person:marie claire

  • Culte de la maigreur : « Critiquer Photoshop, c’est dans l’air du temps »
    http://abonnes.lemonde.fr/idees/article/2017/10/12/critiquer-photoshop-c-est-dans-l-air-du-temps_5199666_3232.html

    Le « décret Photoshop » a été adopté le 1er octobre. Souhaitée par l’ancienne ministre de la santé, Marisol Touraine, la mention « photographie retouchée » est désormais obligatoire sur toutes les photos de mannequins – dont la silhouette a été modifiée à usage commercial – diffusées par l’entremise d’affichage, de la presse ou d’Internet.

    Incapacité des publicitaires à anticiper

    Cette analyse visait les magazines Elle, Grazia, Marie Claire, Cosmopolitan, tous mis en kiosque après le 1er octobre. Les résultats obtenus démontrent qu’aucune mention « photographie retouchée » n’a été encore appliquée. En moyenne, 24,84 % des pages de ces magazines représentent un contenu publicitaire avec des corps de femmes susceptibles d’être retouchés.

    En clair, le geste de Mme Touraine est audacieux. Il est nécessaire d’agir pour contrer le body shaming, qui est un fléau sur le Web. Dans un monde où Kim Kardashian perd 100 000 adeptes sur Instagram parce qu’elle publie une photo d’elle non retouchée, il y a matière à questionnement. L’une des cyberviolences les plus répandues à l’endroit des femmes est d’ailleurs ce même body shaming.

    La manipulation du corps des femmes est encore aujourd’hui un enjeu politique et social important. En effet, les femmes se sont battues pour être considérées comme des sujets plutôt que des objets. Doit-on rappeler que l’un des leitmotivs les plus marquants de la troisième vague du féminisme est que notre corps nous appartient ? Le décret, malgré le flou persistant qui entoure son application, est, on l’espère, un petit pas de plus vers la libération du corps des femmes.

    #Image #Photoshop #publicité #Féminisme

  • St-JOSSE S’INVITE A MATONGE :
    http://www.radiopanik.org/emissions/radiografi/st-josse-s-invite-a-matonge-

    C’était ce mercredi sur Radio Panik 105.4FM à Bruxelles, l’émission #radiografi avec Oncle KINCH, Gerard Kanabasawo et MarKo Bellido. Invitées de l’Oncle KINCH : Dada Stella et Mme Marie Claire, membres de FIREFEC. Aussi, Frederike Migom réal. de NKOSI COIFFURE...

    http://www.radiopanik.org/media/sounds/radiografi/st-josse-s-invite-a-matonge-_03304__1.mp3

  • Rendez-vous à Lille pour le Forum du CNRS
    https://lejournal.cnrs.fr/dossiers/rendez-vous-a-lille-pour-le-forum-du-cnrs

    Samedi 19 novembre, le quatrième Forum du CNRS se tient à Marcq-en-Barœul, près de Lille. Un événement ouvert à tous, où les chercheurs parleront des découvertes de l’année et de recherches passionnantes en cours dans les laboratoires. Découvrez dans ce dossier nos articles et vidéos en lien avec certains des sujets qui seront abordés durant cette journée exceptionnelle.

  • L’insupportable réalité des enfants placés - Marie Claire
    http://www.marieclaire.fr/,l-insupportable-realite-des-enfants-places,732606.asp

    « Enfin », pensent beaucoup de professionnels de l’enfance en danger. « Enfin, presque », répond le pédopsychiatre Maurice Berger, déçu par le rapport des sénatrices, car celui-ci ne remet pas en cause la loi de 2007 mais cherche simplement à l’améliorer. « Or les professionnels de terrain constatent l’effet désastreux de cette loi qui protège surtout les parents : tant qu’ils sont d’accord pour rencontrer un éducateur, le juge des enfants ne peut pas être saisi, et il faut attendre que l’état de l’enfant soit très dégradé pour que la protection judiciaire intervienne. En France, nos lois sont avant tout compassionnelles pour les adultes. C’est grave. » Un combat dont les perdants sont toujours les mêmes, quelle que soit l’idéologie. « Les politiques s’identifient beaucoup plus aux parents qu’aux enfants. Ainsi, à partir des connaissances scientifiques sur le développement affectif du bébé, en Italie, au Québec et au Royaume-Uni, l’adoption est établie après six mois de délaissement parental, alors que nos sénatrices maintiennent le délai d’un an suivi d’une période de six mois pour statuer, ce qui est beaucoup trop long. »

