person:bruno dumont

  • Des conférences de cinema mises en ligne par la FEMIS - Le mag cinéma
    https://lemagcinema.fr/non-classe-fr/des-conferences-de-cinema-mises-en-ligne-par-la-femis

    La Femis ouvre son patrimoine vidéo et met à disposition des vidéos de conférences sur le thème du cinéma assez exceptionnelles.

    Depuis plus de trente ans, La Fémis est un lieu de rencontres entre artistes et étudiants.
    La Fémis a ainsi décidé de mettre en valeur au sein de ses archives une première sélection de tables rondes, master class, conférences et débats qui se sont tenus à La Fémis ou dans d’autres lieux – tel que le Festival de Cannes – qui illustrent la parole des cinéastes, images filmées par les étudiants eux-mêmes depuis 1986.
    Grâce au soutien de l’Université Paris Sciences et Lettres, à laquelle La Fémis est associée, et grâce au travail de monteurs image et son, les interventions choisies de nombreux cinéastes seront désormais accessibles sur deux plateformes, celle de l’école et celle de la bibliothèque numérique de « PSL Explore », et ce, à des fins culturelles, scientifiques et pédagogiques

    Conférences
    http://www.femis.fr/conferences

    Depuis plus de trente ans, La Fémis est un lieu de rencontres entre artistes et étudiants.
    La Fémis a ainsi décidé de mettre en valeur au sein de ses archives une première sélection de tables rondes, master class, conférences et débats qui se sont tenus à La Fémis ou dans d’autres lieux

    Conférence de Jean Rouch, Johan Van der Keuken et Frederick Wiseman dans le cadre des Rencontres de la Fémis (1987)
    ↓ Conférence d’Alain Tanner dans le cadre des Rencontres de la Fémis (1987)
    ↓ Conférence de Jean-Marie Straub et Danièle Huillet (1988)
    ↓ Conférence de Jean-Luc Godard dans le cadre des Mardis de La Fémis (1988)
    ↓ Conférence de David Cronenberg dans le cadre des Rencontres de la Fémis (2000)
    ↓ Conférence d’Éric Rohmer dans le cadre des Rencontres de la Fémis (2005)
    ↓ Conférence de Guy Maddin dans le cadre des Rencontres de la Fémis (2012)
    ↓ Conférence de Francis Ford Coppola dans le cadre des Rencontres de la Fémis (2012)
    ↓ Conférence de Luc et Jean-Pierre Dardenne dans le cadre des Rencontres de la Fémis (2012)
    ↓ Conférence de Thomas Vinterberg dans le cadre des Rencontres de la Fémis (2012)
    ↓ Conférence de Bruno Dumont dans le cadre des Rencontres de la Fémis (2014)
    ↓ Conférence d’Agnès Varda dans le cadre des Rencontres de la Fémis (2014)
    ↓ Conférence de Patricio Guzman dans le cadre des Rencontres de la Fémis (2015)
    ↓ Conférence de Jean-Gabriel Périot dans le cadre des Rencontres de la Fémis (2016)
    ↓ Conférence de Frederick Wiseman dans le cadre des Rencontres de la Fémis (2016)
    ↓ Conférence de Raymond Depardon et Claudine Nougaret dans le cadre des Rencontres de la Fémis (2017)
    ↓ Conférence de Cédric Klapisch dans le cadre des Rencontres de la Fémis (2017)
    ↓ Conférence de Damien Manivel dans le cadre des Rencontres de la Fémis (2017)
    ↓ Conférence de Frederick Wiseman dans le cadre des Rencontres de la Fémis (2017)
    ↓ Conférence de Vincent Macaigne dans le cadre des Rencontres de la Fémis (2017)
    ↓ Conférence de Tony Gatlif dans le cadre des Rencontres de la Fémis (2018)

  • Quelles sont les marques les plus présentes dans les déchets côtiers ? Le Figaro - Florian Pierrat - 20/04/2017

