person:chuck norris

  • The King of Kong : A Fistful of Quarters
    https://www.nova-cinema.org/prog/2019/171-offscreen-12th-edition/game-on/article/the-king-of-kong-a-fistful-of-quarters

    Seth Gordon, 2007, US, video_hd, VO FR ,79’

    2007, Wiebe, un père de famille tranquille, essaie de battre le record de "Donkey Kong" détenu depuis 1982 par Billy Mitchell, une sorte de Chuck Norris avec cravate USA, magnat de la sauce Tex-Mex, exécrable, patriote, narcissique, auto déclaré meilleur joueur de jeux vidéo du monde. Wiebe y arrive et c’est là que (heureusement) tout commence… Pas de bol, Mitchell fait partie du jury de « Twin Galaxies », temple de l’homologation des scores d’arcade depuis 1981 et le record n’est pas reconnu valable. Le film rebondit sans arrêt et dépeint parfaitement ces personnages fascinants de l’âge d’or du jeu d’arcade. Au delà de l’aspect "film sur le jeu vidéo", il y a des personnages terriblement humains, misérables, méprisables que l’on (...)

  • Je tombe du lit littéralement
    Pour noter mon rêve, je fais bien
    Celui-là je vais l’oublier

    Sur les bords d’une rivière
    Aux eaux sombres
    Certains traversent, d’autres se noient

    Je compose des haikus
    Au bord d’une rivière
    Mes enfants sont ébahis

    Mais Seijiro Murayama
    Se moque de moi
    Et de mes haïkus

    Et au contraire
    Enseigne à mes enfants
    La beauté du trait sumi-e

    En revanche je remarque
    Qu’il triche un peu en ne faisant
    Que prolonger les traits de photographies

    Rentré à la maison
    J’explore les archives de mon père
    Et découvre tout un passé anarchiste

    Mon père avait fabriqué
    En ingénieur un code incassable
    Pour les échanges de ceux de Tarnac

    Au réveil cependant
    Je suis fort pâle
    Et me fait porter pâle

    Tellement concentré
    Sur la transcription de mon rêve
    Je remarque à peine mes enfants

    Tellement enchanté par hier soir
    J’en oublie presque de m’habiller
    Nu, j’écris en écoutant Seijiro Murayama

    Et m’amuse
    Qu’en rêve
    Il rît de mes haïkus

    Des macaronis
    Aux sardines
    Huile d’olive et sel

    Au BDP
    Je n’ai pas le temps de m’installer
    Arrivent Xavier et Hélène

    A Montreuil, un rapport d’expertise
    S’émeut qu’une usine polluante soit
    Sur le point d’exploser à côté d’une école

    L’école
    Et l’usine
    Restent ouvertes

    Autre exemple de principe de précaution
    Cinq centimètres de neige sur un terrain de rugby
    Les entraînements des enfants sont annulés

    Un jour je serai dictateur
    Et les jours de neige les enfants joueront au rugby
    Conséquence directe envisagée par moi : fin du terrorisme

    Un jour j’écrirai
    Cette démonstration
    Et je la gesticulerai

    Ego : je n’ai pas cessé
    De faire des rêves freudiens
    Cette semaine

    Psy (avisant mon tas de feuillets) :
    « - Vous n’en avez pas de lacaniens ?
    Ego : - Ne faites pas le difficile, attendez de voir »

    Ego : «  - Il y en a quatre
    Et ils se suivent »
    Psy s’arme pour noter, il piaffe, un feuilleton !

    Le premier lui donne déjà
    Du grain à moudre
    « - Le deuxième ? », demande-t-il timidement

    Le deuxième le fait noircir du papier
    « Quelle richesse de détails ! » fait-il, plaintif, presque
    La psychanalyse du type du Désordre !

    Ego : «  - Et il y a les deux autres épisodes »
    Psy fait de grands gestes de dénégation
    On dirait un noyé se débattant dans les vagues

    Le premier que je croyais
    Ne donner qu’une indication d’ambiance
    Me fait pleurer à mesure de l’autopsie

    Je blêmis à l’idée
    D’aborder les trois suivants
    «  - Vous pouvez laisser vos feuillets ici »

    Et Psy range mes rêves
    Dans sa bibliothèque
    Je vois qu’il tique sur le titre du tas

    Faire
    Du mur
    Avec McEnroe

    Dans l’ascenseur
    J’envoie traditionnel message à J.
    « - Des fois on doute de l’utilité, d’autres fois non »

    Sa réponse : « - C’est pour ça que je dis
    Qu’on peut penser arrêter
    Quand on a douté trois fois de suite »

    Je passe à La Friche et prévient que ma demande
    Va être d’une grande imprécision
    Livre écrit par une féministe américaine

    Traitant de la désobéissance civile
    L’auteure a un nom et pas de prénom
    Sur la couverture une manifestation bigarrée

    Le libraire de La Friche
    Starhawk, Chroniques altermondialistes
    Bonne lecture !

