person:françois logerot

  • « Démocrassie » : 57 % d’augmentation pour celui… qui valide les comptes de campagne !
    https://www.crashdebug.fr/actualites-france/14957-democrassie-57-d-augmentation-pour-celui-qui-valide-les-comptes-de-

    Bâtard...

    Update 11.06.2018 : Comptes de campagne d’Emmanuel Macron : La République en marche publie des documents qui confirment les révélations de franceinfo (France Tv Info.fr)

    François Logerot est depuis 2005 président de la Commission nationale des comptes de campagne et des

    financements politiques. Witt/SIPA

    Démocrassie française ! Grosse augmentation de salaire pour le président de la Commission des comptes de campagne ! C’est le titre de cet article du Parisien qui s’étouffe encore de l’augmentation accordée à François Logerot, qui est depuis 2005 le président de la Commission nationale des comptes de campagne et des financements politiques, la CNCCFP !

    Un décret du 30 mai publié au Journal officiel vient de revaloriser les émoluments du président de la Commission des comptes de campagne et (...)

  • Le salaire du président de la Commission des comptes de campagne a été augmenté de 57%
    https://www.francetvinfo.fr/politique/emmanuel-macron/comptes-de-campagne-d-emmanuel-macron/le-salaire-du-president-de-la-commission-des-comptes-de-campagne-a-ete-

    Hasard du calendrier, cette augmentation prend effet alors que sont passés au crible les comptes de campagne du candidat Macron et qu’une enquête a été ouverte sur ceux de Jean-Luc Mélenchon. Un décret du 30 mai publié au Journal officiel revalorise de plus de 57% les émoluments du président de la Commission nationale des comptes de campagne et des financements politiques (CNCCFP), François Logerot, rapporte Le Parisien. Ils passent de 4 574 euros par mois à 7 182 euros nets mensuels, à quoi s’ajoutera désormais une indemnité annuelle de 9 500 euros bruts. Bonus : cette augmentation a un effet rétroactif au 1er janvier 2017.

    Cette augmentation était prévue depuis janvier 2017 mais elle intervient dans un contexte bien particulier. Une enquête sur le financement de la campagne présidentielle de Jean-Luc Mélenchon a été ouverte et a provoqué le départ de l’un des rapporteurs de la Commission.

    Ben quoi, pour augmenter les moyens de la CNCCFP – incapable de travailler en temps réel et émettant un avis plus d’un an après l’élection – il faut bien commencer quelque part, non ?

  • #Comptes_de_campagne : la grande misère de la commission nationale des comptes de campagne et des #financements_politiques (#CNCCFP )
    https://www.franceculture.fr/politique/comptes-de-campagne-la-grande-misere-de-la-commission

    Jean-Guy de Chalvron a été chargé d’examiner les comptes de la campagne présidentielle de Jean-Luc #Mélenchon. Il dénonce le manque de moyens de la commission et dénonce un travail "fantaisiste".

    […] Sur tous ces points, le président de la commission des comptes de campagne, François Logerot, nous a fait part des commentaires suivants :

    Sur un éventuel conflit avec la commission : il n’y a pas eu de "désaccord avec le président de la commission". Simplement, il a été indiqué à l’équipe de M de Chalvron les points sur lesquels la commission, après discussion, ne soutenait pas ses propositions, parce qu’elles n’étaient pas convenablement argumentées, ou étaient contraires à la jurisprudence ou aux positions de la commission à l’égard des comptes d’autres candidats, voire étrangères à sa compétence.
    Sur le fait que M de Chalvron ait été arbitrairement affecté à l’examen des comptes de M Melenchon : l’ex-rapporteur pouvait parfaitement le refuser, explique François Logerot.
    Sur le fait que l’équipe était seule pendant les mois d’été : le chargé de mission de la filière n’a pris que deux semaines de congés, la chargée de mission adjointe membre de l’équipe était présente en permanence, le chef du service du contrôle était présent jusqu’au 9 août, date à laquelle le secrétaire général était de retour de congé.
    Sur un refus par les services de la commission de demander des renseignements à Infogreffe au prétexte que « c’était trop cher » : il n’existe nulle trace d’un tel refus. Une autre équipe de rapporteurs y a eu recours et a évidemment obtenu satisfaction.
    Sur le fait que la commission a rejeté une somme inférieure à celle qu’il prescrivait : le montant de réformation proposé par l’équipe (et pas seulement le démissionnaire) était largement inférieur au montant de 1,5 million d’euros indiqué dans la presse. Après examen des réponses et des justifications supplémentaires apportées, la commission a retenu en définitive 435 000 euros de réformations des dépenses, ce qui a eu pour effet de diminuer le remboursement au candidat de 334 000 euros.
    Enfin, pour M Logerot, l’affirmation selon laquelle "les dés sont pipés depuis le début" concernant le contrôle exercé par la commission, frôle, dit-il, la dénonciation calomnieuse à l’égard de tous ceux qui coopèrent à ce contrôle.