person:hamid karzai

  • Le vrai visage de Nicolas Sarkozy !!! – Espion “américain” placé à la présidence par la CIA – Dossier complet et documenté ! - RipouxBlique des CumulardsVentrusGrosQ
    http://slisel.over-blog.com/2017/08/le-vrai-visage-de-nicolas-sarkozy-espion-americain-place-a-la-pres

    Sarko – le vrai CV :
    Nicolas Sarkozy doit être jugé à son action et non pas d’après sa personnalité.

    Mais lorsque son action surprend jusqu’à ses propres électeurs, il est légitime de se pencher en détail sur sa biographie et de s’interroger sur les alliances qui l’ont conduit au pouvoir.
    Thierry Meyssan a décidé d’écrire la vérité sur les origines de l’ancien président de la République« française ».

    Toutes les informations contenues dans cet article sont vérifiables, à l’exception de deux imputations, signalées par l’auteur qui en assume seul la responsabilité.

    Tonton Pasqua et l’arriviste. Ce pourrait être une fable de La Fontaine.
    Les Français, lassés des trop longues présidences de François Mitterrand et de Jacques Chirac, ont élu Nicolas Sarkozy en comptant sur son énergie pour revitaliser leur pays.

    Ils espéraient une rupture avec des années d’immobilisme et des idéologies surannées.

    Ils ont eu une rupture avec les principes qui fondent la nation française.

    Ils ont été stupéfaits par cet « hyper-président », se saisissant chaque jour d’un nouveau dossier, aspirant à lui la droite et la gauche, bousculant tous les repères jusqu’à créer une complète confusion.

    Comme des enfants qui viennent de faire une grosse bêtise, les Français sont trop occupés à se trouver des excuses pour admettre l’ampleur des dégâts et leur naïveté.

    Ils refusent d’autant plus de voir qui est vraiment Nicolas Sarkozy, qu’ils auraient dû s’en rendre compte depuis longtemps.

    C’est que l’homme est habile. 

    Comme un illusionniste, il a détourné leur attention en offrant sa vie privée en spectacle et en posant dans les magazines people, jusqu’à leur faire oublier son parcours politique.

    Que l’on comprenne bien le sens de cet article : il ne s’agit pas de reprocher à M. Sarkozy ses liens familiaux, amicaux et professionnels, mais de lui reprocher d’avoir caché ses attaches aux Français qui ont cru, à tort, élire un homme libre.

    Pour comprendre comment un homme en qui tous s’accordent aujourd’hui à voir l’agent des États-Unis et d’Israël a pu devenir le chef du parti gaulliste, puis le président de la République française, il nous faut revenir en arrière.

    Très en arrière.

    Il nous faut emprunter une longue digression au cours de laquelle nous présenterons les protagonistes qui trouvent aujourd’hui leur revanche.

    Secrets de famille :

    À la fin de la Seconde Guerre Mondiale, les services secrets états-uniens s’appuient sur le parrain italo-US Lucky Luciano pour contrôler la sécurité des ports américains et pour préparer le débarquement allié en Sicile.

    Les contacts de Luciano avec les services US passent notamment par Frank Wisner Sr. puis, lorsque le « parrain » est libéré et s’exile en Italie, par son « ambassadeur » corse, Étienne Léandri.

    « votez pour moi pauv’cons ! »
    En 1958, les États-Unis, inquiets d’une possible victoire du FLN en Algérie qui ouvrirait l’Afrique du Nord à l’influence soviétique, décident de susciter un coup d’État militaire en France.

    Pauvre France nous sommes mal placés au centre de toutes ces querelles !

    L’opération est organisée conjointement par la Direction de la planification de la CIA —théoriquement dirigée par Frank Wisner Sr.— et par l’OTAN.

    Mais Wisner a déjà sombré dans la démence de sorte que c’est son successeur, Allan Dulles, qui supervise le coup.

    Depuis Alger, des généraux français créent un Comité de salut public qui exerce une pression sur le pouvoir civil parisien et le contraint à voter les pleins pouvoirs au général de Gaulle sans avoir besoin de recourir la force.

    Or, Charles de Gaulle n’est pas le pion que les Anglo-Saxons croient pouvoir manipuler.

    Dans un premier temps, il tente de sortir de la contradiction coloniale en accordant une large autonomie aux territoires d’outre-mer au sein d’une Union française.

    Mais il est déjà trop tard pour sauver l’Empire français car les peuples colonisés ne croient plus aux promesses de la métropole et exigent leur indépendance.

    Après avoir conduit victorieusement de féroces campagnes de répression contre les indépendantistes, de Gaulle se rend à l’évidence. 

    Faisant preuve d’une rare sagesse politique, il décide d’accorder à chaque colonie son indépendance.

    Cette volte-face est vécue comme une trahison par la plupart de ceux qui l’ont porté au pouvoir. 

    La CIA et l’OTAN soutiennent alors toutes sortes de complots pour l’éliminer, dont un putsch manqué et une quarantaine de tentatives d’assassinat.

    Toutefois, certains de ses partisans approuvent son évolution politique.

    Autour de Charles Pasqua, ils créent le SAC, une milice pour le protéger.

    Pasqua est à la fois un truand corse et un ancien résistant. Il a épousé la fille d’un bootlegger canadien qui fit fortune durant la prohibition. Il dirige la société Ricard qui, après avoir commercialisé de l’absinthe, un alcool prohibé, se respectabilise en vendant de l’anisette. Cependant, la société continue à servir de couverture pour toutes sortes de trafics en relation avec la famille italo-new-yorkaise des Genovese, celle de Lucky Luciano.

    Il n’est donc pas étonnant que Pasqua fasse appel à Étienne Léandri (« l’ambassadeur » de Luciano) pour recruter des gros bras et constituer la milice gaulliste.
    Un troisième homme joue un grand rôle dans la formation du SAC, l’ancien garde du corps de de Gaulle, Achille Peretti —un Corse lui aussi—.
    Ainsi défendu, de Gaulle dessine avec panache une politique d’indépendance nationale.

    Tout en affirmant son appartenance au camp atlantique, il remet en cause le leadership anglo-saxon.

    Il s’oppose à l’entrée du Royaume-Uni dans le Marché commun européen (1961 et 1967) ;
    Il refuse le déploiement des casques de l’ONU au Congo (1961) ;
    Il encourage les États latino-américains à s’affranchir de l’impérialisme US (discours de Mexico, 1964) ;
    Il expulse l’OTAN de France et se retire du Commandement intégré de l’Alliance atlantique (1966) ;
    Il dénonce la Guerre du Viêt-nam (discours de Phnon Penh, 1966) ;
    Il condamne l’expansionnisme israélien lors de la Guerre des Six jours (1967) ;
    Il soutient l’indépendance du Québec (discours de Montréal 1967) ;
    etc.
    Les discours de de Gaulle sont un vrai régal. Regardez-les et vous ne vous laisserez plus endormir par nos politichiens. Il avait la protection divine.