    Et j’achète
    Un peu de Poe
    Pour Zoé

    Un peu de Poe
    Pour Zoé
    Qui aimera ça

    Comme Madeleine
    Les frites
    Chez Eugène

    Retour autoradio
    Je me pisse de rire en écoutant
    Ono dit Biot recevant Assouline pour parler Simenon

    Christophe Ono dit Biot
    Pierre Assouline
    Georges Simenon, du lourd

    Ono dit Biot sert la soupe à Assouline
    Assouline nous vante Simenon en génie littéraire
    Une belle brochette de petits maîtres

    OdB : «  ? Vous avez lu tous les Simenon ?
    Assouline : ? Deux fois ! »
    Chuck Norris a compté jusqu’à l’infini, deux fois

    Ono dit Biot, Assouline et Simenon
    On se croirait revenus
    Aux temps de l’ORTF, c’est drôle !

    Rentré à la maison
    Je n’ai pas le temps de m’y mettre
    Émile m’appelle à la rescousse

    Son ton de voix est parfaitement posé et clair
    « J’ai eu une réunion d’orientation qui a dépassé
    Je vais être en retard chez l’orthophoniste »

    Et j’imagine que rien que de très normal
    Sauf que là on parle d’Émile-dans-la-lune
    Je fonce et vais le chercher il est là où il a dit !

    L’orthophoniste est aux anges
    Et elle est extatique quand par ailleurs
    Je lui montre les épreuves de Raffut composées

    « Je vais pouvoir le conseiller
    À mes patients dyslexiques adultes »
    Puis, elle rougit, non ça va, ce n’est pas la Fuite

    Je rentre
    Et je ne trouve toujours
    Pas le temps de plonger dans mes épreuves

    J’aimerais
    Tellement
    Pourtant !

    Nouilles sautées
    Un peu de fromage
    Des poires blettes

    Dans l’attente
    De mon deuxième jeu d’épreuves
    Je parcoure les informations

    Sur l’affaire de Tarnac
    La propension des médias à embrasser la cause
    Après avoir copieusement hurlé avec les loups

    Résistants du mois de septembre
    Féministes Post _#meetoo_
    Autonomes de 2018

    Demain
    Je range
    Le désordre

    #mon_oiseau_bleu

  • J – 25 : Daniel,

    Admettons, pour commencer, que quand je dis Désordre , avec un D majuscule et en italique, je parle de mon travail, que quand j’écris « désordre » sans italique et sans majuscule, je parle d’une situation désordonnée et que quand j’écris « desordre » (sans accent et tout en minuscules), généralement à l’intérieur d’une graphie de ce genre http://www.desordre.net , je donne le chemin de quelques vérifications possibles en ligne. Le Désordre est curieusement affaire d’appeler les choses par leur nom, d’appeler un chat un chat.html.

    Daniel, tu me demandes un texte de quelques pages à propos du Désordre . Cela arrive de temps en temps que l’on me demande un telle chose, la dernière fois c’était pour le Festival de littérature de Solothurn en Suisse, d’où j’avais rapporté un très mauvais livre à propos de Proust, quelques secondes de films d’animation réalisées avec de la pâte à modeler dans le cadre luxueux de ma chambre d’hôtel dans laquelle je me suis ennuyé ferme pendant deux jours, et dans laquelle j’ai hérité d’une colonie de punaises de lit qui auront empoisonné mon existence pendant presque six mois. La Suisse. La semaine dernière j’ai reçu deux textes d’un jeune universitaire qui a décidé, il y a deux ans, d’étudier le Désordre , je pourrais être sans vergogne et tout pomper sur de telles études sérieuses, mais voilà elles sont exprimées dans une langue que ni toi ni moi ne parlons. Et puis ce serait ignorer que la générosité est le sentiment qui a le plus cours entre nous deux. Le Désordre est un flux, il se modifie sans cesse, il s’augmente sans cesse.

    Je pourrais, j’en suis sûr, écrire une fiction à propos de ce site, une sorte de nouvelle à tiroirs et il y en a quelques-uns, des tiroirs, dans ce site et dans son histoire périphérique, celle de mon existence finalement, quelques rebondissements ont connu leurs premières secousses à l’intérieur même du site, en les agençant un peu différemment de la façon dont ils se sont produits, je parviendrais bien à quelque chose, mais j’ai compris que ce n’était pas ce que tu attendais. Pourtant le Désordre est une fiction. La mienne.

    Je pourrais, je finirais par en trouver le moyen, créer une manière de site dans le site qui permettrait de canaliser, fixer, un parcours dans le site et qui serait, de ce fait, une sorte de fiction aussi, mais alors j’aurais le sentiment de trahir quelques-unes de mes intentions premières dès le début de la construction du site, à savoir rendre le parcours aussi chaotique, désordonné et aléatoire que possible, au point que, désormais, plus personne ne peut vraiment faire le même parcours dans ce fichu site et lorsque des personnes échangent à son propos, je ris sous cape qu’ils ne savent pas qu’ils ne peuvent pas parler de la même chose, qu’ils n’ont pas vu la même chose et pourtant ils semblent s’entendre. Ce sont les visiteurs du Désordre qui font le Désordre .

