person:jean monnet

  • Vrai débat : où en est-on ? Analyse d’une équipe de recherche lyonnaise | INSHS
    http://www.inshs.cnrs.fr/fr/cnrsinfo/vrai-debat-ou-en-est-analyse-dune-equipe-de-recherche-lyonnaise

    Une équipe du laboratoire Triangle (UMR5206, CNRS / ENS de Lyon / Université Lyon 2 / Sciences Po Lyon / Université Jean Monnet Saint-Etienne) a répondu favorablement à la demande de traitement des données issues de la plateforme du Vrai débat. Cet outil de démocratie constitue un document d’intelligence collective de premier ordre, qui se démarque du simple sondage d’opinion. En effet, avec plus d’un million de votes, 25 000 propositions et 93 000 arguments, il a permis à plus de 44 000 utilisateurs de s’exprimer librement.

    #sociologie #grand_débat

  • L’AECG avance vers son adoption en Europe Éric Desrosiers - 30 Janvier 2019 - Le Devoir
    https://www.ledevoir.com/economie/546649/europe-l-aecg-avance-vers-son-adoption

    L’Europe s’est rapprochée encore un petit peu plus de la ratification de son accord de libre-échange avec le Canada par ses pays membres.


    Photo : John Thys Agence France-Presse Yves Bot, l’avocat général de la CJUE, a contredit ses opposants en concluant que le fameux mécanisme de règlement des différends entre investisseurs et États est compatible avec le droit européen.

    Une disposition controversée de l’Accord économique et commercial global (AECG) entre le Canada et l’Union européenne a eu mardi un premier feu vert de l’autorité juridique suprême de l’UE. Amené à exprimer un premier avis sur le mécanisme qui permettrait aux investisseurs privés de poursuivre les États devant un tribunal spécial s’ils s’estiment victimes de discrimination, l’avocat général de la Cour de justice de l’Union européenne (CJUE), Yves Bot, a contredit ses opposants en concluant que le fameux mécanisme de règlement des différends entre investisseurs et États est compatible avec le droit européen, qu’il n’empiète pas sur les pouvoirs de la cour de justice et qu’il offre suffisamment de garanties en matière d’équité, d’impartialité et d’indépendance.

    Cet avis n’est qu’une première étape vers une décision par la CJUE. Ses juges eux-mêmes doivent encore se prononcer sur l’affaire. Si l’on se fie à ses habitudes, la Cour devrait rendre sa décision « d’ici quatre à six mois », a indiqué par courriel au Devoir la délégation de l’UE à Ottawa.

    Mais cela pourrait aisément aller jusqu’à l’automne, a expliqué en entretien téléphonique au Devoir le professeur de droit et directeur de la Chaire Jean Monnet en intégration européenne de l’Université Laval, Olivier Delas. « Cet avis favorable de l’avocat général est important parce que c’est celui d’un expert indépendant et qu’il est généralement suivi par la Cour. Pas toujours, mais très souvent. »

    Le mécanisme investisseurs-États est perçu par ses opposants comme une atteinte par les pouvoirs de l’argent à la souveraineté des gouvernements élus. Devant le tollé qu’il soulevait en Europe, les négociateurs du Canada et de l’UE en ont modifié les règles habituelles en délimitant mieux son champ d’action, en mettant plus de distance entre ses juges et les entreprises, et en le coiffant d’un tribunal d’appel.

    Un avis négatif de la CJUE bloquerait l’adoption de l’AECG en Europe et forcerait la renégociation ou l’abandon de ses dispositions problématiques. Ce serait un dur revers pour un accord de libre-échange conclu en 2016 au terme de plus de sept années de négociations. Entré provisoirement en vigueur dans sa presque totalité en septembre 2017 après sa ratification par le Canada et le Parlement européen, il doit encore être ratifié par 38 parlements nationaux, chambres hautes et parlements régionaux dans les 28 pays membres de l’UE pour obtenir l’appui unanime requis.

    10 sur 28
    Jusqu’à présent, une dizaine de pays de l’UE seulement ont ratifié l’AECG. C’est l’opposition du parlement de la Wallonie au mécanisme investisseurs-États qui a amené la Belgique à soumettre la disposition à la Cour européenne. L’Italie et la Hongrie font aussi partie des opposants, mais pour d’autres raisons.