  • Des précaires et chômeurs signent une tribune dans Le Monde pour remercier Valls and co

    « Le projet de loi El Khomri représente une avancée pour les plus fragiles »

    LE MONDE | 04.03.2016

    La réforme du code du travail va dans le bon sens en inversant la tendance massive du recours au contrat à durée déterminée et de la généralisation de la précarité, selon un collectif d’universitaires.

    Le chômage, désormais au plus haut niveau depuis l’après-guerre, ne frappe pas tout le monde de la même manière. Il se concentre sur les jeunes et les moins qualifiés. Un chômeur sur quatre a moins de 25 ans, un sur trois n’a aucun diplôme et 80 % n’ont pas dépassé le bac. Ces publics sont les grands perdants d’un marché du travail qui exclut les plus fragiles ou les relègue dans des emplois précaires, tant les entreprises craignent d’embaucher en CDI.

    Ces inégalités sont insupportables. En réduisant l’incertitude qui entoure le CDI, le projet de loi El Khomri est de nature à changer la donne : c’est avant tout à ces publics défavorisés qu’elle va donner accès à un emploi durable.

    Une réforme d’ampleur est nécessaire. Le code du travail ne donne aujourd’hui aucune définition précise des difficultés économiques justifiant un licenciement, et n’encadre pas non plus le montant des indemnités en cas de licenciement non fondé. Il est devenu une source d’insécurité pour l’entreprise comme pour le salarié, car il laisse au juge un champ d’appréciation qui va bien au-delà de ses compétences juridiques.

    Aujourd’hui, ni le salarié ni l’employeur ne sont capables de savoir si les difficultés économiques seront considérées comme suffisantes par le juge pour justifier un licenciement. Ils sont également incapables de prévoir précisément le coût des fins de CDI, tant le montant des indemnités octroyées par les prud’hommes relève d’une logique difficilement prévisible.

    Un salarié dont l’ancienneté est comprise entre deux et cinq ans peut se voir proposer entre un et dix mois de salaire aux prud’hommes si son licenciement est considéré comme non fondé. Cette incertitude est lourde de conséquences pour les salariés autant que pour les entreprises, notamment les plus petites, souvent incapables d’affronter de longues périodes de contentieux juridiques en s’offrant les services de cabinets d’avocats spécialisés.

    Les CDD, 90 % des embauches

    Par crainte d’embaucher en CDI, les entreprises ont massivement recours au CDD, bien au-delà des cas prévus par la loi. Les CDD représentent 90 % des embauches. Les jeunes et les moins qualifiés ne connaissent pratiquement que ce type de contrat, parfois durant de nombreuses années. Or, outre la précarité, les CDD proposent moins de formation professionnelle, offrent des salaires plus faibles, et pénalisent l’accès au crédit et au logement.

    Un barème plus précis des indemnités octroyées par les prud’hommes et une définition objective des situations pouvant justifier un licenciement sont de nature à inverser ces tendances. C’est ce que propose le projet de loi El Khomri. L’exemple de l’Espagne devrait faire réfléchir ses détracteurs. Ayant adopté une loi similaire en 2012, ce pays a connu un surcroît de 300 000 embauches en CDI dès l’année suivante. Ces embauches sont surtout le fait de PME pour lesquelles la crainte du conflit prud’homal pèse le plus sur les décisions d’embauche. Ces embauches en CDI ont bénéficié en priorité aux personnes abonnées au CDD, ce qui a permis de réduire les pertes d’emploi.

    Pour que la réforme du licenciement devienne un pilier d’un « Jobs Act » à la française permettant d’en finir avec le chômage de masse, il y aurait urgence à la compléter dans plusieurs directions. L’une concerne la formation professionnelle : elle doit être profondément refondée pour devenir opérationnelle, en particulier en instaurant un système individualisé qui laisse l’employé ou le chômeur choisir son prestataire de services de formation.