    Je pourrais à l’inverse, j’en ai les moyens, en programmation, rien de plus facile, ajouter du désordre au Désordre , donner à l’aléatoire une plus grande part encore, mais alors cela pourrait très bien être en vain, le nombre de possibilités existantes est déjà très grand, on parle de nombre gogol et de nombre gogolplex qui sont des nombres qui tutoient l’infini (un gogol est égale à 10 puissance 100, et un gogolplex est égale à 10 puissance gogol), en fait pour tout te dire, aussi invraisemblable que cela puisse paraître, le nombre de combinaisons possibles dans l’agencement des presque 300.000 fichiers du Désordre est pour ainsi dire aussi grand que le nombre d’atomes que l’on pourrait serrer dans l’univers connu. Personne ne s’apercevrait de cette aggravation du Désordre . C’est si grave que cela. Le Désordre est au-delà du vaste, il n’est pas infini, bien sûr, mais il est asymptotique à l’infini. Chuck Norris a compté jusqu’à l’infini. Deux fois.

    Je pourrais aussi, avec force copies d’écran te décrire le Désordre vu de l’intérieur et te montrer comment pour atteindre une telle dimension de Désordre , en donner le sentiment, il convient, pour moi, pour m’y retrouver, d’ordonner les choses avec un soin maniaque quand ce n’est pas totalitaire, il y a là un paradoxe très étonnant, bien que facile à comprendre, je pense que tu en as eu un aperçu quand nous avons travaillé ensemble dans le garage pour ton recueil du poèmes visuels dans le Désordre , sans doute l’une des plus belles réalisations du Désordre et quel plaisir c’était, pour moi, de t’offrir de telles possibilités, dans une confiance désormais acquise et mutuelle, même si de haute lutte par le passé. J’ai fait du chemin depuis Barjavel, non ? http://www.desordre.net est parfaitement rangé et ordonné, pour mieux donner une impression de désordre, laquelle est grandement obtenue par des effets de programmation. Le désordre est un programme en soi. Et il est paradoxal.

    Je pourrais, je vais le faire, c’est désormais un peu de cette manière que je procède en toutes chose, inclure ce texte, que tu me demandes, à l’intérieur même d’un projet en cours, qui est lui-même un projet qui surplombe le Désordre , Qui ça ? sorte de chronique de la catastrophe en cours et pour laquelle je refuse désormais d’avoir le moindre regard, elle est inévitable, avant qu’elle ne se produise, agissons et prenons l’habitude désormais d’agir selon notre guise, tout comme je le dédicace à cet ami poète, Laurent Grisel, nos agissements sont tellement plus précieux que les actes misérables qui nous gouvernent, et alors ce serait un tel plaisir de tisser depuis ce texte que je suis en train d’écrire le faisceau abondant des liens hypertextes qu’il suscite, et tu serais bien embêté plus tard pour tâcher de trouver le moyen d’accueillir tout cela dans la cadre restreint d’une revue papier, NUIRe. Plus j’y pense et plus je me dis que c’est ce que je devrais faire, rien que pour te mettre un peu dans l’embarras, pour t’embêter gentiment. Le Désordre n’est pas plat, il compte des épaisseurs, une profondeur qui doivent concourir au sentiment de désordre. Le Désordre est une mise en abyme. http://www.desordre.net/bloc/ursula/2017/index_186.htm

    Je pourrais, je dois le faire, rappeler utilement que je ne suis pas le seul contributeur du Désordre , par exemple il est important de savoir que j’ai commencé à travailler au Désordre en 1999, mais qu’à partir de 2003 j’ai reçu de temps en temps, à ma demande, l’aide précieuse de mon ami Julien Kirch - @archiloque - qui a su fabriquer pour moi des outils remarquables pour mieux semer le désordre. Que tout au long de la construction j’ai reçu les avis éclairés et avisés d’autres personnes, notamment L.L. de Mars, que j’ai fait partie de collectifs qui ont nourri mon travail, le Terrier , remue.net, Le Portillon , seenthis.net et que le Désordre m’a permis aussi de travailler (et de les rencontrer) avec des musiciens d’exception, Dominique Pifarély et Michele Rabbia, que le Désordre a connu un développement inattendu dans le numéro 109 de Manière de voir et quel plaisir cela a été de rencontrer et de travailler avec @fil, @mona et Alice, que d’une façon plus ou moins directe il m’a permis de trouver un éditeur, grâce soit rendue à Sarah Cillaire, Hélène Gaudy et Mathieu Larnaudie, les parrain et marraines d’ Une Fuite en Egypte et enfin, et surtout, que le Désordre accueille aussi en son sein les travaux remarquables d’amis, parmi lesquels, Jacky Chriqui, Hanno Baumfelder, L.L. de Mars, Martin Bruneau, Isa Bordat, Karen Sarvage, Ray Martin, Barbara Crane et Robert Heinecken, Thomas Deschamps (qui a composé l’une des plus belles pages du Désordre), Eric Loillieux, Vincent Matyn, Pierre Masseau, Jean-Luc Guionnet, Stéphane Rives, Lotus Edde Khouri et, donc, toi, Daniel, Daniel Van de Velde, devande. Le Désordre c’est aussi une histoire de mes amitiés et de ce qu’elles m’ont apporté d’immenses richesses et de communes préoccupations, regarde, en tête de ce texte, qui passait par l’infini, je n’ai pas hésité longtemps pour ce qui est du choix d’une image, pouvait-il y avoir de plus remarquable illustration, le mot est mal choisi, qu’une photographie de l’une de tes merveilleuses sculptures au travers desquelles on jurerait voir l’infini.

