person:mohamed mahmoud

  • Egypt Zamalek FC’s hardcore fans: The journey of the Ultras White Knights | MadaMasr
    http://www.madamasr.com/en/2017/03/22/panorama/u/zamalek-fcs-hardcore-fans-the-journey-of-the-ultras-white-knights

    It has been 10 years since the Ultras White Knights (UWK), an association of hardcore fans of Zamalek Football Club, was founded. Though they are of varying ages and come from different social classes and education, they are united in their unwavering support for their team.

    The UWK have remained committed, despite the team’s financial and administrative problems over the last decade, proving their loyalty to the white-flagged club time and time again, even in defeat.

    They have been determined to attend matches in large numbers and well-organized formations, even at training sessions. This support is summed up in their renowned slogan, “We will remain loyal.”

    The bond that binds them runs deeper than a love for football. The UWK are also known for the role they played in Egypt’s January 2011 revolution, when they were a key part of confrontations with police, marches and sit-ins, with their well rehearsed chants and songs. Their participation on the front lines of clashes with security forces on the Friday of Rage (January 28, 2011) and in the battle of Mohamed Mahmoud (November 2011) is particularly remembered.

    Since then, there has been a level of mutual hostility between the ultras and Egypt’s security forces. This has been exacerbated by several events, including the deaths of 72 Ultras Ahlawy, fans of Ahly Football Club, in the northern Suez canal city of Port Said on February 1, 2012, during a deadly stadium riot that many say was prolonged or even sparked by security forces, and resulted in the suspension of football matches or matches with no spectators.

    After matches resumed and fans were permitted to attend games again, another bloody incident took place at Cairo’s Air Force Defense Stadium on February 8, 2015, when 20 Zamalek Football Club fans were killed. Security officials accused the UWK of being responsible for these deaths and arrested several members.

    In fact, over the past six years, security forces have imprisoned around 250 ultras, and in May 2015, ultras organizations were banned by the state.

    Egyptian media has also portrayed ultras associations in a negative light, disseminating false information on them and capitalizing on their insistence to not give media interviews.

    “Ultra” in Latin means over and above, and members describe themselves as being “brothers in blood.”

    The ultras commemorate members who have been imprisoned or killed over the years, immortalizing them in pictures, chants and songs. The UWK have released three albums of these songs to commemorate their martyrs: “Zamalek is the Life,” “Voice of the Knights” and “February 8.”

  • Le club de lecture du Caire : histoires et stéréotypes | Rabab El-Mahdi | Comment is free | The Guardian
    http://www.theguardian.com/commentisfree/2015/sep/08/book-club-cairo-egypt

    En novembre 2011, à l’occasion d’une démonstration dans la rue Mohamed Mahmoud, au centre du Caire, un ami me demanda si j’avais envie de créer un groupe de lecture pour des jeunes politiquement engagés. Je répondis que j’avais lu le livre Lire Lolita à Téhéran, que je ne l’avais pas aimé et que je n’avais donc aucune envie d’imiter sa protagoniste, qui avait créé un club de lecture dans son propre salon et encourageait ses membres à lire et discuter des œuvres de la littérature occidentale, y compris Lolita, le livre à scandale. Mon ami ne comprenant rien à mes propos, je finis par accepter.

    A lire absolument, pour comprendre comment "un club de lecture a changé le regard d’une femme arabe en études post-coloniales sur les islamistes. Et jusqu’à la fin, pour ce qui est dit de la situation en Egypte.

    #égypte #islamisme #féminisme_islamique

  • Tramadol: Where did the opiate of the masses go? | Mada Masr
    http://www.madamasr.com/sections/lifestyle/tramadol-where-did-opiate-masses-go

    According to *Mohamed Mahmoudy — a regular tramadol user — cab drivers would share tramadol as readily as cigarettes, and coffee shops would accept tramadol pills in lieu of tips.

    But over the past two months, the government has been cracking down on tramadol. The drug is becoming more difficult to obtain, so prices have risen. A strip that used to cost LE30 now costs around LE100 to LE150, and users say the police are watching dealers.

    100 LE = 12 euros à peu près... L’explosion du Tramadol, symptôme du monde arabe.

  • Dernier graffiti de El Teneen au Caire, rue Mohamed Mahmoud. En écho à son célèbre échiquier de 2011. Petit goût amer de bilan révolutionnaire.