    Simultanément, de Gaulle consolide la puissance de la France en la dotant d’un complexe militaro-industriel incluant la force de dissuasion nucléaire, et en garantissant son approvisionnement énergétique. Il éloigne utilement les encombrants Corses de son entourage en leur confiant des missions à étranger. 

    Ainsi Étienne Léandri devient-il le trader du groupe Elf (aujourd’hui Total), tandis que Charles Pasqua devient l’homme de confiance des chefs d’États d’Afrique francophone.

    Conscient qu’il ne peut défier les Anglo-Saxons sur tous les terrains à la fois, de Gaulle s’allie à la famille Rothschild.

    Il choisit comme Premier ministre le fondé de pouvoir de la Banque, Georges Pompidou.

    Les deux hommes forment un tandem efficace.

    L’audace politique du premier ne perd jamais de vue le réalisme économique du second.

    Lorsque de Gaulle démissionne, en 1969, Georges Pompidou lui succède brièvement à la présidence avant d’être emporté par un cancer.

    Avant il avait vendu la France aux banksters ! Loi 1973. La France ne peut plus emprunter à la Banque de France sans intérêt et doit se tourner vers les banques privées, ce qui nous amène à l’escroquerie de la dette.

    Les gaullistes historiques n’admettent pas son leadership et s’inquiètent de son tropisme anglophile.

    Ils hurlent à la trahison lorsque Pompidou, secondé par le secrétaire général de l’Élysée Édouard Balladur, fait entrer « la perfide Albion » dans le Marché commun européen.

    La fabrication de Nicolas Sarkozy :

    Ce décor étant planté, revenons-en à notre personnage principal, Nicolas Sarkozy.

    Né en 1955, il est le fils d’un noble catholique hongrois, Pal Sarkösy de Nagy-Bocsa, réfugié en France après avoir fuit l’Armée rouge, et d’Andrée Mallah, une roturière juive originaire de Thessalonique.

    Après avoir eu trois enfants (Guillaume, Nicolas et François), le couple divorce. Pal Sarkosy de Nagy-Bocsa se remarie avec une aristocrate, Christine de Ganay, dont il aura deux enfants (Pierre-Olivier et Caroline). Nicolas ne sera pas élevé par ses seuls parents, mais balloté dans cette famille recomposée.

    Achille Peretti
    Sa mère est devenue la secrétaire d’Achille Peretti.

    Après avoir co-fondé le SAC, le garde du corps de De Gaulle avait poursuivi une brillante carrière politique. 

    Il avait été élu député et maire de Neuilly-sur-Seine, la plus riche banlieue résidentielle de la capitale, puis président de l’Assemblée nationale.

    Malheureusement, en 1972, Achille Peretti est gravement mis en cause. 

    Aux États-Unis, le magazine Time révèle l’existence d’une organisation criminelle secrète « l’Union corse » qui contrôlerait une grande partie du trafic de stupéfiants entre l’Europe et l’Amérique, la fameuse « French connexion » que Hollywwod devait porter à l’écran.

    http://www.allocine.fr/film/fichefilm_gen_cfilm=4423.html

    S’appuyant sur des auditions parlementaires et sur ses propres investigations, Timecite le nom d’un chef mafieux, Jean Venturi, arrêté quelques années plus tôt au Canada, et qui n’est autre que le délégué commercial de Charles Pasqua pour la société d’alcool Ricard.

    On évoque le nom de plusieurs familles qui dirigeraient « l’Union corse », dont les Peretti. Achille nie, mais doit renoncer à la présidence de l’Assemblée nationale et échappe même à un « suicide ». Comme quoi, la pratique n’est pas nouvelle (l’associé de DSK vient de se « suicider ». Il aurait eu des révélations à faire ?

    En 1977, Pal Sarkozy se sépare de sa seconde épouse, Christine de Ganay, laquelle se lie alors avec le n°2 de l’administration centrale du département d’État des États-Unis.

    Elle l’épouse et s’installe avec lui en Amérique. Le monde étant petit, c’est bien connu, son mari n’est autre que Frank Wisner Jr., fils du précédent.

    Les fonctions de Junior à la CIA ne sont pas connues, mais il clair qu’il y joue un rôle important. 

    Nicolas, qui reste proche de sa belle-mère, de son demi-frère et de sa demi-sœur, commence à se tourner vers les États-Unis où il « bénéficie » des programmes de formation du département d’État.

    On nous les dé-forme avant de nous les renvoyer bien conditionnés.

    À la même période, Nicolas Sarkozy adhère au parti gaulliste.

    Il y fréquente d’autant plus rapidement Charles Pasqua que celui-ci n’est pas seulement un leader national, mais aussi le responsable de la section départementale des Hauts-de-Seine.

    En 1982, Nicolas Sarkozy, ayant terminé ses études de droit et s’étant inscrit au barreau, épouse la nièce d’Achille Peretti. 

    Son témoin de mariage est Charles Pasqua. 

    En tant qu’avocat, Me Sarkozy défend les intérêts des amis corses de ses mentors. 

    Il acquiert une propriété sur l’île de beauté, à Vico, et imagine de corsiser son nom en remplaçant le « y » par un « i » : Sarkozi.

    L’année suivante, il est élu maire de Neuilly-sur-Seine en remplacement de son bel-oncle, Achille Peretti, terrassé par une crise cardiaque.

    Jacques Martin et Cecilia. – Sarko et sa femme.
    Cependant, Nicolas ne tarde pas à trahir sa femme et, dès 1984, il poursuit une liaison cachée avec Cécilia, l’épouse du plus célèbre animateur de télévision français de l’époque, Jacques Martin, dont il a fait la connaissance en célébrant leur mariage en qualité de maire de Neuilly.

    Cette double vie dure cinq ans, avant que les amants ne quittent leurs conjoints respectifs pour construire un nouveau foyer.

    Nicolas est le témoin de mariage, en 1992, de la fille de Jacques Chirac, Claude, avec un éditorialiste du Figaro.

    Un tombeur ce mec ! mais, l’intérêt n’est jamais bien loin !

    Il ne peut s’empêcher de séduire Claude et de mener une brève relation avec elle, tandis qu’il vit officiellement avec Cécilia. 

    Le mari trompé se suicide (?) en absorbant des drogues.

    La rupture est brutale et sans retour entre les Chirac et Nicolas Sarkozy.

    En 1993, la gauche perd les élections législatives.

    Le président François Mitterrand refuse de démissionner et entre en cohabitation avec un Premier ministre de droite. Jacques Chirac, qui ambitionne la présidence et pense alors former avec Édouard Balladur un tandem comparable à celui de de Gaulle et Pompidou, refuse d’être à nouveau Premier ministre et laisse la place à son « ami de trente ans », Édouard Balladur.

    Malgré son passé sulfureux, Charles Pasqua devient ministre de l’Intérieur. 