    Cela suppose la mise en place d’un système d’évaluation des formations transparent et indépendant. Une autre serait d’améliorer les garanties de revenus pour les chômeurs en formation et la recherche d’un nouvel emploi. Enfin, il faudrait renforcer les avantages des contrats longs, notamment à travers un système de bonus-malus des cotisations à l’assurance chômage incitant les entreprises à privilégier de telles embauches.

    En attendant ces réformes indispensables, le projet de loi El Khomri représente néanmoins une avancée pour les plus fragiles. En réduisant fortement l’incertitude attachée à la rupture des contrats de travail, il incite les entreprises à revenir vers des embauches en CDI. C’est un moyen de lutter efficacement contre les inégalités et la précarité.

    Philippe Aghion , professeur au Collège de France ;
    Yann Algan , professeur à Sciences Po ;
    Agnès Bénassy-Quéré , professeure à Paris School of Economics ;
    Olivier Blanchard , Senior Fellow au Peterson Institute for International Economics ;
    François Bourguignon , professeur à Paris School of Economics ;
    Pierre Cahuc , professeur à l’Ecole polytechnique ;
    Arnaud Chéron , directeur de recherche à l’Edhec ;
    Stéphane Carcillo , professeur au département d’économie de Sciences Po ;
    Elie Cohen , directeur de recherche au CNRS ;
    Antoine d’Autume , professeur à Paris School of Economics ;
    Marc Ferracci , professeur à l’université Paris-II ;
    François Fontaine , professeur à Paris School of Economics ;
    Robert Gary-Bobo , professeur à l’Ensae ;
    Pierre-Yves Geoffard , professeur à Paris School of Economics ;
    Pierre-Olivier Gourinchas , professeur à UC Berkeley ;
    Jean-Olivier Hairault, professeur à Paris School of Economics ;
    Hubert Kempf , professeur à l’Ecole normale supérieure de Cachan ; Francis Kramarz , professeur à l’Ecole polytechnique ;
    Augustin Landier , professeur à Toulouse School of Economics ;
    François Langot , professeur à l’université du Mans ;
    Yannick L’Horty , professeur à l’université Paris-Est Marne-La Vallée ;
    Thomas Philippon , professeur à New York University ;
    Richard Portes , professeur à la London Business School ;
    Hélène Rey , professeure à la London Business School ;
    Katheline Schubert , professeure à Paris School of Economics ;
    Claudia Senik , professeure à Paris School of Economics ;
    Jean Tirole , professeur à Toulouse School of Economics, Prix Nobel d’économie (2014) ;
    Alain Trannoy , directeur de recherche à l’EHESS ;
    Marie Claire Villeval , directrice de recherche au CNRS ;
    Radu Vranceanu , professeur à l’Essec ;
    Etienne Wasmer , professeur à Sciences Po ;
    André Zylberberg , directeur de recherche émérite au CNRS.

  • Enfants #transgenres : dans la peau de Jim, 11 ans - Marie Claire
    http://www.marieclaire.fr/,enfants-transgenres-dans-la-peau-de-jim-11-ans,800160.asp

    Des enfants transgenres, les parents de Jim ne savaient rien, ils ne soupçonnaient pas même leur existence. « Quand vous tapez “trans” sur Internet, vous tombez essentiellement sur des sites pornos », s’agace le père de Jim, Frédéric*, informaticien, qui préfère aujourd’hui en rire. « Nous avons surtout découvert à quel point il était difficile d’accéder à une information neutre, pas trash et dépolitisée dans ce domaine », poursuit Jeanne. En deux mois, ils rencontrent tous les experts, aux quatre coins de la France. C’est Tom Reucher, psychologue transgenre installé à Brest, qui saura le premier gérer l’urgence. Une rencontre libératrice pour Jim : « J’étais content. Pour une fois, quelqu’un me comprenait vraiment. » Le soir même, explique Jeanne, « il allait mieux. Il pouvait enfin mettre un mot sur ce qu’il ressentait ». Il savait à présent qu’il pourrait éventuellement entamer une « transition sociale » en changeant de prénom et en assumant une nouvelle identité. Et prendre des traitements appropriés pour soulager sa souffrance.