    Une étude publiée par l’association Expédition MED montre l’abondance des déchets d’emballages alimentaires sur les côtes françaises. _

    L’association de protection de l’environnement marin Expédition MED a publié cette semaine un rapport sur les près de 145.000 déchets qu’elle a collectés sur 16 plages françaises de l’Atlantique grâce à ses bénévoles. En plus des résidus des professionnels de la pêche, la majorité des déchets récoltés de Mimizan (Landes) à Brest (Finistère) entre mars et juin 2016 sont des résidus de plastiques (96%), souvent considérés comme non identifiables (47%). Mais le reste des détritus récoltés est clairement identifiable par l’association. Le principal enseignement de son étude reste que nos déchets du quotidien, et notamment alimentaires occupent une part non négligeable dans les ramassages de l’association.

    « Les marques doivent tenir compte du problème »

    Expédition MED a listé nommément les marques des déchets les plus présents dans ses trouvailles, principalement des géant du snacks, ou de la confiserie et de la chocolateries industrielles. Sur les 1567 déchets alimentaires trouvés, Kinder arrive en tête de liste avec 132 déchets. Suivent sur le podium, les géants de la biscuiterie LU (69) et Mars (66). Coca-Cola, Snickers, et Haribo se classent respectivement 5ème, 6ème et 7ème. L’organisme souhaite interpeller les marques sur l’utilisation trop importante du suremballage pour leurs produits, surtout ceux qui sont conditionnés de manière individuelle. L’association pointe également le manque d’informations données auprès du consommateur sur la manière de trier leurs déchets, ainsi que sur les impacts environnementaux qui sont provoqués par l’abandon des déchets dans la nature.

    « Nous allons préparer une action auprès des marques suite à ces identifications pour leur demander de mieux avertir le consommateur sur le tri des emballages, indique Bruno Dumontet, un responsable de l’association. Elles doivent tenir compte du problème et faire des effort dans ce sens. » Et Expédition MED mentionne plusieurs solutions plus vertueuses pour l’envionnement comme l’utilisation de d’autres types d’emballages. « Les grandes marques de l’agro-alimentaire peuvent favoriser les emballages recyclables, ou encore ceux qui sont biodégradables. À terme, ce problème pourrait avoir un coût d’image marketing pour ces sociétés », ajoute Bruno Dumontet.

    Une étude publiée en 2016 par la fondation Ellen McArthur avait estimé que 32% des déchets plastiques sont jetés à même la nature. Chaque année dans le monde, 8 millions de tonnes de déchets seraient deversées dans les mer, soit l’équivalent d’un camion-poubelle jeté chaque minute.

    Le site Expédition MED : http://www.expeditionmed.eu/fr/category/nos-programmes/programme-d-actions/operation-dechets-sales

    L’article du figaro (qui ne cite pas Nestlé) : http://www.lefigaro.fr/conso/2017/04/20/20010-20170420ARTFIG00157-kinder-lu-et-mars-les-marques-les-plus-presentes-

    #pollution #Déchets #Kinder #biscuiterie_LU #Mars #Nestlé #Coca-Cola #Snickers #Haribo #emballage

  • Hier, cinéma, Ma loute de Bruno Dumont.
    Attention, spoiler.
    J’adore aller au ciné et j’en suis très mauvaise critique donc ne vous attendez pas à être conseillé.
    Simplement pour raconter que j’ai été incapable de retenir ma colère lorsque Juliette Binoche, qui joue Aude Van Peteghem, annonce qu’elle a été violée par son frère ou son père alors qu’elle était saoule.
    J’avoue avoir alors copieusement insulté le film, comme l’ensemble du cinéma français, pour cette mise en scène, véritable soutien à la #culture_du_viol où toute la salle était pliée de rire. Les spectateurs qui s’étaient exprimés bruyamment en gloussant ont eu droit à ma vindicte incontrôlable mais salvatrice avant de réussir à me faire taire par leurs chuutttts.