    Ottawa et Bruxelles disaient cet automne avoir bon espoir que leur entente finira par obtenir l’accord de tous avec le temps. « Il ne faut pas s’énerver. Ce genre de processus de ratification est souvent très long », confirme Olivier Delas, qui pense lui aussi que l’accord a de bonnes chances d’être finalement adopté.

    L’AECG est qualifié par les experts de traité de libre-échange de nouvelle génération, notamment parce qu’il ne se limite pas à la réduction des tarifs sur les produits, mais porte aussi sur le commerce des services, la mobilité de la main-d’oeuvre ou encore la coopération réglementaire.

    #AECG #UE #union_européenne #Canada #traités #CJUE #libre-échange #CETA #TAFTA #secret #ottawa #bruxelles

  • AURILLAC : interdiction à la Quinzaine contre le racisme
    William BURIAS, PCF Cantal, le 28 mars 2018
    http://cantal.pcf.fr/105406

    Dans le cadre de la Quinzaine contre le Racisme, le MRAP avait préparé, de longue date et en collaboration avec les lycées Jean Monnet et Emile Duclaux, une intervention de Dominique Natanson, militant de l’Union juive française pour la paix (UJFP, organisation juive laïque) prévue lundi 26 mars.

    Cette présentation aux lycéens, partant de l’histoire personnelle de l’intervenant - la déportation de ses parents - s’élargissait ensuite au racisme quotidien (négrophobie, islamophobie, antitsiganisme, migrants) afin de sensibiliser les lycéens sur ces problématiques.

    Quelques jours avant l’intervention, vendredi après-midi, la préfecture du Cantal, à la demande de la Délégation Interministérielle à la Lutte Contre le Racisme, l’Antisémitisme et la Haine anti-LGBT (DILCRAH), signifiait au MRAP l’interdiction de cette conférence. A aucun moment les raisons de cette interdiction n’ont été données.

    #France #Cantal #Aurillac #censure #Dominique_Natanson #UJFP #MRAP #racisme #DILCRAH et bien sûr parce que c’est forcément lié : #Palestine

  • Quels outils pour la traçabilité et la connaissance des expositions ? / Nanolille 2017
    http://lille1tv.univ-lille1.fr/videos/video.aspx?id=79312b68-2f8b-4254-9c06-2cf5dcd4ae6e

    Table-ronde – Quels outils pour la traçabilité et la connaissance des expositions ? Animateur : Jean-Jacques Perrier, NanoRESP.

    Aurélie Niaudet, Anses. Eric Juet, Centre d’excellence Jean Monnet, Rennes. Nicolas Feltin, Laboratoire national de métrologie et d’essais (LNE). Emilie Tafournel, Fédération du Commerce et de la grande distribution (FCD).

  • Sortie de l’euro : ce que Marine Le Pen ne dit pas... (Boursorama)
    https://www.crashdebug.fr/diversifion/13254-sortie-de-l-euro-ce-que-marine-le-pen-ne-dit-pas-boursorama

    Source : Boursorama.fr via Contributeur anonyme

    Information complémentaire :

    Crashdebug.fr : A New York, l’étonnant compagnon de voyage de Marine Le PenCrashdebug.fr : Étienne Chouard : 10 raisons de sortir de l’Union Européenne

    Crashdebug.fr : « Ce n’est pas impossible que l’on revienne au franc ! », selon François Lenglet

    Crashdebug.fr : Jean Monnet, envoyé spécial du président Roosevelt

    Crashdebug.fr : Comment un banquier de Wall Street a privé les pays européens de leur souveraineté - L’UE et les réseaux politiques et financiers de Jean Monnet (1re partie)

    Crashdebug.fr : La France vend son patrimoine à des états plus endettés...

    Crashdebug.fr : L’Union européenne était une idée AMÉRICAINE...

    Crashdebug.fr : L’Union Européenne, une Dictature démasquée... Crashdebug.fr : Le 3 (...)