    Je pourrais rappeler que l’une des dimensions supérieures du Désordre c’est une manière de sauvegarde des joies et des beautés du quotidien. Tu as dit à propos de ce texte, que tu me demandes, que tu pourrais m’aider à y contribuer, je pense que sur le sujet de ce quotidien, de son ressassement heureux, enchanté par moments, et d’un certain arbre du bois de Vincennes, tu sauras dire quelques très belles choses, je laisse donc quelques lignes blanches pour toi.



















    Je pourrais faire la liste des erreurs et des ratages du Désordre , il y en a eu quelques-unes, et même quelques errements, et des obstinations de ma part qui ont parfois fait courir de grands périls à l’ensemble, des fois je suis allé trop loin, d’ailleurs rien ne m’assure que cela ne soit pas déjà le cas. En fait chaque fois que je travaille au Désordre je cours le risque de tout faire échouer ou encore d’ajouter des éléments faibles qui ne rendent pas justice aux autres réalisations, plus réussies, du Désordre et cela fait presque dix-huit ans maintenant que le Désordre menace presque tous les jours de s’effondrer. Le Désordre est fragile. Et il aura une fin. Elle ne sera pas nécessairement heureuse, ni réussie.

    Je pourrais écrire n’importe quoi, dire du Désordre des choses qui ne seraient pas vraies, qui ne seraient pas entièrement fausses non plus, en quelque sorte des choses qui ne me concerneraient pas. Et cela permettrait, nul doute, de faire diversion, d’attirer le regard vers des directions opposées à celles qui sont en fait au cœur du site, notamment le combat, le combat pour la vie, pour la survie, le combat pour Nathan, le combat pour les enfants, le combat pour faire accepter certaines manières de faire les choses, de voir le monde, d’y participer, le combat politique en somme, le combat ce n’est pas la partie la plus visible du Désordre et pourtant elle est là, jamais très loin, et jamais en grattant beaucoup, on y voit mon corps et mon cœur fatigués tous les deux par le combat, mais mon corps et mon cœur heureux, cela oui aussi. Le Désordre est un combat perdu d’avance, mais qu’on ne peut pas refuser. C’est mon côté Don Quichotte du Val-de-Marne.

    En tout cas c’est un combat qui me laisse désormais sans force. Un jour que des lycéens, dans le cadre de je ne sais plus quelle expérience de leur cursus - guidés en cela par leur excellent professeur de philosophie, mon ami Alain Poirson, qui a été, aussi, pour moi, un professeur de philosophie, et quel ! -, m’avaient soumis au questionnaire de Proust, à la question comment est-ce que j’aimerais mourir, j’avais répondu sans hésiter : épuisé. Ça finira par arriver un jour, c’est sûr.

    Im freundschaft, mein lieber Daniel, im Freundschaft.

    #qui_ca

  • Mieux que Chuck Norris - Snake Plissen (Kurt Russell contre les terroristes ?)
    http://boingboing.net/2016/07/19/snake-plissken-escapes-from-fl.html
    Snake Plissken escapes from Florida / Boing Boing

    Snake Plissken is back in these epic Escape from New York comics!

    I loved the comic book continuation of Big Trouble in Little China and these Escape from New York books are more of the same. Excellent art and story telling pick up right where the film ended, the ass-kicking continues. Our hero Snake decides he needs a little vacation and heads south to Florida. Naturally, nothing works out as easily as he plans, and Plissken finds himself stuck putting down a new southern rebellion.

