person:joe stork

  • HRW-murder’s apologists; Joe Stork-Judas | Norman G. Finkelstein
    http://normanfinkelstein.com/2014/hrw-murders-apologists-joe-stork-judas

    It takes considerable talent to describe Hamas’s firing of pre-Stone Age “rockets” that to date have indirectly killed one person (she died of a heart attack) as a “war crime,” while describing Israel’s killing to date of 120 Palestinians, overwhelmingly civilians, and its systematic targeting of civilian infrastructure, as mere “collective punishment.”

  • #Bahreïn : Iniquité du système judiciaire | Human Rights Watch
    http://www.hrw.org/fr/node/125920

    « Au Bahreïn, un agent de police qui tue un manifestant de sang-froid ou bat un détenu à mort pourrait encourir une peine de six mois ou peut-être deux ans, tandis qu’appeler pacifiquement à ce que le pays devienne une république peut mener à une peine de prison à perpétuité », a déclaré Joe Stork, directeur adjoint de la division Moyen-Orient à Human Rights Watch. « Le problème du Bahreïn n’est pas un système judiciaire qui fonctionne mal, mais plutôt un système d’injustice qui fonctionne très bien. »

    (...)

    Le rapport, qui s’appuie sur des verdicts écrits et d’autres documents des tribunaux, révèle le contraste frappant entre d’une part les poursuites menées pour graves violations des droits humains commises par le personnel de sécurité et d’autre part les poursuites pour « crimes » basées sur des activités liées à l’expression orale et au rassemblement pacifique.

    Le rapport conteste fortement les déclarations du ministère des Affaires étrangères du #Royaume-Uni, selon lesquelles le Bahreïn a mis en place les principales recommandations de la Commission d’enquête BICI et qu’il fait des progrès sur ​​la réforme judiciaire

    #droits_humains #justice

  • Maxime Rodinson Looks Back
    http://www.merip.org/mer/mer269/maxime-rodinson-looks-back

    Joan Mandell and Joe Stork spoke with him in April 1986, when he came to Washington for the celebration of MERIP’s fifteenth anniversary. We publish the interview here for the first time.

    What was your first view of the people and culture in Lebanon?

    I had some colonial ideas left in my mind, here and there, reinforced by study of anthropology. I remember a time I asked a Syrian man, “Did you have people gifted in mathematics, too?” He was angry, of course.

    (...)

    A big question at this time is that in 1954, the beginning of the Algerian revolution, the Party did not take a strong stand.

    I did not have much knowledge of the events in North Africa at that time.

    Did this become a big debate for you?

    Yes, because I was beginning to have doubts about the politics of the Party at that time, and with others we managed to ask the Party to take a stand more in favor of independence of Algeria. But we were all disciplined in the Party at that time. We got angry about the position of the Party, and more prone to associate with non-Party people — the independent left — which is taken very badly by the Party, of course. But the Party had taken great pains to demobilize. So in 1956 there were elections in France. The socialists came into power and the Party had great expectations, especially with relations to Moscow and the idea of the great alliance of the socialist parties and the Soviet Union. All this could not be endangered by secondary things like Algeria. When the new assembly [Chambre de Députes] met, the Party voted special powers for Guy Mollet in Algeria. This was the first time I dared to contradict the position of the Party. Not all the way, of course. I wanted to speak out against these special powers. They decided that they had to make that move and sacrifice a part for the whole. I began to have doubts, theoretically. I began the slow evolution toward a critique of the Party. I left two years later, in 1958.

  • L’ONU et des ONG regrettent les violations des droits de l’homme en Arabie Saoudite
    http://www.romandie.com/news/n/_L_ONU_et_des_ONG_regrettent_les_violations_des_droits_de_l_homme_en_Arabi

    Bandar bin Mohammad al-Aiban, qui dirige la Commission des droits de l’homme de l’Arabie Saoudite, ainsi que la délégation de son pays à Genève, a souligné pour sa part tous les progrès que Riyad avait accomplis depuis le premier examen périodique de son pays en 2009.

    Le pays, a-t-il souligné, a accordé aux femmes un quota minimum de 20% des sièges du Conseil de la Shura, un organe consultatif qui peut proposer des changements de la loi au roi.

    (...)

    De son côté, Joe Stork, vice-directeur pour le Moyen-Orient de l’organisation Human Rights Watch, a exprimé son désaccord.

    Beaucoup de pays ont des pratiques problématiques des droits de l’homme, mais l’Arabie Saoudite se distingue par son haut niveau de répression et son échec à mettre en oeuvre ses promesses faites au Conseil des droits de l’homme, a-t-il déclaré

    Les précédentes promesses de l’Arabie Saoudite devant le Conseil n’ont rien donné, a relevé pour sa part Philip Luther, d’Amnesty International, dénonçant une hausse des arrestations arbitraires d’activistes.

    Certains diplomates ont cependant relevé quelques progrès, comme l’adhésion de l’Arabie Saoudite à quelques conventions internationales sur les droits humains, ainsi que le début d’une lutte contre la corruption.

    Ces diplomates ont encore déploré le maintien de la peine de mort, y compris contre des criminels mineurs.

    Le pays doit cesser d’exécuter des enfants criminels, a déclaré le représentant norvégien, alors que d’autres diplomates ont demandé un moratoire sur les exécutions, en vue d’une abolition à terme de la peine de mort.

    Le royaume a procédé à 69 exécutions capitales depuis le début de l’année, selon un décompte de l’AFP.

    Les diplomates ont aussi demandé à l’Arabie Saoudite de protéger davantage les droits des travailleurs migrants, qui sont confrontés à un système qui les empêche de changer d’employeur sans autorisation et se retrouvent ainsi en position vulnérable.

    Le rapport qui a été discuté lundi sera publié mercredi et soumis à adoption vendredi.

    L’Arabie Saoudite va demander dans 3 semaines un siège au Conseil des droits de l’homme qui compte 47 membres, soumis à rotation.

    Le niveau de répression de l’Arabie Saoudite et son incapacité à tenir ses promesses d’améliorer la situation des droits de homme soulèvent de sérieuses questions quant à sa capacité à devenir membre du Conseil, a averti Joe Stork.