    #En_vedette #Divers

  • François Fillon, de Gaulle et Jean Monnet par Jacques Sapir
    http://vilistia.org/archives/12884

    François Fillon, de Gaulle et Jean Monnet par Jacques Sapir vendredi 25 novembre 2016, par Comité Valmy François Fillon, de Gaulle et Jean Monnet par Jacques Sapir 21 novembre 2016 L’un des faits marquants de la campagne pour les « primaires » … Lire la suite →

    #UMP

  • #Revue_de_Presse du jour comprenant l’actualité nationale et internationale de ce mercredi 23 novembre 2016
    https://www.crashdebug.fr/revue-de-presse/12712-revue-de-presse-du-jour-comprenant-l-actualite-nationale-et-interna

    https://www.crashdebug.fr/images/stories/addons/images/Images+globales/2015/decembre/revue_de_presse_02_12_2015.png

    Bonjour, pour information j’ai payé les 68€ d’abonement mensuel à RSS Include pour la page Defcon Room.

    Amicalement,

    f.

    Actualités françaises :

    23.11.2016

    "La fille de Brest" Irène Frachon dénonce : "Servier biberonne toujours le corps médical français" depuis le Mediator (Marianne.net)

    Jacques Sapir : « François Fillon prétend parler comme de Gaulle mais il pense comme Jean Monnet » (Olivier Demeulenaere)

    En lui inspirant une guerre frontale avec Fillon, l’entourage d’Alain Juppé va l’entraîner dans le mur… (Atlantico.fr)

    Le Canard enchaîné accuse les autorités françaises d’avoir refusé l’intervention dès 22h de deux escadrons de gendarmes mobiles au Bataclan (Fawkes)

    Nucléaire : les réacteurs arrêtés d’EDF pourraient redémarrer d’ici à un mois (...)

    #En_vedette

  • Jacques Sapir : « François Fillon prétend parler comme de Gaulle mais il pense comme Jean Monnet »
    https://www.crashdebug.fr/actualites-france/12714-jacques-sapir-francois-fillon-pretend-parler-comme-de-gaulle-mais-i

    François Fillon ou la fausse surprise. François Fillon est cet ancien bras droit du gaulliste Philippe Séguin qui a porté, cinq années durant, le costume de premier ministre de “Sarko l’Américain”. A son bilan : la forfaiture du traité de Lisbonne, la réintégration de la France dans l’OTAN, la destruction de la Libye, l’explosion de la dette et la forte montée du chômage. Liste bien sûr non exhaustive. Aujourd’hui, il se dit l’héritier de Margaret Thatcher et de Gerhard Schröder et nous propose un programme néo-libéral en tout point conforme aux volontés du club Bilderberg… OD

    L’un des faits marquants de la campagne pour les « primaires » de la Droite et du Centre, dont le premier tour se déroulait le dimanche 20 novembre a été la spectaculaire remontée de François Fillon. Cette remontée s’est soldé par un (...)

  • François Hollande, le Président qui faisait jouer la France en seconde division européenne alors qu’elle était encore en première | Atlantico.fr
    http://www.atlantico.fr/decryptage/francois-hollande-president-qui-faisait-jouer-france-en-seconde-division-e

    Atlantico : Dans une confidence passée inaperçue de l’ouvrage Un président ne devrait pas dire ça, François Hollande revient sur sa capacité à négocier, avec le concours de la Commission européenne, le passage de la France sous la barre des 3%. Son argumentaire repose essentiellement sur le fait que la France pèse dans l’Europe. Ainsi, les journalistes Gérard Davet Fabrice Lhomme rapportent les propos du président : "Ça c’est le privilège des grands pays, ce que beaucoup n’acceptent plus. Le privilège de la France, de dire « Eh bien oui, on est la France, on vous protège, on a quand même une armée, une force de dissuasion, une diplomatie...
     », ça compte. Ils (les Européens) le savent, ils ont quand même besoin de nous. Et donc ça, ça se paye. Il y a un prix, qui doit être acquitté, à la puissance politique, diplomatique, militaire". En quoi un tel constat peut-il être destructeur pour le chef de l’Etat ? François Hollande n’indique-t-il pas en creux qu’il a les moyens de faire peser, sur l’Europe, une véritable force de proposition européenne ? Avec ces mots, François Hollande ne trahit-il pas une volonté d’user de prérogatives extraordinaires à des fins tout à fait subalternes ?