    • Il me faut toujours plusieurs jours pour savoir si le film que j’ai vu m’a permis d’avancer ou pas. C’est mon seul critère après l’éblouissement magique dans l’obscurité que je ressens toujours. Mais quand les paillettes disparaissent il me faut tenter de comprendre quels trous de ma conscience le réalisateur a voulu percer, pourquoi il veut me montrer cette histoire et comment elle résonne en moi.
      Malgré mon apriori positif après le P’tit Quiquin, j’ai trouvé Ma Loute inégal et très décevant, le film reprend la même trame que la série soit une enquête policière dans les plages du Nord. Sauf que l’équilibre du fil entre délire visionnaire et vulgarité est rompu et j’ai fini par basculer dans un grand malaise sombre nourri d’une morale qui ne me va pas du tout.
      Ça ne me va pas que me soit raconté que l’adolescent qui se travestit, le seul à être amoureux, soit issu d’un viol incestueux de parents dégénérés. Ça ne me va pas qu’au final tout rendre si bien dans l’ordre et que ce personnage se fasse casser la gueule par son amant parce qu’il est homosexuel et qu’enfin chacun regagne son milieu social d’origine sans aucun espoir de changement en dansant sur la plage. Je trouve cela convenu et chiant. C’est dit.


  • "le publique aura beau être plié en deux pendant deux heures jamais il n’aura la Palme d’or"
    Ma loute, Bruno Dumont, 2016
    Pour moi, il y a 5 réalisateurs français dont on se souviendra longtemps., Delépine, Kervern, Dupontel, Dumont et moi-même.
    Il faut les voir ses films à Bruno... Il faut voir son parcours aussi. Vous avez vu la vie de Jésus ? L’humanité ? Ok, on oubli twentynine palms.
    Mais je vous jure, la vie de Jésus, l’Humanité, Flandre, ça vous retourne. c’est juste, et puis c’est faux et puis c’est dure et puis c’est vrai mais pas trop quand même. C’est de l’humour ? Il se moque ? Mais c’est beau quand même ??? Et le rôle qu’il fait jouer aux personnages féminins, c’est beau comme la lumière ? Ou c’est absolument dégueulasse ?

    Et puis là, pouf, il fait une comédie. Mais mon dieu, j’ai jamais vu ça, il y a du Chaplin, et puis quand même du Zola. Je crois d’ailleur que le père Emile n’a pas vraiment connu la caméra.
    Là, donc, c’est merveilleux. Il nous prend des bourgeois, tous joués par des gens connus avec Fabrice Luccini que je n’ai jamais vu comme ça, méconnaissable, et les vrais gens, les prolos, c’est des amateurs, ou presque.
    Alors bon, j’avais adoré le petit quinquin sur Arte. Et là, on sent bien que la série, c’était son brouillon. Mais les gens n’aiment pas quand il n’y a pas Dubosc et que le territoire de la comédie n’est pas clairement délimité par une intrigue bien référencée dans le catalogue des enjeux à la con.
    Et si ça vous dit pour une fois de réagir à mes critiques à 2 balles, vous génez pas.
    https://www.youtube.com/watch?v=4lU1dR9X9VY


    #critique_a_2_balles #cinéma #bruno_dumont #ma_loute #2016 #Emile_zola #nord #fabrice_luccini #comédie

    • Je l’ai revu. Beaucoup de plaisir.
      Il me semble évident aujourd’hui qu’il faut appuyer, et crier partout la dimension marxiste de ce film. Un monde sépare les bourgeois si drôles du début du XXème siècle qui viennent en vacances tous les ans dans ce coin du Nord, et les héros, travailleurs des mers. Leur boulot c’est finalement, l’humiliation mise à l’image, de faire traverser les riches en les prenant dans ses bras pendant qu’on patauge dans la merde.
      Des quelques-uns ou quelques-unes qui prendront le film sous sa dimension anti-lgbt (cf. une conversation désagréable que j’ai eu avec une amie en sortant du cinoche), nous en parlerons plus tard.