  • Le #genre en #guerre

    Exécutrices, victimes, témoins

    Isabelle Ernot
    Le genre en guerre. Exécutrices, #victimes, #témoins [Texte intégral]
    Elissa Mailänder
    Des femmes allemandes au service de la guerre : participations actives aux politiques raciales nationales-socialistes, à la #déportation et au #génocide (1939-1945) [Texte intégral]
    Deborah Barton et Fabien Théofilakis
    Couvrir la #colonisation sans la #violence : des femmes journalistes allemandes face à la germanisation à l’Est pendant la Seconde Guerre mondiale [Texte intégral]
    Isabelle Ernot
    « Women and/in the Holocaust » : à la croisée des Women’s-Gender et Holocaust Studies (Années 1980-2010) [Texte intégral]
    Julie Le Gac
    « Le mal napolitain » : les #Alliés et la #prostitution à #Naples (1943-1944) [Texte intégral]
    Histoire et mémoires
    Marie Claire Hoock-Demarle
    Hommage à Rita Thalmann (1926-2013) : L’aventure du séminaire « #Sexe et #race » [Texte intégral]
    Fabrice Virgili
    “La mémoire des #Ianfu” : Le Women’s Active Museum on War and Peace (Tokyo) [Texte intégral]

    http://genrehistoire.revues.org/1886
    #femmes #revue
    via @ville_en

  • Situation ‘catastrophic’ in Yemen’s Aden - Saudi-led airstrikes hit Yemen’s south amid ground fighting - Kuwait Times |

    ADEN: The Red Cross warned yesterday of a “catastrophic” situation in Yemen’s main southern city Aden, as loyalist forces battled rebels in the streets backed by shelling by Saudi-led warships. The Iran-backed Houthi Shiite rebels and their allies made a new push on a port in the central Mualla district of the city but were forced back by militia loyal to fugitive President Abedrabbo Mansour Hadi, witnesses said.
    Naval forces of the Saudi-led coalition, which has carried out nearly two weeks of air strikes in support of Hadi’s beleaguered government, shelled rebel positions across the city, they added.

    Spokeswoman for the International Committee of the Red Cross in Yemen, Marie Claire Feghali, said that the humanitarian situation in all of Yemen is “very difficult...(with) naval, air and ground routes cut off.” She described the situation in Aden as “catastrophic to say the least.” “The war in Aden is on every street, in every corner... Many are unable to escape,” she said. Doctors Without Borders (MSF) said the situation was “worsening by the day,” with wounded people unable to get to hospital because of the fighting. The MSF medical team in Aden had “not received large numbers of casualties over the past few days, not because there are no wounded people, but due to the difficulties faced in trying to reach a hospital,” MSF Yemen representative Marie-Elisabeth Ingres said. MSF has a team of 140 local staff and eight expatriates at a hospital in Aden. “Our priority is to find a way to send a supporting medical team,” Ingres told AFP, adding that a team is waiting in Djibouti “for a greenlight from the coalition.”

    At least 10 people were killed in fighting in Aden overnight, medical and security sources said. That was on top of at least 53 people killed over the previous 24 hours. Nationwide, more than 540 people have been killed and 1,700 wounded in fighting in Yemen since March 19, the World Health Organization said yesterday.
    The UN’s children agency UNICEF said at least 74 children had been confirmed killed since the coalition air strikes began on March 26, adding that it believed the real figure to be much higher. More than 100,000 people have been displaced by the fighting, the agency added. During the night, Saudi-led warplanes carried out fresh strikes on the rebel-held Al-Anad air base north of Aden, pro-Hadi General Muthanna Jawas said.❞

  • « Que des types se comportent comme des brutes avec des #femmes est aujourd’hui légal » - Marie Claire
    http://www.marieclaire.fr/,que-des-types-se-comportent-comme-des-brutes-avec-des-femmes-est-aujour