    Alain Wallon : Pour l’avoir moi-même vécu de l’intérieur des institutions européennes, je peux vous dire que de tels propos, tenus non plus en privé mais publiquement, provoqueront de sérieux ravages et pour longtemps au détriment des positions françaises et de tous ceux, fonctionnaires français en poste à Bruxelles ou à Paris, qui tentent avec foi mais déjà avec difficulté de redresser l’image négative que la France a fini par acquérir auprès de leurs collègues des autres Etats membres et au sein de ces institutions. Que les effets de son franc-parler atteignent par ricochet François Hollande est moins grave pour lui-même, proche de sa fin de mandat, que pour la position et le poids de la France dans les négociations sur les grands dossiers actuels. La dégradation de l’image de notre pays auprès de nos partenaires de l’UE n’est, hélas, pas une situation nouvelle. L’élargissement de l’Union à de nouveaux Etats membres comme la Suède, la Finlande et l’Autriche dans les années 1990, puis à treize autres pays, Croatie incluse, dans les années 2000, avait rapidement à la fois modifié l’équilibre politique au sein du Conseil européen, mais aussi fortement relativisé la place et l’influence des pays fondateurs dans tous les compartiments de l’édifice institutionnel. La fonction publique européenne, qui s’était construite en grande partie sur le modèle administratif français, s’est vue remodelée très sensiblement, tant d’un point de vue linguistique et culturel qu’en termes de management, selon un modèle beaucoup plus anglo-saxon.

    Coordonnés d’une main sûre par le Foreign Office, les Britanniques ont été particulièrement offensifs en la matière, avec beaucoup d’habileté. Et les postes stratégiques, au niveau du Secrétariat général de la Commission, des directeurs généraux, des portefeuilles et des cabinets de commissaires ont vu la présence française s’amenuiser drastiquement. Bien entendu, l’une des causes de ces changements était, disons, mécanique : on ne peut espérer vivre à 28 comme à 6 ou même 12. Mais nos gouvernants – et cela remonte bien avant 2012 – ont donné l’impression que la France, qui n’était plus perçue comme celle de Jean Monnet ou de Jacques Delors, pouvait conserver un statut identique, couronnée d’éternels lauriers et partageant son sceptre avec la seule Allemagne… De là, s’est construite et répandue une image d’arrogance de la France, qui finit par former un préjugé assez systématique à l’encontre de nos représentants, quelle que soit ou ait pu être leur excellence, dans les différentes instances de confection des décisions, de leur adoption et de leur mise en œuvre. Et voilà que le Président français, au lieu de redonner aux pays partenaires des raisons de percevoir autrement la France en tant qu’acteur européen, brandit la pire des caricatures : tel un acteur de commedia dell’arte tombant le masque, le voilà soudain sous les traits d’un tacticien roué, « à qui on ne la fait pas, hein Angela ? », manœuvrant comme dans les coulisses d’un congrès du PS à la bonne vieille époque de la synthèse inter-courants, agitant sous le nez de la Commission et des Etats trop obsédés par les règles budgétaires la menace de laisser l’Europe sans défense. On croit cauchemarder !

    Franchement, je ne pense pas que le message en creux, si tant est qu’il y en ait un et qu’il soit constructif pour l’Europe à construire, ait la moindre chance de convaincre. On y verra plutôt un Président français en fin de course qui prend ses désirs pour des réalités, bombant le torse pour faire oublier son inaction et son absence de propositions fortes, susceptibles d’être l’objet d’un vrai débat, puis d’un consensus suffisant pour relancer l’Europe à un moment crucial de son existence. Or, c’est l’inverse qui a lieu car François Hollande se met à dos tout le monde : la Commission européenne en laissant entendre qu’il la laisse gentiment « pisser dans un violon » en se jouant de ses menaces de sanction ; l’Allemagne, Angela Merkel et son intraitable ministre des Finances Wofgang Schaüble, en ridiculisant leurs pressions pour faire rentrer le déficit budgétaire français dans les clous ; et aussi tous les Etats membres qui, parfois avec d’énormes difficultés politiques, économiques et sociales, n’ont pas le luxe de disposer des moyens militaires de faire du chantage diplomatique au moment de rendre des comptes. Carton plein…