    1557210_693405307407146_9212234185860096506_o.jpg (720×330)

    L’article qui l’accompagne sur Facebook :

    https://www.facebook.com/notes/el-teneen/%D9%87%D8%AA%D8%A7%D9%81-%D8%AC%D8%AF%D9%8A%D8%AF/693403927407284

    #Egypte #révolution #El Sissi

  • « Les « activistes » sont plus dangereux que les Frères musulmans »
    http://blog.slateafrique.com/nouvelles-du-caire/2013/12/04/les-activistes-sont-plus-dangereux-que-les-freres-musulmans

    « L’activiste au masculin est au chômage, efféminé, avec de longs cheveux, et il porte un bracelet et un keffieh palestinien. Il alimente ses comptes twitter et facebook, et utilise des jurons et des expressions grossières autant qu’il le peut. Il appelle à un état civil et non religieux, il accuse les religions d’être réactionnaires et rétrogrades, et il se fait même l’avocat des [expression désignant les homosexuels]. »

    « L’activiste au féminin se prend pour un homme. Elle écoute les chansons et poèmes populaires voire populaciers de Cheikh Imam. »

    « Ils appellent constamment à mettre bas la police et l’armée car ces institutions ont tué leurs camarades pendant les événements de Mohamed Mahmoud,Maspero, Abassiya et le Conseil des ministres. »

    « Ces activistes sont plus dangereux pour l’Egypte que les Frères muulmans terroristes, à qui ils ressemblent d’ailleurs de par leurs idées extrémistes et leur partialité. Ils pensent qu’ils viennent sauver l’humanité en général et les pauvres Egyptiens rétrogrades en particulier. Mais la société ne devrait pas leur céder (…) même s’ils assurent que quiconque les critique les opprime »

    #hahaha

  • Les Touaregs : un exil perpétuel ? - Afrik.com
    http://www.afrik.com/article25529.html

    Les Touaregs : un exil perpétuel ? Interview de Mohamed Mahmoud Sidi, président de l’Organisation pour l’assistance aux enfants malades et en situation difficile (OAEMSD)

    dimanche 6 mai 2012 / par Intagrist El Ansari

    Le 17 janvier 2012 éclatait de nouveau une rébellion Touareg dans le Nord-Est malien. Cette révolte est déclenchée par des combattants du Mouvement national de libération de l’Azawad (MNLA), issus du régime déchu de Khadafi. Ces derniers sont rentrés au Mali très lourdement armés. Ce mouvement réclamant l’autonomie politique d’un territoire dénommé l’Azawad, - la partie nordique de l’actuel Mali - enchaîne des succès militaires face à l’Armée Malienne. Les rebelles allaient deux mois plus tard, le 22 mars, provoquer indirectement un coup d’Etat au Mali.

    Le 6 avril, le MNLA proclame l’indépendance de l’État de l’Azawad. Cette proclamation, « unilatérale », est rejetée par la communauté internationale. Mais le mouvement Touareg dit trouver ainsi une solution définitive au conflit qui oppose le Nord et le Sud du Mali depuis l’indépendance de ce pays, en 1960. Avec une première révolte en 1963, puis celle de 1990, et de 2006.

    En 2012, le conflit atteint des proportions aux conséquences humanitaires assez inquiétantes. En effet, ces affrontements, entre rebelles et militaires provoqueront l’exil de 210 000 personnes, déplacées internes et réfugiés dans les pays frontaliers du Mali. Ils sont environ 70 000 à être arrivés depuis trois mois en Mauritanie. Comme en 1990, ils sont partis femmes, enfants et hommes, en laissant tout derrière eux. Les exilés sont installés dans des campements humanitaires à l’extrême Sud-Est mauritanien. Là où le vent, la chaleur, la soif et les épidémies se traduisent par une sécheresse aussi rude que la vie désertique.

    Pour faire le point sur la situation de ces réfugiés, nous rencontrons le responsable d’une ONG mauritanienne, la première organisation humanitaire à avoir apporté une aide en direction des réfugiés qui ont fuit le Nord-Mali.

    Mali Touaregs Sahel Conflits