person:hamadi jebali

  • La Polit-Revue : « Mi-Ennahdha, mi-Nidaa » | Nawaat - Tunisia
    http://nawaat.org/portail/2014/06/08/la-polit-revue-mi-ennahdha-mi-nidaa

    Deux « colombes » du parti brillaient en outre par leur absence : le secrétaire général démissionnaire Hamadi Jebali, ainsi que le vice-président du parti Abdelfattah Mourou, qui se serait excusé pour un déplacement imprévu…

    Au final la journée donne le ton d’une campagne qui se veut confiante : « Chers frères anciens et futurs ministres », s’est adressé Rached Ghannouchi à une audience où figuraient des représentants d’Ettakatol et du CPR.

    Autre enseignement, Ennahdha ne compte pas laisser à ses adversaires le thème du nationalisme : ainsi un hommage symbolique a été rendu aux martyrs sous le monument de l’esplanade de la Kasbah, avec profusion de drapeaux nationaux.

    Le parti marche même sur les platebandes de son principal frère ennemi nidaaiste en prenant à son compte l’habit traditionnel du « sefséri », d’habitude l’apanage des « modernistes » adeptes du patrimoine local.

  • Hamadi Jebali : la priorité est à la récupération des armes
    http://www.leaders.com.tn/article/hamadi-jebali-la-priorite-est-a-la-recuperation-des-armes-et-de-stopper-

    Rompant une trêve médiatique de 45 jours observée depuis son départ de la Kasbah, l’ancien chef du gouvernement, Hamadi Jebali a estimé qu’ »aujourd’hui, la priorité des priorités est d’engager une campagne décisive et de grande envergure de récupération des armes qui circulent dans le pays et de stopper les fuites d’armes à travers nos frontières ». « C’est un devoir national, ajoute-t-il qui transcende les divergences et les surenchères politiques et qui nécessite un large soutien politique, une assise réglementaire et législative ad hoc ainsi qu’un appui matériel. Il est pour le moins étrange et anormal que certains politiques et médias prennent la défense de ceux qui s’en prennent aux forces de sécurité alors même qu’elles sont en train de protéger le pays, l’Etat et les citoyens. De grâce, ne rajoutons pas des mines politiques et autres sociales aux mines de Jebel Chaâmbi ».

  • Chopitos : Qui censure au nom de quoi ?
    http://chopitos.blogspot.com/2012/01/qui-censure-au-nom-de-quoi.html

    L’année 2012 a connu un début assez mouvementé avec une volonté réelle de contrôler l’information ainsi que des pressions politiques et des tentatives d’intimidations physiques, pour « censurer ».

    En attendant la reprise d’ici quelques jours du procès à l’encontre de l’Agence Tunisienne de l’Internet concernant la censure des sites pornographiques, voici un bref récap de ce qui s’est passé le mois dernier.

    Le samedi 7 janvier, le chef du gouvernement provisoire Hamadi Jebali annonce la nomination de nouvelles personnes à la tête des médias publics sans consulter le Syndicat National des Journalistes Tunisiens (SNJT) et l’Instance Nationale pour la Réforme de l’Information et de la Communication (INRIC) qui travaillent depuis des mois sur la question de la réforme du secteur de l’information, ni même ses alliés le CPR et le FDTL.

    Décision unilatérale qui a provoqué un malaise au sein de ce secteur très sensible avec en prime certains nominés qui faisaient partie de l’ancien système, confirmant ainsi les déclarations faites fin décembre par Rached Ghanouchi et Jebali concernant la nécessité d’avoir des médias gouvernementaux pour le bien du pays (communication positive) et assoir la volonté du peuple (légitimité des résultats des élections)

    Vidéo de Ghanouchi sur Pinklemonblog.com

    Coup d’état médiatique pour les uns, volonté réelle de réorganiser ce secteur pour d’autres, cette décision s’apparente pour l’instant à de la censure malgré l’annulation de certaines nominations quelques jours après.

    #tunisie #censure #web

  • La Tunisie, le Hamas, la Palestine et les juifs | Alain Gresh (Les blogs du Diplo)
    http://blog.mondediplo.net/2012-01-10-La-Tunisie-le-Hamas-la-Palestine-et-les-juifs

    Premier ministre du gouvernement palestinien à Gaza, Ismaïl Haniyeh, dirigeant du Hamas, a quitté Tunis lundi 9 janvier à l’issue d’une visite de cinq jours. Il était accompagné à l’aéroport par le premier ministre tunisien Hamadi Jebali et le président du parti Ennahda Rached Ghannouchi, qui étaient venus l’accueillir. Ce long séjour, à l’invitation du gouvernement, illustre les changements intervenus sur la scène arabe depuis un an. (...) Source : Les blogs du Diplo

  • Tunisian Media : A Re-run of Ben Ali Policies
    http://english.al-akhbar.com/content/tunisian-media-re-run-ben-ali-policies

    The honeymoon between the Tunisian government and state media was short lived. In a surprising move that contradicts its declared commitment to the “freedom of the press,” the cabinet headed by al-Nahda’s secretary-general Hamadi Jebali appointed new managers and directors for all the state-owned media organizations on Saturday.

    The Tunisian press syndicate expressed its displeasure with the “one-sided, even condescending way in which these appointments were made.” Meanwhile, some independent media pointed out that most of those appointed are part of the deposed regime and had been pushed aside after the revolution.