    Mathieu Mucherie : On se place sans jamais vraiment le contester dans le cadre de Maastricht. Les 3% de déficits ont été inventés sur un coin de table (pas Ikea) par Francisque Mitterrand (l’inventeur de l’euro et du FN). Ils ne signifient strictement rien économiquement : on peut faire 3% de « bons » déficits si on est en crise ou si on investit pour l’avenir, et 1% de très mauvais déficits si on est en haut de cycle et qu’il s’agit surtout d’une dérive des charges courantes. Ils ne signifient strictement rien financièrement, d’autant que les taux ne sont plus à 5% mais très proches de 0%. Le simple fait de respecter (ou plus exactement, dans le cas français : de faire semblant de respecter) une règle aussi infondée, voilà qui est déjà révélateur, en matière de démission intellectuelle et politique. En bonne logique économico-fiscale, soit on ne norme rien (on fait confiance au marché et/ou à la banque centrale pour discipliner les émetteurs de dettes), soit on norme le stock de dettes, en termes réels et structurels (depuis Maastricht, on a normé le solde, en nominal et sans tenir compte du cycle). L’idéal aurait été de normer la dépense publique au sens large, mais à gauche personne ne voulait (les mêmes qui nous causent d’harmonisation fiscale européenne…). Bref. On ne pouvait probablement pas demander à un rejeton de Delors et de Mitterrand d’imaginer un cadre comptable plus convenable, puis de l’imposer aux Allemands, surtout au vu des comptes publics marécageux de la France (merci Chirac, merci plein de gens) et de la prolongation de la crise de 2008. Mais du coup, on commence ce débat en position de quémandeur, déjà c’est mal parti.

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  • Strasbourg le 8 juin : Drapeaux et symboles politiques dans le processus d’unification européenne. Quelles significations pour les citoyens ?
    http://www.uef.fr/Drapeaux-et-symboles-politiques-dans-le-processus-d-unification-europeenne

    À la veille du Congrès européen de l’UEF à Strasbourg, L’UEF-France s’associe à cet événement de l’Association Jean Monnet sur le thème « Drapeaux et symboles politiques dans le processus d’unification européenne. Quelles significations pour les citoyens ? ». Mercredi 8 juin à 18:00 Erage - Ecole des Avocats du Grand-Est 4 rue Brûlée, 67000 Strasbourg Voir l’événement sur Facebook Quelle est aujourd’hui la capacité des symboles à donner du sens au politique en Europe ? Comment lire les derniers faits (...)

    #Régions

    / #Alsace

    « https://www.facebook.com/events/1401244563225129 »
    http://www.uef.fr/IMG/pdf/communique_de_presse_association_jean_monnet_8_juin_2016.pdf?351/7ef0110f511136f719876d29f8b1bae26dffa5c3
    http://www.uef.fr/IMG/pdf/dossier_de_presse_table_ronde_association_jean_monnet_8_juin_2016.pdf?352/29d6fe7679f2e53496b14288d38b1acb5eacec29
    http://www.uef.fr/IMG/pdf/flyer_table_ronde_2016.pdf?353/77366d225f7fc715474354ca0e9cd03328d04783

  • Strasbourg le 8 juin : Drapeaux et symboles politiques dans le processus d’unification européenne. Quelles significations pour les citoyens ?
    http://www.uef.fr/strasbourg-le-8-juin-drapeaux-et-symboles-politiques-dans-le-processus-d

    À la veille du Congrès européen de l’UEF à Strasbourg, L’UEF-France s’associe à cet événement de l’Association Jean Monnet sur le thème « Drapeaux et symboles politiques dans le processus d’unification européenne. Quelles significations pour les citoyens ? ». Mercredi 8 juin à 18:00 Erage - Ecole des Avocats du Grand-Est 4 rue Brûlée, 67000 Strasbourg Quelle est aujourd’hui la capacité des symboles à donner du sens au politique en Europe ? Comment lire les derniers faits marquants de l’actualité européenne à (...)