    On sait très bien qu’un certain nombre de sénateurs mettent une énergie folle à ce que cette #loi ne soit pas discutée, soit parce que ce sont des #clients, soit parce qu’ils ont adhéré à cette culture de la #prostitution et trouvent ça très sympathique, même s’ils ne la pratiquent pas. Après, je sais qu’il y a parfois du recours à la prostitution au sein même du #Sénat, des sénatrices me l’ont dit. L’histoire des « nièces » est une vieille tradition à l’Assemblée nationale et au Sénat : des call girls se présentent à l’accueil pour voir leur oncle monsieur le sénateur ou monsieur le député Untel… Il y a également, y compris chez des gens qui ne sont pas des clients, l’idée que c’est un #privilège. On fait partie du groupe social qui peut louer le corps de l’autre, un privilège, une référence à notre pouvoir masculin… Et un certain nombre d’hommes sont fâchés à l’idée qu’on puisse s’en prendre à ce privilège, même s’il n’est que symbolique.
    (...)
    L’idée du client malheureux, esseulé est une légende, que toutes les « survivantes » démentent. L’immense majorité des clients ont une femme, des maîtresses et un rapport au #sexe un peu compulsif, addictif. DSK est l’archétype que l’on retrouve dans toutes les #classes sociales, c’est monsieur Tout-le-Monde mais qui représente néanmoins une minorité d’hommes.

  • L’éternelle retouche des photos du corps féminin
    http://www.lemonde.fr/actualite-medias/article/2015/02/21/l-eternelle-retouche-des-photos-du-corps-feminin_4581067_3236.html

    Une femme à moitié nue sur une plage : voilà ce que représente la première photographie retouchée avec le logiciel Photoshop. Une quinzaine d’année plus tôt, c’était le portrait de Lenna, une playmate suédoise, qui avait servi de fichier de travail à des chercheurs en imagerie numérique cherchant à compresser au mieux des photos scannées.

    En 2015, alors que le fameux logiciel de retouche d’image Photoshop fête ses vingt-cinq ans, de nombreuses images de femmes célèbres « au naturel » sont massivement diffusées sur Internet. Il y a peu, une photographie du mannequin Cindy Crawford, prise initialement en décembre 2013 pour l’édition mexicaine de Marie Claire, et publiée sans retouche le 16 février sur Twitter, a suscité un grand enthousiasme.

    #femmes #corps #beauté #retouches

    • #légende_numérique
      Photoshop est un logiciel qui n’est pas si vieux, même si il s’est imposé commercialement un peu partout. Bien d’autres systèmes graphiques numériques existaient avant, avec des images comme les premières couvertures de géo en 1979 pour faire du paysage exotique.
      L’Histoire s’écrit toujours au présent, avec les fantasmes (publicitaires et commerciaux) de ceux qui la racontent, le #corps_des_femmes fait vendre.

  • Time Inc : journalistes notés sur leur impact publicitaire
    http://www.arretsurimages.net/breves/2014-08-19/Time-Inc-journalistes-notes-sur-leur-impact-publicitaire-id17794

    Après les journalistes payés au clic, voici la notation sur leur impact publicitaire. Pour classer ses journalistes, le site du magazine Sports Illustrated, un des plus gros magazines sportifs américain qui fait partie de la société Time Inc (Time Magazine, Marie Claire, Life), a adopté un barème un peu particulier. A côté de critères assez traditionnels comme l’enthousiasme au travail ou la qualité de l’écriture, figure une note sur 10 de l’impact du journaliste sur les recettes publicitaires, sous l’intitulé : « [Le journaliste] produit du contenu bénéfique pour la relation avec l’annonceur. »
    http://gawker.com/time-inc-rates-writers-on-how-beneficial-they-are-to-1623253026

    #journalisme #tracking #publicité

  • Famili, magazine familial, familier des stéréotypes sexistes
    http://www.acrimed.org/article4050.html

    Magazine du groupe « Marie Claire », Famili se présente – c’est du moins ce qu’indique son nom – comme un magazine à destination des futurs et nouveaux parents en général. On pourrait donc attendre qu’il s’adresse autant ou presque aux hommes/pères qu’aux femmes/mères. Or tant dans la version papier que sur le site internet, ce titre de presse relaie, plus ou moins ouvertement, les visions les plus traditionnelles de la répartition des rôles entre les sexes : une répartition socialement construite et (...)