  • #Microplastiques en #Méditerranée : une bombe écologique à retardement
    http://www.actu-environnement.com/ae/news/bruno-dumontet-expedition-med-microplastiques-dechets-mediterran

    AE : 290 milliards de micro-déchets plastiques flottants dérivent sur le bassin nord-occidental méditerranéen, selon les données recueillies lors des campagnes en 2010 et 2011. Fin février dernier, l’expédition MED a dévoilé les premiers résultats des campagnes 2012 et 2013 en mer Ligure. Quels sont-ils ?

    Bruno Dumontet : Les campagnes scientifiques ont été menées sous la coordination de l’Observatoire océanologique de Villefranche-sur-Mer (06) en mer Liguro Provençale, sur les côtes françaises et italiennes. Nous sommes partis en mer durant six semaines au cours de l’été 2012 et de l’été 2013. Il était plus intéressant, pour nous scientifiques, de rester de manière régulière dans cette zone pour valider nos protocoles d’étude sur les déchets plastiques marins. Il s’agit de prélèvements réalisés en surface de plastiques microscopiques, de taille de 0,3 à 5 mm, et de diverses compositions : filaments, polystyrène, films minces en plastique. La majorité des plastiques retrouvés en mer proviennent de la fragmentation des emballages, charriés par les courants. L’université de Lorient, partenaire de l’expédition, a identifié l’origine des familles des plastiques collectés telles que le polyéthylène (PE) ou le polypropylène (PP). On trouve également des micro-billes de plastique, dans les produits cosmétiques d’épilation ou de gommage, qui ne sont pas retenues dans les stations d’épuration et qui, en fin de parcours, se retrouvent à la mer.

    Selon nos premières estimations, la quantité moyenne est entre 13.000 et 300.000 débris plastiques flottants par km2 en mer de Ligure. Leur concentration excède par endroits celle retrouvée dans le gyre du Pacifique : une nappe de déchets plastiques trois à quatre fois plus grande que la France ! Nous restons dans les mêmes proportions que les particules de plastiques collectées en 2010 et 2011 en Méditerranée nord-occidentale. Cela confirme les résultats précédents. D’où l’intérêt de croiser ces données sur plusieurs années pour aboutir à une moyenne de collecte relativement fiable sur ce bassin.

    #pollution #le_plastique_c'est_dramatique

  • Cannes et les femmes : retour sur l’édition 1999
    http://www.editions-zones.fr/spip.php?page=lyberplayer&id_article=149#chap03

    En 1999, le tollé qui avait suivi l’annonce du palmarès du festival de Cannes avait constitué un quasi-aveu des critères implicites régissant la profession. Le jury, présidé par le cinéaste David Cronenberg, avait distingué "Rosetta", de Luc et Jean-Pierre Dardenne, et "L’Humanité", de Bruno Dumont : deux films âpres, situés respectivement en Belgique et dans le nord de la France, et ancrés dans une réalité très dure. Un prix d’interprétation féminine ex aequo était allé à Émilie Dequenne pour "Rosetta" et à Séverine Caneele pour "L’Humanité", tandis que le prix d’interprétation masculine récompensait Emmanuel Schotté, également pour "L’Humanité". Ce choix avait suscité des commentaires d’une rare violence, qui suintaient le racisme social : « Autant récompenser Babe le cochon », avait-on entendu. Les critiques le contestaient en arguant qu’il ne s’agissait pas d’« acteurs professionnels » – manière de dire que ces gens-là n’avaient rien à faire dans leur monde. Par la suite, Séverine Caneele a encore tourné dans trois autres films, puis elle est retournée à sa vie d’ouvrière. Émilie Dequenne, en revanche, a fait carrière. Elle était tout aussi débutante et inconnue, mais elle était mignonne, potelée, très loin de la puissance dégagée par sa colauréate ; et être mignonne, n’est-ce pas, chez une actrice, le début du « professionnalisme » ? Elle s’est en outre très vite prêtée au jeu des secrets de beauté et des bonnes adresses dans les magazines.