    #Régions

    / #Alsace

    http://www.uef.fr/IMG/pdf/communique_de_presse_association_jean_monnet_8_juin_2016.pdf?351/7ef0110f511136f719876d29f8b1bae26dffa5c3
    http://www.uef.fr/IMG/pdf/dossier_de_presse_table_ronde_association_jean_monnet_8_juin_2016.pdf?352/29d6fe7679f2e53496b14288d38b1acb5eacec29
    http://www.uef.fr/IMG/pdf/flyer_table_ronde_2016.pdf?353/77366d225f7fc715474354ca0e9cd03328d04783

  • Le #cognac : entre identité nationale et produit de la #mondialisation

    Le cognac est une eau de vie prestigieuse connue dans le monde entier et dont l’aire de production s’étend dans les Charentes. Cet article explore l’histoire de l’élaboration de cette production de ses origines médiévales jusqu’à la fixation des grandes zones de production déterminant des crus d’inégales qualités et valeurs et définissant ainsi « une géographie du cognac ». L’#histoire de cette eau de vie s’inscrit également au sein d’un terroir qui a vu naître et grandir de grandes figures nationales de Jean Monnet à François Mitterrand. Cet article tente ainsi d’esquisser une géographie sociale et culturelle du cognac qu’il conviendrait d’approfondir. Enfin, produit d’un #terroir et marqueur de l’#identité française, le cognac est aussi un produit de la mondialisation (97% du volume de production est exporté) ; les grandes évolutions du marché du cognac accompagnent ainsi les grandes mutations socioéconomiques et socioculturelles du monde.

    https://cybergeo.revues.org/27595

  • « L’Europe de Jean Monnet est morte », par Michel Pinton | Cercle Aristote
    http://cerclearistote.com/leurope-de-jean-monnet-est-morte-par-michel-pinton

    La crainte inavouée de Mitterrand – celle d’une Allemagne cherchant son destin dans un jeu de bascule entre la Russie et l’Amérique- était mal fondée et sa parade peu crédible : on ne ligote pas un grand peuple par le papier d’un traité ni par des procédures monétaires. Mais elle méritait un débat politique. Il n’eut jamais lieu.

  • « La liberté de circuler, c’est l’âme de l’Europe »

    #Pat_Cox, le nouveau président de la Fondation Jean Monnet, rappelle que ce principe inscrit dans le traité de Rome constitue l’un des piliers de la construction européenne. Il sera extrêmement difficile de l’égratigner, aussi bien en Suisse qu’en Grande-Bretagne. L’ancien président du parlement européen analyse aussi la crise économique dans la zone euro et le risque de crise politique en raison des différences économiques profondes entre le nord et le sud de l’Europe


    http://www.letemps.ch/Page/Uuid/9c86da42-c898-11e4-959d-74804f4bcbe7/La_libert%C3%A9_de_circuler_cest_l%C3%A2me_de_lEurope
    #liberté_de_circulation #Europe

  • Pourquoi NewDeal4Europe ? (2)
    http://www.taurillon.org/pourquoi-newdeal4europe-2

    Bernard Barthalay, économiste, titulaire de la chaire Jean Monnet (1991-2010) d’économie européenne à l’Université Lumière (Lyon 2) et président de Puissance Europe/Weltmacht Europa, prend la plume et nous explique la nécessite d’un New Deal européen, celle du NewDeal4Europe. Seconde partie de l’intervention.

    #Associations

    / #ICE

  • Pourquoi NewDeal4Europe ? (1)
    http://www.taurillon.org/pourquoi-newdeal4europe-1

    Bernard Barthalay, économiste, titulaire de la chaire Jean Monnet (1991-2010) d’économie européenne à l’Université Lumière (Lyon 2) et président de Puissance Europe/Weltmacht Europa, prend la plume et nous explique la nécessite d’un New Deal européen, celle du NewDeal4Europe. Première partie d’une intervention éclairante.

    #Associations

    / #ICE

  • Europe volée !
    http://www.pressefederaliste.eu/Europe-volee

    L’Europe que voulaient Jean Monnet et ses amis, ainsi que Konrad Adenauer et Charles De Gaulle, nous a été volée ! Cette Europe fraternelle où l’entraide entre les hommes et les pays devait mettre fin à la haine et au désir de vengeance entre les diverses nations européennes est en train de disparaître sous nos yeux et nous ne le voyons pas ! Lorsque les six pays fondateurs ont signé le(s) Traité(s) de Rome en 1957, leur objectif était clair : grâce à la mise en commun de nos moyens et à une volonté (...)

    #Numéro_160_—_Juin_2013