  • PASSE-DROIT – Le DG de « Marie Claire » éconduit par un restaurateur chez qui il voulait manger gratuitement | Big Browser
    http://bigbrowser.blog.lemonde.fr/2012/10/24/passe-droit-le-dg-de-marie-claire-econduit-par-un-restaurate

    « Pensez-vous qu’il soit possible de l’inviter pour un dîner à votre convenance ? Il sera accompagné. » Voilà comment se termine le courriel envoyé le 19 octobre par une collaboratrice du groupe Marie Claire au restaurateur Pierre Jancou, patron de l’enseigne Vivant, à Paris (10e), chez qui le directeur général du groupe, Jean-Paul Lublot, souhaitait se rendre dans le cadre d’un numéro spécial du magazine à paraître en janvier.

    #trouduc #presse

  • Pourquoi la presse féminine peut faire les mêmes Unes d’année en année | Atlantico
    http://www.atlantico.fr/decryptage/c-est-dans-vieux-pots-pourquoi-presse-feminine-peut-faire-memes-unes-annee

    La presse féminine est particulièrement friande des « marronniers », ces thèmes saisonniers de couverture. Entre numéros « spécial régime » ou « spécial sexe », les sujets ne manquent certes pas. La médaille d’or en la matière vient d’être décernée au magazine Elle, par l’entremise du tweet perspicace de@GeoNormand, démontrant, photos à l’appui, la quasi similitude de la cover de l’hebdomadaire féminin, paru le 3 août 2012 - affichant en couverture Jennifer Aniston - avec celle du 29 juillet 2011, qui elle-même ressemblait fortement à celle du…6 août 2010.

    non mais franchement, de quoi se plaint-on ?

    qui sait que le média français le plus influent en littérature est justement le magazine Elle et le plus engagé historiquement en faveur de l’abolition de la prostitution le mensuel Marie Claire ?

    #grrr #misère

    pour @beautefatale

  • Marie Claire Afrique du Sud n’a pas de photo « fashion » de la Duchess-of-Cambridge pour faire sa Une ? Pas grave : elle photoshope sa tête sur une autre photo et qualifie ça d’« illustration hyper-réaliste » :
    http://fashion.telegraph.co.uk/news-features/TMG9402706/Duchess-of-Cambridge-photoshopped-on-the-cover-of-Marie-Claire-

    But not to be deterred by the absence of a flesh and blood royal subject to shoot, the art department got to work on the next best thing: a Frankenstein cover featuring the head and hands of Kate, stitched onto the body of a fashion model wearing a ’colourful’ creation by local designer, Clive Rundle.

    “We were so inspired by her fairytale wedding and her life as a modern-day princess, which is why we elected Kate Middleton as our cover star for the August issue,” explains editor, Aspasia Karras. “The cover is actually a hyper-real illustration of Kate, meant to be a fan art tribute to fashion’s new royal icon.”

  • La presse a-t-elle un sexe ? | Rue89
    http://www.rue89.com/rue69/2010/06/23/la-presse-a-t-elle-un-sexe-155645

    Les magazines genrés nouvelle vague (Grazia, FHM, Envy, Men’s Health…), ou du canal historique (Marie Claire, Newlook), m’ont toujours posé problème. Depuis le début de ce blog, j’ai envie de lancer un débat sur ces magazines, sans jamais savoir par quel bout le prendre. Jusqu’à découvrir le site Web d’info généraliste Les Nouvelles News, dont le parti-pris est de parler à part égale des hommes et des femmes. Entretien avec sa fondatrice, Isabelle Germain.

    #femmes #genre #journalisme #presse #société #hommes #for:twitter

  • Pénétration : Autant de sensations que de femmes - pénétration sexe - Marie Claire
    http://www.marieclaire.fr/,penetration-que-ressentent-ils-quand-ils-sont-en-nous,20256,43748.asp

    « Il y a des vagins agressifs, d’autres enfantins, un peu apeurés, certains où on flotte, où on ne sent rien. Il y en a qui vibrent, certains qui enserrent plus, certains qui éjaculent... J’arrive aujourd’hui à deviner un peu le sexe d’une femme à sa personnalité : timide, élégant, animal, brutal, coquin... Son sexe fait partie de ce que j’aime en elle, comme sa taille, ses hanches, ses seins, sa peau. » (Emmanuel, 52 ans)

    #sexe #for:twitter