    Retraçant, dans le portrait qu’il lui consacrait, l’expérience cannoise de Séverine Caneele, "Libération" soulignait ses manquements aux codes du glamour local : « La robe bleue, modèle de Lanvin choisi en désespoir de cause après dix essayages au Majestic, est trop juste. Elle entrave sa marche vers la scène. » Et de rappeler la malveillance de la presse : « "VSD" a zoomé sur l’ourlet défait de la robe bleue, “et pourtant elle a un BEP de couture”. » La jeune femme n’avait aucune légitimité à être couronnée dans un festival dont l’envahissant sponsor est, depuis 1997, L’Oréal Paris. Le géant des cosmétiques n’a pas manqué d’imprimer sa marque sur l’événement : ses « égéries », actrices et mannequins, montent les marches bras dessus bras dessous, contribuant à accroître la confusion entre talent et conformité plastique ; et si Virginie Ledoyen, par exemple, fut à deux reprises, en 2000 et en 2002, la maîtresse de cérémonie du festival, on peut présumer que c’est davantage en vertu de son contrat avec la marque, signé en 1999, que de sa position dans le monde du cinéma.

    Paroles d’actrices :
    http://www.editions-zones.fr/spip.php?page=lyberplayer&id_article=149#chap07

    L’homme est un créateur, la femme est une créature : cette division des rôles a des racines très anciennes. Portemanteau à fantasmes, marionnette de ventriloque, telle est aussi la position la plus fréquemment assignée aux actrices. En 1976, Delphine Seyrig avait donné la parole à quelques-unes de ses consœurs, françaises et américaines, dans un documentaire intitulé "Sois belle et tais-toi". Toutes s’accordent sur la pénurie de rôles féminins, et, plus encore, sur leur pauvreté, sur les quelques clichés affligeants auxquels ils se réduisent. « J’avais envie de bastonner les gens qui me disaient : “Oh, tu étais formidable dans ce film !”, avoue Barbara Steele. J’aurais voulu leur répondre : “Ne me dis pas que tu m’as aimée là-dedans, je n’y étais même pas ! C’était quelqu’un d’autre !” » Seule exception, Jane Fonda déborde d’enthousiasme en évoquant le film qu’elle vient alors de tourner avec Vanessa Redgrave : "Julia", de Fred Zinnemann, sorti en 1977, qui raconte l’amitié entre deux femmes pendant la Seconde Guerre mondiale. Elle a cette formule éloquente : « C’était la première fois que je jouais le rôle d’une femme qui ne joue pas un rôle. »

    Fonda raconte son passage, le jour de son arrivée à la Warner, sur le fauteuil où atterrissaient toutes les actrices, tandis que les experts se bousculaient au-dessus d’elles pour les examiner sous toutes les coutures : « Ils m’ont conseillé de me teindre en blonde, de me faire briser les mâchoires par le dentiste pour creuser les joues – j’avais encore mes bonnes joues d’adolescente –, de porter des faux seins et de me faire refaire le nez, parce que, avec un nez pareil, je ne pourrais “jamais jouer la tragédie” ! » Maria Schneider, covedette avec Marlon Brando du "Dernier tango à Paris" de Bernardo Bertolucci, sorti en 1972, dit que, durant le tournage, Bertolucci lui a à peine adressée la parole : « Il a fait le film avec Marlon. » Elle dit aussi qu’elle aimerait bien tourner enfin avec des hommes de son âge – elle a vingt-trois ans : « Nicholson, c’est mieux que Brando, mais il a quand même quarante ans… » Une autre lui fait écho : « Tout le cinéma n’est qu’un énorme fantasme masculin. »

    #Cannes #shameless_autopromo