The China Syndrome - Wikipedia, the free encyclopedia
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Godell uncovers evidence that X-rays of welds have been falsified. He believes that the plant is unsafe and could be severely damaged if another full-power SCRAM occurs. He tries to bring the evidence to the attention of the public, but after threatening an employee of the construction company who built the plant, he is chased by goons of the construction company. He escapes by taking refuge in the plant.
Hier, j’ai vu « Le syndrome chinois », 1979, avec Jane Fonda, Jack Lemmon et Michael Douglas (produit par lui, aussi).
J’ai beaucoup entendu parler de ce film quand j’étais ado, mais curieusement je ne l’avais jamais vu. Hé ben j’ai trouvé ça drôlement bien.
Ce dont on parlait dans les années 80, c’est le scénario catastrophe du film (d’où son titre : « le syndrome chinois »), mais tout l’intérêt du film, me semble-t-il, c’est dans sa dénonciation politique du système (parce que, tout de même, c’est un film des années 70) : la logique du profit qui conduit à des économies (illégales) sur la surveillance de la centrale, les médias qui s’écrasent suite aux menaces de procès, l’organisme public de contrôle qui ne sert qu’à avaliser les décisions des industriels du secteur, et l’ensemble des trois qui collaborent pour minimiser la gravité de l’accident.
Avec ça, les acteurs sont épatants, notamment Jack Lemmon. Et la fin est carrément haletante (même si carrément tirée par les cheveux).
Après, ça reste grand public, il y a des facilités dans le scénario (la fin, vraiment tirée par les cheveux), ça n’est tout de même pas « Les trois jours du Condor », mais ça se laisse drôlement bien voir et, vraiment, c’est bien d’avoir axé la critique sur les travers inhérents à une pure logique de profit.