    #film #bande_dessinée #action

  • Amerigeddon et la guerre civile aux portes des USA
    http://www.dedefensa.org/article/amerigeddon-et-la-guerre-civile-aux-portes-des-usa

    Amerigeddon et la guerre civile aux portes des USA

    Le climat continue à se tendre aux USA comme si la tension était devenue la nouvelle normalité du pays, avec les effets à mesure sur les psychologies. La candidature de Donald Trump se présente de plus en plus comme l’expression politique d’un puissant courant de déstabilisation qui s’exprime avec une puissance considérable dans une “guerre civile de la communication” d’une violence extrême. Il paraît désormais de plus en plus difficile de ne pas envisager une issue paroxystique à la séquence en cours, avec la possibilité désormais envisageable du “passage à l’acte”...

    (“Passage à l’acte” ? De la “guerre civile de communication” à la “guerre civile” tout court, mais dans des conditions extrêmement imprévisibles, y compris et surtout dans son engagement. Comme (...)

    • Mais l’essentiel de notre propos est ailleurs. Il est basé sur l’annonce de la sortie, ce 13 mai, d’un film qui apparaît dans le circuit commercial normal de l’industrie cinématographique et qui est présenté littéralement comme un “appel à l’action pour protéger la liberté de l’Amérique” (« call to action to protect America’s freedom »), c’est-à-dire un véritable appel aux armes et à la mobilisation. Il s’agit d’un film de Mike Norris, fils de l’acteur Chuck Norris, Amerigeddon, – qui se définit également, pour que les choses soient claire, comme “le film que l’establishment ne veut pas que vous voyez” (« the movie the establishment doesn’t want you to see »)... (Si l’on veut, on peut envisager de mettre “Système” à la place de “establishment”.)

      Chuck est de retour ! ! !

      #énorme :-D

  • What would Chuck Norris do? Fight Obama’s Apocalypse! (“Exclusive: Chuck Norris reveals plan to naturalize 9 million likely Democrats”)
    http://www.wnd.com/2015/05/obamas-amnesty-by-edict

    It’s difficult to believe that a single president could make more international Middle East fiascos in a few short years: miscalculating the Arab spring, empowering the Muslim brotherhood in Egypt, failing to protect Americans in Benghazi, enabling ISIS through the complete withdraw of troops from Iraq, remaining aloof to our ally Israel, and then being calloused and obtuse with persecuted Coptic Christians. Indeed, as I just wrote in a former column, Obama has literally helped build the environment for the Apocalypse, as defined by both Muslims and Christians.

  • GloFo : le 14nm, c’est pour 2015 !
    http://www.comptoir-hardware.com/actus/business/27279-glofo-le-14nm-cest-pour-2015-.html

    Le Senior VP nommé Chuck Norris Fox a répondu à quelques questions posées par Digitimes. GloFo a l’intention de produire en volume des puces 14nm Low Power Early durant le premier semestre 2015, souvent des puces peu énergivores et très basses consommation dont l’architecture ne revêt pas spécialement un gros challenge à reproduire, et des bouzins 14nm Low Power Plus durant le second semestre 2015... [Tout lire]

    #Business_&_internet

  • Espion du Mossad, c’est un métier chouette :

    Lors des obsèques du roi Hussein à Amman en février 1999, les services secrets jordaniens et le Mossad israélien sont parvenus à récupérer les urines d’Hafez el-Assad…

    Je pense que c’est un épisode qui manque beaucoup dans Delta Force et Munich. Eric Bana et Chuck Norris en train de renifler le pot de chambre d’Assad, ça aurait été quand même top glamour.

    J’en suis donc au chapitre : #les_chemins_de_damas, « La lune de miel »

    • Le chapitre décrit le rapprochement entre le jeune Bachar Assad, que Chirac prendrait sous son aile, tout en étant très proche de Rafic Hariri. Pas passionnant si on est déjà un peu au courant, mais nécessaire je suppose pour la vulgarisation.

    • Toujours les anecdotes vieille France de l’Ambassadeur. Celle-ci, vraiment, on s’en cogne :

      Bassel était un excellent cavalier, se souvient Daniel Contenay. Les week-ends, mon numéro deux, Bernard Bajolet, aujourd’hui à la tête de la DGSE, montait à cheval avec le fils aîné du président. Quand il partait, je lui disais simplement en plaisantant : “Bernard, n’allez pas trop vite !” Il savait très bien ce qu’il fallait faire pour ne pas vexer Bassel... »

    • Si la structure clanique de la corruption syrienne est décrite (et intéressante), la nature discutable des affaires de Hariri et ses liens avec Chirac est plus suggérée.

      le raïs syrien contrôle le Liban de sa main de fer au travers d’un quatuor : Abdel Halim Khaddam, son vice-président, Hekmat Chehabi, le chef d’état-major de l’armée syrienne, Ghazi Kanaan, le proconsul au Liban, et Rafic Hariri. Or, la « bande des quatre » voit d’un mauvais œil l’arrivée du jeune Bachar dans leur chasse gardée libanaise où ils font de juteuses affaires entre eux.

      et, sur la première rencontre entre Hariri et Chirac :

      Un « fund raising » est organisé aux États-Unis par le baron Olivier de Chillaz pour le compte du candidat Chirac. Le plus gros chèque est signé d’un entrepreneur libanais du BTP, un certain Rafic Hariri. « C’est lors d’un cocktail organisé à Washington pour remercier les donateurs que Chirac et Hariri font connaissance »

      puis la retraite du vieux raïs français :

      Un ex-président logé gracieusement pour ses vieux jours par une personnalité politique étrangère, c’est un fait sans précédent sous la Ve République !

