativement à ses propositions, elle a toujours outrepassé ces consultations démocratiques et elle a resservi les mêmes plats totalement indigestes, juste en changeant parfois les couverts.
    L’influence patronale décisive

    L’initiative de lancer à nouveau ce grand marché transatlantique a été prise en novembre 2011 lors d’un de ces sommets quasi annuels regroupant le président américain et les principaux responsables de l’Union européenne. En fait, elle est précédée par toute une série d’avancées qui remontent aux années 90.

    Le 30 avril 2007, alors qu’Angela Merkel, la chancelière allemande, est à la tête de l’Union [7], la même rencontre des dirigeants des deux côtés de l’Atlantique tenue à Washington (à l’époque, c’est toujours George Bush Jr. qui est président) décide de créer un nouvel organisme, le TransAtlantic Economic Council (le conseil économique transatlantique). Celui-ci sera composé de représentants des administrations en charge du commerce et sera mené à la fois par un commissaire européen (d’abord Günther Verheugen, au nom des Entreprises et de l’Industrie, puis Karel De Gucht, pour le Commerce) et membre du cabinet personnel du président américain (d’abord Allan Hubbard, ensuite Michael Froman). Sa mission est d’accélérer l’harmonisation transatlantique pour supprimer toutes les règles et règlements inutiles. Il doit en même temps préparer dorénavant les sommets euro-américains et publier un rapport d’avancement tous les six mois [8].

    Il est immédiatement en relation étroite avec les différentes structures du dialogue transatlantique, les consommateurs, les législateurs, mais surtout le TABD. Rapidement, de nombreuses voix du côté patronal vont proposer d’aller plus loin et d’imaginer une initiative stratégique d’envergure. D’autant que la crise s’approfondit et qu’elle s’étend largement dans l’Union européenne. Certains imaginent le grand marché transatlantique comme la solution à la récession.....

    #économie
    #capitalistes
    #marché
    #influence-patronale
    #Permis-d’exploiter
    #multinationales
    #OCDE
    #Union-Européene

  • Les frappes sont suspendues, mais le conflit reste entier | À La Une | L’Orient-Le Jour
    http://www.lorientlejour.com/article/832531/-les-frappes-sont-suspendues-mais-le-conflit-reste-entier.html

    L’initiative russe du dernier quart d’heure a sauvé le monde d’une guerre qui s’annonçait globale, dangereuse et incertaine à plus d’un titre. De plus, le coup de génie de cette initiative, c’est justement que chacun des deux camps se considère victorieux. Le président américain Barak Obama s’est empressé de dire que ce sont incontestablement les préparatifs de l’opération militaire qui ont poussé le président syrien à accepter la proposition russe, alors que le régime syrien et son allié iranien disent à leur tour que cette proposition a offert une issue de secours au président américain inquiet des menaces de riposte et soucieux de ne pas parvenir à convaincre l’opinion publique américaine.

  • La réponse du premier ministre suédois FREDRIK REINFELDT à BARAK OBAMA qui ne fut guère mentionnée .

    CNN.com - Transcripts
    http://transcripts.cnn.com/TRANSCRIPTS/1309/04/se.01.html

    FREDRIK REINFELDT, SWEDISH PRIME MINISTER: I think — I think - I think - I think - I think I should answer the question.

    I think you’re right in saying that this very difficult decision to take. As always, it’s a balancing act. And we’ve been discussing this during our talks. Just to remind you, you’re now in Sweden. A small country with a deep belief in the United Nations. You’re also in a country where I think yesterday or the day before we took the decision that all the people that are now coming from the war in Syria are allowed to stay permanently in Sweden. So, a lot of the people following this press conference here in Sweden are actually just now coming from Syria and, of course, wondering what is the view of their country. And they have a lot of their countrymen also in this country. So we have a lot of roots and links to Syria.

    I think the main problem has been for two and a half years now that we have a war without a clear political solution. And that, at the end of the day, must be - we must get a cease-fire, we must get a peace process, we must get people to talk to each other. I totally understand the complex situation also on the opposition, because we have part of the opposition also here in Sweden, which is now conducted of different groups. They want to get Assad out of the picture, but what do they want instead? That is, of course, a question we need to attend to.

    The weapons inspector that was present in Damascus is headed by a Swede. So, in this country, of course, we are asking for the time to be able to see, what were their findings, especially since President Obama has sent the decision also to Congress. We think that that gives us some more time and we are welcoming that.

    Having said that, I also said that I understand the absolute problem of not having a reaction to use of chemical weapons and what kind of signal that sends to the world. In a time where we are developing our view on international law, not saying that you’re allowed to do whatever you like to your own people as long as it’s inside your own borders. Now, we have — we have these — we need to protect people. We need to look at the interests of each and every one. So this - this is the development we are seeing. That’s the same discussion we are having in Sweden.