    S’il conserve la haute main sur la marijuana marocaine, il profite de sa situation pour légaliser ses autres activités en prenant le contrôle des casinos, jeux et courses en Afrique francophone. 

    Il tisse aussi des liens en Arabie Saoudite et en Israël et devient officier d’honneur du Mossad.

    Nicolas Sarkozy, quant à lui, est ministre du Budget et porte-parole du gouvernement.

    À Washington, Frank Wisner Jr. a pris la succession de Paul Wolfowitz comme responsable de la planification politique au département de la Défense.

    Personne ne remarque les liens qui l’unissent au porte-parole du gouvernement français.

    C’est alors que reprend au sein du parti gaulliste la tension que l’on avait connu trente ans plus tôt entre les gaullistes historiques et la droite financière, incarnée par Balladur.

    La nouveauté, c’est que Charles Pasqua et avec lui le jeune Nicolas Sarkozy trahissent Jacques Chirac pour se rapprocher du courant Rothschild. 

    Tout dérape.

    Le conflit atteindra son apogée en 1995 lorsque Édouard Balladur se présentera contre son ex-ami Jacques Chirac à l’élection présidentielle, et sera battu.

    Surtout, suivant les instructions de Londres et de Washington, le gouvernement Balladur ouvre les négociations d’adhésion à l’Union Européenne et à l’OTAN des États d’Europe centrale et orientale, affranchis de la tutelle soviétique.

    Rien ne va plus dans le parti gaulliste où les amis d’hier sont près de s’entre-tuer. 

    Pour financer sa campagne électorale, Edouard Balladur tente de faire main basse sur la caisse noire du parti gaulliste, cachée dans la double comptabilité du pétrolier Elf.

    À peine le vieux Étienne Léandri mort, les juges perquisitionnent la société et ses dirigeants sont incarcérés. Mais Balladur, Pasqua et Sarkozy ne parviendront jamais à récupérer le magot.

    La traversée du désert :

    Tout au long de son premier mandat, Jacques Chirac tient Nicolas Sarkozy à distance.

    L’homme se fait discret durant cette longue traversée du désert. 

    Discrètement, il continue à nouer des relations dans les cercles financiers.

    En 1996, Nicolas Sarkozy ayant enfin réussi à clore une procédure de divorce qui n’en finissait pas se marie avec Cécilia.

    Ils ont pour témoins les deux milliardaires Martin Bouygues et Bernard Arnaud (l’homme le plus riche du pays).

    Pas vraiment près du peuple, Sarko. C’est pas de Gaule !

    Dernier acte !

    Bien avant la crise irakienne, Frank Wisner Jr. et ses collègues de la CIA planifient la destruction du courant gaulliste et la montée en puissance de Nicolas Sarkozy. 

    Ils agissent en trois temps :

    d’abord l’élimination de la direction du parti gaulliste et la prise de contrôle de cet appareil, puis l’élimination du principal rival de droite et l’investiture du parti gaulliste à l’élection présidentielle, enfin l’élimination de tout challenger sérieux à gauche de manière à être certain d’emporter l’élection présidentielle.

    Pendant des années, les médias sont tenus en haleine par les révélations posthumes d’un promoteur immobilier. 

    Avant de décéder d’une grave maladie, il a enregistré pour une raison jamais élucidée une confession en vidéo. 

    Pour une raison encore plus obscure, la « cassette » échoue dans les mains d’un hiérarque du Parti socialiste, Dominique Strauss-Khan, qui la fait parvenir indirectement à la presse.

    Si les aveux du promoteur ne débouchent sur aucune sanction judiciaire, ils ouvrent une boîte de Pandore.

    La principale victime des affaires successives sera le Premier ministre Alain Juppé. 

    Pour protéger Chirac, il assume seul toutes les infractions pénales.

    La mise à l’écart de Juppé laisse la voie libre à Nicolas Sarkozy pour prendre la direction du parti gaulliste.

    Sarkozy exploite alors sa position pour contraindre Jacques Chirac à le reprendre au gouvernement, malgré leur haine réciproque.

    Il sera en définitive, ministre de l’Intérieur.

    Erreur ! 

    À ce poste, il contrôle les préfets et le renseignement intérieur qu’il utilise pour noyauter les grandes administrations

    Préfet Claude Érignac
    Il s’occupe aussi des affaires corses.

    Le préfet Claude Érignac a été assassiné.

    Bien qu’il n’ait pas été revendiqué, le meurtre a immédiatement été interprété comme un défi lancé par les indépendantistes à la République.

    Après une longue traque, la police parvient à arrêter un suspect en fuite, Yvan Colonna, fils d’un député socialiste. 

    Faisant fi de la présomption d’innocence, Nicolas Sarkozy annonce cette interpellation en accusant le suspect d’être l’assassin. 

    C’est que la nouvelle est trop belle à deux jours du référendum que le ministre de l’Intérieur organise en Corse pour modifier le statut de l’île.

    Quoi qu’il en soit, les électeurs rejettent le projet Sarkozy qui, selon certains, favorise les intérêts mafieux.

    Bien qu’Yvan Colonna ait ultérieurement été reconnu coupable, il a toujours clamé son innocence et aucune preuve matérielle n’a été trouvée contre lui. 

    Étrangement, l’homme s’est muré dans le silence, préférant être condamné que de révéler ce qu’il sait. 

    Nous révélons ici que le préfet Érignac n’a pas été tué par des nationalistes, mais abattu par un tueur à gage, immédiatement exfiltré vers l’Angola où il a été engagé à la sécurité du groupe Elf.

    Le mobile du crime était précisément lié aux fonctions antérieures de Érignac, responsable des réseaux africains de Charles Pasqua au ministère de la Coopération. 

    Quand à Yvan Colonna, c’est un ami personnel de Nicolas Sarkozy depuis des décennies et leurs enfants se sont fréquentés.

    Dominique de Villepin et Poutine récemment.
    Une nouvelle affaire éclate : de faux listings circulent qui accusent mensongèrement plusieurs personnalités de cacher des comptes bancaires au Luxembourg, chez Clearstream.

    Parmi les personnalités diffamées : Nicolas Sarkozy. Il porte plainte et sous-entend que son rival de droite à l’élection présidentielle, le Premier ministre Dominique de Villepin, a organisé cette machination.

    Il ne cache pas son intention de le faire jeter en prison. 

    En réalité, les faux listings ont été mis en circulation par des membres de la Fondation franco-américaine, dont John Negroponte était président et dont Frank Wisner Jr. est administrateur. 

    Ce que les juges ignorent et que nous révélons ici, c’est que les listings ont été fabriqués à Londres par une officine commune de la CIA et du MI6, Hakluyt & Co, dont Frank Wisner Jr. est également administrateur. 

    Villepin se défend de ce dont on l’accuse, mais il est mis en examen, assigné à résidence et, de facto, écarté provisoirement de la vie politique.