      Malheureusement c’est à peu près tout, et on retombe dans les assez habituelles descriptions psychologisantes des relations personnelles amicales entre la famille Hariri et la famille Chirac, et la relation paternaliste de Chirac envers Bachar.

    • Aucune mention sur l’influence saoudienne au Liban, en dehors de cette note :

      Rafic Hariri possédait la nationalité saoudienne, ainsi que ses fils, notamment Saad, qui prendra sa succession après son assassinat en 2005. Les Saoudiens lui avaient permis de conserver sa nationalité libanaise. Une faveur, la double nationalité n’étant pas autorisée dans le royaume.

      Cette remarque :

      Ainsi, entre la France et la Syrie, il y a Rafic Hariri qui conseille en permanence Jacques Chirac sur tous les dossiers. Et forcément qui l’influence... Or Rafic Hariri n’est pas neutre. Porte-drapeau du « sunnisme politique », il doit sa fortune et son influence à l’Arabie saoudite.

      Et, dans le chapitre précédent :

      Ancien ministre à Beyrouth, Élie Firzli se rappelle, lui, une affirmation de Hariri qui « m’a souvent dit : tout ce qu’Hafez el-Assad me demande pour lui ou pour sa famille, je le fais sans hésiter. Sauf une seule chose : s’il y a un conflit avec l’Arabie saoudite, je choisirais les Saoudiens car ils sont à l’origine de ma fortune ».

      On pourra dire que les choses sont ainsi suggérées sans être explicitées, mais si la description de la corruption syrienne est explicitement décrite (et c’est très bien), son pendant du côté de Hariri et des Séoudiens au Liban est plutôt effleuré.

      D’autant que, avec les romanesques déclarations de Daniel Contenay, on a l’impression qu’il n’y a que deux acteurs politiques au Liban : le régime syrien et la France. Or, entre Taëf et la mort de Hariri, les deux pays qui contrôlent réellement le Liban, ce sont la Syrie (via la présence militaire) et les Séoudiens (par l’argent). La France n’a en pratique qu’une influence très faible.

      Le protectorat syro-séoudien du Liban, en dehors de toute influence politique française (malgré les prétentions des ambassadeurs), est ainsi suggérée ici :

      Aucune décision importante ou poste clé n’échappe alors à l’œil de Damas, y compris et surtout la décision de placer Rafic Hariri à la tête du gouvernement libanais en 1992, fruit d’un arrangement entre la Syrie et l’Arabie saoudite.

      Quand, dans le livre, on rappelle que la Syrie fait savoir qu’elle n’accepte qu’un rôle culturel de la France au Liban, on feint d’ignorer que c’est de toute façon une réalité : les militaires sont syriens, les milliards sont séoudiens.

    • Amusant understatement :

      Hariri n’avait aucun intérêt pour ce dossier, ce qu’il m’a fait comprendre à la fin de notre conversation. Pour lui, le Liban, paradis des banques et des hommes d’affaires, était plus fait pour accueillir HEC que l’ENA, symbole d’une administration forte et centralisée qui n’existe pas au pays du Cèdre.

      Vraiment, on est dans la suggestion : « …paradis des hommes d’affaires… », et « une administration forte et centralisée qui n’existe pas », que c’est joliment dit. (Puisque que, plus prosaïquement, les Libanais se souviendront que Hariri préférait un paradis des affairistes, protégés par une administration incompétente et corrompue.)

    • Bon, je critique les euphémismes sur la corruption du système Hariri, l’absence de l’influence saoudienne, et les très usuelles élucubrations psychologisantes sur les relations entre Chirac, Hariri et Bachar Assad (auxquelles on n’échappe jamais dans la narrative franco-française), mais ce n’est tout de même pas inintéressant.

    • @reka : j’ai coupé de manière abrupte et malhonnête (parce que : (1) je suis comme ça, (2) je voudrais pas non plus spoiler tout le livre) : le but était de vérifier que Hafez el-Assad était gravement malade.

    • Et puisqu’il est ici question de Mossad, j’annonce sans rien vouloir spoiler qu’une jolie pépite se trouve plus loin, dans le passage consacré à la reconstitution (en France) de l’assassinat de Hariri :-)

    • @niss : oui et avec, selon C. et M., le consentement du ministère de la Défense et de son chef Hervé Morin, et le « quai d’Orsay » et son « lobby anti-syrien ». Or, C. et M., qui ne datent pas précisément l’évènement, dans la 3ème semaine d’octobre comprend-t-on, oublient dans ce cas -hum, hum- de nommer le ministre à la tête du quai d’Orsay, qui quittera d’ailleurs ses fonctions peu après, et qui est souvent associé à un autre lobby que le « lobby antisyrien » : Bernard Kouchner !