    So I need - I understand, especially the U.S. president needs to react, otherwise he will get another kind of discussion. But this country will always say, let’s put our hope into the United Nations, let us push on some more to get a better situation.

    Of course, President Putin has responsibility in that. Of course, because everyone understands that Russian, also China, has been outside of decision-making that we would have needed a long time ago to put more clear pressure and more political solution. So that is — that is what we have been discussing today. If you balance all these sentences that shows how difficult this is.

    OBAMA: OK. Thank you (INAUDIBLE).

  • Israël Iran Etats-Unis Guerre

    Iran : Israël pose ses conditions à Obama | Charles Enderlin

    cc @alaingresh

    http://blog.france2.fr/charles-enderlin/2012/08/14/iran-israel-pose-ses-conditions-a-obama

    Effrayant à tout point de vue
    14 août 2012

    Selon Ynet, le site web de Yediot Aharonot, Israël renoncerait à lancer une offensive contre le nucléaire iranien si l’administration Obama accepte un certain nombre de conditions, les voici selon une source israélienne de haut niveau :

    1 : Barak Obama doit déclarer publiquement que les États Unis ne permettront pas à l’Iran de se doter de l’arme nucléaire. Le Président US pourrait faire cette déclaration devant l’assemblée générale de l’ONU

    2 : Les Américains et les autres membres permanents du conseil de sécurité (plus l’Allemagne) doivent lancer un ultimatum à l’Iran, fixant une date limite aux négociations avec l’Iran sur le nucléaire. Pas plus d’une ou deux semaines.. [c.à.d . fin aout]. Les Iraniens doivent cesser l’enrichissement de l’uranium à 20% pendant les pourparlers.

    3 : Étrangler l’économie iranienne (sic). Les États Unis doivent décréter un embargo sur toute personne qui fait des affaires avec la banque centrale iranienne. Annuler l’autorisation accordée au Japon et la Corée du Sud d’importer du pétrole iranien.

    4 : Les États Unis doivent renforcer leur dispositif militaire dans le Golfe Persique

    5 : Israël exige des Américains qu’ils acceptent le principe de la ligne rouge israélienne : l’Iran ne doit pas se donner la capacité d’avoir l’arme nucléaire..

    Si Obama remplit ses conditions, Israël renoncera à se frappe en Iran.

    http://www.ynet.co.il/articles/0,7340,L-4268228,00.html

  • The Bush policies : des mercenaires pour lutter dans le cyber espace | kitetoa
    http://reflets.info/the-bush-policies-des-mercenaires-pour-lutter-dans-le-cyber-espace

    A mettre constamment un pied devant l’autre sur le chemin de la bêtise, on parvient assez vite au bord du gouffre de la connerie. C’est visiblement ce que fait Michael Hayden, ancien patron de la CIA et de la NSA l’un des inspirateurs de la politique étrangère de George Bush. Pour lui, il conviendrait de créer une entité privée, une sorte de « Digital Blackwater », pour lutter sur Internet. Michael Hayden ne s’exprimait qu’en son nom propre puisqu’il a été remercié par Barak Obama. Mais on imagine que son idée n’est pas sortie de nulle part et qu’elle pourrait bien faire son chemin dans l’esprit de dirigeants qui ne comprennent rien à la technique (ce n’est pas leur métier). D’autant que Barak Obama ou pas, les Etats-Unis font toujours énormément appel au secteur privé pour mener leurs guerres. En voilà donc une idée qu’elle est bonne. Lorsque l’on sait à quel point les mercenaires de Blackwater ont dérapé au cours des années durant lesquelles le gouv

  • L’En Dehors - Le principe de l’économie est-il de " donner du travail " ?
    http://endehors.org/news/le-principe-de-l-economie-est-il-de-donner-du-travail

    Le bavardage continuel sur les « possibilités d’emploi » provient en général d’un jargon d’institution publique ou de la communication d’une entreprise voulant s’implanter dans un nouveau « site ». De la même manière que Barak Obama ou le « grand emprunt » français misent sur les « gisements d’emplois » liés à une supposée « croissance verte », les écologistes usent également de ce registre en promettant que la croissance des énergies renouvelables et autres techniques environnementales, ramènera du bon travail à la société. Pour le sens commun ce discours est très largement partagé, quand par exemple on entend des habitants de la presqu’île du Cotentin justifier la présence du principal employeur de la région, l’ensemble industriel nucléaire d’AREVA la Hague qui crée plus de 8 000 emplois directs et indirects (soit 20 % du bassin d’emploi du Nord Cotentin) : peu importe les risques, tant qu’on a du travail ! Comme le dit le dicton ou n’importe quel élu local, « on ne crache pas dans l

    #économie #travail #capitalisme #profitation #analyse #for:twitter