    La voie est libre à droite pour Nicolas Sarkozy.

    Reste à neutraliser les candidatures d’opposition.

    Les cotisations d’adhésion au parti socialiste sont réduites à un niveau symbolique pour attirer de nouveaux militants. Soudainement des milliers de jeunes prennent leur carte. 

    Parmi eux, au moins dix mille nouveaux adhérents sont en réalité des militants du Parti trotskiste « lambertiste » (du nom de son fondateur Pierre Lambert).

    Cette petite formation d’extrême gauche s’est historiquement mise au service de la CIA contre les communistes staliniens durant la Guerre froide (Elle est l’équivalent du SD/USA de Max Shatchman, qui a formé les néoconservateurs aux USA).

    Ce n’est pas la première fois que les « lambertistes » infiltrent le Parti socialiste.

    Ils y ont notamment placé deux célèbres agents de la CIA : Lionel Jospin (qui est devenu Premier ministre) et Jean-Christophe Cambadélis, le principal conseiller de Dominique Strauss-Kahn.

    Des primaires sont organisées au sein du Parti socialiste pour désigner son candidat à l’élection présidentielle. Deux personnalités sont en concurrence : Laurent Fabius et Ségolène Royal.

    Seul le premier représente un danger pour Sarkozy. 

    Dominique Strauss-Kahn entre dans la course avec pour mission d’éliminer Fabius au dernier moment.

    Ce qu’il sera en mesure de faire grâce aux votes des militants « lambertistes » infiltrés, qui portent leur suffrages non pas sur son nom, mais sur celui de Royal.

    L’opération est possible parce que Strauss-Kahn est depuis longtemps sur le payroll des États-Unis. 

    Les Français ignorent qu’il donne des cours à Stanford, où il a été embauché par le prévôt de l’université, Condoleezza Rice.

    Dès sa prise de fonction, Nicolas Sarkozy et Condoleezza Rice remercieront Strauss-Kahn en le faisant élire à la direction du Fonds monétaire international.

    Premiers jours à l’Élysée :

    Le soir du second tour de l’élection présidentielle, lorsque les instituts de sondages annoncent sa victoire probable, Nicolas Sarkozy prononce un bref discours à la nation depuis son QG de campagne. 

    Puis, contrairement à tous les usages, il ne va pas faire la fête avec les militants de son parti, mais il se rend au Fouquet’s. 

    La célèbre brasserie des Champs-Élysées, qui était jadis le rendez-vous de « l’Union corse » est aujourd’hui la propriété du casinotier Dominique Desseigne. 

    Il a été mis à disposition du président élu pour y recevoir ses amis et les principaux donateurs de sa campagne. 

    Une centaine d’invités s’y bousculent, les hommes les plus riches de France y côtoient les patrons de casinos.

    Puis le président élu s’offre quelques jours de repos bien mérités.

    Conduit en Falcon-900 privé à Malte, il s’y repose sur le Paloma, le yacht de 65 mètres de son ami Vincent Bolloré, un milliardaire formé à la Banque Rothschild.

    Enfin, Nicolas Sarkozy est investi président de la République française. 

    Le premier décret qu’il signe n’est pas pour proclamer une amnistie, mais pour autoriser les casinos de ses amis Desseigne et Partouche à multiplier les machines à sous.

    Il forme son équipe de travail et son gouvernement. 

    Sans surprise, on y retrouve un bien trouble propriétaire de casinos (le ministre de la Jeunesse et des Sports) et le lobbyiste des casinos de l’ami Desseigne (qui devient porte-parole du parti « gaulliste »).

    Nicolas Sarkozy s’appuie avant tout sur quatre hommes :

    Claude Guéant, secrétaire général du palais de l’Élysée. C’est l’ancien bras droit de Charles Pasqua. 
    François Pérol, secrétaire général adjoint de l’Élysée. C’est un associé-gérant de la Banque Rothschild. 
    Jean-David Lévitte, conseiller diplomatique. Fils de l’ancien directeur de l’Agence juive. Ambassadeur de France à l’ONU, il fut relevé de ses fonctions par Chirac qui le jugeait trop proche de George Bush.
    Alain Bauer, l’homme de l’ombre. Son nom n’apparaît pas dans les annuaires. Il est chargé des services de renseignement. Ancien Grand-Maître du Grand Orient de France (la principale obédience maçonnique française) et ancien n°2 de la National Security Agency états-unienne en Europe.
    Frank Wisner Jr., qui a été nommé entre temps envoyé spécial du président Bush pour l’indépendance du Kosovo, insiste pour que Bernard Kouchner soit nommé ministre des Affaires étrangères avec une double mission prioritaire : l’indépendance du Kosovo et la liquidation de la politique arabe de la France.

    Kouchner a débuté sa carrière en participant à la création d’une ONG humanitaire. 

    Grâce aux financements de la National Endowment for Democracy, il a participé aux opérations de Zbigniew Brzezinski en Afghanistan, aux côtés d’Oussama Ben Laden et des frères Karzaï contre les Soviétiques. 

    On le retrouve dans les années 90 auprès de Alija Izetbegoviç en Bosnie-Herzégovine. De 1999 à 2001, il a été Haut représentant de l’ONU au Kosovo.

    Sous le contrôle de Wali, le frère cadet du président Hamid Karzaï, l’Afghanistan est devenu le premier producteur mondial de pavot. 

    Le suc est transformé sur place en héroïne et transporté par l’US Air Force à Camp Bondsteed (Kosovo).

    Là, la drogue est prise en charge par les hommes de Haçim Thaçi qui l’écoulent principalement en Europe et accessoirement aux États-Unis. Les bénéfices sont utilisés pour financer les opérations illégales de la CIA. 

    Karzaï et Thaçi sont des amis personnels de longue date de Bernard Kouchner, qui certainement ignore leurs activités criminelles malgré les rapports internationaux qui y ont été consacrés. Je ne partage pas cet avis ; Kouchner est loin d’être blanc : (trafic d’organes)

    Pour compléter son gouvernement, Nicolas Sarkozy nomme Christine Lagarde, ministre de l’Économie et des Finances.

    Elle a fait toute sa carrière aux États-Unis où elle a dirigé le prestigieux cabinet de juristes Baker & McKenzie.

    Au sein du Center for International & Strategic Studies de Dick Cheney, elle a co-présidé avec Zbigniew Brzezinski un groupe de travail qui a supervisé les privatisations en Pologne. 

    Elle a organisé un intense lobbying pour le compte de Lockheed Martin contre l’avionneur français Dassault. Ces personnes ne travaillent pas pour la France, mais pour leur pouvoir personnel, il faut que l’on arrête de se mentir.

    Nouvelle escapade durant l’été.

    Nicolas, Cécilia, leur maîtresse commune et leurs enfants se font offrir des vacances états-uniennes à Wolfenboroo, non loin de la propriété du président Bush. 