    • Tout à fait, et pas uniquement dans ce chapitre d’ailleurs : dans toute la partie « contemporaine » du livre, les révélations intéressantes ne sont souvent mentionnées qu’en passant, et en évitant à chaque fois d’en tirer les conséquences. Une demie-page à peine pour nous annoncer que les journalistes du Monde qui avaient ramené les échantillons de gaz sarin n’avaient fait que servir de mules à la DGSE... mais sans prendre la peine de s’interroger, du coup, sur l’authenticité de ces échantillons.

      A peine plus, je crois, pour la confirmation que des mercenaires français étaient bel et bien à Homs en même temps qu’Edith Bouvier (pour rappel, le Daily Star* mais aussi Stratfor parlaient à l’époque de « 13 officiers français » ; en France, seuls des sites « hum-hum » type Réseau Voltaire avaient je crois repris l’information). Là encore on ne nous précise pas pour qui ils travaillaient, s’ils se sont fait pincer ou non par l’armée syrienne, et comment ils ont été exfiltrés...

      * http://www.dailystar.com.lb/News/Middle-East/2012/Mar-05/165514-13-french-officers-being-held-in-syria.ashx

      Pour revenir à notre histoire de survol israélien, les auteurs auraient aussi pu préciser que la reconstitution n’en est ainsi que plus réaliste : si l’on en croit Nasrallah en effet, des drones israéliens avait survolé la scène du crime quelques heures avant l’attentat ;-)

      https://www.youtube.com/watch?v=6atfivav15U

  • Je crois qu’avant de prendre une décision prématurée, il est important d’écouter un spécialiste : What if Assad wants U.S. to bomb Syria ? - Chuck Norris
    http://www.wnd.com/2013/09/what-if-assad-wants-u-s-to-bomb-syria

    As a six-time world karate champion, I know something about fighting, winning and losing. Sometimes one has to lose a battle to win a war, if only in appearance before certain others. And the truth is, Mr. President, sometimes you win, sometimes you learn. My advice is to learn it now before it’s too late for all of us.

    Assad placed Obama (and, hence, America) in checkmate when he launched chemical weapons upon his people. The temptation is to blow up his chess pieces. But the right and wise move is to step away from the table, quit playing his game and form our own.

    #what_would_chuck_do

  • What would Chuck do?
    http://www.youtube.com/watch?feature=player_embedded&v=SwqTY1oJcjs

    In an unprecedented move, the legendary actor, Mr. Chuck Norris, created this audio, showing his support for the Prime Minister of Israel, Benjamin Netanyahu and The Likud Party in the general elections in Israel : “Vote for Benjamin Netanyahu because a Strong Prime Minister is a strong Israel”

  • Chuck Norris, 3 minutes, 350 victimes !
    http://www.gizmodo.fr/2012/10/24/chuck-norris-3-minutes-350-victimes.html

    Ainsi, 350 élèves de l’école St Georges à Shrewsbury au Nord Ouest de Birmingham ont visionné un savant medley des performances de notre Dieu l’acteur.Trois minutes où Chuck dézingue tout et à tout va, la crème de la crème de la violence, bref du lourd !

    Si nous sommes des fans absolus de sa majestueuse personne, des yeux si innocents, une telle férocité … Trêve de plaisanteries, car les marmots ont été littéralement traumatisés par le spectacle, au point de croire que Norris allait partir à leur poursuite et les passer à tabac.

    Ils sont fous ces anglais. N’empêche : Chuck Norris arrive à faire démissionner un directeur juste en existant.
    #chucknorrisfact

  • <pre>
    // Chuck Norris ne fait jamais d’erreur !
    // Quand bien même, s’il en fait une,
    // il faudrait être suicidaire pour la lui signaler !
    @ini_set(’display_errors’, ’off’) ;

    // Ce qui se passe à Vegas reste à Vegas !!!
    $GLOBALS[’spip_header_silencieux’] = true ;
    </pre>

    #SPIP #MesOptions #HardCoding ^^

    PS : chef ! Dis Chef ! On est entre geeks, chef ! Une balise <code> ca serait cool chef ! :-) (ping @arno)

  • Emigration : Manuel Valls fait face à un afflux soudain de Roms à Evry | Chuck Norris
    http://reflets.info/emigration-manuel-valls-fait-face-a-un-afflux-soudain-de-roms-a-evry

