person:christian cambon

  • Prévention des risques d’inondation : un persistant déni bureaucratique
    http://www.eauxglacees.com/Prevention-des-risques-d

    Interrogé par un sénateur francilien le ministère de l’Aménagement du territoire, a transmis la patate chaude à celui de l’Environnement (ce qu’il en reste), qui noie sous un invraisemblable galimatias bureaucratique la question du financement d’un nouveau dispositif de retenue en Seine et Marne, à l’étude depuis plus de 20 ans… La question écrite n° 22322 de M. Christian Cambon (Val-de-Marne - Les Républicains), publiée dans le JO Sénat du 16/06/2016 - page 2619 : « M. Christian Cambon attire (...)

  • Le Sénat souhaite rétablir les coupures d’eau en cas d’impayés
    http://www.lemonde.fr/les-decodeurs/article/2015/03/03/le-senat-souhaite-retablir-les-coupures-d-eau-en-cas-d-impayes_4586651_43557

    La loi sur la transition énergétique, adoptée en octobre à l’Assemblée nationale, a été votée mardi 3 mars par le Sénat. Entre autres changements (réduction de la part du nucléaire repoussée, rénovation énergétique des bâtiments accélérée…), le sénateur UMP Christian Cambon a introduit un amendement qui rétablirait la légalité des coupures d’eau en cas d’impayés, mesure qui avait été interdite en 2013

    [...]

    L’amendement a été déposé par le sénateur UMP Christian Cambon, qui est aussi vice-président du Syndicat des eaux d’Ile-de-France (le Sedif), un important distributeur d’eau.

    Il considère que la loi de 2013, qui interdit les coupures d’eau pour toutes les résidences principales, sans distinction de revenus, inciterait les consommateurs à ne pas payer leurs factures.

    Christian Cambon assure ainsi qu’au Royaume-Uni, où les coupures d’eau sont aussi interdites, les impayés ont été multipliés par cinq, ce qui aurait conduit à une hausse de 3 % des tarifs pour l’ensemble des usagers.

    Pour faire la différence entre les personnes en situation précaire et les mauvais payeurs volontaires, l’amendement prévoit toutefois de maintenir l’interdiction des coupures d’eau pour « les familles en difficulté tout au long de l’année ». Mais le texte ne dit pas quels sont les critères pour être qualifié de « famille en difficulté ».

    En revanche, l’amendement ne remet pas en cause l’expérimentation du tarif social de l’eau, et souhaite au contraire effectuer un bilan avant de « dégager des solutions généralisables ».

    [...]

    La ministre de l’écologie Ségolène Royal a soutenu le texte déposé par le sénateur Cambon, affirmant « qu’on ne pouvait pas laisser appliquer un système qui privilégie le non-paiement systématique

    L’association de défense des consommateurs CLCV est montée au créneau. Dans une lettre datée du 27 février et adressée à la ministre, sa présidente Reine-Claude Mader demande le retrait de l’amendement Cambon qui constitue, avertit-elle, « un réel retour en arrière ». L’association note qu’aujourd’hui seul 1 % des factures d’eau restent impayées.

    Mardi matin, Ségolène Royal a effectué un revirement sur la question en annonçant sur Twitter qu’il n’y aurait « aucun recul » sur la question de l’accès à l’eau et que le texte serait « rétabli ».

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    #Transition_énergétique #Services_publics #Eau

  • Le Sénat a achevé l’examen du projet de loi sur la transition énergétique - Localtis.info un service Caisse des Dépôts
    http://www.localtis.info/cs/ContentServer?pagename=Localtis/LOCActu/ArticleActualite&jid=1250268490878&cid=1250268490105

    Un amendement de Christian Cambon (UMP, Val-de-Marne) « corrige une erreur » issue de la loi Brottes du 15 avril 2013, avec l’avis favorable du rapporteur et de la ministre. Alors que cette loi entendait « étendre la trêve hivernale en matière de coupure de gaz naturel, d’électricité et de chaleur à l’ensemble des consommateurs », elle a « conduit à interdire les coupures d’eau toute l’année pour l’ensemble des résidences principales, alors que cette interdiction était jusque-là réservée aux familles en difficultés bénéficiant ou ayant bénéficié du FSL », écrit l’élu dans son exposé des motifs. « Il n’est donc désormais plus possible d’établir une différence de traitement entre les mauvais payeurs et ceux qui ne payent pas parce qu’ils n’en ont pas les moyens, ce qui pourrait encourager des comportements non-citoyens. » L’article 60 bis A ainsi créé évite « un effet contre-productif de l’interdiction des coupures sur l’accès à l’eau, tout en prévoyant d’interdire les coupures d’eau pour les familles en difficulté tout au long de l’année ». Le groupe CRC, hostile à cette disposition, a demandé un scrutin public. L’amendement a eu 196 voix pour et 138 contre, presque toutes issues des groupes écologiste, socialiste et communiste. « Il y a d’autres moyens de lutter contre les impayés que la coupure d’eau. Par exemple, des poursuites », selon Eliane Assassi (PC, Seine-Saint-Denis) qui a déploré l’"avis favorable" de la ministre à l’amendement.