    La facture, cette fois, est payée par Robert F. Agostinelli, un banquier d’affaires italo-new-yorkais, sioniste et néo-conservateur pur sucre qui s’exprime dans Commentary, la revue de l’American Jewish Committee.

    La réussite de Nicolas rejaillit sur son demi-frère Pierre-Olivier. Sous le nom américanisé « d’Oliver », il est nommé par Frank Carlucci (qui fut le n°2 de la CIA après avoir été recruté par Frank Wisner Sr.) directeur d’un nouveau fonds de placement du Carlyle Group (la société commune de gestion de portefeuille des Bush et des Ben Laden).

    Sans qualité personnelle particulière, il est devenu le 5e noueur de deals dans le monde et « gère » les principaux avoirs des fonds souverains du Koweit et de Singapour.

    La cote de popularité du président est en chute libre dans les sondages.

    L’un de ses conseillers en communication, Jacques Séguéla, préconise de détourner l’attention du public avec de nouvelles « people stories ».

    L’annonce du divorce avec Cécilia est publiée par Libération, le journal de son ami Édouard de Rothschild, pour couvrir les slogans des manifestants un jour de grève générale. 

    Plus fort encore, le communiquant organise une rencontre avec l’artiste et ex-mannequin, Carla Bruni.

    Quelques jours plus tard, sa liaison avec le président est officialisée et le battage médiatique couvre à nouveau les critiques politiques.

    Quelques semaines encore et c’est le troisième mariage de Nicolas.

    Cette fois, il choisit comme témoins Mathilde Agostinelli (l’épouse de Robert) et Nicolas Bazire, ancien directeur de cabinet de Édouard Balladur devenu associé-gérant chez Rothschild.

    Quand les Français auront-ils des yeux pour voir à qui ils ont affaire ?

    Maintenant.

    Lerebelle

    source:http://lesmoutonsrebelles.com/le-vrai-visage-de-nicolas-sarkozy-espion-americain-place-a-la-pr

    http://reseauinternational.net

  • L’ancien chef de guerre Hekmatyar revient à Kaboul
    https://www.mediapart.fr/journal/international/110517/lancien-chef-de-guerre-hekmatyar-revient-kaboul

    L’ancien président Hamid Karzaï, le président Ashraf Ghani, #Gulbuddin_Hekmatyar et l’ancien moudjhadin Abdul Rabb Rasool Sayyaf, le 4 mai 2017 à Kaboul. Au terme d’un accord signé avec le pouvoir afghan, l’ancien chef de guerre, des plus sanguinaires, se retrouve blanchi de tous ses crimes. Des centaines de ses combattants emprisonnés vont être libérés, et son parti autorisé.

    #International #Afghanistan

  • #Corruption Is as Bad in the US as in Developing Countries
    http://billmoyers.com/2015/11/27/corruption-is-just-as-endemic-in-america-as-in-developing-countries

    .. ordinary citizens live in fear of venal police forces that suck them dry by charging fees for services, throwing them in jail when they can’t pay arbitrary fines or selling their court “debts” to private companies. Sometimes the police just take people’s life savings leaving them with no recourse whatsoever. Sometimes they steal and deal drugs on the side. Meanwhile, the country’s infrastructure crumbles. Bridges collapse, or take a quarter-century to fix after a natural disaster, or (despite millions spent) turn out not to be fixed at all. Many citizens regard their government at all levels with a weary combination of cynicism and contempt. Fundamentalist groups respond by calling for a return to religious values and the imposition of religious law.

    What country is this? Could it be Nigeria or some other kleptocratic developing state? Or post-invasion Afghanistan where Ahmed Wali Karzai, CIA asset and brother of the U.S.-installed president Hamid Karzai, made many millions on the opium trade (which the U.S. was ostensibly trying to suppress), while his brother Mahmoud raked in millions more from the fraud-ridden Bank of Kabul? Or could it be Mexico, where the actions of both the government and drug cartels have created perhaps the world’s first narco-terrorist state?

    In fact, everything in this list happened (and much of it is still happening) in the United States, the world leader — or so we like to think — in clean government. These days, however, according to the Corruption Perception Index of Transparency International (TI), our country comes in only 17th in the least-corrupt sweepstakes, trailing European and Scandinavian countries as well as Canada, Australia, and New Zealand. In fact, TI considers us on a par with Caribbean island nations like Barbados and the Bahamas. In the U.S., TI says, “from fraud and embezzlement charges to the failure to uphold ethical standards, there are multiple cases of corruption at the federal, state and local level.”

    And here’s a reasonable bet: it’s not going to get better any time soon and it could get a lot worse. When it comes to the growth of American corruption, one of TI’s key concerns is the how the Supreme Court’s 2010 Citizens United decision opened the pay-to-play floodgates of the political system, allowing Super PACs to pour billions of private and corporate money into it, sometimes in complete secrecy. #Citizens_United undammed the wealth of the super-rich and their enablers, allowing big donors like casino capitalist — a description that couldn’t be more literal — Sheldon Adelson to use their millions to influence government policy.

    #Etats-Unis #corruption_légale #leadership

  • Nos milices à nous : Afghan Militia Leaders, Empowered by U.S. to Fight Taliban, Inspire Fear in Villages
    http://www.nytimes.com/2015/03/18/world/asia/afghan-militia-leaders-empowered-by-us-to-fight-taliban-inspire-fear-in-vil

    From the start, some Afghan officials, including former President Hamid Karzai, objected to the Americans’ practice of forming militias that did not answer directly to the Afghan government. They saw the militias as destabilizing forces that undermined the government’s authority and competed with efforts to build up large and professional military and police forces.

    Now, many of those concerns have become a daily reality in Afghan villages.

    “For God’s sake, take these people away from us,” Mr. Ahad, 36, said of Rahimullah’s militiamen. “We cannot stand their brutality.”

    La politique de développement des milices est un aspect fondamental des guerres de « démocratisation » américaines.

    (via Angry Arab)

  • HRW en 2011 ,
    http://www.hrw.org/fr/news/2011/09/12/afghanistan-le-gouvernement-devrait-juguler-les-milices-et-la-police-locale-afg

    Les #milices [afghanes créées par les #Etats-Unis] et certaines unités de la nouvelle Police locale afghane (ALP) soutenue par les États-Unis commettent de graves violations des droits humains, sous le contrôle lacunaire du gouvernement et en toute impunité, a déclaré Human Rights Watch dans un rapport publié aujourd’hui.

    Rien n’a changé aujourd’hui :

    Afghan Militia Leaders, Empowered by U.S. to Fight Taliban, Inspire Fear in Villages - NYTimes.com
    http://www.nytimes.com/2015/03/18/world/asia/afghan-militia-leaders-empowered-by-us-to-fight-taliban-inspire-fear-in-vil

    They are a significant part of the legacy of the American war here, brought to power amid a Special Operations counterinsurgency strategy that mobilized anti-Taliban militias in areas beyond the grasp of the Afghan Army.