    Alors qu’il en a expulsé sans ménagement une cohorte de Bengalis la semaine dernière, le ministre de l’intérieur se voit confronté à une arrivée massive de Roms dans sa ville d’Evry. Selon les indications de la page #Facebook du (futur) stade d’Evry, la nationalité des nouveaux occupants, venus en masse, ne fait aucun doute : ce sont des roumains. Bucharest, en Roumanie, est désormais l’endroit dans le monde où l’on soutien le plus la candidature de Manuel Valls. Enfin… celle du stade de Manuel Valls. Dans cette course désespérée au faux fans, #Havas et le ministre de l’intérieur soulignent sans doute, par ce choix venu remplacer le Bangladesh, leur attachement aux valeurs Européennes. Comme d’habitude, ni l’agence, Havas, qui compte de bien pires politiciens que Manuel Valls dans sont carnet clientèle, ni le client – le conseil régional – ne seront pour quoi que ce soit (sépasnous©) à cet afflut de Roms sur la page Facebook du stade de Manuel Valls. Gageons que la tradition républicaine l’emportera, et que les troupes du ministre de l’intérieur se chargeront bien vite d’expulser ces Roms qui font désordre, fusse-t-ils virtuels, dans les alentours de ce si joli stade. Billets en relation : Havas délocalise le rugby (...)

    #On_s'en_fout

  • Havas délocalise le rugby Français | Chuck Norris
    http://reflets.info/havas-delocalise-le-rugby-francais

    Alors que le ministre du redressement productif plaide pour la réindustrialisation de notre mère patrie, son collègue de l’intérieur – qui cumule le poste de ministre avec celui de président de la Communauté d’agglomération Evry-Centre-Essonne – a mandaté Havas pour faire la promotion – pardon, le social marketing d’influence™ – d’Evry-Ris-Orangis, en vue d’être choisi par la Fédération Française de Rugby pour la construction d’un gigantesque stade. Petits arrangements entre amis Pour compléter le tableau, on trouve Vincent Bolloré – le Costa Croisière de Sarkozy – comme principal actionnaire de Havas, et Pierre Lescure – le nouveau Mr Hadopi – au conseil d’administration. L’histoire ne dit pas (encore) si le stade sera construit par Bouygues, Vinci, ou Eiffage et pour l’instant, on ne connait ni le montant du dessous de table, ni l’entreprise qui a réglé les frais de la partouze. Et juste pour un court rappel des faits, sachez que le vice président de Havas, Jacques Séguéla, est associé à Ghazoua Ben Ali en Tunisie, et qu’il est l’ancien conseiller de papa. Rassurez vous, il lui reste encore plein de clients. Bref, vous l’avez compris, le changement, c’est maintenant™. Havas, ton univers impitoyaaaaable Havas, c’est une vieille connaissance de (...)

  • Je ne peux pas m’empêcher de trouver que le type qui se jette tout seul par la fenêtre en continuant de tirer des rafales (violemment) contre les policiers pendant sa chute, c’est drôlement bien trouvé. Les flics devraient écrire des séries télé pour TF1.

    • Du coup, je me souviens que quand Chuck Norris défenestre un islamiste, non seulement il continue à tirer des rafales, mais en plus, il hurle « Allah Akhbaaaaaaaaaa… » (l’islamiste, pas Chuck Norris). Je trouve que, dans le récit que fait Claude Guéant, ce détail manque.

      Mais p’têt que ça ferait trop américain, hein, je ne suis pas un spécialiste (déjà que j’ai pas vu Ze Artist).

  • Epic Rap Battles of History

    Hilarants clips de #rap où s’affrontent deux célébrités. Cela vaut la peine d’utiliser du logiciel non-libre (Flash) pour les voir, quitte à le désinstaller après. Ils sont tous trop bien. Mon préféré, Abraham Lincoln contre Chuck Norris :

    http://www.youtube.com/watch?v=zj2Zf9tlg2Y

    Le deuxième meilleur est Darth Vader vs Hitler

    http://www.youtube.com/watch?v=AFA-rOls8YA

  • Creating a Portable #Web : When your data is truly yours. - TNW Design & Dev
    http://thenextweb.com/dd/2011/07/16/creating-a-portable-web-when-your-data-is-truly-yours

    de beaux projets pour que l’utilisateur puisse détenir vraiment ses propres données au lieu de les confier à des entreprises privées type #facebook, #Google+ #Flickr ou encore #seenthis

    openphoto http://openphoto.me
    singly http://singly.com (superbe #design de site soit dit en passant)
    telehash http://telehash.org

  • Le blog de Chuck Norris. Du lourd.

    Why Not Freeze Foreign Spending Too? | NewsBusters.org
    http://www.newsbusters.org/blogs/chuck-norris/2011/02/01/why-not-freeze-foreign-spending-too

    If I were president, here’s what I would propose for foreign realignment. I’d have the U.S. State Department inform all other countries that we are freezing domestic and foreign spending for at least the next five years. And at the end of those five years, we’d reassess U.S. support not only on the basis of the health of the U.S. economy but also, more importantly, on the basis of how other countries support U.S. interests and trade over the same time period. One might call that blackmail, but I call it business.