    From the start, some Afghan officials, including former President Hamid Karzai, objected to the Americans’ practice of forming militias that did not answer directly to the Afghan government. They saw the militias as destabilizing forces that undermined the government’s authority and competed with efforts to build up large and professional military and police forces.

    Now, many of those concerns have become a daily reality in Afghan villages.

    “For God’s sake, take these people away from us,” Mr. Ahad, 36, said of Rahimullah’s militiamen. “We cannot stand their brutality.”

    #Afghanistan #droits_humains

  • #Taliban threatens Afghan voters
    http://english.al-akhbar.com/content/taliban-threatens-afghan-voters

    Taliban insurgents threatened Monday to attack #Afghanistan's run-off presidential election, warning voters to stay away from polling stations for fear of injury or death. Afghans are due to go to the polls on June 14 to choose whether Ashraf Ghani or Abdullah Abdullah should succeed President Hamid Karzai. The militants, ousted from power in Kabul by a 2001 US-led invasion, threatened to attack the first round of voting on April 5 but the day passed with a high turnout and no major security incidents. read more

    #presidential_elections

  • Government rejects over 2,000 people died in Badakhshan landslide - Khaama Press (KP) | Afghan News Agency
    http://www.khaama.com/government-rejects-over-2000-people-died-in-badakhshan-landslide-6064

    The Afghan government on Saturday rejected reports regarding the death of over 2000 people following landslide in northeastern Badakhshan province.
    Aimal Faizai, spokesman for President Hamid Karzai said around 250 to 350 people have been killed based on the information they have received.
    Faizi said they are waiting to receive the report of Afghan government’s delegation who have visited disaster area.
    (…)
    Figures on the number of people killed in the disaster varied as officials try to gather precise information from the village of Ab-e-Barek.
    The estimated number of dead on Saturday has surpassed 2500 people, according the local officials. This unseen land slide was caused by flooding related to ice and snow melt.
    Still there are conflicting reports about death number, while the UN on Friday said at least 350 people died, and the provincial governor said as many as 3000 people were feared missing.
    Villagers believe the number is higher, but the local officials of disaster management department said till now they can only confirm 255 deaths.

  • Afghanistan : la férocité Taliban pour l’élection présidentielle
    http://www.argotheme.com/organecyberpresse/spip.php?article2117

    À l’approche du scrutin du 5 avril en Afghanistan pour élire un nouveau président, les actions terroristes se multiplient. L’insertion politique des terroristes dans un processus politique sur le vote populaire, dont rêvent Hamid Karzaï et son voisin le Pakistan, est un leurre. La violence est isolée, mais ample d’une force de frappe faite par des combattants décidés. Ouvertement les islamistes armés, les fameux « Talibans » qui est une nébuleuse d’organisations ayant des intérêts économiques dans (...)

    Monde, informations, actualité, international, politique, relations, diplomatie, affaires étrangères,

    / #économie,_politique,_arts,_corruption,_opposition,_démocratie, #fait_divers,_société,_fléau,_délinquance,_religion,_perdition, Afghanistan, Talibans, Karzaï, (...)

    #Monde,_informations,_actualité,_international,_politique,_relations,_diplomatie,_affaires_étrangères, #Afghanistan,_Talibans,_Karzaï,_USA

  • Five Afghan soldiers killed in #NATO air strike
    http://english.al-akhbar.com/content/five-afghan-soldiers-killed-nato-air-strike

    A NATO air strike in eastern #Afghanistan killed five Afghan soldiers on Thursday, officials said, the latest incident likely to worsen already fraught relations between Kabul and the US-led coalition. NATO offered its condolences over the deaths and vowed action to avoid further mistakes, but President Hamid Karzai has often seized on botched #air_strikes to launch bitter criticism of the war in Afghanistan. read more

    #Top_News

  • Afghan peace team seeks Dubai meeting with #Taliban figures
    http://english.al-akhbar.com/node/18675

    A delegation from #Afghanistan's High Peace Council has traveled to Dubai to meet former and current Taliban figures, in the hope of laying the groundwork for peace talks to end Afghanistan’s long conflict, sources familiar with the move told Reuters. Officials led by Mohammad Masoom Stanekzai, a senior aide to President Hamid Karzai, traveled on Sunday to the United Arab Emirates, officials from the High Peace Council and the Afghan government confirmed. read more

    #Top_News #UAE

  • Karzai Arranged Secret Contacts With the Taliban
    http://www.nytimes.com/2014/02/04/world/asia/karzai-has-held-secret-contacts-with-the-taliban.html?hp&_r=0

    KABUL, #Afghanistan — President Hamid Karzai of Afghanistan has been engaged in secret contacts with the Taliban about reaching a peace agreement without the involvement of his American and Western allies, further corroding already strained relations with the United States.

    The secret contacts appear to help explain a string of actions by Mr. Karzai that seem intended to antagonize his American backers, Western and Afghan officials said. In recent weeks, Mr. Karzai has continued to refuse to sign a long-term security agreement with Washington that he negotiated (...).

    • Secret Taliban Talks May Save Afghanistan
      http://www.bloomberg.com/news/2014-02-04/secret-taliban-talks-may-save-afghanistan.html

      The Barack Obama administration is shocked — shocked! — that Afghan President Hamid Karzai was secretly negotiating with the Taliban. The previously undisclosed negotiations certainly explain what White House adviser John Podesta recently called Karzai’s “erratic” behavior in refusing to negotiate an agreement to keep U.S. forces in the country after 2014.

      But what, exactly, is so terrible about Karzai negotiating separately with the same Taliban that the U.S. has repeatedly tried and failed to engage? In fact, although the Taliban are very likely playing the outgoing president, he is exactly the person who should be trying to negotiate an entrance to Afghan politics for the Taliban that would not involve mass killings of people who sided with the U.S. No doubt Karzai is trying to save his own skin. But there is at least a chance he could save the lives of many other Afghans, too.

  • L’Afghanistan, de la marionnette à la bête noire
    http://www.dedefensa.org/article-l_afghanistan_de_la_marionnette_la_b_te_noire_31_01_2014.html

    @TITREBREVE = L’Afghanistan, de la marionnette à la bête noire Ceux qui ont la mémoire assez longue se rappellent de l’installation de Hamid Karzai comme président d’un Afghanistan passé sous la coupe des USA. C’était en 2002 et il ne faisait aucun doute que l’Afghanistan allait suivre au doigt et à l’œil les consignes de Washington par l’intermédiaire de la “marionnette” Karzai, qui présentait toutes les garanties de servilité pour les USA et de manipulation par les USA, y compris des liens

  • US airstrike kills woman, seven children in Afghanistan - World Socialist Web Site

    http://www.wsws.org/en/articles/2014/01/17/afgh-j17.html

    US airstrike kills woman, seven children in Afghanistan
    By Bill Van Auken

    17 January 2014

    The government of Afghanistan has denounced a US airstrike on an Afghan village that took the lives of seven children and one woman on Wednesday morning.

    Afghan President Hamid Karzai linked the incident to the continuing tensions with Washington over his postponement of signing a bilateral security agreement (BSA) that would allow some 12,000 US troops to remain in the country indefinitely after the formal deadline for withdrawing all foreign occupation forces at the end of this year.

    #drones #afghanistan #états-unis

  • #Karzai: #US #airstrike kills seven children
    http://english.al-akhbar.com/content/karzai-us-airstrike-kills-seven-children

    President Hamid Karzai on Wednesday accused the United States of killing seven children and a woman in an airstrike in central #Afghanistan. “As a result of bombardment by American forces last night... in Siahgird district of Parwan province, one woman and seven children were martyred and one civilian injured,” a statement from Karzai’s office said. “The Afghan government has been asking for a complete end to operations in Afghan villages for years, but American forces acting against all mutual agreements... have once again bombarded a residential area and killed civilians.” read more

    #Top_News

  • #Karzai condemns #US killing of four-year-old
    http://english.al-akhbar.com/content/karzai-condemns-us-killing-four-year-old

    Afghan children wait for relief supplies from the Muslim Hands United For The Needy during an aid distribution at a refugee camp on the outskirts of Kabul on January 5, 2014. (Photo: AFP - Noorullah Shirzada) Afghan children wait for relief supplies from the Muslim Hands United For The Needy during an aid distribution at a refugee camp on the outskirts of Kabul on January 5, 2014. (Photo: AFP - Noorullah Shirzada)

    Afghan President Hamid Karzai on Friday condemned US troops for killing a four-year-old boy in the southern province of Helmand, in an incident set to add fresh strain to troubled relations between Washington and Kabul. Helmand governor Naeem Baloch told Karzai during a meeting in Kabul about the shooting, (...)

    #Afghanistan #Top_News

  • Karzai government accuses U.S. of withholding fuel from Afghan forces
    http://www.washingtonpost.com/world/karzai-government-accuses-us-of-withholding-fuel-from-afghan-troops/2013/12/01/74b2260a-5ac3-11e3-801f-1f90bf692c9b_story.html

    Afghan military and police commanders are accusing the U.S.-led coalition of withholding fuel and other support in an attempt to pressure President Hamid Karzai into signing a security agreement with the United States.

    Coalition officials strongly deny the allegation, the latest disagreement between the Karzai government and U.S. military leaders.

  • #NATO to probe Afghan strike that killed two-year-old
    http://english.al-akhbar.com/content/nato-probe-afghan-strike-killed-two-year-old

    Afghan children walk along a wall in Mazari Sharif on November 25, 2013. (Photo: AFP - Farshad Usyan)

    US-led NATO forces in #Afghanistan on Friday vowed to investigate an #airstrike that President Hamid Karzai said killed a two-year-old boy, as acrimony deepens over a deal to allow US troops to stay in the country after 2014. Civilian casualties have been one of the most sensitive issues of the 12-year military occupation of Afghanistan, and Western-picked Karzai warned that the latest killing threatened the proposed “bilateral security agreement” (BSA) with Washington. read (...)

    #Civilians #Top_News

  • En Afghanistan, vingt-sept candidats en lice pour succéder à Hamid Karzaï - Le Monde

    http://www.lemonde.fr/asie-pacifique/article/2013/10/07/en-afghanistan-vingt-sept-candidats-en-lice-pour-succeder-a-hamid-karzai_349

    Le scénario politique post-2014 en Afghanistan s’est quelque peu éclairci, dimanche 6 octobre, avec la clôture du dépôt de candidatures pour l’élection présidentielle du printemps vouée à trouver un successeur à Hamid Karzaï, à la tête du pays sans discontinuer depuis le renversement du régime taliban fin 2001. Cette année électorale à venir s’annonce d’autant plus sensible qu’elle marquera la fin du retrait des troupes de l’OTAN après plus de dix ans d’une guerre dont les forces afghanes – armée et police – prennent la direction progressive face à l’insurrection des talibans.

  • Afghanistan : convertir les « Talibans » en « islamistes modérés »
    http://www.argotheme.com/organecyberpresse/spip.php?article1890

    Le projet de convertir les talibans afghans en organisation politique n’a jamais été dit, cependant il a été mis en branle par les Etats-Unis qui continuent de frapper les zones montagneuses et tribales aux confins avec le Pakistan. Les autorités de ce dernier pays, avec Hamid Karzaï et le Qatar mettent le paquet pour réhabiliter les seigneurs de guerre en « islamistes modérés ». Cette solution de dialoguer, après une invasion qui revient à la case de départ sans avoir rien résolu, est le dernier (...) (...)

    #Monde,informations,_actualité,_international,_politique,_relations,_diplomatie,_affaires_étrangères, #Terrorisme_,_islamisme,Al-Qaeda,politique,_ #fait_divers,_société,_fléau,_délinquance,_religion,_perdition

  • Karzaï veut maintenir neuf bases américaines en Afghanistan après 2014- http://www.lemonde.fr/asie-pacifique/article/2013/05/09/karzai-annonce-le-souhait-du-maintien-de-9-bases-americaines-en-afghanistan-.

    Après onze années de présence en Afghanistan, la question de la viabilité du maintien des troupes américaines et de l’OTAN ne cesse de se poser mois après mois. Le président afghan Hamid Karzaï vient de jeter un pavé dans la mare en annonçant jeudi 9 mai le souhait des Etats-Unis de garder neuf bases militaires sur tout le territoire afghan après 2014 et, pour certains pays de l’OTAN, de maintenir des soldats au sol.

    ...

    Les Américains « veulent neuf bases à travers l’Afghanistan » et « nous allons leur donner », car « cela est dans l’intérêt » du pays, a déclaré M. Karzaï lors d’un discours à l’université de Kaboul retransmis en direct à la télévision.

    Waheed Wafa, directeur d’un centre de recherche de l’université de Kaboul, analyse l’annonce du président afghan comme un test pour « essayer de voir la réaction du public afghan, du Pakistan, de l’Iran et des autres pays voisins ».

  • Les mots sans concession de l’ambassadeur de France à Kaboul

    http://www.lemonde.fr/asie-pacifique/article/2013/04/29/les-mots-sans-concession-de-l-ambassadeur-de-france-a-kaboul_3167985_3216.ht

    « Je n’arrive toujours pas à comprendre comment la communauté internationale et le gouvernement afghan sont parvenus à cette situation où tout doit se passer en 2014 : les élections, un nouveau président, les transitions économique et militaire, et tout cela alors que les négociations pour le processus de paix n’ont pas encore vraiment commencé », a déclaré M. Bajolet lors d’un discours d’adieu mardi à l’ambassade, remettant parfois en question les réalisations dans ce pays de la communauté internationale.

    M. Bajolet, qui a été nommé à 63 ans à la tête des services secrets français, faisait notamment référence au départ de l’essentiel des troupes de l’OTAN, qui doit se dérouler la même année que l’élection d’un successeur au président Hamid Karzaï.

    Une autocritique qui vient un peu tard. La France, comme les Etats-Unis ont, depuis bien des années, « perdu » la guerre en Afghanistan.
    Lire
    http://blog.mondediplo.net/2011-06-27-Afghanistan-la-victoire-des-talibans

    • Report Finds Afghan Military Shrinking Not Growing- http://www.military.com/daily-news/2013/05/02/afghan-military-20k-short-of-end-strength-goal.html

      A U.S. government watchdog overseeing the Afghanistan reconstruction found the U.S. led effort to recruit, train and field the Afghan National Security Forces [ ANSF ] is about 20,000 troops below its stated goal of 352,000.

      ...

      In fact, the ANSF end strength is shrinking, not growing. The Special Inspector General for Afghanistan Reconstruction found that the number of personnel shrunk by about 4,000 troops and policemen between March 2012 and February 2013.

      Inspectors noted how the U.S. led coalition has continually moved the date in which it hopes to reach the stated end strength. Defense Department officials have recently told SIGAR [ Special Inspector General for Afghanistan Reconstruction ] officials the goal is now to train, equip and field the personnel in the Afghan National Army and Afghan National Police by December 2013, and the Afghan National Air Force by 2017.

      ...

  • AFGHANISTAN • La CIA et le MI6 auraient financé Karzaï | Courrier international
    http://www.courrierinternational.com/article/2013/04/30/la-cia-et-le-mi6-auraient-finance-karzai

    Le New York Times révélait lundi 29 avril le financement occulte et massif du gouvernement du président Hamid Karzaï par la CIA. C’est désormais au tour du Guardian, qui assure que le MI6 britannique verse lui aussi des fonds au dirigeant afghan.

  • Kerry a demandé à Bahreïn de faire mieux sur les droits de l’homme | Dernières Infos | L’Orient-Le Jour
    http://www.lorientlejour.com/article/812335/kerry-a-demande-a-bahrein-de-faire-mieux-sur-les-droits-de-lhomme.htm

    Le secrétaire d’Etat américain John Kerry a réclamé lundi auprès de son homologue bahreïni de faire mieux en matière de droits de l’homme dans ce royaume du Golfe secoué depuis deux ans par une contestation chiite contre la dynastie sunnite, selon le département d’Etat.

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    Armes chimiques en Syrie : Obama dit son inquiétude à Poutine
    http://www.romandie.com/news/n/_Armes_chimiques_en_Syrie_Obama_dit_son_inquietude_a_Poutine28290420132122

    WASHINGTON - Le président Barack Obama a communiqué à son homologue russe Vladimir Poutine l’inquiétude des Etats-Unis au sujet des armes chimiques détenues par le régime syrien, a indiqué lundi la Maison Blanche à l’issue d’une conversation téléphonique entre les deux dirigeants.

    ““““““““““““““““““““““““““““““““““““““
    La CIA a bel et bien versé de l’argent à la présidence afghane reconnaît Karzaï
    http://www.romandie.com/news/n/_La_CIA_a_bel_et_bien_verse_de_l_argent_a_la_presidence_afghane_reconnait_

    Le New York Times avait écrit dans son édition du lundi que la CIA avait secrètement livré dans des valises ou des sacs à dos des dizaines de millions de dollars en liquide au CNS qui en distribuait ensuite une partie à des chefs de guerre - certains liés au trafic de drogue et même aux talibans - afin de s’assurer de leur loyauté.

    Selon le quotidien, Abdul Rashid Dostom, qui faisait partie de la coalition afghane ayant chassé du pouvoir les talibans en 2001, a reçu à lui seul près de 100.000 dollars par mois.

    Aucun contrôle n’était effectué par la CIA sur les sommes versées dans le but d’accroître l’influence américaine en Afghanistan, pays courtisé par l’Iran, et cet argent a plutôt contribué à accroître la corruption en Afghanistan, ont dit des responsables actuels ou passés cités par le quotidien new-yorkais.

    L’Iran avait effectué des versements d’argent liquide similaires à un proche conseiller d’Hamid Karzaï, comme l’avait reconnu le président lui-même en 2010. Il avait alors ajouté, sans plus de précisions : les Etats-Unis font la même chose. Ils fournissent de l’argent à certains de nos départements, rappelle le quotidien.

    Mais Téhéran a depuis cessé ses versements, tandis que ceux de la CIA se sont poursuivis sans avoir l’effet escompté sur le président Karzaï, en délicatesse avec Washington, a écrit le New York Times.

  • With Bags of Cash, C.I.A. Seeks Influence in Afghanistan

    Tens of millions of dollars have flowed from the C.I.A. to the office of President Hamid Karzai, according to current and former advisers to the Afghan leader.

    “We called it ‘ghost money,’ ” said Khalil Roman, who served as Mr. Karzai’s deputy chief of staff from 2002 until 2005. “It came in secret, and it left in secret.”

    The C.I.A., which declined to comment for this article, has long been known to support some relatives and close aides of Mr. Karzai. But the new accounts of off-the-books cash delivered directly to his office show payments on a vaster scale, and with a far greater impact on everyday governing.

    http://www.nytimes.com/2013/04/29/world/asia/cia-delivers-cash-to-afghan-leaders-office.html?pagewanted=all&_r=1&

    http://www.parismatch.com/Actu-Match/Monde/Depeches/Les-sacs-d-argent-de-la-CIA-en-Afghanistan-481019 (extrait, en français)

    #corruption #Afghanistan #USA

  • Afghanistan, February 2013: Anti-Taliban Militias
    http://www.theatlantic.com/infocus/2013/03/afghanistan-february-2013-anti-taliban-militias/100468

    Recently, Afghanistan’s President Hamid Karzai ordered U.S. forces to leave Wardak province, partly in response to U.S.-funded militias in the region accused of “torturing, harassing, and murdering” ordinary civilians. The U.S. has been training and funding tribal militias in Afghanistan for years, hoping to emulate the success of a similar strategy in Iraq.


    Farzad Akbari, the 12-year-old son of anti-Taliban militia commander Farhad Akbari, in Afghanistan’s volatile Logar province, host to a large number of armed groups and Taliban crossing over from Pakistan. Farzad’s father is grooming him to take control of the militia should he be killed. “The danger (of the Taliban) is real and it’s important I understand how the world works,” says Farzad. (© Vikram Singh)

    Instances of abuse are common and well documented.

    Afghanistan: Rein in Abusive Militias and Afghan Local Police
    http://www.hrw.org/news/2011/09/12/afghanistan-rein-abusive-militias-and-afghan-local-police
    #milices #enfants #photographie